Retard de croissance Conduite pratique
|
|
- Eliane St-Amand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Retard de croissance Conduite pratique Dinane Samara-Boustani Service d Endocrinologie, Diabétologie et Gynécologie Pédiatriques Pr Polak Centre des Maladies Endocriniennes Rares de la Croissance Hospital Necker Enfants Malades, Paris
2 Croissance intra-utérine - dépendante des facteurs de croissance - IGFs, insuline, nutriments - rôle environnement utéro-placentaire De la naissance à 3 ans - influence des facteurs génétiques - possibilité de changement de couloir Croissance normale 5 phases De 3 ans à la puberté - vitesse de croissance régulière : 5-6 cm /an Puberté - Pic de croissance Adulte - Fin de croissance foetale nourrisson enfance puberté Vitesse de croissance : intérêt ++ dans évaluation clinique d un retard de croissance
3 Croissance normale Puberté Fille Garçon Age moyen démarrage puberté (ans) 11 (10 13) 11.7 (11 14) 1 è signe puberté apparition bourgeon mammaire augmentation volume testiculaire (L>3 cm) Age moyen pic pubertaire (ans) nbe cm pris entre début puberté et taille finale nbe cm pris entre 1 è règles et taille finale 7 (4 13) -
4 Croissance pubertaire Différence de taille entre les sexes : essentiellement due à la croissance prépubertaire prolongée des garçons
5 Croissance normale Fin de croissance croissance < 2 cm / an Taille finale moyenne actuelle hommes : 176 cm ( cm) femmes : 163 cm ( cm)
6 Facteurs de la croissance post-natale Facteurs endocriniens Hormone de croissance (GH) ++
7 Hormone de croissance sécrétion pulsatile, surtout nocturne action indirecte sur croissance par l intermédiaire de l IGF-I augmente synthèse protéique (muscles) augmente lipolyse augmente glycémie _ Hypothalamus GHRH + Hypophyse GH + Foie IGF-I + Cartilage
8 Facteurs de la croissance post-natale Facteurs endocriniens Hormone de croissance (GH) ++ Hormones thyroïdiennes Stéroïdes sexuels Facteurs génétiques Interviennent sur : niveau de taille âge de la puberté Taille cible(cm)= taille père + taille mère 13 (selon sexe) Calcul non interprétable en cas de grande différence entre la taille des 2 parents 2
9 Facteurs de la croissance post-natale Facteurs endocriniens Hormone de croissance (GH) ++ Hormones thyroïdiennes Stéroïdes sexuels Facteurs génétiques Os Facteurs nutritionnels Facteurs environnementaux
10 Age osseux (Greulich et Pyle) : exemples (filles) Nombreux facteurs (génétiques et hormonaux impliqués dans la maturation osseuse Pertinence modeste à l'évaluation de la croissance Permet de prédire la taille adulte à l'adolescence avec une marge d'erreur importante
11 Surveillance de la croissance Mesure régulière du poids, de la taille : tous les 3 à 6 mois avant 2 ans puis 1 fois par an Mesures inscrites sur carnet de santé, reportées sur courbes pour suivre l évolution +++ Niveau statural exprimé en déviations standards (DS) 95% des enfants ont une taille entre -2 et +2 DS Evaluer le stade pubertaire Comparer le niveau statural aux tailles des parents, de la fratrie
12 Retard statural Le niveau statural et la croissance sont-ils pathologiques? Quelle est la cause du retard? Quel bilan de débrouillage?
13 La croissance est-elle pathologique? Informations nécessaires : - Tailles - âges pubertaires dans famille - Terme - poids - taille de naissance : RCIU? - ATCD personnels - Traitement - Troubles fonctionnels: troubles digestifs, anorexie, polyurie, céphalées, troubles visuels? - Enquête alimentaire - Contexte psycho-affectif Courbes staturale pondérale Examen clinique complet
14 Retard de croissance En faveur d une anomalie de la croissance : Diminution de la vitesse de croissance +++ Niveau statural inférieur à - 2 DS Discordance importante entre le niveau statural de l enfant et celui de ses parents (> 1,5 DS)
15 Retard de croissance Ralentissement VC Taille < -2 DS
16 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes déficit en GH / resistance GH (gène récepteur GH) retard pubertaire hypothyroïdie Hypercorticisme Syndrome de Turner RCIU Maladies génétiques, osseuses Maladies chroniques : digestives, rénales Nanisme psycho-social Petite taille idiopathique ++
17 Déficit en hormone de croissance 1/4000 ATCD évocateurs: hypoglycémies malformation de ligne médiane, ophtalmologique, cérébrale souffrance néo-natale ictère néo-natal prolongé Ralentissement de vitesse de croissance +++ inconstant
18 Déficit en hormone de croissance Signes cliniques évocateurs faciès poupin, front bombant cheveux fins petites extrêmités adiposité abdominale micropénis+++, ectopie testiculaire Le plus souvent retard statural isolé
19 Déficit en hormone de croissance
20 Déficit en hormone de croissance : explorations Dosage IGF-I Epreuves de stimulation de GH réponse normale : pic GH > ou égal à 20 µu/ml si réponse insuffisante : faire 2 è test différent réponse normale à 1 test pas de déficit en GH réponse insuffisante aux 2 tests différents déficit en GH possible rechercher un autre déficit hypophysaire (TSH, ACTH, LH, FSH, PRL) faire une IRM cérébrale+++
21 Déficit en hormone de croissance : étiologies Déficits acquis en GH tumeurs de région hypothalamo-hypophysaire crâniopharyngiome +++, germinome. irradiation crânienne (tumeur cerebrale..) plus rarement: histiocytose, traumatisme...
22 Déficit en hormone de croissance : étiologies Déficits acquis en GH tumeurs de région hypothalamo-hypophysaire crâniopharyngiome +++, germinome. irradiation crânienne (tumeur cerebrale..) plus rarement: histiocytose, traumatisme... Déficits congénitaux en GH syndrome d interruption de tige pituitaire Anomalie du gène de GH (exceptionnel) Anomalie d un gène de différenciation de l antéhypophyse : autres déficits associés gène Pit1 (déficit TSH, PRL) gène Prop-1 (déficit TSH, PRL, LH, FSH) gènes Hesx-1,
23 Déficit en hormone de croissance : étiologies Syndrome d interruption de tige
24 Déficit en hormone de croissance : étiologies Déficits acquis en GH tumeurs de région hypothalamo-hypophysaire crâniopharyngiome +++, germinome. irradiation crânienne (tumeur cerebrale..) plus rarement: histiocytose, traumatisme... Déficits congénitaux en GH syndrome d interruption de tige pituitaire Anomalie du gène de GH (exceptionnel) Anomalie d un gène de différenciation de l antéhypophyse : autres déficits associés gène Pit1 (déficit TSH, PRL) gène Prop-1 (déficit TSH, PRL, LH, FSH) gènes Hesx-1,
25
26 Déficit en hormone de croissance : étiologies Déficits acquis en GH tumeurs de région hypothalamo-hypophysaire Déficits congénitaux en GH syndrome d interruption de tige pituitaire Anomalie d un gène de différenciation de l antéhypophyse : autres déficits associés Déficit «idiopathique» - déficit isolé en GH - IRM hypophysaire normale - évaluation en fin de puberté : réponse peut être normale (67% déficit transitoire en GH) (M Tauber J Clin Endocronology Metab 1997)
27 Déficit en hormone de croissance Difficulté de différencier déficits en GH permanents des déficits transitoires si IRM normale utilisation d autres marqueurs de déficit en GH : IGF-I évaluation de la sécrétion spontanée nocturne de GH évaluation de GH après priming par stéroïdes, en période peripubertaire (>11 ans fille, >12 ans garçon) Si doute traitement par GH puis nouvelle évaluation de sécrétion de GH (2 ans ou plus en fonction de la réponse)
28 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes déficit en GH retard pubertaire
29 Retard pubertaire Définition : pas d augmentation du volume testiculaire après 14 ans chez garçon pas de développement des seins après 13 ans chez fille Fréquent chez garçon Plus rare chez fille (50% cas secondaire à une pathologie) Responsable du retard de survenue du pic de croissance pubertaire changement de couloir
30 Retard pubertaire Retard du pic de croissance pubertaire
31 Retard pubertaire Qu elle est l étiologie du retard pubertaire? Le retard statural est-il dû uniquement au retard pubertaire? Faut-il traiter le retard pubertaire? Age osseux T4 - TSH IGF-I Prolactine Exclure insuffisance gonadique : FSH, LH Exclure une maladie générale : ionosg, VS, NFS IRM hypophyse si doute (surtout fille)
32 Retard pubertaire Traitement? Chez garçon Si retard statural ou pubertaire mal toléré après l âge de 15 ans Traitement par Testostérone à petites doses pendant 6 mois accélération staturale développement des OGE N entraîne pas de réduction de la taille finale (Rishman, N Engl J Med 1988)
33 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes déficit en GH retard pubertaire hypothyroïdie
34 Hypothyroïdie Ralentissement statural Prise de poids Goitre Retard d âge osseux Diagnostic : dosage T4 - TSH thyroïdite auto-immune ++ Avant Après
35 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes déficit en GH retard pubertaire hypothyroïdie hypercorticisme
36 Hypercorticisme Ralentissement statural Prise de poids HTA, vergetures, hirsutisme Bilan : cortisolurie/24h test de freination Cause : maladie de cushing tumeur surrénalienne
37 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes Syndrome de Turner
38 Syndrome de TURNER Fréquence élevée 1/2500 naissances filles Associe: retard statural constant dysgénésie gonadique anomalie du caryotype portant sur X (45 X0++) Autres anomalies inconstantes Anomalies morphologiques parfois très discrètes TN souvent diminuée Fréquence des otites ++ Pas de retard mental
39 Syndrome de TURNER
40 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes Syndrome de Turner RCIU
41 Retard de croissance intra-utérin TN et/ou PN < -2 DS pour âge gestationnel 2.5% des enfants à la naissance rattrapage statural dans les 2 premières années 10% taille < - 2DS (Karlberg, 1995) Taille adulte (Lienhardt,2002) hommes cm ( DS) femmes cm ( DS) Etiologies RCIU multiples : - Causes maternelles (40%) toxémie gravidique, tabac, alcool++, anomalies de perfusion, sous nutrition, maladie chronique - Causes placentaires (15%) placenta praevia grossesses multiples - Causes fœtales (30%) anomalies chromosomiques, sd polymalformatifs infections virales (CMV ) - «Idiopathiques» (25%)
42 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes Syndrome de Turner RCIU Maladies génétiques (sd de silver russel, sd de Noonan ) / Osseuses
43 Maladies osseuses Retard statural dysharmonieux Ralentissement statural A évoquer surtout si petite taille familiale (souvent transmission AD) RX bassin F, rachis lombaire F+P, avant-bras F+P Hypochondroplasie, dyschondrostéose...
44 Hypochondroplasie Maladie osseuse Transmission : autosomique dominante (FGFR3) Phénotype variable Formes les plus sévères Petits membres, hyperlordose lombaire, macrocéphalie, petites mains, petits pieds Retard statural sévère Formes modérées Aspect dysharmonieux visible qu à la puberté Croissance pubertaire insuffisante Taille finale (Maroteaux) Hommes : cm Femmes : cm
45 Dyschondrostéose -Diagnostic souvent tardif (retard statural, déformation) -Taille finale : F: 145 cm H: 155 cm -Transmission autosomique dominant - Gène SHOX,région pseudo-autosomique de X (haplo-insuffisance) - Hétérogénéité génétique(shox normal) R C C R
46 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes Syndrome de Turner RCIU Maladies osseuses Maladies chroniques
47 Retard statural peut révéler une maladie digestive Maladie coeliaque cassure de courbe pondérale précède ralentissement statural dosage : Ac anti-transglutaminase, ac anti-endomysium IGF1 bas Maladie de Crohn exceptionnel avant 10 ans Maladies chroniques Maladies digestives signes digestifs peuvent être très discrèts sd inflammatoire : élévation de VS Maladies rénales Insuffisance rénale chronique retard statural important possibilité de traitement par GH avant transplantation rénale Tubulopathie (iono sg acidose labstix)
48 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes Syndrome de Turner RCIU Maladies génétiques, osseuses Maladies chroniques Nanisme psycho-social
49 Nanisme psycho-social Diagnostic difficile à affirmer : Ralentissement statural parfois majeur Troubles du comportement fréquents Difficultés familiales Réponse GH variable - IGF-I bas Critère diagnostique: évolution favorable de croissance après séparation complète de la famille
50 Quelle est la cause du retard statural? Pathologies endocriniennes Syndrome de Turner RCIU Maladies osseuses Maladies chroniques Nanisme psycho-social Petite taille idiopathique
51 Petite taille idiopathique Cause la plus fréquente +++ Taille de naissance normale ralentissement statural dans les 3 premières années de 3 ans puberté : vitesse de croissance régulière parfois retard pubertaire parfois retard d âge osseux mais disparaît souvent à la puberté Souvent enfant maigre Souvent petite taille familiale Pas de possibilité thérapeutique
52 Petite taille idiopathique
53 CAT devant un retard statural Signes cliniques évocateurs d une pathologie? Age osseux IGF-I T4 - TSH Ac anti-transglutaminase (taux d IgA) VS NFS Ionosg, créatininémie, labstix Caryotype si fille RX os (bilan neg, petite taille familiale, signes morphologiques Test de stimulation GH IRM cérébrale (retard important, signes d HTIC) +++
54 Retard de croissance : Traitement Hormone de croissance Hormone de croissance synthétique Injections journalières en sous cutanées (possible 6j/7) faites par les parents (formation par infirmière) Indication: -deficit en hormone de croissance avec ou sans anomalie hypophysaire -Sd de Turner -Retard de croissance intra utérin (taille < -3 DS de plus de 4 ans) -Dyschondrosteose (gène SHOX) - Sd de Prader Willy - Insuffisance rénale avant greffe
55 Retard de croissance : Traitement Hormone de croissance Posologie - Deficit GH mg/kg/j - Sd de Turner / RCIU/ SHOX mg/kg/j - Sd de Prader Willy mg/kg/j Sans dépasser 0.05 mg/kg/j si possible Suivi: - Cs tous les 6 mois - IGF1 /6 à 12 mois adapter les doses ( fonction croissance staturale) - Si déficit GH contrôler les autres axes / 12 mois - Vérifier métabolisme glucidique chez sujet à risque (Sd De turner, RCIU, SPW) Glycemie à jeun hba1c/mois
56 Effets secondaires potentiels Retard de croissance : Traitement Hormone de croissance - HTIC en début de traitement (3 premiers mois) céphalées Suspendre FO reprendre à dose faible puis augmentation progressive -Augmentation risque altération métabolisme glucudique voire DNID (adulte) chez patients à risques A surveiller Pas d augmentation du risque de DID -Osteochondrite de hanche facteurs de risque( patho os sous jacente, obesité) -Pas d augmentation de risque de recidive tumoral A suspendre en cas de rechute
57 Retard de croissance Savoir reconnaitre un retard de croissance = tracer la courbe de croissance Retard de croissance d origine le plus ouvent idiopathique MAIS penser +++ craniopharyngiome reconnaitre sd turner Bilan de debrouillage eliminer qq causes IRM cérébrale +++ Traitement bien codifié Necessité de suivi IGF1 sous GH
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailPITUITARY. Growth Hormone (GH) NUTRITIONAL FACTORS OTHER TISSUES LIVER. IGF- I + IGFBPs. IGF- I + IGFBPs BLOOD TARGET TISSUES
PITUITARY Growth Hormone (GH) LIVER NUTRITIONAL FACTORS OTHER TISSUES IGF- I + IGFBPs BLOOD IGF- I + IGFBPs TARGET TISSUES Principales causes de déficit en GH (GHD) Anomalies moléculaires (GH-N; Récepteur
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLe syndrome de Noonan
Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailHyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase
Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE PNDS Cliquez ici LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Cliquez ici GUIDE MÉDECIN
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailLa puberté avant l âge Nouveaux aspects
La puberté avant l âge Nouveaux aspects Catherine Pienkowski Sophie Grandjean Unité d Endocrinologie et Gynécologie Médicale Hôpital des Enfants - Toulouse La puberté avant l âge Nouveaux aspects Introduction
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailBilans : tableau de conversion des unités
ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailExercices de génétique classique partie II
Exercices de génétique classique partie II 1. L idiotie phénylpyruvique est une maladie héréditaire dont sont atteints plusieurs membres d une famille, dont voici l arbre généalogique : 3 4 5 6 7 8 9 10
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLe syndrome de Cushing
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailLe programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See
Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See Chers adhérents, Le programme de la complémentaire santé Meuhedet See est à la fois complet et révolutionnaire, il a pour but de procurer
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Endocrinologie. Niveau DCEM1 - Examen National Classant 2006-2007. Pr. F. Duron & Coll.
Université Pierre et Marie Curie Endocrinologie Niveau DCEM1 - Examen National Classant 2006-2007 Pr. F. Duron & Coll. Mise à jour : 15 novembre 2006 2/311 Endocrinologie - Pr. F. Duron & Coll. 2006-2007
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détail