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1 Une méthode inédite de due diligence et d évaluation A consulter en ligne, l Evaluation de notre «Cause témoin» : L Aide Alimentaire en France

2 Une méthode inédite de due diligence et d évaluation L Aide Alimentaire en France - Evaluation Faible niveau de connaissance de la Cause (chiffres 2008) Moyens engagés : près de 500 M! dont 190 M! de dons financiers privés.estimation VitaBona en l absence de données stables et consolidées sur les moyens affectés à l Aide alimentaire. Bénéficiaires : 2,8 millions (chiffre fourni par les associations) Mais : en l absence de système de comptage unifié on ne connaît pas le nombre exact de bénéficiaires de l aide alimentaire ; leur répartition géographique; leurs caractéristiques socio-économiques, leur situation sanitaire et nutritionnelle. Réseau de distribution : centres (estimation UE) Mais : les points de distribution, gérés par près de associations, ne sont pas tous recensés ; leur répartition territoriale n est pas connue, ni leur ventilation par mode de distribution (repas chauds, colis ) Produits distribués : au moins 235 M! de dons en nature, publics et privés (estimation VitaBona.fr) Mais : on ne connaît pas les quantités de denrées disponibles chaque année pour l aide alimentaire; moins encore les quantités distribuées par familles de produits. Nombre de repas : 280 millions de repas? (chiffre fourni par les associations) Mais : si, selon les associations, 280 millions de repas avaient été distribués en 2008, d autres sources publiques estiment que l aide alimentaire aurait permis de fournir 700 millions de repas. La méconnaissance des bénéficiaires, l absence de données stables sur les quantités et la variété des produits distribués rendent difficiles le ciblage de l aide et ne permettent pas d ajuster finement la distribution aux besoins différenciés des 2,8 millions de bénéficiaires.

3 Une méthode inédite de due diligence et d évaluation L Aide Alimentaire en France - Evaluation Faible niveau de coordination et d évaluation des actions Les objectifs généraux du programme ne sont pas déclinés en objectifs opérationnels pas de critères communs concernant les conditions d éligibilité et d accès à l Aide Alimentaire pas de critères communs concernant les modalités de distribution ( quantité/qualité des produits à distribuer) pas de critères communs de pertinence et d Evaluation des actions sociales complémentaires Absence d outils de suivi de l activité pas de système unifié de comptage et de suivi statistique (quantitatif et qualitatif) des bénéficiaires pas de suivi statistique unifié des approvisionnements et de la gestion des stocks pas de suivi des sorties du dispositif Absence de coordination sur la gestion des approvisionnements et leur répartition géographique en fonction des besoins sur la gestion des capacités de transport et de stockage De premières évaluations réalisées tardivement en 2004/2005 : sur les bénéficiaires de l aide alimentaire : Etude nutritionnelle Abena (INVS) ; Etude E3A en 2008 et 2009 : IGAS - Consultation UE - Cour des Comptes Européenne Le défaut de coordination entrave l efficacité de l aide et son optimisation, autant que son accompagnement social et économique.

4 Une méthode inédite de due diligence et d évaluation L Aide Alimentaire en France - Evaluation Après 25 ans : l impossible mesure des résultats et de l impact Mesure de l activité - mesure des résultats Seul résultat connu : le chiffre, chaque année en augmentation, du nombre de bénéficiaires, inélastique à la croissance et à la baisse de 30% du taux de pauvreté depuis la naissance de la Cause. Activité et résultats non mesurables en l état : taux d entrées, durée de présence dans l aide, récurrence du recours à l aide, taux de sorties positives. Mesure de l impact sur le «bien être» des bénéficiaires Impact économique : pour quelles populations l aide alimentaire est-elle une source d approvisionnement essentielle ou un appoint? Degré de dépendance à l aide et impact sur l économie familiale selon les différents publics? Taux d orientation vers des entreprises d insertion: non évaluable en l état. Impact nutritionnel : impact sur la santé des bénéficiaires ; sur les habitudes de consommation et les savoir faire culinaires. Conclusion de l étude Abena (INVS) de 2004 : «les produits de l AA ne sont pas dans l ensemble, adaptés aux besoins nutritionnels des bénéficiaires». Des corrections partielles ont été apportées depuis. Impact social : taux d accompagnement social des bénéficiaires, taux d orientation vers d autres structures; rôle de l aide alimentaire sur la prévention ou la sortie de situations d exclusion ou de grande précarité : non évaluables en l état. Au regard des moyens engagées ( +/- 500 M!), il est impossible de mesurer la contribution de l aide alimentaire à l objectif de lutte contre la pauvreté

5 L Aide Alimentaire en France : Synthèse de l évaluation Pourquoi le système ne fonctionne plus

6 L Aide Alimentaire en France : des propositions pour mieux investir Réorienter progressivement le système vers un nouvel état d équilibre. Réorienter 200 M! sur les 500 M! mobilisés à des dépenses de prévention et d insertion Le Le 20 juin 2011, la Commission européenne a annoncé une baisse radicale des subventions allouées chaque année aux états membres dans le domaine de l aide alimentaire. L extinction du PEAD dans sa forme actuelle va entraîner de fait un réaménagement du système de la Cause, un repositionnement des différents acteurs publics et privés et une réallocation des moyens mis en oeuvre. 1. Créer un système unifié de suivi et de ciblage des bénéficiaires. UE - Etat - Entreprises privées ( dons financiers - mécénat de compétence) - Associations - Donateurs individuels vers la création d un système unifié de suivi quantitatif et qualitatif des bénéficiaires pour un meilleur ciblage de l aide vers la création d un système unifié de suivi des approvisionnements et de gestion des stocks éducation nutritionnelle massive Avantages : ajuster l aide alimentaire aux besoins sociaux, économiques et nutritionnels des publics concernés informer les politiques sociales et ajuster les aides socio-économiques mieux articuler et mettre en cohérence les initiatives publiques et privées 2. Diversifier les modes d accès à l aide par la mise en circulation de titres alimentaires UE - Etat- Entreprises de la Grande Distribution - Associations. Avantages : ciblage de la distribution actuelle et de l accompagnement social sur les plus démunis plus d autonomie et de choix pour les autres bénéficiaires allégement de la contrainte et des coûts de logistique

7 L Aide Alimentaire en France : des propositions pour mieux investir 3. Développer des réponses sociales et marchandes en amont de l aide alimentaire : Pour favoriser la prévention par l autonomie et l inclusion sociale et économique des bénéficiaires : Par exemple : soutenir fortement le développement de jardins familiaux et collectifs soutenir le développement de commerces de proximité en liaison avec le monde agricole. UE - Etat - Collectivités locales - Tous financeurs privés développer les expériences de «social business» alimentaire Entreprises de la Grande Distribution et de l agro-alimentaire Avantages : ciblage de la distribution et de l accompagnement social sur les plus démunis maintien des autres bénéficiaires dans les circuits commerciaux traditionnels renforcement du lien social 4. Réorienter massivement le dispositif vers l insertion par l économie Tous acteurs allouer les moyens humains et financiers libérés par un meilleur ciblage des distributions à des actions visant l insertion sociale et économique des bénéficiaires. Avantages : permettre aux opérateurs sociaux de mieux se consacrer à l accompagnement des bénéficiaires et la c renforcer les liens entre les acteurs de l aide alimentaire et ceux de l insertion économique sur chaque bassin d emploi, faire du dispositif de l aide alimentaire un levier de l insertion économique

8 L Aide Alimentaire en France : synthèse des propositions Comment améliorer l efficacité sociale et économique du système

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