Volume crânien 800cm 3
|
|
- Gabriel Brisson
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TS DS Génétique et évolution du vivant CORRECTION Exercice 1 : l adolescent de Turkana (durée estimée 15 mn) EXERCICE 1 : l adolescent de Turkana (durée estimée 15 mn) On cherche à établir l appartenance d un fossile à la lignée humaine. Les restes de ce fossile ont été datés de 1.6 Ma. Volume crânien 800cm 3 Trou occipital A partir de l analyse complète et rigoureuse des documents : - Retrouvez les arguments qui justifient l appartenance de l adolescent du Turkana à la lignée humaine; Le fossile présente des caractères témoignant d une bipédie permanente, d une réduction de la face, d une ì du vol. crânien : c est un homininé. - Attribuez un genre (Homo ou Australopithèque) à ce fossile Le volume crânien est > à 600 cm3, c est un Homo (+ î des caractères primitifs encore présents chez les australo) - Critères liés à la bipédie permanente : Trou occipital avancé Bassin court et large Fémurs inclinés Membres sup. < membres inf. - Critères liés la réduction de la face Angle facial plus ouvert que celui d un chimpanzé (face redressée) Mâchoire en V (branches non //) Canines réduites - Critère lié à l ì du vol. crânien Vol > 350 cm3 (chimpanzé) Vol > 600 cm3 (> australo) Connaissances à Déduction Pour définir l appartenance à la lignée humaine il faut au moins un critère - caractérisant la bipédie permanente - caractérisant la réduction de la face - caractérisant l ì du volume crânien - caractérisant une activité culturelle ; à L «adolescent de Turkana» appartient à la lignée humaine, c est un homininé. Le genre Homo est caractérisé par un volume crânien > 600cm3 à L «adolescent de Turkana» appartient au genre Homo.
2 - Critère de datation 1,6 MA Les Homo erectus auraient vécu en Afrique (+ Europe, Asie) de +/- 2MA à A à Il semble chronologiquement cohérent de classer l «adolescent de Turkana» dans l espèce Homo erectus EXERCICE 2 (durée estimée 10 mn) L'arbre présenté dans le document illustre une phylogénie possible pour trois représentants de la lignée humaine. Questions : A l'aide des données du tableau : - justifiez la phylogénie proposée, - complétez l'arbre en y plaçant les différentes innovations évolutives document : arbre phylogénétique de trois Homininés 4 Tableau de comparaison des caractères des 3 homininés étudiés (caractères primitifs, caractères dérivés) Je vois : H.ergaster et P.robustus partagent le maximum de caractères dérivés (3) A. afarensis ne partage avec P. rabustus qu un caractètre dérivé. Connaissances à Déduction Je sais que plus le nombre caractères dérivés partagés est grand plus le lien de parenté est étroit plus l ancêtre commun des espèces est récent. à H.e et P. r partagent l ancêtre commun le plus récent, ils ont le lien de parenté le plus étroit. à A.a possède avec les précédents un ancêtre commun plus ancien. Cela vérifie l arbre phylogénique proposé dans le document Exercice 2.2 (Amérique du Nord 2014) On étudie la biodiversité chez le pouillot verdâtre (petit oiseau appartenant au genre Phylloscopus). On distingue en Asie, huit populations d oiseaux réparties en 5 espèces identifiables par de faibles variations morphologiques. On constate que les populations géographiquement proches sont interfécondes, sauf les populations appartenant aux deux espèces Phylloscopus viridanus et Phylloscopus plumbeitarsus. A partir des documents et de l utilisation des connaissances, décrire les mécanismes permettant de comprendre pourquoi ces deux espèces géographiquement proches ne peuvent pas se reproduire entre elles.
3 Populations : ensemble d individus appartenant à la même espèce (interféconds) mais vivants dans des conditions particulières Espèce : individus présentant des caractéristiques communes, pouvant se reproduire et donnant une descendance fertile, issu d une espèce préexistante et présentant une évolution dans le temps (apparition, évolution, disparition) PB : on s interroge sur les mécanismes qui ont conduit à ce que les espèces géographiquement proches de P. v et P. p ne soient pas interfécondes. Document 1 : répartition de différentes populations de pouillots Document 1a : répartition des populations appartenant aux 5 espèces actuelles de pouillot verdâtre autour du plateau Tibétain Document 1b : répartition d anciennes populations de pouillot verdâtre autour du plateau Tibétain Sur la carte du document 1a, la zone A représente l aire de répartition d une population de pouillots qui a aujourd hui disparu suite à la déforestation. La zone B représente l aire de répartition de la population initiale des pouillots, à partir de laquelle des migrations ont eu lieu. On voit : - Qu il existe 5 espèces de Pouillot (P.v ;P.l ; P.t ; P.o ; P.p ;) non interfécondes mais ne présentant que de très faibles variations morphologiques, distribuées de façon circulaire autour de l Himalaya - Les 3 premières présentent une diversification en 2 populations chacune, localisées à chaque extrémité de leur aire de répartition. - l aire de répartition de la population d origine (P.t) est située au sud de l Himalaya, elle s est ensuite étendue par migration vers l est et l ouest où elle s est diversifiée en 2 populations (5, 6) puis 1 nouvelle espèce (plus d interfécondité (à P.l) etc Connaissances à déduction Je sais que lorsque des populations : ensemble d individus appartenant à la même espèce (interféconds) mais vivants dans des conditions particulières, se retrouvent isolées géographiquement (ou autre) cela se traduit par un isolement reproducteur qui finit par entraîner une évolution indépendante de la structure génétique des populations (fréquence des allèles), et une perte de l interfécondité à nouvelles espèces = spéciation. J en déduis que les migrations des pouillots depuis le sud ont été contraintes par la barrière himalayenne. Les populations se sont progressivement suffisamment isolées géographiquement pour
4 entraîner une spéciation. Lorsque les 2 flux migratoires (Ouest et Est) se sont rejoints au Nord, les 2 espèces P.v et P.p, bien que désormais proche géographiquement n étaient plus interfécondes. Mais quel mécanisme a été responsable de la diversification graduelle des populations? Document 2 : méthode d étude des chants des pouillots La biodiversité des pouillots verdâtres est caractérisée par de faibles variations morphologiques, mais aussi par des variations du chant. On appelle «sonogrammes» les enregistrements du chant des oiseaux. Les chants des mâles sont constitués de séquences sonores qui se répètent. Afin de rendre l exploitation de ces enregistrements plus pratique, les séquences sonores identiques ont été remplacées par des lettres de l alphabet. Plus les lettres sont proches alphabétiquement plus les échantillons sonores sont proches. Les oiseaux peuvent communiquer entre eux si les sonogrammes sont proches. Nous savons que le chant des oiseaux s acquière par imitation au contact des adultes et joue un rôle fondamental dans la reproduction et la défense du territoire La diversification des chants, lié à un éloignement géographique peut expliquer une diversification du vivant suffisant pour induire une spéciation. Document 3 : sonogrammes des 8 populations des 5 espèces étudiées de pouillots verdâtres On a enregistré les chants de pouillots verdâtres mâles de 8 populations localisées dans différents lieux autour du plateau tibétain (voir carte document 1a). Chaque population a un chant caractéristique formé par l association de 1 à 3 séquences sonores différentes. Le pouillot verdâtre mâle utilise son chant pour défendre son territoire et attirer la femelle. L étude du comportement sexuel montre que pour s accoupler les oiseaux se reconnaissent par leur chant. Plus on s éloigne de la zone d origine des pouillots, plus le chant présente de différences, tant au niveau des séquences que de leur répétition. Population d origine Je sais que le chant joue un rôle fondamental dans la reproduction J en déduis qu au fur et à mesure de l éloignement les modifications du chant se sont accentuées ont entraîné un un isolement reproductif / les femelles ne reconnaissent plus les chants des mâles, l accouplement n est plus possible. Les flux génétiques se sont interrompus et les populations ont évolué indépendamment.
5 Les populations 1 et 8 bien que proches géographiquement, présentent un chant très différents : la reproduction n est plus possible : Spéciation. Le pouillot verdâtre (Phylloscopus trochiloides) est un petit oiseau d une dizaine de centimètres, que l on trouve dans les forêts d Asie centrale et de Sibérie. Dans ces régions, on distingue plusieurs sousespèces de pouillot verdâtre, qui diffèrent par leur plumage et leur chant,(doc3) mais surtout par leur implantation géographique. (Doc1) Quand on compare deux sous-espèces voisines géographiquement, on retrouve un certain nombre de caractères communs : les allures des plumages et la structure des chants sont proches par exemple. D ailleurs la reproduction entre deux sous-espèces voisines géographiquement est possible : elles sont interfécondes. Mais deux des sous-espèces concernées, viridanus et plumbeitarsus, situées au nord du plateau tibétain. En effet bien que voisines géographiquement, ces deux sous-espèces ont des caractères physiques significativement différents, des chants bien distincts,(doc3) et surtout elles ne peuvent pas se reproduire entre elles (Doc 1). Tout cela alors qu elles partagent parfois le même territoire. D où vient cette particularité? La reconstitution de l histoire du pouillot verdâtre permet d expliquer ce phénomène. Le pouillot verdâtre a très probablement commencé à se développer au sud du plateau tibétain, là où se situe actuellement la sous-espèce trochiloides. Puis l espèce s est étendue à la fois vers l est et vers l ouest, avec de chaque côté de petites variations génétiques. Le plateau tibétain constituant un obstacle naturel infranchissable, les deux branches «Est» et «Ouest» se sont développées indépendamment, ont progressé vers le nord, puis ont fini par se retrouver en Sibérie, au nord du plateau tibétain, en l ayant contourné chacune par son côté. Mais au cours de ce voyage de l évolution, les divergences génétiques progressives des deux branches ont finalement donné naissance à deux sous-espèces suffisament éloignées pour ne plus être interfécondes = SPECIATION. C est pourquoi sur le territoire situé au nord du plateau tibétain, on retrouve ces deux sous-espèces qui ne se reproduisent pas entre elles. (Doc 1). Le pouillot verdâtre est un des très rares exemples connus d espèce en anneau. Il s agit une espèce formée d un continuum de populations, chacune pouvant se reproduire avec ses voisines, mais dont les sous-espèces situées aux extrémités sont suffisamment éloignées pour ne plus être interfécondes. Ces espèces en anneau sont rares et surviennent typiquement autour d un obstacle géographique naturel. Le pouillot verdâtre pose un problème de fond aux biologistes, car son exemple (et celui des autres espèces en anneau) rend difficile la définition du concept même d espèce. En effet on considère généralement qu une espèce est un groupe d individus interféconds. Si deux individus ne sont pas interféconds, ils appartiennent à des espèces différentes. Cela paraît simple! Sauf qu on se rend bien compte que dans le cas du pouillot verdâtre une telle classification est impossible. Une vidéo : Un autre exemple : la salamandre : Pour aller plus loin : Et l Homme dans tout ça? De manière intéressante, l idée de l espèce en anneau a récemment été avancée pour expliquer la disparition de l homme de Neandertal. En effet cette disparition semble être liée à la présence en Europe de l homme de Cro Magnon, qui arrivait, lui depuis, l Afrique. Deux théories s affrontent traditionnellement sur le sujet : celle de l assimilation de Neandertal par Cro Magnon (qui suppose l interfécondité entre les deux) et celle de la disparition de Neandertal à cause de la compétition avec Cro Magnon. La solution proposée récemment par le paléontologiste Jean-Luc Voisin du Muséum d Histoire Naturelle semble réconcilier ces deux théories : selon lui, l homme de Neandertal aurait évolué comme une espèce en anneau étirée depuis le Moyen-Orient jusqu en Europe de l Ouest. La sous-espèce moyen-orientale de Neandertal aurait alors pu rester interféconde avec Cro Magnon et être assimilée, alors que celle d Europe de l Ouest aurait développé des caractères trop éloignés (trop «néanderthalien»), rendant l assimilation par Cro Magnon impossible, et conduisant à sa disparition par compétition.
Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailQUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants?
avec la collaboration du Centre de vulgarisation de la connaissance, université Paris-XI QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME Vingt questions pour tester vos connaissances Le niveau 1 comporte
Plus en détailRésumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailFeuille d exercices 2 : Espaces probabilisés
Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailMonitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace
Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace Description du projet Le programme de «Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares» (appelé aussi «SI»
Plus en détailSarcelle d été. Anas querquedula
Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailDocument d aide au suivi scolaire
Document d aide au suivi scolaire Ecoles Famille Le lien Enfant D une école à l autre «Enfants du voyage et de familles non sédentaires» Nom :... Prénom(s) :... Date de naissance :... Ce document garde
Plus en détailChristophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 Page 1
Christophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 age 1 1. Introduction 2. rocessus du DataMining 3. Analyse des données en DataMining 4. Analyse en Ligne OLA 5. Logiciels 6. Bibliographie Christophe
Plus en détailLes 6 sous-stades. La période sensori-motrice. Le stade réflexe. Coordination main/bouche. Du réflexe au schème: exemple du réflexe de succion
Les 6 sous-stades La période sensori-motrice La construction de l intelligence à partir des sens, de l action et des déplacements I. Stade réflexe du premier mois II. Stade des réactions circulaires primaires
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailThème 2 : Cycle de vie des projets d innovation: ambigüité, incertitude, production de savoir et dynamisme
Thème 2 : Cycle de vie des projets d innovation: ambigüité, incertitude, production de savoir et dynamisme Serghei Floricel Dans l introduction nous avons mentionné que les projets d innovation suivent
Plus en détailFICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Opérateur de prises de vue Version 1 «Opérateur de prises de vue» APPELLATION(S) DU METIER Opérateur de prises de vue vidéo Cadreur Pointeur vidéo DEFINITION DU METIER L'opérateur de prises de vue assure
Plus en détailLa place de l'homme parmi les vertébrés.
La place de l'homme parmi les vertébrés. Les caractères dérivés dans l'arbre des vertébrés. En parcourant l'arbre, à chaque nœud, on voit apparaître un caractère nouveau, plus évolué, (on l'appelle caractère
Plus en détailun très vieux parent!
Le parcours des objets,... de la fouille au musée! Dessin : Sonia Souvenir CEDARC Tous les objets présentés dans le musée ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Ils ont été dégagés de la terre,
Plus en détailB.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché
B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1
Plus en détailLa Reine des fourmis a disparu
La Reine des fourmis a disparu Séance 1 : Découverte de la couverture. Montrer l album sans rien dire. La couverture est cachée par 12 petits cartons sur lesquels sont proposés des indices. Chaque indice
Plus en détailMON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1
Nom : Prénom :.. MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Récapitulatif pour la validation du Diplôme National du Brevet (Attestation du Niveau A2 en Langue Vivante) : ACTIVITES
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.378 Liège, le 13 mars 2006 Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT Avis du CWEDD portant
Plus en détailActualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht
Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans
Plus en détailUne école au Togo, épisode 1/4
Une école au Togo, épisode 1/4 Thèmes Éducation, formation Concept Ce documentaire présente la situation de l école primaire au Togo. Contenu Pour visionner le documentaire Une école au Togo, allez sur
Plus en détailNom de l application
Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique
Plus en détailNicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi
Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S Les Phéromones de la Fourmi 1 Introduction... p.3 Comment les fourmis communiquent-elles entre elles? I. Mise en évidence des phéromones p.4 Expérience avec
Plus en détailPlan de la présentation
Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailRepères historiques MUSIQUE ET VARIATION. Objectifs. Léonard de Vinci W.A.Mozart G.Bizet
MUSIQUE ET VARIATION Objectifs A être auditeur, interprète et créateur. A décrire, identifier et caractériser les éléments constitutifs du phénomène musical. A écouter sa production pour la corriger et
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailVoix parlée, voix lyrique. Vocabulaire
Mythes et musique. Quelques éléments de compréhension Cette séquence intervient en fin d année scolaire et permet une transversalité avec les cours d histoire et de français. Elle revient sur deux mythes
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailCodage d information. Codage d information : -Définition-
Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale
Plus en détailALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST
ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX
Plus en détailSEMAINE DES MATHEMATIQUES
SEMAINE DES MATHEMATIQUES Titre de l'activité Découverte de la suite de Fibonacci ou cinq activités à traiter simultanément : les billes, les escaliers, les étages peints, les fauxbourdons, les lapins
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailGUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES
GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailProtocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot
Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution
Plus en détailExercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) :
Eercice a Développer les epressions suivantes : A-(-) - + B-0(3 ²+3-0) -0 3²+-0 3+00 B -30²-30+00 C-3(-) -3 + 3-3²+6 D-(-) + ² Eerciceb Parmi les epressions suivantes, lesquelles sont sous forme réduite?
Plus en détailGUIDE DE L ENSEIGNANT
Au ménage! GUIDE DE L ENSEIGNANT 2010-2011 -1- Description de la situation d apprentissage Préparation Activité 1 À leur entrée en classe, les élèves découvrent quatre bouteilles sur le bureau de l enseignante
Plus en détailSUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires
SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires IMPORTANT : L objectif de la présente note technique n est pas de se substituer à l ouvrage «Alimentation électrique de sites isolés» mais de fournir des
Plus en détailDEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE
Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailCinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine
14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction
Plus en détailLe processus du développement économique
DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)
ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille
Plus en détailDes disques réalisés avec les artistes de la scène actuelle Chaque album est l adaptation de la version scénique d un projet.
Tout ce qu il faut savoir sur oui dire éditions Une maison dédiée à l art du conte et aux conteurs «On appelle conteur ou conteuse, celui ou celle qui raconte oralement une histoire sans support autre
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailConvention N 2013/P1/MMSH/015
1 sur 10 CONVENTION DE PARTENARIAT Convention N 2013/P1/MMSH/015 Entre L université d Aix-Marseille Etablissement public national à caractère scientifique, culturel et professionnel Jardin du Pharo, 58,
Plus en détailCHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises
72 CHAPITRE IV 1. La grande distribution française 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises La distribution française est une des plus importantes au niveau mondial, en raison de
Plus en détailAlarme domestique- Présentation
STI2D PROJET SIN Alarme domestique- Présentation Document réponses Séquence découverte Le fonctionnement du système d alarme domestique: (Démarche d investigation) Après avoir fait une présentation de
Plus en détailLes jeunes non mariés
Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non
Plus en détailPhotos et Droit à l image
Photos et Droit à l image 1) Le droit à l image (photos-vidéos) L atteinte au droit à l image n est pas caractérisée dès lors que la personne photographiée n est pas identifiable et que sa vie privée n
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailJUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Thème de la journée de consultation : Loyauté dans l environnement numérique Junior ESSEC 09/01/2015
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée Compte-rendu de l atelier 3 : Surveillance et lutte contre la criminalité en ligne Thème de la journée de
Plus en détailLe Cadre Européen des Certifications: les principaux défis. Manuela Bonacci Roma, le 9 juin 2010
Le Cadre Européen des Certifications: les principaux défis Manuela Bonacci Roma, le 9 juin 2010 1 Intégrations Europass ECTS ECVET CEC (EQF) Validation Système des crédits Cadre National des Certifications
Plus en détailCHAPITRE 2. Population, ménages et familles
CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de
Plus en détailCahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite
Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailMISE EN SERVICE D UN RESEAU DE CAMERA DE VIDEOSURVEILLANCE
ACTIVITE de FORMATION ACTIVITE : MISE EN SERVICE D UN RESEAU DE CAMERA DE VIDEOSURVEILLANCE CONDITIONS D EXERCICE - Moyens et Ressources @ TAXONOMIE 1 2 3 4 Internet Logiciel Doc. PC Outillages Matériels
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailComportements (The Observer XT) : activité générale du conducteur : (entre autres) mouvements des mains, position, verbalisations.
Ce document récapitule la participation de Noldus Information Technology à l atelier 1 du workshop ERGO IA (30 juin 1 juillet) : Systèmes Innovants basés sur l émotion pour l analyse des risques ferroviaires
Plus en détailConception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale
Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailÉtat de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central
État de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central Situation en Languedoc-Roussillon Aubrac Espèces Maculinea alcon Maculinea rebeli Maculinea arion autres espèces de papillons Méjean Montagne
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailOUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale
OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS L enseignement doit viser à ce que tous les stagiaires réussissent à acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles compétences. La réussite des stagiaires dépend en
Plus en détailPasseport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi
Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite
Plus en détailFranck Macrez Maître de Conférences au CEIPI, avocat
Jeux vidéos et mesures techniques de protection des œuvres: quelle(s) clarification(s)? (À propos de l arrêt Nintendo) Franck Macrez Maître de Conférences au CEIPI, avocat 1.- «Nintendo c./ PCBox» 1.1.-
Plus en détailAvant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs :
2. Qu est-ce qu un projet commun? Avant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs : le projet a un début et une fin et se structure en
Plus en détail1-3 e Forum Var Eco Biz 5 décembre 2013. 2013 - In Extenso THR
1-3 e Forum Var Eco Biz 5 décembre 2013 Communication & Commercialisation : un univers de plus en plus complexe Influençable Podcasts / Vodcasts Magasins Vitrines Points de vente Sites tiers Conseils d
Plus en détailLe Plan stratégique de l AEWA 2009-2017. L Accord sur la Conservation des Oiseaux d Eau Migrateurs d Afrique-Eurasie (AEWA)
Le Plan stratégique de l AEWA 2009-2017 L Accord sur la Conservation des Oiseaux d Eau Migrateurs d Afrique-Eurasie (AEWA) Accord sur la conservation des oiseaux d eau migrateurs d Afrique-Eurasie (AEWA)
Plus en détailSERIES WIRED MICROPHONE PG ALT A TM PGA27 USER GUIDE. Le Guide de l Utilisateur. 2015 Shure Incorporated 27A27347 (Rev. 3)
PG ALT A TM SERIES WIRED MICROPHONE PGA27 USER GUIDE Le Guide de l Utilisateur 2015 Shure Incorporated 27A27347 (Rev. 3) PGA27 Microphones PG Alta Félicitations pour avoir acheté un microphone de la nouvelle
Plus en détailAtlas géographique de l Internet fixe et mobile en Nouvelle-Calédonie Juin 2014. Réalisé par Malcolm XENIE
Atlas géographique de l Internet fixe et mobile en Nouvelle-Calédonie Juin 2014 Réalisé par Malcolm XENIE Internet en Nouvelle-Calédonie Les secteurs d activités numériques englobent les télécommunications
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits
Plus en détailPlacements sur longue période à fin 2011
Les analyses MARS 2012 Placements sur longue période à fin 2011 Une année 2011 particulièrement favorable aux «valeurs refuges», mais la suprématie des actifs risqués reste entière sur longue période.
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER Objet de la séance 4: définir les termes techniques utilisés par le trésorier
Plus en détailFig. 1 Le détecteur de LHCb. En bas à gauche : schématiquement ; En bas à droite: «Event Display» développé au LAL.
LHCb est l'une des expériences installées sur le LHC. Elle recherche la physique au-delà du Modèle standard en étudiant les mésons Beaux et Charmés. L accent est mis entre autres sur l étude de la violation
Plus en détailDispositif régional Auvergne d Intelligence Economique
APPEL D OFFRES N 01/2015/IE Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique ACCORD CADRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) ARTICLE 1 OBJET DE L ACCORD CADRE Le présent accord-cadre
Plus en détailDispositif régional Auvergne d Intelligence Economique
APPEL D OFFRES N 01/2015/IE Dispositif régional Auvergne d Intelligence Economique ACCORD CADRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) ARTICLE 1 OBJET DE L ACCORD CADRE Le présent accord-cadre
Plus en détail1- LES FONDAMENTAUX DU JEU PAR LES COTES.
JEU PAR LES COTES Utilisation de la largeur. Fondamentaux tactiques >> Fondamentaux Offensifs >> Jeu par les côtés L e jeu actuel voit des équipes s affronter avec une grande densité de joueurs dans l
Plus en détailPrésentation du Laboratoire en médias socionumériques et ludification. Maude Bonenfant Département de communication sociale et publique
Présentation du Laboratoire en médias socionumériques et ludification Maude Bonenfant Département de communication sociale et publique André Mondoux École des médias Le contexte - Groupe de recherche sur
Plus en détailsouscrire un contrat luxembourgeois
souscrire un contrat luxembourgeois Au Grand-Duché, les souscripteurs de contrat d assurance vie ou de capitalisation qui bénéficient d un régime de protection contrôlé par les pouvoirs publics ont, en
Plus en détailCHARTE D UTILISATION DE L INFORMATIQUE AU COLLÈGE PRE-BENIT
CHARTE D UTILISATION DE L INFORMATIQUE AU COLLÈGE PRE-BENIT La présente charte a pour objet de définir les règles d utilisation des moyens et systèmes informatiques du collège PRÉ-BÉNIT. I Champ d application
Plus en détailCAISSE ENREGISTREUSE ELECTRONIQUE SE-G1
AISSE ENREGISTREUSE ELETRONIQUE SE-G PROGRAMMATION SIMPLIFIEE 20/0/204 SOMMAIRE PROGRAMMATION SIMPLIFIEE.... Introduction... 2. Programmation... 4 Initialisation de la caisse :... 4 Programmation de base
Plus en détailRapidolect Les Productions de la Columelle (1998-2006) Page 1
Page 1 Page 2 Logiciel Rapidolect RATIONNEL DU JEU Un bon lecteur possède dans sa tête des images précises des mots écrits qu'il connaît. Lorsqu'il parcourt un texte, ses yeux se déplacent par saccades
Plus en détail4. L assurance maladie
L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large
Plus en détailGuide d'installation et de programmation Serrures modernes levier du clavier
Guide d'installation et de programmation Serrures modernes levier du clavier ASSA ABLOY, le leader mondial en matière de solutions de porte Contenu de la boîte 4a 4b 5 4c 2 4d 1 3 9 6 4 6 7 8 ARTICLE N
Plus en détailÉvaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard
PRÉSENTÉ AU CONGRÈS DE L ASSOCIATION DES ÉVALUATEURS MUNICIPAUX DU QUÉBEC, LE 28 MAI 2011 Évaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard Terrains contaminés 2 Terrains contaminés
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détail