Actions de contact entre solides Liaisons
|
|
- Arlette Paquin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPIRE 13 Actions de contact entre solides Liaisons 13.1 LOIS DU CONAC ENRE SOLIDES Introduction Pour déplacer sur le sol un solide (armoire, caisse (figure 13.1), etc.) il est nécessaire d'exercer une action mécanique suffisante pour vaincre l'action exercée par le sol sur le solide, action qui s'oppose à tout mouvement du solide sur le sol. Les actions de contact entre solides sont de caractère inter-moléculaire et ne se manifestent qu'à cette échelle. Elles ne s'exercent donc qu'à des distances extrêmement faibles, d'où leur nom d'actions de contact. De ce fait, les actions de contact sont très sensibles à l'état des surfaces en contact. Par ailleurs, les actions de contact dépendent des autres actions mécaniques exercées. Par exemple, il est plus difficile de tirer la caisse remplie que la caisse vide. Les phénomènes de contact sont complexes, et les lois du contact que nous énoncerons ne sont qu'approchées. Elles constituent toutefois une approche satisfaisante dans de nombreux problèmes mettant en jeu des actions de contact entre solides. FIGURE Déplacement d'une caisse.
2 13.1 Lois de contact entre solides Contact ponctuel Lois du contact ponctuel Soit deux solides et (), en contact au point P à un instant donné (figure 13.2). En fait le contact se fait suivant des surfaces de dimensions très faibles et peut être assimilé à un contact ponctuel. Les deux solides étant supposés indéformables et impénétrables, ils sont tangents en P. Nous sommes dans le schéma cinématique étudié au chapitre 10 (paragraphe ). Du fait du contact des deux solides en P, le solide () exerce sur le solide une action de contact représentée par le torseur { C S}. Les lois du contact ponctuel sont les suivantes : 1ère loi L'action de contact exercée par le solide () sur le solide est une force dont la ligne d'action passe par le point de contact P. Le torseur { C S} est donc un glisseur d'axe passant par le point de contact P. En particulier : M P{ C S } = 0. (13.1) L'étude expérimentale des phénomènes de contact montre que la résultante de l'action de contact exercée par le solide (), n'est pas, comme les actions à distance, connue ou calculable à priori, mais dépend des autres actions mécaniques exercées sur. L'action de contact doit toutefois vérifier certaines conditions exprimées dans des lois que nous énonçons ci-après. P () FIGURE Solides en contact ponctuel.
3 188 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons La force de contact exercée par le solide () sur le solide est décomposée en deux forces : une force de résultante Rt, appelée force de résistance au glissement ou force de frottement, dont la ligne d'action est contenue dans le plan tangent en P aux deux solides ; une force de résultante Rn appelée force de contact normale, dont la ligne d'action est la droite normale en P au plan tangent. La résultante de l'action de contact s'écrit ainsi : R{ C S } = Rt + Rn. (13.2) 2ème loi Si le vecteur n est le vecteur directeur unitaire de la normale en P orientée du solide () vers le solide, dans tous les cas où et () ne sont pas collés au point P, on a : R = R n, avec R 0, (13.3) n n n où R n est la composante de la force de contact normale. Cette loi exprime le fait que la force de contact normale s'oppose à la pénétration du solide dans le solide (). La représentation symbolique de la force de contact est reportée sur la figure ème loi ou loi de Coulomb Il existe un coefficient f positif appelé coefficient de frottement réciproque de sur (), dépendant des matériaux dont sont constitués et (), dépendant de l'état des surfaces en contact, mais indépendant des mouvements ou de l'équilibre de et de (), tel que soit vérifiée à chaque instant la condition : R fr. (13.4) t n R Rn n Rt P plan tangent () FIGURE Composantes normale et tangentielle de la force de contact.
4 13.1 Lois de contact entre solides 189 Cette loi doit être précisée de la manière qui suit : Si le solide glisse sur (), donc si sa vitesse de glissement n'est pas nulle v ( Pt, ) = M 0, (13.5) gs P { V } d'une part, c'est l'égalité qui est vérifiée : Rt = frn, (13.6) ( d'autre part, Rt et v ) gs( Pt, ) sont colinéaires et de signes opposés : R v ( P, t) = 0, R v ( P, t) < 0. (13.7) t gs Si le solide ne glisse pas sur (), donc si sa vitesse de glissement est nulle : v ( Pt, ) = M = 0, (13.8) gs c'est l'inégalité qui est vérifiée : R t < P t S gs { V } fr n S. (13.9) Ce qui précède peut également se traduire en disant que, tant que l'inégalité (13.9) est vérifiée, le solide ne peut pas glisser sur le solide (). Le glissement ne se produit que lorsque les autres actions exercées sur le solide sont assez grandes pour que soit vérifiée la relation (13.6). Le solide glisse alors sur (), la force de frottement étant opposée au vecteur vitesse de glissement au point P. En outre, pour une valeur donnée de R n, l'égalité (13.6) est d'autant plus facilement réalisée que f sera petit. Ce résultat s'exprime en disant que "plus le coefficient de frottement est faible, plus le glissement est aisé". Des ordres de grandeurs peuvent être données pour le coefficient de frottement suivant la nature des solides en contact : bois sur bois : 0,3 à 0,5 ; acier sur bois : 0,25 ; bronze sur bronze : 0,2 ; acier sur acier : 0,15 ; garniture de frein sur tambour d'acier : 0,4 ; pneu sur chaussée : 0,2 à 0, Corrections à la loi de Coulomb Les lois de frottement solide ne sont applicables qu'au cas du frottement sec (non lubrifié) entre deux solides. La loi de Coulomb fournit généralement une approche qualitative satisfaisant aux phénomènes de frottement sec. Si les résultats quantitatifs qu'on en tire ne sont pas toujours en accord avec les valeurs mesurées, cela résulte du fait que le coefficient de frottement est très sensible à l'état de surface des matériaux en contact, à des traces d'humidité ou de lubrifiants, etc., et cela variant d'une région à l'autre des solides en contact. En
5 190 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons outre le coefficient de frottement dépend de la température des parties en contact, or le frottement les échauffe, d'où une diminution du coefficient de frottement. L'importance de cet effet est mis en évidence dans le comportement du freinage d'une automobile. Le coefficient f dépend également dans une certaine mesure de la composante normale R n. Enfin, le coefficient de frottement dépend de la vitesse de glissement. Une manière assez simple de tenir compte de la dépendance du coefficient de frottement vis à vis de la vitesse consiste à prendre deux valeurs différentes pour les deux éventualités de la loi de Coulomb : un coefficient de frottement au repos f r et un coefficient de frottement de glissement f g, de valeur inférieure à celle du coefficient au repos. Cette distinction entre les deux conditions de frottement permet alors de rendre compte d'effets usuels. Par exemple, un solide se trouve en équilibre sur un plan incliné. Dans le cas d'un équilibre précaire, une très faible impulsion suffit pour rompre l'équilibre, le corps ayant ensuite un mouvement de glissement accéléré. Si le plan est horizontal, un effort plus élevé est nécessaire pour faire bouger le solide que celui nécessaire pour le déplacer ensuite Puissance développée La puissance développée dans le repère () par l'action exercée sur le solide, en contact ponctuel en P avec () est, d'après (11.13) : C C { } ( ) { } { } ( ) P S = S V. (13.10) Soit, exprimée au point de contact P : { } { } P S = R S gs ( P, t ) ou encore puisque v gs ( Pt, ) est orthogonal à Rn : { } P C S = Rt v ( P, t ). (13.12) S C C v, (13.11) La puissance développée par la force de contact normale est nulle. La puissance se réduit à celle développée par la force de frottement. D'après la loi de Coulomb cette puissance est négative ou nulle. gs Contact sans frottement Si le frottement est nécessaire dans certains cas (marche sur le sol, entraînement d'une automobile, etc.), dans d'autres cas il est nécessaire de le diminuer le plus possible afin de diminuer l'énergie dissipée par frottement et d'éviter une usure prématurée des pièces en contact. Dans le cas extrême où le coefficient de frottement est nul, on dit que le contact a lieu sans frottement ou que le contact est parfait au point de contact considéré.
6 13.1 Lois de contact entre solides 191 Dans un tel schéma, nous avons : Rt = 0 et R{ C S} = Rn. (13.13) Le solide () n'exerce sur qu'une action de contact normale. La moindre action exercée sur le solide produira un glissement du solide. D'autre part, l'expression (13.12) montre que la puissance développée est nulle. En conclusion, nous dirons que le contact entre deux solides est parfait ou sans frottement au point P, si et seulement si l'une des conditions équivalentes suivantes est vérifiée : le coefficient de frottement est nul, l'action de contact est normale en P aux deux solides, la puissance développée par l'action de contact est nulle. Ce schéma de contact parfait reste toutefois un schéma idéal, vers lequel on tend à se rapprocher en polissant les surfaces en contact et en les lubrifiant Couples de roulement et pivotement Introduction Dans le paragraphe précédent, nous avons étudié le cas d'un contact ponctuel pour lequel l'action de contact peut être réduite à une force de contact. Dans la pratique, le contact entre les deux solides se fait suivant une surface localisée de centre P. L'action de contact exercée doit alors être décomposée au point P, en une force de contact, dont les propriétés ont été étudiées dans le paragraphe précédent, et un couple de contact de vecteur-moment M égal au moment en P de l'action de contact : M= M P{ C S}. (13.14) Comme la force de contact (relation (13.2)), le couple est décomposé en deux couples : un couple de résistance au roulement de vecteur-moment M t, dont la direction est contenue dans le plan tangent en P aux deux solides ; un couple de résistance au pivotement de vecteur-moment M n de direction orthogonale au plan tangent. Le vecteur-moment s'écrit ainsi : M= M + M. (13.15) Les propriétés des couples de contact sont complexes. Des lois semblables à la loi de Coulomb sont cependant formulées pour une analyse qualitative des phénomènes de roulement et de pivotement. t n
7 192 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons Lois du roulement Le schéma généralement retenu est le suivant. Si le solide ne roule pas sur (), donc si le vecteur rotation de roulement (paragraphe ) est nul : ( ) ω = 0, (13.16) St le moment du couple de résistance au roulement vérifie l'inégalité : M < hr. (13.17) t Si le solide roule sur (), soit si : ( ) ωst 0, (13.18) d'une part : M t = hr n, (13.19) ( ) d'autre part M t et ωst sont colinéaires et de signes opposés. Le paramètre h est appelé coefficient de résistance au roulement. Il a la dimension d'une longueur Lois du pivotement Les lois du pivotement peuvent être énoncées de la même manière en remplaçant dans les lois du roulement ( ) ωst et M t, respectivement par le vecteur ( ) rotation de pivotement ωsn et par le moment M n du couple de résistance au pivotement, et en introduisant un coefficient de résistance au pivotement. Notons que la résistance au pivotement résulte de la résistance au glissement des surfaces en contact. Elle est donc une fonction du coefficient de frottement et des dimensions des éléments en contact. Cette fonction est toutefois difficile à expliciter. n Introduction 13.2 LIAISONS Les mouvements d'un solide par rapport à un repère (), dont nous avons étudié la cinématique au chapitre 9, sont obtenus en réalisant une liaison entre les solides et (). Cette liaison est réalisée en mettant en contact des surfaces des solides et (), le contact ayant lieu suivant un arc de courbe ou une surface. L'action de contact exercée par le solide () sur le solide résulte des actions de contact exercées en chaque point de l'arc de courbe ou de la surface de contact. Cette action de contact est généralement appelée action de liaison. Elle est représentée par un torseur que nous noterons L. { } S
8 13.2 Liaisons Classification des liaisons Liaisons simples Deux solides et () sont liés par une liaison simple, s'ils sont en contact suivant deux surfaces géométriques élémentaires, l'une appartenant à, l'autre à (). Nous nous limiterons dans ce chapitre aux surfaces élémentaires : plan, cylindre de révolution et sphère. Ces surfaces sont simples à réaliser, ce ne sont toutefois pas les seules surfaces élémentaires utilisées. Par mise en contact de ces surfaces, nous obtenons six liaisons simples : plan cylindre sphère plan appui plan appui linéique appui simple cylindre sphère liaison verrou (ou pivot glissant) liaison gouttière liaison rotule (ou liaison sphérique) Les schémas des ces liaisons, avec leurs symboles, sont représentés sur les figures 13.4 à Appui plan (figure 13.4) Les surfaces en contact sont planes. Le solide a, par rapport au solide (), 3 degrés de liberté : 2 degrés en translation et 1 en rotation. Appui linéique (figure 13.5) Les solides sont en contact suivant un segment de droite. Le solide a, par rapport au repère (), 4 degrés de liberté : 2 en translation et 2 en rotation. () () FIGURE Appui plan.
9 194 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons () () FIGURE Appui linéique. () () FIGURE Appui simple. Appui simple (figure 13.6) Les solides sont en contact en un point. Le solide a 5 degrés de liberté : 2 en translation et 3 en rotation. Liaison verrou (ou pivot glissant) (figure 13.7) Les solides sont en contact suivant un cylindre. Le solide a, par rapport à (), 2 degrés de liberté : 1 en translation et 1 en rotation. Liaison gouttière (figure 13.8) Les solides sont en contact suivant un cercle. Le solide a 4 degrés de liberté : 1 en translation et 3 en rotation. Liaison rotule (ou liaison sphérique) (figure 13.9) Les solides sont en contact suivant une sphère. Le solide possède 3 degrés de liberté en rotation.
10 13.2 Liaisons 195 () () FIGURE Liaison verrou. () () FIGURE Liaison gouttière. () () FIGURE Liaison rotule.
11 196 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons () l 1 l 2 l 3 FIGURE Représentation symbolique d'une liaison composée Liaisons composées Deux solides et () sont liés par une liaison composée, si la liaison est réalisée à l'aide de plusieurs liaisons simples. Une liaison composée peut être représentée symboliquement par le schéma de la figure 13.10, où l 1, l 2, l 3,..., sont des liaisons simples. Exemples de liaisons composées Une liaison rotoïde (ou liaison pivot) peut être réalisée par exemple à l'aide d'une liaison verrou et d'une rotule (figure 13.11a), ou à l'aide de deux rotules (figure 13.11b). Le solide possède, par rapport au solide (), 1 degré de liberté en rotation. Une liaison prismatique (ou glissière) peut être réalisée (figure 13.12) à l'aide de deux appuis plans. Le solide possède 1 degré de liberté en translation Liaisons complexes Deux solides et () sont liés par une liaison complexe, si la liaison est réalisée par l'intermédiaire d'un ou plusieurs solides. Une liaison complexe est symbolisée sur le schéma de la figure 13.13a. Les solides et () sont liés par l'intermédiaire des solides (S 1 ) et (S 2 ), liés les uns (a) () () (b) (c) () FIGURE Liaison rotoïde.
12 13.2 Liaisons 197 () () FIGURE Liaison prismatique. aux autres par des liaisons l 1, l 2, l 3. La figure 13.13b donne un exemple de liaison complexe : les solides et () sont liés par l'intermédiaire d'une liaison verrou, d'une rotule et d'une liaison rotoïde, les axes des liaisons verrou et rotoïde étant concourants au centre de la rotule Actions de liaison Généralités Les éléments de réduction en un point P de l'action de liaison exercée par le i, j, k suivant : R{ L( S) } = Xl i + Ylj + Zlk, (13.20) MP{ L( S) } = Ll i + Mlj + Nlk. solide () sur le solide peuvent être exprimés dans une base L'action de liaison, et par conséquent les composantes X l, Y l, Z l, L l, M l et N l l 3 l 2 (S 2 ) (S 1 ) l 1 () (a) () (b) FIGURE Liaison complexe.
13 198 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons dépendent des autres actions mécaniques exercées sur le solide. outefois pour résoudre les problèmes de mécanique des solides, il est nécessaire d'introduire des hypothèses sur certaines composantes suivant la nature physique des liaisons : liaison sans frottement, liaison avec frottement sec ou liaison avec frottement visqueux Puissance développée par les actions de liaison La puissance développée dans le repère () par l'action de liaison exercée par le solide () sur le solide est d'après (11.13): ( ) { } { P L S = L S } V, (13.21) { } { } S où V S est le torseur cinématique relatif au mouvement du solide par rapport au solide (). En introduisant les éléments de réduction en P de l'action de liaison (13.20), la relation précédente s'écrit : { } { } { } { P L S = R L S M P VS + M P L S } R{ V S }, (13.22) ou P S = R S v ( P, t) + M S ω, (13.23) { L } { L } P{ L } S en introduisant le vecteur vitesse du point P et le vecteur rotation instantané Liaison sans frottement Schéma de liaison parfaite De manière à réduire l'énergie dissipée et à diminuer l'usure des surfaces en contact, il est nécessaire de réaliser des surfaces telles que le contact en chaque point se rapproche le plus possible d'un contact parfait. Nous dirons qu'une liaison entre deux solides est parfaite, si le contact entre deux solides est parfait en tout point. Par extension des résultats établis au paragraphe , nous déduisons alors : Une liaison est parfaite, si et seulement si la puissance développée par l'action de liaison est nulle. Nous prendrons cette propriété comme définition d'une liaison parfaite. Le modèle de liaison parfaite n'est toutefois qu'un modèle idéalisé, vers lequel on tend généralement à s'approcher dans les réalisations technologiques Liaison rotoïde Dans le cas d'une liaison rotoïde, le solide est animé, par rapport au repère (), d'un mouvement de rotation autour de l'axe de liaison rotoïde. Ce mouvement a été étudié au paragraphe Le solide possède un degré de liberté en
14 13.2 Liaisons 199 rotation ψ et le torseur cinématique est défini (paragraphe ) par ses éléments de réduction en un point O S quelconque de l'axe de rotation : R{ VS } = ωs = ψ k, (13.24) MO { } S VS = v ( OS, t) = 0. La puissance développée, dans le repère (), par l'action de liaison est d'après (13.23) : P S = M S ω = Nψ { L } O { L }. (13.25) S S l La condition de liaison parfaite s'écrit donc : ( ) P { L ( S) } = Nψ l = 0, ψ. (13.26) Soit : N l = 0. (13.27) D'où le résultat : Si le solide est lié au solide () par une liaison rotoïde parfaite, d'axe de vecteur directeur k, l'action exercée par () sur est représentée par un torseur ayant dans une base ( i, j, k ) : une résultante quelconque de composantes X l, Y l, Z l ; un moment en un point quelconque de l'axe de la liaison rotoïde orthogonal à la direction de cet axe, donc de composantes L l, M l, 0. Nous écrivons ce résultat sous la forme : L ( S) = X, Y, Z, L, M, 0, (13.28) { } { } O l l l l l S OS où O S est un point quelconque de l'axe de la liaison rotoïde. Les composantes X l,..., M l, dépendent des autres actions mécaniques exercées sur le solide Liaison prismatique Dans le cas d'une liaison prismatique, le solide est animé d'un mouvement de translation rectiligne. Si i est la direction de la liaison prismatique, le solide possède un degré de liberté en translation x (abscisse d'un point P quelconque du solide ). Les éléments de réduction au point P du torseur cinématique sont : R{ VS } = ωs = 0, (13.29) MP{ V } (, ), S = v Pt = xi P S. La puissance développée, dans le repère (), par l'action de liaison est : P S = R S v ( P, t ) = X x { L } { L }. (13.30) l La condition de liaison parfaite s'écrit donc : X = 0. (13.31) l
15 200 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons D'où le résultat : Si le solide est lié au solide () par une liaison prismatique parfaite de direction i, l'action exercée par () sur est représentée par un torseur ayant dans une base ( i, j, k ) : une résultante orthogonale à i, donc de composantes 0, Y l, Z l,; un moment quelconque de composantes L l, M l, N l quel que soit le point du solide. Soit donc : L ( S) = 0, Y, Z, L, M, N, (13.32) { } { } P l l l l l P où P est un point quelconque du solide Liaison verrou Dans le cas où le solide est lié au solide () par une liaison verrou de direction k, le solide possède (paragraphe 9.4.3) un degré de liberté en translation z (abscisse d'un point O S quelconque de l'axe du verrou) et un degré de liberté en rotation ψ. Les éléments de réduction au point O S du torseur cinématique (relations (9.66) et (9.67)) sont : R{ VS } = ωs = ψ k, (13.33) MO { } S VS = v ( OS, t) = zk. La puissance développée, dans le repère (), par l'action de liaison est d'après (13.23) : ( ) P L ( S) = Z z + Nψ (13.34) { } l l La condition de liaison parfaite s'écrit donc : Zz l+ Nlψ = 0, z, ψ. (13.35) Soit : Zl = 0, Nl = 0. (13.36) D'où le résultat : Si le solide est lié au solide () par une liaison verrou parfaite d'axe de direction k, l'action exercée par () sur est représentée par un torseur ayant dans une base ( i, j, k ) : une résultante de composantes X l, Y l, 0 ; un moment de composantes L l, M l, 0, en un point quelconque de l'axe de la liaison verrou. Ce résultat peut être écrit sous la forme : L ( S) = X, Y, 0, L, M, 0, (13.37) { } { } O l l l l S OS où O S est un point quelconque de l'axe de la liaison verrou. Les composantes X l, Y l, L l, et M l dépendent des autres actions mécaniques exercées sur le solide.
16 13.2 Liaisons Liaison rotule Dans le cas où le solide est lié au solide () par une liaison rotule de centre A, le solide possède trois degrés de liberté en rotation. Le mouvement de est un mouvement de rotation autour d'un point (paragraphe 9.4.4) et le torseur cinématique s'exprime en A suivant : R{ VS } = ωs = ψk + θi3 + ϕks, (13.38) MA{ V } = v ( At, ) = 0. La condition de liaison parfaite s'écrit : P S = M S ω = 0 S { L } A{ L }. (13.39) S Cette condition doit être vérifiée quel que soit le mouvement de rotation du solide ( ), donc quel que soit le vecteur rotation ωs. La condition de liaison parfaite s'écrit donc ici : MA{ L ( S )} = 0. (13.40) D'où le résultat : Si le solide est lié au solide () par une liaison rotule parfaite de centre A, l'action de liaison exercée par () sur est une force dont la ligne d'action passe par le centre A de la rotule. Les composantes de la résultante de la force dépendent des autres actions mécaniques exercées sur le solide Appui plan Dans le cas d'un appui plan, le solide est animé d'un mouvement plan sur plan (paragraphe 9.4.5), par rapport au solide (). Le solide possède deux degrés de liberté en translation x et y (coordonnées d'un point P quelconque du plan de contact) et un degré de liberté en rotation ψ autour de la direction orthogonale au plan de contact (figure 13.14). Les éléments de réduction, au point P du plan de contact, du torseur cinématique s'écrivent : R{ VS } = ωs = ψ k, (13.41) MP { V } = v ( P, t) = xi + yj. S La puissance développée est : ( ) P { L ( S) } = X x+ Y y+ Nψ, (13.42) et la condition de liaison parfaite s'écrit : l l l X = 0, Y = 0, N = 0. (13.43) l l l
17 202 Chapitre 13 Actions de contact entre solides. Liaisons z z (S ) O y S y P y x x ψ x S FIGURE Solide en appui plan. Nous écrivons ce résultat sous la forme : L ( S) = 0, 0, Z, L, M, 0 (13.44) { } { } P l l l P où P est un point quelconque du plan de contact Conclusions Les exemples étudiés dans les paragraphes précédents montrent que, dans le cas d'une liaison sans frottement, les composantes de l'action de liaison, qui correspondent aux degrés de liberté du solide, s'annulent : composantes de la résultante pour les degrés de liberté en translation et composantes du moment pour les degrés de liberté en rotation. Cette propriété résulte de l'expression (13.23) de la puissance et de la condition de liaison sans frottement qui explicite que cette puissance est nulle Liaison avec frottement Dans la pratique, il est nécessaire de tenir compte des frottements entre les surfaces de contact des solides en liaison. Dans le cas d'un frottement solide, il sera possible de transposer les lois énoncées au paragraphe 13.1 et de les appliquer à l'action de liaison exercée par le solide () sur le solide. Dans le cas d'un frottement visqueux, il est possible de rendre compte du frottement en prenant des composantes de l'action de liaison proportionnelles aux composantes des vitesses et de signes opposés. Par exemple : Xl = fxx, Yl = fy y, Zl = fzz, Nl = f ψ ψ, (13.45) où les coefficients f i (i = x, y, z, ψ) sont des coefficients de frottement visqueux.
18 Commentaires 203 COMMENAIRES Les liaisons ont une importance particulière dans le cadre de la conception des systèmes mécaniques. Le lecteur devra donc apporter une attention toute particulière aux notions développées dans le présent chapitre. En application des concepts généraux, ce chapitre s'est intéressé aux liaisons entre solides par l'intermédiaire des liaisons élémentaires. Le lecteur devra avoir bien assimilé les éléments développés dans ce cadre. Contrairement aux actions à distance, les actions de contact dépendent des autres actions exercées sur le solide ou l'ensemble de solides considéré. Certaines conditions sur les actions de liaison sont toutefois apportées suivant que les liaisons se font avec frottement ou sans frottement. Ces conditions sont aisément obtenues dans le cas où il n'y a pas de frottement, en écrivant la nullité de la puissance développée dans le mouvement des solides en liaison. Pour tenir compte des conditions de frottement le schéma le plus simple à traiter est celui du frottement visqueux où les composantes des actions de liaison sont proportionnelles aux composantes des vitesses et de signes opposés. Le frottement de type solide est généralement assez difficile à analyser. Le comportement est transposé de la loi de frottement de Coulomb énoncée dans le cas de deux solides en contact ponctuel et des lois de roulement et de pivotement.
10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailINTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X
INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une
Plus en détailChafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1
Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailChapitre 7 - Relativité du mouvement
Un bus roule lentement dans une ville. Alain (A) est assis dans le bus, Brigitte (B) marche dans l'allée vers l'arrière du bus pour faire des signes à Claude (C) qui est au bord de la route. Brigitte marche
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailEquations cartésiennes d une droite
Equations cartésiennes d une droite I) Vecteur directeur d une droite : 1) Définition Soit (d) une droite du plan. Un vecteur directeur d une droite (d) est un vecteur non nul la même direction que la
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailSTATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE
ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point
Plus en détailGéométrie dans l espace Produit scalaire et équations
Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailCorrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.
TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailOPTIMISATION À UNE VARIABLE
OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailConcours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S
Concours EPIT 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette MW K1200S Durée : 2h. Calculatrices autorisées. Présentation du problème Le problème
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailPlan du cours : électricité 1
Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)
Plus en détailTEPZZ 5 5 _9A_T EP 2 535 219 A1 (19) (11) EP 2 535 219 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN
(19) TEPZZ 5 5 _9A_T (11) EP 2 535 219 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 19.12.2012 Bulletin 2012/51 (21) Numéro de dépôt: 12171697.1 (51) Int Cl.: B60L 5/20 (2006.01) B60L 5/42
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailMoto électrique Quantya'"
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SÉRIE SCIENCES ET TECHNIQUES INDUSTRIELLES GÉNIE ÉLECTROTECHNIQUE SESSION 2009 Épreuve: étude des constructions Durée : 4 heures Coefficient: 6 Moto électrique Quantya'" AUCUN
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailCinétique et dynamique des systèmes de solides
Cinétique et dynamique des systèmes de solides Page 2/30 CINÉTIQUE des systèmes matériels... 3 1.) Notion de masse...3 2.) Centre de masse d'un ensemble matériel...4 3.) Torseurs cinétique et dynamique...6
Plus en détailChapitre 7: Énergie et puissance électrique. Lequel de vous deux est le plus puissant? L'énergie dépensée par les deux est-elle différente?
CHAPITRE 7 ÉNERGIE ET PUISSANCE ÉLECTRIQUE 2.4.0 Découvrir les grandeurs physiques qui influencent l'énergie et la puissance en électricité. Vous faites le grand ménage dans le sous-sol de la maison. Ton
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailDimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant
Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.
Plus en détailLE PROBLEME DU PLUS COURT CHEMIN
LE PROBLEME DU PLUS COURT CHEMIN Dans cette leçon nous définissons le modèle de plus court chemin, présentons des exemples d'application et proposons un algorithme de résolution dans le cas où les longueurs
Plus en détailSEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX
SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX 1. EXPERIENCE 1 : APPLICATION DE LA LOI FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE a) On incline d un angle α la table à digitaliser (deuxième ou troisième cran de la table).
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détail1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.
Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur
Plus en détailParis et New-York sont-ils les sommets d'un carré?
page 95 Paris et New-York sont-ils les sommets d'un carré? par othi Mok (3 ), Michel Vongsavanh (3 ), Eric hin (3 ), iek-hor Lim ( ), Eric kbaraly ( ), élèves et anciens élèves du ollège Victor Hugo (2
Plus en détailMarchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène
Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi
Plus en détailDeux disques dans un carré
Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailManipulateurs Pleinement Parallèles
Séparation des Solutions aux Modèles Géométriques Direct et Inverse pour les Manipulateurs Pleinement Parallèles Chablat Damien, Wenger Philippe Institut de Recherche en Communications et Cybernétique
Plus en détailProjet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies
Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies Régis Boulet Charlie Demené Alexis Guyot Balthazar Neveu Guillaume Tartavel Sommaire Sommaire... 1 Structure
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailC est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position OM est constant et il est égal au
1 2 C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position est constant et il est égal au rayon du cercle. = 3 A- ouvement circulaire non uniforme
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailStatique des systèmes de solides. 1 Deux exemples d illustration 2 1.1 Système de freinage du TGV 1... 2 1.2 Micro-compresseur...
Statique des systèmes de solides Table des matières 1 Deux exemples d illustration 2 1.1 Système de freinage du TGV 1............................ 2 1.2 Micro-compresseur..................................
Plus en détailEn parallèle du travail d équipe
La Certification intermédiaire i Filière maintenance automobile matériel nautique RAPPEL Pour l ensemble des baccalauréats professionnels de la filière automobile, maintenance de matériel, réparation en
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailSeconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.
Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailDérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES
Capitre 4 Dérivation Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Dérivation Nombre dérivé d une fonction en un point. Tangente à la courbe représentative d une fonction dérivable
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détailEnoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailCONSTRUCTION DES PROJECTIONS TYPES DE PROJECTION. Projection => distorsions. Orientations des projections
A.Charbonnel SYNTHÈSE SUR LES PROJECTIONS CARTOGRAPHIQUES SIMPLES 1/6 TYPES DE PROJECTION Pour passer de la représentation en 3D de la terre (globe terrestre) à une représentation en 2D (la carte), on
Plus en détailGuide pour l analyse de l existant technique. Partie 3
Partie 3 La Liaison Pivot sur roulement : Le Composant ROULEMENT 0 Introduction Le but de ce guide est de vous permettre une meilleure rédaction des rapports de Bureaux d Études que vous aurez à nous remettre
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailPropriétés électriques de la matière
1 Propriétés électriques de la matière La matière montre des propriétés électriques qui ont été observées depuis l antiquité. Nous allons distinguer les plus fondamentales de ces propriétés. 1 Propriétés
Plus en détailMichel Henry Nicolas Delorme
Michel Henry Nicolas Delorme Mécanique du point Cours + Exos Michel Henry Maître de conférences à l IUFM des Pays de Loire (Le Mans) Agrégé de physique Nicolas Delorme Maître de conférences à l université
Plus en détail3) Demandeur: FIVES-CAIL BABCOCK, Société anonyme 7 rue Montallvet F-75383 Parts Cedex 08 (FR)
raiemami ê #curupaiscnes European Patent Office Numéro de publication: 0 21 9 365 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 86401852.8 Int. Cl.4: B 65 G 65/06 @ Date de
Plus en détailMATHÉMATIQUES. Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN
MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 Direction
Plus en détailPARTIE NUMERIQUE (18 points)
4 ème DEVOIR COMMUN N 1 DE MATHÉMATIQUES 14/12/09 L'échange de matériel entre élèves et l'usage de la calculatrice sont interdits. Il sera tenu compte du soin et de la présentation ( 4 points ). Le barème
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailGuilhem MOLLON. Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 2012-2013 V1.10
INTRODUCTION A LA MECANIQUE DES MILIEUX CONTINUS PARTIE 2 Guilhem MOLLON Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 212-213 V1.1 Table des matières Table des matières 2 Avertissement
Plus en détailmodélisation solide et dessin technique
CHAPITRE 1 modélisation solide et dessin technique Les sciences graphiques regroupent un ensemble de techniques graphiques utilisées quotidiennement par les ingénieurs pour exprimer des idées, concevoir
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailOrdonner les étapes «Voitures en circulation»
«Voitures en circulation» 17-21 Niveau 2 Entraînement 1 Objectifs - S entraîner à décomposer une action. - S entraîner à anticiper une action. - S entraîner à ordonner une suite de mouvements dans l ordre
Plus en détailBREVET D ETUDES PROFESSIONNELLES REPRESENTATION INFORMATISEE DE PRODUITS INDUSTRIELS. Epreuve EP1 Unité : UP1
Doc 1/11 BREVET D ETUDES PROFESSIONNELLES REPRESENTATION INFORMATISEE DE PRODUITS INDUSTRIELS Epreuve EP1 Unité : UP1 Analyser une pièce et produire sa maquette numérique en fonction d'un mode d'élaboration
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailNombre dérivé et tangente
Nombre dérivé et tangente I) Interprétation graphique 1) Taux de variation d une fonction en un point. Soit une fonction définie sur un intervalle I contenant le nombre réel a, soit (C) sa courbe représentative
Plus en détailT.I.P.E. Optimisation d un. moteur
LEPLOMB Romain Année universitaire 2004-2005 LE ROI Gautier VERNIER Marine Groupe Sup B, C, D Professeur accompagnateur : M. Guerrier T.I.P.E Optimisation d un moteur 1 1. Présentation du fonctionnement
Plus en détailExercice numéro 1 - L'escalier
Exercice numéro 1 - L'escalier On peut monter un escalier une ou deux marches à la fois. La figure de droite montre un exemple. 1. De combien de façons différentes peut-on monter un escalier de une marche?
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détailAngles orientés et trigonométrie
Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.
Plus en détailSDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique
Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux
Plus en détailI- Définitions des signaux.
101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais
Plus en détailChapitre 2 : Vecteurs
1 Chapitre 2 : Vecteurs Nous allons définir ce qu'est un vecteur grâce à une figure (le parallélogramme), mais au préalable nous allons aussi définir une nouvelle transformation (la translation). Nous
Plus en détailDémontrer qu'un point est le milieu d'un segment
émntrer qu'un pint est le milieu d'un segment P 1 Si un pint est sur un segment et à égale distance de ses etrémités alrs ce pint est le milieu du segment. P 2 Si un quadrilatère est un alrs ses diagnales
Plus en détailSCIENCES INDUSTRIELLES POUR L INGÉNIEUR. Partie I - Analyse système
SCIENCES INDUSTRIELLES POUR L INGÉNIEUR COMPORTEMENT DYNAMIQUE D UN VEHICULE AUTO-BALANCÉ DE TYPE SEGWAY Partie I - Analyse système Poignée directionnelle Barre d appui Plate-forme Photographies 1 Le support
Plus en détailNotions d asservissements et de Régulations
I. Introduction I. Notions d asservissements et de Régulations Le professeur de Génie Electrique doit faire passer des notions de régulation à travers ses enseignements. Les notions principales qu'il a
Plus en détail6. Les différents types de démonstrations
LES DIFFÉRENTS TYPES DE DÉMONSTRATIONS 33 6. Les différents types de démonstrations 6.1. Un peu de logique En mathématiques, une démonstration est un raisonnement qui permet, à partir de certains axiomes,
Plus en détailCours de résistance des matériaux
ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailPhysique: 1 er Bachelier en Medecine. 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h. Partie 1: /56. Partie 2 : /20. Nom: N ō carte d étudiant:
Nom: Prénom: A N ō carte d étudiant: Physique: 1 er Bachelier en Medecine 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h Avant de commencer a repondre aux questions, identiez-vous en haut de cette 1ere page, et
Plus en détailCylindres de roue ATE d origine Allégés et résistants aux liquides de frein
Cylindres de roue ATE d origine Allégés et résistants aux liquides de frein 1 Cylindres de roue ATE d origine ATE est une marque du groupe Continental, l un des plus grands spécialistes mondiaux du freinage
Plus en détail