Chapitre 2 : L équilibre de court terme en économie fermée
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- Bérengère Forget
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1 Chapitre 2 : L équilibre de court terme en économie fermée I - Le modèle keynésien élémentaire 1. La demande effective 2. L équilibre du marché des biens : IS II - L équilibre joint des marchés des biens et services et de la monnaie 1. L équilibre du marché monétaire : la courbe LM 2. L équilibre IS LM III - Les politiques économiques 1. La politique budgétaire 2. La politique fiscale 3. La politique monétaire 4. Les politiques mixtes 1
2 I - Le modèle keynésien élémentaire 1. La demande effective 1.a) Les composantes de la demande agrégée de biens et services (B & S) Demande finale de B & S = conso. des ménages + inv. des entreprises + dépenses publiques D = C + I + G (+ inv. résidentiel+ variations de stocks) (+ solde de la balance commerciale) Ici, on distingue surtout les dépenses dépendant du revenu national des dépenses autonomes. 2
3 1.b) la croix keynésienne hyp. : la demande agrégée est une fonction croissante du revenu national D (Y ) avec D ( ) > 0. hyp. : la demande agrégée augmente moins vite que le revenu D ( ) < 1. exemple : fonction de consommation keynésienne, investissement et dépenses publiques exogènes. 3
4 schéma : le diagramme à 45 degrés déf. : l équilibre keynésien revenu, demande Y 45 0 revenu Conditions d unicité de l équilibre keynésien revenu, demande 45 0 Y revenu 0 D ( ) < 1 revenu, demande Y 45 0 revenu D ( ) > 1 4
5 revenu, demande 45 0 Y revenu D ( ) = 1 localement revenu, demande 45 0 Propriété de croisement unique. Y revenu D non-monotone 1.c) l égalité entre revenu et demande Y = D = C + I + G (+...). Q : cette égalité est-elle toujours vraie? seulement pour un niveau de revenu? S agit-il d une définition comptable ou d une condition d équilibre? R : Les variations de stocks en tant que variable d ajustement. 5
6 L épargne à l équilibre keynésien. déf. : l épargne privée est la partie du revenu disponible non consommée Q : de quoi dépend l épargne? R : déf. : l épargne publique est l excédent des recettes publiques sur les dépenses publiques déf. : l épargne nationale est la partie du revenu national qui n est consommée ni par les ménages ni par l État 6
7 À l équilibre keynésien, Le revenu d équilibre keynésien dépend de l investissement des entreprises (et du solde budgétaire). Pour chaque valeur des dépenses autonomes il existe un unique revenu d équilibre keynésien. 7
8 1.d) l équilibre keynésien est un équilibre temporaire/à prix fixes (défini au chap. 1) quantités prix revenu, demande Y revenu Placer p > p EW, D ( p) et Y ET ( p). Contre-exemple : p < p EW quantités prix revenu, demande Y revenu 8
9 hyp. : les conditions de validité du modèle keynésien élémentaire 2. L équilibre du marché des biens : IS 2.a) les déterminants de la consommation des ménages D un point de vue macroéconomique (consommation de l ensemble des biens), la seule substitution possible est entre consommation aujourd hui et consommation demain choix entre consommation et épargne le niveau général des prix impact. Q : Comment s effectue au niveau agrégé le partage entre épargne et consommation du revenu disponible ( revenu après impôts, le nombre d unités de biens maximal que les ménages peuvent consommer ou épargner)? 9
10 R : imposer une fonction de consommation agrégée. déf. : la loi psychologique fondamentale La loi psychologique fondamentale, à laquelle nous pouvons faire toute confiance, à la fois a priori en raison de notre connaissance de la nature humaine et a posteriori en raison des enseignements détaillés de l expérience, c est qu en moyenne et la plupart du temps les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que leur revenu croît, mais non d une quantité aussi grande que l accroissement du revenu. J-M. Keynes (1936), Théorie générale de l emploi, de l intérêt et de la monnaie". 10
11 déf. : propension marginale à consommer Propriétés (loi psychologique fondamentale) : < C (Y ) < une hausse du revenu de x unités entraîne une hausse de la consommation de de x unités. + autres facteurs (patrimoine, revenus futurs anticipés, taux d intérêt réel, etc.) que nous supposons constants pour le moment. 11
12 déf. : propension moyenne à consommer Selon Keynes, la propension moyenne à consommer est plus faible dans les économies riches que dans les économies en développement Loi d Engel : la part du revenu allouée aux dépenses alimentaires est d autant plus faible que le revenu est élevé. 12
13 déf. : la fonction de consommation keynésienne Propriétés : La consommation agrégée courante ne dépend que du revenu courant, la propension marginale à consommer le revenu (disponible) est positive et inférieure à l unité, La propension moyenne à consommer diminue avec le niveau de revenu. exemple : C t = c 0 + c Y t c 0 est une consommation incompressible (même si le revenu est nul). c : propension marginale à consommer, constante. propension moyenne à consommer c + c 0 Yt, fonction décroissante de Y t. 13
14 2.b) les estimations Les paramètres de la fonction de consommation ont une grande importance. On peut utiliser des méthodes statistiques pour essayer de les quantifier économétrie Exemple : France, 1978 : : consommation Observations Estimations PIB consommation Observations Estimations Différentes grilles de lecture : combien vaut en moyenne la propension marginale à consommer? ici, 0.6 quelles sont les années atypiques? (reprise lente de la consommation de 1997 à 2000) l hypothèse keynésienne est elle valide ou rejetée? 14
15 Raffinements de la fonction keynésienne (Thomas Brown, James Duesenberry) : revenu relatif, keeping up with the Joneses persistance des habitudes, effet cliquet. 15
16 2.c) les déterminants de l investissement des entreprises Taux d intérêt réel et loyer du capital : L effet accélérateur : investissement en stocks le coefficient de capital l investissement comme acroissement des capacités de productions 16
17 2.d) le choix des dépenses publiques hyp. : les dépenses publiques sont choisies (au moins en partie) de façon extra-économique hyp. : recettes fiscales et dépenses publiques peuvent être choisies de façon indépendante déf. : solde, déficit et excédent budgétaire La contrainte budgétaire de l État : 17
18 2.e) la relation d équilibre La demande dépend du revenu, mais aussi d autres variables endogènes. Les endogènes : Les exogènes : Les comportements : L égalité entre demande et revenu ne définit plus un unique niveau de revenu, mais un niveau de revenu pour chaque valeur du taux d intérêt : relation entre Y et r, représentée graphiquement par une courbe. 18
19 déf. : la courbe IS Une modification du taux d intérêt se traduit par un déplacement le long de la courbe IS. Interprétation : marché des prêts (emprunts) revenu, demande Y revenu taux d intérêt taux d intérêt revenu fonds prêtables 19
20 Note : ne pas confondre un déplacement le long de la courbe et un déplacement de la courbe elle-même (causée par la modification d une variable exogène). Q : pourquoi favoriser la relation entre revenu et taux d intérêt? R 1 : représentation graphique ; R 2 : étude des politiques économiques ; R 3 : il existe d autres choix. Q : si le revenu d équilibre dépend du taux d intérêt (à travers son effet sur l investissement), quelle est la valeur d équilibre du taux d intérêt? R : 20
21 II - L équilibre joint des marchés des biens et services et de la monnaie 1. L équilibre du marché monétaire : la courbe LM 1.a) taux d intérêt et préférence pour la liquidité déf. : la thésaurisation Le taux d intérêt dans les décisions économiques : 21
22 1.b) les motifs keynésiens de demande d encaisses réelles déf. : les encaisses monétaire réelles Keynes énumère trois motifs de détention d encaisses (leurs déterminants) transaction précaution spéculation Demande de monnaie : taux d intérêt encaisses réelles 22
23 1.c) l offre de monnaie Offre de monnaie = pièces et billets + dépôts à vue La politique monétaire est menée par un groupement État Banque centrale banques commerciales, qui fixe : l offre de monnaie/d encaisses réelles ; le (les) taux d intérêt. Offre de monnaie : taux d intérêt encaisses réelles 23
24 1.d) la relation LM déf. : Courbe LM taux d intérêt taux d intérêt encaisses réelles revenu Choix de l offre de monnaie vs. du taux d intérêt. taux d intérêt taux d intérêt encaisses réelles revenu 24
25 Q : taux d intérêt nominal ou réel? R : taux d intérêt réel = taux d intérêt nominal - taux d inflation 2. L équilibre IS LM 2.a) endogènes et exogènes Les endogènes : Les exogènes : Les comportements : 25
26 2.b) L équilibre de court-terme déf. l équilibre IS- LM taux d intérêt r revenu Y Note : la loi de Walras. 26
27 2.c) la détermination des autres endogènes consommation agrégée d équilibre ; investissement d équilibre ; épargne d équilibre ; demande d encaisses réelles d équilibre ;... emploi d équilibre. Le chômage. Note : la récursivité de l équilibre keynésien. 27
28 III - Les politiques économiques 1. La politique budgétaire déf. : 1.a) l impact direct dépenses publiques > 0 demande agrégée > 0 revenu national > 0 1.b) impact indirect et multiplicateur de dépenses publiques G > 0 demande agrégée > 0 conso > 0 Y > 0 schéma : le circuit keynésien 28
29 effet d une hausse des dépenses publiques sur le revenu, à taux d intérêt donné revenu, demande Y revenu taux d intérêt r revenu Y 29
30 1.c) l effet d éviction 1) G > 0 déplacement de (IS) 2) nouvel équilibre IS-LM 3) hausse du taux d intérêt 4) éviction de l investissement revenu, demande Y revenu taux d intérêt r M P encaisses réelles taux d intérêt r LM IS revenu Y 30
31 Le financement des dépenses publiques. 2. La politique fiscale déf. : 2.a) l effet direct impôts < 0 demande agrégée > 0 revenu national > 0 Circuit keynésien 31
32 2.b) les effets indirects Multiplicateur et effet d éviction revenu, demande Y revenu taux d intérêt r M P encaisses réelles taux d intérêt r LM IS revenu Y 32
33 3. La politique monétaire déf. : 3.a) les instruments de politique monétaire Opérations d open market : Réserves bancaires : 33
34 3.b) le déplacement de LM 1) M > 0 déplacement de (LM) 2) baisse du taux d intérêt 3) hausse de la demande 4) nouvel équilibre IS-LM revenu, demande Y revenu taux d intérêt r M P encaisses réelles taux d intérêt r LM IS revenu Y 34
35 3.c) la trappe à liquidités La politique monétaire dépend d une stimulation de l investissement par une baisse des taux d intérêt. Q : La politique monétaire parvient-elle toujours à faire baisser les taux d intérêts (réels)? exemple historique : le Japon, décennie 90 les taux nominaux de court terme sont descendus jusqu à 0.1% ; les taux nominaux ne peuvent pas devenir négatifs : toute offre de monnaie supplémentaire ne serait pas prêtée ; contexte déflationniste : les taux réels sont supérieurs au taux nominaux ; Recommandation de politique monétaire : l objectif d inflation des banques centrales devrait être positif (autour de 3%?) de manière à pouvoir rendre le taux d intérêt réels négatifs lorsque c est nécessaire. 35
36 En résumé : effets des politiques économiques sur l équilibre de court terme : revenu taux d intérêt Politique budgétaire monétaire G M 4. Les politiques mixtes 4.a) politique budgétaire financée par impôts déf. : 36
37 Q : quel est l effet direct net sur la demande agrégée d une hausse des dépenses publiques financée (partiellement) par une hausse des impôts? revenu, demande Y revenu taux d intérêt r LM IS revenu Y R : Théorème d Haavelmo : (I constant) dy = dc + di + dg = C (Y T ) d (Y T ) + di + dg = C (Y T ) (dy dt ) + di + dg [ 1 C (Y T ) ] dy = 37
38 4.b) politique budgétaire financée par création monétaire déf. : l accommodation monétaire taux d intérêt r LM IS revenu Y Y E > 0, r E > 0 taux d intérêt r LM IS revenu Y Y E > 0, r E < 0 Conduite de la politique économique : Politiques de règles : Politiques discrétionnaires (réglage fin de la conjoncture) : 38
39 1. Offre de monnaie constante : Politique monétaire en réponse à une politique budgétaire expansionniste : 3 objectifs possibles. taux d intérêt r LM IS revenu Y Y E > 0, r E > 0 2. Taux d intérêt constant : taux d intérêt r LM IS revenu Y Y E > 0, r E = 0 3. Revenu constant : taux d intérêt r LM IS revenu Y Y E = 0, r E > 0 39
40 4.c) les politiques mixtes de la réunification allemande en 90 : hausses des dép. publiques : investissement en infrastructures et transferts ; hausse des investissements privés déplacement de : politique monétaire restrictive pour lutter contre les risques d inflation déplacement de... taux d intérêt r LM IS revenu Y taux d intérêt r LM IS revenu Y croissance du PIB croissance de l inv solde budgétaire taux d intérêt
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