L enfance en danger. loi du 5 mars 2007
|
|
- Jean-Christophe Jean
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L enfance en danger loi du 5 mars 2007
2 «Les états doivent protéger l enfant contre toute forme de violence, d atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu il est sous la garde de ses parents ou de l un d eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.» Article 19 de la Convention internationale des droits de l enfant
3 Quand un mineur est-il considéré Lorsque: comme étant en danger? sa santé, sa sécurité ou sa moralité sont en danger les conditions de son éducation ou de son développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises Article 375 du code civil
4 La notion de danger : maltraitance ou risque? L enfant maltraité est celui qui est «victime de violences physiques, cruauté mentale, abus sexuel, négligences lourdes ayant des conséquences graves sur son développement physique et psychologique» (ODAS) L enfant en risque est celui qui «connaît des conditions d existence qui risquent de mettre en danger sa santé, sa sécurité, sa moralité, son éducation ou son entretien, mais qui n est pas pour autant maltraité» (ODAS)
5 L obligation de signaler Art du code pénal: non dénonciation de crime Art du code pénal : non dénonciation de mauvais traitements Art du code pénal : non assistance à personne en péril
6 Art. 40 du code de procédure pénale Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui dans l exercice de ses fonctions acquiert la connaissance d un crime ou d un délit est tenu d en donner avis sans délai au Procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès verbaux et actes qui y sont relatifs.
7 L organisation de la protection de l enfance La protection administrative: assurée par les services du conseil général Aide sociale à l enfance Protection maternelle et infantile Service social de secteur La protection judiciaire: Procureur de la République Juges pour enfants C est le Procureur de la République qui saisit le juge des enfants. Des mesures de protection judiciaire peuvent être décidées en faveur de l enfant.
8 La protection administrative Peuvent être proposé aux familles : Un suivi médico-social de la famille et des enfants : intervention de professionnels (assistant social, éducateur, médecin, puéricultrice) Une aide financière (secours d urgence et/ou allocations mensuelles) Une aide matérielle des professionnels ( technicien de l intervention sociale et familiale, auxiliaire de vie) Une aide éducative à domicile
9 Le rôle du Procureur de la République En matière civile (éducative): il saisit le juge pour enfants quand les conditions d éducation de l enfant sont gravement compromises ; lorsque la famille n adhère pas ou n est pas accessible à la mesure administrative En matière pénale: en cas de suspicion d infraction, il fait engager une enquête par les services de Police et de Gendarmerie, à l issue de laquelle il peut engager des poursuites contre l auteur des faits et parallèlement saisir le juge des enfants, en cas de mineur victime ou auteur.
10 Le juge pour enfants Peut ordonner ou mettre en place : Une enquête sociale Une mesure d Investigation et d Orientation éducative Des expertises psychiatriques ou psychologiques concernant l enfant et ses parents Une mesure d Action éducative en Milieu ouvert (AEMO) Une ordonnance ou jugement confiant l enfant à l ASEF, à la garde d un établissement ou à une personne digne de confiance Une mesure de tutelle aux prestations sociales Un non-lieu à assistance éducative
11 Réforme de 2007 La loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l enfance implique des modifications importantes, notamment parce qu elle crée dans chaque département une «cellule de recueil, de traitement et d évaluation des situations de danger ou de risque de danger pour l enfant et l adolescent», et parce qu elle détermine les règles du partage d informations entre professionnels.
12 Qui est chargé du recueil d informations? «Le président du conseil général est chargé du recueil, du traitement et de l évaluation, à tout moment et quelle qu en soit l origine, des informations préoccupantes relatives aux mineurs en danger ou qui risquent de l être.» article L du code de l action sociale et des familles
13 Objectif de la cellule de recueil Il s agit de faire converger vers un même lieu toutes les informations préoccupantes concernant des mineurs en danger ou en risque de l être. cellule Justice (protection immédiate) Suites données évaluation CG
14 Dans les Alpes-Maritimes, la cellule de recueil est rattachée au service de l Aide Sociale à l Enfance et à la Famille. Elle est constituée de personnes possédant des compétences techniques dans le domaine social, éducatif et médical. Elle recueille, à l échelle du département, toutes les informations préoccupantes concernant des enfants en danger ou en risque. Elle évalue et caractérise le danger encouru par l enfant.
15 Son nom : L ADRET antenne de recueil, d évaluation et de traitement des informations préoccupantes
16 Coordonnées : BP Nice cedex 03 tel N vert fax Protectiondelenfance@cg06.fr
17 Qu est-ce qu une «information préoccupante»? On entend par information préoccupante tout élément d information susceptible de laisser craindre qu un enfant se trouve en situation de danger ou de risque de danger, puisse avoir besoin d aide, et devant faire l objet d une transmission à la cellule départementale pour évaluation et suite à donner.
18 Qui peut saisir l antenne départementale de recueil? Autres services du conseil général : - aide sociale à l enfance - protection maternelle et infantile - service social départemental Hôpitaux Crèches Justice : Parquets des TGI de Nice et de Grasse Mairie Tous services sociaux Antenne départementale de recueil Services de police et gendarmerie Associations SNATEM (n 119) Particuliers Education nationale
19 Si toute personne ayant connaissance d une situation d enfant en danger ou susceptible de l être est tenue par la loi de le signaler, l Education nationale constitue l acteur le plus concerné par le dispositif départemental. «Les services publics, ainsi que les établissements publics et privés susceptibles de connaître des situations de mineurs en danger ou qui risquent de l être, participent au dispositif départemental». (article L du code de l action sociale et des familles) En 2006, les informations transmises par l Education nationale représentaient le tiers du nombre total des situations signalées, soit 27 %.
20 Protocole entre l Education nationale et le conseil général Signée le 7 novembre 2005 pour une durée de 3 ans, la convention a pour objectifs de : prévoir des modalités de coopération efficaces. garantir le traitement optimal et adapté de chaque situation. clarifier la mise en œuvre des procédures de signalement. Une nouvelle convention prendra effet en 2009, intégrant le nouveau dispositif.
21 Quand signaler? Quand le professionnel constate que l enfant ou le jeune présente des troubles, des difficultés, des souffrances physiques ou psychiques, ou encore qu il note, de la part des adultes responsables de l enfant ou du jeune, des comportements inappropriés pouvant provoquer des manques, des carences, des négligences dangereuses.
22 S il constate: des violences physiques : coups, blessures, brûlures des violences psychologiques, de la cruauté mentale: humiliations, menaces, chantage affectif, marginalisation dans la famille, dévalorisation systématique, exigences éducatives disproportionnées, punitions aberrantes un aspect général préoccupant : maigreur, arrêt du développement psychomoteur, présentation négligée voire sale des désordres alimentaires : anorexie, boulimie, vomissements répétés
23 Des troubles du comportement : tristesse, anxiété, repli sur soi, agitation, agressivité, demande affective exagérée, rejet des autres, violence Des difficultés scolaires : absentéisme, échec, désinvestissement,évitement de certaines situations scolaires ou sportives Un mode de vie ou un rythme de vie manifestement inadaptés
24 À la suite de la réforme du 5 mars 2007, la transmission des informations reste plus que jamais une obligation légale «Les personnes qui mettent en oeuvre la politique de protection de l enfance ainsi que celles qui lui apportent leur concours transmettent sans délai au président du conseil général ou au responsable désigné par lui toute information préoccupante sur un mineur en danger ou risquant de l être.» (Art.5 L du code de l action sociale et des familles) Par conséquent, les professionnels de l Education nationale, qui, à l occasion de l exercice de leurs fonctions, ont à connaître des informations préoccupantes relatives à la situation de mineurs, sont tenus de les adresser à la cellule départementale.
25 Situations d extrême urgence Sécurité de l enfant gravement compromise. Suspicion d infraction pénale. En particulier: agressions sexuelles : attouchements, viols, incitation à la prostitution ou à la pornographie négligences lourdes : carences, absences de soins, d entretien et de prise en compte des besoins vitaux de l enfant. Voie judiciaire Signaler les faits au Parquet.
26 Si l extrême gravité ou l urgence exigent que soit fait un signalement au Procureur de la République, le signalant est tenu d en adresser une copie à la cellule départementale. Ainsi, quel que soit le circuit de transmission, la cellule départementale a vocation à être destinataire de toutes les informations préoccupantes et des signalements transmis au parquet.
27 en résumé
28 Situation I Information préoccupante (non-évaluée, pré-évaluée ou impossible à évaluer) Cellule départementale: Conseille et informe les professionnels Assure une analyse de premier niveau Recueille toutes les informations préoccupantes Transmet pour évaluation et traitement Évaluation Décision: Protection administrative Transmission au Parquet Sans suite
29 Situation II Situation d'une extrême gravité nécessitant une protection judiciaire sans délai ou risquant de revêtir une qualification pénale (maltraitance, allégation d abus sexuel) Parquet + copie à la cellule de recueil
30 Les éléments indispensables à noter les informations dont on dispose quant à l identité de l enfant (nom, prénom, âge, adresse) et des parents (nom, prénom, adresse) les constatations (ce que vous avez observé: traces, comportements, troubles de l enfant, de son entourage, etc ) les propos de l enfant, à retranscrire le plus fidèlement possible en utilisant le vocabulaire employé par l enfant. (Il convient de citer l enfant) les propos d autres témoins, en particulier des camarades de l enfant ou des professionnels qui le prennent en charge.
31 FICHE DE TRANSMISSION D UNE INFORMATION PRÉOCCUPANTE Date : À adresser, dans tous les cas, par télécopie à l ADRET BP NICE CEDEX 3 - téléphone : télécopie : Adresser la fiche statistique jointe à l Inspection Académique (télécopie : ) Établissement concerné :.. Commune :. Auteur de l information - Nom :... - qualité :.... Téléphone :... Identification de l enfant concerné - NOM :... Prénom :. - date de naissance : classe :. adresse :.... NOM, prénom, adresse, tel du père: NOM, prénom, adresse, tel de la mère : L enfant est en danger ou en risque de danger Nature du risque ou du danger encouru par l enfant : violence physique violence psychologique violence sexuelle négligence lourde éducation comportement Le(s) parent(s) sont-ils, conformément à la loi et sauf intérêt contraire de l enfant, informés de la transmission d une information préoccupante? Oui Non Si non, pour quelle raison? NB : LES DEUX PAVÉS SUIVANTS SONT EXCLUSIFS O U L enfant est en péril avec nécessité de protection immédiate Nature du péril : violence physique violence psychologique violence sexuelle négligence lourde éducation comportement Dans ce cas, la fiche est à adresser au parquet compétent et à l ADRET : Est du Var : TGI de Nice - Place du Palais NICE - télécopie : (heures ouvrables) et (WE et soir) - Service permanence mineurs : tel. : (le jour) et (week-end & soir) Ouest du Var : TGI de Grasse - Avenue Pierre Sémard GRASSE - télécopie : Service permanence mineurs : tel. : ou (le jour) et (nuit et week-end)
32
33 FICHE STATISTIQUE SUR LA TRANSMISSION D UNE INFORMATION PRÉOCCUPANTE Date : A adresser à l Inspection Académique (télécopie : ) Établissement concerné : Commune :... Classe :. Age de l élève :. Nom et qualité de l auteur de l information : L enfant est en danger ou en risque de danger L enfant est en péril avec nécessité de protection immédiate Nature du risque ou du danger encouru par l enfant : violence physique violence psychologique violence sexuelle négligence lourde éducation comportement O U Nature du péril : violence physique violence psychologique violence sexuelle négligence lourde éducation comportement Le(s) parent(s) sont-ils, conformément à la loi et sauf intérêt contraire de l enfant, informés de la transmission d une information préoccupante? Oui Non
34 Le retour d information Le signalant sera destinataire d un accusé de réception du conseil général lui garantissant le fait que les informations préoccupantes ont été prises en compte et traitées par la cellule départementale (ne porte ni sur le contenu de l intervention des professionnels de la cellule départementale, ni sur l évaluation de la situation du mineur concerné, ni sur les suites données au signalement).
35 Information des familles «Sauf intérêt contraire de l enfant, le père, la mère, tout autre personne exerçant l autorité parentale ou le tuteur sont préalablement informés de cette transmission selon des modalités adaptées.» (article L du code de l action social et des familles). La règle est donc d avertir la famille de l enfant lorsqu une information préoccupante est envoyée aux services compétents.
36 Cependant Si le signalement concerne des abus sexuels ou une maltraitance grave: Les informations que vous a confiées l enfant sont à transmettre par écrit à Monsieur le Procureur de la République avec copie à la cellule de signalement. Dans ce cas-là, les parents ne sont pas informés de ce signalement afin de ne pas mettre en danger l enfant et de ne pas entraver la conduite de l enquête de police.
37 Inspection académique de NICE Service social en faveur des élèves
LA CELLULE DÉPARTEMENTALE DE RECUEIL, DE TRAITEMENT ET D ÉVALUATION
Guide Pratique Protection de l enfance LA CELLULE DÉPARTEMENTALE DE RECUEIL, DE TRAITEMENT ET D ÉVALUATION grandir parents respecter prévenir devoirs écouter mieux-être protéger LA CELLULE DÉPARTEMENTALE
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailEnfants victimes d infractions pénales : guide de bonnes pratiques
Enfants victimes d infractions pénales : guide de bonnes pratiques Décembre 2003 Du signalement au procès pénal Direction des Affaires Criminelles et des Grâces Enfants victimes d infractions pénales Guide
Plus en détailLes violences conjugales
MINISTÈRE le point sur Femmes/égalité Lutte contre les violences envers les femmes Les violences conjugales Les victimes de violences craignent le plus souvent de s exprimer. Paralysées par la peur, une
Plus en détailQUESTIONS / RÉPONSES
MALTRAITANCE DES ENFANTS Y penser pour repérer, savoir réagir pour protéger QUESTIONS / RÉPONSES SOMMAIRE Qu est-ce que la maltraitance?... 3 La maltraitance est-elle un phénomène marginal?... 4 En cas
Plus en détailPREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE
LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement
Plus en détailDISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailDép. 75 «Service d Accueil de Jour»
Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Le Service d accueil de jour -SAJE- est implanté sur le 19 e arrondissement de Paris et accueille
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailcontre la maltraitance Guide juridique à l usage des professionnels de l enfance
Agir contre la maltraitance Guide juridique à l usage des professionnels de l enfance 1 Les différentes formes de maltraitance p.6 2 Devoir d agir et secret professionnel p.16 3 Signaler un cas de maltraitance
Plus en détailFICHE DE RENSEIGNEMENTS
FICHE DE RENSEIGNEMENTS INSCRIPTION 2014-2015 A rendre avant le 14 août 2014 Merci FAMILLE : 1 2 ENFANT(s) NOM de l enfant :...... PRENOM Né(e) le :...../../... Classe :..... Mon enfant ira à : la Garderie
Plus en détailEXERCICE DU DROIT D ACCES AU FICHIER DES COMPTES BANCAIRES ET ASSIMILES (FICOBA)
Vous êtes : le titulaire du compte Vous pouvez avoir accès au fichier FICOBA : - soit directement auprès du centre des impôts dont dépend votre domicile lorsque vous souhaitez connaître les données d identification
Plus en détailSurfer Prudent - Tchats. Un pseudo peut cacher n importe qui
Tchat Un tchat est un outil de communication sur Internet qui permet de parler en temps réel avec un ou plusieurs internautes. Un tchat est aussi appelé messagerie instantanée. Un pseudo peut cacher n
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailNouveaux médias. Guide pour les écoles obligatoires. Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement
Nouveaux médias Guide pour les écoles obligatoires Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement 1 Police cantonale bernoise Etat-major/Prévention Groupe nouveaux médias Case postale 7571, 3001
Plus en détailCOMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de
Plus en détailRèglement intérieur de l Espace Jeunes (11/17 ans)
Règlement intérieur de l Espace Jeunes (11/17 ans) 16, rue des Ecoles 38090 Vaulx-Milieu 07.88.54.25.95 espacejeunes.vaulx-milieu@orange.fr Mairie de Vaulx-Milieu 7 place de l Eglise- BP1-38090 VAULX-MILIEU
Plus en détail) Découvrez les métiers de la Justice. Informez-vous sur www.justice.gouv.fr
) Découvrez les métiers de la Justice Informez-vous sur www.justice.gouv.fr PENITENTIAIRE Sommaire SOMMAIRE Magistrat............................................................. p. 4, 5 Greffier en chef......................................................
Plus en détailCommune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR
Commune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR REGLEMENT INTERIEUR Vu la délibération du Conseil Communautaire en date du 26 mai 2015 et portant instauration du système des forfaits ; Vu la délibération
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailLES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT. Formation AVS Janvier 2013
LES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Formation AVS Janvier 2013 LES RESPONSABILITES GENERALES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Les responsabilités des agents publics de l État sont de trois ordres:
Plus en détailCirculaire n 93 -------
Année 2004 Destinataire : écoles et établissements publics et privés. Circulaire n 93 ------- Sommaire : - centre de ressources départemental, équipes ressources de proximité, violences sexuelles, événements
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents
REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents de la RESTAURATION SCOLAIRE MATERNELLE/ELEMENTAIRE Direction de l Education, de l Enfance et de la Réussite Educative Approuvé au Conseil Municipal
Plus en détailOCTOBRE 2010. Editeur responsable Liliane Baudart Direction générale de l aide à la jeunesse Boulevard Léopold II, 44 1080 Bruxelles
Editeur responsable Liliane Baudart Direction générale de l aide à la jeunesse Boulevard Léopold II, 44 1080 Bruxelles PROTOCOLE DE COLLABORATION CONSEILLERS & DIRECTEURS AJ - EQUIPES SOS ENFANTS PROTOCOLE
Plus en détailAide à la jeunesse: questions de parents
Aide à la jeunesse: questions de parents Septembre 008 de Belgique Où trouver de l aide? Comment se prennent les décisions? Quelle est l intervention des différents services? Quel est le rôle du SAJ, du
Plus en détailDes questions..des réponses
1 Des questions..des réponses C est quoi le Foyer 150?... 3 Qui travaille au Foyer 150?... 4 Pourquoi est-on placé au Foyer 150?... 4 Comment arrive-t-on au Foyer 150?...... 5 Première étape : contact
Plus en détailComplément pédagogique
Complément pédagogique L intimité de son corps La violence verbale Le racket L égalité L amour L intimité de son corps L enfant, comme l adulte, est maître de son corps et seul juge de ses sentiments.
Plus en détailResponsabilité civile et pénale de l instituteur
Responsabilité civile et pénale de l instituteur 1 Responsabilité civile et pénale de l instituteur Le terme instituteur désigne toute personne mandatée ou agréée par l administration pour assurer un enseignement
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailLes principales dispositions de la LOPPSI 2
Les principales dispositions de la LOPPSI 2 (Présentation rédigée à partir du projet de «loi d orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure» adopté au Sénat le 10 septembre
Plus en détail1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT
LE CYBER-HARCÈLEMENT Avec l utilisation massive des nouvelles technologies, le harcèlement entre élèves peut se poursuivre, voire débuter, en dehors de l enceinte des établissements scolaires. On parle
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailComment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent?
Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Lorsque l enfant vit au domicile de l un de ces parents, ce qui est,
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailL'ENFANCE EN DANGER QUE FAIRE?
Tribunal de grande instance Protection judiciaire de la jeunesse L'ENFANCE EN DANGER QUE FAIRE? webmestre : CDDP de l'ardèche Préambule Le devoir de signaler Définition - Qui sont les enfants à protéger?
Plus en détailRèglement Intérieur des Services de Restauration Scolaire et d Accueil Périscolaire de la Ville de Jarvillela-Malgrange
Accusé de réception - Ministère de l'intérieur 054-215402744-20140619-N6-19-06-2014-DE Accusé certifié exécutoire Réception par le préfet : 26/06/2014 Règlement Intérieur des Services de Restauration Scolaire
Plus en détailDu 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015
Place Vignioboul Mon Pass Loisirs Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Prénom : / Nom : Ma date de naissance : / / Téléphone (domicile) : / Mon portable : / Mon mail : / Cocher 1 possibilité : (OBLIGATOIRE)
Plus en détailService Municipal d Accueil Postscolaire
Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr
Plus en détailCHAPITRE 6 PROTECTION STATUTAIRE ET ASSURANCE GROUPE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE
CHAPITRE 6 PROTECTION STATUTAIRE ET ASSURANCE GROUPE Textes applicables : Article 11 de l ordonnance n 58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature ; Article
Plus en détailLa responsabilité des directeurs d unité
9 mai 2012 - Journée des administrateurs et responsables des laboratoires de l INSIS La responsabilité des directeurs d unité Direction des affaires juridiques CNRS/DAJ/MF l 9 mai 2012 Journée INSIS P.
Plus en détailCinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine
14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction
Plus en détailCommission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS
Commission Statut et Juridique AH-HP COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Février 2010 1 Origine du code de déontologie Faisant
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailsolidarité www.aulnay-sous-bois.fr
bureau d aide aux solidarité www.aulnay-sous-bois.fr Violences conjugales Vol avec violence Accidents de circulation Harcèlement Viol Agression Agression, Viol, Vol avec violence, Discriminations, Violences
Plus en détailPASS sports vacances. Sommaire
PASS sports vacances Sommaire PREAMBULE Article 1 : Modalités d inscription Article 2 : Modalités de fonctionnement Article 3 : Les infrastructures Article 4 : Tarification Article 5 : Sécurité et secours
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailLutter contre l habitat indigne : Guide pénal
Lutter contre l habitat indigne : Guide pénal 1 er septembre 2011 Ministère de l Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement Délégation à l hébergement et à l accès au logement www.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Contacts presse
DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex
Plus en détailDirection de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile
Direction de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile Sous-direction des personnes placées sous main de justice (PMJ) Pôle PSEM Septembre 2007 Le placement sous
Plus en détailUne école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves. Guide à l attention des équipes éducatives des collèges et des lycées
Une école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves Guide à l attention des équipes éducatives des collèges et des lycées Ce guide constitue l une des mesures annoncées lors du Comité interministériel
Plus en détailProcédure relative à la protection juridique des majeurs vulnérables
Procédure relative à la protection juridique des majeurs vulnérables 1/ Objet et domaine d application date de mise à jour : 31 juillet 2012 - harmoniser les pratiques et améliorer la coordination entre
Plus en détailAlcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire
DOSSIER DE PRESSE 01/09/2014 Alcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire Avec l appui de la Ligue Contre la Violence Routière,
Plus en détailDossier pratique n 6
Dossier pratique n 6 Internet, mineurs et législation Contributeurs : Action Innocence France et Maître Ségolène Rouillé-Mirza, Avocate au Barreau de Paris - Mai 2010 www.actioninnocence.org france@actioninnocence.org
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailLa responsabilité pénale dans l entreprise
La responsabilité pénale dans l entreprise PLATO Le Lieu : CCI Granville. 1 Plan de l intervention Déterminer les zones de risques pénales dans l entreprise. Qui peut voir sa responsabilité pénale engagée?
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte
Plus en détailRÈGLEMENT DES SERVICES DE RESTAURATION SCOLAIRE ET D ACCUEIL PÉRISCOLAIRE DE LA VILLE DE SEICHAMPS
RÈGLEMENT DES SERVICES DE RESTAURATION SCOLAIRE ET D ACCUEIL PÉRISCOLAIRE DE LA VILLE DE SEICHAMPS Règlement approuvé par délibération du Conseil Municipal en date du 29 juin 2015 Les parents devront en
Plus en détailCommune de QUINT FONSEGRIVES 31130
31130 Marché Public de fournitures courantes et services Surveillance et Gardiennage des Bâtiments Communaux CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Procédure adaptée passée en application de l article
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailLES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE. Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris
LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris 2 DEFINITION La lutte contre les violences faites aux femmes s'inscrit
Plus en détail3 ème édition actualisée
Le livret de prévention du maire 3 ème édition actualisée Février 2013 La politique de prévention de la délinquance s apprête à connaître d importantes évolutions déjà préfigurées par la création par le
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006)
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006) Circulaires de la Direction des affaires criminelles Signalisation des circulaires du 1 er avril au 30 juin 2006 Circulaire
Plus en détailLUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT
LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT Prix À «Mobilisons-nous L ÉCOLE : L AFFAIRE contre DE le TOUS! harcèlement» 2ème édition 2014/2015 Préambule Dans le cadre de la politique conduite pour diminuer le harcèlement
Plus en détailGuide des bonnes pratiques. Les différentes manières dont on saisit la justice pénale
Guide des bonnes pratiques Les différentes manières dont on saisit la justice pénale Le droit pénal est une matière transversale présente dans tous les domaines du droit: en droit de la famille, en droit
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLes victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale
Les victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale (Le contenu de cette présentation n engage pas le Ministère public) 1 Objectifs et plan I. Tour d horizon des différentes
Plus en détailTARIFS MÉDIATION FAMILIALE CONVENTIONNELLE
Paiements par : Cartes Bancaires, Espèces, Chèques bancaires, Paypal, Devises étrangères en cours acceptées (billets uniquement si espèces et rendu de monnaie en euros selon le cours du change du jour
Plus en détailDemande d agrément d assistant(e) maternel(le)
N 13394*03 Demande d agrément d assistant(e) maternel(le) Notice Vous allez faire une demande d agrément ou de renouvellement d agrément pour exercer la profession d assistant(e) maternel(le); ce métier
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015
RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les
Plus en détailMODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES
MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier
Plus en détailProjet d Accueil. Entre Parent(s) et Assistant Maternel
Outil proposé par les Relais Parents Assistants Maternels des Côtes d Armor dans le cadre de leur mission d accompagnement. Ce document n a pas de valeur légale ou réglementaire. Juin 2012 Projet d Accueil
Plus en détailQuand le corps devient objet de l autre
Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire
Plus en détailApprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».
1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailCOUPABLE D ETRE IRRESPONSABLE A propos de la réforme des procédures de déclaration d irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental
1 COUPABLE D ETRE IRRESPONSABLE A propos de la réforme des procédures de déclaration d irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental La loi du 25 février 2008 instaurant la rétention de sureté,
Plus en détailMise en place d une action de prévention Lutte contre le harcèlement entre élèves
Mise en place d une action de prévention Lutte contre le harcèlement entre élèves Objectif général : Dans cette séance de prévention, il s agit de sensibiliser les élèves au harcèlement afin d'éviter la
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailLES DROITS DE L ENFANT
LES DROITS DE L ENFANT Maître Viviane SCHMITZBERGER HOFFER Avocat, Ancien Bâtonnier du Barreau de METZ Colloque du 11 octobre 2013 Syndrome du bébé secoué au Ministère de la Santé Mise en garde Article
Plus en détailLes droits des victimes
SERVICE DE L ACCÈS AU DROIT ET À LA JUSTICE ET DE LA POLITIQUE DE LA VILLE Avocat Dépôt de plainte Soutien psychologique? Association d'aide aux victimes Aide juridictionnelle Indemnisation I Les droits
Plus en détailLE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs
Plus en détailSecourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs.
1 Secourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs. S. ARTIGNAN 1 (1) assistant en médecine du travail, Ecole d application du service de santé des armées, BP n 1, 00466 - Armées
Plus en détailProjet pédagogique de l accueil périscolaire éducatif «activ temps»
Section 2 Alpes Projet pédagogique de l accueil périscolaire éducatif «activ temps» Année 2014-2015 Elèves scolarisés à : L école maternelle de l Alpe de Venosc Les écoles élémentaires de l Alpe de Venosc
Plus en détailNotice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures
Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures 1. Situation actuelle De l article 123 al. 2 de la Constitution fédérale (RS 101) découle le principe selon lequel l exécution des sanctions
Plus en détailAvertissement. Le Conseil général. L association ADEJ. Les jeunes connaissent bien les dangers d Internet.
2 Le Conseil général Equiper l ensemble d une tranche d âge d ordinateurs portables et lui permettre d accéder à l informatique et aux moyens de communication : c est le pari très ambitieux fait au cours
Plus en détailFICHES REFLEXES sur la conduite à tenir dans les situations de VIOLENCE en établissements publics, sanitaire et médico-social
FICHES REFLEXES sur la conduite à tenir dans les situations de VIOLENCE en établissements publics, sanitaire et médico-social METHODOLOGIE Un groupe de travail a été constitué à l initiative de la Fédération
Plus en détailSOMMAIRE LA SÉPARATION : DES ÉLÉMENTS JURIDIQUES... 3
La séparation 1 SOMMAIRE LA SÉPARATION : DES ÉLÉMENTS JURIDIQUES... 3 VOUS ÉTIEZ MARIÉS...3 Vous vous séparez légalement... 3 Vous vivez chacun de votre côté (séparation de fait).... 3 VOUS ÉTIEZ PACSÉS
Plus en détailRèglement d Ordre Intérieur du service «Accueil Assistance» Remplacement de personnel dans les milieux d accueil
Règlement d Ordre Intérieur du service «Accueil Assistance» Remplacement de personnel dans les milieux d accueil A. Utilité Le Règlement d Ordre Intérieur proposé informe chaque partie des différents aspects
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détailPour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.
Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation
Plus en détailLE STATIONNEMENT DES GENS DU VOYAGE DROITS ET DEVOIRS DES MAIRES. Etienne COLSON, avocat au barreau de Lille - Mars 2009 -
LE STATIONNEMENT DES GENS DU VOYAGE DROITS ET DEVOIRS DES MAIRES 1 INTRODUCTION Définition «gens du voyage» => une notion imprécise Seule définition légale = «personnes dont l habitat traditionnel est
Plus en détail