ORDONNANCE COLLECTIVE

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1 ORDONNANCE COLLECTIVE INITIER UNE MESURE DIAGNOSTIQUE : FAIRE LE SUIVI DES MESURES DIAGNOSTIQUES CHEZ LA CLIENTÈLE AU PRISE AVEC DES PATHOLOGIES CHRONIQUES INCLUANT LE DIABÈTE, L HYPERCHOLESTÉROLÉMIE ET L HYPERTENSION RÉFÉRENCE À UN PROTOCOLE : NON OUI DATE D ENTRÉE EN VIGUEUR : Code de classification DSI-OC- SUIVIBILANSANGUINMALADIESCHRONI QUES.V.1.COA DATE DE RÉVISION PRÉVUE PRN PROFESSIONNELS VISÉS PAR L ORDONNANCE ET SECTEUR(S) D ACTIVITÉ(s) : INFIRMIÈRES DU GMF DES FRONTIÈRES GROUPE DE PERSONNES VISÉES OU SITUATION CLINIQUE VISÉE : TOUTE CLIENTÈLE NÉCESSITANT UN SUIVI PÉRIODIQUE POUR ASSURER LA STABILITÉ DU DIABÈTE, DE L HYPERCHOLESTÉROLÉMIE ET DE L HYPERTENSION. ACTIVITÉS RÉSERVÉES DE L INFIRMIÈRE : ÉVALUER LA CONDITION PHYSIQUE ET MENTALE D UNE PERSONNE SYMPTOMATIQUE. INITIER DES MESURES DIAGNOSTIQUES ET THÉRAPEUTIQUES, SELON UNE ORDONNANCE. EFFECTUER LE SUIVI INFIRMIER DES PERSONNES PRÉSENTANT DES PROBLÈMES DE SANTÉ COMPLEXE INDICATION : TOUT USAGER AYANT UN SUIVI DE MALADIES CHRONIQUES (DIABÈTE, HYPERTENSION, HYPERCHOLESTÉROLÉMIE) AU GMF DES FRONTIÈRES ET QUI NÉCESSITE DES ÉPREUVES DIAGNOSTIQUES. CONDITIONS : LE PERSONNEL SOIGNANT DOIT : POSSÉDER LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES, LES COMPÉTENCES REQUISES ET LE JUGEMENT CLINIQUE. ÉVALUER L ÉTAT DE SANTÉ DE LA PERSONNE AVANT D APPLIQUER UNE ORDONNANCE COLLECTIVE. CONNAÎTRE LES RISQUES INHÉRENTS À L ACTIVITÉ.

2 POUVOIR SE RÉFÉRER AU MÉDECIN TRAITANT QUANT AU SUIVI DE L USAGER ET AU MÉDECIN RÉPONDANT QUANT AU CONTENU SCIENTIFIQUE DE L ORDONNANCE COLLECTIVE. INTENTION THÉRAPEUTIQUE: S/O OBJECTIF VISÉ : S ASSURER DE LA STABILITÉ DE LA CONDITION CLINIQUE DES USAGERS SUIVI POUR DES MALADIES CHRONIQUES CONTRE-INDICATION : AUCUNE LIMITES / ORIENTATION VERS LE MÉDECIN : LES PRESCRIPTIONS MÉDICALES ONT TOUJOURS PRÉSÉANCE SUR L ORDONNANCE COLLECTIVE SELON LES RÉSULTATS DE LABORATOIRES OBTENUS, RÉFÉRER À L ANNEXE 6 AFIN D ORIENTER L USAGER VERS LE MÉDECIN AU BESOIN. DIRECTIVES À L INFIRMIÈRE: ÉPREUVES BIOMÉDICALES EN DÉBUT DE SUIVI, VÉRIFIER LES EXAMENS DE LABORATOIRE ANTÉRIEURS (DERNIÈRE ANNÉE) AFIN DE COMPARER CEUX-CI AUX EXAMENS NÉCESSITÉS DANS LE SUIVI. SUITE À LA VÉRIFICATION, S ASSURER DE DEMANDER LES EXAMENS NÉCESSAIRES, SOIT DANS LE BUT DE DÉBUTER OU COMPLÉTER LA COLLECTE DE DONNÉES INITIALE. COMPLÉTER LA REQUÊTE DE LABORATOIRE DU CSSS EN FONCTION DES ÉPREUVES DIAGNOSTIQUES DEMANDÉES. SIGNER LE NOM DE L INFIRMIÈRE DEMANDANT LES EXAMENS, SUIVI DU NOM DU MÉDECIN QUI RECEVRA LES RÉSULTATS. REMETTRE LA REQUÊTE À L USAGER AFIN QUE CELUI-CI PUISSE SE RENDRE AU CENTRE DE PRÉLÈVEMENT. FAIRE LA VÉRIFICATION DES RÉSULTATS DE LABORATOIRE DEMANDÉS DANS LE BUT DE FAIRE UN SUIVI ADÉQUAT.

3 ÉLECTROCARDIOGRAMME EN DÉBUT DE SUIVI, VÉRIFIER LA PRÉSENCE D UN ÉLECTROCARDIOGRAMME AU DOSSIER (DANS LA DERNIÈRE ANNÉE). DANS LE CAS OU AUCUN ECG N APPARAIT AU DOSSIER, FAIRE UNE REQUISITION AU CSSS EN SUIVANT LES INDICATONS SUIVANTES : Type de clientèle Critères Diabétique* Hypertendue** Toute personne de plus de 40 ans Toute personne dont le diabète remonte à plus de 15 ans Toute personne avec une hypertension Protéinurie Diminution des pouls distaux Souffle cardiaque Systématique Dyslipidémique Systématique *Lignes directrices de pratiques clinique 2008 de l Association canadienne du diabète pour la prévention et le traitement du diabète au Canada, Canadian journal of diabetes, 2008 ** Recommandations de 2010 du PECH pour la prise en charge de l hypertension, 2010 DIRIGER L USAGER VERS LE CENTRE DE RENDEZ-VOUS DU CSSS AFIN QU IL PUISSE Y DÉPOSER SA REQUÊTE. Référence aux méthodes de soins : S/O SOURCES: ASSOCIATION CANADIENNE DU DIABÈTE, LIGNES DIRECTRICES DE PRATIQUES CLINIQUE 2008 DE L ASSOCIATION CANADIENNE DU DIABÈTE POUR LA PRÉVENTION ET LE TRAITEMENT DU DIABÈTE AU CANADA, CANADIAN JOURNAL OF DIABETES, VOLUME 32, 2008 CAMPBELL N., ET AL. RECOMMANDATIONS DE 2010 DU PECH POUR LA PRISE EN CHARGE DE L HYPERTENSION, PROGRAMME ÉDUCATIF CANADIEN SUR L HYPERTENSION, 2010 GENEST J., ET AL., LIGNES DIRECTRICES 2009 DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE POUR DIAGNOSTIQUER ET TRAITER LA DYSLIPIDÉMIE ET PRÉVENIR LA MALADIE CARDIOVASCULAIRE CHEZ L ADULTE. RECOMMANDATIONS DE 2009, CANADIAN JOURNAL OF CARDIOLOGY, VOLUME 25, 2009

4 ANNEXES 1 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle diabétique et prédiabétique 2 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle hypertendue 3 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle dyslipidémique Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle dyslipidémique et diabétique Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle dyslipidémique, diabétique et hypertendue Valeurs normales des analyses biomédicales et orientation médicale Procédures concernant les valeurs anormales et/ou critiques du service du laboratoire du CSSS de la MRC-de-Coaticook

5 Annexe 1 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle diabétique et prédiabétique Clientèle diabétique et prédiabétique Examen Fréquence du suivi Résultats normaux 0 (Début suivi) Tableau de bord annuel Glycémie à jeun Annuel * HDL Annuel LDL Annuel Tryglycérides Annuel Cholestérol Annuel HBA1C Aux 3 mois Microalbuminurie Annuel TSH Annuel Créatinine Annuel (*)Pour confirmer l exactitude des résultats obtenus avec un glucomètre, il faut au moins une fois par année mesurer la glycémie avec le glucomètre et comparer le résultat à celui obtenu au laboratoire, prélevé au même moment 1 Le résultat de la glycémie mesurée à jeun au moyen d un lecteur de glycémie devrait différer de moins de 20% par rapport à la mesure du glucose sanguin effectuée simultanément en laboratoire. 1 Lignes directrices de pratiques clinique 2008 de l Association canadienne du diabète pour la prévention et le traitement du diabète au Canada, Canadian journal of diabetes, 2008

6 Annexe 2 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle hypertendue Clientèle avec hypertension artérielle Examen Fréquence du suivi Résultats normaux 0 (Début suivi) Tableau de bord annuel Glycémie à jeun HDL LDL Triglycérides Cholestérol Créatinine Sodium Potassium ***Pendant la phase d entretien du traitement antihypertenseurs, il faut répéter les tests (notamment, les dosages des électrolytes, de la créatinine, du glucose et des lipides à jeun) à une fréquence qui correspond à la situation clinique du patient (Cote D) 2 2 Recommandations de 2010 du PECH pour la prise en charge de l hypertension, 2010

7 Annexe 3 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle dyslipidémique C lientèle avec dys lipidémie Examen Fréquence du suivi Résultats normaux 0 (Début suivi) Tableau de bord annuel Glycémie à jeun HDL LDL Triglycérides Cholestérol hs-crp * * TSH ** AST *** ALT *** CK *** Créatine *** (*) Pré requis : Hommes > 50 ans et femmes > 60 ans avec risque modéré (FRS), dont le C-LDL est < 3, 5 mmol/l. Sans maladies aigüe. La valeur la plus faible après deux mesures à au moins deux semaines d intervalles, constitue la valeur de départ. 3 (**) Le taux initial de thyréostimuline permet de dépister des cas isolés d hyperlipidémie induite par une hypothyroïdie. 4 (***) Les taux d AST, d ALT, de la créatinine et de la créatine-kinase sont utiles pour surveiller les effets indésirables possibles associés au traitement. 5 ()La fréquence des mesures de suivi fait l objet d un débat, mais elles devraient probablement être réalisées 2 fois par années, ou lors de toute modification du traitement hypolipidémiant. 3 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie 4 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie 5 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie

8 Annexe 4 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle dyslipidémique et diabétique C lientèle avec dys lipidémie et diabète Examen Fréquence du suivi Résultats normaux 0 (Début suivi) Tableau de bord annuel Glycémie à jeun * HBA1C HDL LDL Triglycérides Cholestérol hs-crp * * TSH ** AST *** ALT *** CK *** Créatine *** Microalbuminurie (*) Pré requis : Hommes > 50 ans et femmes > 60 ans avec risque modéré (FRS), dont le C-LDL est < 3, 5 mmol/l. Sans maladies aigüe. La valeur la plus faible après deux mesures à au moins deux semaines d intervalles, constitue la valeur de départ. 6 (**) Le taux initial de thyréostimuline permet de dépister des cas isolés d hyperlipidémie induite par une hypothyroïdie. 7 (***) Les taux d AST, d ALT, de la créatinine et de la créatine-kinase sont utiles pour surveiller les effets indésirables possibles associés au traitement. 8 6 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie 7 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie 8 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie

9 ()La fréquence des mesures de suivi fait l objet d un débat, mais elles devraient probablement être réalisées 2 fois par années, ou lors de toute modification du traitement hypolipidémiant. (*)(*)Pour confirmer l exactitude des résultats obtenus avec un glucomètre, il faut au moins une fois par année mesurer la glycémie avec le glucomètre et comparer le résultat à celui obtenu au laboratoire, prélevé au même moment 9 9 Lignes directrices de pratiques clinique 2008 de l Association canadienne du diabète pour la prévention et le traitement du diabète au Canada, Canadian journal of diabetes, 2008

10 Annexe 5 Tableau de suivi du bilan sanguin chez la clientèle dyslipidémique, diabétique et hypertendue C lientèle avec dys lipidémie, diabète et hypertens ion Examen Fréquence du suivi Résultats normaux 0 (Début suivi) Tableau de bord annuel Glycémie à jeun * HBA1C HDL LDL Triglycérides Cholestérol hs-crp * * TSH ** AST *** ALT *** CK *** Créatine *** Sodium Potassium Microalbuminurie

11 (*) Pré requis : Hommes > 50 ans et femmes > 60 ans avec risque modéré (FRS), dont le C-LDL est < 3, 5 mmol/l. Sans maladies aigüe. La valeur la plus faible après deux mesures à au moins deux semaines d intervalles, constitue la valeur de départ. 10 (**) Le taux initial de thyréostimuline permet de dépister des cas isolés d hyperlipidémie induite par une hypothyroïdie. 11 (***) Les taux d AST, d ALT, de la créatinine et de la créatine-kinase sont utiles pour surveiller les effets indésirables possibles associés au traitement. 12 ()La fréquence des mesures de suivi fait l objet d un débat, mais elles devraient probablement être réalisées 2 fois par années, ou lors de toute modification du traitement hypolipidémiant. (*)(*)Pour confirmer l exactitude des résultats obtenus avec un glucomètre, il faut au moins une fois par année mesurer la glycémie avec le glucomètre et comparer le résultat à celui obtenu au laboratoire, prélevé au même moment Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie 11 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie 12 Lignes directrices canadiennes 2009 sur la dyslipidémie 13 Lignes directrices de pratiques clinique 2008 de l Association canadienne du diabète pour la prévention et le traitement du diabète au Canada, Canadian journal of diabetes, 2008

12 Annexe 6 Valeurs normales des analyses biomédicales et orientation médicale Valeurs attendues Examens Hommes Femmes Unités Orientation médicale si: Glycémie à jeun 3,3-5,6 3,3-5,6 mmol/l HBA1C 4,0-6,0 4,0-6,0 % HDL >1,03 >1,30 mmol/l LDL Selon Frammingam mmol/l Triglycérides <1,70 <1,70 mmol/l Cholestérol total < 4,1 < 4,1 mmol/l hs-crp mg/l TSH 0,35-3,50 0,35-3,50 mu/l AST U/L ALT U/L CK U/L Créatinine umol/l Sodium mmol/l Potassium 3,5-5,4 3,5-5,4 mmol/l Microalbuminurie mmol/l Pour les résultats qui sont au-delà des seuils critiques, se référer au mécanisme de notification en vigueur au laboratoire du CSSS. (voir annexe 7) Ce mécanisme a préséance sur cette ordonnance collective. Dans l éventualité d un résultat au-delà du seuil critique qui serait toutefois porté à l attention d une infirmière GMF, il serait prudent que celle-ci s assure qu un suivi a été fait auprès du patient par un médecin. Dans le cadre d un suivi pour dyslipidémie, il est souhaitable que les cibles désirées soient précisées par le médecin traitant. En l absence de cibles prédéterminées, l infirmière utilisera l échelle de Framingham pour déterminer les cibles à viser. L ordonnance collective provinciale sur le traitement des dyslipidémies n étant pas disponible au moment de la rédaction de notre ordonnance collective, l infirmière se réfère au médecin traitant lorsque : Le traitement n est pas toléré Les valeurs cibles ne sont pas atteintes (écart de 10 à 24%) à 2 reprises dans un intervalle de 6 mois Élévation des CK, AST ou ALT plus de 3 fois la valeur normale Dans le cadre du suivi de la microalbuminurie, l infirmière se refère au médecin traitant si le résultat est > 30 mg/l et que cela n était pas connu préalablement pour le patient en question, afin d ajuster la thérapie médicamenteuse.

13 Dans le cadre du suivi de l hypertension, une élévation de 30% et plus de la créatinine, 6-8 semaines après l introduction d un traitement, nécessite une intervention de l infirmière auprès du médecin traitant.

14 Annexe 7 Procédure concernant les valeurs anormales et/ou critiques ***Double-cliquer le document pour y avoir accès en intégralité***

15 MÉDECIN RÉPONDANT DRE PATRICIA LANDRY PROCESSUS D ÉLABORATION Rédigée en collaboration par : MANON PARÉ, INFIRMIÈRE CLINICIENNE GMF DES FRONTIÈRES PHILIPPE LIMOGES, CONSEILLER CLINICIEN EN SOINS INFIRMIERS ET EN GESTION DES PROGRAMMES DE SANTÉ PHYSIQUE Personnes consultées : LOUIS CORBEIL, INFIRMIER CLINICIEN GMF DES FRONTIÈRES COLETTE MADORE, INFIRMIÈRE CLINICIENNE GMF DES FRONTIÈRES CECII Validée par : CARINE FORTIN Directrice des soins infirmiers Date PROCESSUS D APPROBATION APPROUVÉE PAR : COMITÉ DE DIRECTION DU CSSS DE LA MRC-DE-COATICOOK DONALD MASSICOTTE DIRECTEUR GÉNÉRAL DATE APPROUVÉE PAR : RÉSOLUTION DU CMDP DU CSSS DE LA MRC-DE-COATICOOK BERNARD FRENETTE PRÉSIDENT DU CMDP DATE APPROUVÉE PAR : CONSEIL D ADMINISTRATION DU CSSS DE LA MRC-DE-COATICOOK # RÉSOLUTION DU CA DATE

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