CAHIERS D ESPERANCES

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1 CAHIERS D ESPERANCES

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3 ACODEGE Santé et parcours professionnel «Quand gestion de la pyramide des âges, prévention des maladies et risques professionnels, logique de parcours de formation professionnelle riment avec social et solidaire» Je me présente : Nom de la structure : ACODEGE Département : Côte d Or J indique ma Région : Bourgogne Je choisis une entrée : TRAVAILLER, ENTREPRENDRE SE FORMER, APPRENDRE CONSOMMER, SE NOURRIR SE LOGER, HABITER SOIGNER, PREVENIR PARTICIPER, COOPERER FINANCER, EPARGNER CREER, S ÉVADER RENOUVELER, RAJEUNIR GOUVERNER, DEMOCRATISER >3

4 Première Partie : Je me préoccupe, nous nous préoccupons Du mal-être au travail (notamment risques psychosociaux), qui provoque des souffrances personnelles, de l absentéisme, de la désorganisation des services De la dif culté à envisager les problématiques santé et plus largement toute situation de dif culté professionnelle. Deuxième partie : Je fais la preuve, nous faisons la preuve RAPPEL DES OBJECTIFS - Appréhender la gestion des problématiques santé en cours de carrière : évolution dans le temps, changements, situation actuelle, perspectives - Repérer les modes de fonctionnement des organisations : points positifs, points négatifs, ressources et limites - Identi er et analyser des situations individuelles et des expériences signi catives - Repérer les bonnes pratiques et les ressources développées au sein des services et établissements - Evaluer les besoins des institutions et des individus sur ces questions santé et travail AXES DE TRAVAIL 1 Faire évoluer les représentations et la compréhension des questions santé, usure, dif culté professionnelle - Permettre une ré exion partagée autour des questions santé au travail, fragilité, usure, handicap, etc - Faire évoluer les représentations liées à la santé, au vieillissement professionnel - Créer un espace de parole et de concertation libre de tout enjeu professionnel direct - Communiquer des éléments de compréhension sur le sujet : informations 2 - Envisager une meilleure identi cation et anticipation des problématiques santé, des situations de salariés en dif culté. - Inciter les directions et les équipes à concevoir l usure professionnelle et les problèmes de santé comme des réalités tangibles concernant toutes les fonctions et tous les niveaux de la hiérarchie, intégrer ce postulat dans la projection des services et le management salarial. - Faciliter l identi cation d une dif culté, d un besoin : encourager l expression des salariés concernés et garantir la prise en compte de celle-ci par les directions et l institution - Rendre opérationnelles les procédures pouvant/devant être mises en oeuvre pour anticiper la gestion des problématiques santé et usure professionnelle - Elaborer des moyens complémentaires ACODEGE

5 3 Elaborer une gestion des situations problèmes : au niveau des salariés et au niveau des organisations - Rendre opérationnels les moyens qui existent et élaborer des réponses supplémentaires pour que les problématiques liées à la santé, à l usure ou au vieillissement professionnel soient abordées et gérées dans leur globalité : dans l intérêt des personnes-salariées et pour garantir le fonctionnement des organisations - Développer une posture volontaire et engagée dans la prise en compte des situations de salariés en dif culté Troisième Partie : Je développe, nous développons PROPOSITIONS D ACTION - Temps collectifs regroupant l ensemble des salariés, toutes fonctions confondues, d un même établissement ou service. - Temps collectifs inter établissements. - Groupe de travail des représentants du personnel, délégués du personnel. - Création et diffusion de supports de communication et d information. L identi cation et la clari cation des réponses existantes (procédures légales, moyens proposés par l Acodège, dispositifs extérieurs, droits des salariés ) pour les rendre plus accessibles et compréhensibles aux salariés (et aux directions). Une optimisation du rôle des différents interlocuteurs compétents en matière de santé (médecins du travail, CHSCT, DP, RH ) : - clari cation de leurs missions respectives - identi cation de leurs niveaux d intervention et de leur «utilisation» possible par les salariés, les directions - renforcement de leur mise en complémentarité : concertation et collaboration. L optimisation des mesures de prévention et de diagnostic : visites médicales, entretiens professionnels, prévention des risques, document unique de sécurité, référents sécurité, Le renforcement des temps de soutien internes aux établissements et aux services qui permettent aux équipes d appréhender les situations professionnelles complexes : groupes d analyse de la pratique, régulation des équipes, formations spéci ques L élaboration des moyens d anticipation supplémentaires : - renforcement du rôle de veille et d écoute des délégués du personnel sur les questions santé et usure, - mise à disposition d outils aux délégués du personnel sur les problématiques santé au travail, usure, vieillissement professionnel, - mise en place d une communication suivie autour de ces questions au sein des établissements et services, - intervention régulière d acteurs compétents pour sensibiliser et informer les équipes, - sensibilisation/formation de l encadrement à la gestion des problématiques santé, usure et vieillissement professionnel, >5

6 - élaboration d une «procédure Acodège» pouvant être sollicitée par tout salarié en dif culté dans le cadre d une problématique santé : objectifs, conditions, interlocuteurs et moyens. Une étude sur la diversité des situations professionnelles, la spéci cité des différents contextes de travail à l Acodège : dé nition des postes, des compétences et des conditions d exercice de l activité professionnelle pour toutes les fonctions existantes à l Acodège, en intégrant les caractéristiques liées aux différents établissements et services. L application et l utilisation de toutes les réponses existantes - Sollicitation des interlocuteurs et instances compétents : médecins du travail, CHSCT, service RH, OETH, soutien psychologique - Renforcement des procédures légales : temps partiels thérapeutiques, adaptations de postes, fractionnements du temps de travail - Développement d une concertation opérationnelle entre les acteurs : directions, DP, RH, médecins du travail, CHSCT, etc. pour l étude et la gestion des situations - Identi cation et sollicitation des réponses extérieures : MDPH, CPAM, CRAM, OETH, médecins, bilan de compétences, formation L adaptation de la mobilité inter établissements dans le cadre de problématiques santé et usure professionnelle : - Clari cation des objectifs et des limites, - Elaboration d une mise en oeuvre plus proche des salariés et des établissements - Préparation en amont avec le salarié : évaluation approfondie de la situation, des souhaits, des compétences, des dif cultés - Préparation de l éventuel accueil d un salarié avec les établissements, les directions - Temps de transition à organiser : stages, tutorat, périodes d essai - Suivi et accompagnement au changement du salarié : régulations, adaptations en fonction de la situation, de la personne, de l établissement - Renforcement des procédures de concertation entre les acteurs concernés : salariés, directions, équipes, service RH L élaboration d une démarche de mutualisation entre les établissements et les services : postes de travail et compétences, adaptations techniques de certains postes, adaptation du temps de travail, gestion des temps partiel thérapeutiques, etc. La création d un dispositif d accompagnement accessible aux salariés concernés par une problématique de santé. L objectif serait de mettre en place un accompagnement au changement : - évaluation de la problématique, analyse de la situation, - élaboration avec la personne d une projection adaptée, - recherche de solutions, soutien dans les démarches nécessaires, mise en relation avec les instances, les interlocuteurs compétents, etc. ACODEGE

7 La mise en oeuvre d une communication suivie sur les réponses et les moyens existants à l Acodège : informations et explications régulières. En transversal, 4 axes de ré exion seraient à développer : - Faire évoluer la hiérarchisation implicite des métiers à l Acodège : - Dévalorisation, manque de reconnaissance de certaines activités professionnelles (services généraux, administratifs) - Représentations restrictives des différents métiers éducatifs : «survalorisation» de certains services, dévalorisation d autres Envisager la question de l équité des droits acquis (congés, primes ) d un établissement à l autre, d un secteur d activité à l autre. S interroger sur le recrutement : - La dif culté de recruter sur certains postes et dans certains établissements - Le décalage entre les formations théoriques et la réalité des métiers - Un éclairage est demandé à la commission déontologie sur les problèmes d éthique en matière de recrutement et de mise en place du personnel - Le soutien à apporter aux nouveaux embauchés Envisager l accueil, l intégration des nouveaux salariés au sein des services. ACTIONS ENVISAGEES MISES EN OEUVRE Action 1 : Temps d animation collectifs au sein des établissements et services Action 2 : Réunion de travail avec les délégués du personnel, les médecins du travail et CHSCT Action 3 : Accompagnement individuel de salariés concernés par une problématique santé >7

8 ACODEGE

9 ACTIVE Pôle de l économie solidaire circuits courts Je me présente : Nom de la structure : ACTIVE, Pôle de l économie solidaire Département : Saône et Loire J indique ma Région : Bourgogne Je choisis une entrée : TRAVAILLER, ENTREPRENDRE SE FORMER, APPRENDRE CONSOMMER, SE NOURRIR SE LOGER, HABITER SOIGNER, PREVENIR PARTICIPER, COOPERER FINANCER, EPARGNER CREER, S ÉVADER RENOUVELER, RAJEUNIR GOUVERNER, DEMOCRATISER >9

10 Première Partie : Je m indigne, nous nous indignons NOTRE INDIGNATION : «Nous vivons une crise de civilisation qui appelle un projet de civilisation. Si cette idée s impose peu à peu dans tous les milieux, elle reste trop souvent à l état de discours. Les mesures prises ne sont pas à la hauteur des périls.» Claude Alphandéry, Initiateur du Labo de l économie sociale et solidaire Président d honneur de France Active La mondialisation de l économie bouleverse les modes de consommation alimentaire : perte de repères saisonniers, perte de lien avec le local. De ce fait, les étals des supermarchés français se chargent de produits exotiques, de pommes du Chili, de tomates en plein hiver, etc. Le consommateur veut du choix, de la quantité à bas prix! Ces changements pèsent fortement sur l agriculture qui se transforme : disparition des petites exploitations agricoles, baisse des revenus, hausse du foncier. Récemment, la FAO, Organisation des Nations unies pour l alimentation et l agriculture a dénombré plus de 30 pays en crise, où la ambée des prix des denrées de base a entraîné des manifestations et, parfois, a provoqué des émeutes. Dans les pays touchés dans des proportions moins alarmantes, la hausse des prix pénalise gravement les consommateurs pauvres, y compris dans les pays du nord, puisqu ils consacrent une part plus importante de leur budget à l alimentation. Ces révoltes révèlent une crise alimentaire mondiale qui s installe sans doute pour une longue période, à défaut de changement radical d orientation. Elles sont la conséquence de choix économiques et politiques désastreux. La faim dans le monde n est pas une fatalité : elle exige une rupture radicale avec le système économique actuel. (cf. Avec cette mondialisation et l évolution des attentes des consommateurs, les circuits de distribution et les distances s allongent, les rendements de production s accentuent, l utilisation de produits chimiques s accélère, etc. Le réchauffement climatique, la raréfaction des ressources naturelles, les pollutions, etc. obligent à reconsidérer la question du développement et à envisager de nouvelles voies de croissance qui garantissent à long terme un progrès économique, social et environnemental. Cette démarche a un nom : le développement durable (DD). Né de la prise de conscience progressive de maintenir l équilibre entre l homme et son milieu et de la contradiction entre une croissance démographique continue et des ressources naturelles non épuisables, il vise à «satisfaire les besoins de développement des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.» Et répond ainsi aux grands dé s auxquels l humanité est aujourd hui confrontée. (cf. CHAPEAU OU TITRE INDIGNATION : Rendre les habitants acteurs de changement et redonner du sens à sa consommation : lien entre santé, environnement et alimentation. ACTIVE

11 Deuxième partie : Je fais la preuve, nous faisons la preuve ACTIVE propose d animer le territoire par des temps d actions et/ou de sensibilisation autour d une thématique transversale : la promotion des circuits courts. ACTIVE propose des temps de sensibilisation et de formation mais également des outils pour aider les publics à passer de l idée à l action concrète. L objectif est de permettre aux personnes de se questionner sur leurs comportements et de découvrir de nouvelles manières d agir. Pour y parvenir, ACTIVE souhaite utiliser des animations ludiques, participatives et originales et offrir des modes d actions variées. L idée n est pas de culpabiliser les gens mais bien de leur donner l envie, et la possibilité, de changer. Exemples d actions : - Association pour le Maintien d une Agriculture Paysanne : ACTIVE a un rôle de soutien au montage et au développement d associations de consomm acteurs, de promotion de ces initiatives et d intermédiaire entre associations et nouveaux consomm acteurs. - Brigade des Compotes : Un groupe de bénévoles se rend dans des vergers de donateurs de fruits qui pour des raisons diverses ne pourront pas récolter les fruits de leurs arbres (manque de temps, absence au moment de la récolte, impossibilité physique). Ces fruits pourront être redistribués au pro t d associations caritatives ou transformés lors d un évènement festif et convivial puis donnés à ces mêmes associations. Les objectifs de cette action sont : - Éviter le gaspillage de fruits des vergers - Créer du lien social entre les participants à l action - Susciter des pratiques éco citoyennes - Redistribuer les fruits à des associations caritatives Temps de sensibilisation avec l organisation de visites de sites locaux, de projections-débat, d intervention en milieu scolaire et de temps forts partenariaux. L objectif est d aller à la rencontre d un large public en étant présent sur plusieurs lieux, à différents moments de l année et en proposant des actions riches et variées. Groupement d achat de produits alimentaires bio et locaux Ce projet permet de favoriser l accès à une alimentation saine et locale pour tous en s appuyant sur des lieux communs et attirant un public varié, tels que les écoles, et en réduisant le coût des produits via des commandes groupées. Les objectifs de l action sont : - de favoriser l accès à une alimentation saine et locale pour tous. - de créer du lien entre monde rural et monde urbain : meilleure connaissance de l origine des produits, de la façon dont ils ont été produits, possibilité de rencontrer les producteurs. - le maintien de l agriculture de proximité (aménagement du territoire) et le développement de pratiques plus respectueuses de l environnement. - de mettre en évidence le lien entre alimentation, santé et environnement. >11

12 Troisième Partie : Je développe, nous développons Depuis plus de 10 ans, ACTIVE met en place des actions a n d initier une prise de conscience et une modi cation des comportements vers plus de respect de l Homme et de l environnement. Aujourd hui de nombreuses actions existent sur le territoire et beaucoup d acteurs se sont emparés de la question environnementale (maisons de quartier, écoles, associations, élus, etc.) dynamisant ainsi le chalonnais. Cette expérience nous permet de mettre en avant les facteurs de succès de nos actions : - Adapter les actions aux publics visés : connaître le niveau de connaissance et les attentes des personnes. - Identi er les acteurs de terrains et travailler en partenariat avec eux, et ce dès la conception du projet. Si possible associer le public cible. - Concevoir des actions originales, participatives et ludiques. - Instaurer des relations conviviales avec les partenaires et les béné ciaires. - Proposer une régularités aux actions / prévoir des suites aux temps de sensibilisation a n de ne pas démotiver les personnes Notre expérience montre que même avec peu de moyens, beaucoup de choses sont possibles. Il est pour cela nécessaire d imaginer de nouvelles formes d actions, simples et ludiques, et de s appuyer sur des partenaires locaux. Aujourd hui, les conséquences des choix de développement passés sont réels et commencent à être reconnus par tous : pollution des sols, émeutes de la faim, problème de santé, réduction de la biodiversité, etc. Cette situation constitue paradoxalement une situation favorable à l action : élus, associations et publics sont aujourd hui sensibilisés aux notions de «développement durable» ou «d environnement». Ils ont compris l urgence et sont prêts à aller plus loin et à s engager dans des actions concrètes. Les mentalités ont évolué, consommer des fraises en plein hiver n est plus un signe de progrès et beaucoup essaie de remettre du lien entre leur alimentation et leur environnement. ACTIVE

13 ACTIVE Création d activités Je me présente : Nom de la structure : ACTIVE, Pôle de l économie solidaire Département : Saône et Loire J indique ma Région : Bourgogne Je choisis une entrée : TRAVAILLER, ENTREPRENDRE SE FORMER, APPRENDRE CONSOMMER, SE NOURRIR SE LOGER, HABITER SOIGNER, PREVENIR PARTICIPER, COOPERER FINANCER, EPARGNER CREER, S ÉVADER RENOUVELER, RAJEUNIR GOUVERNER, DEMOCRATISER >13

14 Première Partie : Je m indigne, nous nous indignons NOTRE INDIGNATION : Dans son travail quotidien d accompagnateur, Active constate que la création d activités est envisagée par des personnes aux pro ls, aux motivations et aux projets très variés. Toutefois, les différents acteurs de la création d activités s accordent à dire que les futurs créateurs ne sont pas le re et exact de la population dans son ensemble. De plus, l accompagnement et le nancement des initiatives économiques n est pas aussi présent que le nécessiterait un potentiel qui peine à émerger. Et bien que cela soit envisagé par un grand nombre de personnes, tout le monde n accède pas au statut de chef d entreprise, ce que nous pouvons expliquer par des raisons très diverses : - le poids de la culture salariale, - le manque d information, - les freins personnels ou culturels, - l absence d une structure d accompagnement à proximité, - les préjugés et a priori sur l entreprise, - l inadéquation des compétences professionnelles, - l isolement et le faible réseau social, - les moyens nanciers, - Et même parmi les projets qui aboutissent, il y a des inégalités vis-à-vis des chances de viabilité économique, selon plusieurs facteurs : - la création d entreprise est un choix délibéré ou une nécessité, - le porteur de projet a été accompagné, - l entourage familial soutient le créateur, - l accès aux aides nancières, - l expérience professionnelle et les compétences techniques, - les capacités de gestion et de direction, - A n de faciliter l accessibilité de nouveaux porteurs de projet à l entrepreneuriat, Active souhaite être présent auprès du plus grand nombre et donner à tous la capacité et la liberté réelle de créer une activité économiquement viable. CHAPEAU OU TITRE INDIGNATION : Entreprendre autrement : Créer un espace unique d échanges, de créativité, d accompagnement et de construction qui développe une nouvelle manière d entreprendre ensemble. ACTIVE CREATION CIRCUITS

15 Deuxième partie : Je fais la preuve, nous faisons la preuve LE MODE DE FONCTIONNEMENT DU PROJET : - Des entretiens individuels avec une équipe professionnelle appuyée par des bénévoles. - Des ateliers thématiques pour acquérir une culture générale de base sur les aspects techniques de la création. - Des rencontres entre porteurs de projets pour échanger des informations, des expériences et mutualiser les compétences au pro t de chaque projet. - Des temps de ré exion, stratégiques ou festifs pour créer une dynamique collective et solidaire où chacun s implique pour développer la création d activités. L état d esprit du projet : Révélateur de personnes Active accompagne la création d activité en plaçant l individu au centre. Notre méthode vise à véri er la viabilité du projet et à mettre les personnes en situation de réussite professionnelle. Le porteur de projet devient expert de son propre projet et décide de créer en toute conscience. Accompagnateur de projets Active contribue à faire émerger de nouveaux projets. Depuis l idée du projet jusqu à sa concrétisation, Active écoute, soutient et accompagne les porteurs de projets dans la ré exion et dans l étude de faisabilité du projet. Nous apportons notre expertise sur les points techniques du projet et nous mettons à disposition notre connaissance du territoire et des réseaux de proximité pour permettre de trouver des partenaires et des débouchés aux différents projets dans une optique de développement du territoire. Agitateur d idées nouvelles Experts en création d entreprise, nous sommes un lieu de ressources et d informations. Aux cotés des porteurs de projets, nous apportons nos idées et nous proposons une dynamique de ré exion permettant de prendre en compte la situation de la personne et son projet et l environnement dans lequel il s inscrit. Précurseur de pratiques Notre méthode repose sur une dynamique collective et participative. Les sessions collectives apportent un regard neuf sur les projets. Elles sont menées de manière à favoriser l expression individuelle et inciter la participation de tous. La contribution du groupe permet de mettre en commun des idées et des expériences et permet également au porteur de projet de se recentrer sur son projet. Vecteurs de lien social, ces temps de travail incitent à la rencontre et à l échange d expériences. >15

16 Troisième Partie : Je développe, nous développons) L association ACTIVE souhaite être présente auprès du plus grand nombre et proposer une offre d accompagnement améliorant les conditions de créations d activités et d emplois. De ce fait, toute personne ayant besoin d informations ou d accompagnement liés à la création d activités peut être suivie par ACTIVE sans qu il y ait de modalités de sélection des participants à notre action. Les participants prennent connaissance de notre action par les actions de communication que nous menons auprès du grand public et par les partenariats que nous entretenons, notamment avec les dispositifs d insertion (Pôle emploi, travailleurs sociaux etc ) ce qui nous permet de toucher des publics qui rencontrent des dif cultés face à l emploi. Et nous constatons que parmi les béné ciaires accueillies, 70 % sont en recherche d emploi. Réalisations constatées en 2010 : Quelques chiffres personnes accueillies porteurs de projets accompagnés - 96 créations portées par 100 créateurs - 56 suivis post-création Le pro l des créateurs - 54 % de femmes 46 % d hommes - Age moyen : 37 ans - 62 % habitent le Grand Chalon dont plus de la moitié Chalon % sont demandeurs d emploi et 22 % salariés - 4 béné ciaires du RSA Les secteurs d activités majoritairement représentées dans les créations sont le commerce et les services à la personne. ACTIVE CREATION CIRCUITS

17 ACTIVE Développer ESS Je me présente : Nom de la structure : ACTIVE, Pôle de l économie solidaire Département : Saône et Loire J indique ma Région : Bourgogne Je choisis une entrée : TRAVAILLER, ENTREPRENDRE SE FORMER, APPRENDRE CONSOMMER, SE NOURRIR SE LOGER, HABITER SOIGNER, PREVENIR PARTICIPER, COOPERER FINANCER, EPARGNER CREER, S ÉVADER RENOUVELER, RAJEUNIR GOUVERNER, DEMOCRATISER >17

18 Première Partie : Je m indigne, nous nous indignons IMPLIQUER LES HABITANTS POUR UN CHANGEMENT DE PRATIQUES CONDUISANT À UN DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE PLUS SOLIDAIRE. Qui mieux que les habitants eux-mêmes peuvent exprimer les problèmes du quotidien et qui mieux que les habitants eux-mêmes peuvent imaginer des solutions au plus proche des besoins? Nous pensons qu une démarche citoyenne apporte une plus-value rapidement visible et permet progressivement de tisser des liens avec la collectivité. On peut construire une réelle démocratie participative si l on encourage aussi les habitants à s impliquer dans la résolution des problèmes de leur quotidien. Il devient alors plus facile de les associer à la conception et la prise de décisions qui engagent plus globalement la collectivité. L implication des habitants permet également d amorcer le changement de pratiques conduisant à un développement économique, social et environnemental durable. Elle inscrit cette démarche citoyenne dans une logique de développement durable, c est à dire des initiatives qui assurent une meilleure qualité de vie tout en investissant pour les générations futures. Les enjeux d une telle démarche sont fondamentaux : - La prise en compte des problématiques quotidiennes des habitants - Le développement d activités et l innovation en matière de services - La participation et l engagement des habitants Deuxième partie : Je fais la preuve, nous faisons la preuve LE FONCTIONNEMENT DU PROJET Active est une structure professionnelle d accompagnement pour tous les porteurs de projets, quels qu ils soient (individuel, collectif, association, entreprise, nalité économique, initiative citoyenne ). - Le fonctionnement : accompagnement des porteurs de projets sur rendez-vous dans les locaux d ACTIVE également accessibles au public pour renseignement aux horaires d ouverture ; si besoin permanences ou rencontres dans d autres locaux. - Les publics visés : les chalonnais porteurs d une idée, d un projet liés à une problématique ayant une utilité collective (déplacements, gardes d enfants, cadre de vie, solidarité ), les associations souhaitant développer de nouvelles actions, les services municipaux ou para municipaux désireux de travailler sur des thèmes innovants - Les services proposés : un accompagnement méthodologique, des outils d aide à la ré exion, des moyens d accès à l information et de la documentation, des rencontres entre porteurs de projets, des personnes-ressources pouvant apporter leur expertise et leur soutien technique ACTIVE DEVELOPPER ESS

19 - Les compétences réunies : accompagnement de projets individuels et collectifs, expertise en économie solidaire et pour les démarches participatives, étude de faisabilité, montage juridique et nancier, communication, mobilisation de partenaires relais pour la détection de porteurs de projets, connaissances des acteurs locaux Des exemples de thèmes qui peuvent être développés Consommation durable : - marché de producteurs locaux : circuits courts, valorisation des productions locales, commerce équitable local - annuaire partagé «consommer autrement» à Chalon : mise en commun et diffusion des informations. - nances solidaires : épargne locale pour micro-crédit social. Projets de vie solidaires : - crèche parentale : mode de garde alternatif à forte implication des parents. - micro-crèches ou rassemblements d assistantes maternelles : mode de garde pouvant répondre aux horaires atypiques. - habitat intergénérationnel : lieux conçus pour favoriser les solidarités entre voisins et permettre le maintien à domicile des personnes âgées. - services de déplacements solidaires : accompagnement de personnes âgées ou handicapées par des habitants bénévoles pour des sorties culturelles - pédibus : circuits de ramassage à pied des enfants scolarisés, encadrés par des parents bénévoles. Engagements solidaires : - mobilisation bénévole de salariés pour un projet soutenu par leur entreprise : soutien scolaire, recueil de denrées alimentaires - journée «grand nettoyage de la ville» : projet d auto-sensibilisation des habitants au respect de leur environnement. - espaces verts publics auto-gérés : lieux de rencontres, d animations, de transmission de savoirs (potager, ruches, verger ) Troisième Partie : Je développe, nous développons) Objectif de l action : Faire émerger des projets dans des communes pilotes et en faire des territoires exemplaires avec des projets transférables à d autres communes. >19

20 ACTIVE DEVELOPPER ESS

21 ACTIVE L ESS fait son cinéma Je me présente : Nom de la structure : ACTIVE, Pôle de l économie solidaire Département : Saône et Loire J indique ma Région : Bourgogne Je choisis une entrée : TRAVAILLER, ENTREPRENDRE SE FORMER, APPRENDRE CONSOMMER, SE NOURRIR SE LOGER, HABITER SOIGNER, PREVENIR PARTICIPER, COOPERER FINANCER, EPARGNER CREER, S ÉVADER RENOUVELER, RAJEUNIR GOUVERNER, DEMOCRATISER >21

22 Première Partie : Je m indigne, nous nous indignons INTERPELLER L OPINION PUBLIQUE ET FAVORISER UNE PRISE DE CONSCIENCE SUR LA NÉCESSITÉ DE CHANGER NOS HABITUDES DE CONSOMMATION ET NOS PRATIQUES POUR CONDUIRE À UN DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE PLUS SOLIDAIRE ET RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT. Manger est un plaisir mais avant tout une nécessité mais que savons-nous des pratiques de l industrie agro-alimentaire et de ses conséquences sur notre santé? Estil normal que ceux qui nous nourrissent ne mangent pas à leur faim? Pourquoi acheter équitable? Qu est ce que le bio? Quelle est la différence entre une coopérative et une société classique? Que connaissons-nous des alternatives à l économie de marché? Aujourd hui, nous avons le devoir d informer les citoyens sur le pouvoir dont ils disposent avec leurs portefeuilles, des conséquences liées à nos actes d achats sur l environnement, sur nos santés ou encore sur les conditions de vie de paysans vivant à des milliers de kilomètres. L idée n est pas de culpabiliser les gens mais bien de leur donner envie de changer et d en montrer la nécessité. Les enjeux d une telle démarche sont fondamentaux : - Faire comprendre la nécessité de modi er nos pratiques individuelles - Mettre en évidence les différents moyens d actions - Faire connaître les innovations et les alternatives possibles pour un changement nécessaire - La participation du public, de membres d associations et d élus aux débats Deuxième partie : Je fais la preuve, nous faisons la preuve LE FONCTIONNEMENT DU PROJET L idée est d aller à la rencontre du public, sur son lieu de vie a n de mettre en évidence de façon concrète ses possibilités d actions. - Le fonctionnement : Projection de séances ciné/débat tout au long de l année, à Chalon, aussi bien au centre ville que dans les quartiers et dans d autres communes du pays du Chalonnais en s appuyant sur des temps forts tels que les fêtes de quartiers. - Les publics visés : les habitants du pays du chalonnais, les associations, les élus concernés par les problématiques. ACTIVE ESS FAIT SON CINEMA

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