par ruissellement qu une surface naturelle. Les zones artificielles sont passées en huit ans de km 2 à km 2
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- Marie-Josèphe Pépin
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1 ETAT DES LIEUX SITUATION GENERALE Les parkings, les toitures imperméabilisés restituent 4 à 20 fois plus d eau par ruissellement qu une surface naturelle. Les zones artificielles sont passées en huit ans de km 2 à km 2
2 CONSEQUENCES: les inondations De plus en plus vite, de plus en plus importantes...
3 Les différents types de ruissellements suivant les types d aménagements urbain. Source: Meiss, 1979
4 TOITURES VEGETALISEES ET URBANISME L imperméabilisation est la première conséquence de l urbanisation sur le territoire urbain.
5 TOITURES VEGETALISEES ET L URBANISME L eau s écoule trop vite pour permettre une restitution d humidité pour le climat urbain! Par exemple, à Paris entre 1900 et 1930 à la station météorologique du Parc de Montsouris: - on constatait de l ordre de 15 à 25 jours de brouillard par an. - depuis plus de 15 ans aucun jour de brouillard n est relevé. - l assèchement du climat urbain est une réalité. La végétalisation des toitures est une technique éprouvée qui peut fortement contribuer à l humidification de l air.
6 Ruissellement sur un toit plat conventionnel et un toit végétalisé extensif sur une période de 22 heures.
7 CONSEQUENCES : hausse des températures L effet îlot de chaleur Forêt Zone industrielle Centre ville Habitations Parc Lotissement ouvert De plus en plus chaud, De plus en plus sec.
8 La température moyenne des villes a augmenté en France de 4 à 6 C au cours des 25 dernières années.
9 50% de la totalité des eaux de pluies restent sur un toit végétaisé
10 Les toitures végétalisées contribuent à adoucir le climat urbain
11 Mais les temps changent grâce à vous...
12
13 LES TOITURES VEGETALES sont aussi la cinquième façade
14 Effets d une toiture végétalisée sur la pluie 1- Rétention d eau Absorption par le complexe de culture végétal (jusqu à saturation) Retenue d eau dans la couche de drainage 2- Ralentissement de l évacuation Outil de régulation de la gestion de l eau pluviale sur la parcelle 3- Evapotranspiration
15 Les paramètres caractéristiques Rétention CME: capacité maximale en eau Coefficient de ruissellement total Retard Coefficient de ruissellement en fonction du temps Evapotranspiration ETP
16 Rétention Données d expérimentations allemandes (Liesecke 1998) - CME des substrats de culture Subst. végét. Intensives: 49.6% Subst. végét. extens. multicouches: 44.3% Subst. végét. extens. monocouches: 23.9% - Coefficient de ruissellement (pente < 5%) Complexe de culture cm: 0.4 Complexe de culture 6-10 cm: 0.5 Complexe de culture 4-6 cm: 0.6 Retard ( Ex. extensif 10 cm, Substrat minéral) Séquence de précipitation r(15) = 300l/ha Précipitation 15 min après 30 min après ψ
17 L expérimentation ARIA CSTB Champs-sur-Marne Caractéristiques de la toiture 146 m², deux sorties E.P. Complexe extensif 10 cm Paramètres mesurés 1. Eau sortante (augets de 3 litres) 2. Pluviométrie 3. Ensoleillement, vitesse et direction du vent, température, humidité relative. Intervalle de mesure de 3
18 L effet de rétention globale
19 Evènement été: 17 Juin 2003
20 Evènement hiver: Janvier 2004
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