Présenté par Christine Arsenault et Michèle Albert dans le cadre du colloque Bien s organiser pour soigner CII-CIR 2009
|
|
- Diane Métivier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Présenté par Christine Arsenault et Michèle Albert dans le cadre du colloque Bien s organiser pour soigner CII-CIR 2009
2
3 Un réseau en évolution Les 15 dernières années ont été le théâtre de profondes transformations dans le système de santé québécois. L amélioration de l accessibilité aux services pour tous les citoyens; La maîtrise des coûts; L'augmentation de l'efficience des services; La réponse aux attentes des citoyens; L'amélioration de la qualité des services.
4 Impact de la déprofessionnalisation Érosion de la qualité de soins; Augmentation d évènements accidents/incidents; Augmentation des arrêts de travail; Démobilisation des infirmières.
5 Retournons en 2003 «Failure to rescue» Survenue de plusieurs événements sentinelles qui nous obligent à sortir nos «lunettes systémiques». Besoin de remonter jusqu à l origine des accidents.
6 Comité clinique d amélioration continue de la qualité Premier jalon vers une organisation apprenante; Mandat du comité : Analyse de dossiers; Revue de la littérature/alliance avec des experts. Émergence d un processus de professionnalisation
7 Facteurs conditionnant la réussite d une réorganisation du travail Principe d autonomie; Principe de cohérence; Principe de responsabilisation; Principe d apprentissage; Principe de flexibilité systémique. Réal Jacob
8 Un défi pour les professionnels Au CSSBC, en 2006, les infirmières envoient un message clair : «Besoin de revoir le soutien au développement des compétences tant pour les débutantes que pour les infirmières d expérience.»
9 Rôles et mandats du CII Formuler des avis et des recommandations au conseil d administration et au directeur général; Apprécier de manière générale la qualité des actes infirmiers posés; Les moyens à prendre pour évaluer et maintenir les compétences des infirmières et infirmiers; Toutes autres questions que le directeur général porte à son attention. Source OIIQ
10
11 Écologie d apprentissage guidée par Importance du transfert des connaissances pour assurer la pérennité des services; Reconnaissance de la richesse immatérielle du savoir des travailleurs.
12 Agir avec compétence Un professionnel compétent se reconnaît par son engagement à : Mobiliser ses ressources personnelles et les ressources externes; Poser et résoudre un problème avec pertinence; Faire face à des situations de soins souvent complexes. Guy Le Boterf
13 Données inquiétantes en transfert des savoirs Taux de rétention d apprentissage après une formation : 40 % est retenu immédiatement après la formation; 25 % après 6 mois; 15 % après un an. Tunnenbaum et Yuki
14 Définition de l apprentissage en milieu de travail On reconnaît maintenant l importance de l apprentissage non structuré, constitué de l ensemble des connaissances et aptitudes acquises ou transmission d un professionnel à un autre et la transmission entre collègue. Conseil canadien sur l apprentissage
15 Apprentissage en milieu de travail selon une logique de connectivisme Le contexte actuel du travail doit être envisagé comme un processus de formation et de connexion en réseau. Ce mouvement doit partir du terrain. George Siemens
16 Changement de paradigme Le CSSS de la Baie-des-Chaleurs a passé d un paradigme de formation en salle de cours à celui d apprentissage continu dans et par l organisation.
17 Comment se traduit notre philosophie d apprentissage dans le quotidien Combinaison de formations structurées en salle de cours et de formations dans l action; Études de cas; Compagnonnage structuré et informel; Lieux communs d apprentissage pour échanges et débats d idées.
18 (Suite) Outils de conservation de mémoire organisationnelle et dispositifs variés de transfert de connaissances (intranet, aide-mémoire, DVD, Ipod Touch ); Double-boucle d apprentissage en gestion des risques; Bons coups et accident-incidents comme opportunités d apprentissage.
19 Et pour la génération Y Outils d apprentissage privilégiant : Le juste à temps; Le juste assez; Le juste pour moi; L interactivité.
20 Importance du savoir expérientiel De plus en plus de chercheurs avancent que pour faire fonctionner une organisation : 70 % de son savoir tacite (savoir acquis de l expérience); 30 % de savoir explicite (règles et normes).
21 Avez-vous songé à l impact pour le fonctionnement et la qualité de soins que peut avoir une infirmière d expérience qui quitte pour la retraite avec tout son savoir?
22 Comment conserver et transférer les connaissances cruciales des infirmières d expérience Générosité de l infirmière; Valeurs de culture d apprentissage dans l organisation; Outils concrets pour débusquer et formaliser les savoirs.
23 Comment initier une culture d apprentissage comme membre du CII Proposer des solutions pour améliorer la qualité de soins; Partager vos idées d améliorations avec vos collègues; Participer aux activités du CECII; Déclarer les situations nuisibles afin qu elles fassent partie d une boucle d apprentissage.
24
25 Devenir une organisation apprenante Processus dynamique interactif réfléchi mais non linéaire; Aucune formule standard; Art de vivre/art d être humain; Pratique de tous les jours dans le quotidien du travail; Doit partir du terrain et être converti par le niveau intermédiaire; Leadership transformationnel.
26 Révélation pour le CSSSBC Formalisation et transmission des savoirs tacites des travailleurs d expérience et formation par les TIC par Louise Marchand, Nancy Lauzon et Laetitia Pérès. Utilisation de la vidéo et compagnonnage comme moyen concret de l articulation des savoirs
27 Première expérience pour le CSSSBC Dispositif de transfert des connaissances en maternité : bougie d allumage en transfert des connaissances
28 Dispositif de transfert des connaissances comme processus de professionnalisation Repérage de connaissances cruciales; Création d un livre de connaissances; Mises à jour de procédures de soins; Interactions soutenues entre les professionnelles jeunes et expérimentées; Effervescence professionnelle.
29 Avantages reconnus de l utilisation de la vidéo Le personnel peut visionner le contenu d apprentissage au moment opportun; Le nombre de fois qu il désire; Utilisé pour susciter des discussions; Utilisé pour débusquer le savoir; Peu coûteux et facile d utilisation; Répond au «juste à temps, juste assez, juste pour moi».
30
31 Où en sommes-nous au CSSSBC en 2009? Secteurs impliqués : soins aigus, santé mentale, soins à domicile, périnatalité, réadaptation et Service santé, prévention des infections; Projets à venir : longue durée, entretien sanitaire, psychosocial.
32 (Suite) Indicateurs en : Diminution des événements sentinelles : 2 répertoriés, mais sans conséquence pour la santé des patients; Mobilisation du personnel : 14 projets en cours; Partage des connaissances : 65 professionnels sont directement impliqués dans des projets de transfert; Augmentation des projets intrapreneuriaux : 5 projets majeurs en cours; Coopération entre les différents secteurs et entre professionnels.
33 Ensemble vers une organisation apprenante Nous sommes maintenant convaincus que pour faire face au contexte actuel au sein du réseau, nous avons besoin des talents de chacun, relier les cerveaux, les savoir-faire métiers, les expériences de toutes les infirmières de la province. Ce n est qu ensemble que nous pourrons nous dépasser et créer un savoir collectif
34 «Je suis qui je suis grâce à ce que nous sommes tous» Proverbe africain Ubuntu
Le monde bouge, change, nous nous devons de le suivre voire de le précéder en anticipant son évolution.
FORMATION CEFIEC Editorial La formation est par essence continue. Le monde bouge, change, nous nous devons de le suivre voire de le précéder en anticipant son évolution. La technique, l informatique semblent
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailOn a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir.
Le droit d être informé prend sa source dans les droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés québécoise. L article 44 confirme que tout Québécois a droit à l information, sous réserve de la
Plus en détailLES CONGES DU PRATICIEN HOSPITALIER FICHES PRATIQUES
LES CONGES DU PRATICIEN HOSPITALIER FICHES PRATIQUES 1 SOMMAIRE RTT / CET p. 4 et 5 LES CONGES FORMATION p. 6 LES CONGES MATERNITE ET PATERNITE p. 7 et 8 LE CONGE PARENTAL p. 9 et 10 LES AUTORISATIONS
Plus en détailPRIX ENTREPRISE & CONVIVIALITE 2011
PRIX ENTREPRISE & CONVIVIALITE 2011 14e Convention du 16 juin 2011 Catégorie 1. Activité conviviale LIPDUB du service Télévente du groupe Descriptif : Réalisation d un clip musical mettant en scène les
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailUne vie saine à TELUS
Une vie saine à TELUS Colloque du Conseil du patronat 17 septembre 2013 François Cliche Membre de l équipe TELUS 1 Introduction La santé mentale TELUS Stratégie d entreprise Stratégie santé et mieux-être
Plus en détailSTATISTIQUES A DEUX VARIABLES
Evaluation de Mathématiques Bac Pro Date : STATISTIQUES A DEUX VARIABLES Liste des capacités, connaissances et attitudes évaluées Capacités Connaissances Attitudes Evaluation A l aide des TIC, représenter
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailFORMATION PNL CYCLE COMPLET. «Révélez vos talents»
Formation Coaching Préparation Mentale athlètes haut-niveau Enseignement de la PNL Annecy Genève Aix-les-Bains Chambéry Contact : +33677610793 s.thomas-conseil@orange.fr www.sebastien-thomas-conseil.com
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailDANSE, CHANT ET SPECTACLE LE SEJOUR INFOS PRATIQUES. Adresse du séjour
LE SEJOUR Référence > SPECTCR2014 Agrément > JEUNESSE ET SPORTS Dates > Du 19/10/2013 au 02/11/2013 Ages > de 12 à 17 ans A partir de > 420,00 Frais de dossier > 19,00 /personne Chanteurs, musiciens ou
Plus en détailMUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine
MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine N 13 : 30 mars 2011 Priorité Santé Mutualiste : un kit de communication pour permettre aux mutuelles de promouvoir
Plus en détailVENIR SE SOIGNER EN FRANCE
Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailLa formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain.
La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. Olivier Guissard,, infirmier en unité de pneumologie, en charge de
Plus en détailInformatique et sciences du numérique
Informatique et sciences du numérique Philippe Marquet Colloque IREM, Lyon 25 mai 2013 Informatique et sciences du numérique Septembre 2012 : ISN, spécialité en classe de terminale S Pourquoi introduire
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailAnnexe III : Le stage professionnel, réalisés au titre de l ISAP ou de l ISIC, doit permettre l identification de ces différents mécanismes.
Annexe III : Intervention professionnelle en service sociale : Intervention sociale d'aide à la personne (ISAP) et intervention sociale d'intérêt collectif (ISIC) - définitions et exemples - Dans le cadre
Plus en détailRENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003
RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES
Plus en détailLa mission de transmission
f o r u m c r é a t e u r La mission de transmission en accompagnonnage L É c o l e d u G é n i e M u t u e l e n a c c o m p a g n o n n a g e F o n d a t e u r : B e r n a r d L e b l a n c - H a l m
Plus en détailApprentissages personnels des pratiques numériques. De l autoformation à l e-inclusion
Apprentissages personnels des pratiques numériques De l autoformation à l e-inclusion Médiathèque François Mitterrand - Lorient // Apprentissage personnel des pratiques numériques De l autoformation à
Plus en détailPOSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION?
N 372 LAMEUL Geneviève 1 POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? Le développement croissant de l usage des technologies perturbe l école dans son organisation interne, dans son rapport à la société,
Plus en détailL Académie des Dalons
L L est un projet expérimental d insertion sociale et professionnelle dans un dispositif global de soutien de jeunes en difficulté. Il s adresse aux volontaires âgés de 18 à 25 ans qui, sans formation
Plus en détailMinistère de la Santé et des Services sociaux
Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte
Plus en détailExploitation financière : protégez-vous
Exploitation financière : protégez-vous Les banques sont conscientes de l augmentation des cas d exploitation financière dont sont victimes les aînés et les personnes vulnérables. Les banques jouent un
Plus en détailBABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS
Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,
Plus en détailMme Françoise Charbonneau, commissaire, est absente.
Page 106 PROVINCE DE QUÉBEC Ville de Laval À UNE SÉANCE ORDINAIRE du comité exécutif de la Commission scolaire de Laval, tenue le 17 juin 2009, à 17 h 30, au 955, boulevard Saint-Martin Ouest, Laval, à
Plus en détailFondation JAE Une expertise reconnue
Fondation JAE Une expertise reconnue Créée à Lyon en 1991, la fondation JAE est devenue en 15 ans un éditeur et concepteur d outils reconnu par l ensemble des professionnels de l orientation, de la formation
Plus en détailASSOCIATION RECONNUE D UTILITÉ PUBLIQUE SIRET 306 244 310 00059 CODE APE 913 E
Visa pour Ecti www.ecti.org www.ecti.org (intranet p.12) ASSOCIATION RECONNUE D UTILITÉ PUBLIQUE SIRET 306 244 310 00059 CODE APE 913 E BIENVENUE À ECTI Page 2 Vous venez d adhérer à Ecti et nous vous
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailPROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT
PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT Thème ANCIENNES DISPOSITIONS NOUVELLES DISPOSITIONS Appellation Hospitalisation sur demande d un tiers Soins psychiatriques sur demande d un
Plus en détailEnquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC
Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Les emplois repères de cette enquête sont disponibles selon les trois blocs suivants
Plus en détailLe concept de leadership
Le concept de leadership Qu est ce qu un leadership? Le leadership d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre lui et la majorité des membres
Plus en détailSANTE ECOLE ENSEIGNANTS
SANTE ECOLE ENSEIGNANTS Formation des directeurs 13 mai 2014 Nadine Colin, déléguée MGEN SANTE ECOLE ENSEIGNANTS 1. La MGEN, acteur de santé? 2. Eléments de réflexion et de débats 3. Dispositifs et outils
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailDÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE. Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1
DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1 Propriété intellectuelle : Le matériel original développé dans le cadre
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailLes défis du développement du gouvernement électronique. Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé
Les défis du développement du gouvernement électronique Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé La révolution numérique a engendré une pression sur les gouvernements qui doivent améliorer leurs prestations
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailSection narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario
Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Centre d accès aux soins communautaires du Nord-Est Approuvé par le conseil d administration
Plus en détailContenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage
Contenu Introduction Répondants au sondage Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs Pour chacun des quadrants Pour les dimensions des quadrants Retrait de certains indicateurs Indicateurs
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailPremière partie : Mobilisation des connaissances
Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailL INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE
Pour faciliter la lecture de ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE
Plus en détailLe PTI, cet incompris!
Le PTI, cet incompris! ou dix mythes à détruire pour simplifier le PTI Rencontre des partenaires de la formation 28 avril 2014 Joël Brodeur, infirmier-conseil Direction du développement et du soutien professionnel
Plus en détailCOOPERATIVES D ACTIVITES ET D EMPLOI : ENTREPRENEUR SALARIE DANS UNE ENTREPRISE PARTAGEE?
COOPERATIVES D ACTIVITES ET D EMPLOI : ENTREPRENEUR SALARIE DANS UNE ENTREPRISE PARTAGEE? Une idée simple Parcours classique Créer sa propre entreprise Porteur de projet souhaitant vivre de son savoir-faire
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailRESEAUX SOCIAUX ET COLLECTIVITES LOCALES
DOSSIER DOCUMENTAIRE RESEAUX SOCIAUX ET COLLECTIVITES LOCALES > 26 septembre 2012 Dossier réalisé par le centre de ressources documentaires de la Délégation régionale du CNFPT Première Couronne Introduction
Plus en détailL équipe d ISF Qu est-ce qui nous rend uniques?
Gestionnaire de l implication et du recrutement de talent pour le portefeuille africain : Nous cherchons un leader stratégique, passionné par la découverte et le développement d individus talentueux et
Plus en détailMécénat intergénérationnel : l Ircantec lance son appel à projets pour l année 2014
Mécénat intergénérationnel : l Ircantec lance son appel à projets pour l année 2014 Contact presse Isabelle Vergeat-Achaintre Responsable de la communication Tél. 33 (0)2 41 05 21 74 ou 33 (0)6 07 70 13
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailCrédits d impôt pour la recherche scientifique et le développement expérimental («RS&DE»)
Crédits d impôt pour la recherche scientifique et le développement expérimental («RS&DE») Aperçu du programme et occasions à saisir Pascal Martel Yara Bossé-Viola 8 octobre 2014 Objectifs Objectifs du
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailCréer et animer une boutique en ligne avec Wordpress (environnement PC et MAC)
Créer et animer une boutique en ligne avec Wordpress (environnement PC et MAC) OBJECTIFS - Créer une boutique sous wordpress et la référencer. - Mise en place du contenu, des articles Une bonne connaissance
Plus en détailDirection de l'hébergement. Tous les services en CLSC
Direction de l'hébergement ADMISSIONS ET TAUX D'OCCUPATION Centre d'hébergement Quatre-Saisons 34 28 90,20% 99,47% Centre d'hébergement Quatre-Temps 168 190 99,40% 98,45% Centre d'hébergement Saint-Michel
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailOffice de réglementation des maisons de retraite. Conseil consultatif des parties prenantes Mandat
Conseil consultatif des parties prenantes Mandat Autorité : L (ORMR) est établi en tant que personne morale sans capital-actions en vertu de la Loi de 2010 sur les maisons de retraite. Le mandat de l ORMR
Plus en détailL AMORTISSEMENT III NOUVEAUTE AVEC L INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6
L AMORTISSEMENT I DEFINITION L amortissement est la constatation comptable de l amoindrissement de la valeur d un élément d actif sur sa durée probable de vie. Les immobilisations demeurent les éléments
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailTélésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel
Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance
Plus en détailPLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015
PLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015 Novembre 2011 . Pour faciliter la lecture, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent
Plus en détailSONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE
SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE Société canadienne des médecins de soins palliatifs Association médicale canadienne Collège des médecins de famille du Canada Collège royal des
Plus en détailGuide manager pour l entretien professionnel
- 1/14 - Guide manager pour l entretien professionnel Le présent guide a pour objet de faciliter la mise en œuvre de l entretien professionnel et, pour cela, de rappeler pour chacune des étapes les activités
Plus en détailCour de cassation de Belgique
5 DECEMBRE 2011 S.11.0001.F/1 Cour de cassation de Belgique Arrêt N S.11.0001.F AXA BELGIUM, société anonyme dont le siège social est établi à Watermael- Boitsfort, boulevard du Souverain, 25, demanderesse
Plus en détail2011 2012 Animateur de la démarche Lean Contrat de professionnalisation
2011 2012 Animateur de la démarche Lean Contrat de professionnalisation "Confrontés chaque jour à une compétition plus vive et qui se livre désormais à l'échelle de la planète, les industriels doivent
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailSTRUCTURES ORGANISATIONNELLES
Introduction 9 STRUCTURES ORGANISATIONNELLES Par Sven Milelli INTRODUCTION Structures organisationnelles 11 Il existe une grande variété de structures juridiques possibles pour l exploitation d une entreprise
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailDoit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir?
CG 08-02-29 / 011 (FEC) Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir? Document de réflexion présenté au Conseil général de la Fédération des enseignantes
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailAssociation pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées. www.ladapt.net
www.ladapt.net Association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées L ADAPT - association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées - œuvre au quotidien
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailMettre en place le télétravail : un projet qui se construit
1 20 juillet 2015 TITRE DE LA PRÉSENTATION POWERPOINT Mettre en place le télétravail : un projet qui se construit Commission du Débat public Réseau Express Grand Lille PRÉSENTATION DE L ARACT NORD PAS
Plus en détailJournée d étude des leaders en soins infirmiers
Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires
Plus en détailFORMER DES LEADERS EFFICACES POUR DES SYSTÈMES DE SANTÉ PLUS SOLIDES
OUTILS ET APPROCHES FORMER DES LEADERS EFFICACES POUR DES SYSTÈMES DE SANTÉ PLUS SOLIDES Des systèmes de santé plus solides. Un meilleur impact sur la santé. PHOTOS: SYLVIA VRIESENDORP (GAUCHE), AFGHANISTAN
Plus en détail3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées
3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailAccompagnement de la série STMG. Repères pour l enseignement des sciences de gestion
Information et intelligence collective dans le programme de sciences de gestion en 1 ère STMG Visioconférence du 16 mai 2012 Diaporama et texte d accompagnement Accompagnement de la série STMG Classe de
Plus en détailLutin Laboratoire des Usages en Technologies
Lutin Laboratoire des Usages en Technologies d Information Numérique (à la Cité des Sciences) Offres à destination des entreprises (club d entreprises) Le principe de la plate-forme RNRT Le laboratoire
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailRésultats de l'appel à projets CréaMOOCs
Résultats de l'appel à projets CréaMOOCs www.enseignementsup-recherche.gouv.fr @sup_recherche / #1anFUN APPEL A PROJETS CREAMOOCS : DES RESULTATS QUI TEMOIGNENT D UNE FORTE IMPLICATION DES REGROUPEMENTS
Plus en détailMr le Depanneur. Le depanneur est un membre de la disposisition de secours financier Mr le Depanneur ayant un compte depanneur actif ou approuvé.
Mr le Depanneur Mission statement Notre objectif premier est d éviter les personnes à être en retard aux factures, causes de grands dommages aux rapports de credit et de payer des frais de retard très
Plus en détailFormation continue. Politique de publicité sur le portail de formation continue. Projet LMS. Le 24 novembre 2011
Formation continue Politique de publicité sur le portail de formation continue Projet LMS Le 24 novembre 2011 Préparée par la Direction principale, Stratégie, Services et Communication POLITIQUE DE PUBLICITÉ
Plus en détailINSPECTION PROFESSIONNELLE
INSPECTION PROFESSIONNELLE INSTRUMENT DE VÉRIFICATION DE LA NORME DE DOCUMENTATION LE PLAN THÉRAPEUTIQUE INFIRMIER PRODUCTION Service des publications Sylvie Couture Chef de service Karine Méthot Adjointe
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2014-2015
RAPPORT ANNUEL 2014-2015 M A P R E M I È R E L I G N E N U M É R I Q U E E N S A N T É, 888, R U E S A I N T - J E A N, B U R E A U 5 7 5, Q U É B E C (QU É B E C ) G 1 R 5 H 6 ( 5 1 4 ) 840-1 2 4 5 www.mapremierelignenumerique.ca
Plus en détail