Guide des médicaments administrables par voie Sous Cutanée Directe ou par Perfusion Sous Cutanée Directe ou Discontinue -Hypodermoclyse- Edition 2013

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1 Guide des médicaments administrables par voie Sous Cutanée Directe ou par Perfusion Sous Cutanée Directe ou Discontinue -Hypodermoclyse- Edition

2 Rédaction - Relecture Rédaction Olivier Gerbouin - Pharmacien Pharmacie du Groupe Hospitalier Pellegrin Bernard Paternostre Médecin Praticien Hospitalier Service des Soins Palliatifs et d accompagnement Hôpital St ndré Relecture Jean Grellet Pharmacien Chef Pharmacie du Groupe Hospitalier Pellegrin vertissement Malgré les soins apportés à la rédaction de ce guide, il est possible qu une erreur ou coquille ait pu s y glisser. Merci aux lecteurs de bien vouloir signaler une éventuelle inexactitude ou imprécision. Les références bibliographiques sont annexées en fin de document. Dans ce dernier, nous présentons de manière non exhaustive différents médicaments qui peuvent, à priori, être utilisés, sous forme de bolus ou de manière continue à l aide d un pousse seringue électrique ou d une ligne de perfusion. Ils sont présentés avec le niveau de preuve retrouvé dans la littérature : grade = preuve scientifique établie, grade B = présomption scientifique, grade C : faible niveau de preuve, * accord professionnel retenu en l absence d études. Le panneau «sens interdit signifie» qu une majorité des auteurs déconseille cette voie d administration. 2

3 Dénomination commune internationale (DCI) Médicaments dont l'administration est possible par voie sous cutanée : perfusion continue (PSCC), discontinue (PSCD) ou directe (SCD) Spécialité commerciale Classe thérapeutique Voie d'administration Indications/posologie Grade Remarques Bibliographie mikacine sulfate miklin ou s inj ntibiotique SCD 15 mg/kg/j répartis en 1 à 3 injections. Mauvaise tolérance : quelques cas de nécrose cutanée ou de vascularite cutanée. B. Leng et al. Pharmacocinétique comparée de l amikacine après administration intraveineuse, intramusculaire et sous-cutanée Nouv. Presse Med., 8 (1979), pp tropine sulfate tropine sulfate Renaudin inj ntispasmodique SCD - PSCD Traitement symptomatique des manifestations douloureuses aigues liées aux troubles fonctionnels du tube digestif et des voies biliaires ainsi que des manifestations spasmodiques et douloureuses des voies urinaires. dulte ; posologie 0,25 à 1 mg toutes les 6h. (Maxi 2mg/24h) Enfant entre 2 et 6ans : 0.25mg en dose unique au dessus de 6ans : 0.5mg en dose unique. Buprénorphine Temgesic inj ntalgique SCD et PSCC En cas de douleurs aiguës intenses nécessitant une sédation rapide et efficace, la posologie habituelle, pour un adulte de 70 kg, est d'une ampoule, soit 0,3 mg toutes les 6 à 8 heures. Elle peut être portée à 2 ampoules si nécessaire. Chez les malades âgés ou fragiles, il est préférable de conserver une posologie d'une ampoule toutes les 8 heures. Dans les douleurs chroniques, la posologie peut être d'une ampoule toutes les 12 heures. Moins sédatif que la scopolamine O. Gerbouin et al.- spects pratiques de reconstitution et d administration des antiinfectieux parentéraux à l usage des personnels paramédicaux. Ed ere édition- Document CHU Bordeaux Vidal HOPTIML 2012 MM Hirschauer MEM (ssociation des thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps médical 2004 : 299 pages 3

4 Calcitonine Ceftriaxone Calcitonine et similaires Rocephine ou Hormonothérapie SCD La dose de départ recommandée est de 100 UI toutes les 6 à 8 heures, par injection sous-cutanée ntibiotique SCD/PSCD dulte : 1 à 2 g/j en une injection SC directe après reconstitution, ou bien dilué dans 100cc de G 5% en 30 minutes Enfant 50 à 100mg/kg/j en une injection MM VIDL HOPTIML MM VIDL HOPTIML 2012 Borner K et al. Comparative pharmacokinetics of ceftriaxone after subcutaneous and intravenous administration. Chemother 1985;31: Bricaire Fet al. Étude de la pharmacocinétique et de la tolérance de la ceftriaxone administrée par voie sous-cutanée. Path Biol 1988;36: Melin-Coviaux F et al. Étude pharmacoclinique comparative de la ceftriaxone par voie souscutanée et intraveineuse chez la personne âgée. Rev Geriatr 2000;25: Chlorpromazine Largactil ntipsychotique PSCD Nausées, vomissements, hoquet, douleurs anales, ténesme, tremblements, clonies en phase terminale : 25 à 100 mg, 1 à 3 fois/j. gitation en phase terminale : chlorpromazine 12.5 à 25mg + morphine 10 à 20mg +/- midazolam 5mg C. ph irritant pour les tissus : douleur, irritation locale et induration. Trop irritant pour une utilisation SC continue. O. Gerbouin et al.- spects pratiques de reconstitution et d administration des antiinfectieux parentéraux à l usage des personnels paramédicaux. Ed ere édition- Document CHU Bordeaux Hirschauer MEM 5ssociation des thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages B. Burucoa. Symptômes d inconfort autres que la douleur en fin de vie. La Revue du Praticien 1999 ;49 :

5 Clodronate Clastoban inj Biphosphonate PSCC - PSCD 1500 mg au départ puis tous les 15 jours ou réhydratation initiale puis 300 mg/jour (2 à 7 jours max) ou 300 mg/jour ccord professionnel. D'autant moins irritant que la concentration est faible. Hirschauer MEM 5ssociation des NES 2002 Recommandations : Soins Palliatifs : Spécificité d utilisation des médicaments courants hors antalgiques 19p Vidal 2012 Clonazépam Rivotril nti epiletique SCD nxiété, convulsions, troubles du sommeil, douleurs neuropathiques : 0,25 à 0,30 mg/ injection SC à renouveler 4 à 6 fois par 24h, toujours par paliers et en réajustant en fonction de la douleur et de la tolérance. gitation terminale : on peut aller jusqu'à 1 à 4 mg/j voire 8 mg/j ccord professionnel Irritant pour les tissus. La longue demi-vie permet de faire une injection SC directe plutôt qu'une administration continue. Problème d'interaction avec les plastiques, si PSCC, changer tubulures toutes les 4h. Hirschauer MEM (ssociation des B. Burucoa. Symptômes d inconfort autres que la douleur en fin de vie. La Revue du Praticien 1999 ;49 : Dickman. et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p NES 2002 Recommandations : Soins Palliatifs : Spécificité d utilisation des médicaments courants hors antalgiques 19p 5

6 Cyamémazine Tercian SCD uniquement ccord professionnel C Hoskovec-Lenoble. Les médicaments utilisables par voie sous cutanée : revue de la bibliographie. Revue de l DPHSO 2004 ; 29 (1) :55-61 S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Dexaméthasone Dexaméthasone Mylan inj Corticoïde SCD - PSCC ction anti-œdémateuse, métastases cérébrales avec Hypertension intracrânienne (HTIC), obstruction tumorale bronchique ou ORL : 20 à 40mg/j ction anti émétique Obstruction intestinale : 8 à 16mg en SC 1 fois/j pendant 3 jours consécutifs. Puis réévaluer. norexie, asthénie, compression médullaire, compressions abdominopelviennes, douleurs neuropathiques, dyspnée, 40 à 60 mg/j, pas plus de 80 mg/site. ccord Professionnel en France. MM en Suisse pour la voie SC. Irritation locale possible. Les fortes doses sont souvent bien supportées dans les néoplasies ORL. J Marie d vigneau et al. Les médicaments injectables par voie sous cutanée chez les patients en fin de vie. La Revue du Gériatre 1994 ; 19 (3) : Dickman et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p I Maddocks. Subcutaneous administration of fluid and drugs in palliative care. ust J Hosp Pharm 1992 ; 22 : Dexchlorpheniramine Polaramine nti-histaminique SCD Urticaire aiguë : 5 mg à renouveler en cas de besoin S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 MM VIDL HOPTIML 2012 thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps médical 2004 : 299 pages 6

7 Ertapénem Invanz ntibiotique SCD - O. Gerbouin et al.- spects pratiques de reconstitution et d administration des antiinfectieux parentéraux à l usage des personnels paramédicaux. Ed ere édition- Document CHU Bordeaux Fentanyl Fentanyl ntalgique SCD C S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Gentamicine Gentalline ou ntibiotique SCD 3 mg/kg/jour en 2-3 injections C. Mauvaise tolérance par risque de nécrose cutanée ou de vascularite cutanée. Granisetron Kytril ntiémétique SCD C O. Gerbouin et al.- spects pratiques de reconstitution et d administration des antiinfectieux parentéraux à l usage des personnels paramédicaux. Ed ere édition- Document CHU Bordeaux S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Halopéridol Haldol ntipsychotique SCD/PSCC Nausées, vomissements, hoquet, hallucinations avec angoisse : 2,5 à 5 mg / j ou 3 fois par semaine peut suffire chez le sujet âgé jusqu à 3 ou 4 fois/j si besoin. nxiété : 5 à 10 mg le soir ou 2 fois/j. gitation : 5 mg/h jusqu'à stabilisation En cas de hoquet persistant, test thérapeutique avec halopéridol : 5mg/j SC C *. Utiliser du glucose 5 % : possibilité de précipitation dans du NaCl 0,9 %; Bonne tolérance locale. Hirschauer MEM 5ssociation des thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages 7

8 3 à 30mg SC/j en 2 ou 3 fois ou en continu au pousse seringue électrique (PSCC) Obstruction intestinale : associé à de la morphine. B. Burucoa. Symptômes d inconfort autres que la douleur en fin de vie. La Revue du Praticien 1999 ;49 : Dickman et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p NES 2002 Recommandations : Soins Palliatifs : Spécificité d utilisation des médicaments courants hors antalgiques 19p Hydroxyzine tarax inj nxiolytique SCD sphyxie, suffocation, anxiété, manifestations allergiques diverses. 50 à 100 mg SC ccord professionnel. Hirschauer MEM 5ssociation des Médecins de l Est du Morbihan) Immunoglobuline humaine normale Gammanorm Ig Humaines polyvalentes PSCC Perfusion par voie sous-cutanée par pompe : La posologie habituelle est de 0,6 ml (100 mg) de Gammanorm par kg de poids corporel une fois par semaine, pouvant être administrée en plusieurs sites de perfusion. Vitesse de perfusion initiale : 10 ml/heure/pompe. La vitesse de perfusion peut être augmentée progressivement, à raison de 1 ml/heure/pompe toutes les trois à quatre semaines. La dose maximale pouvant être administrée est 40 ml/heure en utilisant deux pompes simultanément. MM Lors de la prescription de doses élevées, il est recommandé de les fractionner en plusieurs doses et de les administrer en différents sites. VIDL HOPTIML

9 Immunoglobuline humaine normale kétamine chlorhydrate Vivaglobin Ketamine Panpharma Ig Humaines polyvalentes nesthésique forte dose ntalgique faible dose PSCD PSCC/PSCD Une dose de charge d'au moins 0,2 à 0,5 g/kg (1,3 à 3,1 ml/kg) de poids corporel - à répartir sur plusieurs jours avec une dose maximale journalière de 0,1 à 0,15 g/kg de poids corporel en fonction des indications - peut être nécessaire. Une fois que le taux d'igg est à l'état d'équilibre, des doses d'entretien sont administrées à intervalles réguliers, idéalement toutes les semaines, pour atteindre une dose mensuelle cumulée d'environ 0,4 à 0,8 g/kg (2,5 à 5 ml/kg) de poids corporel. Le débit de perfusion recommandé est de 22 ml/heure. Dans l'étude clinique où 53 patients ont été évalués, le débit de perfusion de VIVGLOBIN, pendant la phase de formation sous la surveillance d'un médecin, a été augmenté d'une valeur de base de 10 ml à 22 ml/heure. 0,15 à 0,20mg/kg/h à augmenter par palier de 50mg/j diminuer les doses de morphine de 30 à 50% C MM Vivaglobin doit être administré de préférence dans la paroi abdominale, dans la cuisse et/ou dans la fesse. Il ne faut pas injecter plus de 15 ml au même endroit. Des doses de plus de 15 ml doivent être fractionnées et injectées en 2 endroits ou plus. Risque d effets neuropsychiques (hallucinations, délires, agitation) : prévenus par l'association à une benzodiazépine VIDL HOPTIML 2012 S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Lanréotide Somatuline LP nti hormone de croissance SCD La solution doit être injectée par voie sous-cutanée profonde dans le quadrant supéro-externe de la fesse. ** mais voie de recours utilisable. ttention : Ne concerne pas le dosage à 30mg!!! VIDL HOPTIML 2012 Levomépromazine Nozinan ntipsychotique PSCC/PSCD Nausées, vomissements, action antalgique propre (20 mg = 10 mg de morphine) : dose de 25mg à 200mg/j ngoisse : 12,5 à 50 mg en 1 à 3 fois/j. 25 à 100mg SC/j en continu ou en 3 fois (moins irritant en administration lente) gitation terminale : levomépromazine 12.5 à 25mg + morphine 10 à 20mg +/- midazolam 5mg C. Douleur, irritation locale possible surtout à forte concentration, sédation. Inflammation au site d injection MM en Grande Bretagne Hirschauer MEM (ssociation des thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages B. Burucoa. Symptômes d inconfort autres que la douleur 9

10 en fin de vie. La Revue du Praticien 1999 ;49 : D. Doyle et al. The principles of drug use in palliative medicine : In Oxford textbook of palliative medicine 2eme Edition 1998 ; Oxford medical publications : 1283 pages. Loxapine Loxapac SCD uniquement C Réactions locales possibles. Changement de site impératif dans ce cas. C Fonzo-Christe et al. Subcutaneous adminsitration of drugs in the elderly : survey of practice and systematic literature review. Palliative Medicine 2005 ; 19 : C. Sauderet al. Subcutaneous administration of loxapine. m J Health Syst Pharm ; 56 : Methylprednisolone Solumedrol ou Corticoïde SCD/PSCD Obstruction lymphatique, lymphangite carcinomateuse, douleurs par compression nerveuse : 40 à 60mg/j parfois jusqu à 120 à 150mg/j ou plus. Ne pas injecter plus de 80mg par site. Dyspnée terminale : SC 20 à 80mg/j ccord professionnel Recommandations NSM Hirschauer MEM (ssociation des Methylnatrexone bromure Relistor ntagoniste des récepteurs aux opioïdes utres «indications» : norexie, asthénie, œdème tumoral. Les injections SC peuvent être réalisées en bolus ou par mini-perfusions de 15 minutes, diluées dans 50 ml de sérum physiologique à la posologie de 20 à 40 mg/j. SCD Constipation liée aux opioïdes Il est recommandé d'alterner les sites d'injection et de ne pas injecter dans les zones où la peau est amincie, ecchymotique, rouge ou indurée. Les zones de cicatrices ou de vergetures doivent être évitées. Les trois zones du corps recommandées pour thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps médical 2004 : 299 pages B. Burucoa. Symptômes d inconfort autres que la douleur en fin de vie. La Revue du Praticien 1999 ;49 : VIDL HOPTIML

11 Metoclopramide Primperan nti émétique PSCC/PSCD Nausées, vomissements (par retard de vidange gastrique) : 10 à 60 mg/j (jusqu'à 5 à 10 mg/kg/j), Hoquet : 10 mg C l'injection de Relistor sont les cuisses, l'abdomen et le haut des bras. CI : obstruction intestinale car augmente les douleurs coliques. Irritation locale possible. Hirschauer MEM (ssociation des thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps médical 2004 : 299 pages B. Burucoa. Symptômes d inconfort autres que la douleur en fin de vie. La Revue du Praticien 1999 ;49 : Dickman. et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p Midazolam Chlorhydrate Hypnovel ou Hypnoptique SCD/PSCC nxiété : 2 à 10 voire 30 mg/j, Contractures musculaires : 20 à 40 mg/j Convulsions, myoclonies : 30 à 60 mg/j.sphyxie terminale, situation critique ou urgente (rupture vasculaire), agonies difficiles : 0,05 à 0,1 voir 0,5 mg/kg en une injection puis 15 à 30mg/j B. Très bonne tolérance locale. dose suffisante, entraîne une inconscience qui peut être le but recherché dans les agonies difficiles. utiliser avec précaution surtout en cas d'urgence, si la voie IV est impossible ou si les autres sédatifs ne sont pas utilisables. B. Burucoa. Symptômes d inconfort autres que la douleur en fin de vie. La Revue du Praticien 1999 ;49 : NES 2002 Recommandations : Soins Palliatifs : Spécificité d utilisation des médicaments courants hors antalgiques 19p Recommandé par voie SC en prémédication d actes médicaux douloureux ou dans les situations associées à un stress chez le sujet en phase avancée ou terminale d une maladie chronique grave : bolus initial de 0.05mg/kg en moyenne à adapter en fonction de l état de dénutrition, de l effet recherché et de l état de gravité. Le ntidote = flumazénil. En cas de dépression respiratoire profonde ou d une apnée, le flunazénil peut être utilisé en administration IV, IM, ou SC avec une excellente tolérance locale, sachant qu il peut toutefois 11

12 bolus peut être éventuellement répété en cas de besoin ; Perfusion continue de 0.5mg/h avec adaptation éventuelle en fonction du résultat. favoriser l apparition de troubles neurologiques (convulsions) Dans ce cas, l ajustement posologique (titration) est recommandé avant de mettre en place la perfusion, faire 1 ou 2 bolus pour adapter la dose en fonction de f effet recherché et durésultat obtenu. gitation terminale : lévomépromazine ou chlorpromazine 12.5 à 25mg + morphine 10 à 20mg +/- midazolam 5mg Situation d urgence en fin de vie nécessitant une sédation : 0.05 à 0.2mg/kg en SC. Morphine Chlorhydrate inj Morphine guettant ntalgique SCD/PSCD PSCC Posologie initiale de 0,5 mg/kg/j (classiquement 30 mg/j chez l'adulte) de préférence en perfusion continue plutôt qu en injection itérative à 5 ou 10mg toutes les 4 à 6h. Chez la personne âgée, commencer à 0,25 mg/kg/24 h. Chez les patients recevant auparavant de la morphine par voie orale, la posologie initiale quotidienne sera la moitié de la dose orale administrée gitation en phase terminale : chlorpromazine 12.5 à 25mg + morphine 10 à 20mg +/- midazolam 5mg MM Prévenir constipation systématiquement. Somnolence, confus Bolus = 1/10ème de la dose totale des 24h ntidote : Naloxone pouvant être administrée en IV, IM ou SC.. Dickman et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p Vidal 2012 Obstruction intestinale : associée à l halopéridol Nalbuphine Nalbuphine Renaudin ou autre ntalgique PSCC/PSCD SCD Douleurs intenses et/ou rebelles aux antalgiques de niveau plus faible. dulte: 10 à 20mg toutes les 3 à 6 heures. Ne pas dépasser 160mg/jour Enfant (18 mois à 15 ans) : 0,2 mg/kg toutes les 4 à 6 heures. Utilisation si intolérance à la morphine Injection parfois douloureuse Précaution d'emploi avec les agonistes-antagonistes Hirschauer MEM (ssociation des Vidal

13 thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages Naloxone Narcan ntagoniste des morphiniques J Marie d vigneau et al. Les médicaments injectables par voie sous cutanée chez les patients en fin de vie. La Revue du Gériatre 1994 ; 19 (3) : SCD /PSCC VIDL HOPTIML 2012 Néfopam cupan inj ntibiotique SCD et PSCC 20 mg/injection/4 h ou en continu en pousse seringue électrique (max : 120mg/24h) Indiquée dans les douleurs aigues. Néostigmine Prostigmine nti-myasthénique PSCD dulte : Constipation sans occlusion 2 à 5 ampoules par jour, réparties en 4 à 6 administrations. sthme, parkinson, occlusion Enfant : 0,04 mg/kg/injection Oméprazole Mopral Inhibiteur de la pompe à protons Octréotide Sandostatine nti sécrétoire SCD/PSCC Occlusion intestinale : dose initiale recommandée en SC = 300µg/j et peut être augmentée à 600 µg/j. Des doses plus élevées ont été utilisées sans apporter de bénéfices supplémentaires. C. Pas de réelle indication en soins palliatifs sur de courtes périodes. thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages MM VIDL HOPTIML 2012 PSCC C S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 MM La tolérance locale peut être améliorée en laissant réchauffer l'ampoule quelques heures à température ambiante, juste avant l'emploi, en injectant le produit en plus de 20 secondes VIDL HOPTIML 2012 Ondansetron Zophren ou nti émétique SCD et PSCC Chimiothérapies hautement émétisantes. Utilisation pour des vomissements ne répondant pas aux autres antiémétiques : 1 mg/h sur 24h. Tolérance et efficacité bonnes. Bien toléré malgré un ph acide en SC continue. Hirschauer MEM (ssociation des 13

14 lternative : forme suppositoire ou lyoc thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps médical 2004 : 299 pages Oxycodone Oxynorm ntalgique SCD/PSCC Relation dose-efficacité-tolérance très variable selon les patients : Papavérine Chlorhydrate Péthidine Chlorhydrate Papaverine SERB Pethidine Renaudin inj Patients recevant des opioïdes forts pour la première fois : La dose initiale est de 0,125 mg/kg/jour (environ 7,5 mg/jour), de préférence en perfusion continue plutôt qu'en injections itératives toutes les quatre à six heures. MM Diminuer progressivement les doses afin de limiter le risque d'apparition d'un syndrome de sevrage Dickman. et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p VIDL HOPTIML 2012 ntispasmodique PSCC dulte: 0,25 à 0,50 g par 24 heures MM VIDL HOPTIML 2012 ntalgique SCD Injection SC de 25 à 100mg pouvant être répétée après 4h (max 400mg/j) ccord professionnel MM en Grande Bretagne, en llemagne et en Suisse pour voie SC Mauvaise tolérance : risque de nécrose des tissus et d abcès en cas d administration SC. J Marie d vigneau et al. Les médicaments injectables par voie sous cutanée chez les patients en fin de vie. La Revue du Gériatre 1994 ; 19 (3) : C Fonzo-Christe et al. Subcutaneous adminsitration of drugs in the elderly : survey of practice and systematic literature review. Palliative Medicine 2005 ; 19 : Hôpitaux Universitaires de Genève CPP INFO. Constipation et obstruction intestinale chez le patient en soins palliatifs. Mai 2004 ; n

15 Phénobarbital Gardenal ntiépileptique PSCD- PSCC Convulsions (sauf si hypertension intracrânienne) : 60 mg, 2 fois/j. 130 à 260 mg/j en SC continue (après dose de charge de 65 à 130 mg) C Longue demi-vie. Irritation au point d'injection. Risque de Nécrose. Résorption irrégulière. ction plus lente par voie SC et IM que IV. Hirschauer MEM 5ssociation des thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages Potassium Chlorure Potassium Lavoisier Electrolyte PSCC jout possible aux solutés jusqu à 2g/l ccord professionne l. Bonne tolérance jusqu à 2.5g de KCl par litre de soluté. Risque de nécrose cutanée à surveiller lors d administration de KCl et d épinéphrine. Ne permet pas de traiter une hypokaliémie.. Dickman et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p R.J. Schen. Subcutaneous infusion in the elderly. J. m. Geriatr. Soc., 39 (1991), pp M. Lamandé, et al. Utilisation de l hypodermoclyse en gériatrie : étude prospective sur six mois L nnée Gérontologique, 18 (2004), pp E. Bruera, et al. Hypodermoclysis for the administration of fluids and narcotic analgesics in patients with advanced cancer J. Pain Symptom Manage., 5 (1990), pp SCD Traitement de la constipation MM VIDL HOPTIML 2012 Prostigmine Prostigmine Parasympatho mimétique Ranitidine zantac inj ntisécrétoire PSCC 150 à 300 mg/j ccord professionnel thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative,

16 Scopolamine butylbromure Scopolamine bromhydrate SCOBUREN nti sécrétoire SCD/PSCC Râles et secrétions: 20 à 40 mg/j La posologie sera ajustée en fonction de l'effet clinique recherché SCOPOLMINE Cooper ou Renaudin Traitement en soins palliatifs de l'occlusion intestinale : La posologie usuelle est comprise entre 40 et 80 mg/jour de butylbromure de scopolamine pendant 3 jours en perfusion continue souscutanée ; soit 2 à 4 ampoules réparties sur 24 heures pendant 3 jours. La posologie sera ajustée en fonction de l'effet clinique recherché et de la tolérance du patient Effets anticholinergiques ; il convient de s'assurer après la première utilisation que le patient ne présente pas d'altération des fonctions cognitives, d'agitation ou d'hallucinations avant de poursuivre l'administration nti sécrétoire SCD/PSCC Traitement en soins palliatifs des râles agoniques liés à l'encombrement des voies aériennes supérieures par excès de sécrétions salivaires. Vomissements rebelles de l'htic. Spasmes digestifs dans l'occlusion La posologie préconisée est individuelle et ajustée en fonction de l effet clinique recherché et de la tolérance du patient. titre indicatif ; la posologie habituellement préconisée chez l adulte est une injection SC de 0.2 à 0.6mg de scopolamine base soit ½ à 2 ampoules toutes les 4 heures et en perfusion SC de 0.8 à 2.4mg de scopolamine base soit 2 à 7 ampoules par 24h. La dose initiale est en fonction de l importance de l encombrement. Il est préférable de débuter par une dose faible et de la renouveler si besoin en cas d inefficacité. MM Dickman. et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p MM lternative possible : utilisation de patch : Scopoderm NES 2002 Recommandations : Soins Palliatifs : Spécificité d utilisation des médicaments courants hors antalgiques 19p VIDL HOPTIML 2012 Dickman. et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p NES 2002 Recommandations : Soins Palliatifs : Spécificité d utilisation des médicaments courants hors antalgiques 19p Sufentanyl Sufenta ntalgique SCD C S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Teicoplanine TRGOCID ntibiotique SCD 6 mg/kg/12 h pendant 48 h puis 6 mg/kg/24 h B Bonne tolérance. mais voie de recours utilisable. C Hoskovec-Lenoble. Les médicaments utilisables par voie sous cutanée : revue de la bibliographie. Revue de 16

17 l DPHSO 2004 ; 29 (1) :55-61 Hirschauer MEM (ssociation des S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Tiapride Tobramycine Tiapridal ou Nebcine ou ntipsychotique SCD lgies intenses et rebelles : En général : 200 à 400 mg/jour, soit 2 à 4 ampoules par jour. ccord professionnel ntibiotique SCD ccord professionnel G. Chatap et al. MEDICMENTS_UTILISBLES _PR_VOIE_SOUS_CUTNEE.pdf consulté (août 2011) O. Gerbouin et al.- spects pratiques de reconstitution et d administration des antiinfectieux parentéraux à l usage des personnels paramédicaux. Ed ere édition- Document CHU Bordeaux S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Tramadol Topalgic ou inj Contramal Zamudol ntalgique PSCC/PSCD 100 à 600 mg en SC par 24h Notamment en PC ou Perfusion Controlled nalgesia C en France MM en llemagne et en Suisse par voie SC. Passage du tramadol per os à SC : dosage identique. thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps medical 2004 : 299 pages. Dickman et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p 17

18 Chlorure de sodium 0,9 % sérum physiologique Solutés dont l administration est possible par voie sous cutanée Solutés administrés devant contenir des électrolytes et être isotoniques hydratation PSCC sur 24h ou nocturne sur 8h Glucosé 5% ou 2,5% hydratation PSCC sur 24h ou nocturne sur 8h 500 ml à 1000 ml maximum par 24h 500 ml à 1500 ml maximum par 24h Utilisation avec du NaCl 0.9% : jouter 2 ampoules de 10ml Na Cl 20% (soit 4g de NaCl) dans un litre de Glucose 5% ou 2.5%. Ne pas dépasser 1500ml/24h sur le même site d administration. Possibilité d administrer 500 à 1000ml sur 8h en perfusion nocturne. Il est formellement déconseillé d utiliser du KCl car il existe un risque de nécrose cutanée Pour une administration de 500 à 1000ml/24h en continu, le débit est de 0.3 à 0.7ml/min. Sur une courte période, il est possible d augmenter le débit pour passer 500ml sur 8h la nuit. L utilisation d un volume réduit de 750 à 1000ml peut permettre d assurer la meilleure diffusion possible. jout du NaCl 0.9% (1/3) La réhydratation par du glucosé seule est déconseillée en raison du risque d œdèmes et de choc. Un consensus exclut l utilisation de solutés hyperosmolaires ou sans électrolytes qui pourraient entrainer des œdèmes locaux, une hypo volémie réactionnelle ou un choc vasculaire..brouard et al. L hypodermoclyse (perfusion sous cutanée) en gériatrie. Bulletin d inforamtion du Médicament et de Pharmacovigilance 1995 ; 58 (marsavril) V. Dardaine- Giraud et al. L hypodermoclyse : intérêts et indications en gériatrie. La Revue de Médecine Interne 2005 ; 26 : Hôpitaux Universitaires de Genève CPP INFO. Constipation et obstruction intestinale chez le patient en soins palliatifs. Mai 2004 ; n 29. Hirschauer. L hypodermoclyse : perfusion MEM (ssociation des Médecins de l Est du Morbihan) Prescrire Rédaction. La perfusion sous cutanée : efficace pour réhydrater des patients âgés modérément déshydratés. La Revue Prescrire 2004 ; 24 (250) : Solutions d acides aminés Totamine Nutrition artificielle PSCC pport azoté (sous forme d acides aminés) par voie SC chez la personne âgée présentant des signes cliniques et biologiques de dénutrition, et lorsque la voie veineuse est impossible, 500ml de Totamine perfusé sur un débit inférieur à 1ml/min tous les jours à 3 fois par semaine 10 à 15 jours de perfusion maximum. V. Dardaine Et l. La Perfusion Sous Cutanée Ou Hypodermoclyse : Une Technique De Réhydratation Utile En Gériatrie. La Presse Médicale 1999 ; 28 (40) : V. Charbonel-ffolter ET L ; Perfusion d acides aminés par hypodermoclyse : étude de faisabilité. ge et Nutrition 1999 ; 10 (1) :

19 Dénomination commune internationale (DCI) Médicaments dont l administration est impossible ou fortement déconseillée par voie sous cutanée Spécialité commerciale Classe thérapeutique Voie d'administ ration Indications/posologie Grade Remarques Bibliographie moxicilline-acide clavulanique ou Co- moxiclav ugmentin ou ntibiotique Bulletin d information du Médicament et de Pharmacovigilance. N 128 Nov dec 2006 ISSN Biphosphonates inj Pamidronate de sodium inj Sauf clodronate (possible en SC) car moins irritant Bulletin d information du Médicament et de Pharmacovigilance. N 128 Nov dec 2006 ISSN Ceftazidime Fortum et ntibiotique Bulletin d information du Médicament et de Pharmacovigilance. N 128 Nov dec 2006 ISSN Ciprofloxacine Ciflox ntibiotique Bulletin d information du Médicament et de Pharmacovigilance. N 128 Nov dec 2006 ISSN Clorazépate dipotassique Tranxène inj nxiolytique Si utilisation : SCD uniquement L administration en perfusion (PSCC) n est pas recommandée compte tenu de son effet sédatif cumulatif lié à sa longue demivie. NES 2002 Recommandations : Soins Palliatifs : Spécificité d utilisation des médicaments courants hors antalgiques 19p Diazépam Valium inj nxiolytique Si utilisation : SCD uniquement Convulsions, clonies, anxiété, manifestations allergiques diverses : 10mg en bolus : 5 à 15mg/j ph irritant pour les tissus induisant des réactions cutanées fréquentes : irritations et dommages tissulaires. Ne pas injecter en PSCC J Marie d vigneau et al. Les médicaments injectables par voie sous cutanée chez les patients en fin de vie. La Revue du Gériatre 1994 ; 19 (3) : Douloureux +++ Diclofénac Voltarene ou nti-inflammatoire Non Stéroïdien Si utilisation SCD uniquement 150mg/j lternative : forme injectable administrée en intra rectal voire utilistion de midazolam à la place lternative : forme suppositoire Douloureux +++ Dickman. et al. The syringe driver: continuous subcutaneous infusions in palliative care. Oxford University press 2004 :327p 19

20 Dénomination commune internationale (DCI) Spécialité commerciale Classe thérapeutique Voie d'administ ration Indications/posologie Grade Remarques Bibliographie Furosémide Lasilix ou DIURETIQUE Si utilisation : SCD uniquement Inj SCD de 20 mg (2 ml) Ph très alcalin, risque de précipitation K Verma et al. Diuretics effect of subcutaneous furosemide in human volunteers : a randomised pilot study. The nnals of Pharmacotherapy 2004 ; 38 : Subcutaneous furosemide in advanced heart failure: has clinical practice run ahead of the evidence base? BMJ Support Palliat Care March 1, :5-6 S. Morisson et al. Médicaments administrables par voie sous cutanée en soins palliatifs : revue de la littérature et recommandations, Médecine Palliative, 2011 Kétoprofène Profenid NTIINFLMMTOIR E NON STEROIDIEN Si utilisation SCD uniquement lternative : forme suppositoire Douloureux +++ thérapeutiques en soins palliatifs chez l adulte et la personne âgée ; 2eme édition ;Sauramps médical 2004 : 299 pages Méloxicam Mobic inj INS Bulletin d information du Médicament et de Pharmacovigilance. N 128 Nov dec 2006 ISSN Paracétamol Perfalgan ou ntalgique Douloureux +++ lternative : forme suppositoire ou orodispersible 20

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