DOSSIER DE PRESSE Le dépistage organisé du cancer colorectal Jeudi 10 mars 2011 Contact presse
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1 DOSSIER DE PRESSE Le dépistage organisé du cancer colorectal Jeudi 10 mars 2011 Contact presse Sébastien PAGEAU 1
2 Sommaire Communiqué de presse page 3 Le Plan cancer page 5 Le cancer colorectal page 6 Le dépistage organisé cancer colorectal en Languedoc-Roussillon page 7 Le dépistage organisé du cancer colorectal : déroulement page 8 Mars Bleu 2011 en Languedoc-Roussillon page 9 Interlocuteurs page 10 En savoir plus page 11 Annexes : Plaquette de l ARS Affiche «Dès 50 ans c est le moment» Les cartes de la participation au programme de dépistage organisé du cancer colorectal (source InVS au 01/03/2011) 2
3 Communiqué de presse 3
4 4
5 Le Plan cancer Le Plan cancer Le Plan cancer consacre trois mesures aux programmes de dépistage organisé des cancers, dont le dépistage organisé du cancer colorectal. La lutter contre les inégalités d accès et de recours au dépistage constitue l une des mesures-phares du Plan cancer (mesure 14). Elle se décline en plusieurs actions prioritaires : favoriser l adhésion et la fidélisation aux programmes de dépistage et réduire les écarts entre les taux de participation, l objectif étant d augmenter de 15 % la participation de l ensemble de la population aux dépistages organisés. Cette augmentation devant être de 50 % dans les départements rencontrant le plus de difficultés. Autre action prévue : la mise en place d actions visant à réduire les inégalités d accès et de recours au dépistage, que ces inégalités soient socio-économiques, culturelles ou territoriales. La deuxième mesure (mesure 15) vise à améliorer la structuration du dispositif des programmes nationaux de dépistage organisé des cancers, via d une part l optimisation du fonctionnement des structures en charge de l organisation des dépistages et d autre part l amélioration du suivi des résultats du dépistage. La troisième (mesure 16) souligne la nécessaire implication des médecins traitants dans les programmes nationaux de dépistage et demande de garantir l égalité d accès aux techniques les plus performantes sur l ensemble du territoire. La communication nationale : Mars Bleu 2011, le mois de la mobilisation nationale pour le dépistage organisé du cancer colorectal L Institut National du Cancer (INCa), en partenariat avec le ministère de la santé et des sports et l assurance maladie, déploie chaque année un programme d information et de communication. La campagne nationale a débuté le 1 er mars Cette année, la stratégie de communication vise en particulier à promouvoir le dialogue entre les personnes concernées et leur médecin traitant (créer une parole réflexe), acteur central dans ce programme de dépistage, et à poursuivre le travail de pédagogie sur le bénéfice et les modalités du dépistage. L objectif est d augmenter d au moins 15 % la participation à ce dépistage organisé en sensibilisant les personnes concernées, en mobilisant les professionnels de santé et en accompagnant les acteurs locaux responsables de l organisation des dépistages. 5
6 Le cancer colorectal EPIDEMIOLOGIE ET DONNEES CLINIQUES Le cancer colorectal est une tumeur maligne de la muqueuse du côlon ou du rectum. Le côlon et le rectum constituent la dernière partie du tube digestif, appelée aussi gros intestin. On estime que 60 % à 80 % des cancers colorectaux se développent à partir d une tumeur bénigne, appelée polype ou adénome. Avec le temps, ces adénomes peuvent grossir et dégénérer. Leurs cellules se modifient et deviennent cancéreuses. La séquence adénome-cancer dure en moyenne plus de 10 ans. Il existe différents stades de développement du cancer colorectal. On en distingue quatre, en fonction du degré d extension du cancer, de gravité croissante : STADE I : atteinte superficielle de la paroi intestinale STADE II : atteinte de la paroi intestinale au-delà de la couche musculeuse STADE III : atteinte des ganglions STADE IV : métastase (propagation à d autres organes) Avec près de nouveaux cas estimés en France en 2010, Le cancer colorectal se situe ainsi au 3 ème rang des cancers les plus fréquents derrière le cancer de la prostate ( nouveaux cas) et le cancer du sein (52 500) 1. C est aussi la deuxième cause de mortalité par cancer en France ( décès estimés en 2010), après le cancer du poumon responsable de décès. En Languedoc-Roussillon, selon les données de l ORS 2, en 2005, les cancers ont été à l origine de 6700 décès dont 760 localisés au côlon, rectum, intestin. Le nombre de nouveaux cas (incidence) de cancers du colon ou du rectum estimés par le registre des Tumeurs de l Hérault pour l ensemble de la région est de 1961 en DEPISTER POUR MIEUX SOIGNER Le cancer colorectal évolue dans un premier temps sans signe clinique particulier ressenti. L intérêt du dépistage est de détecter tôt de telles lésions cancéreuses afin d engager un traitement précoce, aux conséquences moins lourdes, et de meilleur pronostic, voire même de les prévenir en détectant des lésions bénignes avant qu elles n évoluent vers un cancer. Le bénéfice du diagnostic précoce est particulièrement important pour le cancer colorectal : lorsqu il est dépisté et traité à un stade précoce (stade I, cancer superficiel dans la paroi de l intestin), le taux de survie à 5 ans après le diagnostic dépasse les 90%. 1 Hospices civils de Lyon / Institut de veille sanitaire / Institut national du cancer / Francim / Institut national de la santé et de la recherche médicale. Projections de l'incidence et de la mortalité par cancer en France en InVS. Avril p. Disponible sur 2 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon. Bilan du Plan cancer en Languedoc-Roussillon 6
7 Le dépistage organisé du cancer colorectal en Languedoc-Roussillon Initié fin 2003 dans l Hérault et au printemps 2004 dans les Pyrénées-Orientales (départements pilotes), le dépistage organisé du cancer colorectal s est généralisé fin 2008 sur l ensemble du territoire national et donc aux 3 autres départements de la région dès l automne Il s adresse aux hommes et aux femmes âgées de 50 à 74 ans, invités tous les deux ans à se faire dépister. En effet, près de 95% des cancers colorectaux surviennent après l âge de 50 ans. En Languedoc-Roussillon, la population des 50 à 74 ans inclus susceptible d être concernée par ce dépistage est estimée en 2011 à personnes (sur la base des données de population fournies par l Insee (projections , hypothèse 1,8). Les résultats nationaux et en région - Les premières données disponibles (InVS ) sur les premières campagnes du programme de dépistage organisé du cancer colorectal dans 22 des 23 départements pilotes étaient encourageantes avec un taux moyen de participation de 42% variant de 31 % à 54 % selon les départements. - Cette année, la première évaluation nationale du programme de dépistage organisé du cancer colorectal vient d être rendue publique par l Institut de veille sanitaire ; le taux de participation national 3 pour les années est légèrement inférieur avec 34 % de participation. Ce taux doit cependant être considéré comme provisoire étant donné que 5 départements n ont pas encore complété les invitations pour toute la population du département et que dans les autres départements les invitations sont encore très récentes. - Globalement la participation est plus importante chez les femmes 36,5 % que chez les hommes 31,4 %. Il est à noter qu un taux de participation supérieur à 40 % est observé dans 29 départements et la région Bourgogne présente un taux de participation supérieur à 50 %. - En Languedoc-Roussillon, le taux de participation publié par l InVs pour la campagne est de 28,2%, avec de grandes variations interdépartementales (de 19,6% dans l Aude à 41,5% dans les Pyrénées-Orientales). La participation est aussi plus forte chez les femmes (30,7%) que chez les hommes (25,6%) 4. Les résultats attendus Dans l ensemble des pays européens ayant mis en place un programme de dépistage organisé, il est considéré comme acceptable, en termes d objectif de santé public, un taux de participation de la population cible au moins égal à 45 %. Le dépistage est une nécessité de santé publique, au bénéfice de la population régionale, nécessité que l'ars porte avec l'objectif d'atteindre un taux de participation régional de 50% pour Elle porte sur 95 départements qui avaient invité l ensemble de leur population cible sur cette période 4 Données consultables sur le site 7
8 Le dépistage organisé du cancer colorectal : Déroulement Dès 50 ans, c est le moment Les hommes et les femmes âgés de 50 à 74 ans sans symptôme apparent ni facteur de risque familial ou personnel constituent la population présentant un risque moyen de cancer colorectal. Comment cela se passe-t-il? Le dépistage organisé est mis en oeuvre au niveau de chaque département par des structures en charge de l organisation des dépistages suivant un cahier des charges très précis publié au journal officiel. Ces structures invitent par courrier les personnes de la tranche d âge [50-74 ans] des deux sexes tous les deux ans (donc la moitié de la population cible chaque année) à retirer un test de dépistage chez leur médecin traitant. Lors de cette entrevue, le médecin vérifiera que le patient n a pas de facteur de risque particulier qui relèverait d une autre prise en charge, lui remettra le test (Hemoccult II ) et lui en expliquera le mode d emploi. Il s agit d un test réalisé à domicile qui permet de détecter du sang occulte dans les selles (ce sang n est pas visible à l œil nu). Le test est gratuit et simple. En pratique, il consiste à prélever avec des spatules fournies deux très petits fragments à déposer sur une plaquette, en précisant la date du prélèvement ; cette opération est à renouveler sur trois selles consécutives. Une fois les prélèvements réalisés, la plaquette est insérée dans une enveloppe T portant l adresse du laboratoire d analyse régional agréé pour la lecture de ce test. Les résultats sont transmis à la personne qui a fait le test, à son médecin, ainsi qu à la structure départementale en charge de l organisation du dépistage qui est à l origine du courrier d invitation, afin de lui permettre de réaliser chaque année l évaluation du programme de dépistage sur le département. Dans 97 à 98% des cas, le test est négatif ; la personne recevra une nouvelle invitation deux ans plus tard. Elle est également sensibilisée aux signes d alerte qui, sans évoquer obligatoirement la présence d un adénome ou d un cancer colorectal, doivent la conduire à consulter son médecin traitant sans attendre ce délai de 2 ans : > présence de sang dans les selles (sang rouge : rectorragie ou sang noir : méléna) ; > troubles du transit d apparition récente : diarrhée ou constipation inhabituelle, ou alternance de ces deux troubles ; > douleurs abdominales inexpliquées et d apparition récente ; > amaigrissement inexpliqué Dans le cas où le test est positif, 2 à 3% des cas, la personne est invitée à consulter son médecin traitant. Celui-ci lui prescrira une coloscopie pour rechercher la présence de lésions dans le côlon ou le rectum. Cette coloscopie est effectuée par un gastroentérologue. Le programme de dépistage organisé s appuie donc sur une stratégie en deux temps pour la population à risque moyen de cancer colorectal : le test de recherche de sang occulte dans les selles et en cas de positivité, la réalisation d une coloscopie. Le médecin a un rôle central puisqu il remet et explique le test au patient ou l oriente vers une prise en charge adaptée s il détecte des facteurs de risque. On estime que le taux de participation à la campagne est multiplié par trois lorsque le médecin remet le test à son patient. Le médecin sensibilise également ce dernier aux signes d alerte. Il joue, par ailleurs, un rôle important en cas de positivité du test et représente l acteur de santé le plus efficace pour convaincre le patient de réaliser une coloscopie (entre 10 et 15 % des patients ne la font pas). Un N vert régional pour le public: (gratuit depuis un poste fixe) 8
9 Mars Bleu 2011 en Languedoc-Roussillon Pendant tout le mois de Mars, chaque structure de gestion décline un programme d activités de communication sur le ou les départements où elle intervient, en relais de la campagne nationale d information de l INCa. Cette année est marquée par une action phare, mise en place en commun entre toutes les structures de dépistage du Languedoc-Roussillon : La visite guidée d un côlon géant de 20 mètres de long contenant des lésions bénignes (polypes) ou cancéreuses en 3D. Il s agit d une structure gonflable créé par la Fondation Félix Burda 5, du nom d un jeune allemand décédé du cancer du côlon à 33 ans. A l entrée, on y voit un intestin normal ; plus on progresse dans la visite, plus les lésions se développent et gagnent en malignité. Ce côlon sera exposé aux dates et lieux suivants, ouvert au public de 11H à 17H : Mardi 15 Mars 2011, Place du Foirail, à Mende Mercredi 16 mars 2011, Place de l Esplanade, à Nîmes Jeudi 17 mars, Square Gambetta, à Carcassonne Vendredi 18 mars 2011, Place de la Victoire, à Perpignan Samedi 19 mars, Place de la Comédie à Montpellier Les programmes départementaux d animation autour de ces journées particulières et pour tout le mois de mars sont disponibles auprès de chaque structure de gestion du dépistage organisé
10 Interlocuteurs Agence Régionale de Santé Siège Dr Carole SALVIO-GRANDEMANGE Direction Santé Publique et Environnement Tél : courriel : carole.salvio-grandemange@ars.sante.fr Les médecins directeurs des structures de gestion départementales o ADOC 11 : Dr. Philippe PEYTOUR : ; medecin-coordonnateur@adoc11.fr o Gard Lozère Dépistage : Dr. Marielle CANONGE : ; gld@gldepistage.fr o dépistages34 : Dr Jeanine CHERIFCHEIKH : ; jcc@depistages34.fr o Dépistages 66 : Dr Jean-Patrice GAUTIER : ; jeanpatricegautier@depistages66.fr Le Pharmacien Biologiste responsable du centre de lecture du test HemoccultII pour la région Languedoc-Roussillon, M. H. Hichri, BIOH Laboratoire : ; laboratoireshichri@wanadoo.fr 10
11 En savoir plus Institut National du Cancer Cancer info : (prix d un appel local), du lundi au samedi de 9 h à 19 h Ligue nationale contre le cancer 11
12 Agence Régionale de Santé du Languedoc-Roussillon Parc Club du Millénaire 1025, rue Henri Becquerel CS Montpellier Cedex 2 Tél : Fax :
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