LIAISON ELASTIQUES. 1) Types de ressorts

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LIAISON ELASTIQUES. 1) Types de ressorts"

Transcription

1 1) Types de ressorts On considère deux grandes catégories de ressorts selon le module d élasticité de la matière qui les constitue : les ressorts métalliques qui ont un module d élasticité élevé ; les ressorts en caoutchouc qui ont un faible module d élasticité. Il existe aussi des ressorts composites dont les applications sont encore très limitées à cause de leur prix élevé. Dans chaque catégorie les ressorts sont classés selon le type de sollicitations pour lequel ils ont été conçus : on distinguera les ressorts subissant des contraintes normales : traction, compression, flexion, et ceux qui subissent des contraintes tangentielles : cisaillement, torsion. VERNEIN Virgile page- 1 -

2 2) Caractéristique des ressorts Un ressort peut-être linéaire, progressif ou dégressif on définit k : constante élastique ou raideur du ressort k = df/df = dm/dθ Pour une caractéristique linéaire le travail à fournir pour l amener à une flèche f : W = ½ F.f ou ½.M.θ Raideur équivalente : Ressorts en série : 1/ke = 1/ ki n i 1 n Ressorts en parallèles : ke = ki i 1 3) Métaux utilisés pour les ressorts : 3.1) Métaux à travailler à froid Le tréfilage et le laminage à froid fournissent des fils et des bandes écrouis avec lesquels on produit économiquement des ressorts. Le procédé est particulièrement intéressant pour les ressorts formés à froid avec des fils de diamètre inférieur à 8 mm, le taux d écrouissage augmentant fortement la dureté et la limite élastique. Les propriétés du métal tréfilé sont intimement liées à la déformation plastique qu il a subie dans la filière ; le grand écrouissage du métal en surface y établit des contraintes résiduelles d extension, voisines de la limite élastique, qui sont compensées à coeur par des contraintes résiduelles de compression 3.2) Métaux à travailler à chaud Le travail à chaud s applique à toutes les lames d épaisseur supérieure à 3 mm et à tous les fils de diamètre supérieur à 15 mm. Il est également appliqué à la grande majorité des fils de diamètre compris entre 10 et 15 mm et tend à s étendre jusqu aux fils de 8 mm. Le choix des métaux utilisés est limité par la nécessité de pouvoir leur donner, par traitement thermique, une dureté et une limite élastique suffisante. Dans la grande majorité des cas, la fabrication se fait avec les aciers de construction alliés de la norme AFNOR NF A VERNEIN Virgile page- 2 -

3 comprenant notamment des aciers spéciaux qui s appliquent à la majorité des cas de ressorts travaillant à la fatigue : les aciers au silicium 46 S 7, 51 S 7, 56 SC 7 et 61 SC 7, les aciers au silicium-chrome-molybdène 45 SCD 6 et 50 SCD 6, les aciers au chrome 45 C 4 et 55 C 3, les aciers au chrome-vanadium 50 CV 4 et 51 CDV 4. 4) Ressort hélicoïdal de compression 4.1 Analyse des contraintes Le ressort hélicoïdal peut être assimilé à une barre de torsion enroulée en hélice. Considérons une section droite quelconque Σ du fil, c est-à-dire normale à la fibre moyenne, et G le centre de gravité de cette section (figure ci- contre). L axe du ressort traverse le plan de la section en un point O et fait un angle α avec ce plan. La charge P du ressort s applique en O où elle se décompose en : P1 = P cos α, dans le plan de la section P2 = P sin α, normale au plan de la section D = 2.r Moment de flexion : Moment de torsion : Si on applique le critère de Tresca pour les sollicitations composées et en posant 2.I = I 0 On obtient : Avec : Contrainte normale maximale résultant du moment de flexion M, Contrainte tangentielle maximale résultant de la superposition des cisaillements de torsion et d effort tranchant. Le calcul ci-dessus néglige la courbure du fil Le diagramme de répartition des contraintes tangentielles dans une section droite d un fil rond correspond alors au trait pointillé de la figure 2 et la contrainte maximale τt est la même le VERNEIN Virgile page- 3 -

4 long de l hélice interne et de l hélice externe. Par contre, si l on tient compte de la courbure, le diagramme est celui qui est représenté en trait continu. La contrainte maximale se situe à l intérieur du ressort ; elle est supérieure à celle de la barre de torsion, tandis que la contrainte minimale τe à l extérieur du ressort est plus faible 4.2 Formules usuelles Diamètre du fil pour les conditions de résistance : Il faut que la contrainte tangentielle maximale soit inférieure à la contrainte maximale admissible τ g. Pour le calcul, on néglige généralement les faibles contraintes dues à l effort tranchant et à l effort normal, mais il faut tenir compte de l inégale répartition des contraintes par suite de la courbure du fil, en appliquant un coefficient de correction k à la valeur de contrainte calculée à la relation ci-dessus. Le diamètre du fil doit être : Le coefficient k à fait l objet de recherches et, en pratique, on applique couramment une formule simple qui donne des résultats suffisamment approchés : Avec l indice d enroulement c = D/d Déflexion pour une charge P donnée : On admet généralement que la déflexion en fonction de la charge est donnée pas la formule : Avec N : Nombre de spires actives G : Module d élasticité transversale Instabilité latérale : Pour les ressorts de compression de grande longueur il est nécessaire de prévoir un guidage pour éviter le phénomène de flambage, lequel est favorisé par le déplacement latéral des appuis, par les vibrations, etc. La courbe cicontre donne la limite à partir de H o : hauteur libre (sans charge) D : diamètre d'enroulement f : flèche du ressort sous charge P VERNEIN Virgile page- 4 -

5 laquelle le flambage devient hautement probable, pour des ressorts dont les appuis sont correctement réalisés. 4.3 Considérations sur la fabrication - le rapport c = D/d est presque toujours compris entre 5 et 13 et le plus souvent entre 7 et 10. En dessous de 5, jusqu'à 3,5, on ne peut pratiquement plus enrouler le fil à froid. Au-dessus de 12 ou 13 la détente du fil après enroulement ne permet plus d'assurer avec précision la valeur du diamètre D. On peut exceptionnellement atteindre 17 à 18 pour des fabrications de grande série, après mise au point d'outillages spéciaux. -Pour les extrémités, on peut se contenter de rapprocher les spires dans le cas de ressorts à bon marché mais le plus souvent on les rapproche et on les meule. Le nombre total de spires est égal au nombre n des spires actives, auquel il convient d'ajouter le nombre n' des spires d'extrémité, lequel vaut usuellement : C C 5) Rondelles tronconiques Ce type de ressort est fréquemment utilisé lorsque l'on souhaite une faible flexibilité sous forte charge. On le trouve couramment dans le commerce sous la désignation de rondelle BELLEVILLE. Ce sont des rondelles d'épaisseur constante (rondelles Belleville) qui permettent d'obtenir, par divers empilages, des ressorts de raideurs différentes. Au cours de 1'utilisation, ces rondelles sont soumises à la flexion. 5.1) Association de rondelles Les rondelles peuvent être empilées dans le même sens, en «paquets» ou «parallèles». Un paquet de n rondelles identiques n'a que la flèche maximale h d'une rondelle unique, mais sa charge d'aplatissement est n P ; si k est la raideur, supposée constante, d'une rondelle unique, la raideur K de l'ensemble est donc : Si les rondelles sont empilées en opposition, la charge d'aplatissement est la même que pour une rondelle unique, tandis que les flèches s'ajoutent. Un empilement de n rondelles en opposition a donc pour raideur : VERNEIN Virgile page- 5 -

6 Diverses combinaisons sont présentées ci-dessous, permettant d'obtenir des ressorts aux caractéristiques presque linéaires s'ils sont réalisés avec le bon type de rondelles. Remarquons qu'il est facile d'ajuster la raideur d'un empilement contenant un nombre suffisamment important de rondelles. 5.2) Determination d un empilage Le constructeur donne les valeurs P 1, P P, P 3 et P 4 permettant de tracer la courbe caractéristique d une rondelle (fig. 4). Le point d'utilisation doit se situer sur la partie (en noir) de la courbe : la flèche ne doit pas dépasser 70 % de la cote h. L allure de cette courbe dépend uniquement du rapport h/e Allure courbe en fonction de h/e VERNEIN Virgile page- 6 -

7 5.3) Exemples de réalisations 6) Ressort à lames Nous nous contenterons ici d'un calcul de pré dimensionnement (on dit parfois d' «équarrissage») permettant de se faire une idée pas trop farfelue de l'encombrement qu'aurait un véritable ressort à lames réalisé selon les règles de l'art. Ce type de ressort, qui est une affaire de spécialiste, est surtout utilisé pour la suspension de véhicules. C'est aussi le dispositif retenu en organologie pour la réalisation des ressorts de rappel de certaines clefs. 6.1) forme de base : Une lame encastrée à une extrémité et chargée à l'autre peut évidemment servir de ressort mais les contraintes maximales règnent du côté de l'encastrement tandis que l'extrémité libre, qui a le même module de flexion I/v que l'autre, est peu sollicitée. Pour mieux utiliser la matière, on cherche évidemment à se rapprocher d'une forme d'égale résistance qui est dans ce cas de figure une forme de largeur constante et de hauteur variant selon une loi parabolique (solution utilisée par exemple sur le TRAFIC de RENAULT), ou bien une lame triangulaire de hauteur constante, qui va nous servir de base de calcul. Condition de résistance : VERNEIN Virgile page- 7 -

8 Condition de déformation : Notons que les deux conditions de résistance et de déformation imposent ensemble l'épaisseur maximale de la lame : Après avoir arrondi l'épaisseur à une valeur normalisée, il en résulte la détermination de b o, qui donne généralement des dimensions prohibitives pour la lame. 6.2) Découpage en lames Après avoir découpé la lame triangulaire comme indiqué ci-après, «ressoudé» les morceaux latéraux deux à deux, élargi la lame la plus longue (lame maîtresse), nous pouvons rassembler les lames élémentaires pour former un système étagé que nous supposerons équivalent au précédent. 6.3) Problèmes de réalisation -La plus longue lame, ou lame maîtresse, doit avoir une section suffisante pour résister seule à l'effort tranchant, ainsi que pour permettre la liaison avec les éléments extérieurs. Son extrémité n'est donc jamais triangulaire mais toujours façonnée en fonction des besoins. -La nécessité de brider les lames au centre impose d'augmenter la longueur du ressort car la partie bridée se trouve raidie. -L'extrémité des lames n'est jamais taillée en pointe, mais coupée droite, terminée en trapèze ou encore amincie et arrondie selon un profil parabolique. VERNEIN Virgile page- 8 -

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

TUBES ET ACCESSOIRES Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux

TUBES ET ACCESSOIRES Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux TUBES ET ACCESSOIRES 47 Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux Possibilité d autres sections sur demande. Les caractéristiques indiquées sont théoriques et non garanties. TUBES 48 TUBES

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

Sommaire Table des matières

Sommaire Table des matières Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

Avis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone

Avis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone Avis Technique 14/14-2041 Annule et remplace l Avis Technique 14/09-1511*V1 Flexibles comportant un tuyau en matériau thermoplastique revêtu d une tresse Flexibles de raccordement Flexible hoses Flexibel

Plus en détail

La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round.

La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round. 1 Objet La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round. Le système complet comprend les éléments suivants: Panneaux Poteaux Accessoires tels que fixations

Plus en détail

Vu pour enregistrement le 17 février 2006

Vu pour enregistrement le 17 février 2006 Avis Technique 3/05-445 Annule et remplace l Avis Technique 3/01-358 Composants structuraux Structural components Strukturelle bestandteile escaliers helicoïdaux GANTOIS Titulaire : Etablissements GANTOIS.

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Cornières égales selon NF EN 10056

Cornières égales selon NF EN 10056 Cornières égales selon NF EN 10056 Acier S 275 JR ou S 235 JR selon NF EN 10025 Dimensions en mm Poids au mètre Longueur 6m/6m200 12m/12m300 15m/15m300 20 x 20 x 3 0,880 x - - 25 x 25 x 3 1,120 x - - 30

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine)

(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine) Analyse de la charge transmise aux roulements de la roue dentée, notamment en rajoutant les efforts axiaux dus aux ressorts de l embrayage (via la cloche) (Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto,

Plus en détail

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS?

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? Conception et mise en œuvre GUIDE TECHNIQUE 2012 Union des Métalliers C O L L E CT I O N R E C H E R C H E D É V E LO P P E M E N T M É T I E R 4 INTRODUCTION 13 PARTIE I GÉNÉR

Plus en détail

Vis à billes de précision à filets rectifiés

Vis à billes de précision à filets rectifiés sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29

Plus en détail

Cours de Résistance des Matériaux (RDM)

Cours de Résistance des Matériaux (RDM) Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION

Plus en détail

Mobilier industriel en acier inoxydable

Mobilier industriel en acier inoxydable Mobilier industriel en acier inoxydable 1 Table des matières Vestiaires...4 Armoires range balais.....9 Armoires porte objets... 12 Pupitres...13 Armoires multi cases....18 Armoires de rangement de bottes

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

La fabrication des objets techniques

La fabrication des objets techniques CHAPITRE 812 STE Questions 1 à 7, 9, 11, 14, A, B, D. Verdict 1 LES MATÉRIAUX DANS LES OBJETS TECHNIQUES (p. 386-390) 1. En fonction de leur utilisation, les objets techniques sont susceptibles de subir

Plus en détail

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement

Plus en détail

RAPPORT DE CLASSEMENT. RAPPORT DE CLASSEMENT n EFR-14-002348

RAPPORT DE CLASSEMENT. RAPPORT DE CLASSEMENT n EFR-14-002348 Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 n EFR-14-002348 Selon les normes EN 15650 : 2010 et EN 13501-3 : 2007 Concernant Une gamme de clapets type

Plus en détail

Annexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3

Annexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3 Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement

Plus en détail

Cours de résistance des matériaux

Cours de résistance des matériaux ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Rondelles ONDULÉES Rondelles ONDUFIL TM Rondelles BELLEVILLE Produits SPÉCIAUX

Rondelles ONDULÉES Rondelles ONDUFIL TM Rondelles BELLEVILLE Produits SPÉCIAUX Rondelles ONDULÉES Rondelles ONDUFIL TM Rondelles BELLEVILLE Produits SPÉCIAUX Votre solution Ressort avec nos rondelles élastiques techniques Le concentré d énergie TM SOMMAIRE 4 INTRODUCTION À la poursuite

Plus en détail

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent

Plus en détail

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF

Plus en détail

PURE : dans les data centres

PURE : dans les data centres PURE : Rendre planifiable en toute sécurité le câblage dans les data centres L EFFET PURE : DEUX FOIS PLUS DE CONNEXIONS ET * 15 MÈTRES DE LONGUEUR DE lien EN PLUS PreCONNECT PURE constitue une étape majeure

Plus en détail

Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons

Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons GÉRARD CASANOVA - DENIS ABÉCASSIS Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Pas de Modification : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/

Plus en détail

4.14 Influence de la température sur les résistances

4.14 Influence de la température sur les résistances nfluence de la température sur la résistance 4.14 nfluence de la température sur les résistances ne résistance R, parcourue par un courant pendant un certain temps t, dissipe une énergie calorifique (W

Plus en détail

Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie

Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13 42501 Le Chambon Feugerolles Cedex France Tel : 04 77 40 54 38 Fax : 04 77 40 54 41 Mail : securite@somain.fr Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

Instructions de montage Plans de cuisson en vitrocéramique

Instructions de montage Plans de cuisson en vitrocéramique Instructions de montage Plans de cuisson en vitrocéramique Veuillez lire impérativement le mode d emploi et les instructions de montage avant l installation et la mise en service de l'appareil. Vous éviterez

Plus en détail

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint

Plus en détail

Série 2600/2700. Détermination du n de longueur de l axe de fermeture en cas d utilisation de réceptacle: Type 1 + 3* G = P + F

Série 2600/2700. Détermination du n de longueur de l axe de fermeture en cas d utilisation de réceptacle: Type 1 + 3* G = P + F Caractéristiques particulières Charge de traction 1.330 N maxi. Fixation de dimension réduite pour charge de traction élevée. Grand choix d axes de fermeture et de réceptacles. Série 2600: tête cylindrique;

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Glissière linéaire à rouleaux

Glissière linéaire à rouleaux LRX Guidage linéaire Introduction Rail de guidage Joint Graisseur Corps Rouleaux cylindriques Joint Cage Couvercle d extrémité Les guides linéaires à rouleaux de la série LRX offrent une haute fiabilité

Plus en détail

Moments des variables aléatoires réelles

Moments des variables aléatoires réelles Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................

Plus en détail

ELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications

Plus en détail

mécanique Serrures et Ferrures

mécanique Serrures et Ferrures mécanique Serrures et Ferrures Fermetures latérales page 0 Fermetures tiroir page 6 Crémones espagnolette page 9 Fermetures à levier page Fermetures de chambre froide page 5 Loqueteaux page 36 Fermetures

Plus en détail

I- Définitions des signaux.

I- Définitions des signaux. 101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais

Plus en détail

Vis à béton FBS et FSS

Vis à béton FBS et FSS Vis à béton FBS et FSS Un montage rapide et de hautes performances. ETA-11/0093 ETAG 001-6 Usage multiple pour application non structurelle dans le béton Z-21.8-2015 ETA-11/0095 ETAG 001-3 Option 1 pour

Plus en détail

Mesurer les altitudes avec une carte

Mesurer les altitudes avec une carte www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte Mesurer les altitudes avec une carte Les cartes topographiques ne sont pas uniquement une représentation plane de la surface

Plus en détail

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU) 0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

DOSSIER TECHNIQUE VESTIAIRES MONOBLOCS MULTI-CASES

DOSSIER TECHNIQUE VESTIAIRES MONOBLOCS MULTI-CASES DOSSIER TECHNIQUE 1 DOSSIER TECHNIQUE DOSSIER TECHNIQUE VESTIAIRE MONOBLOCS MULTICASES SOMMAIRE Le vestiaire monobloc multicases Caractéristiques Caractéristiques générales page 04 Potentiel calorifique

Plus en détail

KASTOspeed: Scies automatiques de production à lame circulaire pour le débit économique de très grandes séries dans l acier et les non-ferreux.

KASTOspeed: Scies automatiques de production à lame circulaire pour le débit économique de très grandes séries dans l acier et les non-ferreux. KASTOspeed: Scies automatiques de production à lame circulaire pour le débit économique de très grandes séries dans l acier et les non-ferreux. Très grandes performances en un temps record: Scies automatiques

Plus en détail

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond. PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de

Plus en détail

EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs

EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs prof. ir. Wim HOECKMAN Victor Buyck Steel Construction (Eeklo) Vrije Universiteit Brussel infosteel

Plus en détail

DOSSIER TECHNIQUE R-GO SPA. Production et assemblage 100 % Française. 3 Rue Pierre Mendès France 61200 ARGENTAN

DOSSIER TECHNIQUE R-GO SPA. Production et assemblage 100 % Française. 3 Rue Pierre Mendès France 61200 ARGENTAN DOSSIER TECHNIQUE R-GO SPA R-GO SPA Production et assemblage 100 % Française 1 Implantation technique Il faut retenir que la partie technique a un encombrement total de 250 cm par 90 cm au minimum, et

Plus en détail

R310FR 2202 (2009.06) The Drive & Control Company

R310FR 2202 (2009.06) The Drive & Control Company Guidages à billes sur rails R310FR 2202 (2009.06) The Drive & Control Company Bosch Rexroth AG Info Fax: +49 931 27862-22 Contenu Description générale des produits 4 Les nouveautés en un coup d œil 4 Description

Plus en détail

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

OUTILLAGE MANUEL. Plomberie Outils spécifiques pour la plomberie. Clé serre-tube STILLSON ROTHENBERGER. Clé serre-tube en alliage ALUDUR ROTHENBERGER

OUTILLAGE MANUEL. Plomberie Outils spécifiques pour la plomberie. Clé serre-tube STILLSON ROTHENBERGER. Clé serre-tube en alliage ALUDUR ROTHENBERGER Clé serre-tube STILLSON ROTHENBERGER Travail à une main "par cliquet", machoire mobile sur ressorts, autoblocante. Pré-réglage rapide du diamètre de tube par marquage sur la machoire mobile. Écrou de réglage

Plus en détail

Chapitre 1: Facteurs d'échelle

Chapitre 1: Facteurs d'échelle Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,

Plus en détail

OUTILS DE PLOMBIER. Code Capacité Cond. Prés. Prix 7350950 42 mm 6 V 24,00 7350951 42 mm 6 SC 24,60

OUTILS DE PLOMBIER. Code Capacité Cond. Prés. Prix 7350950 42 mm 6 V 24,00 7350951 42 mm 6 SC 24,60 PINCE COUPE TUBE PVC Coupe démultipliée. 7350950 42 mm 6 V 24,00 7350951 42 mm 6 SC 24,60 PINCE COUPE TUBE PVC PRO Corps Zamack, retour de la lame par bouton poussoir. 7350955 42 mm 1 B 25,00 MINI COUPE

Plus en détail

Produits préfabriqués lourds

Produits préfabriqués lourds Fiche Prévention - E4 F 13 14 Produits préfabriqués lourds Manutention, stockage et transport Les produits préfabriqués lourds sont nombreux et communément utilisés sur les chantiers de gros œuvre. Parmi

Plus en détail

Matériau S235JR - DIN EN 10025 Finition de surface. Epaisseur du matériau 1,5 mm. Désignation Filetage M Cote X Longueur L Charge de traction

Matériau S235JR - DIN EN 10025 Finition de surface. Epaisseur du matériau 1,5 mm. Désignation Filetage M Cote X Longueur L Charge de traction Plaque de base MP Pour la pose de deux tubes avec un seul point de fixation Pour installation de 2 colliers sur un seul point de fixation Matériau S235JR - DIN EN 10025 Epaisseur du matériau 1,5 mm Les

Plus en détail

Variotec 150/GV. La ferrure. Domaine d'utilisation. Données spécifiques HAWA-Variotec 150/GV. Exemples de construction. Entailles du verre.

Variotec 150/GV. La ferrure. Domaine d'utilisation. Données spécifiques HAWA-Variotec 150/GV. Exemples de construction. Entailles du verre. Ferrure en construction modulaire pour portes et cloisons coulissantes élégantes en verre de 70 à 150 kg par vantail et épaisseurs de verre de 10 12,7 mm. La ferrure La ferrure HAWA- a d'exceptionnelles

Plus en détail

Huygens et le ressort spiral Fiche professeur

Huygens et le ressort spiral Fiche professeur 1 er étage La mesure du temps x Huygens et le ressort spiral Fiche professeur Où? Cabinet des curiosités, 1 er étage Moins de vingt ans après l invention du pendule (-> voir fiche «Galilée et le pendule»),

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

É L É M E N T S D O S S A T U R E L É G E R S EN ACIER

É L É M E N T S D O S S A T U R E L É G E R S EN ACIER I N S T I T U T C A N A D I E N D E L A T Ô L E D A C I E R P O U R L E B Â T I M E N T É L É M E N T S D O S S A T U R E L É G E R S EN ACIER Tables des charges admissibles : colombages et solives ICTAB

Plus en détail

Mini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB

Mini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB Mini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB Dossier de conception 1/21 1. PRESENTATION GENERALE DU MINI PROJET 1.1 Contexte de l étude Situation existante avec un problème. Présentation de l objectif

Plus en détail

La soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5

La soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 La soudure à l arc électrique Jean-Claude Guichard Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 INITIATION À LA SOUDURE 14 1-PRINCIPES DE BASE.............................. 16 LA SOUDABILITÉ DES ACIERS.........................................

Plus en détail

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. 4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un

Plus en détail

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.

Plus en détail

F = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres

F = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des

Plus en détail

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale. MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire

Plus en détail

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité : Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite

Plus en détail

Phase avant-projet : Présentation de systèmes structuraux pour des bâtiments à un seul niveau

Phase avant-projet : Présentation de systèmes structuraux pour des bâtiments à un seul niveau Phase avant-projet : Présentation de systèmes structuraux pour des bâtiments Ce document décrit l'éventail de systèmes structuraux couramment utilisés pour les bâtiments et de grande portée. Les descriptions

Plus en détail

HISTAR. ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars

HISTAR. ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars HISTAR Des qualités d acier innovant à haute limite d élasticité pour alléger les constructions ArcelorMittal Photo Library - Architect:

Plus en détail

Coffrets de table Accessoires

Coffrets de table Accessoires Coffrets de table Soaire 06002052 05895003 02992004 s en caractères gras : expédition sous 2 jours ouvréss en caractères normaux : expédition sous 10 jours ouvrés Poignée, page 5.108 Poignée souple, page

Plus en détail

Organisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.

Organisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf. N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader.

Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader. Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader. Nos solutions d ingénierie en PTFE : elles montrent la voie. Vaste et complète : notre gamme

Plus en détail

Les Supports UC d ordinateur

Les Supports UC d ordinateur Les Supports UC d ordinateur Les solutions pour Unité Centrale sont bien plus que de simples supports pour unités centrales. Voilà de bonnes raisons de choisir les solutions pour UC pour protéger votre

Plus en détail

Pionnier de l isolation phonique depuis 1980

Pionnier de l isolation phonique depuis 1980 Pionnier de l isolation phonique depuis 1980 Description de produit Isolation phonique dans la cuisine La norme suisse et la norme européenne SELON SIA 181:2006 Situation de départ Les activités pratiquées

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

Tubes multicouches PEX/AL/PE PEXFIT FOSTA. VIEGA Ennesterweg 9 D-57428 Attendorn Tél : 49 2722 610 Fax : 49 2722 611206

Tubes multicouches PEX/AL/PE PEXFIT FOSTA. VIEGA Ennesterweg 9 D-57428 Attendorn Tél : 49 2722 610 Fax : 49 2722 611206 Avis Technique 14/06-1056 Tubes multicouches PEX/AL/PE Système de canalisations multicouches Multilayer piping system Verbundrohresystem Ne peuvent se prévaloir du présent Avis Technique que les productions

Plus en détail

Vannes à 2 ou 3 voies, PN16

Vannes à 2 ou 3 voies, PN16 4 847 Vannes 2 voies VVP47.-0.25 à VVP47.20-4.0 Vannes 3 voies VXP47.-0.25 à VXP47.20-4.0 Vannes 3 voies avec Té de bipasse VMP47.-0.25 à VMP47.15-2.5 Vannes à 2 ou 3 voies, PN16 VMP47... VVP47... VXP47...

Plus en détail

INSTRUCTIONS COMPLÉTES

INSTRUCTIONS COMPLÉTES INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Cycle de conférences Rencontres sur la route du design

Cycle de conférences Rencontres sur la route du design Conférence n 1: Une autre manière de produire Les nouveaux métiers Müller vendredi 2 février 2007 à 17h30 à la Maison du Passementier Intervention de Monsieur Gilles Palmier Ingénieur textile, commercial

Plus en détail