COMMISSION DE LA TRANSPARENCE PROJET D AVIS. 4 juillet 2012
|
|
- Sylvaine Simon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE PROJET D AVIS 4 juillet 2012 La demande examinée par la Commission de la Transparence le 20/06/2012 et ayant donné lieu à un projet d avis adopté le 04/07/2012 a été retirée par le demandeur CLAREAL 2mg/0,03 mg, comprimé pelliculé Plaquette de 21, B/1 (CIP : ) Plaquette de 21, B/3 (CIP : ) Laboratoires Pierre Fabre Acétate de chlormadinone 2 mg / éthinylestradiol 0,03 mg Code ATC (2011) : G03AA15 Liste I Date de l'amm : 14 mai 2010 (procédure nationale) Motif de la demande : Inscription Sécurité Sociale et Collectivités Direction de l Evaluation Médicale, Economique et de Santé Publique PA retiré def 1/12
2 1. CARACTERISTIQUES DU MEDICAMENT 1.1. Principes actifs Acétate de chlormadinone 2 mg / éthinylestradiol 0,03 mg 1.2. Indication «Contraception hormonale orale» 1.3. Posologie et mode d administration Mode d'emploi des comprimés pelliculés: Un comprimé doit être pris chaque jour à peu près au même moment, (de préférence le soir) pendant 21 jours consécutifs, avec un arrêt de 7 jours entre chaque plaquette. Les règles apparaissent dans les 2 à 4 jours suivant la prise du dernier comprimé. Après l'arrêt de 7 jours, le traitement est poursuivi en entamant la plaquette suivante de CLAREAL, que les règles soient ou non terminées. Les comprimés doivent être sortis du blister en face du jour de la semaine indiquée sur la plaquette correspondant à la prise et doivent être avalés, éventuellement avec un peu d'eau. Les comprimés sont pris quotidiennement en suivant le sens des flèches. Modalités d'instauration du traitement: Absence de contraception hormonale antérieure (au cours du mois précédent): La prise du premier comprimé doit commencer le premier jour du cycle naturel de la femme, c'est à dire le premier jour des règles. Si le comprimé est bien pris le premier jour des règles, l'efficacité contraceptive commence dès le premier jour de prise et est maintenue pendant l'arrêt de 7 jours. La prise du premier comprimé peut également commencer entre le 2 ème et le 5 ème jour des règles, que les règles aient cessé ou non. Dans ce cas, une méthode contraceptive mécanique complémentaire est nécessaire pendant les 7 premiers jours. Au-delà du 5 ème jour du cycle, la femme doit attendre les prochaines règles pour démarrer la contraception sous CLAREAL. Relais d'une autre contraception hormonale: Relais d'un contraceptif hormonal combiné: La femme doit prendre le premier comprimé de CLAREAL le premier jour qui suit l'intervalle habituel sans comprimé, ou à la place du comprimé placebo du précédent contraceptif. Relais d'un contraceptif par progestatif seul: Le premier comprimé de CLAREAL doit être pris le lendemain de l'arrêt de la pilule progestative. Durant les 7 premiers jours, une méthode de contraception mécanique complémentaire doit être utilisée. Relais d'un contraceptif hormonal injectable ou un implant: L'administration de CLAREAL peut commencer le jour du retrait de l'implant, ou le jour prévu pour l'injection suivante s'il s'agit d'une forme injectable. Cependant, durant les 7 premiers jours, il est recommandé d'utiliser une méthode de contraception mécanique complémentaire. Après une interruption de grossesse (fausse couche ou avortement) au cours du premier trimestre de grossesse: Après une interruption de grossesse au cours du premier trimestre de grossesse, la prise de CLAREAL peut commencer immédiatement. Dans ce cas, aucune méthode contraceptive complémentaire n'est nécessaire. PA retiré def 2/12
3 Après une interruption de grossesse au cours du 2 ème trimestre de grossesse: Les femmes qui n'allaitent pas peuvent commencer la contraception entre 21 et 28 jours après l'accouchement. Dans ce cas, aucune méthode contraceptive mécanique complémentaire n'est nécessaire. Si la contraception débute au-delà de 28 jours après l'accouchement, une contraception mécanique complémentaire pendant les 7 premiers jours est nécessaire. Si des rapports sexuels ont déjà eu lieu, il convient de s'assurer de l'absence d'une grossesse ou d'attendre les premières règles avant de commencer la contraception. Allaitement (voir section grossesse et allaitement du RCP.): CLAREAL ne doit pas être pris au cours de l'allaitement. Après l'arrêt de CLAREAL: Après l'arrêt de CLAREAL, le premier cycle peut être allongé d'environ 1 semaine. Conduite à tenir en cas d'oubli d'un ou de plusieurs comprimés Si l'oubli d'un comprimé est constaté dans les 12 heures, aucune autre méthode contraceptive n'est nécessaire. La femme doit prendre le comprimé oublié dès qu'elle constate cet oubli et prendre les comprimés suivants comme d'habitude. Si l'oubli est supérieur à 12 heures, l'efficacité de la contraception peut être réduite. Vous devez dans ce cas tenir compte des 2 règles de base suivantes pour choisir la conduite à tenir: 1/ la prise de comprimés ne doit jamais être interrompue pendant plus de 7 jours, 2/ 7 jours de prises ininterrompues sont nécessaires pour obtenir une inhibition correcte de l'axe hypothalamo-hypophyso-ovarien. Le dernier comprimé oublié devra être pris immédiatement, même si cela implique la prise de 2 comprimés en même temps. Les comprimés suivants devront être pris à l'heure habituelle. Une contraception mécanique complémentaire (par exemple, préservatifs) est cependant nécessaire pendant les 7 jours suivants. Si les comprimés oubliés correspondent à la première semaine du cycle et si un rapport sexuel a eu lieu dans les 7 jours qui précèdent l'oubli des comprimés (incluant l'intervalle libre), il existe un risque de grossesse. Le risque de grossesse est d'autant plus élevé que le nombre de comprimés oubliés est important ou que la date de l'oubli est proche de la fin de la plaquette. S'il reste sur la plaquette de CLAREAL moins de 7 comprimés, la plaquette suivante doit être commencée dès la fin de la plaquette en cours, c'est à dire sans interruption de prise entre les plaquettes. Dans ce cas, les règles n'apparaîtront probablement que lors du cycle suivant ; cependant quelques saignements pourront survenir pendant la prise de comprimés. Si, après la fin de la seconde plaquette, les règles n'apparaissent pas, un test de grossesse doit être effectué. Conduite à tenir en cas de vomissement ou de diarrhées Si des vomissements ou diarrhées se produisent dans les 4 heures qui suivent la prise d'un comprimé, il est possible que son absorption ne soit pas complète et que l'effet contraceptif ne soit plus assuré. Dans ce cas, se reporter au paragraphe ci-dessus «Conduite à tenir en cas d'oubli d'un ou de plusieurs comprimés»). La prise de CLAREAL devra continuer. Comment retarder les hémorragies de privation? Pour retarder l'hémorragie de privation, la femme doit commencer une nouvelle plaquette sans intervalle libre de 7 jours. Ce décalage des règles peut être maintenu aussi longtemps que la femme le souhaite, jusqu'à la fin de la seconde plaquette. Pendant cette période, des spottings ou des saignements irréguliers peuvent survenir. La prise régulière de CLAREAL est alors reprise après un intervalle libre de 7 jours. PA retiré def 3/12
4 Pour décaler les hémorragies de privation à un autre jour de la semaine, la femme peut raccourcir l'intervalle libre du nombre de jours qu'elle souhaite. Plus l'intervalle est court, plus le risque d'absence d'hémorragie de privation est important, avec l'éventualité de spottings et de saignements irréguliers. 2. MEDICAMENTS COMPARABLES 2.1. Classement ATC (2011) G : G03 : G03A : G03AA : G03AA15 : Système génito-urinaire et hormones sexuelles Hormones sexuelles et modulateurs de la fonction génitale Contraceptifs hormonaux à usage systémique Progestatifs et estrogènes en association fixe Chlormadinone et estrogène PA retiré def 4/12
5 2.2. Médicaments de même classe pharmaco-thérapeutique Médicaments strictement comparables Contraceptifs estroprogestatifs oraux : DCI Dosage en estrogène Spécialité Noréthistérone acétate/éthinylestradiol Noréthistérone/éthinylestradiol Contraceptifs estroprogestatifs de 1 ère génération Biphasique : 30 et 40 µg (remboursable) Monophasique : 35 µg (non remboursable) Triphasique (progestatif) : 35 µg (remboursable) MINIPHASE (arrêt de commercialisation en 2010) ORHO-NOVUM (arrêt de commercialisation en 2010) TRIELLA Contraceptifs estroprogestatifs de 2ème génération (remboursables) Monophasiques : 20 µg LEELOO, LOVAVULO Lévonorgestrel/éthinylestradiol Monophasiques : 30 µg MINIDRIL, LUDEAL, ZIKIALE et leurs génériques Biphasique : 30 et 40 µg ADEPAL, PACILIA TRINORDIOL, DAILY GE, AMARANCE, Triphasique : 30, 40 et 30 µg EVANECIA Norgestrel/éthinylestradiol Monophasique : 50 µg STEDIRIL Contraceptifs estroprogestatifs de 3ème génération (remboursables) DESOBEL 150 µg/20 µg, Désogestrel/éthinylestradiol 20 µg 150 µg/20 µg BIOGARAN, QUILL, ELKA Désogestrel/éthinylestradiol et VARNOLINE CONTINU, DESOBEL 150 µg/30 µg, leurs génériques 30 µg Désogestrel/éthinylestradiol 150 µg/20 µg BIOGARAN, QUILL, Gestodène/éthinylestradiol et leurs génériques Désogestrel/éthinylestradiol et leurs génériques Gestodène/éthinylestradiol et leurs génériques Norgestimate/éthinylestradiol 20 µg 30 µg ELKA EFEZIAL 75 µg/20 µg, CARLIN 75 µg/20 µg, Gestodène/éthinylestradiol 75 µg/20 µg BIOGARAN, ARROW, RANBAXY, RATIOPHARM, TEVA EFEZIAL 75 µg/30 µg, CARLIN 75 µg/30 µg Gestodène/éthinylestradiol 75 µg/30 µg BIOGARAN, ARROW, RANBAXY, RATIOPHARM, TEVA Contraceptifs estroprogestatifs de 3ème génération (non remboursables) CYCLEANE 20 µg, MERCILON, 20 µg DESOPHARM 150 µg/20 µg CYCLEANE 30 µg, VARNOLINE 30 µg DESOPHARM 150 µg/30 µg MELODIA, MINESSE, OPTINESSE 15 µg 60 µg/15 µg Gestodène/éthinylestradiol 60 µg/15 µg BIOGARAN, TEVA, ARROW MELIANE, FELIXITA 75 µg/20 µg, HARMONET, Gestodène/éthinylestradiol 20 µg 75 µg/20 µg ACTAVIS, EG, SANDOZ, WINTHROP, ZYDUS MINULET, MONEVA, FELIXITA 75 µg/30 µg, Gestodène/éthinylestradiol 75 µg/30 µg 30 µg ACTAVIS, EG, SANDOZ, WINTHROP, ZYDUS Triphasique : 30, 40 et 30 µg PHAEVA, TRI MINULET, PERLEANE 35 µg CILEST, EFFIPREV 35 µg ; triphasique (progestatif) TRICILEST, TRIAFEMI PA retiré def 5/12
6 Autres contraceptifs estroprogestatifs (non remboursables) Chlormadinone acétate /éthinylestradiol 30 µg BELARA 30 µg JASMINE, CONVULINE Drospirénone/éthinylestradiol JASMINELLE, JASMINELLE CONTINU, 20 µg BELANETTE, YAZ 2 mg CLIMODIENE Diénogest/valérate d estradiol 3mg/2mg/1mg Biphasique (progestatif) QLAIRA Nomégestrol acétate /estradiol 1,5 mg ZOELY Médicaments non strictement comparables - Autres contraceptifs estroprogestatifs : EVRA, dispositif transdermique (norelgestromine/éthinylestradiol) (non remboursable) NUVARING, système de diffusion vaginal (étonogestrel/éthinylestradiol) (non remboursable) - Contraceptifs uniquement progestatifs 2.3. Médicaments à même visée thérapeutique Dispositifs intra-utérins, spermicides. PA retiré def 6/12
7 3. ANALYSE DES DONNEES DISPONIBLES Le laboratoire a déposé une étude de bioéquivalence en dose unique avec la spécialité BELARA dont CLAREAL est un générique et 13 publications concernant la spécialité princeps, dont 8 études d efficacité contraceptive / tolérance et 5 études de tolérance clinique et / ou biologique. - Sept études pour lesquelles l efficacité contraceptive (indice de Pearl) de BELARA était un critère principal ou secondaire, dont 5 études observationnelles ont été prises en compte. - Sept études ne comportant pas de données d efficacité contraceptive n ont pas été prises en compte : 1 étude de bioéquivalence en dose unique, 1 étude d efficacité portant sur un critère intermédiaire (contrôle de l inhibition de l ovulation en échographie), 2 études de tolérance portant sur des critères intermédiaires (dosages biologiques) et trois études d efficacité portant sur une utilisation hors AMM (acné, hirsutisme) Efficacité Les données d efficacité figurent dans les tableaux 1 et 2. Tableau 1 : essais cliniques d efficacité Etude Zahradnik et al Zahradnik et al Méthode Etude ouverte, non (n=1655 dont 972 traitées pendant 13 mois cycles) (âge moyen : 25,9 ans) Durée maximale du traitement : 24 cycles Femmes de 18 à 40 ans Etude ouverte, non, extension de l étude précédente (n= cycles) (âge moyen : 27,4 ans) Femmes ayant été traitées pendant 24 cycles dans l étude précédente et acceptant de participer à la phase d extension Critère de jugement Indice de Pearl Indice de Pearl Durée du traitement : 36 à 45 cycles *12 grossesses, indice de Pearl théorique excluant les grossesses consécutives à des erreurs de prise, l administration concomitante d antibiotiques, une diarrhée ou des vomissements = 0,269 [0,11-0,6] ; 8 grossesses, indice de Pearl théorique excluant les grossesses consécutives à des erreurs de prise, à l administration concomitante d antibiotiques ou à une diarrhée = 0,16 [0,04-0,42] ; Résultat 0,645 * [0,36-1,09] 0,42 [0,17-0,78] 1 Zahradnik et al. Efficacy and safety of the new antiandrogenic oral contraceptive BELARA. Contraception 1998; 57: Zahradnik et al. Efficacy, safety and sustainability- of treatment continuation and results of an oral contraceptive containing 30 mcg ethinyl estradiol and 2 mg chlormadinone acetate, in long term usage (up to 45 cycles)- an open-label, prospective, noncontrolled, office-based phase III study. Contraception 2008; 77: PA retiré def 7/12
8 Tableau 2 : études d efficacité observationnelles Etude Méthode Critère de jugement Résultat et al 2002 et al 2003 et al 2007 Anthuber et al Heskamp et al (n= cycles) (âge moyen : 24,6 ans) Durée du traitement : 12 cycles (n= cycles) (âge moyen : 24,5 ans) Durée du traitement : 4 cycles Femmes changeant de contraception (stérilet ou pilule) pour BELARA (n= cycles) (âge moyen : 25,9 ans) Femmes 20 ans (n= cycles) (âge moyen : 17,1 ans) Femmes 25 ans (n= cycles) (âge moyen : 32,6 ans) - Indice de Pearl - Indice de Pearl - Indice de Pearl - Indice de Pearl 0,344 * [0,24-0,47] 0,42 [0,2-0,8] 0,36 [0,23-0,56] 0,25 [0,11-0,49] - Indice de Pearl 0 [0,00-0,22] * : 36 grossesses, indice de Pearl théorique excluant les grossesses consécutives à des erreurs de prise, ou à une interaction médicamenteuse = 0,076 [0,03-0,14] ; : 10 grossesses, indice de Pearl théorique excluant les grossesses consécutives à des erreurs de prise = 0,04 [0,002-0,2] ; : 19 grossesses, indice de Pearl théorique excluant les grossesses consécutives à des erreurs de prise = 0,133 [0,06-0,27] ; : 8 grossesses, indice de Pearl théorique excluant les grossesses consécutives à des erreurs de prise ou à l administration concomitante d antibiotiques = 0,03 [0,00-0,17]. Dans le RCP de CLAREAL l indice de Pearl est de 0,698 [0,389 ; 1,183] et l indice de Pearl corrigé de 0,291 [0,115 ; 0,650] 3 et al. Contraceptive efficacy and tolerability of chlormadinone acetate 2mg/ ethinylestradiol 0,03 mg (BELARA).Clin Drug Invest 2002; 22: et al. A 12 month evaluation of the CMA-containing oral contraceptive BELARA : efficacy, tolerability and antiandrogenic properties. Contraception 2003 ;67: et al. Switching hormonal contraceptives to a chlormadinone acetate containing oral contraceptive. The contraceptive swithch study. Contraception 2007 ;76: Anthuber et al. Six-month evaluation of the benefits of the low-dose combined oral contraceptive chlormadinone acetate 2 mg / ethinylestradiol 0,03 mg in young women: results of the prospective, observational, non interventional, multicentre Tee Nis study. Clin Drug Invest 2010; 30: Heskamp et al. Efficacy of the new-dose combined oral contraceptive chlormadinone acetate/ethinylestradiol : physical and emotional benefits. Contraception 2010; 81: PA retiré def 8/12
9 3.2. Tolérance Les données de tolérance figurent dans les tableaux 3 et 4 Tableau 3 : Contrôle du cycle Etude Méthode Critères de jugement Résultat Zahradnik et al Zahradnik et al et al et al et al Anthuber et al Heskamp et al Etude ouverte, non (n=1655 dont 972 traitées pendant 13 mois cycles) Durée maximale du traitement : 24 cycles Etude ouverte, non, extension de l étude précédente (n=781_ cycles) Durée du traitement : 36 à 45 cycles (n= cycles) Durée du traitement : 12 cycles (n= cycles) Durée du traitement : 4 cycles Femmes changeant de contraception (stérilet ou pilule) pour BELARA (n= cycles) Femmes 20 ans (n= cycles) (n= cycles) - % femmes n ayant pas de saignement de privation -% de cycles avec spottings -% de cycles avec saignements intercurrents - % femmes ayant un cycle normal - % de femmes n ayant pas de saignement de privation -% de femmes ayant des saignements intermenstruel -% de femmes ayant une aménorrhée ( 3 cycles consécutifs sans saignement de privation) - Arrêts de traitement pour troubles du cycle : (% de femmes) - % de femmes ayant des cycles normaux - % de femmes ayant des spottings - % de femmes ayant des saignements intercurrents - % de femmes ayant une aménorrhée - Arrêts de traitement pour troubles du cycle (% de femmes) : - % de femmes ayant des cycles normaux - % de femmes ayant des spottings - % de femmes ayant des saignements intercurrents - % de femmes ayant une aménorrhée (au moins 1 cycle) - % de femmes ayant des spottings en fin de traitement - %de femmes ayant des saignements intercurrents en fin de traitement - % de femmes ayant des spottings - % de femmes ayant des saignements intercurrents -% de femmes ayant une aménorrhée (au moins 1 cycle) -% de femmes ayant des ménorrhagies -% de femmes ayant une dysménorrhée - % de femmes ayant des saignements intercurrents * -% de femmes ayant une aménorrhée * * : intensité modérée ou sévère ; : début d étude : dans les 3 mois avant inclusion ; Cycle 1 : 13,3% Cycle 3 : 8,1% Cycle 13 : 5,8% 11,5% 3,5% 81,8% à 87,2% selon les cycles 5 à 6% selon les cycles 1,6 à 6,4% selon les cycles 4% saignements intercurrents 2,5%, aménorrhée 0,5%, dysménorrhée 0,2% 69,6% 24% 6% 4,3% 3,8 % 67,3% 26,6% 7,1% 6,4% 22,2% 4,1% Début d étude :28% Fin d étude : 15,2% Début d étude : 12,1% Fin d étude : 4,4% Début d étude : 20,0% Fin d étude : 4,4% Début d étude : 17,7% Fin d étude : 0,9% Début d étude : 50,9% Fin d étude : 22,2% Début d étude : 19,3% Fin d étude : 1,7% Début d étude : 10,5% Fin d étude : 3,1% PA retiré def 9/12
10 Tableau 4 : autres données de tolérance Etude Méthode Evénements indésirables Résultat Zahradnik et al Zahradnik et al et al et al Anthuber et al Heskamp et al Etude ouverte, non (n=1631) dont 972 traitées pendant 13 mois) Etude ouverte, non, extension de l étude précédente (n=781) (n=21 820) Durée du traitement : 12 cycles (n=2 620) Femmes 20 ans (n=7 462) (n=3 792) - EI Les plus fréquents (% de femmes) - EI graves - EI thrombo-emboliques - EI les plus fréquents (% de femmes) - EI thrombo-emboliques - Arrêts de traitement pour événements indésirables (% de femmes)* - EI les plus fréquents (% de femmes) - EI graves liés au traitement - EI thrombo-emboliques - Arrêts de traitement pour événements indésirables (% de femmes)* - EI Les plus fréquents (% de femmes) - EI thrombo-emboliques -% de femmes ayant eu un EI non grave - thromboses - Arrêts de traitement pour EI (% de femmes) - EI les plus fréquents Céphalées : 37,4% Nausées : 23,1% Mastodynies : 21,7% Leucorrhées : 19,4% Accidents/blessures : 0,7%(n=11) Kyste ovarien opéré : 0,4%(n=7) Baisse de l audition : 0,2%(n=3) Goitre : 0,2%(n=3) Thrombose veineuse profonde : n=2 Embolie pulmonaire : n=1 Céphalées : 21,4% Mastodynies : 13,2% Nausées : 9,6% Fatigue : 9% Leucorrhées : 8,7% Syndrome post thrombotique du membre inférieur : n=1 Thrombose veineuse du membre inférieur : n=1 1,9% Mastodynies : 3,6% Céphalées/migraine : 2,6% Prise de poids : 1,1% Troubles digestifs : 0,9% Dépression : 0,8% Kyste ovarien opéré : n=5 Sein : anomalie non précisée à la palpation n=1 (perdue de vue) Thrombose veineuse superficielle du membre inférieur : n=1 Embolie pulmonaire : n=1 4,4 % Mastodynies : 4,6% Céphalées/migraine : 2,7% Troubles digestifs : 0,9% Prise de poids : 0,9% Dépression : 0,8% Fatigue : 0,6% Thrombose veineuse du membre inférieur : n=1 4,37% n=2 2,8% Troubles du cycle/mastodynies : 1,7% Céphalées/migraines : 0,6% Prise de poids : 0,5% Troubles digestifs : 0,3% Acné, peau sèche : 0,3% Kyste ovarien + annexite n=1 EI graves EI : événements indésirable ; * : céphalées/migraines, prise de poids, signes d androgénisation, mastodynies, dépression Il n a pas été identifié de publication d étude épidémiologique concernant le risque thromboembolique sous traitement par acétate de chlormadinone associé à l éthinylestradiol. PA retiré def 10/12
11 3.3. Conclusion L indice de Pearl de CLAREAL est - selon le RCP de 0,698 [0,389 ; 1,183] (indice de Pearl corrigé : 0,291 [0,115 ; 0,650]). - dans 2 essais non comparatifs de 0,645 et 0,42. - dans 5 études observationnelles compris entre 0 et 0,42 Les saignements inter menstruels ont concerné 1,7% à 12,1% des femmes dans les études observationnelles et ont été plus fréquents au cours des premiers mois d utilisation. Ils ont concerné 1,6 à 6,4% des femmes selon les cycles dans un essai clinique. Une aménorrhée a concerné 3,1% à 20% des femmes dans les études observationnelles ; elle a été plus fréquente au cours des premiers mois d utilisation. Elle a concerné 4% des femmes dans un essai clinique. Des spottings ont concerné entre 15,2% à 28% des femmes dans les études observationnelles ; ils ont concerné 11,5% des cycles dans un essai clinique. Les arrêts de traitement pour troubles du cycle ont concerné 3,8% et 3,2% des femmes incluses dans 2 études observationnelles. En dehors de ces troubles du cycle, les événements indésirables les plus fréquents ont été : céphalées (37,4% et 21,4% des patientes dans les essais cliniques, 0,5% à 2,7% dans les études observationnelles), nausées (23,1% et 9,6% dans les essais cliniques, non mentionnées dans les études observationnelles), mastodynies (21,7% et 13,2% dans les essais cliniques, 3,6% et 4,6% dans 2 études observationnelles), leucorrhées (19,4% et 8,7% dans les essais cliniques, non mentionnées dans les études observationnelles). Les arrêts de traitement pour événement indésirable ont concerné 2,8% à 8,2% des patientes selon les études. Les causes les plus fréquentes d arrêt de traitement ont été les troubles du cycle. Des kystes ovariens ont été rapportés chez 0,02% des femmes dans une étude observationnelle à 0,4% des femmes dans un essai clinique. Des événements thromboemboliques veineux ont été rapportés chez 0,009% des femmes dans une étude observationnelle à 0,2% des femmes dans un essai clinique. Les données disponibles sont insuffisantes pour évaluer avec précision et de façon aux autres contraceptifs estroprogestatifs dosés à 30 µg d éthinylestradiol le risque thrombo-embolique de cette association. Enfin, il n a pas été mis en évidence d avantage en termes d efficacité ou de tolérance de cette association par rapport aux autres associations estro-progestatives dosées à 30 µg d éthinylestradiol. PA retiré def 11/12
12 4. CONCLUSIONS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE 4.1. Service médical rendu L accès à une contraception adaptée pour toutes les femmes qui décident d y avoir recours est un objectif de santé publique. La spécialité entre dans le cadre d un traitement préventif. Compte tenu de l absence de données de tolérance suffisantes à moyen et long termes, évaluant notamment les risques d événements thrombo-emboliques veineux ou artériels liés à l utilisation de CLAREAL, le rapport efficacité/effets indésirables ne peut être apprécié. Le fardeau de santé publique induit par les grossesses non désirées peut être considéré comme modéré ; en effet, malgré un pourcentage élevé de femmes bénéficiant d une contraception efficace, une grossesse sur trois serait non désirée en France. Assurer un accès à une contraception adaptée et réduire la fréquence des interruptions volontaires de grossesse sont des objectifs de santé publique définis par le Groupe technique national de définition des objectifs de santé publique (GTNDO). Il existe donc un besoin mais la réponse à ce besoin ne se réduit pas au remboursement de nouveaux contraceptifs oraux, sans considérations de leurs conséquences sur la santé publique. Les données disponibles ne permettent pas d évaluer l impact que représenterait la prise en charge de CLAREAL sur la couverture contraceptive. En conséquence, il n est pas attendu d intérêt de santé publique pour CLAREAL. Il existe des alternatives, notamment des contraceptifs oraux estroprogestatifs, à ce contraceptif. La place de CLAREAL dans la stratégie contraceptive ne peut être définie. En conséquence, le service médical rendu par cette spécialité est insuffisant pour une prise en charge par la solidarité nationale Recommandations de la Commission de la Transparence Avis défavorable à l'inscription sur la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux et sur la liste des médicaments agréés à l'usage des collectivités et divers services publics dans l indication et posologie de l AMM. PA retiré def 12/12
Contraception chez la femme à risque vasculaire
2 Contraception chez la femme à risque vasculaire Ajustement et surveillance sont indispensables. Geneviève Plu-Bureau Unité de gynécologie endocrinienne et laboratoire d hémostase, hôpital Cochin Port-Royal,
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailinfo ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane
Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.
Plus en détailcomprimé pelliculé? Si votre médecin vous a informée d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.
Désogestrel Biogaran 75 µg, comprimé pelliculé. Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailGyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE
Gyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE OEMéd Qu est-ce que Gyselle 20/Gyselle 30 et quand doit-il être utilisé? Gyselle 20/Gyselle 30 est un médicament anticonceptionnel hormonal, appelé contraceptif oral ou
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailContenu et format des fichiers téléchargeables de la base de données publique des médicaments. Base de données publique des médicaments
Contenu et format des fichiers téléchargeables de la base de données publique des médicaments Base de données publique des médicaments Date de mise à jour : 15/12/2014 Table des matières : 1. Présentation
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 1 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 1 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, Forme pharmaceutique, Dosage, Présentation - ARANESP 10 µg, Darbépoétine
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailTRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.
TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailExtrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale
COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur J. Lansac Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale Volume 2006 publié le 29.11.2006 TRENTIÈMES JOURNÉES NATIONALES
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension
Plus en détailContraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux
L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements
Plus en détailLa mienne est. La mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est sans ordonnance La mienne dure 3 ans La mienne n est pas contraignante La mienne est remboursée La mienne est en
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailIMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT
IMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR PROMETRIUM Progestérone en capsules Le présent dépliant constitue la troisième et dernière partie de la «monographie
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION
ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION INTRODUCTION Autrefois, l'avortement était prohibé par l'apanage des familles nombreuses et par l'influence de l'église qui classaient la contraception au rang de délit.
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. ellaone 30 mg comprimé Ulipristal acétate
B. NOTICE 18 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR ellaone 30 mg comprimé Ulipristal acétate Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. - Gardez cette notice,
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailN 14. Un mot d actualités s! Juin 2013. Sommaire
n ISSN : 1959-2167 N 14 Juin 2013 Un mot d actualités s! Chers Confrères, Le Centre Régional de Pharmacovigilance de Nantes a le plaisir de vous adresser le numéro 14 de son bulletin d information sur
Plus en détailP.S.E. 1 ère situation d évaluation
Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailCompte-rendu du Comité technique de Pharmacovigilance CT012013083. Séance du 12 novembre 2013
CT012013083 27/11/2013 Direction de la Surveillance Pôle Pharmacovigilance Addictovigilance Dr Evelyne Falip Compte-rendu du Comité technique de Pharmacovigilance CT012013083 Nom du dossier Dossier thématique
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLe médicament générique, un médicament comme un autre
Le médicament générique, un médicament comme un autre DOSSIER DE PRESSE - MÉDICAMENTS GÉNÉRIQUES : DISTINGUER LE VRAI DU FAUX - AVRIL 2012 10 idées reçues à propos des médicaments génériques Les génériques
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailAprès la prévention veineuse
Les nouveaux anticoagulants oraux s attaquent à l embolie pulmonaire Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux vont transformer la prise en charge de la maladie thromboembolique veineuse, que ce soit
Plus en détailMigraines, céphalées et statut hormonal
Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début
Plus en détailPharmacovigilance. Brèves en
Brèves en Pharmacovigilance Centre Régional de Pharmacovigilance Nord Pas de Calais C.H.R.U. Place de Verdun 59037 Lille Cedex Ligne directe : 03 20 96 18 18 Ligne CHRU : 03 20 44 54 49 Fax : 03 20 44
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailNOTE DE SYNTHESE RELATIVE AUX COMMENTAIRES SUR LE PROJET DE DECRET N 2-14-841 RELATIF A L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DES MEDICAMENTS A USAGE
NOTE DE SYNTHESE RELATIVE AUX COMMENTAIRES SUR LE PROJET DE DECRET N 2-14-841 RELATIF A L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DES MEDICAMENTS A USAGE HUMAIN AVEC LEURS REPONSES CORRESPONDANTES 1 Mme S.
Plus en détailVivez votre féminité sans souffrir.
Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailDélivrer le médicament le moins cher :
Délivrer le médicament le moins cher : - Prescrire en DCI - Antibiotiques et antimycosiques Brochure pour les médecins, dentistes et pharmaciens Sommaire 1 Sommaire Introduction... 2 I. Prescription en
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailAvis 17 octobre 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)
Plus en détailPrix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI
Prix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI Paul M. Tulkens, Dr Med., Sp. Biol. Clin. Cellular and Molecular Pharmacology
Plus en détail