Confrontations en cytologie hématologique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Confrontations en cytologie hématologique"

Transcription

1 Confrontations en cytologie hématologique Association de Biologie Praticienne 7 avenue des Gobelins 7513 PARIS Tél: Fax : Abonnements et renseignements : secretariatabp@orange.fr Correction de la confrontation 213-3

2 Commentaires généraux Chères et Chers Collègues, Participation très soutenue. Le document de synthèse ci-joint reprend notamment une étude statistique de vos résultats. Vous trouverez le barême de notation à la fin de chaque commentaire de dossier (sur le site). Quelques remarques générales : - vous ne pouvez pas modifier votre réponse après envoi, - n'attendez pas le dernier jour pour saisir et valider vos résultats, - Le document de synthèse personnalisé de chaque confrontation (celui-ci par exemple) est accessible sur site en format PDF (après fin des corrections, qui demandent environ 8 jours) : après saisie dans la ligne ABP de vos identifiant et mot de passe, allez dans la rubrique "Confrontations archivées" --> synthèse --> télécharger le PDF - si vous êtes technicien(ne) de laboratoire, précisez-le en clair : le mode de correction est différent (merci à celles (ceux) qui l'on déjà fait) Quelques remarques "biologiques": - Observation 1 vs observation 3 (LA monoblastique avec CIVD associée vs LAM3 variante hyperleucocytaire) : plusieurs ont signalé une possible inversion des dossiers et des lames. La comparaison des 2 situations au sein d'une même confrontation n'était pas inutile, d'autant que certains se sont emballés devant la CIVD du cas N 1 et ont évoqué une LAM3v un peu trop rapidement. - Observation 2 (LA lymphoblastique avec 3% de blastes, alors qu'un confrère en avait vu 15% (résultat vérifié) qq jours auparavant) : il était important de découvrir les blastes, et de comprendre que ce nombre peut certes augmenter mais également diminuer en qq jours. Proposer un diagnostic précis était plus délicat (la correction en a tenu compte : cf barême de notation en fin de dossier). A éviter absolument : rendre des blastes sur la formule en % et mettre en commentaire "formule normale" ou "lymphocytose réactionnelle". - Observation 4 : belle observation de lymphocytose polyclonale à lymphocytes binucléés. Merci de votre participation, de votre très bon niveau général, et votre confiance Bien confraternellement Signatures : Pr Marc Zandecki Participant : ABP Dr Franck Geneviève

3 Dossier 213-3/1: Leucémie aiguë monoblastique Données clinico-biologiques: Patiente de 53 ans Pas d'antécédents particuliers. Asthénie évoluant depuis quatre semaines, associée à une bronchite, une angine et des abcès dentaires. Apparition d un syndrome hémorragique (purpura sur le thorax). L'hémogramme en laboratoire de ville montrant une hyperleucocytose à 114 G/L avec % de PNN une hospitalisation en urgence dans le CH général voisin est effectuée. Les anomalies de l'hémogramme sont confirmées. Le bilan d'hémostase est le suivant : TCA (M/T) = 32 / 29 sec, TP = 59%, facteur V = 39 %, fibrinogène =.91 g/l, DDimères latex = ng/ml. La patiente est transférée au CHU en urgence pour suspicion de LAM3 variante. Leucocytes = 99 G/L, hémoglobine = 6.1 g/dl, VGM = 92 fl, CCMH = 33 g/dl, plaquettes = 47 G/L. Quel est votre diagnostic? Images: 1. Sang : fort grossissement Grands blastes, avec rapport N/C faible 2. Sang : fort grossissement Grands blastes, avec rapport N/C faible 3. Sang : fort grossissement Les nucléoles sont soit multiples soit uniques (image suivante) 4. Sang : fort grossissement En haut un blaste a l'aspect dit "en drapeau" : bande de cytoplasme à gauche, noyau au centre, bande ce cytoplasme à droite (évoquant les 3 bandes du drapeau français)

4 5. Sang : fort grossissement Blastes 6. Moelle osseuse : grossissement intermédiaire Essentiellement des blastes, au raport N/C moyen ou faible. Quasi - disparition des granulocytes et des érythroblastes 7. Moelle osseuse : fort grossissement Dans le sang comme dans la moelle on remarque une grande hétérogénéité de taille (souvent importante) et de rapport N/C (souvent bas) chez cette patiente 8. Moelle osseuse : fort grossissement Immaturité nucléaire, grande taille cellualire, raport N/C bas, sont les critères orientant vers une LA monoblastique (LAM5a ou peu différenciée) Le noyau n'a qu'exceptionnellement un contour "monocytoïde"

5 Votre réponse : Formule Nb de leucocytes (en Giga/l) Polynucléaires neutrophiles Polynucléaires éosinophiles Polynucléaires basophiles Lymphocytes Monocytes Lymphocytes hyperbasophiles (type MNI) Métamyélocytes neutrophiles Myélocytes neutrophiles Promyélocytes neutrophiles Blastes Cellules anormales (préciser en commentaire) Erythroblastes (pour 1 leucocytes) Votre résultat - % attendu % % % % 5% % % % % % 95 % % % Moyenne,,42,2, 5,32,38,,3,16 1,6 91,3 1,25,29 Mini Maxi Ecart-type,,65,12,5 2,67 1,25,,18,71 9,69 14,59 1,63,94

6 Réponses de l'ensemble des participants : Nombre de participants : 46 Hypothèse diagnostique principale : Nombre de réponses analysées : 46 Note de l'ensemble des abonnés : Nombre de réponses analysées : 46 Analyse statistique des autres paramètres saisis : Hypothèse diagnostique secondaire : Nombre de réponses analysées : 251 Commentaires GR : Nombre de réponses analysées : 19

7 Commentaires Plaquettes : Nombre de réponses analysées : 9 Commentaires leucocytes : Nombre de réponses analysées : 32

8 Dossier 213-3/2: Leucémie Aiguë Lymphoblastique Données clinico-biologiques: Homme de 57 ans. Notre collègue d'un laboratoire de biologie médicale d'une ville voisine nous téléphone afin de nous signaler un patient suspect de leucémie aiguë. Selon le médecin traitant il n'y a ni adénopathie ni spléno-hépatomégalie et, mis à part une asthénie depuis 3 semaines (qui motive la consultation et le bilan biologique), il n'y a ni syndrome infectieux ni syndrome hémorragique. L'hémogramme est le suivant : leuco = 9.9 G/L, Hb = 11.5 g/dl, PLT = 11 G/L; et notre confrère a observé 15 % de blastes. Le patient est hospitalisé le lendemain au CHU et son hémogramme est le suivant : leuco = 6.2 G/L, Hémoglobine = 11.4 g/dl, VGM = 91 fl, Plaquettes = 97 G/L. Quelle formule leucocytaire auriez-vous rendue? Auriez-vous un diagnostic à proposer? Images: 1. Frottis sanguin Une cellule anormale : grande taille, rapport N/C élevé, chromatine fine, noyau de contour irrégulier, nucléole net 2. Frottis sanguin Ici le rapport N/C est proche de 1 3. Frottis sanguin Les cellules anormales ont toutes les mêmes critères généraux, et correspondent à des blastes 4. Frottis sanguin Absence de granulations dans le cytoplasme; quelques blastes étaient plus difficiles à identifier

9 5. Frottis médullaire : fort grossissement 6. Frottis médullaire : fort grossissement Moelle pauvre en cellules, et aspiration difficile : Blastes médullaires (un granulocyte immature au centre en myélofibrose? Dans les franges des frottis on observe des bas?) blastes, morphologiquement assez superposables à ceux du sang 7. Frottis médullaire : fort grossissement Blastes médullaires (un myélocyte au centre?? avec quelques granulations) Quelques érythroblastes

10 Votre réponse : Formule Nb de leucocytes (en Giga/l) Polynucléaires neutrophiles Polynucléaires éosinophiles Polynucléaires basophiles Lymphocytes Monocytes Lymphocytes hyperbasophiles (type MNI) Métamyélocytes neutrophiles Myélocytes neutrophiles Promyélocytes neutrophiles Blastes Cellules anormales (préciser en commentaire) Erythroblastes (pour 1 leucocytes) Votre résultat - % attendu % 52 % 2% % 38 % 4% % % 1% % 3% % % Moyenne, 42,6 1,3,41 42,5 5,54,29,56,53,2 3,33 2,84 1,42 Mini Maxi Ecart-type, 5,12,95,77 8,16 3,74 1,24,92,75,15 5,99 6,5 1,33

11 Réponses de l'ensemble des participants : Nombre de participants : 458 Hypothèse diagnostique principale : Nombre de réponses analysées : 458 Note de l'ensemble des abonnés : Nombre de réponses analysées : 458 Analyse statistique des autres paramètres saisis : Hypothèse diagnostique secondaire : Nombre de réponses analysées : 244 Commentaires GR : Nombre de réponses analysées : 125

12 Commentaires Plaquettes : Nombre de réponses analysées : 71 Commentaires leucocytes : Nombre de réponses analysées : 159

13 Dossier 213-3/3: Leucémie aiguë promyélocytaire, forme variante hyperleucocytaire hypo/microgranulaire Données clinico-biologiques: Ce jeune homme de 17 ans a ressenti une intense fatigue et dyspnée d'effort lors d'un entraînement de foot. Les deux jours suivants, il se plaint de céphalées et d'une tachycardie avec sensation de palpitations. Il consulte son médecin traitant qui l'oriente sans tarder vers un cardiologue. L électrocardiogramme et l échographie trans-thoracique sont normaux mais une épreuve d'effort s avère impossible en raison d'une tachycardie et d une grande faiblesse physique apparaissant au moindre effort. Un hémogramme est alors réalisé montrant : GB : 9.6 giga/l ; GR : 1.82 tera/l ; Hémoglobine : 5.6 g/dl ; VGM : 88 fl ; TGMH : 3.8 pg ; CCMH : 35 g/dl ; Plaquettes : 15 giga/l Quel est votre diagnostic? Que faites-vous? Images: 1. Frottis sanguin La grande majorité des blastes se caractérise par une hypogranularité (faible nombre ou absence de granulations visibles) et beaucoup ont un noyau très nettement bilobé. 2. Frottis sanguin La grande majorité des blastes se caractérise par une hypogranularité (faible nombre ou absence de granulations visibles) et beaucoup ont un noyau très nettement bilobé. 3. Frottis sanguin Il existe un faible contingent de blastes d'aspect hypergranulaire (granulations plus volumineuses et plus nombreuses), du type de ceux observés dans la forme classique de la LAM3 4. Frottis sanguin Il existe un faible contingent de blastes d'aspect hypergranulaire (granulations plus volumineuses et plus nombreuses), du type de ceux observés dans la forme classique de la LAM3

14 5. Frottis sanguin Il existe un faible contingent de blastes d'aspect hypergranulaire (granulations plus volumineuses et plus nombreuses), du type de ceux observés dans la forme classique de la LAM3 6. Frottis sanguin L'observation attentive permet de répérer des blastes contenant un à plusieurs corps d'auer, voire des corps d'auer en fagots pour quelques uns d'entre eux. Ces éléments sont importants à rechercher car il facilitent et confirment le diagnostic de LAM3, permettant de déclencher une prise en charge plus rapide. 7. Frottis sanguin L'observation attentive permet de répérer des blastes contenant un à plusieurs corps d'auer, voire des corps d'auer en fagots pour quelques uns d'entre eux. Ces éléments sont importants à rechercher car il facilitent et confirment le diagnostic de LAM3, permettant de déclencher une prise en charge plus rapide. 8. Frottis sanguin L'observation attentive permet de répérer des blastes contenant un à plusieurs corps d'auer, voire des corps d'auer en fagots pour quelques uns d'entre eux. Ces éléments sont importants à rechercher car il facilitent et confirment le diagnostic de LAM3, permettant de déclencher une prise en charge plus rapide. 9. Frotis sanguin L'observation attentive permet de répérer des blastes contenant un à plusieurs corps d'auer, voire des corps d'auer en fagots pour quelques uns d'entre eux. Ces éléments sont importants à rechercher car il facilitent et confirment le diagnostic de LAM3, permettant de déclencher une prise en charge plus rapide. 1. Frottis sanguin Coloration cytochimique de la myéloperoxydase : très fortement positive, elle peut aider à la distinction avec une leucémie monoblastique (LAM M5)

15 11. Frottis sanguin - J8 du traitement par ATRA J8 du traitement : Sous l'effet du traitement différenciant par acide tout-transrétinoïque (ATRA), les blastes subissent une maturation et sont finalement éliminés par apoptose. On observe une maturation progressive des cellules du diagnostic (diminution de la basophilie, condensation de la chromatine) ainsi qu'une altération mophologique mais les noyaux conservent leur aspect bilobé et les corps d'auer subsistent. 12. Frottis sanguin - J8 du traitement par ATRA J8 du traitement : Sous l'effet du traitement différenciant par acide tout-transrétinoïque (ATRA), les blastes subissent une maturation et sont finalement éliminés par apoptose. On observe une maturation progressive des cellules du diagnostic (diminution de la basophilie, condensation de la chromatine) ainsi qu'une altération mophologique mais les noyaux conservent leur aspect bilobé et les corps d'auer subsistent. 13. Frottis sanguin - J8 du traitement par ATRA J8 du traitement : Sous l'effet du traitement différenciant par acide tout-transrétinoïque (ATRA), les blastes subissent une maturation et sont finalement éliminés par apoptose. On observe une maturation progressive des cellules du diagnostic (diminution de la basophilie, condensation de la chromatine) ainsi qu'une altération mophologique mais les noyaux conservent leur aspect bilobé et les corps d'auer subsistent. 14. Frottis sanguin - J8 du traitement par ATRA J8 du traitement : Sous l'effet du traitement différenciant par acide tout-transrétinoïque (ATRA), les blastes subissent une maturation et sont finalement éliminés par apoptose. On observe une maturation progressive des cellules du diagnostic (diminution de la basophilie, condensation de la chromatine) ainsi qu'une altération mophologique mais les noyaux conservent leur aspect bilobé et les corps d'auer subsistent.

16 Votre réponse : Formule Nb de leucocytes (en Giga/l) Polynucléaires neutrophiles Polynucléaires éosinophiles Polynucléaires basophiles Lymphocytes Monocytes Lymphocytes hyperbasophiles (type MNI) Métamyélocytes neutrophiles Myélocytes neutrophiles Promyélocytes neutrophiles Blastes Cellules anormales (préciser en commentaire) Erythroblastes (pour 1 leucocytes) Votre résultat - % attendu % 1% % % 1% % % % % % 98 % % % Moyenne, 1,12,22,8 3,63,41,2,27 1,25 3,64 87,74 1,36,39 Mini Maxi Ecart-type, 1,83,87,29 2,59,92 4,2,92 2,79 15,93 2,55 1,71,81

17 Réponses de l'ensemble des participants : Nombre de participants : 458 Hypothèse diagnostique principale : Nombre de réponses analysées : 458 Note de l'ensemble des abonnés : Nombre de réponses analysées : 458 Analyse statistique des autres paramètres saisis : Hypothèse diagnostique secondaire : Nombre de réponses analysées : 151 Commentaires GR : Nombre de réponses analysées : 113

18 Commentaires Plaquettes : Nombre de réponses analysées : 4 Commentaires leucocytes : Nombre de réponses analysées : 126

19 Dossier 213-3/4: Hyperlymphocytose B polyclonale à lymphocytes binucléés Données clinico-biologiques: Cette femme de 4 ans n a pas d autre antécédent médical qu une obésité. On note un tabagisme important (4 cigarettes/j), une contraception par pilule oestro-progestative. Son médecin traitant, qui lui fait réaliser un bilan biologique annuel, note depuis 3 ans sur les résultats de NFS la présence d une lymphocytose autour de 6 giga/l, d'une monocytose variable entre.3 et 2.5 G/l, et à chaque fois le commentaire «Présence de grands lymphocytes au cytoplasme basophile». L examen clinique est normal, l échographie abdomino-pelvienne ne montre aucune anomalie et les sérologies virales n ont jamais montré d infection récente ou en cours. Avant d aller plus loin dans les investigations, il adresse la patiente à la consultation de médecine interne pour avis spécialisé concernant ce «syndrome mononucléosique chronique» et sa prise en charge si besoin est. L hémogramme montre : GB : 13.1 giga/l ; GR : 5.1 tera/l ; Hémoglobine : 14.2 g/dl ; VGM : 84 fl ; TGMH : 27.8pg ; CCMH : 32.3 g/dl ; Plaquettes : 29 giga/l La formule de l'automate montre PNN : 4.5 G/l LY : 6.5 G/l MO : 2.29 G/l et est associée à une alarme morphologique "lymphocytes anormaux" Auriez-vous suggéré un diagnostic à ce praticien? Quels examens complémentaires auriez-vous conseillés pour étayer votre hypothèse? Images: 1. Frottis sanguin Une partie des lymphocytes se présente sous la forme de petits lymphocytes d'aspect banal (25 à 3% des GB) 2. Frottis sanguin Les autres cellules lymphoïdes du frottis sont un peu plus grandes (35 à 4% des GB). Ces cellules ont environ la taille de deux hématies ou d'un polynucléaire neutrophile, et bien que polymorphes, présentent entre elles des similitudes morphologiques, tant par l'aspect du cytoplasme, bien visible, modérément basophile et agranulaire, que par la texture de la chromatine nucléaire qui apparaît condensée et mottée. Le noyau est arrondi ou ovalaire, ou présente une échancrure plus ou moins marquée.

20 3. Frottis sanguin Les autres cellules lymphoïdes du frottis sont un peu plus grandes (35 à 4% des GB). Ces cellules ont environ la taille de deux hématies ou d'un polynucléaire neutrophile, et bien que polymorphes, présentent entre elles des similitudes morphologiques, tant par l'aspect du cytoplasme, bien visible, modérément basophile et agranulaire, que par la texture de la chromatine nucléaire qui apparaît condensée et mottée. Le noyau est arrondi ou ovalaire, ou présente une échancrure plus ou moins marquée. 4. Frottis sanguin Les autres cellules lymphoïdes du frottis sont un peu plus grandes (35 à 4% des GB). Ces cellules ont environ la taille de deux hématies ou d'un polynucléaire neutrophile, et bien que polymorphes, présentent entre elles des similitudes morphologiques, tant par l'aspect du cytoplasme, bien visible, modérément basophile et agranulaire, que par la texture de la chromatine nucléaire qui apparaît condensée et mottée. Le noyau est arrondi ou ovalaire, ou présente une échancrure plus ou moins marquée. 5. Frottis sanguin Quelques éléments (5 à 7% des GB totaux) présentent un noyau d'aspect plus nettement bilobé,les deux lobes étant reliés par un pont de chromatine, voire un aspect binucléé avec deux lobes complètement séparés. 6. Frottis sanguin Quelques éléments (5 à 7% des GB totaux) présentent un noyau d'aspect plus nettement bilobé,les deux lobes étant reliés par un pont de chromatine, voire un aspect binucléé avec deux lobes complètement séparés. 7. Frottis sanguin Quelques éléments (5 à 7% des GB totaux) présentent un noyau d'aspect plus nettement bilobé,les deux lobes étant reliés par un pont de chromatine, voire un aspect binucléé avec deux lobes complètement séparés. 8. Frottis sanguin Quelques éléments (5 à 7% des GB totaux) présentent un noyau d'aspect plus nettement bilobé,les deux lobes étant reliés par un pont de chromatine, voire un aspect binucléé avec deux lobes complètement séparés.

21 9. Frottis sanguin Quelques éléments (5 à 7% des GB totaux) présentent un noyau d'aspect plus nettement bilobé,les deux lobes étant reliés par un pont de chromatine, voire un aspect binucléé avec deux lobes complètement séparés. 1. Immunophénotypage lymphocytaire Les cellules lymphoïdes toutes confondues représentent environ 6% des leucocytes. 56% d'entre elles sont des lymphocytes B, confirmant donc une lymphocytose B sanguine modérément excessive. Sur celles ci on constate l'absence de restriction monotypique puisque 56% de ces lymphocytes B expriment la chaîne légère d'immunoglobuline kappa et 44% la chaîne lambda, faisant donc conclure à une hyperlymphocytose B polyclonale

22 Votre réponse : Formule Nb de leucocytes (en Giga/l) Polynucléaires neutrophiles Polynucléaires éosinophiles Polynucléaires basophiles Lymphocytes Monocytes Lymphocytes hyperbasophiles (type MNI) Métamyélocytes neutrophiles Myélocytes neutrophiles Promyélocytes neutrophiles Blastes Cellules anormales (préciser en commentaire) Erythroblastes (pour 1 leucocytes) Votre résultat - % attendu % 34 % 1% 1% 24 % 2% % % % % % 38 % % Moyenne, 32,33,79,44 53, 5,29 1,9,,1,, 7,, Mini Maxi Ecart-type, 5,8,77,63 11,36 5,29 4,13,7,8,, 9,51,5

23 Réponses de l'ensemble des participants : Nombre de participants : 453 Hypothèse diagnostique principale : Nombre de réponses analysées : 453 Note de l'ensemble des abonnés : Nombre de réponses analysées : 453 Analyse statistique des autres paramètres saisis : Hypothèse diagnostique secondaire : Nombre de réponses analysées : 93 Commentaires GR : Nombre de réponses analysées : 3

24 Commentaires Plaquettes : Nombre de réponses analysées : 7 Commentaires leucocytes : Nombre de réponses analysées : 4

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL

Plus en détail

L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros

L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

Interpréter un résultat d hémogramme

Interpréter un résultat d hémogramme Interpréter un résultat d hémogramme Dr Albert Steffen Médecine Interne Montpellier* Dr Yves Le Noc - MG SFDRMG Montreuil* *Aucun lien d intérêt 08/10/210 JNMG- Paris 1 Pourquoi cet atelier? Dix premiers

Plus en détail

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Hématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES

Hématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Hématologie et soins infirmiers Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Diaporama confectionné en collaboration avec : Pr Bordessoule, Pr Jaccard, Dr Girault, Dr Turlure Réseau Hématolim Plan

Plus en détail

Revue microscopique du frottis sanguin : propositions du Groupe Francophone d Hématologie Cellulaire (GFHC)

Revue microscopique du frottis sanguin : propositions du Groupe Francophone d Hématologie Cellulaire (GFHC) Revue microscopique du frottis sanguin : propositions du Groupe Francophone d Hématologie Cellulaire (GFHC) F. GENEVIÈVE 1, A.C. GALOISY 2, D. MERCIER-BATAILLE 3, O. WAGNER-BALLON 4, F. TRIMOREAU 5, O.

Plus en détail

Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2

Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie

Plus en détail

Les syndromes myelodysplasiques

Les syndromes myelodysplasiques INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale

Plus en détail

Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients

Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie

Plus en détail

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Les syndromes myélodysplasiques

Les syndromes myélodysplasiques INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)

LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur

Plus en détail

Université Pierre et Marie Curie. Hématologie. Niveau DCEM3. Polycopié National. Mise à jour : 22 juin 2006

Université Pierre et Marie Curie. Hématologie. Niveau DCEM3. Polycopié National. Mise à jour : 22 juin 2006 Université Pierre et Marie Curie Hématologie Niveau DCEM3 2006 Polycopié National Mise à jour : 22 juin 2006 2/120 Hématologie - Polycopié National 2006 Sommaire Sommaire 3 Sommaire 11 Chapitre 1 : Agranulocytose

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Glossaire de la LMC et abréviations

Glossaire de la LMC et abréviations Glossaire de la LMC et abréviations Richard Rockefeller, MD. Updated in 2008 by the CML Society of Canada. INTRODUCTION: Vous trouverez dans ce document des termes liés spécifiquement à la LMC, ainsi que

Plus en détail

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Introduction générale

Introduction générale Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors

Plus en détail

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Dossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :

Dossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse : Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Comment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:

Comment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse: La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur, Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter

Plus en détail

LES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT

LES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT ÉCOLE NATIONALE VETERINAIRE D ALFORT Année 2010 LES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT THESE Pour le DOCTORAT VETERINAIRE Présentée et soutenue publiquement devant

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

LECTURE CRITIQUE DE L HÉMOGRAMME : VALEURS SEUILS

LECTURE CRITIQUE DE L HÉMOGRAMME : VALEURS SEUILS LECTURE CRITIQUE DE L HÉMOGRAMME : VALEURS SEUILS À RECONNAÎTRE COMME PROBABLEMENT PATHOLOGIQUES ET PRINCIPALES VARIATIONS NON PATHOLOGIQUES SOMMAIRE I. Quelles sont les valeurs seuils de l hémogramme,

Plus en détail

Les leucémies de l adulte. Un guide de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches

Les leucémies de l adulte. Un guide de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Les leucémies de l adulte Un guide de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editeur Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001

Plus en détail

Le Don de Moelle Ça fait pas d mal!

Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis

Plus en détail

Leucémie Lymphoïde Chronique

Leucémie Lymphoïde Chronique Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................

Plus en détail

Les leucémies infantiles lymphoblastiques aiguës décrites de manière médicale et sociale

Les leucémies infantiles lymphoblastiques aiguës décrites de manière médicale et sociale Les leucémies infantiles lymphoblastiques aiguës décrites de manière médicale et sociale 1. Introduction Travail de Maturité réalisé au Lycée Jean Piaget de Neuchâtel sous la direction de Mme Katia Piccolo

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012

Plus en détail

Syndromes myélodysplasiques

Syndromes myélodysplasiques Syndromes myélodysplasiques LEUCÉMIE LY M P H O M E MYÉLOM E PS22 50M 3/08 Table des matières Introduction 2 Sang et moelle osseuse normaux 3 Syndromes myélodysplasiques 5 Incidence 6 Causes et facteurs

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

L anémie hémolytique auto-immune

L anémie hémolytique auto-immune L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

Cytokines & Chimiokines

Cytokines & Chimiokines Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur

Plus en détail

Unité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer

Unité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer PO 3.2.2 version n 1 page1/5 Unité d onco-hématologie pédiatrique Procédure de recueil de consentements du donneur Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer Date d application : 1/12/2007

Plus en détail

www.dondemoelleosseuse.fr

www.dondemoelleosseuse.fr Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Sources bibliographiques :

Sources bibliographiques : AP-HM LBM 00PREP01D004 Date d application: 2014-06-16 Version : 3 Rédaction : ALBANESE Brigitte, AILLAUD Marie Françoise, ARNOUX Dominique Validation : MORANGE Pierre, DIGNAT-GEORGE Françoise Approbation

Plus en détail

Guide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille

Guide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN

Plus en détail

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement

Plus en détail

Épreuve d effort électrocardiographique

Épreuve d effort électrocardiographique Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment

Plus en détail

Le don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder

Le don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.

Plus en détail

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent

Plus en détail

Transplantation de cellules souches du sang

Transplantation de cellules souches du sang Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.

Plus en détail

L incompatibilité immunologique érythrocytaire

L incompatibilité immunologique érythrocytaire Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,

Plus en détail

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

A009 Maîtrise des enregistrements

A009 Maîtrise des enregistrements 28.11.2014 Version 11 Page 1 de 8 A009 Maîtrise des enregistrements Modifications : pages 2, 5 South Lane Tower I 1, avenue du Swing L-4367 Belvau Tél.: (+352) 2477 4360 Fa: (+352) 2479 4360 olas@ilnas.etat.lu

Plus en détail

Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège

Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites

Plus en détail

LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte

LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document

Plus en détail

Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON

Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Journées de formation DMP

Journées de formation DMP Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE

I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème? Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par

Plus en détail