LE CORPS Niveau Grande Section maternelle CP

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LE CORPS Niveau Grande Section maternelle CP"

Transcription

1 THEME N 1 LE CORPS Niveau Grande Section maternelle CP OBJECTIF GENERAL Favoriser chez l enfant la connaissance, l appropriation et l appréciation de son corps sexué et de son identité sexuelle. OBJECTIFS POUR L ENFANT Reconnaître et nommer les différentes parties de son corps (schéma corporel). Percevoir l existence de parties externes et parties internes du corps sexué. Mettre en évidence l évolution des capacités physiques lors de sa croissance. Identifier les différences corporelles entre filles et garçons. Nommer de façon simple le sexe masculin et le sexe féminin : pénis vulve. REPERES POUR L INTERVENANT - Le développement psychosexuel infantile. Pour l enseignant, l intervenant, connaître les principales étapes du développement psychosexuel de l enfant permet de mieux comprendre l enfant là où il en est lorsqu on le retrouve en séquence d éducation à la sexualité. Freud a été le premier, au début du 19ème siècle, à parler de sexualité infantile pour «tout ce qui concerne les activités de la première enfance en quête de jouissance locale que tel ou tel organe est susceptible de procurer». Les différentes étapes décrites se succèdent mais l une n efface pas l autre : elles restent imprégnées chez chaque adulte et influenceront sa construction, sa sexualité, ses relations à autrui,... Les âges donnés le sont à titre indicatif, correspondant à la «moyenne» dans le développement infantile. 1) Le stade oral (première année). L acte de téter satisfait chez le tout-petit le besoin physiologique nutritionnel mais s avère aussi source de plaisir. C est la période où le plaisir est associé à l excitation de la cavité buccale (plaisir de succion auquel s ajoute ensuite celui de la morsure, oralité agressive). La pulsion correspondant à ce stade va petit à petit trouver sa source non seulement dans la bouche mais aussi dans le tube digestif et d une façon générale, les voies respiratoires et les organes sensoriels (stimulations liées aux voix, aux caresses, aux parfums, à la vue des êtres qui l entourent...). 2) Le stade anal (deuxième et troisième année). La zone érogène est la zone ano-rectale. C est pour l enfant la période d acquisition du contrôle des sphincters, avec le plaisir de rétention ou d expulsion des selles. Ce plaisir va se transformer petit à petit en plaisir à donner ou à posséder. L enfant se rend alors compte qu il et capable d exercer une certaine maîtrise sur les autres (en particulier ses parents). Ce stade va être dominé par des pulsions de maîtrise et d emprise. L enfant acquiert une certaine autonomie, s affirme : c est le défi vis à vis des parents dans le «non» si souvent prononcé. 3) Stade phallique (troisième et quatrième année). La source de la pulsion se trouve dans les organes génitaux. C est l âge de la masturbation et de la découverte de la différence des sexes. L enfant repère les organes génitaux externes et s interroge sur leur «différence». Il s agit au départ de l absence ou de la présence de pénis, c est à dire «en avoir ou pas». Le pénis peut être d ailleurs vécu non pas simplement comme un attribut génital lié au sexe masculin mais aussi comme un symbole de puissance. (texte de Mélanie KLEIN). 5

2 C est en même temps une période de déni de cette différence : le garçon repousse l angoisse de castration par la négation de l existence du sexe féminin et la fille imagine une croissance possible de son sexe. La curiosité sexuelle se développe, marquée par l expression à la fois d un certain exhibitionnisme et de voyeurisme. Ils s observent mutuellement les uns les autres quand ils sont nus, cherchent parfois à toucher les parties sexuelles d autres enfants ou de leurs parents (seins de la mère en particulier). Ils jouent «au docteur», pour savoir comment est fait le corps de l autre. L enfant élabore des théories sexuelles en réponse à ses premières questions : il imagine la fécondation par ingestion d aliments, par une exhibition mutuelle d organes sexuels, par la miction, par le baiser et la naissance par l anus, par le nombril,... Ils commencent à rire ensemble d histoires «pipi-caca» qu ils se racontent inlassablement. Au moment de l acquisition du langage, l enfant est capable d affirmer son identité sexuelle, c est à dire le fait qu il est fille ou garçon. 4) Stade oedipien (cinquième et sixième année). C est à partir de cette période que la sexualité de l enfant n est plus auto-centrée et qu elle va se tourner vers les autres en tant que sujets sexués pris dans leur globalité. Les élans amoureux du jeune enfant le portent vers le parent du sexe opposé, ce qui s accompagne de sentiments de haine, de rivalité, de culpabilité pour le parent du même sexe. Mais des élans amoureux de la même intensité le portent parfois vers le parent du même sexe et l amènent à ressentir une hostilité, de la jalousie pour le parent de l autre sexe. C est l âge où la petite fille veut épouser son père et le petit garçon sa mère. Ce n est donc pas une période facile à vivre pour l enfant qui oscille le plus souvent entre les deux attitudes décrites ci-dessus. Il va donc devoir s arranger avec tous ses sentiments contraires pour trouver un équilibre. Cette phase oedipienne reste toujours marquée par l angoisse de castration chez le garçon et par le désir d acquisition d un pénis chez la fille. La maturation oedipienne réussie permet à l enfant d intégrer la notion de l interdit de l inceste, interdit qui structure non seulement le groupe familial mais aussi la société toute entière. Le garçon va renoncer au désir de la mère et va s identifier au père, mû en cela par la menace de castration. La fille va prendre des distances avec son père, entre autres par peur de perdre l amour de sa mère. Elle va adopter les comportements de sa mère, conformément au rôle social que celle-ci occupe. L identité sexuée de la fille comme celle du garçon se trouvent ainsi consolidées. L un comme l autre ont accepté l idée de leur immaturité sexuelle, le rôle différent de leurs deux parents (ou des deux images parentales si les deux parents ne sont pas présents avec l enfant) et ont intégré les interdits fondamentaux. La période d exhibitionnisme se termine, remplacée par la pudeur à l extérieur de la famille. Ils se posent des questions sur la conception, la grossesse, le rapport sexuel, jouent au papa et à la maman (imitation du couple d amoureux, simulation du mariage, soins au bébé,...). OUTILS - Fiches Enfants 6 ans (n 1.a 1.b 1.c 1.d 1.e 1.f 1.g 1.h) - Fiches le corps et la croissance (n 1.i et 1.i bis) - Photographies de lui-même amenées par chaque enfant : une quand il était bébé et une plus récente. DOCUMENTS POUR LE CAHIER DE L ENFANT - Photocopie du dessin que l enfant a choisi plus un dessin du sexe opposé qu il pourra colorier après la séance. - Les deux photographies qu il a amenées, le cas échéant. PRE REQUIS, TRAVAIL PREALABLE A LA SEANCE En amont de cette thématique, l enseignant aura travaillé avec ses élèves sur les 5 sens. Ils apportent des informations, des sensations et des réactions de plaisir ou de rejet. Il est intéressant de mettre en évidence les différences individuelles de réactions suscitées par les odeurs, les goûts, les touchers, les sons... 6

3 PROPOSITIONS D ACTIVITES POUR LA THEMATIQUE Activité n 1 : L intervenant regroupe les enfants par 4 autour d une table (groupes mixtes). Chaque groupe reçoit 8 planches (n 1.a à 1.h) représentant des enfants nus de 5-6 ans. Chaque enfant doit choisir un dessin suivant la consigne «choisis le dessin qui te ressemble le plus». A tour de rôle, les enfants sont invités à présenter leur dessin et dire pourquoi ils l ont choisi. Note : souvent les enfants présentent d abord les similitudes de longueur de cheveux, de couleur de peau, etc... Avec ces dessins, la différenciation sexuelle apparaît rapidement car il n y a pas les distracteurs habituels qu on trouve sur les photos (vêtements, situations, jouets, etc...). Il est important que l intervenant souligne les similitudes et les différences. Ce faisant, il rassure sur l appartenance au groupe mais il valorise chacun qui est différent des autres. Conclusion : mettre en évidence que ce sont des enfants. Il y a des filles et des garçons, leur corps est différent. L enseignant peut également présenter des photos d animaux. Chez les animaux, il y a des mâles et des femelles, chez les humains, il y a des filles et des garçons. Chaque enfant doit pouvoir affirmer son identité sexuée. «Je suis une fille parce que...» «Je suis un garçon parce que...» Là encore, les différences de caractère, de jeux, de jouets peuvent être présentés par les enfants avant les différences anatomiques. On reviendra dans une autre séance sur les rôles et les stéréotypes sexuels. On se centrera donc dans cette séance sur les organes génitaux extérieurs qu on désignera sous leurs noms de «vulve» et «pénis» tout en accueillant tous les mots affectifs et familiers apportés par les enfants. Activité n 2 : Face au petit groupe d une dizaine d enfants, l intervenant présente les dessins (n 1.i à 1.i bis) représentant 3 stades du développement du corps sexué féminin et masculin. Questions aux enfants : - Que vois-tu sur ces photos? (garçon, fille, grand frère, grande soeur, papa, maman, etc...) - On remarque donc là encore qu il y a deux sexes différents : que se passerait-il si dans un pays il n y avait que des filles ou que des garçons? Plus de descendance, les deux sexes sont importants. - Comment peut-on regrouper les dessins? Voir si la notion d âge et de développement apparaît. Sinon proposer «on peut les regrouper par âge». les enfants les grands, les adolescents les adultes, les parents. Comment fait-on? Quelles différences a t-on repéré? Pilosité, morphologie, caractères sexuels secondaires. Conclusion : Il y a des garçons et des filles, des femmes, des hommes, et aussi des enfants et des adultes. Les adultes, les parents sont d une autre génération. (On verra ultérieurement l importance de la différence des générations dans l interdit de la relation sexuelle). Question : Dans cette classe, qui n est pas de la même génération que vous? Faire émerger l appartenance de l intervenant, la maîtresse, l ATSEM, etc... à une autre génération. Remarque : tout au long de ces activités, certains enfants n auront pas souhaité prendre la parole ou auront hésité à utiliser un vocabulaire relevant plus habituellement de la sphère privée. Bien pointer ces notions de «pudeur» et «d intimité». 7

4 «Pudeur et intimité» : on n aime pas forcément qu on nous regarde quand on est tout nu, faire pipi devant quelqu un. «Comment se sent-on?» «Est-ce que c est pareil si c est avec sa maman pendant la toilette ou si c était dans la rue?» Autres activités possibles : - Chaque enfant apporte une photo de lui bébé et une photo actuelle (ou une réalisée en classe, avec l accord des parents). On conduit une réflexion sur l évolution, la croissance, le lien vêtement/sexe, etc... - Chaque enfant emporte chez lui un des dessins de fille et un de garçon et l habille en dessinant ou collant des vêtements découpés dans un catalogue. Ceci permettra de répartir de ce matériel lors de la séance sur les rôles et les marqueurs sexuels. OBSERVATIONS. Pour ces activités, il est particulièrement important d être à l écoute des enfants, dans le respect de leur pudeur, tout en leur montrant que l on peut nommer sans gêne ni honte nos organes génitaux externes. On laisse les enfants proposer les mots qui leur sont familiers pour nommer y compris en langue d origine, les parties sexuelles du corps (zizi, quéquette, foufoune, zézette,...) qui devront bien tous être entendus et repérés par l intervenant. Il faut éviter les moqueries et pouvoir dire que, dans chaque famille, on a choisi des noms particuliers. Dans les différences, peuvent être cités les seins par les enfants, avec un vocabulaire très varié là aussi. Le fait de proposer les mots «pénis» et «vulve», permet d ouvrir les champs de vocabulaire et de voir avec les enfants qu il y a les mots affectifs propres à chaque famille, les mots familiers que tout le monde connaît et les mots plus scientifiques un peu plus difficiles d accès. Pour le pénis, on peut être amené à parler des petites «boules» qui l accompagnent, on peut les nommer (testicules). La vulve, souvent totalement inconnue des garçons et à peine moins des filles, peut être présentée comme une petite fente avec un petit trou au milieu. Tous ces points seront repris et détaillés lors de la séance sur la grossesse et la naissance, on expliquera alors le rôle des organes génitaux féminins. BIBLIOGRAPHIE Pour l adulte: - «Nos enfants ont aussi un sexe» - Stéphane Clerget Ed. Pocket Robert Laffont Paris 2001 Pour les enfants : - «Zizis et zézettes» - Vittoria Fachini Ed. Circonflexe mars «Filles et garçons» - Catherine Dolto Ed. Gallimard Jeunesse Giboulées octobre 2007 FILMOGRAPHIE - «Le bonheur de la vie» - Folimage Valence 6, rue J. Bertin Valence 8

5 1.a 9

6 1.b 10

7 1.c 11

8 1.d 12

9 1.e 13

10 1.f 14

11 1.g 15

12 1.h 16

13 1.i 17

14 1.i bis 18

«La capacité à être seul», WINNICOTT

«La capacité à être seul», WINNICOTT «La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

LES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE

LES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE Chapitre 1 LES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE I. RAPPEL THÉORIQUE Le terme Métapsychologie désigne le cadre théorique que Freud a élaboré et enrichi tout au long de sa vie. La métapsychologie constitue la

Plus en détail

PRIMAIRE. 1er cycle, 2e année. Les tâches familiales. Planification des activités

PRIMAIRE. 1er cycle, 2e année. Les tâches familiales. Planification des activités DES OUTILS DE PROMOTION ET DE PRÉVENTION EN MATIÈRE DE SEXUALITÉ JEUNESSE SITUATION D APPRENTISSAGE ET D ÉVALUATION EN MATHÉMATIQUE Les tâches familiales Planification des activités PRIMAIRE 1er cycle,

Plus en détail

Organiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu :

Organiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu : Organiser l espace dans une classe de maternelle : I - Les textes officiels : Quelques idées «L aménagement des salles de classe doit offrir de multiples occasions d expériences sensorielles et motrices.

Plus en détail

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». 1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez

Plus en détail

À l école pour développer des compétences

À l école pour développer des compétences _x áxüä vx wxá ÜxááÉâÜvxá wâvtà äxá tâå }xâçxá 2007-2008 2008 À l école pour développer des compétences -au préscolaire- - 1 - - 2 - Mot de présentation Votre enfant entre à la maternelle cette année.

Plus en détail

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de

Plus en détail

2. l enfant de 3-6 ans 2.1 le développement moteur et intellectuel

2. l enfant de 3-6 ans 2.1 le développement moteur et intellectuel Index des Dossiers Envoyer cette page à un(e) ami(e) Le Développement Psychologique de l'enfant page 1-2 - 3-4 TEXTES Réflexions Dossiers Etudes Bibliques Témoignages Intro à la Bible Symbole des Apôtres

Plus en détail

DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE

DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion

Plus en détail

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions

Plus en détail

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d

Plus en détail

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Page 1 Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Sommaire 1. Cadre institutionnel

Plus en détail

COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS

COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse

Plus en détail

Lhopitault Aurora PES 09 février 2011. Unité d apprentissage : Les fruits. Unité d apprentissage : les fruits séance 1

Lhopitault Aurora PES 09 février 2011. Unité d apprentissage : Les fruits. Unité d apprentissage : les fruits séance 1 Lhopitault Aurora PES 09 février 2011 Unité d apprentissage : Les fruits Niveau : MS Domaine : Découvrir le monde Objectif : Découvrir le vivant : les fruits Organisation : 2 groupes 8 élèves/7 élèves

Plus en détail

Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans

Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Ginette Hébert formatrice en petite enfance AFÉSÉO FORUM 2012 Cette formation s appuie sur mon expérience d accompagnement d éducatrices

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

1. L enfant de 0 à 3 ans 1.1 Le développement moteur et intellectuel

1. L enfant de 0 à 3 ans 1.1 Le développement moteur et intellectuel Index des Dossiers Envoyer cette page à un(e) ami(e) Le Développement Psychologique de l'enfant page 1-2 - 3-4 TEXTES Réflexions Dossiers Etudes Bibliques Témoignages Intro à la Bible Symbole des Apôtres

Plus en détail

PLAN DE LA CONFERENCE

PLAN DE LA CONFERENCE «LA PLACE DE CHACUN DANS LA FAMILLE» PLAN DE LA CONFERENCE Introduction : Relativité des modèles familiaux en fonction des époques et des lieux, nous nous centrerons sur l ici et maintenant. Evolutions

Plus en détail

Guide d accompagnement à l intention des intervenants

Guide d accompagnement à l intention des intervenants TABLE RÉGIONALE DE L ÉDUCATION CENTRE-DU-QUÉBEC Campagne de promotion la de la lecture Promouvoir Guide d accompagnement à l intention des intervenants Présentation Le projet sur la réussite éducative

Plus en détail

Quand le corps devient objet de l autre

Quand le corps devient objet de l autre Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire

Plus en détail

Une situation d'apprentissage du lexique en MS Les activités gymniques

Une situation d'apprentissage du lexique en MS Les activités gymniques Cette séquence permet l acquisition des compétences nécessaires à la construction des connaissances : - Connaître et enrichir le lexique de base de l action «se déplacer» : marcher, ramper, courir, grimper-escalader,

Plus en détail

Petite Enfance. Livret accueil

Petite Enfance. Livret accueil 1 Petite Enfance Livret accueil Les préinscriptions Les préinscriptions à la crèche des rives, à la crèche des Ferrayonnes et à la crèche familiale se font tout au long de l année. Les femmes enceintes

Plus en détail

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage «La façon de nous voyons les choses est la source de la façon dont nous pensons et de la façon dont nous agissons Jamais nous

Plus en détail

Professeur Thierry BOUGEROL

Professeur Thierry BOUGEROL UE7 - Santé Humanité Société Chapitre 2 : Développement psychologique : personnalité et tempérament Professeur Thierry BOUGEROL Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DU GROUPE INGENIEUR JEAN BERTIN

REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DU GROUPE INGENIEUR JEAN BERTIN REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DU GROUPE INGENIEUR JEAN BERTIN L'admission à la cantine ne constitue pas une obligation pour la commune, mais un service rendu aux familles dans le cadre de

Plus en détail

Dossier Le ménage. Le bonheur chez soi et le partage des tâches font bon ménage!

Dossier Le ménage. Le bonheur chez soi et le partage des tâches font bon ménage! Observatoire de la vie à la maison DOSSIER DE PRESSE MARS 2014 EVY RAES. Image du reportage photos ILIV 2013 - Se sentir à la maison en images Dossier Le ménage Le bonheur chez soi et le partage des tâches

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1

MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Nom : Prénom :.. MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Récapitulatif pour la validation du Diplôme National du Brevet (Attestation du Niveau A2 en Langue Vivante) : ACTIVITES

Plus en détail

Rentrée 2015. Charte du restaurant scolaire

Rentrée 2015. Charte du restaurant scolaire Rentrée 2015 Charte du restaurant scolaire Délibération du conseil municipal du 22 mai 2014 Mairie de Marcy L étoile Préambule Merci de bien vouloir prendre connaissance en famille, avec vos enfants, du

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

La cour de récréation

La cour de récréation Apprentissage du genre : Fiche n 16 La cour de récréation Objectifs : - Développer le respect sur la cour de récréation et favoriser la mixité dans les jeux collectifs qui s y développent. - Ces jeux sont

Plus en détail

Ecrire le règlement de la classe, de l école

Ecrire le règlement de la classe, de l école Ecrire le règlement de la classe, de l école Objectifs : - prendre part à l élaboration collective des règles de vie de la classe et de l école. - participer activement à la vie de la classe et de l école

Plus en détail

«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA

«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur

Plus en détail

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /

Plus en détail

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de

Plus en détail

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti?

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Fiche ABC Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Introduction Il n est pas rare que les enseignant e s souhaitent faire participer davantage les étudiant e s, soit durant

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

Comprendre les différentes formes de communication

Comprendre les différentes formes de communication Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre

Plus en détail

Compétences en fin de maternelle Comparer des quantités.

Compétences en fin de maternelle Comparer des quantités. Le socle commun : Palier 1 - Compétence 3 «Les principaux éléments de mathématiques» Ecrire, nommer, comparer, ranger les nombres entiers naturels inférieurs à 1000. Les programmes : Compétences en fin

Plus en détail

I/ CONSEILS PRATIQUES

I/ CONSEILS PRATIQUES D abord, n oubliez pas que vous n êtes pas un enseignant isolé, mais que vous appartenez à une équipe. N hésitez jamais à demander des idées et des conseils aux autres collègues (linguistes et autres)

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi

Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par

Plus en détail

REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT

REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT L enfant de deux, trois ans, a besoin de bouger pour développer ses capacités motrices. Aménagement des lieux dans l école et dans la classe La cour de

Plus en détail

eveil et jeux de l enfant de 12 à 24 mois

eveil et jeux de l enfant de 12 à 24 mois eveil et jeux de l enfant de 12 à 24 mois 1 SOMMAIRE 3 4 8 Introduction Entre 12 et 18 mois Entre 18 et 24 mois 2 La marche et le langage sont 2 étapes jouant un rôle considérable dans l évolution de l

Plus en détail

Comprendre une consigne simple dans une situation non ambiguë. Utiliser le pronom je pour parler de soi.

Comprendre une consigne simple dans une situation non ambiguë. Utiliser le pronom je pour parler de soi. DÉCLINAISON DES COMPÉTENCES DE FIN DE MATERNELLE EN CAPACITÉS POUR CHAQUE SECTION (PS, MS, GS) Mise en relation des compétences de fin de maternelle avec les 7 compétences du socle commun. Compétences

Plus en détail

Céline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages

Céline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages Céline Nicolas Cantagrel C EPS Grande Section / Gérer et faciliter la continuité des apprentissages GS Quelques pistes par rapport à l équipe pédagogique : renforcer les liens, clarifier les paramètres

Plus en détail

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte

Plus en détail

Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement

Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement, MELS, novembre 2011 Page 1 Document

Plus en détail

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC) Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.

Plus en détail

École : Maternelle. Livret de suivi de l élève. Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle :

École : Maternelle. Livret de suivi de l élève. Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle : École : Maternelle Livret de suivi de l élève Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle : Livret de suivi de l élève à l école maternelle Chaque compétence est évaluée selon

Plus en détail

Circonscription de. Valence d Agen

Circonscription de. Valence d Agen Circonscription de Valence d Agen Pourquoi ce guide? Depuis des décennies, le sujet des devoirs à la maison est discuté dans et hors de l école. Nous avons souhaité faire le point sur ce sujet afin de

Plus en détail

Politique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01

Politique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Là où vont nos pères1

Là où vont nos pères1 Là où vont nos pères1 Ces pages ne cherchent pas à servir de guide d interprétation pour cet album sans paroles. Chacun y cherchera et y trouvera des significations personnelles, des situations familières

Plus en détail

«Garçons et métiers de la santé» Un atelier pour les garçons à l occasion de Futur en tous genres

«Garçons et métiers de la santé» Un atelier pour les garçons à l occasion de Futur en tous genres «Garçons et métiers de la santé» Un atelier pour les garçons à l occasion de Futur en tous genres Le 12 novembre 2015 (Photo: Philipp Zinniker) Regoignez-nous et assurez la relève! Les professions de la

Plus en détail

Questionnaire pour les enseignant(e)s

Questionnaire pour les enseignant(e)s info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir

Plus en détail

Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur

Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Déroulement des deux journées Mardi 26 Matin : Intervention des IEN Jeudi 29 Matin : Production en binôme. Après-midi

Plus en détail

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE)

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) UN FORMULAIRE DUMENT REMPLIS AVEC UNE PHOTO RECENTE. PASSEPORT D UNE VALIDITE MINIMALE DE 3 MOIS APRES L EXPIRATION DU VISA ET UN MINIMUM DE 2 PAGES

Plus en détail

Conseil général du Lot. Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire.

Conseil général du Lot. Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire. Conseil général du Lot é t e r p o La pr chez l enfant s n a 6 à 0 de Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire. La propreté, cela ne s apprend pas! Maman, je vais certainement te surprendre,

Plus en détail

Coup d oeil sur. Le sommeil Bien dormir pour bien grandir

Coup d oeil sur. Le sommeil Bien dormir pour bien grandir Coup d oeil sur Le sommeil Bien dormir pour bien grandir Le sommeil «Un bon dormeur se démarque d un mauvais dormeur par la facilité avec laquelle il se rendort.» Que savons-nous? n Le sommeil du bébé

Plus en détail

TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort

TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort Année 2014-2015 Contact Service Éducation : 04 90 59 11 05 A. DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 1 - Objet du règlement A compter

Plus en détail

POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS

POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS Règlement 22(1) La demande de licence pour fournir et offrir des services de garderie familiale comporte les éléments suivants : (b.1) une copie du code de conduite

Plus en détail

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place

Plus en détail

S ORIENTER DANS UNE GARE

S ORIENTER DANS UNE GARE S ORIENTER DANS UNE GARE SÉCURITÉ FERROVIAIRE Pistes d animation pour l enseignant Niveaux : École élémentaire / cycle 3 Durée : 1 à 2 séances Domaines transversaux : Maîtrise de la langue, culture humaniste

Plus en détail

La danse contemporaine à la maternelle

La danse contemporaine à la maternelle La danse contemporaine à la maternelle «Quand une image présente ne nous fait pas penser à des milliers d images absentes, il n y a pas d imagination» G.Bachelard Danse et Arts visuels-a partir de Matisse-Ecole

Plus en détail

Ateliers Conférences. Interventions. Sandrine LE FLEM. Formatrice et consultante petite enfance 06.95.18.75.38.

Ateliers Conférences. Interventions. Sandrine LE FLEM. Formatrice et consultante petite enfance 06.95.18.75.38. Sandrine LE FLEM Formatrice et consultante petite enfance Ateliers Conférences 06.95.18.75.38. sandrineleflem@hotmail.fr www.sandrineleflem.fr Interventions 2015 Page 1 sur 5 La formatrice intervenante

Plus en détail

QUELS OUTILS SONT UTILISES POUR LES ACTIVITES DE REHABILITATION EN ESAD

QUELS OUTILS SONT UTILISES POUR LES ACTIVITES DE REHABILITATION EN ESAD QUELS OUTILS SONT UTILISES POUR LES ACTIVITES DE REHABILITATION EN ESAD UN TRAVAIL D ÉQUIPE 14.04.14 E. Orer, ergothérapeute M.Delhaye, ASG C.Germonprez, ASG M.Ladeiro, ASG POURQUOI CRÉER, ADAPTER OU PERSONNALISER

Plus en détail

Groupes de compétences. C est possible! Même en solo!

Groupes de compétences. C est possible! Même en solo! Groupes de compétences au lycée C est possible! Même en solo! Pour qui? Pour tous les élèves des classes de Seconde LV1 & LV2 dans un premier temps. Pour tous les élèves de classes de Premières et Pour

Plus en détail

Vers la course d orientation à l école : quelques aspects théoriques, institutionnels et pédagogiques

Vers la course d orientation à l école : quelques aspects théoriques, institutionnels et pédagogiques - 1 - Vers la course d orientation à l école : quelques aspects théoriques, institutionnels et pédagogiques - 2-1 Quelques éléments généraux sur la course d orientation La course d orientation, c est :

Plus en détail

Indications pour une progression au CM1 et au CM2

Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES

DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DURANT L ENFANCE ET L ADOLESCENCE PROFESSEUR N. RIGAL MAITRE DE CONFERENCES EN PSYCHOLOGIE DU DEVELOPPEMENT, UNIVERSITE DE PARIS 10, FRANCE rigal.n@free.fr Rôle

Plus en détail

Avertissement. Le Conseil général. L association ADEJ. Les jeunes connaissent bien les dangers d Internet.

Avertissement. Le Conseil général. L association ADEJ. Les jeunes connaissent bien les dangers d Internet. 2 Le Conseil général Equiper l ensemble d une tranche d âge d ordinateurs portables et lui permettre d accéder à l informatique et aux moyens de communication : c est le pari très ambitieux fait au cours

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Catalogue. Fichiers. www.effidata.com. Commandez aujourd hui SOLUTIONS GLOBALES D E-MARKETING DE CONQUÊTE. commercial@effidata.com

Catalogue. Fichiers. www.effidata.com. Commandez aujourd hui SOLUTIONS GLOBALES D E-MARKETING DE CONQUÊTE. commercial@effidata.com Catalogue BTOC Fichiers Commandez aujourd hui 0820 42 22 14 commercial@effidata.com SOLUTIONS GLOBALES D E-MARKETING DE CONQUÊTE www.effidata.com Sommaire Catalogue Fichiers BTOC 1. Classement Alphabétique

Plus en détail

Comment bien traiter la sexualité des enfants

Comment bien traiter la sexualité des enfants Coordination de l aide aux victimes de maltraitances Comment bien traiter la sexualité des enfants Dossier pédagogique Temps d arrêt : lectures Cette brochure a été réalisée par : La Coordination de l'aide

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Enseigner l acrosport aux cycles 2 et 3 Guillaume CATOIS, conseiller pédagogique EPS, circonscription d Argentan.

Enseigner l acrosport aux cycles 2 et 3 Guillaume CATOIS, conseiller pédagogique EPS, circonscription d Argentan. Enseigner l acrosport aux cycles 2 et 3 Guillaume CATOIS, conseiller pédagogique EPS, circonscription d Argentan. - 1 - SOMMAIRE 1. Définition de l APS acrosport 2. Caractéristiques de l APS 3. Références

Plus en détail

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité

Plus en détail

Le présent, le passé, mon histoire

Le présent, le passé, mon histoire Représentation (début du XX e siècle) de la vie qui passe depuis l enfant jusqu au vieillard. RMN/Frank Raux Le présent, le passé, mon histoire séance 1 Je sais repérer ce qui est passé. séance 2 Je sais

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

Fiche pédagogique : ma famille et moi

Fiche pédagogique : ma famille et moi Fiche pédagogique : ma famille et moi Tâche finale de l activité : Jouer au «Cluedo» Niveau(x) Cycle 3 Contenu culturel : - jeux de sociétés Connaissances : Connaissances requises : - cf séquences primlangue

Plus en détail

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL

LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE AU MULTI-ACCUEIL Vous allez effectuer un stage dans notre structure. Ce livret d accueil a été rédigé pour vous souhaiter la bienvenue et vous donner quelques informations

Plus en détail

Le divorce. Procédures

Le divorce. Procédures Vos droits Institutions Acteurs F i c h e P r a t i q u e Le divorce Procédures Le divorce Les procédures de divorce sont aujourd hui pacifiées et simplifiées. Toutefois, les conséquences restent les mêmes

Plus en détail

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e) OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel

Plus en détail

Comment l enfant pense à la mort

Comment l enfant pense à la mort Chapitre 1 Comment l enfant pense à la mort 1. Les situations dans lesquelles un enfant peut être confronté à la mort 2. Le concept de la mort chez l enfant 3. La mort dans le fonctionnement psychique

Plus en détail

TROUSSE DE PROMOTION DE LA LECTURE AUX TOUT-PETITS LE MEILLEUR JOUET DES TOUT-PETITS

TROUSSE DE PROMOTION DE LA LECTURE AUX TOUT-PETITS LE MEILLEUR JOUET DES TOUT-PETITS LE LE MEILLEUR JOUET DES TOUT-PETITS CONTENU DE CETTE TROUSSE 12 CONSEILS AFFICHE ET AUTOCOLLANTS 11 VIDÉOS 5 PAQUETS D AFFICHETTES RONDES DÉCORATIVES LIVRE «AU PARC AVEC CHAMINOU» (LIVRE NON DISPONIBLE

Plus en détail

Bulletin d adhésion Saison 2014/2015

Bulletin d adhésion Saison 2014/2015 Renouvellement d inscription : Oui Bulletin d adhésion Saison 2014/2015 Non A déjà pratiqué la Capoeira : Oui Non Photo d identité à coller (Pour les nouveaux adhérents) NOM : PRENOM : DATE DE NAISSANCE

Plus en détail

Guide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -

Guide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 - Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme

Plus en détail

+ FICHE METIER. «Chef Maquilleur(euse)» Chef maquilleur Maquilleur APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

+ FICHE METIER. «Chef Maquilleur(euse)» Chef maquilleur Maquilleur APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Chef Maquilleur(euse) + «Chef Maquilleur(euse)» APPELLATION(S) DU METIER Chef maquilleur Maquilleur DEFINITION DU METIER Le chef maquilleur est en charge du maquillage visage et corps, ainsi que de la

Plus en détail

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES 2015 MATERNELLES CYCLE I / PS - MS ESSOURCES PÉDAGOGIQUES Introduction Je découvre par les sens MODULES À DÉCOUVRIR PENDANT LA VISITE La Cité des enfants de Vulcania est un lieu d éveil, de découvertes

Plus en détail

1. Qu est-ce que la conscience phonologique?

1. Qu est-ce que la conscience phonologique? 1. Qu est-ce que la conscience phonologique? Définition La conscience phonologique est définie comme la connaissance consciente et explicite que les mots du langage sont formés d unités plus petites, à

Plus en détail

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également

Plus en détail

Le droit de préemption en matière immobilière

Le droit de préemption en matière immobilière Le droit de préemption en matière immobilière C est le truc le plus grave à louper. I Le preneur à bail rural C est surement le texte le plus ancien dans notre droit positif actuel. Cela date de 1945.

Plus en détail