Eskandar Elmarzougui Secrétariat du travail Direction de la recherche et de l innovation en milieu de travail

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Eskandar Elmarzougui Secrétariat du travail Direction de la recherche et de l innovation en milieu de travail"

Transcription

1 Projet de modification du Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal pour ajouter la collecte à des fins de récupération et de recyclage Eskandar Elmarzougui Secrétariat du travail Direction de la recherche et de l innovation en milieu de travail 30 janvier 2015

2 Table des matières SOMMAIRE EXÉCUTIF DÉFINITION DU PROBLÈME PROPOSITION DU PROJET ANALYSE DES OPTIONS NON RÉGLEMENTAIRES ÉVALUATION DES IMPACTS Description des secteurs touchés Coûts pour les entreprises Avantages du projet Impact sur l emploi ADAPTATION DES EXIGENCES AUX PME COMPÉTITIVITÉ DES EXIGENCES ET IMPACT SUR LE COMMERCE AVEC LES PARTENAIRES ÉCONOMIQUES DU QUÉBEC MESURES D ACCOMPAGNEMENT CONCLUSION PERSONNE RESSOURCE... 9 ANNEXE

3 SOMMAIRE EXÉCUTIF Essentiellement, la modification demandée par les parties contractantes patronales et syndicales du conseil d administration du Comité paritaire des boueurs de la région de Montréal (Comité paritaire) vise à ajouter, au champ d application industriel du Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal (chapitre D-2, r. 5) (Décret), la collecte à des fins de récupération ou de recyclage. Présentement, seule la collecte de déchets solides est assujettie. Ce projet de modification, transmis au ministre du Travail, a été accepté à l unanimité par les parties contractantes patronales et syndicales qui sont respectivement le Réseau environnement inc. et l Association des transporteurs de déchets solides «ATDS» ainsi que les Teamsters Québec local 106 et les Travailleurs unis de l alimentation et du commerce (TUAC) local 501. Notre analyse d impact permet d évaluer que le projet de décret entraîne une augmentation raisonnable de la masse salariale pour les entreprises et un faible impact sur l emploi. 1. DÉFINITION DU PROBLÈME Le Comité paritaire présente au ministère du Travail des arguments justifiant l ajout de la collecte à des fins de récupération ou de recyclage au champ d application industriel du Décret. Voici les principaux arguments retenus : L assujettissement de la collecte à des fins de récupération ou de recyclage existe dans un autre décret, soit le Décret sur l industrie du camionnage de la région de Québec, partie 2 «Transport de déchets» (chapitre D-2, r. 3). Le Comité paritaire désire donc inclure la collecte du recyclage au champ d application industriel du Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal (chapitre D-2, r. 5) au même titre que le décret de Québec. L assujettissement de la collecte à des fins de récupération ou de recyclage empêcherait la concurrence déloyale qui pourrait s exercer entre les entreprises en cas d absence d un décret. En présence des coûts fixes incompressibles, les entreprises pourraient en fait être amenées à se concurrencer sur les salaires et les conditions de travail des salariés si elles ne sont pas assujetties à un décret. Aujourd hui, il y a pratiquement autant de matières résiduelles récupérées que de matières résiduelles éliminées. Les objectifs gouvernementaux visant à réduire la quantité de matières résiduelles à éliminer entraînent une stagnation de l industrie de la gestion des déchets, contrairement à celle de la collecte sélective qui s accroît. La main-d œuvre, les équipements et les capitaux de l industrie du déchet migrent donc au fil du temps en faveur de la collecte sélective. La main-d œuvre de la collecte des déchets est transférable à la collecte sélective. Les deux industries utilisent des chauffeurs et des aides. Les conditions de travail sont similaires et il en va de même pour le type de camion utilisé. Le taux de syndicalisation de l industrie est relativement faible, puisque les entreprises sont pour la plupart de petite taille. L accès à la syndicalisation y est difficile. L assujettissement de la collecte à des fins de récupération ou de recyclage égaliserait et améliorerait les conditions de travail des salariés travaillant pour les deux types de collecte. La collecte à des fins de récupération ou de recyclage étant une activité économique locale, elle n entre pas en concurrence avec des entreprises établies à l extérieur du Québec. 3

4 2. PROPOSITION DU PROJET La solution proposée vise essentiellement à modifier la définition de «déchet solide» à l article 1.01 du Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal (chapitre D-2, r. 5) pour ajouter «la collecte à des fins de récupération ou de recyclage». 3. ANALYSE DES OPTIONS NON RÉGLEMENTAIRES L analyse des options non réglementaire n est pas pertinente pour ce projet. En effet, le Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal (chapitre D-2, r. 5) est déjà en vigueur. De plus, la solution proposée ne constitue pas un fardeau administratif déraisonnable pour les entreprises visées, car elles sont actuellement pour la plupart assujetties au Décret pour ce qui est de la collecte des déchets. L option réglementaire est pertinente pour ce projet. Un décret de convention collective est un règlement pris en vertu de la Loi sur les décrets de convention collective (chapitre D-2). Il concerne principalement les conditions de travail applicables aux salariés inclus dans les champs d application professionnels et territoriaux. Rappelons que le régime québécois des décrets est volontaire et dans le présent cas, il s agit d une initiative unanime des parties contractantes patronales et syndicales. 4. ÉVALUATION DES IMPACTS 4.1 Description des secteurs touchés a) Secteurs touchés : L industrie de la collecte du recyclage (Code SCIAN 56211) b) Nombre d entreprises touchées 1 : PME : 19 Grandes entreprises : 4 Total : 23 c) Caractéristiques additionnelles du secteur touché : Nombre d employés : Le nombre d employés touchés par la modification du Décret varie selon le mois de l année, mais il se situe autour de 416 salariés en moyenne (voir tableau 1 de l annexe) Ces données proviennent d un sondage fait par le Comité paritaire des boueurs de la région de Montréal. Elles ne couvrent que les entreprises oeuvrant dans la collecte à des fins de récupération et du recyclage et qui ont des contrats avec des municipalités situées dans les régions visées par le décret. Ces entreprises sont au nombre de 23 et emploient 415 travailleurs. Après des discussions avec le comité paritaire, il s est avéré que celui-ci est incapable de nous fournir une information exacte sur le nombre, les salaires et les heures travaillées par les employés des entreprises, oeuvrant dans la collecte à des fins de récupération ou de recyclage, et qui n ont pas des contrats avec les municipalités. Pour des fins de précaution, on a supposé que le nombre total d employés de l industrie est environ une fois et demie plus élevé que celui d employés sondés par le comité paritaire. 2. Ces données proviennent d un sondage du Comité paritaire des boueurs de la région de Montréal. Le nombre réel des travailleurs oeuvrant dans la collecte à des fins de récupération et du recyclage devrait être environ une fois et demie plus élevé, soit

5 Production annuelle (en $) : Il n y a pas de statistiques sur la production annuelle de l industrie de l enlèvement des déchets solides. On sait toutefois qu elle représente une très petite part de l industrie de Services administratifs, services de soutien, services de gestion des déchets et services d'assainissement (code SCIAN 56), dont la production intérieure brute est évaluée à 8 326,3 M$ en mai On sait aussi que la part du PIB (en dollars réels enchaînés de 2007) en provenance des services de gestion des déchets et d assainissement est de 1 005,8 M$ au Québec en Part du secteur dans le PIB de l économie du Québec : Comme pour la valeur de la production annuelle, il n y a pas de statistiques sur la part de la production annuelle de l industrie de l enlèvement des déchets solides. On sait cependant qu elle représente une très petite part de l industrie de Services administratifs, services de soutien, services de gestion des déchets et services d'assainissement (code SCIAN 56), dont la part du PIB de Québec est évaluée à 2,8 % 5 en À titre indicatif, en 2010, pour la province de Québec, le PIB relié aux services de gestion des déchets et d assainissement représentait 0,27 % du PIB total de la province de Québec Coûts pour les entreprises L ajout de la collecte à des fins de récupération ou de recyclage au champ d application du Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal (chapitre D-2, r. 5) en modifiant l alinéa 2 de l article 1.01 augmentera la masse salariale des entreprises visées de k$, soit une augmentation de 4,1 % de la masse salariale dédiée à la collecte pour des fins de récupération ou de recyclage 7. Cette hausse est repartie comme suit : Une augmentation de la masse salariale des chauffeurs de 636 k$; Une augmentation de la masse salariale des aides-chauffeurs de 382 k$. 3. Selon les statistiques annualisées du mois de mai 2014 de l Institut de la statistique du Québec, le PIB de l industrie de Services administratifs, services de soutien, services de gestion des déchets et services d'assainissement (code SCIAN 56) est évalué à 8 326,3 M$ et l industrie de l enlèvement des déchets solides est une petite sous-industrie au niveau de désagrégation de 5 chiffres de celle-ci. Pour plus d informations, voir le lien : 4. Selon les statistiques annualisées de 2013 de Statistique Canada, pour la province de Québec, pour le SCIAN : 562 (services de gestion des déchets et d assainissement) Source : Statistique Canada, tableau Selon les données annualisées de Statistique Canada, données de 2010, pour la province de Québec, pour le code SCIAN 562 (service de gestion des déchets et d assainissement) Voir la première note de bas de page. 5

6 Coûts directs liés à la conformité aux normes (en k$) Période d implantation (coûts non Années subséquentes (coûts Total Dépenses en capital (acquisition d un terrain, d une machinerie, d un système ou d un équipement informatique, construction ou modification d un bâtiment, etc.) Coûts de location d équipement Coûts d entretien et de mise à jour des équipements Dépenses en ressources humaines (consultants, employés et gestionnaires, etc.) Coûts pour les ressources spécifiques (ex. : trousses, outils, publicité, etc.) Autres coûts directs liés à la conformité Total des coûts directs liés à la conformité aux normes Coûts liés aux formalités administratives (en M$) Période d implantation (coûts non Années subséquentes (coûts Total Coûts de production, de gestion et de transmission des rapports, des enregistrements, des registres et des formulaires d autorisation Dépenses en ressources externes (ex. : consultants) Autres coûts liés aux formalités administratives Total des coûts liés aux formalités administratives 6

7 Manques à gagner (en k$) Période d implantation (coûts non Années subséquentes (coûts Total Diminution du chiffre d affaires Autres types de manques à gagner Total des manques à gagner Synthèse des coûts pour les entreprises (en k$) Période d implantation (coûts non Années subséquentes (coûts Total Coûts directs liés à la conformité aux normes Coûts liés aux formalités administratives Manques à gagner Total des coûts pour les entreprises Avantages du projet Le principal avantage de l assujettissement de la collecte du recyclage est la protection des conditions de travail et des salaires de l industrie. De plus, l octroi des appels d offres publiques au plus bas soumissionnaire par les municipalités pourrait constituer une source supplémentaire de pression sur les entreprises et faire en sorte qu elles soient poussées à réduire leurs frais variables comme les salaires puisque leurs frais fixes, comme les camions, sont incompressibles. De plus, le taux de syndicalisation des entreprises de collecte à des fins de récupération ou de recyclage est relativement faible, car elles sont pour la plupart de petite taille. Son assujettissement au Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal (chapitre D-2, r. 5) va permettre d aplanir les disparités entre elles et l industrie de la collecte des déchets, et améliorer les conditions de travail des salariés pour qui l accès à la syndicalisation est difficile. 7

8 4.4 Impact sur l emploi Le projet de décret va augmenter la masse salariale des entreprises oeuvrant dans la collecte des déchets de 4,1 %. L offre d emploi dans cette industrie étant élastique 8, le volume de l emploi va donc diminuer d au plus 1,2 %, soit 7 emplois. Pour éviter ces pertes d emploi, les employeurs et les salariés pourront utiliser les mécanismes d ajustement suivants : Pour les employeurs : hausser la productivité de leurs salariés, hausser le prix des services rendus, réduire leurs profits; Pour les salariés, compte tenu de la hausse de leurs conditions de travail, réduire le nombre de départ volontaire. Ainsi, les employeurs verront les coûts d embauche pour remplacer les travailleurs quittant volontairement leur emploi (coûts de sélection, d entrevue et de formation) diminuer. 5. ADAPTATION DES EXIGENCES AUX PME Le projet présenté par les parties contractantes patronales et syndicales au Décret ne comprend pas de disposition particulière modulée pour tenir compte de la taille des PME. En fait, le champ d application proposé vise toutes les activités de collecte faites à des fins de récupération ou de recyclage, indépendamment de la taille des entreprises. Le salaire et les conditions de travail des employés dans les PME sont donc les mêmes que ceux des employés des grandes entreprises. 6. COMPÉTITIVITÉ DES EXIGENCES ET IMPACT SUR LE COMMERCE AVEC LES PARTENAIRES ÉCONOMIQUES DU QUÉBEC La grille de rémunération proposée par le projet de décret aux salariés oeuvrant dans la collecte à des fins de récupération ou de recyclage est la même que celle appliquée aux salariés oeuvrant dans la collecte des déchets solides. Le service de collecte n est pas un produit exportable. Le projet de décret n affecterait donc pas la compétitivité des entreprises québécoises ni la position commerciale du Québec vis-à-vis de l étranger. 7. MESURES D ACCOMPAGNEMENT Le Comité paritaire des boueurs de la région de Montréal désigne des inspecteurs qui vont veiller à l application des clauses prévues au projet de décret. Ces inspecteurs sont payés au moyen de prélèvements sur les salaires des salariés et sur la masse salariale des entreprises assujetties au Décret. 8. Voir l article de Brown, Charles; Girloy, Curtis; et Kohnen, Andrew. The effect of the minimum wage on employment and unemployment, Journal of Economic Literature, Vol. XX, p , juin

9 8. CONCLUSION Le projet d ajout des activités de collecte à des fins de récupération ou de recyclage au champ d application du Décret sur l enlèvement des déchets solides de la région de Montréal (chapitre D-2, r. 5) va augmenter la masse salariale des entreprises visées de 4,1 % et diminuer ainsi l emploi de 1,2 %. Le projet de décret permet la prise en charge, de façon paritaire et volontaire, de ce secteur d activité économique et préserve des conditions de travail similaires à celles des salariés qui font la collecte des déchets solides. Il s adapte également aux besoins des parties contractantes patronales et syndicales qui ont déposé la requête de modification au ministre du Travail. 9. PERSONNE RESSOURCE Direction des communications Ministère du Travail 200, chemin Sainte-Foy, 6e étage Québec (Québec) G1R 5S

10 ANNEXE Tableau 1 : la répartition des chauffeurs et des aides en fonction de leurs salaires Catégorie des travailleurs Chauffeurs Aides Nombre Salaire 9 (en $) Nombre Salaire (en $) 20,50 Travailleurs rémunérés au taux du Décret ,39 b 20,29 c , , , , ,74 Travailleurs rémunérés en 28 18, ,50 bas du Décret 7 17, , , ,50 Total des travailleurs rémunérés en bas du Décret Total des salariés Le salaire moyen pondéré des travailleurs rémunérés en bas du Décret a 17,59 14,78 Le pourcentage des travailleurs rémunérés en bas du Décret L augmentation de la masse salariale (en k$) L augmentation de la masse salariale (en %) 44,83 % 29,22 % ,0 % 4,2 % 9. La rémunération des chauffeurs dépend du type des camions qu ils conduisent. Trois catégories sont ainsi à distinguer : camion auto-chargeur (a), camion à chargement latéral (b) et camion véhicule (c). 10. On considère ici les rémunérations des travailleurs à temps plein. 10

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées

5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées 5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées 5.11 PROGRAMME DE SUBVENTIONS AUX ENTREPRISES ADAPTÉES 2014-02-17 Table des matières Page 2 sur 16 Table des matières RÉFÉRENCE 1. INTRODUCTION...

Plus en détail

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins) FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et

Plus en détail

Comparaisons internationales de la dette

Comparaisons internationales de la dette Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement

Plus en détail

ENTENTE À INTERVENIR. entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. et d autre part :

ENTENTE À INTERVENIR. entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. et d autre part : ENTENTE À INTERVENIR entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC et d autre part : LE SECRÉTARIAT INTERSYNDICAL DES SERVICES PUBLICS (SISP) LA CONFÉDÉRATION DES SYNDICATS NATIONAUX (CSN) LA FÉDÉRATION

Plus en détail

BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE

BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE La Ville de Montréal et le Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SCFP) LE 9 FÉVRIER 2011 Dans le cadre du deuxième affichage faisant

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est

Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est Section locale 2000 Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est actuellement en vigueur... 3 1997...3

Plus en détail

Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au

Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université Version finale Présentée au Syndicat général des professeurs et professeures de l Université de Montréal (SGPUM)

Plus en détail

LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC

LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC Par: Jean-Pierre Brun, professeur Éric Plante, Professionnel de recherche Sondage par: Léger Marketing Mars 2004 DÉFINITION DU HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE

Plus en détail

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire

Plus en détail

Formulaire d ouverture

Formulaire d ouverture Formulaire d ouverture Groupe Fondaction Page 1 Étapes d ouverture d un groupe Fondaction (GF) Employeur Fondaction ou SSQ (1) Employés Le responsable du groupe doit remplir le formulaire d ouverture de

Plus en détail

Institut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005

Institut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005 Institut économique de Montréal Rapport d un sondage omnibus Juin 2005 Opinion des Québécois à l égard du jugement de la Cour suprême du Canada relatif à l interdiction aux citoyens de payer pour des soins

Plus en détail

Régime québécois d assurance parentale

Régime québécois d assurance parentale Régime québécois d assurance parentale Le Québec dispose d un ensemble de mesures permettant aux parents de mieux concilier leurs responsabilités familiales et professionnelles, dont les congés parentaux.

Plus en détail

Sommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)

Sommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...

Plus en détail

Politique de services en matière de sécurité sociale

Politique de services en matière de sécurité sociale Politique de services en matière de sécurité sociale 1. Introduction Le Syndicat de l Enseignement De La Jonquière, en vertu du Code du travail, possède le monopole de représentation de ses membres. Ce

Plus en détail

GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION. Règlement sur les mutuelles de formation

GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION. Règlement sur les mutuelles de formation GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION Règlement sur les mutuelles de formation GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION SEPTEMBRE 2010 Dans le cadre d une entente

Plus en détail

AGECFA - VOYAGEURS GUIDE DU CONGE DE FIN D ACTIVITE

AGECFA - VOYAGEURS GUIDE DU CONGE DE FIN D ACTIVITE AGECFA - VOYAGEURS GUIDE DU CONGE DE FIN D ACTIVITE SOMMAIRE 04 Introduction OBJET FINANCEMENT FONCTIONNEMENT 10 Les entreprises et le Congé de Fin d Activité ADHeSION à L AGECFA-Voyageurs PERSONNEL AFFILIe

Plus en détail

Demande de participation au régime de retraite simplifié (Québec) et police y afférente

Demande de participation au régime de retraite simplifié (Québec) et police y afférente Demande de participation au régime de retraite simplifié (Québec) et police y afférente Langue d expression Anglais Français Nouvelle police Changement d émetteur Enregistrement N o Police/Régime numéro

Plus en détail

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu

Plus en détail

Projet de loi n o 100 (2010, chapitre 20)

Projet de loi n o 100 (2010, chapitre 20) PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 100 (2010, chapitre 20) Loi mettant en œuvre certaines dispositions du discours sur le budget du 30 mars 2010 et visant le retour à l équilibre

Plus en détail

La consigne: un système primordial dans le développement durable de l industrie de la bière au Québec

La consigne: un système primordial dans le développement durable de l industrie de la bière au Québec La consigne: un système primordial dans le développement durable de l industrie de la bière au Québec 1 LES BRASSEURS L ABQ L Association des brasseurs du Québec (ABQ) représente les grands brasseurs du

Plus en détail

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE Dossier n o : 36455 FRA Québec, le : 17 février 2015 Membre : Sophie Raymond, commissaire Commission de l équité salariale et 9061 1674 Québec inc. (connue sous le nom

Plus en détail

Les permis de travail temporaires. Présenté par: Me Gilda Villaran

Les permis de travail temporaires. Présenté par: Me Gilda Villaran Les permis de travail temporaires Présenté par: Me Gilda Villaran 18 avril 2012 «Immigration Canada et les Ambassades nous diront quoi faire» Certains mythes entourant les permis de travail. «Je ne rémunèrerai

Plus en détail

INFORMATION A07-CFS-I-D6

INFORMATION A07-CFS-I-D6 INFORMATION A07-CFS-I-D6 D6 SECTEUR NÉGOCIATION Équité salariale Diverses conséquences du versement des ajustements Présenté au conseil fédéral spécial du 12 mars 2007 Mises-à-jour : 26 avril 2007 2 avril

Plus en détail

Régime de retraite de l Université du Québec. Sommaire des dispositions & description des droits et obligations des membres

Régime de retraite de l Université du Québec. Sommaire des dispositions & description des droits et obligations des membres Régime de retraite de l Université du Québec Sommaire des dispositions & description des droits et obligations des membres Sommaire des dispositions & description des droits et obligations des membres

Plus en détail

Guide de présentation. Programme de subventions aux entreprises adaptées

Guide de présentation. Programme de subventions aux entreprises adaptées Guide de présentation Programme de subventions aux entreprises adaptées Guide de présentation Programme de subventions aux entreprises adaptées Direction régionale d Emploi-Québec du Centre-du-Québec Direction

Plus en détail

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Mémoire présenté au ministère du Travail dans le cadre de la consultation de la Loi sur les décrets

Plus en détail

Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE. Projet de loi n 1

Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE. Projet de loi n 1 Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE Projet de loi n 1 Loi sur la représentativité des sexes sur le marché du travail Présenté par Mme Jade Boivin Ministre du Travail

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

MÉMOIRE RENOUVELLEMENT DU PERMIS D EXPLOITATION DU POUR LA COMMISSION CANADIENNE DE LA SÛRETÉ NUCLÉAIRE (CCSN) À L ÉGARD DU

MÉMOIRE RENOUVELLEMENT DU PERMIS D EXPLOITATION DU POUR LA COMMISSION CANADIENNE DE LA SÛRETÉ NUCLÉAIRE (CCSN) À L ÉGARD DU MÉMOIRE POUR LA COMMISSION CANADIENNE DE LA SÛRETÉ NUCLÉAIRE (CCSN) À L ÉGARD DU RENOUVELLEMENT DU PERMIS D EXPLOITATION DU RÉACTEUR NUCLÉAIRE DE PUISSANCE DE LA CENTRALE DE GENTILLY - 2 MARS 2011 Avant

Plus en détail

Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25)

Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) Loi concernant les unités de négociation dans le secteur des affaires sociales et modifiant la Loi sur le régime de

Plus en détail

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES

Plus en détail

Guide d administration RÉGIME VOLONTAIRE D ÉPARGNE-RETRAITE (RVER) RÉGIME DE PENSION AGRÉÉ COLLECTIF (RPAC)

Guide d administration RÉGIME VOLONTAIRE D ÉPARGNE-RETRAITE (RVER) RÉGIME DE PENSION AGRÉÉ COLLECTIF (RPAC) Guide d administration RÉGIME VOLONTAIRE D ÉPARGNE-RETRAITE (RVER) RÉGIME DE PENSION AGRÉÉ COLLECTIF (RPAC) Gestion de votre RVER/RPAC Vous avez eu raison de mettre en place un régime d épargne au travail

Plus en détail

Première société de portage salarial en Languedoc-Roussillon depuis 1999

Première société de portage salarial en Languedoc-Roussillon depuis 1999 Première société de portage salarial en Languedoc-Roussillon depuis 1999 Qui est AXE ENTREPRISES? Qu est-ce que LE PORTAGE? Qu est-ce qu une SOCIÉTÉ DE PORTAGE? LE PORTAGE le principe qui est concerné?

Plus en détail

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait

Plus en détail

Assemblée générale du 5 décembre 2013. Le RRUQ. Définition et fonctionnement SPP UQAC

Assemblée générale du 5 décembre 2013. Le RRUQ. Définition et fonctionnement SPP UQAC Assemblée générale du 5 décembre 2013 Le RRUQ Définition et fonctionnement 1 Le RRUQ Le RRUQ est le régime de retraite de l Université du Québec. Tous les professionnels, employés de soutien et professeurs

Plus en détail

Quelles sont les conditions de travail de l apprenti?

Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? L apprenti est un salarié à part entière. À ce titre, les lois, les règlements et la convention collective de la branche professionnelle ou de l entreprise

Plus en détail

Réunion d informations du 12 novembre 2014. La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014

Réunion d informations du 12 novembre 2014. La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014 Réunion d informations du 12 novembre 2014 La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014 Rappel Les différents taux de cotisation : - Taux légal

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires 1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT

Plus en détail

Groupe Crédit-Mutuel CIC

Groupe Crédit-Mutuel CIC ATELIER SOLUTION L ingénierie sociale au service des entreprises de leurs dirigeants de l expert- comptable Groupe Crédit-Mutuel CIC P.1 L ingénierie sociale au service des entreprises, de leurs dirigeants,

Plus en détail

COTISATIONS ET POINTS DE

COTISATIONS ET POINTS DE GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO COTISATIONS ET POINTS DE LA RETRAITE COMPLÉMENTAIRE Guide salariés n o 3 Cotisations et points de la retraite complémentaire Sommaire La retraite, en bref...

Plus en détail

ANALYSE DU PROJET DE LOI NO 42

ANALYSE DU PROJET DE LOI NO 42 ANALYSE DU PROJET DE LOI NO 42 Loi regroupant la Commission de l équité salariale, la Commission des normes du travail et la Commission de la santé et de la sécurité du travail et instituant le Tribunal

Plus en détail

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION DROIT

Plus en détail

Le Régime volontaire d épargne-retraite (RVER) du Québec Aperçu du régime d épargne-retraite offert par l employeur dévoilé récemment

Le Régime volontaire d épargne-retraite (RVER) du Québec Aperçu du régime d épargne-retraite offert par l employeur dévoilé récemment Le Régime volontaire d épargne-retraite (RVER) du Québec Aperçu du régime d épargne-retraite offert par l employeur dévoilé récemment Voici un résumé du projet de loi n o 80 Loi sur les régimes volontaires

Plus en détail

Notre retraite : prendre en main COLLECTIVEMENT notre avenir

Notre retraite : prendre en main COLLECTIVEMENT notre avenir La responsabilité fiduciaire et l assurance responsabilité des comités de retraite : Comment s y retrouver sans perdre sa chemise Michel Gilbert, avocat Luc Brunet, B.A.A., C. D A. Ass. Notre retraite

Plus en détail

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical,

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical, Projet d accord collectif mettant en place un régime de remboursement de «frais de santé» au bénéfice du personnel de l EPIC SNCF relevant du régime général de ENTRE LES SOUSSIGNEES : SOCIETE NATIONALE

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Étude de retombées économiques de la desserte au gaz naturel, Lévis Saint-Damien, MRC de Bellechasse Rapport présenté à la Coalition gaz naturel

Étude de retombées économiques de la desserte au gaz naturel, Lévis Saint-Damien, MRC de Bellechasse Rapport présenté à la Coalition gaz naturel Étude de retombées économiques de la desserte au gaz naturel, Lévis Saint-Damien, MRC de Bellechasse Rapport présenté à la Coalition gaz naturel Bellechasse Octobre 2014 Sommaire : Cette étude s inscrit

Plus en détail

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL Les relations de travail sont révélatrices de l atmosphère qui règne au sein de votre entreprise. Le gestionnaire désirant obtenir de saines relations de travail se doit d être proactif dans ses actions.

Plus en détail

Communiqué fiscal SECTION 1 IMPÔTS SUR LE REVENU

Communiqué fiscal SECTION 1 IMPÔTS SUR LE REVENU Communiqué fiscal SECTION 1 IMPÔTS SUR LE REVENU Deux des mesures fiscales annoncées le 2 décembre 2014 1. Bonification de 800 000 $ à 1 million de dollars de l exonération des gains en capital sur les

Plus en détail

Calcul du versement périodique 2015 GUIDE. www.csst.qc.ca

Calcul du versement périodique 2015 GUIDE. www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2015 GUIDE www.csst.qc.ca Ce guide a pour but de faciliter la compréhension des modalités relatives au calcul du versement périodique. Il n a aucune valeur juridique et ne

Plus en détail

notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition?

notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition? 2 Saviez-vous que notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition? L avenir de la consigne au Québec est présentement incertain. Au printemps 2015, le Ministère du Développement

Plus en détail

Modèle de décision unilatérale instituant un système de garanties collectives complémentaire obligatoire frais de santé

Modèle de décision unilatérale instituant un système de garanties collectives complémentaire obligatoire frais de santé Modèle de décision unilatérale instituant un système de garanties collectives complémentaire obligatoire frais de santé La direction de l entreprise.. (forme juridique et dénomination sociale) dont le

Plus en détail

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un

Plus en détail

Rapport sur le budget du Québec

Rapport sur le budget du Québec le 21 avril 2005 Rapport sur le budget du Québec Faits saillants Introduction Taux d imposition d une société est augmenté Instauration d un taux d imposition pour la petite entreprise Les taux de la taxe

Plus en détail

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS 19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des

Plus en détail

CHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES...

CHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES... Table des matières CHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES... 1 LA CALCULATRICE COMMERCIALE... 1 OPÉRATEURS ET OPÉRANDES... 9 La priorité des opérateurs... 9 Les propriétés des opérateurs... 11 Application des

Plus en détail

PREMIER TRIMESTRE TERMINÉ LE 31 MARS 2010 CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI 2010 FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR

PREMIER TRIMESTRE TERMINÉ LE 31 MARS 2010 CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI 2010 FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR TERMINÉ LE 31 MARS CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR MISE EN GARDE Cette présentation peut contenir des énoncés prospectifs concernant le Fonds de placement immobilier

Plus en détail

013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R

013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R 2013 LUXEMBOURG : FISCALITé des personnes physiques F R Classe d impôts sans enfant Avec enfant(s) à charge Âgé d au moins 64 ans au 1 er janvier Célibataire 1 1a 1a Marié/ Partenaire 2 2 2 Séparé 1 1a

Plus en détail

Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB

Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Convention collective Mars 2011 Mars 2015 Note : Ce document regroupe les échelles salariales applicables aux différents titres d emploi représentés à la FIQ.

Plus en détail

C O U R S U P É R I E U R E (Chambre commerciale)

C O U R S U P É R I E U R E (Chambre commerciale) C A N A D A PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE MONTRÉAL C O U R S U P É R I E U R E (Chambre commerciale) N o : 500-11-026909-057 DANS L AFFAIRE DE LA LIQUIDATION DES BIENS DE : FONDS NORBOURG PLACEMENTS ÉQUILIBRÉS,

Plus en détail

Cotisations et points de la retraite complémentaire. n o 3

Cotisations et points de la retraite complémentaire. n o 3 Guide retraite complémentaire Agirc et Arrco Cotisations et points de la retraite complémentaire Guide salariés n o 3 avril 2014 Cotisations et points de la retraite complémentaire Sommaire La retraite,

Plus en détail

Attirez les meilleurs employés et consolidez votre entreprise

Attirez les meilleurs employés et consolidez votre entreprise Attirez les meilleurs employés et consolidez votre entreprise Grâce à leur régime d assurance collective, les employés sont toujours gagnants Augmentation salariale ou régime d assurance collective? Il

Plus en détail

particuliers professionnels ENTREPRISES Face à face argumenté de vente

particuliers professionnels ENTREPRISES Face à face argumenté de vente particuliers professionnels ENTREPRISES Face à face argumenté de vente La prévoyance en France La prévoyance sociale obligatoire Les couvertures complémentaires Les prestations de base, complétées par

Plus en détail

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services

Plus en détail

Parlons assurance. Taux de prime

Parlons assurance. Taux de prime Parlons assurance Taux de prime 2010 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) fournit un service d assurance essentiel aux entreprises établies au Québec. Cette assurance obligatoire

Plus en détail

à l usage du personnel enseignant

à l usage du personnel enseignant 601, rue Fournier, Saint-Jérôme (Québec) J7Z 4V8 Téléphone : (450) 436-1153 Télécopieur : (450) 431-3583 www.sern.qc.ca à l usage du personnel enseignant Pour toutes questions liées aux relations de travail

Plus en détail

Dossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A

Dossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A Dossier retraite Mise à jour : 10/03/2014 Vos ressources De quelles ressources disposerez-vous lors de votre départ en retraite? Elles sont de 5 natures : - La retraite sécurité sociale dite retraite de

Plus en détail

Cas 1 Les heures supplémentaires, les contreparties

Cas 1 Les heures supplémentaires, les contreparties Cas 0 Testez vos connaissances Les affirmations sont-elles vraies ou fausses? QUESTIONS VRAI FAUX Un compte épargne-temps peut être mis en place sans document écrit Un salarié peut travailler plus de 10

Plus en détail

Les membres présents forment le quorum et déclarent avoir reçu l avis de convocation.

Les membres présents forment le quorum et déclarent avoir reçu l avis de convocation. CANADA PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE SAINTE-IRÈNE Sainte-Irène, le 7 mai 2013 Procès-verbal de la séance régulière du conseil municipal, lundi, 6 mai 2013 à 20 h 00 au centre municipal et communautaire

Plus en détail

PROPOSITION D ASSURANCE

PROPOSITION D ASSURANCE Vous devez sauvegarder le document sur votre ordinateur avant de compléter le formulaire électronique. PROPOSITION D ASSURANCE Association québécoise des informaticiennes et informaticiens indépendants

Plus en détail

Réussir ses communications aux employés

Réussir ses communications aux employés Réussir ses communications aux employés Jimmy Carbonneau Conseiller principal, comptes nationaux Desjardins Assurances Lyne Lebel Directrice corporative, rémunération globale Kruger Inc. L'épargne-retraite

Plus en détail

info DROIT SOCIAL Egalité de traitement et avantages catégoriels

info DROIT SOCIAL Egalité de traitement et avantages catégoriels n 4 > 4 mars 2015 info ACTUALITÉ JURIDIQUE Sommaire Droit social Egalité de traitement et avantages catégoriels Clauses de non concurrence Droit d accès aux SMS non personnels par l employeur Droit fiscal

Plus en détail

RÈGLEMENT NUMÉRO 333-2015

RÈGLEMENT NUMÉRO 333-2015 PROVINCE DE QUÉBEC M.R.C. DE VAUDREUILSOULANGES MUNICIPALITÉ DE RIGAUD RÈGLEMENT NUMÉRO 3332015 RÈGLEMENT DÉCRÉTANT UNE DÉPENSE DE 696 913,25 ET UN EMPRUNT DE 696 913,25 AUX FINS DU FINANCEMENT DU PROGRAMME

Plus en détail

Assurances collectives

Assurances collectives Assurances collectives Regroupement des organismes nationaux de loisir et de sport du Québec Conditions de renouvellement au 1 er avril 2015 et modification du choix d option Regroupement des organismes

Plus en détail

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social TEXTE SOUMIS A LA DELIBERATION DU CONSEIL DES MINISTRES ORDONNANCE relative au portage salarial

Plus en détail

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques

Plus en détail

Loi concernant l inspection environnementale des véhicules automobiles

Loi concernant l inspection environnementale des véhicules automobiles DEUXIÈME SESSION TRENTE-NEUVIÈME LéGISLATURE Projet de loi n o 48 Loi concernant l inspection environnementale des véhicules automobiles Présentation Présenté par M. Pierre Arcand Ministre du Développement

Plus en détail

Régime volontaire d épargne-retraite

Régime volontaire d épargne-retraite Solutions de retraite toujours au travail Régime volontaire d épargne-retraite Une solution simple pour vous et vos clients Vendre un régime de retraite et d épargne collectif n aura jamais été aussi facile

Plus en détail

CONVENTION DE PORTAGE

CONVENTION DE PORTAGE S.A.R.L. au capital de 9 000 - SIRET : 505 565 568 00018 RCS Toulouse Siège social : 9 les hauts de Cante 31380 Montastruc la Conseillère code NAF : 741G Tél. : 0971 333 814 Fax : 05 34 26 19 34 Courriel

Plus en détail

Le SPPMM œuvre dans le secteur

Le SPPMM œuvre dans le secteur LE SYNDICAT DES PROFESSIONNELLES ET PROFESSIONNELS MUNICIPAUX DE MONTRÉAL LE CHOIX des professionnels Le SPPMM œuvre dans le secteur municipal depuis près de 40 ans. Fondé en 1965 par quelques préposés

Plus en détail

Carte du lobbyisme Mars 2010

Carte du lobbyisme Mars 2010 Carte du lobbyisme Mars 2010 Loi sur la transparence et l éthique en matière de lobbyisme Société de l assurance automobile du Québec Le Commissaire au lobbyisme du Québec 70, rue Dalhousie, bureau 220

Plus en détail

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33 F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

Formulaire de proposition de candidature individuelle

Formulaire de proposition de candidature individuelle Formulaire de proposition de candidature individuelle Veuillez noter que les formulaires de proposition de candidature dûment remplis doivent être soumis à M me Claire Bard à l adresse claire.bard@sct.gouv.qc.ca

Plus en détail

[REGLEMENT DU REGIME D INDEMNITE DE FIN DE CARRIERE]

[REGLEMENT DU REGIME D INDEMNITE DE FIN DE CARRIERE] [REGLEMENT DU REGIME D INDEMNITE DE FIN DE CARRIERE] CREPA Institution de Prévoyance régie par les dispositions du Titre III du Livre IX du Code de la sécurité sociale N Siret : 784 411 175 00028 80 rue

Plus en détail

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN

Plus en détail

Le secrétaire-trésorier Monsieur François Fréchette et la secrétaire-trésorière adjointe Marie-Céline Corbeil sont également présents.

Le secrétaire-trésorier Monsieur François Fréchette et la secrétaire-trésorière adjointe Marie-Céline Corbeil sont également présents. CANADA PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE WATERVILLE À une séance régulière du conseil de la Ville de Waterville tenue le 11 novembre 2013, à 19 h, en la salle des délibérations de l hôtel de ville, sous la présidence

Plus en détail

immobilier Les garanties de vente optimisée Notre philosophie w w w. g c i - p o r t a g e. c o m LES DONNÉES PROFESSIONNELLES GCI IMMOBILIER

immobilier Les garanties de vente optimisée Notre philosophie w w w. g c i - p o r t a g e. c o m LES DONNÉES PROFESSIONNELLES GCI IMMOBILIER Les garanties LES DONNÉES PROFESSIONNELLES GCI IMMOBILIER SARL GCI, Société à Responsabilité Limitée au capital de 8000,00 Euros dont le siège est situé à Z.I. Saint Maurice, 04100 Manosque, inscrite au

Plus en détail

Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions

Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Circulaire d offre Compagnie Pétrolière Impériale Ltée Aucune commission de valeurs mobilières ni organisme similaire ne s est prononcé de

Plus en détail

A. LES ENTREPRISES VISEES PAR LES NOUVELLES REGLES. Quelles sont les entreprises visées par les nouvelles règles?

A. LES ENTREPRISES VISEES PAR LES NOUVELLES REGLES. Quelles sont les entreprises visées par les nouvelles règles? LA LEGISLATION SUR LES AGENCES DE TRAVAIL TEMPORAIRE ET LES TRAVAILLEURS INTERIMAIRES EN GRANDE-BRETAGNE INTRODUCTION : Good afternoon, ladies and gentlemen. Comme vous l aurez probablement deviné, je

Plus en détail

Envoi et réception des documents sociaux par voie électronique

Envoi et réception des documents sociaux par voie électronique 2008 Envoi et réception des documents sociaux par voie électronique EASYPAY GROUP Juli 2008 Table des matières Introduction... 3 Simplification administrative... 3 Participation au développement durable...

Plus en détail

Tous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec

Tous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec bulletin Canadien Date 2014-06-05 Destinataires Référence Tous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec RE-14-008 Objet Pièce

Plus en détail

Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte

Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte CITSS Système de suivi des droits d émission (Compliance Instrument Tracking System Service) Mars 2013 Table des matières 1.0 Introduction... 6 1.1 Volume

Plus en détail

www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé

www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé Partenariat avec Revenu Québec Pour permettre l application du nouveau mode de paiement de la prime d assurance instauré le 1 er janvier

Plus en détail

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier

Plus en détail

ANALYSES DES PROPOSITIONS DU MEDIATEUR

ANALYSES DES PROPOSITIONS DU MEDIATEUR ANALYSES DES PROPOSITIONS DU MEDIATEUR Ce dossier comprend : - Fiche info #01 - Le Médiateur - Infos sur le calcul de salaires proposées par le Médiateur - La grille "B3" - La grille "B2" - La grille "B1"

Plus en détail

Étude sur les analystes d affaires dans le domaine des technologies de l information

Étude sur les analystes d affaires dans le domaine des technologies de l information Étude sur les analystes d affaires dans le domaine des technologies de l information Mai 2010 ÉDITEUR TECHNOCompétences, le Comité sectoriel de main-d œuvre en technologies de l information et des communications,

Plus en détail

LA FISCALITÉ AU QUÉBEC DES MESURES FAVORABLES À L INVESTISSEMENT

LA FISCALITÉ AU QUÉBEC DES MESURES FAVORABLES À L INVESTISSEMENT LA FISCALITÉ AU QUÉBEC DES MESURES FAVORABLES À L INVESTISSEMENT 2014 Rédigé par Raymond Chabot Grant Thornton en collaboration avec la Direction de l information stratégique d Investissement Québec This

Plus en détail