Elle l a. Dès qu un élément graphique (concret ou abstrait) est disposé sur une surface de base, une relation entre l élément et la surface se crée.
|
|
- Marc Pothier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Elle l a Dès qu un élément graphique (concret ou abstrait) est disposé sur une surface de base, une relation entre l élément et la surface se crée. 33
2 DANS LE FORMAT Le rapport entre la taille de l élément et celle de la surface produit des effets de toutes sortes. Lorsqu on ajoute d autres objets, ceux-ci développent aussi des relations entre eux. C est ainsi que naissent tension et dynamique. Des champs énergétiques apparaissent en fonction de la taille et de l espacement des objets et créent des forces d attraction et de rejet. La combinaison de dimensions et de quantités variées peut de même provoquer des tensions. En somme, la position, la taille, la forme et la quantité des éléments graphiques produisent des effets que nous pouvons décrire avec des propriétés concrètes. Il en résulte qu avec des moyens exclusivment visuels, on peut susciter des sensations spécifiques chez le spectateur et transmettre un contenu défini 34
3 Du calme Une tension 35
4 Les éléments spécifiques de l'art graphique sont des points et des énergies linéaires Dans le port florissant, Paul Klee analyse rationnellement le procédé qui, partant du point - Que Klee considère comme une forme- conduit à la ligne qui n'est pas seulement un élément calligraphique. Il s'ensuit une conséquence capitale : un " sens " spécifiquement pictural qui se caractérise par la multiplicité des " significations " de l'œuvre achevée. " L'œuvre plastique présente pour le profane l'inconvénient de ne savoir où commencer (la lecture), mais, pour l'amateur averti, l'avantage de pouvoir abondamment varier l'ordre de lecture et de prendre ainsi conscience de la multiplicité de ses significations [...] L'œil suit les chemins qui lui ont été ménagés" dans l'œuvre. SOMMAIRE Les éléments dans le cadre : le point Tensions et dynamique Deux points Faire le point Le mauvais point Le point en forme Surface de point Point à la ligne 36
5 DANS LE FORMAT Dès qu un élément graphique (concret ou abstrait) est disposé sur une surface de base, une relation entre l élément et la surface se crée. Le rapport entre la taille de l élément et la surface produit des effets de toutes sortes. Le point LES ELEMENTS DANS LE CADRE Théoriquement, le point n'a pas d'existence physique: ce n'est qu'un concept d'où une ligne origine, où deux lignes se croisent. De façon pratique, on peut affirmer que le point est la limite minimale en deçà de laquelle une graphie ne peut plus être vue. Le point ne représente rien 37
6 Léger Lourd 38
7 Printemps Les 4 saisons : Visualisez les 4 saisons à l aide de points de différentes dimensions; Réflechissez d abord aux propriétés et sentiments typiques qui s y Rattachent et imaginez comment vous pourriez les exprimer Hiver Printemps Hiver 39
8 DEUX POINTS EGAUX 2 points d égale importance dispersent le regard QUAND DEUX POINTS SE RENCONTRENT 2 points, doivent avoir une hiérarchie 40
9 UN MAUVAIS POINT Un parasite QUAND LE POINT DEVIENT FORME Les points déterminent une forme géométrique 41
10 QUAND LE POINT DEVIENT SURFACE Si la taille du point augmente par rapport au format, il peut devenir surface et devenir totalement dominant et être la surface de base QUAND LE POINT DESSINE UNE LIGNE Des points judicieusement réparties dessinent une ligne 42
11 Un point à la ligne En conclusion : la position, la taille, la forme et la quantité des éléments graphiques produisent des effets que nous pouvons décrire avec des propriétés concrètes. LA LIGNE La ligne est constituée par la trajectoire qui réunit deux points, ou encore celle laissée par un point en déplacement. La ligne n'occupe, théoriquement du moins, pas de surface. 43
12 LE CARACTERE DE LA LIGNE Taille, Epaisseur, Forme, Emplacement, Quantité, Longueur LA LIGNE 44
13 JEUX DE LIGNES Exercices : Un sourire les yeux fermés, Des collines, un oiseau Réaliser des jeux de ligne chargés de tension QUAND LA LIGNE DONNE LA DIRECTION EFFORT La force signifiante de la diagonale 45
14 46
15 Zone matérielle 47
16 bras Zone matérielle bras 90 fusil Zone matérielle 48
17 REPLI SUR SOI Vermeer : la jeune fille lisant une lettre devant sa fenêtre ouverte 49
18 FACILITE 50
19 Bruegel le Vieux ( ) 51
20 Rembrandt ( ) Descente de croix RETOUR SUR LES VALEURS 52
21 LA LIGNE DONNE LE RYTHME Des lignes parallèles équidistantes dirigent notre regard perpendiculairement à l orientation des lignes. Les horizontales semblent plus hautes et les verticales plus larges 53
22 LE RYTHME EXPRESSIF Delacroix La nuit LE RYTHME EXPRESSIF 54
23 LA LIGNE CONDUIT LE REGARD Giotto ( ) Déposition de croix LA LIGNE CONDUIT LE REGARD Giotto ( ) Déposition de croix 55
24 Le monde des fils Le monde du père Le monde des femmes 56
25 Rubens ( ) "L`enlèvement des filles de Leucippe" Autre Rubens ( ) "L`enlèvement des filles de Leucippe" 57
26 Autre 58
27 QUAND LA LIGNE DELIMITE UNE SURFACE Naissance de la forme QUAND LA LIGNE DEVIENT FORME Notre imagination cherche sans cesse à reconnaître des formes 59
28 QUAND LA LIGNE DEVIENT FORME SIGNIFIANTE Et la ligne a aussi une fonction expressive LA LIGNE PERD SA FONCTION AU PROFIT DE LA FORME 60
29 RELATION FOND FORME Dès que l épaisseur de la ligne dépasse un certain seuil par rapport à la taille de la figure, elle n est plus perçue comme ligne mais comme surface indépendante Séparer la figure du fond LA FORME SIGNIFIANTE L expression de la forme : Qu est-ce qui est? : Masculin, féminin, instable 61
30 L OGANISATION DE LA FORME Et son pouvoir Exercice LE RYTHME DE LA FORME La forme conduit le regard 62
31 Déconstruire la forme Georges Braque ( ) Port en Normandie Calme, nerveux, concentré, gai, triste, ennuyé 63
32 COMBINAISON DE LA FORME A B C D L art de la combinaison est la possibilité d agencer de différentes façons un nombre limité d éléments individuels dans un ensemble afin de créer de nouvelles formes. En dehors du fait d être plaisant à expérimenter, l art de la combinaison est vraiment très utile dans la conception de systèmes ou de séries de symboles. Au cours de la permutation, de nouvelles formes apparaissent grâce à l inversion d éléments individuels d un nombre prédéfini au sein d un même ensemble Exercices SURFACE DE LA FORME Relation de tension entre la forme et la surface 64
33 LE TEXTE ET LA FORME O N Exercices on S DES LOIS DE PERCEPTION Loi de similarité 65
34 Loi de l expérience LOIS DE PERCEPTION DE LA FORME Des éléments identiques proches les uns des autres seront regroupés pour former une unité Les lignes entourant une surface seront plus facilement perçues comme un tout que lorsqu elles sont isolées Nous complétons ce qui manque à une forme connue. Le noir, dans les cercles blancs semble être plus foncé que dans les ronds blancs. Ce qui crée deux carrés qui se chevauchent 66
ASCENSEUR ET APPAREILS ÉLÉVATEURS 08
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Informations 2. Isonivelage 3. Portes 4. Marquage d étage 5. Caractéristiques de la cabine 6. Boutons au palier 7. Sécurité fonctionnelle 8. Appareils élévateurs 9. Types
Plus en détailASCENSEUR ET APPAREILS ÉLÉVATEURS
OBJECTIFS a. Permettre d accéder facilement à tous les niveaux en toute sécurité et sans se heurter à un obstacle. b. Prévoir un accès direct à tous les niveaux d un bâtiment dès sa conception. c. Assurer
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailNom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie?
Nom : Groupe : Date : Verdict Chapitre 11 1 La communication graphique Pages 336 et 337 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Les dessins de fabrication. Les schémas.
Plus en détail.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base
énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détailINTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X
INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une
Plus en détailVOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE
Vos premiers pas avec TracenPoche page 1/16 VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE Un coup d'oeil sur l'interface de TracenPoche : La zone de travail comporte un script, une figure, un énoncé, une zone d analyse,
Plus en détailStockage ou pas stockage?
Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailTrait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution.
Trait et ligne I La ligne me fascine. Le trait qui relie ou qui sépare Qui déchire le néant et marque une trace Qui me fait entrer dans l univers des signes. La ligne avance, Elle indique une direction,
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailCH.6 Propriétés des langages non contextuels
CH.6 Propriétés des langages non contetuels 6.1 Le lemme de pompage 6.2 Les propriétés de fermeture 6.3 Les problèmes de décidabilité 6.4 Les langages non contetuels déterministes utomates ch6 1 6.1 Le
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailG U I D E D U T I L I S A T I O N LIFTING IDENTITÉ VISUELLE
G U I D E D U T I L I S A T I O N LIFTING IDENTITÉ VISUELLE N & N D I S T R I B U T I O N 2013 sommaire l e N o u v e a u l o o k l e s é t a p e s l e l o g o t y p e 1 / 2 l e B o N u s a g e l a R e
Plus en détailI- Définitions des signaux.
101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION
CATALOGUE DE FORMATION 2014 Formations en image professionnelle, en efficacité relationnelle, en développement personnel 1 SOMMAIRE Image professionnelle Page 3 Valoriser son image et sa communication
Plus en détailLes dangers de l électricité
Faculté des Sciences et Techniques de l Ingénieur (STI) Laboratoire de réseaux électriques (LRE) Les dangers de l électricité Table ronde du 22 janvier 2009 Pierre Zweiacker Plan de la présentation La
Plus en détailla comparaison des ampoules
description la comparaison des ampoules 6 e année, Sciences et technologie Source : Adapté de TDSB, Heat in the Environment Au cours de cette activité d apprentissage, les élèves exploreront leur utilisation
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailVoici une demande qui revient régulièrement lors de mes rencontres avec les employeurs :
Logique dépannage La logique de dépannage dépend d une multitude d aspect, et un de ses aspects que j ai pu constater avec le temps en tant que formateur est que les techniciens industriels apprennent
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailConfort, qualité d air et performance énergétique
Centrales double flux à récupération d énergie : Confort, qualité d air et performance énergétique VMC DOUBLE FLUX pour applications tertiaires BUREAUX LOCAUX D ENSEIGNEMENT COMMERCES HÔTELS LOCAUX D HÉBERGEMENT
Plus en détailUFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES
Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détail1 Création d une pièce. 2 Travail complémentaire. 1-1 Réglage des barres d outils. 1-2 Exemples de réalisation de pièces à l aide d un modeleur 3D
SolidWorks Logiciel de DAO (Dessin Assisté par Ordinateur) Palonnier Servomoteur SOMMAIRE : 1 Création d une pièce 1-1 Réglage des barres d outils 1-2 Exemples de réalisation de pièces à l aide d un modeleur
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailFORMATION ECLAIRAGE PUBLIC
FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailOpérations de base sur ImageJ
Opérations de base sur ImageJ TPs d hydrodynamique de l ESPCI, J. Bico, M. Reyssat, M. Fermigier ImageJ est un logiciel libre, qui fonctionne aussi bien sous plate-forme Windows, Mac ou Linux. Initialement
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailLa contrefaçon par équivalence en France
BREVETS La contrefaçon par équivalence en France I. Introduction Si l'on considère une revendication de brevet qui remplit les conditions de validité au regard de l'art antérieur, le cas de contrefaçon
Plus en détailCOMMUNICATEUR BLISS COMMANDE PAR UN SENSEUR DE POSITION DE L'OEIL
COMMUNICATEUR BLISS COMMANDE PAR UN SENSEUR DE POSITION DE L'OEIL J. TICHON(1) (2), J.-M. TOULOTTE(1), G. TREHOU (1), H. DE ROP (2) 1. INTRODUCTION Notre objectif est de réaliser des systèmes de communication
Plus en détailExtraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales
Extraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales Bernard DOUSSET IRIT/ SIG, Université Paul Sabatier, 118 route de Narbonne, 31062 Toulouse cedex 04 dousset@irit.fr 1 Introduction
Plus en détailTD 1 - Structures de Traits et Unification
TD 1 - Structures de Traits et Unification 1 Définitions Un trait (en: feature) est un couple attribut-valeur. Une structure de traits (en: feature structure) est un ensemble de traits. On peut les représenter
Plus en détailLa perspective conique
La perspective conique Définitions et principes. Deux cas de la perspective conique : la perspective conique oblique et la perspective conique centrale. Principe de la perspective conique : . La perspective
Plus en détailMise en scène d un modèle dans l espace 3D
CHAPITRE 3 Mise en scène d un modèle dans l espace 3D Blender permet de construire des espaces à la manière d une scène de théâtre. Pour cela, il présente dès l ouverture tout ce dont on a besoin : un
Plus en détailGood practice: réduction individuelle des primes d assurance-maladie
Good practice: réduction individuelle des primes d assurance-maladie Extrait du rapport: Ehrler, Franziska, Caroline Knupfer et Yann Bochsler (2012) Effets de seuil et effets pervers sur l activité. Une
Plus en détailLe réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)
Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailRelation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire
CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence
Plus en détailÉclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET
Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT
Plus en détailDÉPLOIEMENT DU SERVICE AUTOLIB. version juillet 2015
DÉPLOIEMENT DU SERVICE AUTOLIB version juillet 2015 ÉLÉMENTS GÉNÉRAUX Autolib Métropole : un syndicat mixte ouvert Acteurs 82 communes dont Ville de Paris adhésion Autolib Métropole concédant public privé
Plus en détailESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%
ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailLes contrats : leur origine et leur type. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013
Les contrats : leur origine et leur type - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013 Plan du cours Philosophie individualiste & libéralisme économique vs Code civile et théorie de l
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailLes effets nocifs du bruit sur l'homme
La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons
Plus en détailMISSION DE L ENTREPRISE. Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur le marché mondial
Bureau/presentation corpo/presentation goldcorp/powerpoint minautor AOUT 2013 MISSION DE L ENTREPRISE Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur
Plus en détailIFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale.
Rapport d expertise IPACO Nom de l expert Antoine COUSYN Date du rapport 29/07/2012 Dernière mise à jour 08/02/2015 Type IFO Classe A Explication Saturation du capteur CMOS Complément Soleil Document Lieu
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailPagaie rouge. Lieu de pratique Plan d eau calme ou piscine comprenant un parcours sur deux buts (terrain 36 mètres par 20 mètres).
Compétences Compétences générales Naviguer avec vitesse et précision (performance) en s engageant et en prenant des informations pertinentes dans un contexte très complexe et incertain de déplacement,
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014
BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération
Plus en détailLogiciel XLSTAT version 7.0. 40 rue Damrémont 75018 PARIS
Logiciel XLSTAT version 7.0 Contact : Addinsoft 40 rue Damrémont 75018 PARIS 2005-2006 Plan Présentation générale du logiciel Statistiques descriptives Histogramme Discrétisation Tableau de contingence
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailKM2 W1 EVC1 M3~ Manuel AUTOMSIM API 24V. BP Dcy 1MINI 1MAXI. www.irai.com
L1 L2 L3 F1 M1 KM2 0V U1 V1 M3~ W1 EVC1 Manuel AUTOMSIM 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 API 24V 0 1 2 C1MINI BP Dcy C1MAXI 1MAXI 1MINI EVC1 www.irai.com INTRODUCTION... 5 INSTALLATION... 6 PRISE EN
Plus en détailSOMMAIRE. Qu est-ce que le compteur électronique... page 1. Comment consulter les informations... page 1. Les différentes options tarifaires...
Edition Édition 2008 Juillet 2000 SOMMAIRE Qu est-ce que le compteur électronique... page 1 Comment consulter les informations... page 1 Les différentes options tarifaires... page 1 a)option base... page
Plus en détailLES GRANDES ETAPES DE CREATION D UN WEB DESIGN
LES GRANDES ETAPES DE CREATION D UN WEB DESIGN PENSER LA STRUCTURE ET LE THEME DU SITE STRUCTURE ET THEME DU SITE Taille (le site sera-t-il extensible ou fixe?) Organisation Thème Couleurs Illustrations
Plus en détailFeuille d exercices 2 : Espaces probabilisés
Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un
Plus en détailCHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant
Plus en détailEvaluation de la typicité des vins liés au terroir : proposition de méthodes pour les professionnels de la filière
Evaluation de la typicité des vins liés au terroir : proposition de méthodes pour les professionnels de la filière Ronan SYMONEAUX, Isabelle MAITRE, Frédérique JOURJON UMT VINITERA- Laboratoire GRAPPE
Plus en détailL ARBORESCENCE. Qu est-ce qu un dossier? L arborescence?
L ARBORESCENCE Qu est-ce qu un dossier? Un dossier est une pochette vide dans laquelle on peut disposer des documents créés à l aide de l outil informatique. Comme les systèmes utilisés dans la vie courante
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailI Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème...
TABLE DES MATIÈRES 5 Table des matières I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique................... 13 1.2 Le plan...................................
Plus en détailConseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres?
Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Textes rédigés pour le site www.mmatravodeco.com Reportage : projet de décoration Bambù, Paris 14 e Photos : Béatrice
Plus en détailNET BOX DATA Télégestion d'équipements via Internet & Intranet
MANUEL SIMPLIFIEDE L UTILISATEUR ------------------------------------------- Système de réservation de place de stationnement VigiPark2.COM Réf. : DT100502 Rév. : A Date : 24/01/2006 Auteur : Christophe
Plus en détailLES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR
LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. FONCTIONNEMENT DES RADAR : Les radars de contrôles aériens sont des instruments de télédétection utilisés
Plus en détail3) Demandeur: FIVES-CAIL BABCOCK, Société anonyme 7 rue Montallvet F-75383 Parts Cedex 08 (FR)
raiemami ê #curupaiscnes European Patent Office Numéro de publication: 0 21 9 365 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 86401852.8 Int. Cl.4: B 65 G 65/06 @ Date de
Plus en détailEn quoi consistera ce jeu?
1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailAUTRES ASPECTS DU GPS. Partie I : tolérance de Battement Partie II : tolérancement par frontières
AUTRES ASPECTS DU GPS Partie I : tolérance de Battement Partie II : tolérancement par frontières 1 Partie I Tolérance de battement Défaut de Battement Défautconjuguéde forme, orientation et position, constatélorsde
Plus en détailDOSSIER PEDAGOGIQUE Déroulement d une visite QUELQUES MOTS SUR PAUL KLEE
DOSSIER PEDAGOGIQUE Déroulement d une visite o Après l accueil du groupe, l animation commence par une petite introduction sur l art de manière générale et sur la peinture en particulier avec quelques
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailTerminologie et définitions
IV.70 OUVERTURES EXTÉRIEURES IV.701.1 IV.701 TERMINOLOGIE ET DÉFINITIONS RELATIVES AUX FENÊTRES ET PORTES EXTÉRIEURES IV.701.1 Terminologie et définitions extrémités inférieure et supérieure de la porte
Plus en détailContributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille
Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille Lucas Nussbaum Soutenance de thèse 4 décembre 2008 Lucas Nussbaum Expérimentation sur les systèmes distribués 1 / 49 Contexte
Plus en détailREPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation
REPRESENTER LA TERRE Seconde Page 1 TRAVAUX DIRIGES REPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation Casterman TINTIN "Le trésor de Rackham Le Rouge" 1 TRIGONOMETRIE : Calcul du chemin le plus court. 1)
Plus en détailTable des matières. 7 Gérer des ordres 5 Formater des paramètres OptionStation Pro 9
Leçon n 9 Table des matières OptionStation Pro 1 Gérer des positions réelles 5 Créer des positions d options théoriques 3 SpreadMaster 6 Placer une transaction 4 Représenter graphiquement des positions
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détailSoit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée.
ANALYSE 5 points Exercice 1 : Léonie souhaite acheter un lecteur MP3. Le prix affiché (49 ) dépasse largement la somme dont elle dispose. Elle décide donc d économiser régulièrement. Elle a relevé qu elle
Plus en détailFormation tableur niveau 1 (Excel 2013)
Formation tableur niveau 1 (Excel 2013) L objectif général de cette formation est de repérer les différents éléments de la fenêtre Excel, de réaliser et de mettre en forme un tableau simple en utilisant
Plus en détailIntégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme
Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme PCET, SRCAE, précarité énergétique, PLH, évaluation environnementale SCOT et PLU, étude pré-opérationnelle OPAH BGP280/122 1 L'énergie
Plus en détailTux Paint. 1. Informations générales sur le logiciel. Auteur : Bill Kendrick et l équipe de développement de New Breed Software
1. Informations générales sur le logiciel Auteur : Bill Kendrick et l équipe de développement de New Breed Software Version : 0.9.13 Licence : GPL Date de parution : octobre 2004 Environnement requis :
Plus en détailMODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI
MODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI BTS AGPME Ciel Gestion commerciale (mai 2005) Pierre TASSION 1 Table des matières D après le référentiel BTS PME PMI Présentation
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailEtude de FP3 commande moteur et électroaimant. Déplacement carte et connexion
Etude de FP3 commande moteur et électroaimant Déplacement carte et connexion Décomposition fonctionnelle. - Définir le rôle et caractériser les entrées-sorties de FP3 permettant la commande du moteur et
Plus en détailF = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres
LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des
Plus en détailGuide de conception. Sécurité incendie des halls industriels
Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.
Plus en détailMINOR 11. *2701444_rev.6* Guide d installation et d utilisation MINOR 11. DELTA DORE - Bonnemain - 35270 COMBOURG E-mail : deltadore@deltadore.
Guide d installation et d utilisation MINOR 11 6151042 MINOR 11 DELTA DORE - Bonnemain - 35270 COMBOURG E-mail : deltadore@deltadore.com Appareil conforme aux exigences des directives : 2004/108/CE (Compatibilité
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailDEVENIR SOPHRO-RELAXOLOGUE
DEVENIR SOPHRO-RELAXOLOGUE Qu'est-ce que la Sophro-relaxation? La sophro relaxation est une méthode de détente corporelle, émotionnelle et mentale unissant des techniques de relaxation et de sophrologie.
Plus en détail