Et on parlait d'ebola
|
|
- François-Xavier Beauregard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Et on parlait d'ebola Le virus Ebola est un virus (famille des filoviridés-filovirus : fièvre sévère, (maladie à virus Ebola ou FHV pour fièvre hémorragique virale). Très virulent, le virus Ebola peut provoquer la mort. Maladie très grave, contagieuse, une des maladies les plus virulentes au monde. Pas de traitement, ni vaccin homologué pour prévenir cette fièvre hémorragique à virus Ebola. Des soins pour lutter contre les symptômes provoqués par la maladie et d aider le malade à survivre à l infection. Il existe quelques cas de guérison suite à l'administration d'un traitement non autorisé, ce qui soulève beaucoup d espoir. Les chercheurs travaillent également à l'élaboration d'un virus pour lutter contre cette maladie grave. Le virus Ebola peut sévir en toutes saisons et peut toucher n'importe quelle personne, hommes ou femmes, jeunes ou moins jeunes. Les spécialistes ne savent pas pourquoi certaines personnes survivent et d'autres non. Les personnes guéries peuvent transmettre le virus jusqu'à 7 semaines après leur guérison. Les personnes décédées peuvent elles aussi transmettre la maladie. Les porteurs du virus Ebola sont les chauves-souris. Elles peuvent transmettre ce virus à d autres animaux, comme par exemple les singes. Les hommes peuvent être contaminés via ces animaux (contact avec leur sang, en mangeant leur viande, etc). Ensuite, la transmission pendant les épidémies se fait entre humains., le virus se transmet d'homme à homme par contact direct (par la salive, le sang, l'urine, les selles, le sperme, les vomissements ou des vêtements souillés) ou par des aiguilles contaminées lors des soins médicaux. Les transmissions ne se produisent pas par les voies aériennes.
2 Les foyers des épidémies sont situés en Afrique. Le virus Ebola a été découvert en 1976 au bord de la rivière du même nom, dans l'ex-zaïre (désormais République Démocratique du Congo). Il en existe cinq formes : Bundibugyo, Côte d Ivoire, Reston, Soudan et Zaïre. Cette dernière est la forme qui frappe l'afrique en La première épidémie de 1976 a tué 431 personnes. Puis les épidémies se sont succédées. Celle de 2014, qui semble être l'épidémie la plus grave, a démarré en février et a déjà tué plus de 2000 personnes 7 mois plus tard. A chaque épidémie, le virus Ebola touche un nombre différent de personnes, et le pourcentage de décès chez les personnes contaminées varie selon l épidémie. Selon l OMS, l épidémie de 2014 observerait un taux de décès de 54 % environ. La fièvre hémorragique virale due au virus Ebola est difficile à diagnostiquer. D'abord parce que les premiers symptômes peuvent s'apparenter à d'autres maladies comme la malaria, ou paludisme, ou le choléra, ou des toxi-intoxications alimentaires. Ensuite parce qu'il est quasiment impossible de réaliser des tests sanguins dans les régions concernées, car il n existe pas de laboratoire de haute sécurité sur le terrain. La présence du virus Ebola est en effet affirmée suite à différents tests sanguins comme le test Elisa. Il est donc très important de savoir si la personne a été au contact d une personne infectée par le virus Ebola dans les trois semaines précédentes ou bien si elle a participé à un enterrement en touchant la personne décédée dans les trois semaines précédentes. Des chercheurs japonais auraient récemment mis au point un test de dépistage plus rapide et moins coûteux : un processus qui donnerait un résultat en une demi-heure, mais qui n est pas encore disponible. Le virus Ebola provoque des fièvres. La maladie peut évoluer en jaunisse, délires, convulsions, hémorragie sévère, coma.
3 Les personnes qui se remettent de la maladie due au virus Ebola sont porteurs du virus durant des semaines suivant leur infection et peuvent donc, bien que guéris, contaminer leurs proches. De plus, les personnes infectées sont d'autant plus contagieuses que leur maladie s'aggrave. Les personnes infectées ne sont contagieuses qu'à l'apparition des premiers symptômes - il existe en effet une période d'incubation (période entre l'arrivée du virus dans l'organisme et les premiers signes de la maladie) de plusieurs jours (entre 2 et 21). Après la guérison, une personne peut encore être contagieuse pendant 7 semaines. Les personnes infectées sont encore contagieuses après leur décès. Les infections lors des rites funéraires sont d'ailleurs fréquentes. Le personnel médical risque aussi d'être infecté s'il n'utilise pas des équipements de protection adaptées : gants, blouses, bottes, masques, lunettes. Les symptômes : Une fois la transmission du virus effectuée, il existe une phase où la personne contaminée ne présente aucun signe. On appelle cela la phase silencieuse, et cette dernière dure entre 2 et 21 jours. Pendant cette période, il est impossible de détecter le virus dans le sang car il est en trop faible quantité, et l on ne peut pas soigner la personne. Ensuite, les premiers principaux symptômes de la maladie à virus Ebola apparaissent. Les cinq symptômes les plus nets sont : L apparition brutale d'une fièvre intense, accompagnée de frissons; Une diarrhée; Des vomissements; Une fatigue extrêmement intense; Une perte d appétit importante (anorexie). D autres signes peuvent être présents : maux de tête; douleurs musculaires; douleurs articulaires;
4 faiblesses; irritation de la gorge; douleurs abdominales; Et en cas d aggravation : toux; éruption cutanée; douleurs thoraciques; yeux rouges; insuffisance rénale et hépatique; hémorragies internes et externes. Les personnes au contact de viandes contaminées comme celle dite "de brousse" (chasseur, dépeceur, boucher, cuisinière) peuvent aussi présenter un risque. Ces personnes peuvent d'ailleurs être le point de départ d une épidémie. La prévention : La prévention passe par l'évitement du virus Ebola. Il est conseillé de ne pas se rendre dans les villes où une épidémie sévit. Pour les personnes résidant en zone d épidémie, certains conseils prévalent : Se laver les mains régulièrement à l eau et au savon, Eviter d'être en contact avec des personnes malades, qui doivent être mis en quarantaine. Il ne faut pas toucher, embrasser ou même laver une personne malade. Les soignants doivent porter blouses, gants, masques et lunettes. Et ne pas réutiliser les seringues. Une attention particulière doit être portée lors des rites funéraires puisque les personnes décédées sont encore porteuses du virus et peuvent être contagieux. Apprendre à ne pas porter sa main à sa bouche ou à ses yeux, portes d entrées du virus. Porter des gants et vêtements de protection pour manipuler les animaux malades et leur chair. Rester vigilants chez les malades guéris qui peuvent encore transmettre le virus pendant 7 semaines. Ils doivent éviter les relations sexuelles pendant ce temps ou utiliser un préservatif. Les chercheurs avancent sur un vaccin contre le virus Ebola mais ce dernier, prometteur, n'est pas encore disponible. Les traitements : Il n'existe pas de traitement efficace pouvant guérir la fièvre Ebola. Les soins qui peuvent être faits consistent donc à soulager les symptômes et augmenter les chances d une personne atteinte de survivre à la maladie. On parle dans ce cas de soins symptomatiques : maintenir une tension artérielle convenable,
5 lutter contre les pertes sanguines, fournir de l'oxygène si nécessaire, réhydrater... Souvent déshydratés, les malades ont en effet besoin d'une réhydratation. Quelques rares cas de guérison suite à l'administration d'un traitement expérimental ont été relatés. Ainsi, un britannique contaminé en Sierra Leone a été soigné à Londres avec le ZMapp, traitement en développement, et serait guéri après 10 jours de traitement. Deux américains ont également bénéficié de ce traitement encore expérimental qui n'est pas disponible pour les populations concernées par cette épidémie. Début septembre 2014, l'oms a soumis à des experts une liste de 8 traitements et de 2 vaccins à développer (les premiers essais sur les hommes ont d'ailleurs été avancés pour l'un des deux vaccins). Une étude récemment publiée dans Nature Medicine, a suggéré l'efficacité d'un vaccin expérimental sur les singes. Le virus peut faire peur car il provoque des épidémies qui peuvent s étendre et sont difficiles à contrôler dans les zones où les populations ne sont pas suffisamment informées sur les précautions à prendre et où le système de santé peut parfois être défaillant. Heureusement, ce virus ne se transmet pas par voie aérienne, mais par contact direct. L eau de javel 5,25 % diluée à 10 % pendant 10 minutes détruit le virus sur les surfaces contaminées. De même la chaleur à 60 % pendant 30 à 60 minutes ou par ébullition pendant 5 minutes. OMS : INVS : Mayo Clinic : Fiche Ebola virus and Marburg CDC :
6 Ebola : la catastrophe Chère lectrice, cher lecteur, J'aurais préféré ne pas avoir à l'annoncer un jour. Mais, malheureusement, il se confirme que j'ai eu raison au sujet d'ebola. Une étude réalisée par des chercheurs de Harvard vient de tomber dans la grande revue médicale Plos One. Elle confirme ce que je vous disais le 27 août dernier [1], à savoir que les mesures de mise en quarantaine des populations en Afrique pour, en principe, éviter la propagation du virus Ebola, sont en train de créer une catastrophe, avec une «hausse exponentielle des cas détectés» [2]. C'est donc pire encore que ce que je craignais. Confinées chez elles par la répression gouvernementale, plus mal nourries encore que d'habitude et victimes de l'hygiène qui se dégrade, des milliers de personnes ont attrapé le virus Ebola par la faute de mesures absurdes prises sous la pression de la «communauté internationale» : «Les chercheurs notent une hausse exponentielle des cas détectés au Libéria et en Guinée pendant le mois d août, alors même que ces pays mettaient en place des mesures drastiques de mise en quarantaine de la population. Selon l étude, le confinement de la population à domicile aurait en réalité aggravé la situation. Dans les zones concernées, les conditions de vie et l hygiène se seraient très fortement dégradées, accélérant la transmission du virus entre les habitants. [3]»
7 Et encore ne comptent-ils pas tous les décès dûs aux maladies «habituelles» en Afrique, à savoir le choléra, le paludisme, la malnutrition, qui se sont forcément aggravées elles aussi. Bref, cette fois, elle a du sang sur les mains, cette communauté internationale qui, des auditoriums cinq étoiles de New York, Genève et Paris, lance sans cesse des appels à faire «quelque chose» en l'occurrence n'importe quoi. Des milliers de personnes ont déjà attrapé Ebola à cause d'elle. Si vous avez le cœur bien accroché Si vous avez le cœur bien accroché, vous pouvez regarder ce diaporama du photojournaliste John Moore qui permet de réaliser quelles sont les conditions de vie dans les centres de quarantaine : Et le pire, c'est que ces mesures criminelles, loin d'être remises en cause, sont actuellement en train d'être généralisées!!! Hier, la Sierra Leone a annoncé la mise en quarantaine de ses 6 millions d habitants exactement l'inverse de ce qu'il faut faire!! Mais qui ose le dire??? Une voix crie dans le désert note tout de même qu'une organisation (une) a enfin repris les mises en garde que nous avons formulées il y a un mois : il s'agit de l'association Action Contre la Faim (ACF) qui a diffusé un communiqué dans lequel elle rappelle : «Par le passé, pour d'autres crises épidémiques comme celles du choléra ou de la peste, l'expérience a montré que les mesures de quarantaine et les embargos pour empêcher la circulation des personnes et des marchandises
8 étaient non seulement inutiles mais créaient des conditions favorables à des crises socioéconomiques majeures [4]». Explosion de l'épidémie? Si les organisations internationales continuent leurs stupidités (le mot est gentil), des centaines de milliers de personnes pourraient à terme être touchées par Ebola, et non plus comme le prédisait l'organisation Mondiale de la Santé (OMS) il y a à peine un mois. Selon un article publié début septembre dans Science par le physicien Alessandro Vespignani, le nombre de malades pourrait atteindre les avant le 24 septembre, et des centaines de milliers dans les mois suivants, prédisait-il [5]. Personnellement, je suis de plus en plus inquiet. Bien à vous, Jean-Marc Dupuis PS : La lettre sur Ebola et le chlorure de magnésium écrite par notre chroniqueur Pierre Lance d'alternatif Bien-Être (et que je vous ai transmise jeudi dernier) a fait bondir au plafond l'expert en nutrition Thierry Souccar, qui constitue chaque mois pour nous un précieux «Dossier de Santé & Nutrition». Thierry Souccar n'a pas perdu de temps pour lui répondre vigoureusement (voir lien ci-dessous). Le nœud du problème est l'absence d'études médicales fiables et de grande ampleur sur le chlorure de magnésium, comme le notent Thierry Souccar et Pierre Lance. Mais vous? Avez-vous déjà pris du chlorure de magnésium pour soigner une infection virale? Si oui, dites le moi! Et surtout, cela a-t-il été efficace? Vous pouvez répondre directement à ce message. C'est aussi pour ce partage d'expériences que Santé Nature
9 Innovation existe! Bien à vous, Jean-Marc Dupuis Lien vers la réponse de Thierry Souccar. 11 octobre 2014 : Ebola: trois vaccins russes prêts d'ici à six mois La Russie pourra fournir trois vaccins contre le virus Ebola d'ici à six mois, a assuré samedi la ministre russe de la Santé, Veronika Skvortsova, alors que l'épidémie a déjà fait plus de morts selon l'organisation mondiale de la santé. "Nous avons créé trois vaccins (...) et nous pensons qu'ils seront prêts dans les six prochains mois", a indiqué la ministre russe à la télévision selon l'agence de presse Ria Novosti. "L'un est déjà prêt pour un essai clinique", a-t-elle ajouté, précisant que l'un des vaccins avait été créé à partir d'une souche inactive du virus. L'épidémie de fièvre hémorragique Ebola partie de Guinée fin décembre 2013 avait fait morts au 8 octobre, selon le dernier bilan de l'organisation mondiale de la santé (OMS). Au total, personnes ont été infectées dans sept pays. Alors que la panoplie des médicaments antiviraux expérimentaux s'étoffe, l'oms a fait état de deux vaccins "prometteurs": l'un développé par la firme britannique GSK (GlaxoSmithKline) et l'autre développé par l'agence de santé publique du Canada à Winnipeg, dont la licence de commercialisation est détenue par la société américaine NewLink Genetics. Des essais cliniques du vaccin de la firme GSK ont récemment débuté au Mali, pays africain limitrophe de la Guinée. L'OMS espère de premiers résultats des essais sur ces deux vaccins en novembre-décembre et le début d'essais
10 de phase 2 (permettant d'évaluer l'efficacité du vaccin) dans les pays touchés dès janvier-février. Le virus Ebola se manifeste notamment par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Son taux de mortalité peut aller de 25 à 90% et il n'existe pas de vaccin homologué. Il se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d'animaux infectés. La Russie, qui n'a fait état d'aucun cas d'infection sur son territoire, a envoyé fin août une équipe de virologues et un laboratoire mobile pour aider à lutter contre l'épidémie en Guinée. Source : msn santé & forme
BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA
BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détailOSIRIS GRIPPE A H1N1
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations
Plus en détailKit de dépistage et de déclaration du virus Ebola (CARE)
C A R E Kit de dépistage et de déclaration du virus Ebola (CARE) Si vous tombez malade, faites-vous soigner dès que possible pour avoir les meilleures chances de guérison! Cher voyageur, Que vous rentriez
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailLes vaccins et les médicaments contre le virus Ebola Foire aux questions (FAQs)
Les vaccins et les médicaments contre le virus Ebola Foire aux questions (FAQs) Voici quelques questions fréquemment posées (FAQs) sur les vaccins et les médicaments contre le virus Ebola, et qui couvrent
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailPlan de veille et de préparation à la riposte contre la Maladie à Virus Ebola
ا ـ ا Royaume du Maroc وزارة ا Ministère de la Santé Plan de veille et de préparation à la riposte contre la Maladie à Virus Ebola Version 2, Octobre 2014 SOMMAIRE Introduction I. Connaissances actuelles
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détaill hépatite b Une maladie qui peut être grave.
l hépatite b Une maladie qui peut être grave. Sommaire Qu est-ce que l hépatite B? L hépatite B est-elle fréquente? Comment attrape-t-on l hépatite B? Comment savoir si l on est atteint d une hépatite
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailPLAN DE COMMUNICATION POUR LA PREVENTION CONTRE L EPIDEMIE DE LA FIEVRE EBOLA
------- MINISTERE DE LA SANTE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA- REPUBLIQUE DE COTE D IVOIRE Union Discipline Travail ------------ PLAN DE COMMUNICATION POUR LA PREVENTION CONTRE L EPIDEMIE DE LA FIEVRE EBOLA
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailVivre avec le VIH. Point de départ
Vivre avec le VIH Point de départ Vous venez d apprendre que vous avez le VIH et vous cherchez des repères? Nous pouvons vous aider. Voici quelques questions auxquelles vous trouverez réponse dans ce livret
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailCe manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire.
Ce manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire. Nous savons que les informations médicales sont entourés, dans la plupart des cas,
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailCOLLABORATEURS CLINIQUES
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailLa lutte contre le paludisme
FICHES DE DIALOGUE Fiche n 1 La lutte contre le paludisme Montrez le premier dessin Question : Que voyez-vous sur cette image? Réponse : Un enfant qui a l air très malade. Il grelotte et transpire. Des
Plus en détailInformations préliminaires sur le poste. Informations générales sur la mission
: PROFIL DE POSTE Informations préliminaires sur le poste Intitulé du poste ADMINISTRATEUR BASE Pays & base d affectation GUINEE, COYAH Rattachement hiérarchique COORDINATEUR COYAH Création / Remplacement
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 1, 21 Table des matières Table des matières... 2 Note technique... 3 Résumé... 4 1. Guinée... 6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 18
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détail4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée, 2 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4. Coyah... 23
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 13, 215 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4.
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 12, 215 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4.
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailMaladies transmises sexuellement (MTS)
Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailHépatite. ses causes ses conséquences sa prévention
Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détailQu'est-ce qu'un virus?
Page Page 2 Qu'est-ce qu'un virus? Un virus est un programme qui a plusieurs objectifs distincts : -le principe même d un virus est de s'étendre de machine en machine (le code est dit auto-reproductible).
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailQ & R: De nouvelles règles concernant les déplacements des animaux de compagnie et leur passeport
Questions et réponses De nouvelles règles pour voyager avec votre animal à l intérieur ou en dehors de l Union et de nouveaux passeports pour les animaux de compagnie Introduction Depuis le 29 décembre
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailGUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès
GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSubordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but
DE MATÉRIEL CONSÉQUENCE POUR ET DE BUTALLOPHONES 1 Notion de phrase Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but 1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE La subordonnée circonstancielle
Plus en détailTableau des garanties Contrats collectifs
Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailTITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE. Chapitre II. Lutte contre le dopage. Section 3. Agissements interdits et contrôles
TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE Chapitre II Lutte contre le dopage Section 3 Agissements interdits et contrôles Sous-section 1 Organisation des contrôles Paragraphe 2 Examens et
Plus en détail