3 ème journée nationale de prévention du cancer colorectal par coloscopie. 29 mars 2011

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1 3 ème journée nationale de prévention du cancer colorectal par coloscopie 29 mars 2011 Sous le Haut patronage de Jean-Pierre Raffarin Dossier de Presse Contact presse Sophie Baumont MEDIAL

2 Communiqué de presse Une Journée pour sauver des vies : le 29 mars ème journée nationale de prévention du cancer colorectal par coloscopie organisée par les hépato-gastroentérologues dans les cabinets médicaux, cliniques et hôpitaux Sous le haut patronage de Jean-Pierre Raffarin, sénateur et ancien ministre Avec décès et nouveaux cas par an, le cancer colorectal figure au 3 ème rang des cancers les plus fréquents, alors que dans 9 cas sur 10, ce cancer peut être guéri s il est dépisté tôt. En quoi consiste la 3 ème journée nationale? Les hépato-gastroentérologues libéraux et hospitaliers participant à l opération proposent, sur rendez-vous, le 29 mars, des consultations gratuites et organisent des réunions d information. Un questionnaire permettant d évaluer le «niveau de risque» sera remis aux patients. L objectif de cette journée est de sensibiliser le public à la prévention du cancer colorectal par coloscopie, et tout particulièrement les personnes à risque élevé, pour lesquelles le dépistage par Hemoccult n est pas indiqué. Ces personnes représentent 15 à 20% des nouveaux cas. Il est donc indispensable de les informer et de les inciter lorsqu elles correspondent aux populations à risque, à réaliser une coloscopie. La liste des cabinets médicaux, cliniques et hôpitaux participant à l opération est disponible sur En se connectant au site, les personnes intéressées trouveront le praticien le plus proche et prendront rendez-vous avec lui quelques jours avant le 29 mars. L enjeu majeur de cette journée : déterminer son propre niveau de risque Le niveau de risque s évalue en fonction de plusieurs critères : Un parent proche au 1 er degré a-t-il eu un cancer du côlon? Etes-vous suivi pour un polype trouvé par coloscopie? Souffrez-vous de douleurs abdominales inhabituelles récentes, prolongées et inexpliquées? Autant de questions pour alerter et inciter à consulter. Pour un meilleur impact de la journée, plusieurs outils ont été mis en place : - Des affiches : les médecins généralistes, les hépato- gastroentérologues dans les cabinets médicaux, les cliniques et hôpitaux engagés dans l opération les apposeront dans leurs salles d attente,

3 - Un questionnaire : il permet en 10 questions d évaluer le niveau de risque de chacun et de définir le groupe auquel il appartient (risque, moyen, élevé ou très élevé), - Un film : très pédagogique et sans tabou, il informe sur le déroulement d une coloscopie et dédramatise l angoisse que peut générer cet examen. (visible sur le site de la Qui organise cette journée? Initiée par le CREGG, cette journée est réalisée en partenariat avec l ADPF (Association des polypectomisés de France), l ANGH (Association des hépato-gastro-entérologues des hôpitaux généraux), la FFCD (Fédération Francophone de Cancérologie Digestive), la SFED (Société Française d Endoscopie Digestive), la SNFCP (Société Nationale Française de Colo- Proctologie), la SNFGE (Société Nationale Française de Gastroentérologie) et l INCa (Institut National du Cancer). A propos du CREGG Créé en 1981, le CREGG, est une association régie par la Loi de 1901 dont les différentes missions sont entre autres : Le conseil aux membres sociétaires et la diffusion de l'information par toutes voies adaptées L'organisation de colloques et congrès scientifiques, la participation à des réunions ou congrès et la diffusion par tous moyens d'informations scientifiques à destination des membres, de médecins tiers ou de tout organisme rattaché à la médecine ou à la santé. L'étude et l'analyse de tous les problèmes de création, de gestion, de fonctionnement des cabinets de groupe ou des cabinets individuels d'hépato gastroentérologie, La recherche des moyens techniques et matériels les plus adaptés à l'exercice de la profession, L'activité de recherche et la publication des travaux de l'association ou de ses membres. Mars Bleu : un mois dédié au cancer du colon Le mois de Mars est devenu un temps fort de la mobilisation nationale, au même titre qu'octobre Rose pour le cancer du sein. L INCa organise ainsi Mars Bleu et mène un important programme d'information visant à contribuer à l'augmentation du taux de participation de la population à ce dépistage organisé du cancer colorectal. C est dans ce cadre qu est organisée la 3 ème journée Nationale de prévention du cancer colorectal par coloscopie. Contact presse Sophie BAUMONT - MEDIAL Sophie.baumont@medial-rp.com Tel :

4 Les cancers du tube digestif Environ cancers de l appareil digestif sont chaque année diagnostiqués par endoscopie digestive dont : cancers du côlon et du rectum selon les registres ( s/ SFED en 2008*), cancers de l œsophage, cancers de l estomac cancers biliopancréatiques. Le pronostic de survie de ces cancers est mauvais : Ils sont responsables d environ morts par an, en particulier pour le cancer du tube digestif supérieur où le pronostic est catastrophique : 5% de survie à 5 ans pour les cancers de l œsophage, soit 1 patient sur 20 encore en vie à l issue de ces 5 ans 17% de survie à 5 ans pour les cancers de l estomac soit 1 patient sur 6. Et pour ceux du côlon : 50% de survie à 5 ans (1 patient sur 2!) et décès par an. Le cancer du côlon. Il figure parmi les cancers les plus fréquents et provoque chaque année morts. Il continue à augmenter malgré le nombre de polypes enlevés chaque année ce qui signifie que sa fréquence aurait augmenté de manière vertigineuse si ces polypes n avaient pas été retirés. Son incidence annuelle est passée de nouveaux cas en 1980 à nouveaux cas (53% survenant chez les hommes) en D après les estimations, le nombre de cancers colorectaux devrait augmenter dans les prochaines années pour atteindre nouveaux cas annuels en La France fait partie des pays dans lequel le taux de cancer colorectal est élevé. * chiffres «2 jours d endoscopie en France -SFED»

5 Le rôle pivot de la prévention et du dépistage dans l amélioration du pronostic Dans 9 cas sur 10 le cancer colorectal peut être guéri tôt. On observe une augmentation sensible du taux de dépistage déclaré du cancer du côlon par rapport à l année 2005*. En 2008, 38% des ans déclarent avoir effectué un test de dépistage par Hémoccult (recherche de sang non visible à l œil nu dans les selles)ils n étaient que 25% en C est encourageant, mais insuffisant. Pour les personnes interrogées n ayant jamais réalisé de test de dépistage, deux freins au dépistage. 36% d entre elles ne se sentaient pas concernées 18% ont invoqué le manque d incitation de leur médecin. Il est donc indispensable pour diminuer la mortalité de faciliter son diagnostic précoce en développant le dépistage et la prévention par coloscopie dans la population. Le programme national de dépistage en France Le dépistage organisé du cancer du côlon, mis en place par les pouvoirs publics à été généralisé en 2009 sur l ensemble du territoire, il est actuellement proposé aux hommes et femmes âgés de 50 à 74 ans soit environ16 millions de personnes concernées. Il s agit d un dépistage de masse qui, rappelons-le, concerne uniquement les patients n ayant aucun symptôme, ni aucun antécédents personnels ou familiaux de cancer colorectal ou d adénome colorectal. Aujourd hui, il concerne la population dite à risque moyen, n ayant aucun symptôme d appel, 80% des cancers du côlon sont détectés grâce au test Hémocult dans cette population. Cette méthode de dépistage actuellement recommandée consiste à rechercher tous les deux ans, la présence de sang dans les selles. Lorsque le test a été effectué, s il est négatif (pas de présence de sang), la personne est invitée à renouveler le test deux ans plus tard. Elle est également sensibilisée aux signes d alerte qui doivent la conduire à consulter son médecin référent ou son généraliste au cœur du dispositif de dépistage. Si le test est positif, le médecin traitant prescrit une coloscopie pour confirmer ou infirmer la suspicion de lésion cancéreuse Il existe aujourd hui d autres techniques telles que les tests sanguins, plus fiable que le test Hémocult qui permet de détecter un cancer sur deux. *(Étude Edifice 2008 sur le taux de dépistage déclaré du cancer du colon par rapport à 2005)

6 La prévention par la coloscopie Sensibiliser les personnes les plus à risque Le CREGG (Club de Réflexion des cabinets et groupes d Hépato-gastroentérologie), avec ses partenaires, s investit depuis plusieurs années dans la prévention et apporte sa pierre à cet édifice en organisant avec ses différents partenaires l ADPF (Association des polypectomisés de France), l ANGH (Association des hépato-gastro-entérologues des hôpitaux généraux), la FFCD (Fédération Francophone de Cancérologie Digestive), la SFED (Société Française d Endoscopie Digestive), la SNFCP (Société Nationale Française de Colo-Proctologie), la SNFGE (Société Nationale Française de Gastroentérologie) et l INCa (Institut National du Cancer) la 3 ème journée nationale de prévention du cancer colorectal le 29 Mars. L objectif est d inciter le public à mesurer son niveau de risque et de sensibiliser les personnes à risque élevé à la prévention du cancer colorectal par coloscopie pour lesquels le dépistage Hémocult n est pas suffisant. L endoscopie, incontournable outil du diagnostic et du traitement Tous les cancers digestifs sont précédés de lésions précancéreuses qui peuvent être traitées dans la quasi-totalité des cas par endoscopie. Mais toutes les lésions pré-cancéreuses ou cancéreuses de bon pronostic ne donnent aucun symptôme d appel et, surtout, elles ne peuvent être détectées que lors d une endoscopie. Ces lésions sont trop rarement diagnostiquées en France. Le diagnostic des lésions pré-cancéreuses ou des cancers débutants modifie le pronostic de la maladie

7 Comment diviser par deux la mortalité des cancers colorectaux? * coloscopies ont été réalisées en France en La coloscopie reste le moyen le plus fiable pour diagnostiquer un polype ou un cancer. Elle n est proposée qu aux personnes à risque élevé ou très élevé, en présence de symptômes ou à l issue d un test de recherche de sang dans les selles positif. Selon les experts, pour abaisser la mortalité par deux il faudrait augmenter le nombre de coloscopies de 30%. Il existe également d autres techniques comme la coloscopie virtuelle et la capsule vidéo endoscopique. La capsule endoscopique s apparente à un endoscope miniature qui tient dans une gélule avalée par le patient. La capsule endoscopique progresse librement dans le tractus digestif et ne connaît pas les limitations d un endoscope traditionnel qui ne peut explorer qu une partie de l intestin grêle. Le temps de transit gastrique de la capsule est très variable selon les patients, allant parfois jusqu à une heure avant que le pylore ne soit franchi. La valvule iléocaecale est atteinte en 4 à 5 heures. L élimination de la capsule se fait dans les selles, dans les heures en fonction du transit du malade. Les études sur le colon effectués par la Société Française d Endoscopie Digestive ont montré que la coloscopie restait la référence. La coloscopie virtuelle Contrairement à la coloscopie traditionnelle, ne nécessite pas d anesthésie mais elle ne permet pas non plus de détecter tous les polypes plans. La coloscopie virtuelle est indiquée en cas d échec de la coloscopie totale ou lorsqu il y a contre indication. (Recommandations de la Haute Autorité de Santé) à associer sortir le texte. Les polypes du colon sont le plus souvent asymptomatiques et ne peuvent être détectés à ce jour et à grande échelle que par coloscopie. Ils sont inaccessibles pour le traitement à toute autre technique d imagerie. Malgré les développements récents des scanners multi-barrettes et des IRM permettant de réaliser des coloscopies virtuelles, à ce jour, aucun travail n a permis de valider leur diffusion (sensibilité de 65%), et de nombreuses études de faisabilité et de reproductibilité à grande échelle sont nécessaires avant d envisager leur utilisation en routine : ces études doivent inclure des études coût/efficacité, car contrairement à la coloscopie réelle, ces méthodes radiologiques ne permettent pas de retirer les polypes détectés si bien que se rajoute le surcoût de la coloscopie réelle réalisée pour l ablation de ces polypes. De plus, compte tenu de la fréquence des polypes plans indétectables par coloscopie virtuelle, ces techniques radiologiques sont inadaptées pour la prise en charge des patients à très haut risque. Chez les patients à haut risque, compte tenu de la fréquence des polypes (25 à 30%) retrouvés, elles sont également inadaptées. * Résultats 2008 de l enquête de deux jours d endoscopie en France * Recommandations HAS -janvier 2010

8 Le Cregg Le CREGG, Association loi 1981 à été crée par 18 gastroentérologues, le représentant au départ une dizaine de cabinets de groupe. Il s agissait d une réunion complètement informelle, et le souhait avait été exprimé de pouvoir continuer à se réunir périodiquement et amicalement sans structure. Un bureau a donc été constitué avec un Président, un Secrétaire Général, un Trésorier, et des Statuts qui comportaient notamment un renouvellement du bureau tous les 2 ans avec l impossibilité pour le président d être candidat 2 fois consécutivement La nécessité de remplir les objectifs de travail a conduit à faire des commissions et ainsi à constituer un bureau avec des conseillers répartis dans différentes régions. Le Bureau : Président : Franck Devulder (REIMS) Secrétaire Général : Jean-Christophe LETARD (POITIERS) Secrétaire Général : Patrick FAURE (TOULOUSE) Trésorier : Marie-Pierre PINGANNAUD (MARSEILLE Le Conseil d Administration Christian BOUSTIERE (Aubagne) Jean-Marc CANARD (Paris) Denis CONSTANTINI (Corbeil) Pierre COULOM (Toulouse) Patrick DELASALLE (Grasse) Beatrice DUPIN NIZARD (Marseille) Patrick LEVY (Strasbourg) Bruno RICHARD MOLARD (Bordeaux) Thierry Philippe HOUCKE (Lille) Thierry HELBERT (Marseille) Jean-Luc FRIGUET (Rennes) Anne Laure TARRERIAS (Paris) Jean LAPUELLE (Toulouse ) Anne CALAZEL BENQUE (Toulouse) Pour toute information, n hésitez pas à consulter les sites de la Sfed et du Cregg - espace patients

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