Bulletin. financier. Mot de la rédaction HIVER 2012
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- Marie-Rose Beaudet
- il y a 8 ans
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1 Bulletin HIVER 2012 financier Mot de la rédaction Après une année à partager le fruit de votre labeur entre vous et les diffé - rents paliers d impôts et de taxes, vous croyez avoir assez donné et vous voyez venir la fin de l année avec soulagement. Attention! Le fisc pourrait encore trouver matière à se servir si vous négligez certains préparatifs de fin d année. Notre chronique sur la planification fiscale de fin d année fourmille de précieux renseignements pouvant vous éviter de nouveaux déboursés. Pendant que vous ferez votre planification de fin d année, profitez-en pour mettre en place, dès maintenant, vos stratégies de placements pour L article de notre rubrique Placements «L épargne : Pas sexy, mais toujours nécessaire» démontre que l épargne, bien qu elle ne soit pas à la mode, constitue plus que jamais une nécessité. Lorsque vient le temps de planifier pour l avenir, il est important de s associer avec des gens de confiance. En tant que conseiller, je ne suis pas qu un spé - cialiste en produits financiers, je suis également un allié sur lequel vous pouvez compter au moment de prendre les bonnes décisions financières. Je ne saurais terminer cette année sans vous remercier chaleureusement de la confiance que vous me témoignez et souhaite que ce lien de confiance se perpétue. Bonne lecture,
2 Planification fiscale de fin d année Comment se préparer fiscalement pour la fin de l année Une bonne planification fiscale devrait débuter dans les premiers jours de l année courante. Toutefois, certaines actions pour - raient être entreprises avant la fin de l année afin de réduire votre fardeau fiscal. L arrivée au pouvoir du Parti Québécois en septembre dernier a donné des frissons à plusieurs, principalement aux contribuables ayant des revenus élevés (tranche de reve - nus de $ à $ et de plus de $), ceux réalisant du gain en capital ou recevant des dividendes. Cependant, le 10 octobre 2012, le ministre des Finances du Québec, M. Nicolas Marceau, a renoncé à certaines mesures. Voici les principaux chan gements proposés. Révision de la «taxe santé» Le gouvernement revient sur son enga ge - ment d abolir la «taxe santé». Aucun chan - gement n est apporté pour l année 2012 de sorte que les Québécois devront acquit ter, pour cette année, le montant de 200 $ prévu pour l actuelle contribution santé. À compter de 2013, cette taxe deviendra progressive. Les Québécois seront donc appe lés à y contribuer en fonction de leurs revenus. En vertu de cette nouvelle mesure, les contribuables dont le revenu est infé - rieur à $ verront leur contribution réduite alors que ceux dont le revenu excède $ devront assumer la contri - bution maximale d un montant de $. Hausse d impôt des particuliers Le taux marginal maximal d impôt du Québec s élève actuellement à 24 %. Ce taux s applique aux revenus imposables excédant $ Montant indexé annuellement. À compter de 2013, un nouveau palier d im - position sera ajouté. Ainsi, la portion du revenu excédant $ sera assujettie à un impôt provincial calculé au taux de 25,75 %. Effet sur les taux marginaux d imposition Les taux marginaux maximums d imposition combinés en vigueur au Québec pour l an - née 2012 sont les suivants : Taux marginaux combinés pour 2012 Revenus divers À compter du 1 er janvier 2013, les taux mar - ginaux maximums combinés seront haussés comme suit : Taux marginaux combinés pour 2013 Revenus divers Gains en capital Gains en capital Dividendes ordinaires Dividendes ordinaires Dividendes déterminés 48,22 % 24,11 % 36,35 % 32,81 % Dividendes déterminés 49,97 % 24,98 % 38,54 % 35,22 % Dans ce contexte d augmentation des taux d imposition à compter du 1 er janvier 2013, vous devriez évaluer la possibilité d aug - menter vos revenus en 2012 plutôt que d attendre à En fonction des montants en jeu, l économie pourrait être significative. Voici maintenant quelques idées simples qui vous permettront de réduire vos impôts à payer en REER Vous devriez songer à cotiser en début d année plutôt qu à la fin de l année, car vos revenus de placements s accumuleront à l abri de l impôt. Si vous cotisez au REER de votre conjoint et prévoyez que votre conjoint le retirera à court terme, il est préférable de cotiser à la fin de l année plutôt qu au début de l année suivante, ce qui permettra un retrait devancé de un an. La contribution maximale pour 2012 est de $ ou de 18 % de votre revenu gagné de l année précédente. La contri - bution de 2013 sera indexée en fonction de l augmentation du salaire moyen. Les fonds fiscalisés (Fonds de solidarité FTQ, FondAction et Capital régional et coopératif Desjardins) offrent des avan - tages fiscaux supplémentaires à ceux du REER. Placements Planifiez la réalisation de vos gains et pertes en capital en devançant ou retar - dant la date de cession de vos placements. Retardez l acquisition de placements à long terme et de parts de fonds communs de placement à 2013 afin de retarder l im - position des revenus qui seront géné rés par ces placements. Pensez à utiliser le compte d épargne libre d impôt (CELI). Au 31 décembre 2012, vous pourriez avoir investi $ (5 000 $/an) dont les revenus ne sont pas imposables. Contribuez à un régime enregistré d épargne-études (REEE) pour vos enfants et petits-enfants. Même si les cotisations ne sont pas déductibles, les revenus de placements s accumuleront à l abri de l impôt. De plus, vous pourrez bénéficier des deux programmes de subvention du fédéral et du Québec d un maximum de 750 $ pour une cotisation de $. Fractionnement du revenu en 2012 Vous pouvez fractionner vos revenus de pension avec votre conjoint jusqu à la moitié de vos revenus donnant droit au crédit Plus que votre hypothèque, c est l avenir de votre famille que nous protégeons! Solution de rechange de choix à l assurance hypothécaire, l assurance temporaire de la Transamerica est un régime qui vous procure, à un coût réduit, plus de protection, plus de souplesse et plus de valeur. La souscription d une assurance vie est une décision fort importante. Demandez à votre conseiller de vous expliquer comment l assurance temporaire de la Transamerica protège l avenir de votre famille. MD Transamerica et le symbole de la pyramide sont des marques déposées de la Corporation Transamerica. La Transamerica Vie Canada est autorisée à utiliser ces marques. 2 Bulletin financier / Hiver 2012
3 Planification fiscale de fin d année d impôt pour pension. Il s agit d un choix annuel requérant le consentement des deux conjoints. Il est possible d attribuer des montants différents entre le Québec et le fédéral. Autant que possible, évitez la «récupération» de la pension de sécurité de la vieillesse Le gouvernement impose une taxe spéciale la «récupération» sur vos prestations de pension de sécurité de la vieillesse si votre revenu net pour l année dépasse un certain seuil. Pour 2012, le seuil s établit à $. Le montant total sera éliminé lorsque votre revenu net atteint $. Si vous avez la possibilité de gérer le montant de revenu que vous recevez dans l année, gardez ce montant à l esprit. Fractionnement du revenu après 2012 En raison du taux prescrit actuel de 1 %, le moment est propice pour mettre en place une stratégie de fractionnement de revenus. Une telle planification est simple, efficace et peu coûteuse, dans la mesure où certaines conditions sont respectées. Votre conseiller fiscal peut vous aider à mettre en place cette stratégie de planification. Payez vos comptes en 2012 et exigez vos reçus Avant la fin de l année, vous devriez effec - tuer certains paiements et conserver vos reçus de façon à pouvoir réclamer la totalité des crédits et des déductions auxquels vous avez droit pour Plus particulièrement, pensez aux éléments suivants : les frais médicaux pour vous, votre con - joint et vos enfants mineurs, ainsi que les montants versés par vous ou votre con - joint pour une autre personne à charge (demandez à votre pharmacien, à votre dentiste et à votre spécialiste de vous remettre les reçus pour l année) ; les frais pour le conditionnement physi - que de vos enfants de moins de 16 ans (moins de 18 ans pour un enfant han di - capé) ; les frais pour les activités artistiques, culturelles ou récréatives de vos enfants de moins de 16 ans (moins de 18 ans pour un enfant handicapé) ; les dépenses engagées par vous, votre époux ou vos enfants à charge de moins de 19 ans pour les laissez-passer de trans - port en commun ; les frais de placement (frais de location d un coffret de sûreté, intérêts et frais de courtage) ; les frais de déménagement ; les frais de scolarité et les intérêts sur prêt étudiant ; les dons de bienfaisance. Faites des dons à un organisme de bienfaisance et maximisez les allégements fiscaux De façon générale, les dons de bienfaisance en sus de 200 $ entraînent une économie d impôt au taux d imposition marginal le plus élevé. Les dons n ont pas à être faits en argent. Si un bien est donné à un organisme de bienfaisance enregistré, le montant qui est réclamé à titre de don doit aussi être déclaré comme produit de cession du bien ce qui peut entraîner un gain en capital. Néanmoins, il n y a pas d impôt sur le gain en capital pour les titres cotés en bourse (comme les actions, obligations et parts de fonds commun de placement cotées sur certaines bourses de valeurs) qui sont donnés à un organisme de bienfaisance enregistré. Si vous avez des objectifs sur le plan caritatif, il s agit d une occasion de planification importante. Des règles semblables existent si vous exer - cez une option d achat d actions afin de faire don de l action à un organisme de bienfaisance enregistré. Rappelez-vous que pour profiter de ces règles, vous devez donner les actions directement plutôt que de les vendre pour ensuite remettre l argent tiré de la vente à l organisme de votre choix. N hésitez pas à communiquer avec votre conseiller pour discuter de l un ou l autre des sujets susmentionnés. Pierre Bernard, FCPA, FCA Associé Votre assurance vie suffit-elle? Protégezvous bien! Consultez sans tarder votre conseiller Excel pour en apprendre davantage. MC/ Marques de commerce et marques déposées de la Banque Royale du Canada. Utilisation sous licence. MC L assurance Synergie de Manuvie : Vie. Maladies graves. Invalidité. Pour en savoir plus, visitez le site ou communiquez avec votre conseiller. Bulletin financier / Hiver
4 Hypothèques L'écureuil hypothécaire! Il y a eu plusieurs changements dans les der - niers mois. Le ministre Flaherty a transféré la Société canadienne d hypothèques et de loge - ment (SCHL) sous l égide du Bureau du surin - tendant des institutions financières (BSIF). Le gouvernement a annoncé la semaine der nière qu il regarde aussi la possibilité de privatiser la SCHL. Quelques règles ont été modifiées suite à ce changement : Amortissement maximum à 25 ans pour les prêts assurés Élimination des cadeaux de remise de fonds de 5 % offerts par les banques Diminution de la marge de crédit hypo thé - caire de 80 % à 65 % de la valeur marchande de l immeuble En effet, depuis deux mois, les médias et les agences immobilières véhiculent que ces nou - velles règles ont un impact sur les ventes immo - bilières. On remarque une baisse de 8 % à 34 % des transactions immobilières dans différentes régions du Canada. Nous avions indiqué dans un bulletin antérieur que la baisse de l immobilier au Canada ne proviendrait pas d une hausse de taux. D ail - leurs les autorités ne prévoient pas de hausse des taux avant La baisse de l immobilier viendra par la rareté du financement et de la difficulté pour les clients à se qualifier. De plus le BSIF a aussi demandé aux institutions financières de clarifier leur processus d appro - bation hypothécaire. Les banques ont aussi subi des inspections en matière de docu men - tation requise pour les prêts hypothécaires. Dans un cas de refinancement ou d un renou - vellement, les institutions financières deman - daient moins ou, dans certains cas, aucun document pour leurs clients alors qu elles demandaient une documentation complète pour les nouveaux clients. Le gouvernement veut que les institutions utilisent une approche prudente en matière de financement afin d essayer de protéger le mar ché en cas de baisse de l immobilier. La SCHL et les banques commencent à exiger des évaluations scientifiques au lieu d utiliser des systèmes électroniques de comparables comme le système interne de la SCHL appelé EMILI. C est maintenant beaucoup plus difficile de qualifier les clients et il n est plus possible de refinancer sa propriété à plus de 80 % de la valeur marchande. Baisse de prix En fait, l achat d une maison n est pas un investissement. C est un endroit pour loger sa famille, un endroit en fonction de son style de vie. Il n y a jamais un bon ou un mauvais moment pour acheter une maison. Ça dépend de ses besoins. Autrement dit, ce n est pas très grave si la valeur marchande de la maison baisse de 10 % à 15 % au cours des prochaines années, car la majorité des clients garderont cette propriété à long terme et peuvent s at - tendre à très long terme à une croissance de la valeur au coût l inflation. L inflation est moins de 2 % par année. Immeuble de 5 logements et plus Il y a cependant une catégorie de gens qui croit que l immobilier est un placement. C est vrai et je suis d accord pour un immeuble de plus de 5 logements. Le financement de ces immeubles est en fonction des revenus nets générés par l immeuble sans égard aux revenus de l ache - teur. C est pourquoi on retrouve souvent des 6 logements beaucoup moins chers qu un quadruplex. C est la rentabilité des loyers qui détermine le financement maximal. Par consé - quent il y a donc beaucoup moins de spé cu - lation dans ce type de marché, car le vendeur sait que ça sera difficile pour l acheteur de financer l immeuble. Immeuble de moins de 4 logements (incluant maison unifamiliale) C est par contre une tout autre histoire pour les immeubles de moins de 4 logements. Pour calculer les ratios d endettement, les prêteurs ajoutent 50 % des revenus de location aux revenus bruts des acheteurs pour les plex. Comme les taux d intérêt ont beaucoup dimi - nué au cours des années, l effet de levier est très grand. Par exemple, un couple avec des revenus bruts $ peut s acheter une mai - son de $ avec une mise de fonds entre 5 % et 10 %. Je crois que c est cette catégorie d immeuble et les condos (surplus de construction) qui subi - ront la plus grande baisse au cours des prochaines années. Plusieurs ont acheté des immeubles non pas basés sur les critères utilisés par les investisseurs (comme les 5 logements et plus) mais sur les règles de financement rési - dentiel. Il y a malheureusement beaucoup trop de gens qui ont acquis des immeubles en pensant que leur valeur marchande conti nue - rait d augmenter. Qu arrivera-t-il si les prix baissent de 10 % à 15 % ou si les prix restent stables sur 10 ans? Si l immeuble est très rentable il n y a pas de problème, mais on a vu plusieurs acheteurs payer l immeuble 15 fois les revenus avec une rentabilité prévue sur la valeur de revente. Recommandation : Les clients qui gèrent bien leurs dettes seront en très bonne position. Ça veut dire d avoir une seule carte de crédit et la payer chaque mois, réduire ses achats et rouler dans une voiture à la hauteur de ses revenus. Ça veut dire aussi accélérer ses paiements hypothé - caires et réduire la période d amortissement. Avec la baisse anticipée des valeurs des mai sons, nous croyons que les écureuils hypothécaires seront en bonne position. C est cette catégorie de clients qui tout comme les écureuils utilisent les belles journées pour faire des réserves en prévision des temps difficiles. On dit qu il faut toujours 3 mois de salaires dans un compte bancaire pour les imprévus. Les écureuils hypothécaires n auront pas d ennui avec une baisse potentielle de la valeur mar - chande des propriétés. Nous sommes chanceux que le marché soit très favorable avec des taux hypothécaires fixes 5 ans se situant 2,99 % et 3,19 % en date du 1 er novembre Il n y pas de raison de paniquer s il y a une baisse des valeurs immobilières sauf que pour plusieurs clients, la valeur de leur hypothèque risque d être plus élevée que la valeur de leur maison sur papier. Tant que les clients paient bien il n y a pas de problème, mais entre vous en moi, c est quand même décourageant et ceci aura un impact sur les dépenses de con - sommation et par conséquent sur l économie canadienne. Il y a des gens qui ont une plus belle maison que notre écureuil et qui font la fête. L écureuil sera cependant au chaud et aura des réserves de nourriture pour affronter un hiver rigoureux. Source : Gilles Bouillon, MBA Courtier hypothécaire agréé Protection maladies graves sans examen médical Jusqu à $ de protection maladies graves comprenant* : 6 maladies ou chirurgies couvertes Remboursement des primes au décès Remboursement des primes au rachat (optionnel) Service Best Doctors MD Communiquez dès maintenant avec votre conseiller en sécurité financière pour connaître les caractéristiques uniques et concurrentielles de ce produit. * Si vous répondez à quelques questions d admissibilité 4 Bulletin financier / Hiver 2012
5 Assurance collective Pourquoi devrais-je me soucier du coût de mes médicaments? Je suis remboursé par mon régime d assurance. CHOISISSEZ LA BONNE PLACE pour répondre à vos besoins Oui, le coût des ordonnances est couvert par votre régime d assurance, mais les primes qui vous sont facturées par l assureur sont établies en fonction de l utilisation qui a été faite par l ensemble des assurés dans votre groupe. Il devient donc très important pour vous de réduire le coût des médicaments sur ordonnance afin de limiter les hausses constantes pour ce bénéfice. Vous appréciez sans doute la valeur de votre programme d assurance médicaments et votre employeur aussi. Vu l augmentation constante du coût des médicaments, votre employeur assume la tâche difficile de vous offrir une couverture complète, mais à prix abordable. Voici quelques conseils qui vous aideront à réduire le coût des médicaments sur ordon - nance. Ces derniers représentent environ 75 % des frais médicaux réglés par votre régime. Il est possible de réduire les frais engagés pour des médicaments sur ordonnance et donc d influencer favorablement le coût de votre régime sans avoir à faire de compromis sur le plan de la qualité des soins et des services reçus. Lorsque vous achetez des médicaments d or - donnance, comportez-vous en consom ma - teur averti comme vous le faites pour tout autre produit. Vous pouvez ainsi économiser tout en facilitant la gestion du coût de votre régime. De nombreux médicaments d origine ont un équivalent générique. Ces derniers con tien - nent les mêmes ingrédients actifs que les médicaments d origine et coûtent généra - lement beaucoup moins cher. Renseignezvous sur les équivalents génériques auprès de votre médecin ou de votre pharmacien. Parlez à vos professionnels de la santé. Les frais d exécution d ordonnance et le coût du médicament (y compris la marge com mer ciale du pharmacien) varient d une pharmacie à l autre. Les fabricants de médi - caments canadiens se voient imposer des plafonds limitant le prix auquel ils peuvent vendre leurs produits, contrairement au pharmacien. Puisque les pharmaciens sont libres de déterminer les frais d exécution d ordonnance qu ils exigent et la marge qu ils appliquent sur le coût des ingrédients, les prix peuvent varier sensiblement d une pharmacie à une autre. Faites le tour des pharmacies pour déterminer celle qui vous offre la meilleure valeur pour le prix demandé. Si vous prenez un médicament sur une base régulière, faites exécuter vos ordonnances tous les trois mois au lieu de passer chaque mois à la pharmacie. Vous réduirez ainsi les frais d exécution d ordonnance et le nombre de vos déplacements. Source : Gestion Avantages Sociaux Québec Inc. Produits d investissement et de retraite Produits d assurance vie et santé L EMPIRE VIE NOS PRODUITS, NOS SERVICES, NOTRE EXPÉRIENCE Solutions de gestion de patrimoine Solutions d assurance vie et maladie Planification fiscale et successorale Assurance collective Pour de l information sur les produits de l Empire Vie, communiquez avec votre conseiller ou conseillère. info@empire.ca MC Marque de commerce de L Empire, Compagnie d Assurance-Vie. Les polices sont établies par L Empire, Compagnie d Assurance-Vie. Bulletin financier / Hiver
6 Placements L ÉPARGNE Pas sexy, mais toujours nécessaire Les taux d intérêt sont bas, la Bourse est morose, les obligations d épargne rapportent peu, les dettes représentent 1,5 fois les revenus... Qu advient-il de l épargne? Est-elle morte? Poser ces questions, c est analyser le com - portement des investisseurs au cours des dix dernières années. Aux États-Unis, l épargne est en train de renaître de ses cendres. Le taux d endet te - ment a beaucoup diminué. Au Canada, par contre, nous faisons face à un problème encore plus grave qu avant 2007, période où les Américains sombraient dans l exu - bérance de la consommation de masse, ce qui a entraîné la bulle spéculative que l on a connue, avec ses conséquences. On le sait, l immobilier était au cœur de cette bulle, mais aussi un paravent à un mal plus profond. Aux États-Unis, avec l accès à la propriété et le refinancement hypothé caire, la consommation discré tion - naire et celle de produits de luxe ont gonflé. Lorsque tout cela a lâché, l éco - nomie a fortement ralenti. Les Américains qui ont fait faillite ou qui ont connu une situation très précaire ont dû se remettre à l épargne. Les Canadiens devront s y remettre tôt ou tard. Nous avions auparavant le réflexe d épargner de 5 % à 10 % de nos revenus. Ce réflexe est malheureusement disparu. On dépense aujourd hui beaucoup plus que ce que l on gagne. C est pourquoi le gouver nement a lancé le compte d épar- gne libre d impôt (CELI), à l instar de la Grande-Bretagne. L État s est aperçu que lorsqu on a un mécanisme prônant l épar - gne à l abri de l impôt, les citoyens pren - nent l habitude d épargner. Certaines personnes sont nostalgiques quant aux rendements d autrefois. Or, compte tenu de l inflation, les rendements d hier n étaient pas nécessairement plus rentables que ceux d aujourd hui. Les dé - tenteurs de REER de $ l ont obtenu par des dépôts beau coup plus que par le rendement, à moins de miser sur le marché spéculatif, avec les risques que cela com - porte. À cause de la mondialisation, de l insta - bilité et de la fragilité économiques, il est plus que temps d épargner. Les emplois ne sont plus aussi sûrs qu autrefois et nous n avons pas le choix de prévoir un fonds d urgence. À l époque des emplois tradi - tionnels, un fonds d urgence de trois à six mois pouvait suffire, joint à l assurance individuelle, l assurance invalidité et l as - surance emploi. Cette der nière n est plus aussi généreuse que dans le passé, ce qui oblige à une épargne indivi duelle et à la diversification des investis se ments afin de faire face aux coups durs. Nous suggérons trois tiroirs : un fonds de pré voyance à court terme, un pour les projets à moyen terme et un en prévision de la retraite. L épargne n est pas à la mode, mais elle constitue plus que jamais une nécessité. Le CELI est bien adapté à l épargne pour les projets à court terme. Quant au Régime des rentes et à la Pension de sécurité de la vieil lesse, elles ne suffisent pas à assurer une retraite convenable. Dans un article paru dans le magazine Maclean s en septembre 2011, les journa - listes Jason Kirby et Chris Sorensen écri - vaient : «Dans l environnement actuel, où les ban ques centrales ont poussé les taux d intérêt à des niveaux anormalement bas et où les politiques économiques encou - ragent la consommation sur l économie, la dynamique de risque et de récompense a été sévère ment déformée.» Il est vrai que les politiques économiques actuelles encouragent la consommation, mais il appartient à chacun de nous de faire ses choix. Le phénomène de con som - mation provient davantage d un contexte social que politique ou issu d une banque centrale. Cette culture de consommation fait en sorte qu on obtient tout très rapi - dement. La propagation de nouveautés par les réseaux sociaux provoque de faux besoins, qui nais sent rapidement. Les politiques de la Banque centrale ne consti tuent pas un impératif à la consom - mation. Elles constituent certainement une mesure incitative à l accès la propriété, mais cela ne signifie pas de la meubler de toutes sortes d objets inutiles. Votre situation et vos besoins évoluent au rythme de votre vie Un choix incontournable s impose UV Mutuelle, l assureur qui vous offre les valeurs de rachat les plus élevées sur le marché et le seul à vous offrir la Garantie de la prime la plus basse. Parlez-en à votre conseiller en sécurité financière. 6 Bulletin financier / Hiver 2012
7 Placements Quant au crédit, il n est pas aussi accessible qu on le croit. Quiconque rembourse tardi - vement le solde de ses cartes de crédit en prend rapidement conscience. Le crédit qui n est pas si facile ni abordable, comme le prouve le crédit à la consommation qu of - frent les cartes des grands magasins et des institutions financières. Elles comportent encore aujourd hui des taux très élevés, prohibitifs de plus de 20 % par année. Les mesures incitatives des politiques éco - no miques et des banques centrales ne sont pas rendues au crédit à la consommation. La seule mesure incitative qu apportent les banques centrales, c est celui des marges hypothécaires, dont on se servait autrefois pour la consolidation de dettes. Aujour - d hui, nous nous apercevons que l endet - tement hypothécaire est élevé, mais celui des cartes de crédit aussi. L immobilier a la cote, est-ce à raison? Face à la morosité des marchés de place - ment traditionnel, devrait-on se tourner vers l immobilier? Pas nécessairement. Au Canada, le marché de l immobilier atteint un point neutre. Il a atteint le sommet de la montagne avant de descendre sur l autre versant. Le signe annonciateur de cela, c est la diminution de 30 % des ventes de maison à Vancouver. Le vent de revi - rement de situation du marché immobilier viendra de l Ouest canadien. Quand l éco - nomie se raf fermira un peu et que l on sentira poindre l inflation, la Banque du Canada haussera ses taux. Le marché de l immobilier reculera surtout là où il a le plus augmenté. Dans les villes où le coût et les ventes de maisons ont le moins aug - menté, on constatera une légère baisse ou une stabilité. Acheter une maison constitue une dé pense. Beaucoup de gens confondent en se disant «Étant donné que mes REER n obtiennent pas de bons résultats, je vais tout con - centrer sur la brique parce que le marché a atteint de très bons résultats ces dix dernières années.» Voilà une mauvaise stratégie. Elle ne tient pas compte des variations, de la volatilité et du réel marché de l immobilier sur une longue période. Devrait-on acheter une propriété ou louer un logement? Cela dépend du choix de vie, de ce avec quoi nous nous sentons le plus à l aise. Il faut comprendre que si nous plaçons toutes nos billes dans l achat d une maison, nous immobilisons nos actifs dans la brique. Or, on ne peut vendre un garderobe quand on a besoin de 3000 ou 4000 $. Avec un pla cement, on peut transformer une partie de ses actifs en argent liquide sans remettre en cause tout son plan financier. Le besoin de liquidité, c est le risque le moins considéré par les personnes qui inves tissent massivement dans l immobi - lier. La liquidité offre la possibilité de se départir d un pla cement rapidement et d obtenir en 24 heures l argent dont on a besoin. Une per sonne qui place tout dans l immobilier est coincée parce qu elle doit frapper à la porte de la banque pour rou - vrir son hypothèque ou carrément vendre sa propriété. En comparant le rendement d un place ment équilibré investi sur 30 ans avec un place - ment immobilier, nous constatons une très grande différence à la fois au plan fiscal et des frais inhérents à l achat d une pro priété, dont l entretien et la réno va tion. On peut trouver des placements sur une très longue période qui atteignent un rendement de 6,5 %. Dans l immobilier, il est à 3 %. Au Canada, on constate une surévaluation de 15 % du marché immobilier, alors qu il s agit d une sous-évaluation de 15 % aux États-Unis. Chez nos voisins du sud, on a constaté une perte de 30 % de la valeur des maisons entre le sommet et le creux. Au Canada, on constate un dégonflement de la valeur des résidences à Vancouver, mais pas à Toronto ni à Montréal. Si on épargne par l immobilier, ce qui a la faveur populaire actuellement, c est que les investisseurs ont connu une belle expé - rience depuis cinq à dix ans. La plus-value était forte. L immobilier constitue une catégorie d actifs parmi d autres, mais elle est risquée étant donné le moment où on est rendu dans le cycle. Quant à l achat d une maison, elle impli - que 1000 choses d ordre qualitatif qui n ont aucun lien avec les placements. Ce n est pas comme choisir entre des actions de la com pagnie A ou B. Il est malhabile de mélanger les choix de placement et ceux de l acqui sition d une résidence. En conclusion, n hésitez pas à commu ni - quer avec moi pour établir la stratégie de place ment la mieux adaptée à vos besoins. Source Conseiller novembre 2012 Ce journal est protégé par les lois reliées aux droits d auteur. Il est illégal de le reproduire par quelque procédé que ce soit, en tout ou en par tie, sans l autori sation écrite de l éditeur. Les articles et opinions exprimés dans ce Bulletin n engagent que la responsabilité de leurs auteurs. Le Bulletin financier est publié trois fois par année par Force financière Excel. Équipe de production : Mireille Fortier, Pierre Bernard, c.a. Raymond Chabot Grant Thornton Production : Infoscan Collette Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN SIÈGE SOCIAL 2851, rue King Ouest Sherbrooke (Québec) J1L 1C6 Téléphone : Sans frais : excel@groupexcel.com CENTRES RÉGIONAUX DE SERVICES PARTAGÉS CRSP DE L EST Bas-Saint-Laurent Gaspésie Capitale-Nationale Côte-Nord Mauricie Saguenay Lac-Saint-Jean 1170, boul. 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8 25215 Bulletin Hiver 2012_2 11/15/12 9:44 AM Page 8 Faites en sorte aujourd hui que demain soit un meilleur jour... La perte d autonomie provoque des chambardements importants tant dans la vie de la personne atteinte que dans celle de l aidant naturel. Deux solutions s offrent à vous : 1 Soins de longue durée ƒ Soins en établissement ƒ Soins hors établissement ƒ Hospitalisation et perte d autonomie 2 Protections hybrides ƒ Maladies graves ƒ Perte d autonomie ƒ Vie ƒ Invalidité Toutes ces garanties se transforment en Soins en établissement Garantie optionnelle Soins hors établissement Pour en savoir davantage sur ce produit, communiquez sans plus tarder avec votre représentant général ou encore avec info-partenaires au : ou
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