DEUXIEME PARTIE : CROISSANCE, CRISE ET DEVELOPPEMENT DURABLE CHAPITRE 5 : CROISSANCE, CRISE ET CYCLES ECONOMIQUES
|
|
- Jean-Christophe Champagne
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 I L INSTABILITE DE LA CROISSANCE A croissance, crise et cycle économique DEUXIEME PARTIE : CROISSANCE, CRISE ET DEVELOPPEMENT DURABLE 1. Le cycle économique CHAPITRE 5 : CROISSANCE, CRISE ET CYCLES ECONOMIQUES L activité économique fluctue : Docs 1 p 48 Si la croissance, c est Pour F.Perroux l'augmentation soutenue et à long terme de l activité économique, mais cette augmentation est heurté et variable à l échelle historique. L activité économique fluctue : on observe de hausse et des périodes de baisse du TC PIB PPt : Une croissance accidentée Exercice : «Une croissance accidentée», doc 1 p 48 de manière cyclique : Doc 2 p 48 et à savoir p 48 L activité économique fluctue, mais ces fluctuations observées peuvent être représentées par un cycle économique car elles ne sont pas aléatoires mais plus ou moins régulières et prévisibles. A savoir, p 48 Le cycle passe ainsi par des phases : d accélération de la croissance : l expansion. Le TC annuel du PIB augmente. Les richesses produites croissent de plus en plus vite. (phase A du cycle) de ralentissement de la croissance: la récession. Le TCPIB/an diminue (mais reste positif) cad que les richesses produite croissent de moins en moins vite (Phase B du cycle), A savoir p 57 Attention : le cycle peut connaitre une phase B de décroissance durable : la dépression. Dans ce cas Le TCPIB/an devient négatif cad que les richesses produites décroissent sur plusieurs années. Le point de retournement haut du cycle, «le pic», se nomme crise, le point de retournement bas du cycle, «le creux», s appelle reprise. Ppt : Le cycle économique PPt : Une croissance accidentée mais cyclique Exercice : Une croissance accidentée mais cyclique 2. Croissance et crise Finalement, la croissance économique au sens de Perroux se calcule par une moyenne à long terme des taux de croissance annuels observés : c est le trend ou la tendance, calculée par un TCAM. A savoir p 48 Ppt : des 30 glorieuses aux 30 piteuses La crise économique met fin à une période de croissance et entraine le basculement du cycle économique dans la récession, voire la dépression. Attention : La crise peut alors parfois aussi signifier la phase de récession/dépression elle-même (en plus du retournement), cad une période durable de croissance faible voir négative (TCAM proche de 0, voir négatif) L histoire économique est scandée par des crises TD : «L histoire économique est scandée par des crises», doc 1 à 4 p 50 et 51 B Les différents types de cycles Doc 4 p49 1. Typologie des cycles Il existe 3 types de cycle économique qui varient selon leur durée et s expliquent par différents indicateurs économiques. Ppt : Typologie des cycles 1
2 Les cycles courts : Le cycle kitchin correspond mieux à l économie américaine alors que le cycle Juglar ou cycle des affaires («business cycle») correspond plutôt aux économies européennes (il a été cependant masqué par la croissance exceptionnellement forte durant les 30 glorieuses) PPt : Une croissance accidentée mais cyclique Le cycle long : Nicolas Kondratieff a repéré, par l étude empirique du mouvement des prix au XIXème/début XXème, des cycles longs dans l économie. Ppt : Les résultats empiriques de Kondratieff : les cycles longs 2. Quelques repères historiques Du cycle traditionnel au cycle de croissance : Doc 2 p 50 Au XIXème siècle et jusqu en 1914, le «cycle économique traditionnel» est globalement régulier : 2 à 4 ans d expansion, puis une crise (retournement haut du cycle), puis une dépression de 2 à 4 ans suivit d un autre cycle. La croissance (au sens de Perroux) est donc très lente sur cette période. Dans l entre deux guerre, le cycle semble reprendre (expansion des années 20), mais la crise de 29 entraîne une grande dépression jusqu'à la 2 ème GM. L activité économique se contracte de 30 à 40%! Ce n est qu après la seconde guerre que la croissance repart, et le cycle se déplace vers le haut: c est le «cycle de croissance» des «30 glorieuses» (1945/1974), 30 années de croissance forte ou la phase de dépression disparait et le trend de croissance reste élevé. C est de là que naît le concept de croissance économique et de développement selon Perroux. Un retour du cycle traditionnel? Doc 3 p51 Cependant, la crise économique (retournement) de 1974 entraîne 30 années de croissance faible, de crise économique : les 30 piteuses ( ). Le trend de croissance ralentit fortement, des pics de récession ou dépression réapparaissent : 1975, 1993, Depuis la crise financière de 2008, qui s est transformé en grave crise économique les pays développés sont entrés en récession, et certains même en dépression (Grèce, Espagne). Le spectre de la grande dépression réapparaît. Ppt : des 30 glorieuses aux 30 piteuses II LES EXPLICATIONS ET LES CONSEQUENCES DES FLUCTUATIONS ET DES CRISES A Les explications exogènes 1. Les chocs d offre et de demande expliquent les cycles courts Présentation : Les chocs d offre ou de demande entraînent des variations de prix et du niveau de la production à l origine des cycles courts. Ppt : L impact des chocs Les chocs d offre : Doc 4 p 51 et docs 2 à 4 p 52 et 53 Les chocs d offre correspondent à des modifications brutales des conditions de production qui modifient les prix et donc le rythme de croissance. Ex de chocs négatifs : Catastrophes naturelles (voir doc 4 p 51), épuisement des ressources naturelles, hausse du coût des MP (voir doc 2 p 52), hausse du coût des facteurs de production Ex de chocs positifs : gains de productivité (Voir doc 4 p53), amélioration des performances du système d enseignement, découvertes de nouveaux gisements de MP. Exercice : RG d un choc d offre, doc 3 p 53 Ppt : Répercussion des chocs d offre sur le cycle économique 2
3 Les chocs de demande : Docs 1 à 4 p 54 et 55 Les chocs de demande correspondent à des modifications brutales des revenus qui perturbent l ajustement de la demande aux prix et modifie le rythme de croissance. Ces chocs touchent donc : Cf, I, G, (X-M). Ex de chocs négatifs : Récession dans le RDM, anticipations pessimiste des AE concernant la conjoncture économique : hausse de chômage & ralentissement voir baisse du PA, politique budgétaire de l Etat restrictive Ex de chocs positifs : PB expansionniste, expansion dans le RDM, hausse de salaires Voir doc 2 p 54 Exercice : RG d un choc de demande, doc 3 p 55 Ppt : Répercussion des chocs de demande sur le cycle économique 2 Le progrès technique explique les cycles longs Doc 1 et A savoir p 52 J.A Schumpeter à, donné une explication aux cycles Kondratieff, la dynamique de l innovation : Les innovations apparaissent par grappes et provoquent des révolutions technologiques à l'origine de la phase d'expansion du cycle, les branches motrices ayant un effet d'entraînement sur le reste de l'économie (externalité positives). Phase A du cycle Kondratieff : 25 ans de croissance soutenue Dans un deuxième temps, une fois les innovations largement répandues et imitées dans l'économie, le trend de croissance ralentit et l'économie bascule dans la phase de récession, jusqu'à la prochaine révolution technologique. phase B du cycle Kondratieff : 25 ans de croissance faible Ppt : Une explication des cycles longs selon Schumpeter : les cycles de l innovation Ainsi le PT est à l'origine de destructions créatrices : les nouvelles technologies et les nouveaux produits éliminent les anciens ce qui permet périodiquement de "rebattre les cartes" du système capitaliste en restructurant profondément sont tissu productif, notamment dans l'industrie. Les D/C expliquent l instabilité chronique des économies capitalistes, les cycles longs. B Les explications endogènes 1 Les effets endogènes de la demande Doc 1 et A savoir p 54 Les variations de la demande ont aussi un effet endogène sur le cycle économique via ces différentes composantes : consommation finale, investissement ou solde extérieur. Exercice : «Les composantes de la demande au PB» En particulier, Les variations de l investissement et celle de l activité économique interagissent par un effet multiplicateur : une hausse des investissements entraine une hausse des revenus en cascade qui stimule la consommation et la demande ce qui favorise l expansion. Cependant dès que la demande ralentit, l investissement s effondre et l expansion fait place à la récession. Ppt : Les répercussions des variations de l investissement sur le cycle économique 2 Le rôle du crédit et les crises financières Le cycle du crédit : Doc 2 p 56 La récurrence des cycles courts (Juglar) peut aussi s expliquer par le cycle du crédit. Dans les périodes d expansion, les anticipations des AE sont optimistes. Les IF, (banques et marché financier) accordent généreusement des crédits aux AE ce qui «dope» la consommation et l investissement. La croissance est soutenue par un gonflement de l endettement privé. Cependant les If prennent plus de risque en prêtant à des individus de moins en moins solvables. 3
4 Quand les 1 ères faillites se déclenchent, les anticipations s inversent et deviennent pessimistes : les IF réduisent les octrois de crédits, les taux d intérêts augmentent en raison d une prime de risque plus importante. Les AE cherchent donc à se désendetter. La demande s effondre, ce qui entraîne l économie dans la récession. Ppt : L évolution des crédits et de l activité économique dans la zone Euro Exercice : Cycle du crédit et variation de la croissance économique Les crises financières : Doc1 p 56 et docs 3 et 4 p 57 La hausse du crédit produit également un paradoxe de la tranquillité (H.Minsky) qui alimente la spéculation et génèrent des bulles financières. A savoir p 57 Bulle : écart croissant entre les prix observés des actifs et leur valeur fondamentale. Spéculation : pari sur des variations de cours d actifs. A savoir p 56 Ppt : Le paradoxe de la tranquillité Cependant quand le marché sur lequel la spéculation se porte se retourne (la hausse des prix cesse et même les prix diminuent), la confiance en l avenir disparait (anticipations pessimistes) et les spéculateurs endettés sont obligés de vendre (moment de Minsky) ce qui fait et la bulle éclate et se transforme en Krach financier (crise financière). La crise financière se transforme à son tour en crise économique via le «crédit crunch». Ppt : Le crédit crunch ppt : La crise des subprimes C Les conséquences des crises 1 Les crises déflationnistes Docs 1 à 4 p 59 Les crises économiques entrainent des récessions ou des dépressions : Ne pas confondre p 58 Grande dépression en 1929 : «crise de 29» Grande récession en 2008 : «crise des subprimes» Exercice : grande dépression, grande récession, doc 1 p 58 Cependant les crises majeures sont souvent déflationnistes car la baisse générale des prix se traduit par la hausse des taux d intérêts réels qui produit une crise de l endettement et entraine une contraction cumulative et durable de la demande et de la production sous l effets d anticipation pessimistes. Ppt : La spirale déflationniste 2 Et leurs conséquences sur le chômage Docs 1 à 4 p 60 et 61 La crise économique se traduit par la montée d un chômage de masse. A savoir p 60 Exercice : Le chômage comme conséquence de la crise économique, doc 1 p 60 Le chômage de masse entretien à son tour la faiblesse de l activité dans un cercle vicieux de la récession, voire de la dépression Ppt : Le cercle vicieux du chômage de masse Enfin, le chômage de masse s accompagne d un chômage de longue durée qui produit de l exclusion en raison de phénomène d hystérèse lié à l employabilité. Voir doc 4 p 61 Exple : La Grèce, doc 3 p 61 Exposé sur la Grèce 4
5 PREMIERE PARTIE : CROISSANCE, CRISE ET DEVELOPPEMENT DURABLE CHAPITRE 2 : CROISSANCE, CRISE ET CYCLES ECONOMIQUES PLAN I L INSTABILITE DE LA CROISSANCE A croissance, crise et cycle économique 1. Le cycle économique 2. Croissance et crise B Les différents types de cycles 1. Typologie des cycles 2. Quelques repères historiques II LES EXPLICATIONS ET LES CONSEQUENCES DES FLUCTUATIONS ET DES CRISES A Les explications exogènes des cycles 1. Les chocs d offre et de demande expliquent les cycles courts 2. Le progrès technique explique les cycles longs B Les explications endogènes des cycles 1. Les effets endogènes de la demande 2. Le rôle du crédit et les crises financières C Les conséquences des crises 1. Les crises déflationnistes 2. Et leurs conséquences sur le chômage 5
CHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE?
CHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE? 3.1 COMMENT EXPLIQUER LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES? Introduction : 1. La croissance économique n est pas régulière. A une période d expansion succède
Plus en détail1. Les fluctuations économiques : une dynamique heurtée de développement économique
COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE? 1. LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES : UNE DYNAMIQUE HEURTEE DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE... 1 1.1 DES CHOCS ECONOMIQUES PERTURBENT REGULIEREMENT LA CROISSANCE...
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailet Financier International
MACROECONOMIE 2 Dynamiques Economiques Internationales PARTIE 2 : Le Système Monétaire et Financier International UCP LEI L2-S4: PARCOURS COMMERCE INTERNATIONAL PLAN DU COURS I - LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailLa politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux
OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailDans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement
Les prix immobiliers en France : une évolution singulière Mickaël Clévenot Division Synthèse conjoncturelle Dans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement augmenté entre 2000
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique?
ATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique? A_Que nous-dis le programme? NOTIONS : Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression,
Plus en détailLe rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels
Le rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels Dans la théorie de l intermédiation financière, un système bancaire fonctionne correctement s il favorise
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailLes crises des changes dans l étalon or
7 Le système Bretton Woods Les crises des changes dans l étalon or Déficit du compte courant sortie d or - Banque centrale doit offrir l or aux étrangers en échange des billets -Réserves finies pas soutenable
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailCHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE»
CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» I ) SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE : La croissance économique est d abord une réalité quantitative. Généralement, on mesure cette croissance avec
Plus en détail2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée
Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du
Plus en détail1.2 Comment expliquer l instabilité de la croissance?
1.2 Comment expliquer l instabilité de la croissance? Finalités : - Montrer que la croissance est irrégulière dans le temps et dans l espace et que son irrégularité se traduit par des fluctuations et par
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailECONOMIE GENERALE. Fluctuations et cycles
IUFM AUVERGNE ECONOMIE - GESTION Cours de Mr DIEMER ECONOMIE GENERALE Mots clés : - Accélérateur - Boyer - Cobweb - Cycle Juglar - Cycle Kitchin - Cycle réel - Effet de levier - Fordisme - Hicks - IS -
Plus en détailBulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? 2. Comment se forme une bulle? 3. Comment détermine t on si il y a une bulle?
Bulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? Une bulle immobilière est caractérisée par une hausse rapide de la valeur des biens immobiliers. Elle caractérise un écart important et persistant
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailPremière partie : Mobilisation des connaissances
Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez
Plus en détailDANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?
DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailLa croissance des pays développés au cours des trente dernières
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 213 II / Dette et croissance Benjamin Carton* La croissance des pays développés au cours des trente dernières années s est accompagnée d une hausse de
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailLe poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux
AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLes échanges Internationaux. L environnement monétaire international
Les échanges Internationaux L environnement monétaire international Caractéristiques du système monétaire international (SMI) SMI : structure mondiale de relations commerciales et financières au sein desquelles
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailL emploi permet-il toujours de s intégrer à la société française?
1) Analyse du sujet : T.E.S. Fustel de Coulanges 2013/2014 GALY marjorie.galy@wanadoo.fr http://www.toileses.org Eléments de correction du BAC BLANC de SES N 4 TESL L emploi permet-il toujours de s intégrer
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailL économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession
L économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession Olivier Redoulès* En 2008, l économie mondiale a basculé dans la récession. La crise financière a débuté en 2007 aux États-Unis sur le marché
Plus en détailPerspectives de l industrie suisse Pierres et Terres
Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur
Plus en détailLA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014
LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailPublication de comptes financiers du secteur privé non-financier
Luxembourg, le 21 avril 211 Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier Dans la mesure où le Service Central de la Statistique et des Etudes Economiques (STATEC) n'est pas encore à
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailDESCRIPTIF DU DOCUMENT. Déploiement Nouveau système de rémunération au 01.01.2009-13 ème salaire
13 EME SALAIRE 13 EME SALAIRE - ETAT DE GENEVE Confidentiel Etat de Genève 23/01/2009 DESCRIPTIF DU DOCUMENT Phase du projet Domaine État du document Version actuelle Déploiement Nouveau système de rémunération
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailL ACTIVITÉ RÉDUITE. La croissance continue de l activité réduite recouvre des réalités et des publics différents. Une étude de l Unédic - Octobre 2013
L ACTIVITÉ RÉDUITE La croissance continue de l activité réduite recouvre des réalités et des publics différents Une étude de l Unédic - Octobre 2013 Définitions réglementaires relatives à l activité réduite
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailUne épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales
Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailAssociation COMPRENDRE 15E Avenue Saint Jean de Beauregard 91400-ORSAY Tél. 06 88 18 09 05 http://comprendre.orsay.free.fr
1 Association COMPRENDRE 15E Avenue Saint Jean de Beauregard 91400-ORSAY Tél. 06 88 18 09 05 http://comprendre.orsay.free.fr Compte rendu de la rencontre-débat du jeudi 30 janvier 2014 à Orsay Doit-on
Plus en détailChapitre 6 Comment expliquer les crises financières et réguler le système financier?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 27 février 2015 à 15:38 Chapitre 6 Comment expliquer les crises financières et réguler le système financier? Introduction L objectif du chapitre est de montrer la
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailNotions: déflation, récession, inflation, taux d'intérêt réel, BCE, credit crunch, taux de change
TRAVAILLER SUR UN TEXTE Faire un bilan collectif à partir d'un texte sur les acquis des chapitres sur la croissance (fluctuations et crises) et mondialisation et intégration européenne Notions: déflation,
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailLes marchés du travail dans la crise *
ÉTUDE SPÉCIALE Les marchés du travail dans la crise * OFCE, Centre de recherche en économie de Sciences Po Département analyse et prévision * Ont contribué à cette étude spéciale : Marion Cochard, Gérard
Plus en détailPrévisions 2012-2016 : incertitudes et croissance molle en France
1 Numéro 171, mai 2012 Prévisions 2012-2016 : incertitudes et croissance molle en France Principales conclusions : Le spectre de la déflation et de l éclatement de la zone euro a été écarté à court terme
Plus en détailRessources pour le lycée général et technologique
Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Sciences économiques et sociales - Terminale ES Enseignement spécifique Science économique Thème n 2 : Mondialisation, finance internationale et
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailla quête du Graal? Michel Aglietta Université Paris Ouest et Cepii
Finances publiques et croissance : la quête du Graal? Michel Aglietta Université Paris Ouest et Cepii Piège de croissance et impuissance de la politique économique 2 Pourquoi la crise est-elle plus grave
Plus en détailL'économie européenne se remet mais la reprise rencontre des risques majeurs
L'économie européenne se remet mais la reprise rencontre des risques majeurs Les mesures d'austérité budgétaire prévues, ou en cours, entraînent les risques d'un nouveau déclin économique Genève, 18 janvier
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailLecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale
Fondation Travail-Université Chaussée de Haecht, 579 1030 - BRUXELLES PG/BL/B.1.4./04052005/05.035. Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale François MARTOU 1. L environnement international
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ (1 $ = 0,8 ) Une appréciation du taux de
Plus en détailDans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance?
Dans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 m Mots clés bandes centrales baisse des taux politique monétaire lutte contre
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailRéduire la dette publique, une priorité?
Réduire la dette publique, une priorité? Henri STERDYNIAK La priorité est, nous dit-on, de réduire les dettes publiques, pour rétablir la confiance, faire baisser les impôts, relancer la croissance. Selon
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détailMéfiez-vous du modèle d austérité canadien
Méfiez-vous du modèle d austérité canadien Andrew Jackson Le présent essai a été rédigé à la suite d articles des médias selon lesquels l ex-ministre des Finances et ex-premier ministre canadien Paul Martin
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailLa séquence des comptes
La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital
Plus en détailCF = Produits avec effets monétaires Charges avec effets monétaires. (Méthode directe)
Le cash flow 1) Le cash flow brut Le cash flow (Cash Flow Brut, CF ou CFB) est un concept d origine américaine visant à mesurer la capacité d une entreprise à sécréter des fonds (de la monnaie) à partir
Plus en détailComment emprunter. L essentiel à connaître avant de souscrire un prêt
emprunter L essentiel à connaître avant de souscrire un prêt emprunter? A savoir avant à la adapter les 2 A SAVOIR AVANT D EMPRUNTER 3 S endetter de manière raisonnable Pour éviter l excès de crédit, avant
Plus en détailLE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES
Plus en détailCrise financière et dette souveraine : impacts sur la zone euro
Crise financière et dette souveraine : impacts sur la zone euro Portraits économiques de l'espagne et du Japon comparaison avec la Belgique 2012 Retracer la crise financière aux multiples facettes qui
Plus en détail