Bulletin vert. Les changements climatiques et la gestion des matières résiduelles

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1 Bulletin vert SOMMAIRE : Rien n est créé, rien n est perdu Équivalent CO 2 Capter ou détourner? La biométhanisation Actions provinciales: le PACC Actions provinciales: la PQGMR Actions municipales Actions citoyennes Pour en savoir plus Sources Nos coordonnées A N N É E N U M É R O 2 Les changements climatiques et la gestion des matières résiduelles Nous savions déjà que l enfouissement des déchets a des répercussions négatives sur les sols et l eau souterraine. Outre les odeurs nauséabondes, nous réalisons maintenant que le traitement et l élimination des déchets affectent tant la qualité de l air que le climat. À titre d exemple, en 2008 au Québec, 6,1 % des gaz à effet de serre (GES) provenaient des déchets (5,0 Mt équivalent CO 2 voir p. 2 pour la définition) sous forme de méthane (CH 4 ) et d oxyde nitreux (NO 2 ). De cette quantité, la majorité (93,2 %) des GES sont issus de l enfouissement des déchets solides. L incinération des déchets engendre pour sa part 2,5 % de ces GES. Bien qu entre 1990 et 2008, la quantité de déchets enfouis a augmenté de 23,8 %, les émissions de GES issues de la gestion des matières résiduelles sont passées de 7,1 à 5,0 Mt éq. CO 2 (une diminution de 29,5 %). Cette baisse résulte principalement du captage et de l incinération des biogaz dans plusieurs sites d enfouissement. J U I L L E T Devant ce constat, comment diminuer davantage l apport des matières résiduelles dans l émission de GES? C est ce à quoi nous tenterons de répondre dans cette édition.

2 PAGE 2 Rien n est créé, rien n est perdu La décomposition de la matière organique dans les lieux d enfouissement se déroule en absence d oxygène (anaérobie). Les micro organismes responsables de la décomposition produisent alors un gaz (appelé biogaz) composé principalement de méthane. Il s agit d un gaz à effet de serre qui contribue aux changements climatiques. Actuellement, la plupart des lieux d enfouissement captent et brûlent ce biogaz à l aide de torchères. Il est aussi possible de récupérer et d utiliser ce gaz pour produire de l électricité, alimenter les industries en combustibles et chauffer les édifices. La récupération et l utilisation de ces gaz présentent deux grands avantages. En premier lieu, le fait de capturer et de brûler les gaz provenant des lieux d enfouissement empêche la dissipation du méthane dans l atmosphère et diminue du coup sa contribution au réchauffement climatique. En deuxième lieu, l utilisation de l énergie provenant de ces gaz permet de remplacer des sources d énergie non renouvelables telles que le charbon, le pétrole ou le gaz naturel. Équivalent CO 2 Il existe plusieurs GES dont chacun a un potentiel de réchauffement planétaire (PRP) associé. Dioxyde de carbone (CO 2 ) = PRP 1 Hexafluorure de soufre (SF 6 ) = PRP Méthane (CH 4 ) = PRP 21 Polyfluorocarbures (PFC) = PRP entre et Oxyde nitreux (N 2 O)= PRP 310 Hydrofluorocarbures (HFC) = PRP entre 140 et Donc, le méthane (PRP 21) contribue 21 fois plus au réchauffement climatique que le CO 2 et une tonne de CH 4 équivaut à 21 tonnes de CO 2. Lors de la réalisation d un inventaire des émissions de GES, les émissions de chaque gaz sont comptabilisées séparément et ensuite reportées en équivalent CO 2. Capter ou détourner? Dans le passé, les exploitants des sites d enfouissement ne géraient pas les biogaz produits. Maintenant, tous les sites devront contrôler et effectuer un suivi de leurs émissions. Les sites plus importants devront obligatoirement capter les biogaz. Dans la majorité des sites d enfouissement en fonction, le captage et le brûlage des biogaz n ont pas été prévus lors de la conception. L installation des équipements nécessaires s avère souvent complexe et coûteuse. Ainsi, plutôt que d effectuer une gestion des biogaz, pourquoi ne pas prévenir le problème à la source en détournant de l enfouissement les matières organiques? On peut en effet traiter ces matières par compostage ou biométhanisation. Du même coup, on évite la production de méthane (un gaz explosif), on réduit les impacts environnementaux produits par le lixiviat (contamination des eaux souterraines) et on élimine les nuisances olfactives et animales (vermines, oiseaux, etc.). En outre, ces méthodes de traitement produisent de l énergie renouvelable et des produits utiles comme le compost ou le digestat. Pour sa part, le compostage des matières organiques, facile à faire en Matawinie soit à l aide d un composteur ou en participant à la collecte à trois voies, a déjà fait l objet d un bulletin vert (disponible sur le site Internet de la MRC). Quant à la biométhanisation, BULLETIN VERT tentons d y voir plus clair.

3 ANNÉE 2011 NUMÉRO 2 La biométhanisation Capter les gaz générés par la fermentation des déchets putrescibles n est pas en soi une technique nouvelle. La majorité des sites d enfouissement au Québec sont aujourd hui équipés de bioréacteurs, sortes de puits destinés à la récupération du méthane. La biométhanisation, aussi appelée digestion anaérobie, est un procédé de biodégradation des matières putrescibles (résidus de table, boues d épuration des eaux usées et autres résidus organiques) qui, contrairement au compostage, se déroule en absence d oxygène. Cette biodégradation contrôlée produit un digestat et du biogaz essentiellement composé de méthane et de gaz carbonique. Le digestat est un résidu solide composé d éléments organiques non dégradés, de minéraux et de bactéries. Une fois déshydraté et composté, il peut être employé comme amendement organique. Quant au gaz, il peut servir à la production d électricité ou de vapeur, être utilisé comme carburant pour alimenter des véhicules ou être acheminé directement vers le réseau de distribution de gaz. Les multiples avantages de ce nouveau procédé sont : Réduction des émissions de méthane (GES) dans l atmosphère Production d énergie renouvelable Production de digestat qui peut être utilisé comme engrais ou amendement pour les terres agricoles Revenus possibles issus de la vente du gaz ou de digestat Réduction des coûts de manutention et de transport des déchets Cette technologie est grandement utilisée ailleurs dans le monde, particulièrement en Chine où l on PAGE 3 compte 17 millions de digesteurs, essentiellement en milieu agricole. Ils fournissent du gaz à 50 millions de personnes. Plus près de nous, un rapport de l Agence internationale de l énergie informe qu il y a actuellement 20 centres de biométhanisation agricole au Canada et leur nombre devrait tripler d ici à trois ans. Quant au Québec, l usine de Saint Hyacinthe est déjà en service. Les villes de Québec, Rivière du Loup, Longueuil, Montréal (arr. d Anjou), Laval et Varennes prévoient implanter leur usine d ici peu. Malheureusement, les tarifs à l enfouissement au Québec sont encore trop bas pour rendre cette technologie attrayante et rentabiliser les investissements nécessaires. Malgré l instauration de deux redevances à l élimination, le tarif moyen demandé par les sites d enfouissement des déchets rend l enfouissement trop facile et économique. L augmentation importante des coûts de l essence poussera peut être les municipalités éloignées des sites d enfouissement à envisager d autres méthodes de traitement des matières résiduelles. Petit lexique Bioréacteur (ou digesteur): Cuve de fermentation industrielle permettant de réguler les conditions du milieu, dont la température, l humidité et le ph, afin d optimiser la réaction biologique désirée. Amendement: Tout produit ajouté à un sol en vue d en améliorer les propriétés physiques ou chimiques, typiquement via du compost.

4 PAGE 4 Actions provinciales: le PACC Les changements climatiques représentent une réalité confirmée par bon nombre d experts scientifiques. Mais, au delà des théories et des prévisions, les sociétés se doivent d agir pour réduire leurs émissions de GES et leur vulnérabilité face aux changements climatiques. La lutte contre les changements climatiques exige des actions immédiates et concertées de la part de tous les acteurs de la société. Le Québec l a bien compris! La province s est définitivement engagée dans la lutte contre les changements climatiques et fait partie des États reconnus en tant que leaders dans ce domaine. Il faut dire que le Québec affiche un bilan appréciable en lien avec ses émissions de GES, notamment en raison de ses investissements massifs dans la production d énergie propre, l hydroélectricité. Avec le Plan d action sur les changements climatiques (PACC), adopté par le gouvernement, le Québec s est donné les moyens de réduire significativement ses émissions de GES. Déjà fermement engagé dans l action pour l horizon 2012, le Québec prépare actuellement son prochain plan d action Pour atteindre sa cible de réduction des émissions de GES de 20 % sous le niveau de 1990 à l horizon 2020, le Québec continuera de mettre en place des conditions favorables au développement d énergies renouvelables et de nouvelles technologies visant la réduction des émissions de GES, dont des actions en gestion des matières résiduelles. Parmi celles ci, on retrouve la mise sur pied du Programme de traitement des matières organiques par biométhanisation et compostage (PTMOBC). Ce programme offre un soutien financier au milieu municipal et au secteur privé pour l installation d infrastructures qui permettent de traiter la matière organique au moyen de ces deux procédés. Il vise aussi la réduction des émissions de GES ainsi que la quantité de matières organiques envoyées à l enfouissement. Qui plus est, le gouvernement appliquera le Règlement sur l enfouissement et l incinération des matières résiduelles (REIMR) qui comporte plusieurs dispositions visant à contrôler les émissions des biogaz dans les sites d enfouissement. Entre autres, tous les lieux d enfouissement technique (LET) devront dorénavant assurer la gestion des biogaz générés. BULLETIN VERT

5 ANNÉE 2011 NUMÉRO 2 PAGE 5 Actions provinciales: la PQGMR La nouvelle Politique québécoise de gestion des matières résiduelles (PQGMR), adoptée le 15 mars 2011, veut aussi contribuer à l atteinte des objectifs provinciaux de réduction des GES. La stratégie visée propose de bannir l enfouissement de la matière organique. Ainsi, le Plan d action rattaché à cette Politique souhaite : Interdire l élimination du papier et du carton au plus tard en 2013 et celle du bois, au plus tard en Élaborer une stratégie pour interdire, d ici 2020, l élimination de la matière organique putrescible. Poursuivre la mise en œuvre du Programme de traitement des matières organiques par biométhanisation et compostage, accompagné d une enveloppe de 650 millions de dollars. La PQGMR fixe donc, pour la fin de 2015, l objectif de recycler 60 % de la matière organique putrescible résiduelle. Durant cette même période, elle poursuit aussi l objectif de recycler 70 % du papier, du carton, du plastique, du verre et du métal résiduels. En effet, la récupération des matières recyclables est un autre moyen pour le Québec de diminuer ses émissions de GES. De son côté, l augmentation du recyclage des matériaux résiduels diminue la quantité globale d énergie requise pour fabriquer de nouveaux produits et, de ce fait, réduit les émissions de GES. La relation entre le recyclage, l énergie et les émissions de GES est relativement nouvelle, mais elle mérite que l on s y attarde. En réintroduisant dans les processus de fabrication les matériaux issus des procédés de récupération et de recyclage, on diminue les besoins en matières premières et l énergie nécessaire pour les transformer. Par exemple, la fabrication de produits en aluminium recyclé demande environ 95 % moins d énergie qu à partir de matières vierges, alors que celle de produits en acier recyclé permet une réduction de 80 % de l énergie utilisée. De plus, l économie des matières premières permet d éviter les opérations d extraction, de raffinage et de transport. Le recyclage des métaux a donc un impact considérable sur les émissions de GES. En effet, l utilisation d aluminium recyclé, dans la fabrication de produits, réduit de plus de 90 % les émissions de GES par rapport à l utilisation de matières vierges, alors que cette diminution est de près de 70 % pour l acier.

6 PAGE 6 Actions municipales Des outils sont également disponibles pour soutenir les municipalités dans la réduction des émissions de GES. Dans cet esprit, le ministère du Développement durable, de l Environnement et des Parcs (MDDEP) a créé le programme Climat municipalités en 2009 pour l établissement d inventaires d émissions de GES et l exécution de plans de réduction d émissions et de plans d adaptation aux changements climatiques. Le volet 1 du programme finance les municipalités jusqu à 90 % des coûts admissibles pour dresser un premier inventaire des GES et concevoir un premier plan d action. L inventaire des GES permettra à la municipalité de connaître la provenance de ses différentes émissions et de mieux cibler les actions de réduction. La plupart des sources de GES touchées ou influencées par les pouvoirs municipaux doivent être inventoriées, y compris les émissions reliées au traitement des matières résiduelles. Ces émissions considérées reposent sur les activités reliées à l enfouissement ainsi qu à l incinération des déchets produits sur le territoire de l organisme municipal concerné. Le programme Climat municipalités vise, bien sûr, à réduire les émissions municipales de GES. Par le fait même il engendre souvent une diminution des dépenses de fonctionnement et une meilleure gestion des dépenses en énergie. Dans la MRC de Matawinie, neuf municipalités ont décidé de s engager dans ce virage vert et de profiter du programme Climat municipalités. Actions citoyennes Individuellement et collectivement, la réduction de nos émissions de GES reliées aux matière résiduelles passe par le respect de la hiérarchie des 3RV. Ainsi, nous devons : Réduire à la source la production de déchets en réfléchissant à notre consommation et en la modifiant au besoin. Par exemple, nous questionner sur la nécessité réelle des biens de consommation avant leur acquisition, acheter des produits durables plutôt que jetables, privilégier des produits utilisant un minimum d emballage, etc. Réutiliser les objets, en donnant ou vendant les biens dont nous voulons nous départir, trouver d autres utilisations à certains objets (comme les contenants). Récupérer au maximum les matières recyclables générées. Composter les matières organiques produites par le biais de la collecte à trois voies municipales ou par le compostage domestique. Dans la MRC, plusieurs initiatives municipales permettent aux citoyens d agir concrètement en participant, par exemple, à la collecte à trois voies offerte dans six municipalités ou en profitant du programme de récupération des surplus vestimentaires dans les comptoirs communautaires. BULLETIN VERT

7 ANNÉE 2011 NUMÉRO 2 PAGE 7 Pour en savoir plus: Le rapport synthèse du GIEC de novembre 2007 au Les autres rapports du GIEC sont disponibles sur Gaïa Presse au thematiques/thematiques.php?id=1 Vivre les changements climatiques. Réagir pour l avenir, Claude Villeneuve et François Richard, Éditions MultiMondes, 2007 Sources: Le Québec et les changements climatiques. Un défi pour l avenir. Plan d action (PACC), ministère du Développement durable, de l Environnement et des Parcs, juin 2008 au plan_action/index.htm Site Internet de Défi Climat au Inventaire québécois des émissions de gaz à effet de serre en 2008 et leur évolution depuis 1990, ministère du Développement durable, de l Environnement et des Parcs, novembre 2010, au changements/ges/2008/inventaire pdf Site Internet d Environnement Canada au 1 dont Gaz à effet de serre et déchets solides municipaux au mw/default.asp?lang=fr&n=6f92e701 1&printerversion=true Protégez vous, Des ordures bourrées d énergie, décembre 2010 Programme Climat municipalités au Le programme Climat municipalités: guide pratique pour inventorier et gérer les gaz à effet de serre du monde municipal, Philippe Alary Paquette, 13 août 2009, au Rapport de positionnement face au marché du carbone, Enviro Accès, 2 mars 2011, au position carbone.pdf MRC de Matawinie 3184, 1 re Avenue Rawdon, Québec J0K 1S / nadiamaheu@matawinie.org

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