PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS
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- Jean-Claude Rochon
- il y a 7 ans
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1 PLAN PLAN DE LA PRÉSENTATION CHAINE DE TRANSMISSION DE L INFECTION PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS Infirmières / CEPI Août 2014 Chaine de l infection Pratiques de base Précautions additionnelles Micro-organismes Infections associées aux soins de santé (IASS) Rôle de l infirmière soignante Porte d entrée Hôte Agent Voie de transmission Source Porte de sortie CHAINE DE L INFECTION : AGENT BACTÉRIE : SARM, ERV, C. difficile VIRUS : Influenza, hépatite CHAMPIGNON : Candida albicans PARASITE : Gale, poux CHAINE DE L INFECTION : SOURCE Sources humaines : Patients Membres du personnel Visiteurs Sources environnementales : Environnement Équipements de soins CHAINE DE L INFECTION : PORTE SORTIE / ENTRÉE Oculaire Respiratoire Digestive Sanguine Cutanée Urinaire
2 CHAINE DE L INFECTION : VOIE DE TRANSMISSION Transmission se fait entre l agent et l hôte Voie de transmission : Contact : direct ou indirect Gouttelette Aérienne Véhicule Vecteur CHAINE DE L INFECTION : HÔTE Individu qui s infecte ou se colonise par l agent Altération des mécanismes de défense de l hôte : Maladie sous-jacente (Db, VIH) Tumeur, greffe Chimiothérapie, radiothérapie Intervention chirurgicale Dispositifs invasifs (sonde, IV, tube endotrachéal) Âge Que faire pour éviter les infections associées aux soins? Pratiques de base Respect et application : Précautions additionnelles PRATIQUES DE BASE ÉVALUATION DU RISQUE AU POINT DE SOINS FORMATION OBLIGATOIRE EN LIGNE 1) Contact 2) Risque * Éclaboussure ou projection de gouttelettes * Exposition : sang / liquides biologiques * Exposition : muqueuses / peau non intacte 3) Évolution des symptômes 4) Observance du patient à l hygiène
3 SOLUTION HYDRO-ALCOOLIQUE Quand? Mains ne sont pas visiblement souillées secondes Exemples : En entrant et sortant du point de soins Avant et après un contact avec un patient Avant la préparation d un médicament HYGIÈNE DES MAINS : EAU et SAVON Quand? Mains visiblement souillées (sang, liquides biologiques) Inconfort sur la peau après l utilisation répétée SHA Soins à un patient suspecté ou confirmé DACD secondes Exemples Après avoir satisfait à des besoins hygiéniques personnels Avant et après les repas Après s être mouché CONCEPT : ZONE PATIENT HYGIÈNE DES MAINS EFFICACE VRAI ou FAUX 20 % de l hygiène des mains se traduit par 40 % du taux d infections associées aux soins de santé Peut-on porter les mêmes gants pour prodiguer des soins à tous les patients occupant la même chambre
4 PORT DE GANTS Ne remplace pas l hygiène des mains Changés et jetés entre chaque patients Ne jamais les nettoyer Hygiène des mains pré et post retrait Portés si risque de : Contact : muqueuses, liquides organiques, sang Blessure : objet pointu, tranchant Présence : lésion cutanée, blessure aux mains PORT DE LA PROTECTION DU VISAGE Masque et protection des yeux Activités susceptibles de provoquer : Toux Projections, éclaboussures (sang, liquides biologiques) Interventions pouvant exposer les muqueuses Situé à moins de 2 m d un patient ayant une infection respiratoire BONNES PRATIQUES : PROTECTION DU VISAGE Recouvrir : yeux, nez, bouche, menton Changer si : humide, souillé, endommagé Ne pas laisser pendre autour du cou Retirer par les courroies Jeter après utilisation unique BONNES PRATIQUES : BLOUSE NETTOYAGE et DÉSINFECTION : PETIT ÉQUIPEMENT NETTOYAGE DE L ENVIRONNEMENT Utilisation : contact avec un seul patient Protection : peau, vêtements (sang, liquides biologiques) Retrait immédiat : si mouillée ou souillée NETTOYAGE : Poussière, saletés, micro-organismes Eau, savon, germicide (laisser agir : 30 sec) DÉSINFECTION : Élimine les agents pouvant transmettre les infections Germicide (laisser agir : 5 min) Maintenir des lieux de soins propres et sans encombrement Aviser H & S : si observation : Déversement (sang, liquides biologiques, sécrétions) Rideau séparateur souillé Situation nécessitant un correctif sur le plan de l hygiène
5 REVÊTIR L ÉQUIPEMENT DE PROTECTION INDIVIDUELLE RETIRER L ÉQUIPEMENT DE PROTECTION INDIVIDUELLE Hygiène des mains Blouse Masque Protection oculaire Gants Gants Blouse Hygiène des mains Protection oculaire Masque Hygiène des mains TRANSMISSION : CONTACT Direct / indirect Ex : SARM, Entérobactérie (BLSE, Amp C), poux, gale TRANSMISSION : GOUTTELETTES Projetées jusqu à 2 m (toux, éternuement, parole) Ex : infections invasives à méningocoque, coqueluche, oreillons, rubéole TRANSMISSION : GOUTTELETTES et CONTACT Gouttelettes projetées jusqu à 2 m (toux, parole, éternuement ) Contact direct / indirect Ex : Pneumonie à SARM, influenza, VRS, Infections invasives à Streptocoque B hémolytique A
6 TRANSMISSION : AÉRIENNE Petites particules (aérosols) d agents infectieux restant en suspension dans l air Ex : tuberculose, rougeole Transmission aérienne : Bonnes pratiques N-95 Porté : avant d entrer Retiré : après être sorti de la chambre Changé si : humide, souillé, endommagé Hommes : protection si barbe rasée TRANSMISSION : AÉRIENNE et CONTACT Ex : varicelle, zona BACTÉRIES MULTI-RÉSISTANTES (BMR) Résistance à l action d un ou de plusieurs agents antimicrobiens Importance clinique ou épidémiologique (SARM - ERV - Entérobactéries ) UNITÉS D ISOLEMENTAU CHUM Staphylocoque aureus résistant à la méthicilline (SARM) Staphylocoque aureus : narines, peau, aisselles, zones périnéales, inguinales Colonisation / infection
7 * Cette liste est envoyée par la Direction de la santé publique de Montréal No form PRÉLÈVEMENTS NE PEUT RÉPONDRE OUI NON NE SAIT PAS DATE SIGNATURE Entérocoque résistant à la vancomycine (ERV) TRANSMISSION CROISÉE SARM et ERV : Dépistage Enterococcus : fait partie de la flore digestive Facilement transmissible Très résistant dans l environnement Transmission contact (fécal / oral) Colonisation / infection SARM Humidifier l écouvillon Insérer l écouvillon dans la narine (1-2 cm) en effectuant 5 rotations Procéder de la même façon pour l autre narine (avec même écouvillon) Remettre dans l étui de transport ERV Insérer l écouvillon dans l ampoule rectale (3-4 cm) en effectuant 1 rotation Remettre dans l étui de transport SARM et ERV : COLONISATION / INFECTION ORDONNANCE COLLECTIVE OASIS COLONISÉ Aucun signe d infection Aucune antibiothérapie Durée de colonisation : SARM : pendant des mois, des années ERV : 3-6 mois Sites fréquemment colonisés : SARM : nez, peau ERV : flore intestinale Signes d infection Antibiothérapie Type d infection : INFECTÉ SARM : bactériémie, plaie, pneumonie, urinaire ERV : urinaire, plaie, endocardite, bactériémie IDENTIFICATION DES PATIENTS PORTEURS DE BACTÉRIES MULTIRÉSISTANTES : ERV, SARM et ENTÉROBACTÉRIES PRODUCTRICES DE CARBAPÉNÉMASES (EPC) QUESTIONNAIRE ET ORDONNANCE PERMANENTE N O B-106 QUESTIONS À POSER AU PATIENT OU À LA PERSONNE SIGNIFICATIVE L ACCOMPAGNANT (cette section est remplie soit à l accueil, à l urgence ou en pré-admission) Ce formulaire doit être rempli dès l arrivée du patient à l urgence ou lorsqu une demande d hospitalisation est faite. Il ne s applique pas aux clientèles mère-enfant et de psychiatrie. 1. Êtes-vous porteur d une bactérie multirésistante? 2. Depuis la dernière année, avez-vous été hospitalisé(e), c est-àdire couché(e) dans un lit d hôpital durant plus de 24 heures, ceci exclut être couché(e) à l urgence. 3. Depuis la dernière année, avez-vous été hospitalisé(e), c est-àdire couché(e) dans un lit d hôpital à l extérieur du Québec ou dans un hôpital présent sur la liste*, durant plus de 24 heures, ceci exclut être couché(e) à l urgence. 4. Depuis les 5 dernières années, avez-vous été hospitalisé(e), c està-dire couché(e) dans un lit d hôpital durant plus de 24 heures, ceci exclut être couché(e) à l urgence. Par hôpital, on entend : centre hospitalier de courte et de longue durée, centre de réadaptation et maison d hébergement. Date : Signature : SI LE PATIENT A RÉPONDU OUI À LA QUESTION 1: Isoler le patient à l urgence ou à l unité de soins dès son admission; Procéder aux prélèvements A, B, pour culture dès qu il y a une demande d hospitalisation. SI LE PATIENT A RÉPONDU OUI À LA QUESTION 2 ET/OU 4, OU SI LE PATIENT NE PEUT RÉPONDRE OU NE SAIT PAS: Procéder aux prélèvements A, B pour culture dès qu il y a une demande d hospitalisation. SI LE PATIENT A RÉPONDU OUI À LA QUESTION 3: Isoler le patient à l urgence ou à l unité de soins dès son admission; Procéder au prélèvement A, B, C pour culture dès qu il y a une demande d hospitalisation. (Trois écouvillons différents) NB : Un écouvillon par analyse demandée A Recherche d ERV Culture de selles ou écouvillonnage rectal. B Recherche de SARM Nez : utiliser 1 seul écouvillon pour les 2 narines. Si le patient est porteur de SARM et présence de : Stomie : utiliser 1 écouvillon par stomie et effectuer les prélèvements autour de la plaie; Plaie : utiliser 1 écouvillon par plaie; Sonde vésicale : prélèvement pour culture d urine. C Recherche d entérobactéries productrices de carbapénémases Culture de selles ou écouvillonnage rectal.
8 ENTÉROBACTÉRIES : B- lactamases à spectre étendu C. difficile (DACD) : ÉPIDÉMIOLOGIE C. difficile (DACD) : FACTEURS DE RISQUE BLSE MANIFESTATIONS CLINIQUES COLONISÉ / INFECTÉ (Isolement Cohorte possible 2 BLSE Bactériémies Infections urinaires Infections respiratoires contact / G+C) Type : Amp C Cohorte possible 2 Amp C Bactérie sporulée produisant des toxines causant une inflammation de l intestin Spores survivent dans l environnement Transmission : fécale orale Prise d antibiotique (ad 8 semaines) Âge avancé Maladies sous-jacentes Chirurgie gastro-intestinale Traitement contre l acidité gastrique Proximité d un patient atteint DACD PATHOGÈNE À ISOLER Klebsiella sp E. Coli Proteus Klebsiella sp E. Coli % des patients hospitalisés peuvent acquérir cette bactérie C. difficile (DACD) : QUAND LE SOUPCONNER? C. difficile : RÉSULTATS C. difficile (DACD) Présence de diarrhées inexpliquées (3 selles liquides / 24 heures) Prise d antibiotique (ad 8 semaines) C. difficile : RÉSULTAT (-) 1) C. diff. Ag Final : ABSENCE de l antigène du C.difficile 2) PRÉSENCE l Ag du C. Difficile MAIS ABSENCE de CYTOTOXINE B dans les selles ISOLEMENT : À cesser selon évaluation clinique C. difficile : RÉSULTAT (+) 3) C. diff : Ag Final : PRÉSENCE de l antigène du C. difficile 4) Cytotoxine B par culture cellulaire : POS PRÉSENCE CYTOTOXINE B du Clostridium difficile ISOLEMENT : ad min 3 jours après le retour de selles formées. À cesser selon évaluation clinique et après désinfection de la chambre -Aucun test de contrôle
9 C. difficile (DACD) VOTRE RESPONSABILITÉ : ÉQUIPEMENT DE SOINS C. difficile (DACD) : COLLECTE DE DONNÉES Initier dès que l on soupçonne une DACD Vigilance : Hygiène des mains 1) SHA 2) Eau - savon 3) Ne pas utiliser le lavabo du patient Pouvons-nous cohorter? À qui sera dédié? Nettoyage et désinfection Notes d observations précises: Inscription dans OACIS quantité et consistance Feuille de décompte des selles Communication entre les intervenants : Évolution du patient et sa réponse au traitement Isolement est toujours indiqué Professionnalisme Éviter la situation suivante. TRANSMISSION CONTACT - INDIRECT PETIT GESTE SIGNIFICATIF Inciter les patients à utiliser la lingette présente dans les plateaux repas avant de manger GASTRO-ENTÉRITE D ALLURE VIRALE (norovirus) Tableau clinique avec début soudain : Nausées, vomissements, diarrhées, myalgies, céphalées, malaises Incubation : h Contagion : qqs h avant le début des sx ad 48 h post fin de sx Éclosions fréquentes : mise en place stat des précautions additionnelles
10 ÉTIQUETTE RESPIRATOIRE INFLUENZA : ÉPIDÉMIOLOGIE / ISOLEMENT Incubation : heures INFLUENZA : VRAI ou FAUX 1) Grippe n est pas une maladie dangereuse Contagion : 24 h avant le début des symptômes Ad 7 jours après le début des symptômes Isolement : ad fin des symptômes (absence : toux, expectoration, T*) Vaccin anti-grippal : 2) Peut donner la grippe 3) Donne des effets secondaires majeurs 4) N est pas efficace Suspicion de grippe saisonnière en cours d hospitalisation Patient suspecté: Isolement préventif «gouttelettes et contact 1» pour le patient et son voisin dans la même chambre 2 PRISE DE POSITION DE L OIIQ RÉALITÉS CANADIENNES Recherche d influenza ou VRS(virus respiratoire syncitial) chez le patient suspecté Immunité de base Si positif Si négatif Patient positif : Isolement «gouttelettes et Patient symptomatique SAG 4 (toux, expecto, T*) : Patient asymptomatique SAG 4 (absence : toux, contact» dans une chambre seule ou évaluation médicale et maintenir isolement expecto, T*): cesser l isolement «gouttelettes et en cohorte avec un autre patient positif «gouttelettes et contact» jusqu à la fin des contact» symptômes Voisin de chambre : Aucun isolement 3 Évaluation du médecin traitant pour nécessité de vacciner et d administrer la médication antivirale 1 Lors d interventions générant des aérosols, le virus de l influenza peut se transmettre par voie aérienne.). Lors de l exécution de ces procédures un masque N95 doit être porté. 2 Les deux patients peuvent demeurer dans la même chambre (2m). Toutefois, le rideau séparateur doit être maintenu fermé et l équipement de protection changé entre chaque patient. 3 Surveiller l apparition des symptômes d allure grippale pour 72 heures. Si le patient développe des symptômes, il doit être mis en isolement. 4 Lorsque le tableau clinique du patient est compatible avec une grippe sans que le diagnostic soit confirmé par laboratoire, on parle de syndrome d allure grippale (SAG). Vaccin contre l influenza (annuellement) Tenue vestimentaire Octobre infections associées aux soins de santé (IASS) sont contractées chaque année et que plus de 8000 personnes en meurent Au CHUM : 1 /10 patient contractera l une de ces infections
11 RÉALITÉS CANADIENNES RÉALITÉS QUÉBÉCOISES INFECTIONS ASSOCIÉES AUX SOINS DE SANTÉ VRAI OU FAUX Au Québec, entre 2000 et 3000 décès surviennent chaque année à la suite d infections associées aux soins de santé VRAI ou FAUX 50 % des infections associées aux soins de santé pourraient être évitées INFECTION URINAIRE IASS plus fréquente (34%) Associée au cathéter urinaire (80 %) Bonnes pratiques : Prévention INFECTION PULMONAIRE 2 rang des IASS Mortalité élevée (20-30%) : Durée de séjour, coûts incidence 6-20 fois (ventilation mécanique) Bonnes pratiques : Prévention
12 INFECTION SITE OPÉRATOIRE 3 rang des IASS Durée de séjour 7-10 jours Bonnes pratiques : pré per post op SEPTICÉMIE Associée aux cathéters intravasculaires (majorité) Mortalité et morbidité importantes Bonnes pratiques : Prévention MISE EN SITUATION Un patient est admis pour malaria Le médecin prescrit d isoler le patient, sans toutefois spécifier le type de précautions additionnelles. Quel type de précaution allez-vous mettre en place DOCUMENTS DE RÉFÉRENCES : INTRANET ÉDUCATION DES PATIENTS et VISITEURS Micro-organismes : SARM ERV BLSE C. difficile A NOUS DE JOUER MAINTENANT POUR ÉVITER CECI Problèmes infectieux : Influenza Gastro-entérite
13 RÔLE DE L INFIRMIÈRE SOIGNANTE EN PCI OIIQ Informer la PCI de la présence d un nouveau cas Instaurer des mesures appropriées lorsque les clients présentent un problème infectieux présumé ou confirmé Enseigner les pratiques de base et les précautions additionnelles à la clientèle, aux intervenants et visiteurs Appliquer en tout temps et veiller au respect des mesures de PCI RÔLE DE L INFIRMIÈRE SOIGNANTE EN PCI OIIQ Respecter les principes d asepsie Évaluer chez le client les facteurs de risque de contracter / transmettre / développer une infection Communiquer l information lors d un transfert intra établissement ou inter établissement Maintenir ses connaissances à jour en matière de PCI CONCLUSION Le prévention et le contrôle des infections est une des responsabilités de chaque travailleur de la santé Travaillons ensemble pour réduire les risques d infections auxquels sont exposés les patients Cet objectif est réalisable, mais demande à tous un engagement et une collaboration soutenue QUE NOUS RÉSERVE L AVENIR? QUESTIONS - COMMENTAIRES RÉFÉRENCES Association for professionals in infection control and epidemiology (APIC). (2014). Text of infection control and epidemiology (4 e éd.). Washington: APIC (1 re éd. 2002). CHUM (Guide à l intention du patients hospitalisé et de ses proches Ministère de la santé des services sociaux (MSSS). (2011). Guide pour la prophylaxie postexposition (PPE) aux personnes exposées à des liquides biologiques dans le contexte du travail. Québec. CHUM (2001).Manuel de prévention des infections Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ) (2009). Masque chirurgicaux et de procédures, choix de l équipement. Québec :Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ). Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ) (2012). Mesures de prévention et contrôle de l ERV dans les milieux de soins aigus du Québec. Québec :Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ). Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ). (2005) Mesures de contrôle et prévention des éclosions de cas de gastroentérite infectieuse d allure virale (Norovirus) à l intention des établissements de soins. Québec : INSPQ. Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ). (2013). Précisions sur la gestion d une éclosion majeure de cas de gastroentérite infectieuse d allure virale (Norovirus) en milieu de soins, version préliminaire. Québec: INSPQ.
14 RÉFÉRENCES - suite - Institut national de santé publique (INSPQ). (2014). La prévention des bactériémies associées aux cathéters vasculaires centraux. Québec: Gouvernement du Québec. Agence de santé publique du Canada (2012). Outils d enseignement et d évaluation des pratiques de base et des précautions additionnelles. Ottawa: Sa Majesté la Reine du Chef du Canada Agence de santé publique du Canada (2012). Pratiques de base et précautions additionnelles visant à prévenir la transmission des infections dans les milieux de soins. Ottawa: Sa Majesté la Reine du Chef du Canada. Agence de santé publique du Canada (2012). Pratiques en matière d hygiène des mains dans les milieux de soins. Ottawa: Sa Majesté la Reine du Chef du Canada Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ). (2012) Mesures de prévention et de contrôle de la grippe saisonnière en centre hospitalier de soins généraux et spécialisés. Québec : Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ). (2013). Lignes directrices : Précision sur la gestion d une éclosion majeure de grippe saisonnière nosocomiale en milieu de soins. Québec : Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) (2007). Protéger la population par la vaccination. Montréal: OIIQ. Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ). (2008). Protéger la population par la prévention et le contrôle des infections. Une contribution essentielle de l infirmière. Prise de position sur le rôle et les responsabilités de l infirmière en matière de prévention et de contrôle des infections. Montréal: OIIQ.
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