Edmund S. Phelps: : Prix Nobel d Économie 2006
|
|
- Mauricette Ledoux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Edmund S. Phelps: : Prix Nobel d Économie 2006 Michel Cousineau Jean-Michel École de relations industrielles Université de Montréal ASDEQ, Ottawa, 18 janvier
2 Introduction Qui est Edmund S. Phelps? Professeur à l Université Columbia Diplômé de l Université Yale en 1959 Collègue du professeur Bodkin à la Cowles Foundation au début des années 60. Pour quoi a-t-il obtenu le Prix Nobel d économie? Pour plusieurs contributions dont sa contribution à la théorie de la croissance économique, mais la première raison mentionnée par l Académie est d avoir amélioré notre compréhension de la relation entre l inflation et le chômage Sur quoi s appuie cette contribution? Pour l essentiel, cette contribution s appuie sur deux articles scientifiques. 2
3 Les articles méritoires Ces deux articles sont: «Phillips Curve, Expectations of Inflation and Optimal Unemployment Over Time»,Economica, vol. 34, pp. 254 à 281, «Money-Wage Dynamics and Labor- Market Equilibrium», Journal of Political Economy, vol. 76, pp. 678 à 711,
4 Plan de la présentation Présentation des deux articles dans le désordre chronologique. Article de 68= fondements théoriques de la dynamique des salaires. Article de 67: véritables contenu et enjeux de la courbe de Phillips. 4
5 Courbe de Phillips: les origines Avant Phelps, il y eut Phillips. Phillips met en évidence des couples: variations en pourcentage des salaires nominaux/taux de chômage pour le Royaume-Uni pour la sous-période Il applique cette «Loi» aux années subséquentes: Il découvre une relation inverse et séculaire entre ces deux variables. MAIS IL N Y A PAS DE THÉORIE. 5
6 Richard G. Lipsey: La Théorie 6 Richard Lipsey considère deux situations de demande excédentaire au point de départ. Si, d une part, la variation de salaire augmente avec la taille de la demande excédentaire et si, d autre part, il s établit une relation inverse entre le chômage et la demande excédentaire. Il s ensuit qu une augmentation de la demande excédentaire augmente les variations de salaire d un côté et diminue le taux de chômage de l autre. Donc, quand le chômage diminue, les variations de salaire augmentent. C est la Courbe de Phillips «classique».
7 La courbe de Phillips «classique» Taux d inflation P% Arbitrage Inflation- Chômage Taux de chômage 7
8 Le questionnement ou la critique de Phelps 1 Ce ne sont pas de véritables fondements théoriques: ils ne font pas intervenir le comportement des entreprises. 2 L analyse ne tient pas compte des anticipations. 8
9 La contribution de Phelps: les fondements économiques A) Lorsque le chômage est bas les entreprises voient leurs taux de roulement s accroître. B) Cela occasionne des coûts: perte de production ou, si l entreprise veut maintenir son niveau de production: recrutement, sélection, formation des nouveaux employés en remplacement. 9
10 Fondements microéconomiques (suite) C)Pour minimiser ces coûts, chaque entreprise sera tentée d augmenter son salaire par rapport à ses concurrents. D) Si toutes les entreprises font de même, le salaire moyen devra aussi augmenter. Donc à chômage bas, les salaires devront augmenter. 10
11 Les anticipations: en équilibre En l absence de changement salarial ailleurs,une entreprise qui veut conserver sa différence salariale par rapport aux autres entreprises, en équilibre (si ses attentes se réalisent), maintiendra son salaire de départ. Si elle s attend à ce que les autres augmentent leurs salaires de 2%, elle augmentera les siens de 2%. 11
12 Les anticipations: en déséquilibre En déséquilibre (chômage bas), en l absence d augmentations de salaires anticipées ailleurs, l entreprise pourra vouloir augmenter ses salaires de 1%. Mais en présence d anticipations de croissance salariale de 2% ailleurs, elle les augmentera de 3%. On doit donc ajouter les augmentations anticipées à l augmentation souhaitée. 12
13 Conclusions théoriques Si les augmentations anticipées sont égales aux augmentations générales, le processus est sans fin car chaque entreprise voudra augmenter son salaire plus que les anticipations tant que U<U*. U* est le NAIRU. Alors qu il y a une courbe de Phillips à court terme, il ne peut y avoir de courbe de Phillips à long terme. La courbe de Phillips à court terme est non seulement variable en fonction de l inflation anticipée, mais elle devient parfaitement verticale à long terme. 13
14 Courbe de Phillips dynamique révisée par Phelps. Variations en % des salaires w% ( w/w)2 Courbe de Phillips à long terme ( w/w) 1 Taux de chômage U TC d équilibre 14
15 Les implications pour la politique publique (le deuxième article) Dans premier article de 1967, Phelps propose de maximiser une fonction d utilité sociale sous contrainte de la courbe de Phillips dynamique. Dans ce contexte, il postule que l inflation (P) est une fonction du chômage (U) et de l inflation anticipée (Pe): P =Ф(U) + Pe Puis, il découvre que les arbitrages ne sont pas ceux auxquels on pensait. 15
16 La représentation graphique du problème Ceci peut s illustrer par la représentation suivante: Taux d inflation P% Courbe de Phillips à long terme Inflation = ( P/P) 1 TC d équilibre Taux de chômag e U 16
17 Un changement de paradigme Au point de rencontre entre une courbe de Phillips standard et l abscisse on trouve le taux de chômage d équilibre. Au point de tangence entre la courbe d iso-utilité sociale et la courbe de Phillips statique, on trouve les préférences mises en évidence par l analyse conventionnelle. Ce scénario ne tient plus. 17
18 Contenu et enjeux de la Courbe de Phillips. Le vrai contenu de la courbe de Phillips n est pas un taux d inflation stable qui correspond à un taux de chômage inférieur au NAIRU, mais une inflation mouvante et galopante. Les vrais enjeux sont donc un bas taux de chômage dans le présent au prix d une inflation sans limite dans le futur. 18
19 Les leçons de politique publique La leçon qu on en retire pour la politique publique est simple. Il faut gérer la demande globale de telle sorte qu elle nous amène à un taux d inflation structurelle optimale (qui correspond aux préférences pour le temps). Au Canada et aux États-Unis, ce type de politique a été suivie. Pour le Québec, il en est résulté un baisse de l indice de «misère» = somme inflation plus chômage. 19
20 Indice de Misère au Québec= taux d inflation plus taux de chômage. 1970: 13,3 1972: 12,3 1974: 17,5 1976: 16,2 1978: 19,8 1980: 20,0 1982: 24,7 1984: 17,2 1986: 15,1 1988: 13,4 1990: 14,9 1992: 14,3 1994: 12,5 1996: 13,5 1998: 11,2 2005: 10,5 20
21 Merci Évolution de l'indice de"misère" au Québec Valeur de l'indice Année 21
ESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailCYCLE FINANCIER, POLITIQUE MONÉTAIRE, DETTE PUBLIQUE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii
CYCLE FINANCIER, POLITIQUE MONÉTAIRE, DETTE PUBLIQUE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii A partir des années 1980, la recherche de la BRI montre que la dynamique financière est radicalement
Plus en détailPOUR UN ENCADREMENT DES PÉNALITÉS HYPOTHÉCAIRES AU CANADA. Richard Beaumier, FCA, CFA, MBA VICE-PRÉSIDENT, COMITÉ RELATIONS GOUVERNEMENTALES
POUR UN ENCADREMENT DES PÉNALITÉS HYPOTHÉCAIRES AU CANADA Richard Beaumier, FCA, CFA, MBA VICE-PRÉSIDENT, COMITÉ RELATIONS GOUVERNEMENTALES FÉDÉRATION DES CHAMBRES IMMOBILIÈRES DU QUÉBEC Novembre 2010
Plus en détailRégime de retraite pour les employés de la Ville de Mascouche
Rapport de la situation financière Présenté au conseil municipal le 19 janvier 2015 Numéro d enregistrement auprès de l Agence du revenu du Canada 0395541 Numéro d enregistrement auprès de la Régie des
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailAssemblée générale du 5 décembre 2013. Le RRUQ. Définition et fonctionnement SPP UQAC
Assemblée générale du 5 décembre 2013 Le RRUQ Définition et fonctionnement 1 Le RRUQ Le RRUQ est le régime de retraite de l Université du Québec. Tous les professionnels, employés de soutien et professeurs
Plus en détailPrésentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia
Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire
Plus en détailLes salaires réels ont ils été affectés par les évolutions du chômage en France avant et pendant la crise?
Les salaires réels ont ils été affectés par les évolutions du chômage en France avant et pendant la crise? Grégory Verdugo Direction des Études microéconomiques et structurelles Service des Analyses microéconomiques
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailConcurrence imparfaite
Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,
Plus en détailPierre Marchand Consultant
Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détailMIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE
Lancement de la publication Paris, 30 janvier 2014 VIEILLISSEMENT ET POLITIQUES DE L EMPLOI MIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE RAPPORT DE L OCDE SUR LA FRANCE Stefano Scarpetta, Directeur Anne Sonnet, Responsable
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailFormation 1 semaine.
Formation 1 semaine. Trader les Futures par les carnets d ordres : Devises et obligations. Animé par: Team Traders Pro. Pour Qui? Destiné à ceux qui désirent devenir Traders et désireuses d apprendre les
Plus en détailLes coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7
Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailinto the gap into the gap international database on employment and adaptable labor Français
into the gap Français into the gap international database on employment and adaptable labor into the gap Français exploring skills and mismatches Ernest Berkhout Michael Sattinger Jules Theeuwes Maikel
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailWEBINAIRE SUR LE SUIVI DE TENDANCES
WEBINAIRE SUR LE SUIVI DE TENDANCES Le 16/02/2012 à 21H Présenté par Gilles SANTACREU (Boursikoter.com) En partenariat avec CMC Markets 1 Gilles SANTACREU, 43 ans - Webmaster et fondateur du site Boursikoter.com
Plus en détailVos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?
> pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital
Plus en détailLa France et le Royaume-Uni face à la crise (2008-2014) Deux approches de la gestion de la crise et leurs conséquences sur la croissance et l emploi
La France et le Royaume-Uni face à la crise (2008-2014) Deux approches de la gestion de la crise et leurs conséquences sur la croissance et l emploi RĖSUMĖ Septembre 2014 www.cercledoutremanche.com SOMMAIRE
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailQuels sont les grands déséquilibres macroéconomiques? Durée : maximum 4h30
Quels sont les grands déséquilibres macroéconomiques? Durée : maximum 4h30 Raphaël Pradeau (Académie de Nice) et Julien Scolaro (Académie de Poitiers) Programme : NOTIONS : Demande globale, inflation,
Plus en détailEpargne de précaution : quel potentiel d assurance contre le risque de chômage?
Epargne de précaution : quel potentiel d assurance contre le risque de chômage? Audrey Desbonnet EUREQua-Université Paris I septembre 2004 Résumé L ambition de cet article est de fournir une analyse quantitative
Plus en détailCHAPITRE 1 : LES BASES DU MARCHE DES CHANGES
CHAPITRE 1 : LES BASES DU MARCHE DES CHANGES Marché des changes : techniques financières David Guerreiro david.guerreiro@univ-paris8.fr Année 2014-2015 Université Paris 8 Objectifs du cours Connaissances
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailSTAGE CONDUITE ACCOMPAGNEE FORMATION CONDUITE ACCOMPAGNEE
FORMATION CONDUITE ACCOMPAGNEE Madame, Monsieur, Vous avez inscrit votre enfant à la formation «conduite accompagnée» organisée par EVAL VOYAGES et dispensée par le GROUPE LARGER. Dans le cadre de ce stage
Plus en détailEXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE
EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par
Plus en détailJoueur B Pierre Feuille Ciseaux Pierre (0,0) (-1,1) (1,-1) Feuille (1,-1) (0,0) (-1,1) Ciseaux (-1,1) (1,-1) (0.0)
CORRECTION D EXAMEN CONTROLE CONTINU n 1 Question de cours Question 1 : Les équilibres de Cournot et de Stackelberg sont des équilibres de situation de duopole sur un marché non coopératif d un bien homogène.
Plus en détailMicrosoft Excel : tables de données
UNIVERSITE DE LA SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3 Année universitaire 2000-2001 2ème SESSION SLMD2 Informatique Les explications sur la réalisation des exercices seront fournies sous forme de fichiers informatiques.
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailÉtude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au
Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université Version finale Présentée au Syndicat général des professeurs et professeures de l Université de Montréal (SGPUM)
Plus en détail5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*
Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence
Plus en détailInterpréter correctement l évolution de la part salariale.
Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Gilles Saint-Paul Université de Toulouse I et Ministère de l Ecologie En, la part des salaires dans la valeur ajoutée (ou dans le PIB) est un
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailLes ménages et le crédit
Les ménages et le crédit Marseille 16 novembre 2011 1 Tous droits réservés 2011 Objectif et plan PLAN DE LA PRÉSENTATION Etat des lieux : Endettement et surendettement Bien souscrire son crédit immobilier
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailSéance 4. Gestion de la capacité. Gestion des opérations et de la logistique 4-530-03
Gestion des opérations et de la logistique Séance 4 4-530-03 Gestion de la capacité Points importants présentés au dernier cours Les principaux types d aménagement Étude du travail et l amélioration des
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailDans quelle mesure la flexibilité du marché du travail permet-elle de favoriser l emploi?
Dans quelle mesure la flexibilité du marché du travail permet-elle de favoriser l emploi? Indice de LPE Indice de LPE pour les contrats pérennes Document 1. Indice de législation protectrice de l emploi.
Plus en détailCHAPITRE 4 : DETERMINANTS DU CHANGE ET SMI
CHAPITRE 4 : DETERMINANTS DU CHANGE ET SMI Monnaie et Finance Internationales David Guerreiro david.guerreiro@univ-paris8.fr Année 2014-2015 Université Paris 8 Table des matières 1 Les déterminants du
Plus en détailDélais de paiement : Le grand écart
Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailFormation 2 mois. Trader les Futures par les carnets d ordres :
Formation 2 mois Trader les Futures par les carnets d ordres : Marché des Matières premières avec Gold, Pétrole, Argent, Marché obligataire du Bund, Eurostoxx, Dax, Russel, S&P, Spread Dax-Stoxx, EUR/USD.
Plus en détailRéallocation de la main-d oeuvre et productivité
Réallocation de la main-d oeuvre et productivité Benoit Dostie Institut d économie appliquée HEC Montréal Atelier 4 : La mobilité de la main-d oeuvre: une stratégie payante pour les entreprises et le Québec,
Plus en détailLE PORTAGE SALARIAL. Jean Michel RAUX. Présentation du 18 et 19 septembre 2014
LE PORTAGE SALARIAL Jean Michel RAUX Présentation du 18 et 19 septembre 2014 3. Le groupe JAM en bref Leader dans son secteur, le groupe JAM (créé en 1991) a réalisé un CA de 35 M et a porté 4.000 salariés
Plus en détailDIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002
Département d économie politique DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS Semestre d hiver 2001-2002 Professeurs Marc Chesney et François Quittard-Pinon Séance
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailLes étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant
Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire
Plus en détailPOL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe)
Université du Québec à Montréal Département de science politique Session Automne 2008 POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au
Plus en détailP.8.1 RÉGIME DE RETRAITE DES CADRES DE DIRECTION DU RÉSEAU DE TRANSPORT DE LONGUEUIL
P.8.1 RÉGIME DE RETRAITE DES CADRES DE DIRECTION DU RÉSEAU DE TRANSPORT DE LONGUEUIL Rapport de la situation financière fondé sur les conclusions de l évaluation actuarielle visée par la Loi 3 Le 19 janvier
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailENTENTE À INTERVENIR. entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. et d autre part :
ENTENTE À INTERVENIR entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC et d autre part : LE SECRÉTARIAT INTERSYNDICAL DES SERVICES PUBLICS (SISP) LA CONFÉDÉRATION DES SYNDICATS NATIONAUX (CSN) LA FÉDÉRATION
Plus en détailPÉRENNISER NOS RÉGIMES À PRESTATIONS DÉTERMINÉES: UN DÉFI DE TAILLE
PÉRENNISER NOS RÉGIMES À PRESTATIONS DÉTERMINÉES: UN DÉFI DE TAILLE Présentation au SEPB Par Marie Josée Naud, conseillère à la FTQ L état des lieux au Canada 2 Les cinq étages du système de retraite canadien
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailLe 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22
SOMMAIRE Restructuration obligatoire pour tous les régimes Processus de restructuration Autres dispositions Tableau des principaux amendements depuis le 12 juin 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ
Plus en détailRÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL
Séance publique RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL Loi 3 - Loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal 19
Plus en détailTEMPS PARTIEL Principe général : Quotité de temps partiel Rémunération : 50 % 50 % ; 60 % 60 % ; 70 % 70 % ; 80 % 85,7 % ; 90 % 91,4 %
Syndicat Indépendant Académique de l Enseignement Secondaire Aix-Marseille Syndicat - national - Indépendant de l Enseignement du Second degré Fédération Autonome de l Education Nationale TEMPS PARTIEL
Plus en détailTable des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est
Section locale 2000 Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est actuellement en vigueur... 3 1997...3
Plus en détailLes conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais
Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Des conclusions qui appellent à la mobilisation Rapport du RIOCM sur le sous-financement des organismes communautaires de
Plus en détailProbabilités stationnaires d une chaîne de Markov sur TI-nspire Louis Parent, ing., MBA École de technologie supérieure, Montréal, Québec 1
Introduction Probabilités stationnaires d une chaîne de Markov sur TI-nspire Louis Parent, ing., MBA École de technologie supérieure, Montréal, Québec 1 L auteur remercie Mme Sylvie Gervais, Ph.D., maître
Plus en détailCet article est une analyse de la question de la
Perspective de la future croissance de la productivité au Canada Thomas A. Wilson* Université de Toronto Cet article est une analyse de la question de la future croissance de la productivité du Canada
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailBudgetInMind, une appli Mac et ipad simple et qui soulage
BudgetInMind, une appli Mac et ipad pour piloter ses finances sur le bout des doigts Les Français ont tous des objectifs, des rêves, des besoins ou des envies : devenir propriétaire d'un bien immobilier,
Plus en détailExposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018
Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013
Plus en détailVers le 7 ème ciel du Revenue Management
LETTRE CONVERGENCE Vers le 7 ème ciel du Revenue Management Les stratégies tarifaires dans les services N 25 To get there. Together. A PROPOS DE BEARINGPOINT BearingPoint est un cabinet de conseil indépendant
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailIncluant l analyse du patrimoine. Description du rapport (Couple seulement)
Incluant l analyse du patrimoine Description du rapport (Couple seulement) Révisé le 25 mai 2011 Table des matières 1. Introduction... 3 1.1 Le rapport PRO et Patrimoine : outil privilégié de communication
Plus en détailLes chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011
Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :
Plus en détailNouvelle aide à l apprentissage pour les entreprises de moins de onze salariés
les infos DAS - n 081 16 juillet 2015 Nouvelle aide à l apprentissage pour les entreprises de moins de onze salariés Conformément au décret n 2015-773 du 29 juin 2015, est créée une aide en faveur des
Plus en détailwww.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ')
www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ') Permettre à des jeunes de devenir apprentis, c est leur offrir une vraie chance de réussite professionnelle et c est apporter de la richesse à votre entreprise. La Chambre
Plus en détailPersonnalisons la comparaison des avantages des honoraires fixes et du tarif horaire II
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Personnalisons la comparaison des avantages des honoraires fixes et du tarif horaire II Michel Desrosiers Le D r Michel Desrosiers, omnipraticien et avocat,
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailGarantir la pérennité des assurances sociales grâce à des mécanismes d intervention dossierpolitique
Garantir la pérennité des assurances sociales grâce à des mécanismes d intervention dossierpolitique 11 septembre 2012 Numéro 19 Assurances sociales En introduisant le frein à l endettement, la Suisse
Plus en détailBTS MUC Management des Unités Commerciales MODALITES & AVANTAGES BUSINESS PROGRAMME / ALTERNANCE
BTS MUC Management des Unités Commerciales MODALITES & AVANTAGES BTS MUC Management des Unités Commerciales OBJECTIFS Le titulaire du BTS Management des Unités Commerciales a pour perspective de prendre
Plus en détailRapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite
Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des
Plus en détailConcours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006. Note d information
OFFICE DES NATIONS UNIES A GENEVE UNITED NATIONS OFFICE AT GENEVA Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006 Note d information 1. Un concours de recrutement de professeurs de français
Plus en détailsur votre régime de retraite
Régie des rentes du Québec Régimes complémentaires de retraite sur votre régime de retraite La Régie des rentes du Québec Lauréate du Grand Prix québécois de la qualité 2001 Ce document d information n
Plus en détailRAPPORT FINAL. REMIS AU Secrétariat à l action communautaire autonome et aux initiatives sociales (SACAIS)
RAPPORT FINAL REMIS AU Secrétariat à l action communautaire autonome et aux initiatives sociales (SACAIS) DANS LE CADRE DU Programme de soutien aux initiatives sociales et communautaires Volet action communautaire
Plus en détailAssurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques
Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Céline Grislain-Letrémy Résumé long - Thèse en sciences économiques sous la direction de Bertrand Villeneuve L objet de cette thèse
Plus en détailQu est-ce-qu un Warrant?
Qu est-ce-qu un Warrant? L epargne est investi dans une multitude d instruments financiers Comptes d epargne Titres Conditionnel= le detenteur à un droit Inconditionnel= le detenteur a une obligation Obligations
Plus en détailLe commerce des promesses Petit traité sur la finance moderne
Le commerce des promesses Petit traité sur la finance moderne Pierre-Noël Giraud (Seuil, 2009, 10 50) Voilà un livre tout à fait remarquable, qui prouve qu il est possible de traiter de questions essentielles,
Plus en détailAttirez les meilleurs employés et consolidez votre entreprise
Attirez les meilleurs employés et consolidez votre entreprise Grâce à leur régime d assurance collective, les employés sont toujours gagnants Augmentation salariale ou régime d assurance collective? Il
Plus en détailDistinctions et classements
Distinctions et classements Satisfaire ses clients est la priorité de CGI. Grâce à une approche cohérente, disciplinée et responsable en matière de prestation de services, CGI réalise ses projets dans
Plus en détailPrésentation Septembre 2015
Présentation Septembre 2015 Qui sommes-nous? Créé en 2007, le DynsClub est une Association Loi 1901 rassemblant les sociétés utilisatrices d une solution Microsoft Dynamics Par son action le DynsClub fédère
Plus en détailAnnexe B : Exemples. Avis de vente aux enchères liées Système de plafonnement et d échange de droits d émission de gaz à effet de serre (GES)
Annexe B : Exemples Avis de vente aux enchères liées Système de plafonnement et d échange de droits d émission de gaz à effet de serre (GES) Ce document fournit des exemples sur la façon de déterminer
Plus en détailMinimiser vos impôts sur votre rémunération d entrepreneur : pouvez vous faire mieux?
1 Minimiser vos impôts sur votre rémunération d entrepreneur : pouvez vous faire mieux? Présenté par France Gagnon, CPA, CA, M.FISC. Le 26 novembre 2014 Agenda Introduction Qu en est il du REÉR? Taux d
Plus en détail