Guide des Ateliers de Cuisine Thérapeutique
|
|
- Eugène Henry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Guide des Ateliers de Cuisine Thérapeutique - 1 -
2 INTRODUCTION L intérêt de l atelier éducatif et thérapeutique de cuisine est reconnu par les professionnels de la Santé et particulièrement ceux exerçant en établissement psychiatrique et gériatrique. Son existence s inscrit parfaitement dans le projet de soins des patients. Cette activité a de multiples finalités : - socialisation (en pédopsychiatrie) - resocialisation (en psychiatrie) - maintien des acquis de l autonomie (en gériatrie) La réglementation en matière d alimentation destinée à des collectivités est bien précise. Ainsi, le CLAN du CH de JONZAC a désigné en Octobre 2008 un groupe de travail afin de rédiger un protocole d hygiène pour encadrer les ateliers thérapeutiques du CH JONZAC. Ce protocole a pour objectif de se rapprocher des recommandations du CCLIN et de créer un outil d aide et de référence dans la mise en place des règles simples d hygiène pour prévenir les risques d intoxication alimentaire collective tout en maintenant cette activité de soin thérapeutique. Il est également un référentiel adapté aux conditions de réalisation et de consommation des repas lors des séjours thérapeutiques
3 LE CADRE REGLEMENTAIRE Les conditions d hygiène en restauration sociale collective sont réglementées par l arrêté du 29 septembre Cependant il convient de distinguer deux cas pour les ateliers de cuisine thérapeutique dans lesquels les convives participent à l élaboration des repas (Note de Service DGAL / SDHA / N du 10 AOUT 1998) : 1- Seuls les participants consomment les repas : l activité n entre pas dans le champ d application de l arrêté du 29 septembre 1997, 2- Les repas sont servis à des consommateurs autres que ceux qui les ont préparés dans le cadre de la restauration collective : l activité entre dans le champ de l arrêté du 29 septembre Il se veut un outil d aide et de référence dans la mise en place de règles simples d hygiène permettant de prévenir les risques d intoxication alimentaire collective tout en maintenant cette activité d atelier thérapeutique. IDENTIFICATION DES PRINCIPAUX DANGERS LIES A L ACTIVITE - La contamination initiale peut être le fait du fabricant et/ou du distributeur. - La multiplication des micro-organismes qui sont éventuellement présents dans les denrées alimentaires (matières premières). Cette multiplication est liée principalement aux facteurs temps et température. - La re-contamination microbienne peut provenir des denrées alimentaires non conditionnées ou de l environnement : atmosphère, personnel, participation de non professionnels à la préparation des repas, consommateurs, matériels en contact, défauts de nettoyage et de désinfection des matériels en contact avec les denrées alimentaires. POINTS A MAITRISER Les points à maîtriser concernent : - l origine et la manipulation des produits, - la consommation, - l encadrement des non-professionnels, - l attribution des tâches des personnes en prenant en compte les connaissances de chacune, ses capacités mentale et physique
4 LES INTERETS THERAPEUTIQUES DE L ATELIER CUISINE La cuisine thérapeutique représente une activité de soin et d animation à part entière dans l établissement. Les repas sont des moments forts de la journée, de l achat à la préparation, jusqu à la dégustation. Les ateliers culinaires sont des activités ludiques de premier ordre, menés en groupe et praticables à tous les âges. Mais ils sont aussi un soin en service de psychiatrie ou en EHPAD : - En pédopsychiatrie, l atelier cuisine est un médiateur thérapeutique. - En psychiatrie et en EHPAD, l atelier permet de développer des activités de soins de types : o Réadaptative o Evaluative (évaluer les capacités de gestion du quotidien) o Rééducative (rééducation manuelle et mnésique, revalorisation de l estime de soi, resociabilisation à l occasion de sortie à l extérieur pour l achat des denrées) L ensemble de ces arguments de soins, offerts par la cuisine thérapeutique, plaide donc largement pour le maintien dans les institutions de soins puisqu il contribue à l objectif global de socialisation des patients
5 CHOIX DU LOCAL LES EQUIPEMENTS RECOMMANDES Des locaux spécifiques de type "cuisine" et "salle à manger" sont mis à disposition de l animateur de l activité. A défaut, les offices des unités de soins peuvent être utilisés pour la réalisation des ateliers. Le local doit être aéré et ventilé. Les surfaces ne présentent pas de moisissures. N.B. : Interdire les plantes et la présence d'animaux domestiques afin de prévenir les sources de contamination extérieures. AMENAGEMENT DU LOCAL Les plans de travail, l'évier, la table, les murs, le sol, le plafond - Les différentes surfaces doivent être faciles à nettoyer et à désinfecter. - Les surfaces sont constituées de matériaux lisses, de couleur claire, imputrescibles, lavables et non toxiques. Un point d eau équipé pour le lavage des mains - Lavabo, robinet à commande non-manuelle (fémorale ou à pied) si possible et à prévoir en cas de restructuration, - En l absence de point d eau, utiliser les lingettes désinfectantes ou la solution hydro alcoolique Poubelle à commande non manuelle (clipeau ou couvercle) avec ou sans roulettes. LE MATERIEL ELECTRO-MENAGER / LA VAISSELLE Les appareils doivent être en bon état de fonctionnement et ne pas présenter de danger pour l utilisateur (risques liés au gaz, à l électricité). - Le réfrigérateur est spécifique à l'activité (à défaut, celui de l unité, stocker les denrées achetées à l extérieur dans des boîtes hermétiques). En aucun cas l armoire réfrigérée des repas du service ne peut être utilisée pour le stockage des denrées réservées à l atelier culinaire (différence liée à la réglementation pour la restauration collective). - Le lave-vaisselle est de type "ménager" pour être semblable à celui que peut utiliser le patient à son domicile. - Les ustensiles de cuisine utilisés sont réservés à l atelier. - Les plats sont non poreux et en bon état (non ébréchés ). LES PRODUITS ET LE MATERIEL DE NETTOYAGE - Produits détergents homologués contact alimentaire. - Produits désinfectants, homologués contact alimentaire, en l'absence de lavevaisselle (exemples de produits en annexe). - Chiffonnettes à usage unique. - Pas d'éponge
6 LE CHOIX DES PRODUITS ALIMENTAIRES APPROVISIONNEMENT Dans le cas où les achats font partie de l activité thérapeutique, ils sont réalisés de la manière suivante : - Les achats des denrées animales ou d origine animale (D.A.O.A.) sont effectués chez des commerçants sédentaires uniquement, les marchés sont à éviter. - Les viandes de boucherie proviennent d un établissement bénéficiant de la dispense à l agrément sanitaire tel que les artisans bouchers, de préférence Grandes et Moyennes Surfaces (G.M.S.). - Les volailles découpées ainsi que les produits de charcuterie sont achetés en G.M.S. où ils offrent l avantage d être exposés à la vente, soit en préemballé, soit en conditionnement sous-vide. - Les œufs proviennent d établissements agréés. Les œufs sont pourvus d une étiquette de salubrité : origine, date limite de consommation (D.L.C). Les œufs provenant directement de la ferme ne sont pas adaptés. Denrées brutes d origine animale fournies par l UPC : l UPC envoi les denrées dans le service en assurant la chaîne du froid. La traçabilité de la chaine du froid doit être assurée dans le service. En cas de livraison par l UPC de repas complet, la traçabilité est faite et archivée à l UPC. LES PREPARATIONS DECONSEILLEES A BASE D OEUFS ET PEU CUITS Crème anglaise Ile flottante Mayonnaise Mousse au chocolat LES PRODUITS DECONSEILLES Langues Lait frais Coquillages Gibier Fromage au lait cru. Poisson fumé, dont le saumon fumé. Certaines charcuteries consommées en l état : rillettes, langoustine Produits émanant de collecte ou de cueillette (coquillages, champignons ) ACHAT DES PRODUITS - Les denrées alimentaires fraîches, périssables sont achetées au plus près de l activité. - Les denrées fraîches et périssables (viande, poisson, ) sont transportées dans un sac isotherme ou une glacière, muni d un pain de glace. - Au moment de l achat, la présentation des matières premières est vérifiée. Celles-ci doivent présenter des garanties d hygiène et de traçabilité : intégrité de l emballage, présence de l étiquette avec date de mise sous emballage, date limite de consommation respectée, numéro de lot, fabriquant. - Limiter les achats au besoin d un seul atelier afin d éviter le stockage STOCKAGE DES PRODUITS - Les denrées périssables sont entreposées rapidement dans le réfrigérateur. - Les œufs sont mis dans des boites hermétiques avant d être entreposés dans le réfrigérateur. - Les légumes doivent être préalablement lavés. - Rappel : si le réfrigérateur de l unité est utilisé, stocker TOUS les produits dans des boîtes hermétiques
7 LA TRAÇABILITE DES PRODUITS TENUE D UN CLASSEUR TRACABILITE Un classeur permet le suivi des menus élaborés au cours des ateliers culinaires et l enregistrement de l origine des produits utilisés. Cf «Fiche : Traçabilité des ateliers de cuisine thérapeutique» Cet enregistrement concerne essentiellement les denrées animales ou d origine animale. Il comporte le n de dispense d agrément, la durée limite de consommation (D.L.C.), le n de lot, la date de fabrication, la provenance du produit (voir modèle de fiche ci-dessous). Ces informations figurent généralement sur l étiquette de chaque produit. Elles doivent être conservées pendant deux mois. ECHANTILLONS TEMOINS Un échantillon de 100g environ de chaque préparation doit être impérativement conservé au réfrigérateur (ou au congélateur pour les services dont les patients peuvent accéder au frigo dans un sachet à usage unique pendant au minimum 5 jours après la fabrication. Attribuer un numéro sur le sachet ainsi que la date d élimination du contenu. Cf «Fiche : Enregistrement des échantillons témoins» - 7 -
8 L HYGIENE DES PARTICIPANTS LES LIMITES A L ACTIVITE Cette activité thérapeutique n est pas indiquée pour les participants pouvant présenter: - Des comportements qui peuvent induire une contamination "manu fécale" ou "manu génitale", - Un risque de contamination par contact : staphylococcie, eczéma des mains ou du visage, gastro-entérite, plaies ou infections dermatologiques suintantes, - Un risque de contamination respiratoire : participant qui tousse, qui crache ou qui éternue fréquemment et ce, sans se protéger la bouche ou sans se moucher, LA TENUE CORPORELLE ET L HYGIENE DES MAINS DES PARTICIPANTS AVANT DE COMMENCER l ATELIER - Enlever la montre et les bijoux. - Attacher les cheveux. - Relever les manches des vêtements. - Protéger les vêtements personnels avec une tenue adaptée (chasuble ou tablier) - Se laver soigneusement les mains, les poignets et les avant-bras. EN COURS D ATELIER Se laver les mains autant de fois que nécessaire et notamment : - Avant de manipuler la nourriture avec les mains. Exemples : couper du pain, du jambon en dés, vider un poisson, déconditionner un produit, casser les œufs - Après avoir effectué des activités présentant des risques de contamination comme toucher des objets ou des aliments sales. Exemples : toucher la poubelle, éplucher les légumes, aller aux toilettes, éternuer, se moucher LE LAVAGE DES MAINS RESSOURCES NECESSAIRES - Savon liquide ordinaire dans un contenant à usage unique et jetable quand il est vide (le remplissage de ce contenant est interdit), - Distributeur d'essuie-mains en papier à usage unique, de préférence délivrés un par un. METHODE 1. Pas de bijoux, de montre, de bracelets. 2. Se mouiller les mains avant d appliquer 1 dose de savon 3. Se laver les mains pendant 30 secondes : espaces interdigitaux, bord cubital, poignets. Rincer abondamment. 4. Sécher les mains par tamponnement avec les essuie-mains. 5. Fermer le robinet avec les essuie-mains. 6. Jeter les essuie-mains sans toucher la poubelle. Prévoir l affichage du protocole sur le lieu de l activité - 8 -
9 LA REALISATION DE L ATELIER Les plans de travail et les ustensiles sont nettoyés avant utilisation. Les torchons doivent être propres au début de l atelier et mis au sale à la fin de chaque atelier. VERIFICATION DES PRODUITS L état de chaque denrée alimentaire est vérifié. Seuls, les aliments non abîmés sont utilisés. Les dates limites de consommation sont contrôlées pour tous les produits sensibles : yaourts, crème fraîche L intégrité des emballages est vérifiée pour les produits sous vides et les produits congelés PREPARATION DES LEGUMES/FRUITS i RISQUE LIÉ À LA PRÉSENCE DE MICRO-ORGANISMES PRÉSENTS DANS LA TERRE, AUX INSECTES. Les légumes sont préparés dans un lieu différent et à distance du lieu de cuisson ou dans un temps différencié. Les légumes sont lavés plusieurs fois à l eau claire en les brassant pour éliminer la terre ou les insectes PREPARATION DES OEUFS i RISQUES LIES AUX OEUFS Les œufs sont responsables d un pourcentage élevé de toxi-infections alimentaires. En 1997, les salmonelles sont à l origine de 76% des toxi-infections alimentaires en France. Les œufs et les ovo produits sont à l origine de 30 à 40% des cas de toxi-infections alimentaires liées aux salmonelles. (Source : Direction générale de l'alimentation, D.G.A.L). Des précautions sont nécessaires pour limiter le risque lié aux salmonelles présentes sur les coquilles lors de l utilisation des œufs. PRECAUTIONS PARTICULIERES - Un poste de travail est réservé à cette activité. - Les œufs sont vérifiés : les œufs sales et/ou cassés doivent être jetés. - Les personnes doivent se laver les mains avant et après la manipulation des œufs. - Les œufs sont cassés un à un dans un récipient à part. - Les coquilles et les alvéoles sont jetés rapidement dans la poubelle. - Le plan de travail est soigneusement nettoyé avant et après la manipulation. LES PRODUITS CONGELES La décongélation des aliments est organisée : - soit directement au moment de la cuisson ou de la remise en température. - soit au réfrigérateur à une température inférieure à 4 C. PRODUITS DU COMMERCE PRETS A L EMPLOI Les préparations peu stables (mayonnaise, crème chantilly, mousse au chocolat ) et/ou qui ne comportent pas un temps de cuisson suffisant (crème anglaise ) sont remplacées par des produits prêts à l emploi achetés dans le commerce. SERVICE DU REPAS Les aliments sont consommés au plus près de leur fin de préparation
10 LE NETTOYAGE DESSERTE DES REPAS ET REMISE EN ETAT DU LOCAL Après le repas, tous les ingrédients et les plats préparés non consommés sont jetés. Le nettoyage complet est organisé par le responsable de l'atelier. Les tâches sont réparties entre les participants et le personnel désigné pour le nettoyage et le contrôle du local : - Pour les participants : lavage de la vaisselle, élimination des déchets sous le contrôle de l'animateur de l'atelier. - Pour le personnel désigné : vérification des tâches, nettoyage des appareils et ustensiles de cuisine et nettoyage du local (voir "nettoyage des matériels et du local") 1. Laver la vaisselle - Utiliser un lave-vaisselle de préférence, - A défaut, lavage manuel avec un détergent désinfectant conforme au contact alimentaire et lingettes à usage unique suivi d un rinçage PAS D EPONGE 2. Eliminer les déchets - Fermer tous les sacs poubelle et les évacuer immédiatement 3. Laver les ustensiles, les appareils de cuisine - Démonter les matériels amovibles et les parties mobiles et les nettoyer : - Eliminer les aliments nichés dans les cavités et les recoins des matériels (en cas d utilisation, le tampon à récurer est éliminé après chaque utilisation). - Procéder au lavage en lave-vaisselle. - en l'absence de lave-vaisselle, poursuivre le nettoyage : - Rincer soigneusement, - Désinfecter par trempage avec un produit désinfectant homologué contact usage alimentaire (respecter les conditions de dilution et temps de contact fournis par le fabricant). 4. Nettoyer les plans de travail, le four et le micro onde - Chiffonnette réservée au nettoyage de la cuisine. - Utiliser une solution de détergent-désinfectant homologuée contact usage alimentaire. 5. Eliminer les torchons, chiffonnettes - Envoyer les torchons et les chasubles pour lavage en blanchisserie 6. Nettoyer le sol - Procéder au balayage humide (balayage à sec interdit). - Laver le sol avec une solution détergente. - Déplacer les objets mobiles au cours de l opération. - Laisser sécher avant remise en place fonctionnelle des éléments
11 7. Vérifier - la propreté de la vaisselle et des ustensiles de cuisine utilisés. - l'absence de plats préparés ou de denrées périssables dans le réfrigérateur. - l'élimination des poubelles - la propreté globale du local ENTRETIEN HEBDOMADAIRE, MENSUEL OU TRIMESTRIEL Nettoyer le réfrigérateur conformément au protocole en cours ENTRETIEN TRIMESTRIEL - Nettoyer les tiroirs et les placards - Vider les tiroirs et les placards de leur contenu - Utiliser une chiffonnette à usage unique. - Utiliser la solution de détergent-désinfectant homologué contact usage alimentaire. - Vérifier la propreté des matériels avant rangement
12 LES ANNEXES Annexe 1 : Recensement des différents ateliers sur le CH de JONZAC Annexe 2 : Traçabilité des ateliers de cuisine thérapeutique Annexe 3 : Enregistrement des échantillons témoins Annexe 4 : Traçabilité du nettoyage Cuisine thérapeutique Annexe 5 : Procédure en cas de TIAC
13 Annexe 1 : Recensement des différents ateliers sur le CH de JONZAC : Service Fréquence Lieu Référent Origine des denrées Maison de retraite EHPAD Alzheimer EHPAD Poly pathologies 8 à 10 fois par an En fonction des saisons Office et studio thérapeutique Cuisine et Salle à manger AMP GMS Denrées brutes UPC 1 fois par semaine Cuisine Alzheimer AMP GMS Denrées brutes UPC 1 fois par semaine Salle d ergothérapie Ergothérapeute UASM 1 fois par mois Office UASM Ergothérapeute GMS UASM Cafétéria 1 à 2 fois par mois Cafétéria Ergothérapeute GMS UASM Atlantis UASM Atlantis La Passerelle Tous les mardis, mercredis et jeudis midis Tous les soirs de semaine 3 fois par semaine pour les repas 2 fois par semaine pour l atelier pâtisserie Office UASM Ergothérapeute GMS Les patients remettent en température eux même les repas livrés par l UPC Cuisine du rez-dechaussée La Passerelle 2 à 3/an Séjours thérapeutiques. Mixte repas UPC et achats en GMS Pédopsychiatrie Trotte Menu Pédopsychiatrie 3 Pommes Pédopsychiatrie CIM Maternelle Pédopsychiatrie CIM DISPPA 1 fois par semaine Salle à manger de Trotte Menu 1 fois par mois Salle à manger des 3 pommes 2 fois par semaine Cuisine de la CIM Maternelle Cadre du service Infirmier Educateur ASH Cadre du service IDE, EJE IDE IDE, AMP GMS Denrées brutes UPC Repas UPC GMS Repas UPC et GMS GMS GMS GMS 2 fois par semaine Cuisine de la CIM IDE GMS 1 vendredi/3 semaines en fin de cure Cuisine DISPPA et salle à manger Cadre du service Denrées brutes UPC GMS En cas de création de nouveaux ateliers de cuisine thérapeutique, l information devra être faite au CLAN par le cadre du service. Le guide doit être présent dans chaque service concerné lu et émargé par l agent référent des ateliers. Les documents de traçabilité seront disponibles sur intranet. Les documents de traçabilité de chaque atelier doivent être impérativement conservés 6 mois et présentés aux autorités sanitaires compétentes en cas de contrôle
14 Annexe 2 : Traçabilité des ateliers de cuisine thérapeutique DOCUMENT À CONSERVER 2 MOIS Date de l atelier :. Service : Liste des personnes participant à l atelier : Référent :.. Nature de l atelier : Repas complet Dessert Autre.. Menu :.... Enregistrement des denrées animales ou d origine animale : Denrées Origine UPC achat gde surface Nom fabricant ou N agrément (ex : F ISV) N de lot DLC
15 Annexe 3 : Enregistrement des échantillons témoins : DOCUMENT À CONSERVER 2 MOIS Date de l atelier :. Service : Référent : N Nom de l échantillon Date de fabrication Date d élimination prévue (J+5) Date d élimination réelle
16 Annexe 4 : Traçabilité du nettoyage Cuisine thérapeutique Date de l atelier : Service : Référent : Surfaces Sols/ Plinthes Plans de travail Fréquence Tous les jours de l activité Tous les jours de l activité Avant et après l activité Référence du protocole Protocole hygiène hospitalière et entretien journalier Guide Instant Repas Protocole hygiène Initiales et signatures du ou des agent(s) ayant effectué(s) l opération Réfrigérateur Tous les jours de l activité Guide Instant Repas Protocole hygiène Lave mains Tous les jours de l activité Protocole hygiène hospitalière et entretien journalier Micro-ondes Tous les jours de l activité Guide Instant Repas Protocole hygiène Four Petits matériels de cuisine Tables et chaises Tous les jours d utilisation Tous les jours de l activité Tous les jours de l activité Guide Instant Repas Protocole hygiène Guide Instant Repas Protocole hygiène Protocole hygiène hospitalière et entretien journalier Tiroirs et placards 1 fois par trimestre Guide Instant Repas Protocole hygiène
17 Annexe 5 : Procédure en cas de TIAC (Toxi-Infection Alimentaire Collective) Définition : On parle de TIAC si au moins 2 cas groupés de symptomatologie similaire pouvant être rapporté à une origine alimentaire commune sont déclarés. Rappel : TOUT AGENT EMPLOYÉ AU CH DE JONZAC EST TENU AU SECRET PROFESSIONNEL, AUCUNE INFORMATION NE DOIT ÊTRE TRANSMISE À L EXTÉRIEUR DE L ÉTABLISSEMENT. Suspicion de TIAC par un agent Prévenir : Le Médecin Chef de service Le Cadre Supérieur de Santé Le Cadre de Santé Prévient la Direction Informe UPC Déclaration à la DDSV Procédures de recherche des denrées incriminées Actions correctives Recherche des dysfonctionnements Conservation plus longue des échantillons témoins pour prélèvements par DDASS ou DDSV (+ de 5 jours après la consommation du repas) Conservation des éléments de traçabilité
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailFORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle
FORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle 1 Le cadre réglementaire 2 Arrêté du 29 septembre 1997 fixant les conditions d hygiène applicables dans les établissements
Plus en détailService Hygiène & Sécurité
Service Hygiène & Sécurité MAI Vous présente : N 16 Les locaux des cuisines de restauration collective, les matériels qu ils contiennent et les activités pratiquées exposent les agents et les consommateurs
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailCOMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE
COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailHygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail
GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailRÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE
RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailPRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE BRETTEVILLE SUR ODON PROCÉDURE ADAPTÉE PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES C.C.T.P X:\CANTINE\CONSULTATION
Plus en détailCOMMUNE DE GRESY-SUR-AIX
COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres
Plus en détaildémarche qualité Hygiène
démarche qualité Hygiène SALLES DE CLASSE, BUREAUX Chaise, table, bureau, sols, armoire, tableau, portes, interrupteurs, poubelle 1 z LAVETTE z SEAU z BALAI z SYSTEME DE LAVAGE DE SOL 1 z Eliminer tous
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailGUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale
GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale La «marche en avant» consiste à éviter autant que possible le croisement
Plus en détailFiche pratique. Les règles d hygiène en restauration. Mai 2014
Fiche pratique Les règles d hygiène en restauration Délégation de Millau 38, bd de l Ayrolle BP 60145 12101 MILLAU cedex Tél : 05 65 59 59 00 17, rue Aristide Briand BP 3349 12000 RODEZ cedex 9 Tél : 05
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailDirection de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE
Réglementation relative à l hygiène alimentaire des marchands ambulants et des vendeurs sur foires et marchés (Activités de restauration, vente de poissons, activités de boucherie, charcuteries, pâtisseries,
Plus en détailLes règles d hygiène en restauration
Les règles d hygiène en restauration Collection Entreprises - Tourisme et CHR Page 1/19 Sommaire Introduction 4 La réglementation applicable à la restauration 4 Les principes HACCP 5 Principales règles
Plus en détailHygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailMairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES
Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage
Plus en détailL hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD
L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,
Plus en détailFormation aux enseignants intervenant en SEGPA
Formation aux enseignants intervenant en SEGPA Réglementation de la sécurité sanitaire des aliments Informations préalables Ce document informe des dispositions réglementaires en vigueur et applicables
Plus en détailLES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE
LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailPréparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile
Centre Communal d Action Sociale de CARNOULES Département du Var Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MARCHE PUBLIC DE PRESTATION
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailBIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009
PS ENS-ENT 010 V1 BIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009 n page 1/14 OBJET Améliorer la qualité de l'environnement du patient, contribuant ainsi à diminuer le risque d'infection. En cohérence avec le manuel
Plus en détailH A C C P. DEFINITION Hazard analysis control critical points. Analyse des dangers et maîtrise des points critiques
H A C C P DEFINITION Hazard analysis control critical points Analyse des dangers et maîtrise des points critiques Pourquoi HACCP? Satisfaire à la réglementation Garantir la qualité hygiénique des aliments
Plus en détailProgramme d amélioration de la salubrité des aliments (PASA)
Le système HACCP Ce cours se base sur la présentation de Stéphane Vanoirbeck sur le Guide des Bonnes Pratiques d Hygiène (GBPH) et le Manuel de l Agence Canadienne d Inspection des Aliments sur le Programme
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailHygiène alimentaire. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailPaquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires
Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable
Plus en détailTEXTE OFFICIEL DE LA REGLEMENTATION : L INDISPENSABLE NOTE DE SERVICE
TEXTE OFFICIEL DE LA REGLEMENTATION : L INDISPENSABLE NOTE DE SERVICE PLAN DE LA NOTE DE SERVICE DGAL/SDHA/N98/N 8126 DU 10 AOUT 1998 ABROGE ET REMPLACE : La note de service DGAL/SVHA/N89/N 8020 du 3à
Plus en détailformations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle
audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailla Région Date de Réalisation : 03/11/2008 Unité Lycées
la Région Date de Réalisation : 03/11/2008 Ce document a été élaboré afin de vous aider dans votre travail quotidien à mieux respecter les règles d hygiène en restauration scolaire. Il a été réalisé par
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailEVALUATION DES RISQUES ET VISITE D ENTREPRISE DE RESTAURATION COLLECTIVE
EVALUATION DES RISQUES ET VISITE D ENTREPRISE DE RESTAURATION COLLECTIVE EVALUATION DES RISQUES DANS CHAQUE UNITE DE TRAVAIL Intérêt de la connaissance: Des locaux de travail Des procédés ou modalités
Plus en détailMarque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA
Marque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA N FR05/00392 SAS au capital de 53.357,16 Siège Social : 34, Rue de Paris 60330 LE PLESSIS BELLEVILLE - Téléphone : 03.44.58.14.21. - Fax : 03.44.58.20.98.
Plus en détailUtilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses
INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailLes principaux textes de loi en matière de restauration d'entreprise
A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Janvier 2012 Réglementation applicable à la restauration
Plus en détailRapport de stage ANNEE SCOLAIRE 2013/2014. Elève de 3ème Collège 35740 PACE. Restaurant scolaire du Haut Chemin. p.1
Rapport de stage ANNEE SCOLAIRE 2013/2014 Elève de 3ème Collège 35740 PACE Restaurant scolaire du Haut Chemin p.1 Sommaire Introduction L entreprise Fiche d identité Situation géographique Activité principe
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailLa nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»
La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels
Plus en détailHygiène de production et de distribution des repas
3 Hygiène de production et de distribution des repas 37 38 3.1. Introduction 3 Hygiène de production et de distribution des repas Dans les écoles, le système de production des repas peut se présenter sous
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailAMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE
AMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE APPEL D OFFRE POUR UN MARCHE DE NETTOYAGE Pouvoir adjudicateur Monsieur Bernard VALERO, ambassadeur de
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES
RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES I - RÈGLES GÉNÉRALES Article 1 - Le restaurant scolaire n a pas un caractère obligatoire, il a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions
Plus en détailMairie de Lérouville République Française Département de la Meuse
Mairie de Lérouville République Française Département de la Meuse REGLEMENT INTERIEUR 2015 D UTILISATION DES SALLES COMMUNALES DE LEROUVILLE Adopté par le Conseil Municipal par délibération n 58 du 16
Plus en détailGuide de bonnes pratiques d hygiène de la restauration collective de plein air des accueils collectifs de mineurs
Document réalisé par les organisations représentatives des Accueils collectifs de mineurs Guide de bonnes pratiques d hygiène de la restauration collective de plein air des accueils collectifs de mineurs
Plus en détailObligation de sécurité alimentaire che
Obligation de sécurité alimentaire en crèche che Programme de l intervention l : 1. Contexte réglementaire r 2. Hygiène des opérations 3. Hygiène du personnel 4. PMS 5. Cas de la cuisine satellite sans
Plus en détailEntretien des différents locaux
Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détailMesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement
MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés
Plus en détail1 Organiser et gérer. son poste de travail
1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans
Plus en détailREGLEMENT DE FONCTIONNEMENT PORTAGE DE REPAS A DOMICILE
REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT PORTAGE DE REPAS A DOMICILE Article 1 Objet du service de portage de repas à domicile Dans le cadre de ses actions «vie autonome», le CCAS de Saint Paul-Trois- Châteaux propose
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX
ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX Bionettoyage REGARD A., LYON Juillet 2010 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des
Plus en détailFourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile
Fourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d'ouvrage / Pouvoir Adjudicateur : Communauté de Communes
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents
REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents de la RESTAURATION SCOLAIRE MATERNELLE/ELEMENTAIRE Direction de l Education, de l Enfance et de la Réussite Educative Approuvé au Conseil Municipal
Plus en détailRestauration collective. quelques aspects réglementaires
Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE
Syndicat Intercommunal de Regroupement Pédagogique 8 Place de la Mairie 28800 LE GAULT SAINT DENIS 02.37.47.28.85 RESTAURATION SCOLAIRE CAHIER DES CHARGES 1 Article 1 : Objet Les stipulations du présent
Plus en détailLe logo «Fait maison»
Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015
RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les
Plus en détailCODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999
CAC/RCP 46 Page 1 of 22 CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...2 1. OBJECTIFS...2
Plus en détailSoyez. Pour un logement
Soyez Pour un logement Sommaire LE CHAUFFAGE 2 LA VENTILATION 2 LES EQUIPEMENTS MENAGES 3 L ECLAIRAGE ET L ELECTRICITE 4 L EAU 4 TRIE DES DECHETS 5 LA CONSOMMATION DURABLE 6 LE TRANSPORT 7 Ce guide va
Plus en détailPrévention. Infos. restauration des collectivités. Comment prévenir les risques et éviter les accidents du travail? SOMMAIRE :
Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 7 Mai 2007 Infos Prévention SOMMAIRE : Les risques professionnels des services de restauration des collectivités,
Plus en détailRestauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet. Cahier des Charges et Contrat 2014
Restauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet Cahier des Charges et Contrat 2014 Siglaisons et troncation : APE : Association des Parents d Élèves COGES : Comité de Gestion CHSCT : Commission Hygiène
Plus en détailHYGIENE DES ALIMENTS FICHES TECHNIQUES
HYGIENE DES ALIMENTS FICHES TECHNIQUES Dernière mise à jour : 26 mars 2013 1 SOMMAIRE LA MARCHE EN AVANT. 2 FICHE : LE PERSONNEL.. 8 FICHE : AMENAGEMENT DES LOCAUX ET EQUIPEMENTS... 9 FICHES : FONCTIONNEMENT....
Plus en détailProduits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE
Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques
Plus en détailNOTICE D UTILISATION
CAFETIERE ELECTRIQUE 1.25L REF CM4229 230V - 800W - 50Hz NOTICE D UTILISATION LIRE ATTENTIVEMENT LES INSTRUCTIONS SUIVANTES AVANT TOUTE PREMIERE UTILISATION Appareil garanti 1 an sur présentation du ticket
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailTravailler autrement en CAP APR 2011-2012
Travailler autrement en CAP APR 2011-2012 Les finalités des enseignements professionnels + (CMP) II-1-1, II-1-2, II-2 Finalité: Expliquer les techniques mises en œuvre lors de la réalisation des préparations
Plus en détailQuelques règles minima d hygiène à respecter pour la partie restauration de votre centre
Quelques règles minima d hygiène à respecter pour la partie restauration de votre centre Seul le respect scrupuleux de l ensemble des points que nous allons évoquer vont vous permettre d éviter une TOXI-INFECTION
Plus en détailPlateaux de bureau, bureaux
LOT 1 Siège central de Fedasil Plateaux de bureau, bureaux SOLS 2x par an Dépoussiérer tous les sols à l aide d un balai muni de voiles imprégnés Enlever les taches éventuelles sur les sols Aspirer à fond
Plus en détailAgent de restauration
Agent de restauration Activité importante des collectivités, la restauration collective est soumise à de nombreux textes ayant pour principaux objectifs : d assurer la santé et la sécurité des agents (décret
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailLa démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation
La démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation Un expert à votre service pour votre réussite 1 La démarche HACCP en cuisine de collectivité Sommaire I. Hygiène en cuisine... 4 A. L hygiène...
Plus en détailInstructions COMMUNAUTE FRANCAISE DE Belgique
Dossier HACCP 2 Instructions COMMUNAUTE FRANCAISE DE Belgique SOMMAIRE Dossier HACCP 7. MAITRISE DES RISQUES ALIMENTAIRES 7.1. Maîtriser les risques communs 7.1.1. Points critiques 7.1.2. Autocontrôle,
Plus en détailDescription de poste en vue d un recrutement Commis / Commise de cuisine. Description du poste
(Fiches ROME : G1602) Rubrique «Les fiches métiers» du site www.pole-emploi.fr Description de poste en vue d un recrutement Commis / Commise de cuisine L entreprise : Nom /N de SIRET/adresse Nombre de
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la restauration sociale (extraits de réglementation)
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Atlantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la restauration
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national
Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détail