Le cancer de la prostate en Suisse: Incidence, mortalité, dépistage et traitement

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le cancer de la prostate en Suisse: Incidence, mortalité, dépistage et traitement"

Transcription

1 Le cancer de la prostate en Suisse: Incidence, mortalité, dépistage et traitement JOURNEE DU CANCER 2010 La Ligue suisse contre le cancer Prof. Christine Bouchardy Registre genevois des tumeurs

2 Cancer de la prostate De nombreuses incertitudes Facteurs de risque Histoire naturelle Dépistage Traitements Effets adverses Besoins des patients

3 Cancer de la prostate en Suisse Les données de l Institut national d épidémiologie et d enregistrement du cancer (NICER) 1 homme sur 8 en sera atteint 1er cancer chez l homme (28%) 2ème cause de mortalité par cancer nouveaux patients/an décès/an vivant avec ce diagnostic personnes proches

4 Le cancer de la prostate en Suisse: Incidence

5 Répartition des cas de cancer par localisation Incidence % Mortalité Prostate ,3 Poumon 15,8 Côlon, rectum 11,9 Cavité buccale, pharynx, larynx Vessie Mélanome cutané Foie Rein Lymphomes Estomac Pancréas Oesophage Cerveau Testicule Myélome Vésicule Autres 8,1 5,4 5,2 3,4 3,1 2,9 2,8 2,7 2,5 2,4 2,0 1,9 1,4 0,9 6,6 10,5 6,0 5,1 1,0 4,7 2,5 3,2 3,5 4,4 5,2 3,1 2,0 0,3 2,0 0,8 7,2 24,1

6 Comparaison internationale de l incidence Hommes USA, Noirs USA, Blancs Canada Belgique, Flandres Suisse Finlande Australie Nouvelle Zélande France Autriche Amérique Latine Scandinavie Polynésie Française Allemagne Pays-Bas Iles Britanniques Portugal Israël Italie Espagne Etats Baltes Tchéquie et Slovaquie Afrique Sub-saharienne Pologne Les Balkans Russie, St Pétersbourg Turquie Japon Asie du Sud-Est Pakistan, Karachi-Sud Chine Afrique du Nord Corée Inde 83.8 NICER/OFS, le cancer en Suisse

7

8

9 Cancer de la prostate, comparaisons nationales des données d incidence Suisse alémanique Suisse Suisse romande et Tessin Vaud Zurich Bâle-Ville et Campagne St-Gall et Appenzell Genève Valais Neuchâtel Fribourg Grisons et Glaris Tessin NICER/OFS, le cancer en Suisse 2010

10 Cancer de la prostate, tendance en Suisse Incidence Mortalité NICER/OFS, le cancer en Suisse 2010

11 Evolution de l incidence selon l âge par cancer de la prostate en Suisse NICER/OFS, le cancer en Suisse

12 Evolution des taux d'incidence par âge et par période, Genève De plus en plus jeune 65% avant 75 ans en % avant 75 ans en xuat 400 céps 1 seu iqfi 00 '0 001/ Registre genevois des tumeurs 2010 Classes d'âge

13 Cancer de la prostate Tendances selon mode de découverte Dépistage PSA accr annuel 26% *** 70 ur b xuat Symptôme decr annuel -1% st Fortuite stable SR stable autopsie decr annuel 3,5% ***

14 Le cancer de la prostate en Suisse: Mortalité

15 Répartition des cas de cancer par localisation Incidence % Mortalité Prostate ,3 Poumon 15,8 24,1 Côlon, rectum 11,9 10,5 Cavité buccale, pharynx, larynx 8,1 6,0 Vessie Mélanome cutané Foie Rein Lymphomes Estomac Pancréas Oesophage 5,4 5,2 3,4 3,1 2,9 2,8 2,7 2,5 2,4 5,1 1,0 4,7 2,5 3,2 3,5 4,4 5,2 3,1 82% survie relative à 5 ans Cerveau 2,0 2,0 Testicule 1,9 0,3 Myélome 1,4 2,0 Vésicule 0,9 0,8 Autres 6,6 7,2

16 Evolution de la mortalité par cancer de la prostate dans le monde entre (a) Diminution avec retour à un niveau plus bas qu avant l aire du dépistage par le PSA (b) Idem mais a un niveau encore supérieur; (c) Encore en augmentation; ( ) ligne de base; ( ) augmentation passagère Bouchardy et al., Int J Cancer 2008

17 Evolution de la mortalité par cancer de la prostate dans le monde Bouchardy et al., Int J Cancer 2008

18 Evolution de la mortalité selon l âge par cancer de la prostate en Suisse % de baisse de la mortalité en 10 ans NICER/OFS, le cancer en Suisse 2010

19 Le cancer de la prostate en Suisse: dépistage

20 Méthodes de dépistage Toucher rectal PSA Antigène spécifique de la prostate Prise de sang

21 Controverse Bénéfice Diagnostic plus précoce Baisse de la mortalité Effets adverses Faux positifs Découverte de tumeurs qui n auraient jamais progressées

22 Controverse Etude européenne Baisse de la mortalité Etude américaine Pas de baisse de la mortalité

23

24 Pourcentage d hommes de 50 à 69 ans dépistés lors du dernier contrôle médicale % Examen rectal +/-PSA PSA seulement GE TI ZH AG VS FR BE LU VD NE AR JU SZ UR CH OFS, Enquête suisse de santé 2007

25 Stade de la tumeur selon le mode de découverte, Genève % Stade IV Stade III Stades I-II Dépistage Symptômes Fortuite Registre genevois des tumeurs 2010

26 PSA Enquête auprès des médecins traitants et des urologues Objectifs 1) Déterminer les pratiques en matière de dépistage par le PSA 2) Établir la variabilité des consignes et des valeurs seuil Méthode Enquête par questionnaire 100 médecins traitants Tous les urologues Bouchardy et al., Bulletin suisse du cancer, 2004

27 PSA Enquête auprès des médecins traitants et des urologues Les médecins traitants 61% préconisent systématiquement le dépistage par PSA 22% le plus souvent 17% ne le préconisent pas Très grande variabilité concernant l âge au début la périodicité les valeurs seuil considérées Les urologues Variabilité concernant l âge au début la périodicité les valeurs seuil considérées Bouchardy et al., Bulletin suisse du cancer, 2004

28 PSA Enquête auprès des laboratoires Objectifs Méthode 1) Déterminer les modalités et les contrôles de qualité utilisés 2) Déterminer les valeurs seuil données 3) Établir la variabilité des dosages inter et intra-laboratoires 13 laboratoires 1 questionnaire 3 échantillons étalonnés à 0,5 µg/l 2,6 µg/l 22,0 µg/l, concernant 3 patients, envoyés 2 fois Bouchardy et al., Bulletin suisse du cancer, 2004

29 PSA Enquête auprès des laboratoires Nombre par mois : Contrôle de qualité interne : Contrôle de qualité externe : Valeur seuil usuelle PSA : Valeur seuil usuelle PSA libre / PSA total : Bouchardy et al., Bulletin suisse du cancer, à 1750 tous 2/9 1 : <=4 µg/l 4 : < 4 µg/l 2 : < 2,5 µg/l 1 : en fonction de l âge 2 : > 0,16 4 : > 0,15 2 : > 0,11 sinon cancer probable 1 : > 0,10 idem

30 Variabilité inter et intra-laboratoires pour des dosages du PSA pour une valeur cible de 2,6 ug/l Valeur cible 2 6 Ecart à la valeur cible > 25% Ecart à la valeur cible > 25% Test rapide série 1 série 2 1,2 1,4 1,6 1,8 2,0 2,2 2,4 2,6 2,8 3,0 3,2 3,4 3,6 3,8 Bouchardy et al., Bulletin suisse du cancer, 2004

31 Effet du dépistage du cancer de la prostate sur la mortalité à long terme 2433 patients diagnostiqués avec un cancer de la prostate entre (5 ans de suivi minimum)

32 Survie spécifique après cancer de la prostate en fonction du dépistage Dépisté Non dépisté Schaffar et al., soumis 2010

33 Survie spécifique après cancer de la prostate en fonction du dépistage Biais de sélection, d avance au diagnostic, de sur-diagnostic, détection de tumeur lente Dépisté Non dépisté Schaffar et al., soumis 2010

34 Effet du dépistage du cancer de la prostate par le PSA après prise en compte des biais Risque de décéder du cancer de la prostate chez les patients dépistés par le PSA versus non dépistés après prise en compte des biais de sélections (a), de latence et de détection de tumeurs lentes (b) Interaction dépistage et traitement Traitements Chirurgie Radiothérapie +/- Hormonothérapie Autres traitements Hormonothérapie Non dépistés Dépistés 0.23 [ ] 0.43 [ ] 0.67 [ ] 0.65 [ ] a) Ajustement sur les scores de Propensity b) Ajustement sur l interaction entre dépistage et traitement avec comme catégorie de référence les patients dépistés non traités Schaffar et al., soumis 2010

35 Le cancer de la prostate en Suisse: traitement

36 Les traitements Chirurgie Radiothérapie Surveillance active Avec ou sans hormonothérapie

37 Très peu d études cliniques randomisées comparant l efficacité et la qualité de vie entre les traitements Aucune entre les trois Différentiation (agressivité) Autres maladies associées A systematic review of randomized trials in localized prostate cancer. Alibhai SM, Klotz LH Choix du patient An update on randomized clinical trials in localized and locoregional p Penson DF. Randomized series of treatment with surgery versus radiation for pros Paulson DF. Long-term results of a randomized trial for the treatment of Stages B2 Akakura K,

38 En l absence de données scientifiques solides, le choix des traitements est laissé à la seule initiative du médecin/patient et dépend des croyances ou des préférences de chacun Fowler et al., JAMA 2000

39 En l absence de données scientifiques solides, le choix des traitements est laissé à la seule initiative du médecin/patient et dépend des croyances ou des préférences de chacun Age Stade (état d avancement) Espérance de vie Différentiation (agressivité) Autres maladies associées Consultation pré-thérapeutique systématique

40 Des effets adverses importants souvent minimisés

41 Des effets adverses importants souvent minimisés

42 Des effets adverses importants souvent minimisés Incontinence Impuissance Rectite Progression

43 Risque de trouble de la fonction érectile selon le type d étude Type d étude Nombre Après Prostatectomie Radiothérapie % Brachythérapie Essais randomisés Etudes de population Etudes d un institut Etudes d un chirurgien D après la revue de Bhatnagar et al. Prostate Cancer and Prostate Disease 2006

44 Comment sont traités les patients à Genève et quel est l efficacité des traitements?

45 Traitement du cancer localisé de la prostate, n=844, Disparités de traitements 19% prostatectomie 24% radiothérapie 45% surveillance active (watchful waiting) 9% hormonothérapie 4% mixture Merglen et al., Arch Int Med 2007

46 Risque de mortalité spécifique après un cancer de la prostate localisé après ajustement sur les autres facteurs pronostiques HR à 5 ans Prostatectomie 1 (réf) Radiothérapie 1.3 ( ) Surveillance active 1.8 ( ) Traitement hormonal 3.5 ( ) Autre 5.8 ( ) Merglen et al., Arch Int Med 2007

47 Risque de mortalité spécifique après un cancer de la prostate localisé après ajustement sur les autres facteurs pronostiques HR à 5 ans HR à 10 ans Prostatectomie 1 (réf) 1 (réf) Radiothérapie 1.3 ( ) 2.3 ( ) Surveillance active 1.8 ( ) 2.0 ( ) Traitement hormonal 3.5 ( ) 4.4 ( ) Autre 5.8 ( ) 3.1 ( ) Merglen et al., Arch Int Med 2007

48 Cancer de la prostate Risque de mortalité spécifique à 10 ans < 70 ans Gleason Prostatectomie 1 (réf) 1 (réf) Radiothérapie 6.7 ( ) 7.1 ( ) Surveillance active 8.4 ( ) 4.3 ( ) Traitement Hormonal 10.7 ( ) 10.6 ( ) Autre 7.0 ( ) 26.7 ( ) Merglen et al., Arch Int Med 2007

49 Mortalité par cancer de la prostate A 5 ans la chirurgie, la radiothérapie et la surveillance active sont relativement équivalents A 10 ans, la chirurgie est associée à une plus faible mortalité en particulier chez les hommes jeunes et avec des tumeurs «agressives» Qualité de vie non prise en compte Merglen et al., Arch Int Med 2007

50 Existe-t-il des inégalités sociales face au cancer de la prostate?

51 Cancer de la prostate et inégalité sociale 2813 patients diagnostiqués avec un cancer de la prostate entre Après exclusion de 52 (1,8%) patients avec profession inconnue Rapiti et al., Cancer 2009

52 1 Survie spécifique après cancer de la prostate en fonction du statut socioéconomique Elevé Moyen 0.7 Bas 0.6 Elevé Moyen Bas Survie spécifique N=848 N=1211 N= à 5 ans P< à 10 ans P< Année Elevé Moyen Bas Rapiti et al., Cancer 2009

53 Comparaisons des méthodes de détection en fonction du statut socioéconomique Statut socioéconomique Elevé N (%) Moyen N (%) Bas N (%) Dépistage 559 (62) 724 (60) 351 (47) P< Symptômes 177 (21) 265 (22) 207 (28) Autres 142 (18) 222 (18) 26 (20) Total 848 (100) 1211 (100) 1754 (100)

54 Comparaisons des secteurs de soins en fonction du statut socioéconomique Statut socioéconomique Elevé N (%) Moyen N (%) Bas N (%) Secteur privé 636 (75) 803 (66) 371 (49) P< Secteur publique 212 (25) 408 (34) 383 (51) Total 848 (100) 1211 (100) 1754 (100)

55 Comparaisons des stades en fonction du statut socioéconomique Statut socioéconomique Elevé N (%) Moyen N (%) Bas N (%) Stade l - li 440 (52) 635 (52) 337 (45) P=0.008 Stade lii 201 (24) 284 (23) 184 (24) Stade IV 127 (15) 179 (15) 149 (20) Total 848 (100) 1211 (100) 1754 (100)

56 Comparaisons des traitements en fonction du statut socioéconomique Statut socioéconomique Elevé N (%) Moyen N (%) Bas N (%) Chirurgie 345 (41) 413 (34) 209 (28) P< Radiothérapie 62 (07) 121 (10) 55 (07) Surveillance 226 (27) 344 (28) 236 (31) Hormonothérapie 92 (11) 137 (11) 124 (16) Autre 38 (05) 57 (05) 33 (04) Total 848 (100) 1211 (100) 1754 (100) Rapiti et al., Cancer 2009

57 Risque de mortalité par cancer de la prostate en fonction du statut socioéconomique Risque de mortalité HR non ajusté (IC 95%) HR ajusté pour l âge IC 95%) HR ajusté pour le grade, stade et traitement (IC 95%) Elevé 1 (référence) 1 (référence) 1 (référence) Moyen 1.3 ( ) 1.2 ( ) 1.2 ( ) Bas 1.9 ( ) 1.5 ( ) 1.3 ( ) Valeur p Rapiti et al., Cancer 2009

58 Pourcentage d'hommes de 50 à 69 ans dépistés lors du dernier contrôle médical % GE TI ZH AG VS FR BE LU VD NE AR JU SZ UR CH OFS, Enquête suisse de santé 2007

59 Cancer de la prostate Conclusions Problème de santé publique Fréquence se stabilise enfin Mortalité baisse Dépistage se généralise Qualité du dépistage sous-optimale Dépistage dépend chez qui l homme consulte Disparités de traitement Effets adverses minimisés Inégalités sociales Besoin des patients encore méconnus

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr

Plus en détail

6.06 Prévoyance professionnelle (PP) Obligation de s affilier à une institution de prévoyance conformément à la LPP

6.06 Prévoyance professionnelle (PP) Obligation de s affilier à une institution de prévoyance conformément à la LPP 6.06 Prévoyance professionnelle (PP) Obligation de s affilier à une institution de prévoyance conformément à la LPP Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref La prévoyance professionnelle constitue le 2 e pilier

Plus en détail

Dépistage par mammographie : feuille d information

Dépistage par mammographie : feuille d information feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins

Plus en détail

Bisnode. au mois de Mai 2013. Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013

Bisnode. au mois de Mai 2013. Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013 Bisnode Faillites et créations arrêtées au mois de Mai 2013 Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013 731b du CO: dissolutions d entreprises aux dépens de la collectivité. Entre janvier

Plus en détail

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours Statistiques relatives aux pratiques de paiement: Statistiques relatives aux pratiques Les de paiement: performances Les performances des des Éditeur: Dun & Bradstreet (Schweiz) AG Grossmattstrasse 9 892

Plus en détail

Le cancer dans le canton de Fribourg

Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas. Hôpital test <100 lits. Hôpital test 100 à 499 lits. Hôpital test >= 500 lits

Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas. Hôpital test <100 lits. Hôpital test 100 à 499 lits. Hôpital test >= 500 lits Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas Classe d'âge Nombre de cas 0-9 683 10-19 143 20-29 635 30-39 923 40-49 592 50-59 716 60-69 626 70-79 454 80-89 156 90-99 9 Classe d'âge Nombre

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Nouvelle structure des tarifs médicaux suisses:

Nouvelle structure des tarifs médicaux suisses: Nouvelle structure des tarifs médicaux suisses: Le TarMed Etude valaisanne Département de la santé, des affaires sociales et de l'énergie février 2000 TABLE DES MATIERES 1) RESUME 2) QU EST-CE LE TARMED?

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE

La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

««TOUT-EN-UN»» 2013 BVA marketing direct SA - Allmedia.14

««TOUT-EN-UN»» 2013 BVA marketing direct SA - Allmedia.14 Votre Votre partenaire partenaire 2014 2014 ««TOUT-EN-UN»» les canaux du marketing direct distribution d imprimés publicitaires et d échantillons envois adressés e-solutions vos avantages & objectifs AVANTAGES

Plus en détail

Le dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec

Le dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec Le dépistage du cancer de la prostate - mise à jour 2013 Lignes directrices du Collège des médecins du Québec juin 2013 Table des matières Pertinence de la mise à jour 4 Méthodologie 5 Synthèse de l analyse

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux

PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux OCDE - PISA Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux Rapport réalisé par le Consortium PISA.ch

Plus en détail

Sondage SEMO 2011/2012 : Résultats

Sondage SEMO 2011/2012 : Résultats Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d'etat à l'économie SECO Marché du travail / Assurance-chômage Mesures du marché du travail Markus Weber 07.06.2013

Plus en détail

Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité?

Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité? Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité? Jean-Luc Bulliard, Fabio Levi Unité d épidémiologie du cancer, Institut de médecine sociale et préventive, Centre Hospitalier Universitaire

Plus en détail

Âge effectif de sortie du marché du travail

Âge effectif de sortie du marché du travail Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci

Plus en détail

Les cancers de la prostate

Les cancers de la prostate Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

2012 BVA Logistique SA - Allmedia.13

2012 BVA Logistique SA - Allmedia.13 les canaux du marketing direct distribution d imprimés publicitaires et d échantillons envois adressés @ -mailing CONSEIL > Stratégie orientée aux objectifs > Segmentation clientèle & potentiel de marché

Plus en détail

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations

Plus en détail

COMMENT COMMANDER? Par courrier. En ligne sur le site www.quae.com. Par fax. Par email

COMMENT COMMANDER? Par courrier. En ligne sur le site www.quae.com. Par fax. Par email COMMENT COMMANDER? Par courrier Adresser votre commande à l aide du bon de commande proposé en page 4 que vous aurez imprimé ou sur papier libre en mentionnant bien le titre de l ouvrage et la quantité

Plus en détail

Documentation pour les médias

Documentation pour les médias DEPARTEMENT DE LA SANTE, DES AFFAIRES SOCIALES ET DE L'ENERGIE SERVICE DE LA SANTE PUBLIQUE Documentation pour les médias LES PRIMES D ASSURANCE-MALADIE 2004 EN VALAIS Les primes d assurance-maladie pour

Plus en détail

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude

Plus en détail

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino Statistiques des comportements de paiement: le comporte Statistiques des comportements ment de paiement: de paiement le comportement des de entreprises en Suisse 4 ème trimestre et perspectives 2009 Editeur:

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

Gestion des débiteurs Financement Assurance-crédit: trois problèmes, une solution: le factoring

Gestion des débiteurs Financement Assurance-crédit: trois problèmes, une solution: le factoring Gestion des débiteurs Financement Assurance-crédit: trois problèmes, une solution: le factoring Présentation PSE Lausanne, 23 janvier 2004 Jean-Marc Rossier Factors SA Une société du groupe UBS SA Active

Plus en détail

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES

Plus en détail

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique

3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique 3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique Financement du système de santé, aujourd'hui et en cas d'acceptation de l'initiative sur la caisse unique: exemple d'une famille avec

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Paiements transfrontaliers

Paiements transfrontaliers Paiements transfrontaliers Transférer rapidement et facilement des fonds à partir de et vers un compte à l étranger Valable à partir du 1 e janvier 2007 Valable à partir du 1 e janvier 2007 La vie actuelle

Plus en détail

Banques actives au niveau suisse

Banques actives au niveau suisse La version allemande fait foi. ABS Alternative Bank Schweiz Lebergasse 17, 4601 Olten Tél. 062 206 16 16 www.abs.ch Chez ABS chaque crédit est un écocrédit (crédits d entreprise, d investissement et hypothèques).

Plus en détail

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques?

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités

Plus en détail

COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION

COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS

Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Our mission : Educating Responsible Leaders For a Responsible World LSM the Business School of UCL

Plus en détail

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le

Plus en détail

ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT

ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT MM1(F) ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT EXCLUSIVEMENT DE L ARRANGEMENT DE MADRID (Règle 9 du règlement

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Y A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE?

Y A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE? B. Tombal 1, R.J. Opsomer 1, L. Renard 2 Y A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE? Résumé Correspondance : Pr. Bertrand Tombal Service d Urologie Cliniques universitaires

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi

Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES

Plus en détail

Le monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention

Le monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention Le monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention Présentation lors du congrès «Pour un bon développement! Nouvelles approches en prévention pour enfants, jeunes et familles» 30

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 05/09/2013

kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 05/09/2013 kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 0/09/0 Fondements Nom et forme juridique Principe But Tâches Art. Sous le nom de kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de

Plus en détail

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Rapport de mission N 1 9 février 2005 Daniel Oberlé, Arnauld Villers, Dominique Decherf, Jean Christophe

Plus en détail

Offre jours fériés 2014: Cargo Rail, Cargo Express, Cargo Train, TC

Offre jours fériés 2014: Cargo Rail, Cargo Express, Cargo Train, TC Offre jours fériés 2014: Cargo Rail, Cargo Express, Cargo Train, TC Groupe de produits Valable à partir du 01.01.2014 Trafic marchandises Trafic par wagons complets Contenu 1. Domaine de validité de l'offre

Plus en détail

Prostate Une petite glande de grande importance

Prostate Une petite glande de grande importance Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire

Plus en détail

FRANCE. PISA 2012 : Faits marquants. Performance en mathématiques. Performance en compréhension de l écrit et en sciences

FRANCE. PISA 2012 : Faits marquants. Performance en mathématiques. Performance en compréhension de l écrit et en sciences FRANCE PISA 2012 : Faits marquants Performance en mathématiques La performance des élèves de 15 ans en mathématiques se situe en France au niveau de la moyenne des pays de l OCDE, avec un score de 495

Plus en détail

Composants ROSTA Pionniers de la technique écologique!

Composants ROSTA Pionniers de la technique écologique! Composants Pionniers de la technique écologique! 1 Nous nous orientons sur le futur! C est un défi de notre époque que de se confronter sérieusement avec les nouvelles technologies de l approvisionnement

Plus en détail

Bâtiments, logements et conditions d habitation

Bâtiments, logements et conditions d habitation Neuchâtel, septembre 2004 Recensement fédéral de la population 2000 Bâtiments, logements et conditions d habitation RECENSEMENT FÉDÉRAL DE LA POPULATION 2000 BÂTIMENTS, LOGEMENTS ET CONDITIONS D HABITATION

Plus en détail

FORMALITES DOUANIERES

FORMALITES DOUANIERES FORMALITES DOUANIERES En France métropolitaine, pour les envois intra-métropole et vers les pays de l Union Européenne, toute vente de marchandise est soumise à la TVA. En revanche, les marchandises exportées

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller

Plus en détail

PISA 2009 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la quatrième enquête PISA auprès des élèves de 9e année

PISA 2009 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la quatrième enquête PISA auprès des élèves de 9e année PISA 2009 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la quatrième enquête PISA auprès des élèves de 9e année Ouvrage coordonné par Christian Nidegger Institut de recherche et de documentation pédagogique

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Table des matières Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell...

Plus en détail

Proposition d assurance voyage VISITEURS AU CANADA

Proposition d assurance voyage VISITEURS AU CANADA N o de référence - MF09-V Proposition d assurance voyage VISITEURS AU CANADA Juillet 2009 PERSONNES ADMISSIBLES À L ASSURANCE a) les personnes en visite au Canada; b) les Canadiens qui ne sont pas admissibles

Plus en détail

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors

Plus en détail

Au Luxembourg, au 31.12.2007, 10 personnes attendaient un rein, deux reins provenant de donneurs décédés luxembourgeois ont pu être greffés en 2007.

Au Luxembourg, au 31.12.2007, 10 personnes attendaient un rein, deux reins provenant de donneurs décédés luxembourgeois ont pu être greffés en 2007. Communiqué de presse Luxembourg, le 2.02.2008 Campagne Il y a une vie après la mort. D après les statistiques d EUROTRANSPLANT, organisme européen qui gère les échanges d organes entre les pays Luxembourg,

Plus en détail

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

L'AOST est l'organisation faîtière suisse des autorités du marché du travail des cantons. Son but est

L'AOST est l'organisation faîtière suisse des autorités du marché du travail des cantons. Son but est STATUTS DE L ASSOCIATION DES OFFICES SUISSES DU TRAVAIL (AOST) 1. Nom, siège et but Art. 1 L'association des offices suisses du travail (AOST) est une association constituée au sens des articles 60 et

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Texte original 0.941.291 Convention relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Conclue à Paris le 20 mai 1875 Approuvée par l Assemblée fédérale le 2 juillet 1875 1 Instruments

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail