Stratégie dans la lutte contre le VIH/SIDA

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1 Stratégie dans la lutte contre le VIH/SIDA 1. ANALYSE DE LA SITUATION 1.1 Statistiques (Chiffres ONUSIDA novembre 2007) A l échelon mondial Nombre de personnes vivant avec le VIH : 33,2 millions dont 30,8 millions d adultes, 15,4 millions de femmes et 2,5 millions d enfants de moins de 15 ans. Nombre de nouvelles infections : 2,5 millions dont 2,1 millions d adultes et enfants de moins de 15 ans. Nombre de décès : 2,1 millions de personnes soit 1,7 millions d adultes et enfants de moins de 15 ans. L Afrique sub-saharienne reste la plus marquée par l épidémie. 22,5 millions de personnes vivent avec le VIH soit 68% du total mondial le nombre de nouvelles infections s élève à 1,7 million plus de 76% des décès dus au Sida ont lieu dans cette région les femmes représentent 61% des personnes vivant avec le virus les enfants : 90% des enfants séropositifs et 11,4 millions d orphelins dus au Sida. En Afrique sub-saharienne, des disparités existent entre les régions ; la prévalence allant de 2% au Sahel à plus de 15% en Afrique australe. 35% des personnes vivant avec le VIH sont en Afrique australe et le 1/3 des nouvelles infections et décès ont lieu dans cette zone L engagement de l Eglise et du réseau Caritas Les organisations liées à l Église, dont le réseau Caritas, s investissent à hauteur de 26,7% des actions de lutte contre la pandémie du SIDA menées dans le monde (Conseil pontifical pour la Santé). Les financements des bailleurs internationaux restent insuffisants. Les organisations d Église n en reçoivent qu une très faible part. Caritas Internationalis développe des actions de plaidoyer auprès des États et des institutions onusiennes afin qu elles augmentent leurs contributions à la lutte contre la pandémie Caritas Internationalis a créé depuis vingt ans une coordination regroupant les organisations d Église (Caritas, CIDSE, Congrégations religieuses) afin d étudier en commun les meilleures réponses à apporter dans la lutte contre le SIDA, et d aider leurs partenaires du Sud à mettre en place des actions de prévention, d accompagnement et de traitements. Le SC en est un membre actif depuis les premières années. Cette coordination est aujourd hui le «Catholic HIV/AIDS Network» (CHAN). Caritas Internationalis a signé, en 2005, un protocole d accord avec l ONUSIDA qui définit leur collaboration dans le domaine de la lutte contre le SIDA. Caritas Europa a créé en 2006 un groupe de travail sur le VIH/Sida en vue de promouvoir un plus grand engagement des Caritas d Europe (en particulier d Europe Centrale et Orientale).

2 2. PRESENTATION DE L ACTION DU SECOURS CATHOLIQUE 2.1. Rappel historique de l engagement Le Secours Catholique s est engagé depuis près de vingt ans dans la lutte contre cette pandémie, essentiellement sur le continent africain. Avec ses partenaires africains (Caritas, Commission santé,..), il appuie - des campagnes d éducation et de prévention (en particulier auprès des jeunes dans les écoles et les paroisses). Une information est faite sur les différents moyens existants (abstinence, fidélité, préservatif) visant à responsabiliser chacun sur son comportement. - des programmes d accompagnement et de prise en charge des malades (dépistage, soutien moral et spirituel, soins des maladies opportunistes, appui nutritionnel, création d activités génératrices de revenus et appui à des associations de malades). - des programmes de formation d orphelins du SIDA (scolarisation, appui à des familles d accueil, défense de leurs droits). Certains programmes visent à encourager les enfants à garder mémoire de leur famille. De plus en plus, les projets présentés au Secours Catholique sont des programmes intégrés visant à la fois la prévention, la prise en charge des malades, le soutien aux orphelins. Depuis plusieurs années, une évolution importante commence à avoir lieu avec la baisse des coûts de l accès aux antirétroviraux. Quelques programmes pilotes sont aujourd hui soutenus par le SC avec l appui de cofinancements publics pour prendre en charge par des ARV les soins aux malades, en particulier dans le cadre de la protection et de la transmission mèreenfant. Cela demande un très bon encadrement médical et un bon suivi des malades. Dans plusieurs pays, un certain nombre de partenaires Caritas ou diocèses travaille en lien étroit avec les structures officielles qui assurent la prise en charge médicale, fournissent les ARV (souvent sur financement international Fonds Mondial ou Banque Mondiale), les Caritas assurant l accompagnement psychosocial des malades. La possibilité d une prise en charge des soins est pour les malades une formidable espérance. De telles collaborations sont aujourd hui vivement encouragées par les organisations internationales qui pour cela incitent les organisations d Eglise à contractualiser avec leurs Etats Evolution de l engagement : création du Fonds SIDA En 2005 a été créé au sein du Secours Catholique un fonds spécifique d un million d euros, dédié à la lutte contre le Sida. Il a permis de renforcer des actions déjà engagées et développer des projets innovants de prises en charge médicales (avec des ARV) en complément de cofinancements publics. Pour que de telles actions soient poursuivies ou développées, des nouvelles ressources sont nécessaires.

3 3. PERSPECTIVES ET PREVISIONS D ENGAGEMENT POUR DEVELOPPER UNE APPROCHE GLOBALE La lutte contre le sida fait partie des priorités thématiques de la politique d action internationale du SC Poursuivre des programmes de prévention et d accompagnement social Le Secours Catholique continuera à appuyer ses partenaires suivant leurs priorités, leurs possibilités d action, en complémentarité de l action des Etats, dans des projets qui concernent la prévention, le dépistage, l accompagnement des malades, la prise en charge médicale, le soutien aux orphelins en vue d une réponse de plus en plus globale aux enjeux de la maladie Les Caritas et autres partenaires du Secours Catholique par le réseau des paroisses, des dispensaires ou leur présence associative ont la possibilité d agir au plus près des populations en mobilisant de très nombreux bénévoles qui peuvent agir dans un travail de prévention et d accompagnement social des malades et des orphelins. Ils sont reconnus et attendus pour cela par les acteurs étatiques et internationaux. Dans bien des pays, ce travail représente l essentiel de leur action. C est pourquoi le SC poursuivra un appui à ces projets tout en encourageant une approche globale Développer l approche globale Aujourd hui, l accès plus facile aux traitements ARV représente un formidable espoir pour les malades du sida, et les efforts de prévention et de dépistage sont largement encouragés quand une prise en charge médicale est possible Encourager le dépistage Trop souvent, les personnes se font dépister quand les premiers signes de la maladie apparaissent. La prise en charge est alors plus compliquée. Pour contrôler l épidémie et sauver des vies humaines, l OMS recommande aujourd hui le dépistage systématique. Le dépistage entre dans la stratégie de prévention en responsabilisant les populations et en les engageant à prendre en charge leur santé. La personne ainsi informée de son statut prendra ses responsabilités pour ne pas transmettre le virus, ne pas être contaminée par le virus et éviter les co-infections. Généraliser le dépistage conduira à une banalisation de la maladie et à éliminer les discriminations. Le SC travaillera avec ses partenaires pour développer plus largement les centres de dépistage volontaire en complément du travail de prévention et de prise en charge. Associé au travail de prévention, une attention plus importante sera également donnée aux programmes qui visent à améliorer la sécurité transfusionnelle Développer l accès aux traitements Le nombre de personnes traitées par ARV augmente y compris en Afrique sub-saharienne. Dans cette région, plus d un million de personnes recevaient ce type de traitement en juin 2006, soit dix fois plus qu en décembre 2003 mais représentent seulement 23% des personnes qui en auraient besoin. L'accès aux traitements est aujourd'hui une priorité car il restaure le système immunitaire. Cette restauration se traduit sur le plan clinique par l accroissement de la durée de survie, la diminution du nombre d'hospitalisations et de décès des patients du fait de la réduction significative de la fréquence des infections opportunistes. Cette amélioration de la qualité de vie a également un impact économique considérable.

4 Les malades traités sont les meilleurs promoteurs de la prévention. Ils témoignent de l amélioration de leur état de santé ce qui incite la population à se faire dépister. La maladie n est plus liée à la mort. Le Secours Catholique poursuivra un appui à ses partenaires pour accompagner les malades et les aider à avoir accès aux traitements dans des structures officielles. Selon ses moyens et les possibilités de cofinancement, il poursuivra son appui à la création de centres de traitements ambulatoires (formation du personnel, équipement de laboratoires et d analyse, aménagement de locaux,..) avec une prise en charge globale et multidisciplinaire. Nos partenaires doivent prévoir la pérennité de ces centres car l infection à VIH, devenue une maladie chronique du fait du traitement antirétroviral et nécessite un traitement à vie. Cette pérennité ne peut exister que s il y a intégration au système de santé du pays. Le Secours catholique encouragera ses partenaires à contractualiser avec les Etats afin d avoir accès à la gratuité des traitements et d obtenir le détachement ou la prise en charge de personnels qualifiés... Mais ces structures sont lourdes et seul un engagement très important des États et de la communauté internationale (en particulier Fonds Mondial, Banque Mondiale ) permettra aux nombreux malades, en particulier en Afrique, d avoir accès aux traitements Encourager les programmes de prévention de la transmission mère-enfant Les enfants ne doivent pas être oubliés par cette stratégie thérapeutique. Dans les pays à faibles revenus, l OMS estime à par jour le nombre de nouvelles infections par le VIH chez les enfants de moins de 15 ans, la plupart dans le cadre d une transmission mère-enfant. Le risque de transmission est de 20 à 40%. Il est plus élevé que celui par voie sexuelle. Cela souligne l importance de la prévention de cette transmission car à l heure actuelle c est la seule qui soit efficace et rentable. Avec le traitement, ce taux peut être ramené à moins de 5 %. Il est inférieur à 1% dans les pays du Nord. Plusieurs partenaires du SC ont développé des programmes de PTME+ en vue du suivi de la mère avant, pendant, et après la grossesse et au moment de l accouchement, du suivi de l enfant et si possible du suivi du conjoint et des autres enfants. Ces programmes intégrés en plus d une prise en charge médicale, assurent un suivi psychosocial et apportent un complément nutritionnel de la personne sous traitement. En fonction de ce qui existe par ailleurs, ce type de projets pour la PTME, dont l impact est important, sera en particulier encouragé Lutter contre les discriminations et les stigmatisations Malgré des campagnes d information et d éducation menées depuis plus de vingt ans, le défi majeur dans ce combat contre l infection à VIH est de lutter contre toute discrimination car la stigmatisation reste très forte sur tous les continents. Les associations de malades (ou de PVV) sont des lieux importants d entraide morale et matérielle qui permettent à des malades de retrouver sens à leur vie. Le témoignage de ces malades est également un très bon moyen de lutter contre les discriminations et les stigmatisations. Le Secours Catholique encouragera en particulier ses partenaires à soutenir les associations de malades et plus spécialement celles de femmes car ce sont les grandes victimes de la maladie. En Afrique, le rapport est de 14 femmes VIH + pour 10 hommes VIH +. Dans la tranche d âge ans, la proportion de femmes infectées est de 69% contre 2,2% pour les hommes. En Afrique du Sud, le taux de séropositivité pour les ans est de 17% pour les femmes et de 4% pour les hommes. Dans la tranche des ans, l écart est moins important, 25% de femmes et 20% d hommes.

5 3.3 Renforcement des compétences des partenaires Dans une perspective de travailler de plus en plus à une réponse globale face à la pandémie du sida qui inclue la prévention, l accompagnement social, la prise en charge médicale, il apparaît de plus en plus nécessaire d avoir des partenaires forts pour mener des programmes intégrés importants, négocier des financements avec les organisations internationales (Fonds Mondiale, Banque Mondiale, Fondations privées Bill Gates ou Clinton,..), contractualiser avec leurs Etats. Cela suppose d avoir des Caritas (ou Commissions santé) nationale et diocésaines fortes avec du personnel bien formé (gestionnaires de projets, personnel médical formés aux traitements par ARV, spécialistes du plaidoyer,..) pour mener ces projets en complémentarité avec d autres acteurs étatiques ou ONG. Il apparaît ainsi important d appuyer nos partenaires pour être membres des CCM (Instance de coordination nationale) en vue d être récipiendaires principaux ou secondaires des financements du Fonds Global (principal bailleur). Le Fonds mondial recommande en effet aux pays d inclure tous les acteurs concernés, entre autres les organisations religieuses/confessionnelles. Des partenariats sont aussi à rechercher avec des entreprises (entreprises implantées dans les pays, laboratoires pharmaceutiques) ou des hôpitaux (GIP ESTHER). Un bon moyen de renforcer les capacités des partenaires est aussi de renforcer les échanges d expériences d un pays ou d une région à l autre sur des projets novateurs. Ainsi par ex, l échange sur le travail de restauration de la mémoire pour les orphelins à partir de l expérience d Afrique du Sud Renforcement des capacités du Secours Catholique dans son expertise Devant la complexité des actions à mener, des projets à élaborer et à réaliser avec nos partenaires, et de l évolution rapide des réponses apportées il est très important que le SC travaille au renforcement de ses capacités en matière de lutte contre le sida Recruter un médecin salarié ou consultant Pour : - apporter un appui technique aux programmes (identification, mise en œuvre, suivi, évaluation) par des missions régulières sur le terrain. - accompagner les partenaires dans le renforcement de leurs capacités. - participer activement au montage des dossiers de cofinancement - représenter le SC dans des organisations travaillant à la lutte contre le sida (CHAN, bailleurs institutionnel, OPALS,..) - participer au travail de plaidoyer et à l animation des délégations diocésaines Constituer un pôle d expertise En plus d un médecin et de bénévoles santé, faire appel à des consultants pour des expertises médicales (OPALS,..), le montage ou l évaluation de projets Pérenniser le groupe SIDA Comme lieu de concertation, de coordination des actions de lutte contre le sida au SC, d émission d avis sur les projets sida à présenter en ROP Renforcer les capacités des chargés de projets Tous les chargés de projets peuvent être amenés à gérer des projets sida. Une formation commune sur les fondamentaux, les évolutions dans la lutte et les priorités d action, pourrait être organisée avec l Institut de Wurzburg et l OPALS.

6 Développer des partenariats autres que financiers Maintenir ou développer des partenariats avec d autres organisation de la société civile en France engagées dans la lutte contre le sida : OPALS, Chrétiens et Sida, Solidarité-Sida (organisateur de Solidays) Promouvoir le plaidoyer Appuyer le travail des partenaires En termes de soutien de projets ou de renforcement des capacités (cf 3.3) en particulier pour la contractualisation et la participation aux CCM Travailler avec d autres ONG en Europe Dans le cadre de plaidoyers, le Secours Catholique s associe aux actions menées par : - le CHAN, pour le compte du réseau Caritas dont il est un membre fédéré. - Caritas Europa. - Coordination-Sud, où le Secours Catholique siège dans la Commission/Sida. - Action Mondiale contre la Pauvreté (AMCP), le Secours Catholique participant à l organisation en décembre 2007 d un colloque sur les Objectifs du Millénaire sur la santé. Pour agir auprès des autorités françaises ou des organisations internationales (ONUSIDA, BM, Fonds Global, etc). Thématiques prioritaires : Le Secours Catholique et ses partenaires doivent mener des actions de plaidoyer : - Pour un meilleur accès aux traitements pour les malades (coûts des traitements, prise en charge du personnel, infrastructures,..) ; - Pour une amélioration des politiques de santé : systèmes de santé de qualité, ressources humaines (personnels médical et paramédical formés et mieux rémunérés) ; - Pour la résolution des conflits : les guerres et les exactions de milices armées (viols, violences.) sont des facteurs de risque de propagation de la maladie ; - Pour l accès à l éducation pour tous (en particulier celle des jeunes filles). 4. MOBILISER DES RESSOURCES La poursuite d un engagement fort du SC dans le domaine du Sida nécessite des ressources nouvelles, ce qui suppose de : - promouvoir des appels spécifiques (IA 910) ; - promouvoir une communication forte ; - développer la recherche de cofinancements (MAE, Mairie de Paris,..) ; - développer le mécénat. 5. ACCROITRE L ANIMATION et la COMMUNICATION Au plaidoyer et au développement des ressources, il convient d ajouter le développement d animations spécifiques sur le sida plus importants alors que l engagement du réseau dans ce domaine est encore faible. Pour cela deux outils d animation et de communication ont été développés qu il convient de promouvoir : - une plaquette thématique/sida, - un CD-ROM, (réactualisé chaque année). Le SC continuera à participer activement au festival Solidays qui permet de contacter de nombreux jeunes.

7 Exemple de projets RD CONGO : Accompagner les malades du SIDA, et scolariser les orphelins En RDC, l instabilité politique et les guerres civiles ont provoqué la disparition des structures étatiques et communautaires, ainsi qu une crise économique majeure. La plus grande partie de la population vit dans une extrême pauvreté, aggravée par l insécurité persistante liée aux bandes armées. Cette situation favorise la propagation du Sida et pénalise les actions de lutte et de prévention : plus d un million de personnes vivent avec le VIH Sida dans le pays. Le Secours Catholique soutient trois diocèses dans leur combat contre ce fléau, notamment à Bukavu au Sud Kivu, où le bureau diocésain des oeuvres médicales (BDOM) tente d endiguer une situation devenue très préoccupante. L ampleur de la propagation justifie un engagement qui dépasse les simples actions de prévention. C est pourquoi le BDOM a créé un Comité diocésain de lutte contre le Sida (CODILUSI) dont le programme se déploie de manière globale : sensibilisation et prévention dans les écoles et les paroisses, sécurité transfusionnelle dans les centres de santé, prévention de la transmission mère-enfant, dépistage volontaire, prise en charge médicale des infections opportunistes (dont les traitements anti-rétroviraux), prise en charge psychosociale et communautaire des personnes infectées, des orphelins et des familles touchées par le virus. L appui du Secours Catholique concerne la scolarisation de 300 orphelins et l accompagnement social des malades (y compris des activités génératrices de revenus, comme la couture et la pêche). NIGER : Programme de lutte contre le VIH/SIDA Situé à l est de l Afrique occidentale, le Niger figure parmi les pays les plus pauvres du monde. Il existe une certaine interaction entre pauvreté et vulnérabilité au VIH/Sida. Malgré une tendance à la stabilisation relevée en 2006, la pandémie pourrait être accélérée par les inégalités et les pesanteurs socioculturelles. Elle touche plus durement les personnes les plus démunies, notamment les femmes, les orphelins et les enfants vulnérables. Dans le cadre de la politique nationale de lutte contre le Sida, la CADEV-Niger (Caritas Développement Niger) oeuvre à l amélioration des conditions de vie des personnes infectées et affectées par le VIH/Sida. Dans le prolongement d une phase pilote menée de 2004 à 2007, la Caritas souhaite, à travers un nouveau programme triennal (2008 à 2010), s inscrire dans une perspective à long terme visant à réduire l impact de la maladie au sein de la population et à préserver la dignité humaine des personnes séropositives, des malades du Sida et de leurs familles. Ce programme comporte plusieurs volets : l amélioration quantitative et qualitative de l aide apportée (soins, réinsertion socio-économique, aide alimentaire, accompagnement psychologique et spirituel) ; l élargissement du Programme d Appui à la Réinsertion d Enfants en Difficulté (PARED) aux enfants affectés par le VIH et aux orphelins du SIDA ; la création d un guide de l assistance juridique pour informer les malades et leurs familles ; la mise en place d un mécanisme de plaidoyer politique fonctionnel pour mieux accéder aux ressources publiques de la communauté internationale.

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