Hématologie Niveau 1. Alexandra Briend-Marchal Patricia Crosse. Laboratoire Vebio
|
|
- Mauricette Marois
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Hématologie Niveau 1 Alexandra Briend-Marchal Patricia Crosse Laboratoire Vebio
2 Plan Pré-requis techniques La physiologie: hématopoïèse, rôle des hématies, rôle des leucocytes L examen d un frottis sanguin: morphologie des hématies et des leucocytes Application: quelques cas cliniques Questions à choix multiples
3 Les techniques: prise du sang, réalisation et lecture d un frottis sanguin
4 Les techniques: prise de sang
5 Les techniques: prise de sang Tube propre (ne pas contaminer le prélèvement) EDTA (bouchon violet) non périmé Agiter doucement par retournements successifs Réaliser un frottis sanguin
6 Impossible d afficher l image. Les techniques: réalisation d un frottis sanguin
7 Les techniques: réalisation d un frottis sanguin Impossible d afficher l image.
8 Impossible d afficher l image. Frottis sanguins inexploitables et exploitable inexploitables correct
9 Impossible d afficher l image. Frottis trop épais Superposition des hématies
10 Lecture d un frottis sanguin Zone de lecture d un frottis sanguin: 2 ème tiers vers la queue de frottis Si trop proche de la base: hématies superposées et formule leucocytaire modifiée (plus de lympho, moins de neutro) Si trop proche de la queue de frottis: sur-estimation de certains leucocytes (éosino et mono)
11 Impossible d afficher l image. Le microhematocrit centrifugé, HCT Micro centrifuger un tube capillaire à grande vitesse ( g) Le plasma est en haut La couche intermédiaire est constituée de leucocytes et de plaquettes Les hématies sont en bas Plasma ictérique Plasma lipémique Plasma hémolysé
12 Les techniques: automates à variation d impédance
13 Impossible d afficher l image. Compteurs de cellules par variation d'impédance (de type Coulter Counter) Comptage dans 2 cuves séparées: - 1 pour les hématies et les plaquettes - 1 pour les leucocytes Les cellules passent à travers une ouverture créant une différence de potentiel électrique entre deux électrodes La variation d impédance est fonction du volume de la particule, ce qui permet de classer chacune des cellules
14 Compteurs de cellules par variation d'impédance (de type Coulter Counter) Les numérations érythrocytaire, leucocytaire et plaquettaire sont réalisées Le VGM est mesuré Une formule leucocytaire approximative est déterminée (par classification des GB en fonction de leur taille) L hémoglobinémie est mesurée par spectrophotométrie après lyse des GR.
15 Compteurs de cellules par variation d'impédance (de type Coulter Counter) Valeurs mesurées: Valeurs calculées: Numération des GR VGM (volume globulaire moyen) Hémoglobinémie Numération des plaquettes VPM (volume plaquettaire moyen) Numération des GB et formule approximative Hématocrite: RBC X MCV TCMH (taux corpusculaire moyen en hémoglobine): Hgb / nbre de GR CCMH (concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine): Hgb / Hématocrite RDW (Indice de variation de la taille des GR)
16 Les techniques: automates de type QBC (Quantitative Buffy Coat)
17 Impossible d afficher l image. Compteurs de cellules par analyse du buffy coat Tube capillaire spécial contenant un cylindre de matière plastique (flotteur). Lors de la centrifugation, la couche leuco-plaquettaire s étend le long du flotteur. La fluorescence est utilisée pour différencier les couches de cellules. L'épaisseur de la couche de chaque type de cellule est corrélée avec sa concentration.
18 Compteurs de cellules par analyse du buffy coat Valeurs mesurées: Valeurs calculées: Hématocrite HGB CCMH (concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine): Hgb / Hématocrite Plaquettocrite Fibrinogène Buffy coat
19 Impossible d afficher l image. Numération des réticulocytes Coloration spéciale des ARN rémanent dans les réticulocytes colorés en bleu foncé par Bleu de Crésyl Brillant Comptage des cellules colorées (% des cellules non colorées au total) Interprétation de la numération absolue des réticulocytes seulement Réticulocytes
20 Physiopathologie: l hématopoïèse et le rôle des différentes populations cellulaires
21 Hématopoïèse L academie de Dijon
22 Hématopoïèse
23 Erythropoïèse L'hématopoïèse se déroule, après la naissance dans la moelle des os L érythropoïétine agit sur les CFU-E (colony forming unit - erythocyte) qui répond en se divisant ou en se différenciant en proérythroblastes L'érythropoïétine est produite par le rein, en réponse à une hypoxie
24 Erythropoïèse: Moelle Osseuse Erythroblaste polychromatophile Proérythroblaste Erythroblaste basophile Erythroblastes acidophile
25 Myélopoïèse La myélopoïèse se déroule principalement après la naissance dans la moelle osseuse La myélopoïèse est régulée par les cytokines (exemple CSF)
26 Myélopoïèse Prolifération Maturation Circulation Moelle osseuse Sang
27 Le rôle des hématies: apporter l oxygène aux tissus
28 Le rôle des hématies La fonction principale des hématies et à apporter l oxygène aux tissus Toute l'énergie générée par le métabolisme de l hématie est consacrée au maintien de la forme des cellules, à la structure de la membrane, aux fonctions enzymatiques, au maintien du fer réduit, le but final étant le fait d'optimiser l'apport d'oxygène aux tissus
29 Le rôle des leucocytes: défendre l organisme contre les agressions
30 Le rôle des neutrophiles Rôle dans l'immunité innée La fonction principale des neutrophiles est (associée à l inflammation aiguë) de lutter contre la pénétration et le développement de l ensemble des éléments infectieux (bactéries, virus, champignons) et non-infectieux (cellules nécrotiques, corps étrangers) Arrivée aux contacts des éléments étrangers, libération de substances actives, phagocytose Rôle dans l immunité adaptive: immunorégulation
31 Migration des polynucléaires neutrophiles 1. Margination, adhérence à l'endothélium 2. Migration à travers l'endothélium 3. Migration dans les tissus interstitiels 4. Lutter contre l infection
32 Le polynucléaire neutrophile 3 Pools: - Circulant - Marginé - Tissulaire Un stress induit une démarginalisation et une augmentation du nombre de neutrophiles circulants.
33 Le rôle des lymphocytes: Rôle dans l'immunité innée (cellules NK) Rôle dans l immunité adaptive: Humorale: production des anticorps Cellulaire: cytotoxicité ou hypersensibilité retardée Recrutement des monocytes
34 Les lymphocytes Production médullaire et périphérique (ganglions lymphatiques, rate et thymus). Pools circulant et marginé
35 Le rôle des monocytes: Rôle dans l'immunité innée La fonction principale des macrophages est de lutter contre la pénétration et le développement de l ensemble des éléments infectieux (bactéries, virus, champignons) et non-infectieux (cellules nécrotiques, corps étrangers) Arrivée aux contacts des éléments étrangers, libération de substances actives, phagocytose Rôle dans l immunité adaptive: immunorégulation Rôle dans la réparation tissulaire
36 Les monocytes Taille d un monocyte: microns Appartient au (système des phagocytes mononucléés): cellules avec de nombreuses fonctions Monocytes circulent dans le sang, puis entrent tissus pour devenir des macrophages. Monocytose: Inflammation Glucocorticoïdes Néoplasie Monocyte PNN
37 Les polynucléaires éosinophiles Taille: microns Production dans la moelle osseuse est stimulée par les cytokines (IL5 surtout) Pools circulant et marginé Ils circulent pendant quelques heures max puis entrent dans les tissus, où ils peuvent vivre pendant des semaines. PNN PNE
38 Eosinophilie Causes: - parasitose - phénomène allergique - syndrome éosinophilique - syndrome paranéoplasique (mastocytome, autre)
39 Le rôle des plaquettes: assurer l hémostase
40 Rôle des plaquettes La première fonction des plaquettes est de contribuer à réparer des brèches vasculaires et à prévenir une hémorragie, en participant à la formation des bouchons hémostatiques. Les plaquettes sont consommées dans ce processus. L'énergie pour les fonctions plaquettaires est dérivé de l'atp (généré par la glycolyse aérobie et la phosphorylation oxydative) Les plaquettes jouent également un rôle importante dans l inflammation
41 Morphologie des cellules sanguines
42 Les hématies
43 Examen des hématies Cellule anucléée chez mammifères (nucléée chez oiseaux, reptiles, batraciens, poissons) Produite par lignée érythroïde médullaire Volume variable en fonction espèce Examen de la taille, de la forme, de la couleur Uniformité générale
44 Examen des hématies: chien Disques biconcaves Volume: fl Cas particuliers: Macrocytose Caniche (VGM=80 fl) Microcytose Akita et Shiba Inu (VGM= 60 fl) Contours réguliers Légère pâleur centrale
45 Examen des hématies: chat Disque biconcave Volume: fl Légère anisocytose physiologique Pâleur centrale peu visible
46 Les leucocytes
47 Le polynucléaire neutrophile Diamètre: microns (GR= 7 microns) Noyau polylobé (2 à 5 lobes) Cytoplasme abondant clair sans granulation
48 Polynucléaire éosinophile: Chien Diamètre: 12 microns Noyau bi ou trilobé Chien: granulations rondes, oranges, en nombre et de taille variables
49 Polynucléaire éosinophile: Chat Diamètre: 12 microns Bilobé le plus souvent Chat: granulations très nombreuses, en batonnets, oranges
50 Polynucléaire éosinophile: chien et chat PNE de Chat PNE de Chien
51 Les polynucléaires basophiles Très rarement observés (très faible nombre circulants) Plus fréquent chez le chat que chez le chien Production dans la moelle osseuse est stimulée par les cytokines
52 Le lymphocyte Diamètre: 7 à 10 microns Noyau rond parfois encoché, cytoplasme clair très réduit Rôle dans l immunité à médiation humorale
53 Le monocyte Diamètre: microns Noyau massif grossièrement en U, cytoplasme abondant grisâtre et parfois vacuolisé Rôle dans l immunité à médiation cellulaire monocyte
54 Les plaquettes
55 Les plaquettes Plaquettes = fragments de cytoplasme de mégacaryocytes médullaires Rôle: hémostase primaire (formation du thrombus blanc) Chat: plaquettes volumineuses + amas fréquents Plaquettes (thrombocytose sévère ici)
56 Les plaquettes Plaquettes Amas de plaquettes
57 Macroplaquettes: Cavalier King Charles
58 Amas de plaquettes Très fréquent chez le chat physiologiquement Peut être le signe d un état d hyperagrégabilité plaquettaire
59 Modifications des hématies
60 Modification de taille et de coleur Différence de taille entre les GR = anisocytose Différence de couleur entre les GR = polychromatophilie
61 Anisocytose + polychromatophilie Réticulocytes Réticulocytes = plus gros et plus bleus que les GR Régénération des GR: Perte de sang Anémie hémolytique
62 Réticulocytose: bleu de Crésyl Réticulocytes possèdent résidus ARN colorés en bleu foncé par Bleu de Crésyl Brillant Classification de l anémie (régénérative ou pas) Réticulocytes
63 Hypochromie Parmi des hématies normales: - hématies pâles - hématies petites - cellules cibles Anémie ferriprive Annulocytes
64 Corps de Howell-Joly Résidu nucléaire, rond, très basophile Fréquent et physio chez chat en petit nombre Augmenté chez animal splénectomisé Corps Howell-Joly
65 Erythroblastes circulants
66 Acanthocytes Hématies dont le membrane est déformée, comme «ondulée» Altération du ratio entre différents lipides membranaires (hépatopathie, défaut d absorption intestinale des lipides) Acanthocyte
67 Schizocytes Morceaux d hématies de formes aléatoires Fragmentation mécanique (glomérulopathie, endocardite, néovascularisation tumorale ) Schizocytes
68 Corps de Heinz Oxydation de l hémoglobine qui précipite sous forme d un corpuscule rejeté à un pole de l hématie puis à l extérieur CT >> CN Hématies définitivement non fonctionnelle Traitement oxydant (paracématol..), additifs alimentaires, oignons
69 Corps de Heinz Corps de Heinz
70 Corps de Heinz:bleu de Crésyl Réticulocyte Corps de Heinz
71 Eccentrocytes Eccentrocytes
72 Sphérocytes Sphérocytes
73 Parasitoses décelables sur le frottis sanguin CN: babesiose (dans GR), dirofilariose, hépatozoonose (dans monocytes), anaplasmose (dans les plaquettes) CT: mycoplasmose (dans GR) (haemofelis, haemominutum) Babesia sp
74 Babesiose (Babesia canis)
75 Dirofilariose (dirofilaria immitis ou repens)
76 Anaplasma platys Anaplasmose (anaplasma platys)
77 Mycoplasma Mycoplasmose (Mycoplasma haemofelis ou haemominutum)
78 Modifications des leucocytes
79 Jeunes Polynucléaires Neutrophiles toxiques Formes immatures peu lobées Parfois cytoplasme spumeux ou corps de Doëhle Infection, surtout bactérienne Jeunes polynucléaires neutrophiles toxiques
80 Corps de Doëhle Jeunes PNN
81 Corps de Doëhle Corpuscules cytoplasmiques ronds, bleutés, taille variable Résidus de reticulum endoplasmique lors de défaut maturation granuleux Observés dans infections suppurées Corps de Doëhle
82 Corps de Doëhle
83 Neutrophilie Physiologique (réaction de fuite, de défense) Associé à une augmentation des glucocorticoides circulants (origine médicamenteuse ou hypercorticisme spontané) Inflammatoire Tumorale
84 Les lymphocytes Lymphocytose Physiologique Inflammation chronique Néoplasie Hypocorticisme Lymphopénie Glucocorticoïdes Inflammation aïgue Perte de lymphocytes (épanchement chyleux) Hypoplasie lymphoïde (immunosuppression)
85 Lymphocytes activés Plus grands, cytoplasme plus abondant et plus basophile Parfois quelques grains cytoplasmiques rougeâtres Lymphocyte activé
86 Cas cliniques
87 Cas 1: Chat Sacré de Birmanie 1 ans
88 Cas 1: Chat Sacré de Birmanie 1 ans HCT: 10% HGB: 4 g/dl VGM: 55 fl Réticulocytes: /µL Plaquettes: /µL Neutrophiles: /µL Coombs: Positif
89 Cas 1: Chat Sacré de Birmanie 1 ans LIGNÉE ROUGE : Anisocytose et polychromatophilie ++. LIGNEE PLAQUETTAIRE : Pas d'anomalies morphologiques notées. LIGNEE BLANCHE : Absence d'anomalie morphologique sur les différentes populations leucocytaires observées.
90 Cas 1: Chat Sacré de Birmanie 1 ans Conclusion: anémie périphéique et Coombs + - Evoque une anémie à médiation immune - Un éventuel foyer de saignement ne peut pas être exlu
91 Cas 2: Chien épagneul breton 14 ans
92 Cas 2: Chien épagneul breton 14 ans HCT: 28% HGB: 9 g/dl VGM: 65 fl Réticulocytes: /µL Plaquettes: /µL Leucocytes: 4 820/µL Neutrophiles: 3 520/µL
93 Cas 2: Chien épagneul breton 14 ans LIGNÉE ROUGE: Pas d'anisocytose ni de polychromatophilie. LIGNEE PLAQUETTAIRE: Macroplaquettes LIGNEE BLANCHE: Absence d'anomalie morphologique sur les différentes populations leucocytaires observées.
94 Cas 2: Chien épagneul breton 14 ans Conclusion: Anémie non régénérative modérée compatible avec: -une inflammation chronique -une hypoplasie médullaire -une insuffisance rénale chronique -une perte de sang chronique (parasitisme interne ou externe sévère? ulcère digestif?...)
95 Cas 2: Chien épagneul breton 14 ans Prochaine étapes: 1. Cherchez un foyer inflammatoire chronique 2. Myélogramme
96 Cas 3: Chien cocker 12 ans
97 Cas 3: Chien cocker 12 ans HCT: 25% HGB: 8,5 g/l VGM: 73 fl Réticulocytes: /µL Plaquettes: /µL Neutrophiles: 9 000/µL
98 Cas 3: Chien cocker 12 ans LIGNÉE ROUGE : Anisocytose et polychromatophilie ++ Sphérocytes + LIGNEE PLAQUETTAIRE : Pas d'anomalies morphologiques notées. LIGNEE BLANCHE : Absence d'anomalie morphologique sur les différentes populations leucocytaires observées.
99 Cas 3: Chien cocker 12 ans Conclusion: Anémie périphérique compatible avec: - une anémie à médiation immune - un éventuel foyer de saignement
100 Cas 3: Chien cocker 12 ans Prochaines étapes: Un test de Coombs Une biochimie Historique d intoxication médicamenteuse ou de transfusion?
101 Expertise, Disponibilité, Indépendance, Qualité Alexandra Briend-Marchal Docteur Vétérinaire Diplômée du Collège Européen de Pathologie Clinique Vétérinaire D.U. Cyto-Hématologie Humaine C.E.S. Hémato-Biochimie Vétérinaire Stéphanie Lafarge-Beurlet Docteur Vétérinaire D.U. Cyto-Hématologie Humaine Master de Cancérologie Doctorat de Science Patricia Crosse Docteur Vétérinaire Diplômée du Collège Américain de Pathologie Vétériniaire, option Biologie Clinique Ancienne consultante au Royal College de Londres ACTIVITÉS Biologie vétérinaire Recherche et développement cliniques, en interne et en partenariats (publics et privés) Formation continue vétérinaire (articles, conférences, cours, stages...) SERVICES Résultats disponibles sur internet (espace personnalisé et sécurisé) Transport simple et rapide à un coût minimal Fourniture de matériel de prélèvement et de kits d envoi aux normes P650 Organisation de cessions de formation continue en biologie clinique (ouvrant droit à des points de formation) Laboratoire Vebio Biologie Vétérinaire 41bis avenue Aristide Briand Arcueil cedex Tel : +33 (0) Fax : +33 (0) vebio@vebio.fr ENGAGEMENTS Affilié à un contrôle qualité externe international Matériel de pointe et méthodes validées pour la biologie vétérinaire Expertise, disponibilité et indépendance des biologistes vétérinaires Agrément par le Collège Européen de Biologie Clinique pour la formation de résidents
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailInterpréter un résultat d hémogramme
Interpréter un résultat d hémogramme Dr Albert Steffen Médecine Interne Montpellier* Dr Yves Le Noc - MG SFDRMG Montreuil* *Aucun lien d intérêt 08/10/210 JNMG- Paris 1 Pourquoi cet atelier? Dix premiers
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailRevue microscopique du frottis sanguin : propositions du Groupe Francophone d Hématologie Cellulaire (GFHC)
Revue microscopique du frottis sanguin : propositions du Groupe Francophone d Hématologie Cellulaire (GFHC) F. GENEVIÈVE 1, A.C. GALOISY 2, D. MERCIER-BATAILLE 3, O. WAGNER-BALLON 4, F. TRIMOREAU 5, O.
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailL anémie chez le patient âgé de plus de 75 ans : des particularités à connaître pour le biologiste
L anémie chez le patient âgé de plus de 75 ans : des particularités à connaître pour le biologiste P. LEMAIRE 1, T. BELLEVILLE 1, S. ROBINET 1, E. PAUTAS 2,3, V. SIGURET 1,3 résumé L anémie est fréquente
Plus en détailHématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES
Hématologie et soins infirmiers Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Diaporama confectionné en collaboration avec : Pr Bordessoule, Pr Jaccard, Dr Girault, Dr Turlure Réseau Hématolim Plan
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLECTURE CRITIQUE DE L HÉMOGRAMME : VALEURS SEUILS
LECTURE CRITIQUE DE L HÉMOGRAMME : VALEURS SEUILS À RECONNAÎTRE COMME PROBABLEMENT PATHOLOGIQUES ET PRINCIPALES VARIATIONS NON PATHOLOGIQUES SOMMAIRE I. Quelles sont les valeurs seuils de l hémogramme,
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailAnémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. - Argumenter Introduction - Les anémies par carence martiale
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailLES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT
ÉCOLE NATIONALE VETERINAIRE D ALFORT Année 2010 LES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT THESE Pour le DOCTORAT VETERINAIRE Présentée et soutenue publiquement devant
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détail1. Facteurs pré-analytiques importants en pathologie clinique vétérinaire
1. Facteurs pré-analytiques importants en pathologie clinique vétérinaire 1.1. Généralités concernant l hématologie, l endocrinologie, la biochimie et la sérologie 1.1.1. Collecte, manipulation et transport
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailF.C.O.P. Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE. (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET
Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET Février 2008 Les examens de laboratoires sont multiples et souvent
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLes syndromes myelodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLeucémie Lymphoïde Chronique
Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques: Information aux patients
Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailATTENTES DE L ÉQUIPE & MFP
B R O C H U R E 2 0 1 2 US52 HÉMATOLOGIE À L ATTENTION DES ÉTUDIANT(E)S EN SOINS INFIRMIERS z Bienvenue à l US52 z Le 52,qu est-ce que c est? L unité 52 est un service d hospitalisation d hématologie adulte.
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailMaxwell 16 Blood DNA Purification System
Manuel Technique Maxwell 16 Blood DNA Purification System Attention, cartouches à manipuler avec précaution, les bords scellés peuvent être tranchants. 2800 Woods Hollow Rd. Madison, WI USA Dispositif
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailSyndromes myélodysplasiques
Syndromes myélodysplasiques LEUCÉMIE LY M P H O M E MYÉLOM E PS22 50M 3/08 Table des matières Introduction 2 Sang et moelle osseuse normaux 3 Syndromes myélodysplasiques 5 Incidence 6 Causes et facteurs
Plus en détailTECHNOLOGIE APPLIQUÉE. Schizocytes : recherche et interprétation RÉSUMÉ. Schizocytes, anémie hémolytique, microangiopathie thrombotique.
Chantal FOSSAT, Marie ROMÉO * Schizocytes : recherche et interprétation RÉSUMÉ La découverte orientée ou fortuite de schizocytes sur un frottis sanguin est fréquente en Biologie Médicale. Témoin d une
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailCellules souches hématopoïétiques
Cellules souches hématopoïétiques Pr Bernard Klein INSERM-UM1 U1040: BIOTHERAPY OF NORMAL AND CANCER STEM CELLS INSTITUTE FOR RESEARCH IN BIOTHERAPY http://irb.chu-montpellier.fr Hématopoïèse! Plaquettes
Plus en détailÀ partir de la IIème année Pharmacie, Médecine Générale et Médecine Dentaire
Protocole d analyse toxicologique et biochimique À partir de la IIème année Pharmacie, Médecine Générale et Médecine Dentaire DOSAGE DE LA METHEMOGLOBINE SANGUINE Extrait de : Loghin F., Popa D., Kiss
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailGlossaire de la LMC et abréviations
Glossaire de la LMC et abréviations Richard Rockefeller, MD. Updated in 2008 by the CML Society of Canada. INTRODUCTION: Vous trouverez dans ce document des termes liés spécifiquement à la LMC, ainsi que
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailLes greffes de cellules souches
A qui en parler? Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir
Plus en détailInformation transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé
Les Direct Healthcare Professional Communications (DHPC) sont des courriers envoyés aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, afin de les informer de risques potentiels apparus lors
Plus en détailGUIDE DU DONNEUR. Protection santé SERVICE DU SANG
GUIDE DU DONNEUR Protection santé SERVICE DU SANG Introduction 2 Pourquoi donner un peu de Sang? Avant toute chose, les dons de sang, de plasma ou de plaquettes contribuent à sauver des vies humaines.
Plus en détailRisque infectieux et protection de l organisme
Risque infectieux et protection de l organisme 1 La menace microbienne Comment définir les microbes? Activité 1 Les micro-organismes qui nous entourent Q1. Observer la préparation du bacille de Koch ou
Plus en détailGuide destiné aux patients atteints d un myélome multiple
Guide destiné aux patients atteints d un myélome multiple ÉDUCATION CONNAISSANCE ACCÈS RECHERCHE Exclusivement au service de la communauté canadienne du myélome Introduction Ce document s adresse aux :
Plus en détailLIVRET D INFORMATION ET D AIDE À LA DÉCISION À L USAGE DES PARENTS ÉDITION 2008
Mon enfant va recevoir une allogreffe de moelle LIVRET D INFORMATION ET D AIDE À LA DÉCISION À L USAGE DES PARENTS ÉDITION 2008 Coordonné par Michel DUVAL et Dominique DAVOUS, en partenariat avec l Espace
Plus en détail