Une journée type à l école maternelle

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Pascal Malo
il y a 7 ans
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1 UE 13 20/10/10 Une journée type à l école maternelle Yves Soulé, IUFM-LIRDEF/Montpellier II

2 Plan de l intervention I. Une journée type II. Rituels et variations III. Socialisation IV. Les domaines d activité V. La question du langage 2

3 1. Une journée type Organisation spatiale Cadrage temporel Rythmes de l enfant / rythme scolaire (discussion avec l amphi et commentaires à partir de photographies de classe) 3

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10 Le coin poste La ferme 10

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16 I. La première école Des salles d asile au «premier degré non obligatoire» de la scolarité De «la maternelle» à «l école maternelle» Enseigner au cycle 1 La Grande section de maternelle Un lent processus : reconnaissance, émancipation, intégration Une remise en cause inquiétante? 16

17 II. Une école différente? Garde Hygiène et santé Sécurité physique, psychoaffective, morale Développement cognitif Aide aux apprentissages Scolarisation précoce / pré-scolarisation 17

18 La cuisine La marchande 18

19 III. L école des premiers apprentissages 5 domaines S approprier le langage- Découvrir l écrit Devenir élève Agir et s exprimer avec son corps Découvrir du monde Percevoir, sentir, imaginer, créer BO, Hors série, 19 juin

20 Développer la conscience des perceptions 20

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23 Assurer un premier bagage de connaissances factuelles 23

24 Assurer un premier bagage de connaissances procédurales 24

25 Faire acquérir un langage en situation 25

26 Repères pour l enseignement en maternelle L entrée dans les systèmes de signes Le maniement des différents codes langagiers La diversification des supports-situationslangages Les conditions de la maîtrise langagière (analyse des interactions, conduites explicatives, pratiques de questionnement) 26

27 Quelle que soit l importance de la maîtrise du langage verbal et de la langue, les pressions exercées sur l apprentissage du lire-écrire, il convient de réaffirmer la part des langages dans le développement de l enfant et dans la maîtrise de la langue. 27

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29 Reconnaître l importance de tous les langages la complémentarité des apprentissages langagiers la coexistence dans la plupart des activités de plusieurs langages La relation entre apprentissages langagiers et développement des compétences cognitives 29

30 Traiter chaque langage selon les points de vue Formel, technique Sémantique, sémiologique Pragmatique, communicationnel Esthétique (intention) Culturel Symbolique, conceptuel 30

31 Tisser la continuité des apprentissages langagiers et cognitifs Les langages pour les langages Les langages pour le langage verbal et la maîtrise de la langue Les langages pour le développement des opérations de compréhension; d interprétation, de production 31

32 Description, commentaires en petits groupes, Jeu de rôle 32

33 Les poussins portent le A. Ils sont trop petits pour porter le A. Ils font des gouttes. Nous on est grand. Nous quand on porte le A on dit que c est pas lourd. 33

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37 IV. Une dynamique professionnelle complexe Education, enseignement, accompagnement Anticipation, prévention, prédiction Formation initiale et continue Tenir compte du développement de l enfant dans sa globalité Parier sur la co-éducation Tirer profit des recherches scientifiques 37

38 Une ambition Partir «à hauteur des élèves» et rester «à portée des élèves» Richesse des situations Agir / Créer Parler / Ecrire Penser Production ELEVE Découverte des codes et des symboles Secondarisation Etre «actif dans la tête» Acculturation Les médiations symboliques 38

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42 «Arrêtons de penser que les enseignants font de la résistance au changement» Frédéric Saujat, laboratoire «Métiers enseignants en zone difficile Mieux comprendre les métiers de l intérieur ERGAPE» 42

43 Une profession se caractérise par une formation longue, fondée sur des savoirs savants, une assez grande autonomie quant aux méthodes de travail, avec la responsabilité morale et juridique correspondante, une organisation collective assez forte, prenant en charge le code de déontologie, la formation initiale et surtout continue, les standards. Les sociologues parlent volontiers du métier d enseignant comme d une semiprofession : sur certains critères (par exemple formation de haut niveau), le métier d enseignant a les caractéristiques d une profession. Sur d autres (autonomie, autoorganisation collective, contrôle de la formation), on se rapproche davantage d un métier, qualifié certes, mais dans lequel la part du travail prescrit et du contrôle est importante. La professionnalisation désigne le processus par lequel un métier devient une profession. Le métier d enseignant est-il engagé dans ce processus? Oui, à certains égards. Mais on observe aussi le mouvement inverse, de «prolétarisation» et de contrôle accru par les producteurs de prescriptions en matière de programmes, méthodes, procédures d évaluation, etc. Philippe Perrenoud, «Fenêtres sur cour», septembre

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