Partage d informations avec les communautés

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1 Notes de CAFOD sur la Redevabilité: Niveau 1 (basique) Partage d informations avec les communautés Le présent document fournit aux partenaires de CAFOD un guide basique et méthodique sur le partage d informations avec les communautés auxquelles ils apportent assistance soit par un travail de développement soit par une intervention humanitaire. Pour des informations plus détaillées et des études de cas sur les bonnes pratiques et les leçons à tirer, prière de vous référer aux notes du niveau 2 (supérieur). 1. Introduction Afin d être redevable aux personnes à qui nous venons en aide par nos programmes de développement ou nos interventions humanitaires, nous devons nous assurer qu elles connaissent leurs droits et aient accès aux informations nécessaires pour pouvoir participer aux programmes et offrir leurs commentaires. Les avantages du partage d informations avec les communautés comprennent : Une amélioration de l impact et de l efficacité des programmes Une transmission d informations efficace peut renforcer la confiance des communautés, créer un sentiment d appropriation et encourager participations et rétroactions. En s assurant que les personnes et les communautés soient bien informées sur l aide qu ils vont recevoir, nous pouvons les aider à mieux prendre en main leurs vies. Une réduction des niveaux de corruption et de fraude. Par exemple, en partageant avec les communautés locales les critères de sélection ainsi que les listes de bénéficiaires, nous pouvons indiquer clairement les personnes ayant droit à l assistance et celles qui en sont exclues. De même, en partageant 1 officiellement avec le personnel et les communautés que nous soutenons des informations sur les budgets de nos programmes, nous pouvons prévenir les fraudes. Une approche progressive Quand les ressources financières sont limitées, ou au début d une intervention humanitaire, il est recommandé d adopter une approche progressive de partage d informations. Il est préférable de mettre d abord en place un mécanisme basique qui peut être renforcé par la suite et graduellement inclure des bonnes pratiques et méthodes de travail. (voir Partage d informations avec les communautés, Niveau 2 (Supérieur) en préparation). Mécanisme de base de partage d informations La section suivante de ce document fournit un guide pour transmettre les informations essentielles aux communautés. Chaque membre de communauté devrait avoir au moins un moyen d obtenir des informations sur les programmes. L encadré 1 ci-dessous fournit des exemples de mécanismes de base de partage d informations. Les communications verbales sont souvent mieux appropriées dans des contextes de bas niveaux d alphabétisation.

2 2. Planifier les mécanismes de partage d informations Toute planification de partage d informations avec les communautés comprend les éléments suivants. a) Avec qui partager les informations? Il est important de partager les informations avec les personnes directement concernées par le programme, ainsi qu avec toute la communauté et autres parties prenantes qui voudraient connaître le travail entrepris par l agence dans leur région. b) Quelles informations partager? Au minimum, les informations suivantes doivent être fournies dans le langage local approprié : Nom et coordonnées des principales personnes responsables de programmes. Court résumé du programme comprenant notamment objectifs et échéanciers des activités ainsi que des informations sur les bénéficiaires. Droits des bénéficiaires notamment droit de recevoir de l aide basé uniquement sur les besoins ; droit de recevoir de l aide sans aucun préjudice, entre autre sans risque d harcèlement sexuel ni incitation à la corruption; droit de pouvoir exprimer opinions, commentaires ou plaintes librement. Date et programme des prochaines réunions de l agence / communauté. Comment définir une plainte? Que faire et qui contacter pour enregistrer une plainte? c) Quelles informations ne pas partager? Selon le contexte, il peut être nécessaire de ne pas divulguer les informations 2 suivantes: noms et coordonnées de sympathisants, bailleurs de fonds, partenaires ou personnel; toute information qui pourrait compromettre la sécurité du personnel de programme et les bénéficiaires; toute information qui pourrait porter atteinte à la bonne réputation de l agence ou qui pourrait être utilisée de façon malveillante. Dans ces cas, il serait judicieux de modifier les modes de communication, par exemple en remplaçant une adresse électronique personnelle (qui pourrait compromettre la personne en question) par une adresse générique qui servirait à transmettre les plaintes. d) Comment partager les informations? Il existe de nombreuses façons de partager des informations avec les communautés. L encadré 1 ci-dessous fournit plusieurs exemples, soulignant pour chacun avantages et difficultés. Réunions publiques Affiches/ dépliants Panneau d information Les réunions habituelles de communautés peuvent être un moyen efficace de partager des informations. Les groupes les plus vulnérables risquent d en être exclus. Les informations par écrit peuvent renforcer la cohérence des messages. Le matériel doit être modifié en fonction de nouvelles informations sur le programme. Ce moyen de communication ne convient pas si le niveau d alphabétisation est bas. Une seule source d informations pour une audience potentiellement très grande. Les informations par écrit peuvent renforcer la cohérence des messages. Le tableau peut être donné aux communautés à la fin du programme.

3 Discussion de groupes témoin Période réservée pour visite au bureau du programme Disponibilité du personnel lors de visites sur le terrain pour poser des questions et recevoir feeback Radio Ce moyen de communication nécessite temps et effort pour que les informations soient d actualité et pertinentes. Il ne convient pas si le niveau d alphabétisation est bas. L occasion de renforcer la confiance surtout parmi les groupes les plus vulnérables. La possibilité de discuter et clarifier les informations fournies et de recevoir immédiatement des commentaires. Nécessite un facilitateur approprié, par exemple une femme pour animer un groupe témoins de femmes. Les membres de communauté ont la possibilité d exprimer leurs préoccupations dans un environnement sur et discret. Ce moyen de communication peut être plus facile pour le personnel de programme. Le bureau doit être suffisamment proche de la communauté. Communication simple qui peut encourager la participation de groupes vulnérables ou ceux qui n ont pas généralement l occasion de participer à des réunions. Peut limiter la capacité du personnel de programme de mettre en place efficacement les activités. Moyen de communication à grande audience et coût relativement peu élevé par auditeur. Peut donner des informations au bon moment une façon rapide de communiquer des messages. Risque de ne toucher que certaines couches de population et pas nécessairement les groupes les plus vulnérables. Nécessite accès aux radios étatisées ou privées, ou des connaissances et ressources techniques pertinentes. Journaux Usage de groupes de théâtre/ autres formes de media Moyen de communication à grande audience et coût relativement peu élevé par lecteur. Peut donner des informations au bon moment une façon rapide de communiquer des messages. Il ne convient pas si le niveau d alphabétisation est bas. Peut créer un important sentiment d appropriation dans la communauté. Nécessite un facilitateur approprié. Encadré 1: et difficultés des mécanismes de partage d informations Il est important de choisir des mécanismes qui sont facilement accessibles à tous les bénéficiaires, notamment aux groupes les plus vulnérables. La première chose à faire est de considérer si les moyens de communication déjà établis dans les communautés (par exemple des réunions habituelles) pourraient servir à partager les informations pertinentes au projet. e) Quelles sont les ressources nécessaires? La mise en place de simples mécanismes de partage d informations requiert les éléments suivants : Un personnel au courant et bien formé sur les informations à partager et les moyens de communication. Des ressources financières couvrant notamment les coûts du matériel nécessaire ainsi que les activités et travail du personnel. f) Comment contrôler que la transmission d informations soit efficace? Parler aux membres des communautés connaissent-ils le 3

4 projet et leurs droits? Ont-ils les informations nécessaires pour pouvoir participer activement au projet? Observer sur place quels sont les mécanismes qui ont été mis en place? Les informations sont-elles d actualité et couvrent-elles le minimum requis selon le point b) cidessus? Sont-elles accessibles à tous? Parler au personnel de projet quelles informations ont été transmises? Quels sont les problèmes et contraintes? L annexe 1 fournit une étude de cas sur le partage d informations dans des projets financés par CAFOD à Aceh, Indonésie. Informations supplémentaires: HAP Transparency Resources ld/case-studies/aspx#transparency Auteurs: CAFOD, Romero House, 55 Westminster Bridge Road, London, SE1 7JB. Louise Boughen, Accountability Development Officer, CAFOD Robert Sweatman, International Change and Systems Manager, CAFOD Ces notes ont été produites par l équipe chargée de l efficacité des programmes (CAFOD Programme Effectiveness Unit) en vue de soutenir nos partenaires dans la conception et mise en place d activités oeuvrant au renforcement de redevabilité dans les programmes financés par CAFOD ou autres. Tous droits réservés. Ce matériel est protégé par copyright, sa vente en est interdite. Il peut par contre être reproduit gratuitement dans un but pédagogique. Il n est alors pas nécessaire d obtenir une autorisation officielle de CAFOD, mais CAFOD doit être avisé d un tel usage. Toutes autres reproductions, que ce soit pour d autres publications, traductions ou adaptations sont sujettes à une demande d autorisation préalable et par écrit auprès des auteurs. Copyright CAFOD accountability@cafod.org.uk Première édition, octobre

5 Annexe 1: Etude de cas partage d informations dans des projets financés par CAFOD à Aceh, Indonésie Exemples de partage d informations avec les communautés, utilisés par les partenaires de CAFOD dans l ouest de l Aceh: Un programme pédagogique sur une chaîne locale de radio invitant les auditeurs à donner leurs opinions sur des programmes d éducation locaux comprenant notamment des programmes financés par CAFOD. Cette méthode encourage un dialogue avec toutes les parties prenantes. Le personnel de programmes organise des visites des nouveaux abris. Il distribue également des brochures contenant de simples illustrations d entretien des infrastructures. Cette méthode encourage la participation des membres des communautés dans les programmes en vue d établir une bonne durabilité des aménagements et des abris. Le personnel de programmes porte des t-shirts exposant les buts du projet en vue de mieux informer les membres des communautés. Les sites Internet des partenaires sont bien conçus et fournissent des informations utiles, telles que profils et coordonnées (notamment sms) du personnel, détails des droits des bénéficiaires, contributions des membres des communautés et possibilités d échanger des informations sur le service de réseautage social en ligne. 5

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