PROJET - Plan de gestion lors d éclosion de l influenza et/ou de gastro-entérite
|
|
- Alexis Laporte
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Établissement : CSSS Pierre-Boucher Plan local de gestion lors d une période d éclosion o Se doter d un plan de gestion d éclosion d influenza et de gastroentérite impliquant le triumvirat (, DG, ). Identifier le triumvirat (DG, et ) et le mécanisme de communication qui sera mis en place Fait octobre 2013 Rencontre une fois semaine prévue dès que journée et heure fixée pour disponibilité au besoin Priorisation de rencontres supplémentaires au besoin Rédaction d un plan de gestion DG novembre 2013 Fait Plan de communication à la population sur les ressources disponibles et les trajectoires privilégiées. Diffusion du guide d autosoins (communications). Réorientation dès le triage des patients avec SAG vers les GMF Direction des communications Direction des communications Direction santé physique Automne 2013 Disponible au besoin Disponible si 29 novembre de 9
2 ou cliniques-réseau ou encore, si non-possibilité sur un territoire, créer un fast track à proximité de l urgence. médecine o Communiquer au comité de direction, aux gestionnaires, aux médecins et au Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP) le plan de gestion Dépôt du document Décembre 2013 Prévention et contrôle des infections Communications o Détecter les éclosions. Vigie en permanence. Aviser l agence de la présence d éclosion avec possibilité de demandes accrues de services de santé. Demander au Comité de direction de mettre en place le plan de gestion. Faire circuler dans l établissement l information sur la situation épidémiologique et les mises en alerte. Formation de cohorte de patients en hospitalisation o Informer la population sur les mesures à prendre pour réduire ou prévenir les problèmes de santé liés à l influenza et à la gastro-entérite, sur les ressources disponibles et sur les trajectoires privilégiées. Élaborer un plan de communication local, incluant une déclinaison des activités prévues au plan de communication régional, lorsque requise. DCRP Directions cliniques Directions des communications Santé publique En continu Décembre 2013 En continu (dès que ) Réalisable si et possible Dès l apparition des premières éclosions. Réalisé Disponible dès que Prévu Prévu Disponible dès que 29 novembre de 9
3 Info-Santé Transport ambulancier o Assurer la couverture d Info-Santé lors des périodes de pointe o Maintenir la disponibilité du transport ambulancier pour la clientèle urgente. Développer une stratégie de relations publiques. Rédiger des lignes de presse, en incluant une adaptation locale de celles partagées par l agence. Assurer une veille médiatique locale. Atteindre les critères de performance : réponse à l intérieur de quatre minutes et maximum de 15% de perte d appel. Surveiller quotidiennement le nombre d appels et ajuster le nombre d infirmières en fonction de la demande. Développer un plan d orientation de la clientèle à mobilité restreinte vers un lieu approprié selon la condition clinique de la personne. Ceci en concertation avec le lieu de prise en charge qui aura été désigné. Favoriser l utilisation de moyens alternatifs de transport des usagers (famille taxi, etc.) afin d assurer la disponibilité des ambulances pour les situations urgentes. ASSS de la Montérégie Directions cliniques et Automne 2013 Déjà réalisé Déjà réalisé Identification de la provenance des patients o Identifier les patients en provenance des CH publics et des ressources privées (RI, résidences pour ainés et Identifier les sites qui envoient plusieurs usagers à l urgence. Novembre novembre de 9
4 résidences familiales) o Informer les directions concernées et l Agence, selon le cas Aviser la direction responsable selon le cas, pour suivi :C H public, établissements (CH privés, RI) pour la partie des lits achetés pour le CSSSPB Aviser l Agence : Établissements privés (CH - RI résidences privées pour aînés) Directions de l hébergement et du PALV-DP Direction de la santé publique (ASSS Montérégie) Novembre 2013 Guide de prévention des infections dans les résidences pour personnes âgées et lignes directrices dans les cas d éclosions o S assurer de la diffusion, de l application et du contrôle Établir la diffusion, l application et le contrôle dans: Établissements publics et secteurs de lits achetés par le CSSSPB Direction de l hébergement PALV-DP Fait Domiciles pour les patients inscrits PALV-DP Fait Accessibilité aux CH et RI lors d éclosion d influenza et/ou de gastro-entérite o Maintenir l accès en CH et RI en appliquant des mesures de précaution plutôt qu en interdisant les admissions telles que possible selon les guides d intervention disponibles. Établissements privés, domiciles pour les patients non inscrits Appliquer les mesures de prévention et de contrôle des infections. Appliquer les critères d admission selon le document «Précisions sur Direction de la santé publique (ASSS Montérégie) Direction de l hébergement En continu 29 novembre de 9
5 Première ligne o Identification des ressources médicales disponibles o Augmenter l offre de services et éviter, lorsque possible, l utilisation de l urgence hospitalière o Constituer une liste de disponibilité médicale la gestion d une éclosion majeure de la grippe saisonnière nosocomiale en milieu de soins (oct 2013) Demander l autorisation au PDG de l Agence si besoin de fermeture de lits Documenter le répertoire des cliniques médicales, GMF, CLSC et des cliniques réseaux; Évaluation de la capacité d augmenter l accessibilité des cliniques privées, GMF, CLSC et cliniques réseaux Solliciter la participation des cliniques de première ligne à allonger leurs heures d ouverture et à augmenter le nombre de médecins disponibles au sans rendez-vous PALV-DP DGA Au besoin Réalisé o Diminuer la venue massive de patients à l urgence de l hôpital Demander aux médecins de première ligne de prioriser les patients présentant des symptômes d allure grippale versus leur clientèle régulière si un report de rendez-vous ne leur crée pas de préjudice Solliciter par courriel/fax/courrier les omnipraticiens du RL 29 novembre de 9
6 o Augmenter significativement l offre de service en première ligne (allongement des heures d ouverture et augmentation du nombre de médecins disponibles au sans rendez-vous o Limiter le transfert d usager du SAD et des CH vers l urgence del hôpital Créer une clinique dédiée à l extérieur de l hôpital (clinique de grippe) Favoriser l établissement de liens entre le corps médical et le SAD. Éviter le transfert d usagers en CH vers l urgence en assurant une garde médicale suffisante en CH S assurer d inscrire au 24/7 les patients du SAD dont l état le requiert DSM DST DIS PALV DP Court terme dès que requis Lieu déjà identifié (CLSC SMC) Organisation fonctionnelle prévue pour le 20 décembre 2013 Déjà prévu Déjà prévu Déjà prévu Accessibilité aux consultations spécialisées et aux plateaux techniques par les omnipraticiens en cabinet privé ou GMF o S assurer de l accès aux spécialistes et aux plateaux techniques pour les omnipraticiens en cabinet privé ou GMF. Mettre en place des mécanismes d accès aux spécialités les plus sollicitées (cardiologie, pneumologie, gériatrie et médecine interne) et aux plateaux techniques (imagerie et prélèvements). Prévoir des plages horaires accrues en période d éclosion DSPC Mise en place de priorisation lorsque. Disponible si 29 novembre de 9
7 grippale. P4 et P5 délai prolongé en ambulatoire o Réduire le temps d accès moyen pour les patients en mode ambulatoire ayant une cote de priorisation 4 et 5 à moins de quatre heures. Intensifier la réorientation des P4- P5 vers la première ligne dès le triage si aucun besoin du plateau technique. Entente avec des cliniques de première ligne Se doter d un plan de contingence pour les P4 et P5 à l intérieur de l hôpital (médecin disponible pour cette clientèle entre 12h et 20h). Établir la liste des cliniques du RLS PB acceptant des patients sans RV préalable et afficher cette liste à l urgence. Prévoir l ajout de ressources si DSI Département de médecine d urgence 15 décembre 2013 Entente formelle avec clinique réseau établie Partiellement réalisé Novembre novembre de 9
8 Vaccinations o Augmenter la couverture vaccinale contre l influenza particulièrement chez les porteurs de maladies chroniques ainsi que les travailleurs du réseau de la santé. Note : La cible dans le programme annuel de santé publique est de 80 %, mais depuis plusieurs années, seulement 45 % des travailleurs de la santé et autour de 20 % pour les malades chroniques se font vacciner. Intensifier la campagne de vaccination pour les employés et les patients en établissement. Recommander, en cas d éclosion, le port de masque pour les employés qui refusent la vaccination et la prophylaxie antivirale. Élaborer et déployer le plan de communication régional-local spécifique à la vaccination influenza DSI Automne 2013 Automne 2013 Réalisé depuis 2011 Production chirurgicale en période d éclosion Surcapacité o Maintenir la production chirurgicale en période d éclosion. o Se doter d un plan de surcapacité pour l hôpital et les CH pour les périodes de débordement majeur. Ce plan de surcapacité doit être en lien avec les trois niveaux de désencombrement énoncés dans le Moduler le programme opératoire en réduisant les chirurgies avec hospitalisation et en augmentant les cas de chirurgie d un jour. Moduler la répartition des lits de médecine et de chirurgie en fonction des besoins de lits via l urgence et en tenant compte des modulations sur le plan chirurgical. Les établissements doivent transmettre à leur agence, le plan de désencombrement élaboré et adopté au CMDP et au CA. Mettre en application le plan et procéder sans délai à l ouverture de lits de surcapacité selon les Chef du département chirurgie DSPC Possibilité d ajustement à très court terme Si besoin DG Mai 2013 Automne 2013 Fait Version révisée oct novembre de 9
9 Guide de gestion de l urgence : Pour le niveau I, prévoir un minimum de 5 % des lits au permis en surcapacité; Pour le niveau II, prévoir un minimum de 10 % des lits au permis en surcapacité; Pour le niveau III, prévoir un minimum de 15 % des lits au permis en surcapacité. niveaux I, II et III. 29 novembre de 9
Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement
Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailINFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC
INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?
Plus en détailNiveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017
et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-
Plus en détailPolitique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :
POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailMinistère de la Santé et des Services sociaux
Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte
Plus en détailTarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)
Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics
Plus en détailL infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue
L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium
Plus en détailHARMONISATION DES SERVICES GÉNÉRAUX
HARMONISATION DES SERVICES GÉNÉRAUX MISSION CLSC, CH ET CHSLD Regroupement des CSSS et du CHA de la Montérégie Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Septembre 2007 REMERCIEMENTS
Plus en détailLa présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :
Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE
ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services
Plus en détailStratégie de déploiement
Messageries Sécurisées de Santé (MSSanté) Mars 2014 Page 1 La présente note vise à éclairer la démarche de mise en place d un système de messageries sécurisées de santé en concertation avec l ensemble
Plus en détailDEVENIR UN GMF. Le groupe de médecine de famille : Guide d accompagnement. un atout pour le patient et son médecin. www.msss.gouv.qc.
DEVENIR UN GMF Guide d accompagnement Le groupe de médecine de famille : un atout pour le patient et son médecin www.msss.gouv.qc.ca Édition produite par : La Direction générale des affaires médicales
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailGlossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ...
Glossaire de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner Frais d accompagnement CMU Tiers payant... «Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire» A...P.3 B...P.4 C...P.4 D...P.7
Plus en détailRAPPORT DE STAGE 2EME ANNEE DE BTS SIO NAMUR JORDAN. Du 19/01/15 au 21/02/15. Tuteur de stage : M. Tellier Benjamin
RAPPORT DE STAGE 2EME ANNEE DE BTS SIO NAMUR JORDAN Du 19/01/15 au 21/02/15 Tuteur de stage : M. Tellier Benjamin SOMMAIRE Introduction.....3 Situation géographique.......4 Le CMCO en quelques chiffres........5
Plus en détailLe début de l aventure
CONTEXTE L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium : au cœur du roulement de patient Contexte L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium forment un nouveau groupe hospitalier qui
Plus en détailCe n est pas le bon remède pour le réseau de santé public, les infirmières doivent prescrire
Projet de loi n o 41 modifiant la Loi sur la pharmacie Ce n est pas le bon remède pour le réseau de santé public, les infirmières doivent prescrire Présenté à la Commission de la santé et des services
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailMembres du groupe de travail sur l accessibilité aux soins de première ligne. Ont collaboré aux travaux du groupe de travail
Membres du groupe de travail sur l accessibilité aux soins de première ligne D r Sylvain Dion, président du groupe de travail. secrétaire général, FMOQ D r Marc-André Asselin, premier vice-président, FMOQ
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailR.C. Professionnelle Proposition
R.C. Professionnelle Proposition AMMA ASSURANCES a.m. Association d assurance mutuelle à cotisations fixes conformément à l article 2, 2 de la Loi du 25.06.1992 (M.B. 20.08.1992) agréée sous le code 0126
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détail3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées
3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailJournée e dialogue al chef de file en santé mentale
Journée e dialogue Le réseau r de l Est l de Montréal al chef de file en santé mentale UN PROCESSUS DE TRANSFERT DE LA CLIENTÈLE ENTRE LES ÉTABLISSEMENTS DE L EST DE MONTRÉAL POUR ASSURER LA CONTINUITÉ
Plus en détailORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition
Plus en détailUne protection d assurance de premier choix et de qualité suisse. Notre offre pour les expatriés
Une protection d assurance de premier choix et de qualité suisse Notre offre pour les expatriés Bienvenue chez le leader de l assurance-maladie en Suisse. Vous pouvez compter sur notre longue expérience
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
Planification stratégique 2012-2015 A Agence de la santé et des services sociaux des Laurentides Rédaction : Données, graphiques et analyses statistiques : Révision : Nadia Poulin, conseillère cadre, Direction
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailRenforcer la fonction achats en établissement de santé
Nouvelle version Renforcer la fonction achats en établissement de santé Kit de déploiement V2 Préambule au kit établissement V2 La présente version du kit de déploiement intègre les retours d expérience
Plus en détailLe PTI, cet incompris!
Le PTI, cet incompris! ou dix mythes à détruire pour simplifier le PTI Rencontre des partenaires de la formation 28 avril 2014 Joël Brodeur, infirmier-conseil Direction du développement et du soutien professionnel
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailSite pilote de l IMBCI en Amérique du Nord
CSSS La Pommeraie, Hôpital Brome Missisquoi Perkins certifié de l Initiative Ami des bébés 1999 Hôpital recertifié 2004 CLSC certifié 2005 CSSS certifié mai 2010 Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailLa dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé
La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé HOPITECH - Angers 10 Octobre 2014 Vladimir Vilter ASIP Santé Comment échanger par mail les données de santé des patients facilement
Plus en détailJournée d étude des leaders en soins infirmiers
Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailCAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS
Communiqué CAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS Gatineau, le 14 septembre 2009. Campus santé Outaouais, le consortium créé en juin 2008 et dont
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailNuméro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1
hinfooct2014_hinfo 09.10.14 13:30 Numéro Spécial octobre 2014 t St Laurent du Pon ospitalier H e r t n du C e nal r u jo Le Enquête sur La satisfaction au travail U n questionnaire, préparé par la DRH,
Plus en détailModalités d intégration de l infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPS-PL)
Modalités d intégration de l infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPS-PL) Conçu par le Comité de travail opérationnel Juin 2012 Auteurs Dr Normand Béland, médecin partenaire Dre
Plus en détailCONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES
CONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES Publication initiale mise en vigueur : 9 septembre 2014 Destinataires : Clientèle, intervenants du Service des aides techniques, intervenants
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2012-2013. Conseil des Infirmières et Infirmiers
RAPPORT ANNUEL 2012-2013 Conseil des Infirmières et Infirmiers PRÉSENTATION DES MEMBRES ÉLUS Fréderic Drolet, vice-président infirmier au soutien à domicile, CLSC Saint-Laurent Nicole Exina, secrétaire
Plus en détailUne infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?
Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques
Plus en détailGuichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs. favorisant la collaboration
Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs favorisant la collaboration Pascale Navert Courtière de connaissances Direction de la planification, de la performance
Plus en détailstratégique2010 plan du Ministère de la Santé et des Services sociaux
stratégique2010 plan 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux 2010 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux plan stratégique Édition La Direction des communications du ministère
Plus en détailÉvaluation du régime général d assurance-médicaments
Évaluation du régime général d assurance-médicaments mémoire présenté à la Commission parlementaire des affaires sociales par la Fédération de médecins omnipraticiens du Québec LE RÉGIME GÉNÉRAL d assurancemédicaments
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailAssistance-voyage mondiale et service de conseils-santé
Assistance-voyage mondiale et service de conseils-santé ManuAssistance Assistance-voyage mondiale Votre couverture collective vous suit partout Lorsque vous voyagez au Canada ou dans un autre pays, vous
Plus en détailCoordination Ville Hôpital
Coordination Ville Hôpital Lien entre pharmaciens et utilisation d une banque de données Bassin sanitaire alésien 2 juin 2015 Jean-Pierre CORNUT, Pharmacien d officine, URPS Pharmaciens LR Vincent BOUIX,
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailCatalogue d offre de services de télésanté
Catalogue d offre de services de télésanté Document révisé 2014 12 08 Ce document est basé sur le gabarit ITIL utilisé dans la région 05 - Estrie. Table des matières DEFINITIONS... III GLOSSAIRE ET ACRONYMES...
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailÉtat de préparation des municipalités de la MRC de Roussillon 25 juin 2014
État de préparation des municipalités de la MRC de Roussillon 25 juin 2014 Christine Savard Christine Savard, Directrice Direction régionale de la sécurité civile et de la sécurité incendie de la Montérégie
Plus en détailConditions supplémentaires d assurance (CSA) Assurance complémentaire d hospitalisation HOSPITAL CLASSICA
Le Groupe Helsana comprend Helsana Assurances SA, Helsana Assurances complémentaires SA, Helsana Accidents SA, Avanex Assurances SA, Progrès Assurances SA, Sansan Assurances SA et Maxi.ch Assurances SA.
Plus en détail2014-94 -01 Adoption de l ordre du jour
PROCÈS-VERBAL de la quatre-vingt-quatorzième séance régulière du conseil d administration, tenue le 17 décembre 2014, à 17 h, à la salle des Augustines de l Hôpital Membres présents : Assistent : Mme Aline
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailwww Sécurité sociale en Suisse: www.ofsp.admin.ch > Thèmes > Aperçu > Données de base
Vivre et travailler en Suisse + Le système de sécurité sociale en Suisse + Le système social* Le système suisse de sécurité sociale est relativement complexe: chaque branche a ses particularités. Cela
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailStartup Santé. Les avantages pour vous :
Startup Santé. - Documentation commerciale MUTUALP est une Mutuelle régie par le Code de la Mutualité, de l économie sociale et solidaire. C est une mutuelle régionale à taille humaine, solide et performante.
Plus en détailmédecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE ET PROTECTION JURIDIQUE Relevé d Informations - Médecins infirmier kinésithérapeute avocat
2015 RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE PROTECTION JURIDIQUE La mutuelle des professions libérales et indépendantes Professions Libérales & Indépendantes médecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE
Plus en détailLes HUG en bref. Chiffres-clés basés sur l exercice 2013
2014 Les HUG en bref Chiffres-clés basés sur l exercice 2013 Stratégie Missions, vision, valeurs 3 missions : soins, enseignement, recherche 1 vision : être l hôpital des Genevois et un centre universitaire
Plus en détail