Eléments de discussion sur le rapport Analytika, Frontignan 2015
|
|
- Fabienne Morin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Eléments de discussion sur le rapport Analytika, Frontignan 2015 Pendant l'été 2015, le laboratoire d'analyse Analytika a réalisé à la demande de la Communauté d'agglomération du Bassin de Thau des mesures dans l'air ambiant à proximité du site industriel SCORI, unité de traitement des déchets dangereux, situé au Mas de Klé à Frontignan. En fin d'année, a été sollicité par plusieurs de ses adhérents (DREAL, mairie de Frontignan, SCORI) pour donner un avis sur les résultats et conclusions de ce rapport. 1. Quelles mesures ont été réalisées par Analytika? Le laboratoire d'analyse Analytika a procédé pendant l'été 2015 à une recherche qualitative de composés polluants gazeux sur 9 sites dans l'environnement de SCORI (détails disponibles en annexe, au 2). Cette méthodologie : permet de déterminer la présence d'un large spectre de composés gazeux, ne permet pas de disposer de concentrations précises de ces composés. 2. Quels composés ont été détectés? Sur l'ensemble des sites étudiés, une soixantaine de composés différents a été détectée par Analytika. 3. La détection de ces composés est-elle fiable? Plusieurs paramètres incitent à la prudence concernant la détection et l'identification des composés par Analytika : Le fabriquant des capteurs utilisés dans cette étude 1 indique que ceux-ci ne sont pas adaptés à la méthodologie d'analyse utilisée par Analytika, qui "ne permet pas une identification sûre, sauf pour des pics importants". L'indicateur de confiance accordée à l'identification d'un composé est faible pour plusieurs molécules (voir définition du coefficient "REL" en annexe au 4). Le LCSQA 2 indique qu'un grand nombre de ces composés sont des composés très peu volatils (ils sont généralement retrouvés dans l'air ambiant sous forme particulaire et non sous forme gazeuse). Les capteurs utilisés ne piégeant que les composés gazeux, il est donc surprenant qu'ils aient pu être détectés par Analytika 3. En conclusion, compte tenu des caractéristiques des capteurs utilisés, des réserves peuvent être émises sur la détection et la quantification de certains composés. 1 Fondazione Salvatore Maugeri 2 Laboratoire Central de la Surveillance de la Qualité de l'air, référence technique pour le dispositif national agréé de surveillance de la qualité de l'air. 3 Ce laboratoire sera contacté ultérieurement. 10, Rue Louis Lépine Parc de la Méditerranée Pérols Tél Fax P1/7
2 4. Est-ce la première fois que ces composés sont recherchés autour de SCORI? Au cours des dernières années, a réalisé 3 études en 2005, 2006 et 2013 dans le périmètre du site de SCORI ainsi que dans son environnement proche, en concertation avec les différents acteurs locaux. Parmi les nombreux composés recherchés, une dizaine de polluants gazeux, de la famille des Composés Organiques Volatils (COV) sont communs avec ceux détectés par Analytika. L'ensemble des résultats est disponible sur et un rappel des principales conclusions est présenté en annexe au Les concentrations estimées par Analytika sont-elles cohérentes avec les mesures effectuées précédemment? Pour la quasi-totalité des composés détectés, les concentrations estimées par Analytika sont à minima égales à 100 µg/m 3. A titre de comparaison, les COV mesurés par sur cette zone géographique lors d'études précédentes n'ont jamais dépassé 20 µg/m 3 dans l'environnement de SCORI. Le tableau ci-dessous permet de comparer les concentrations du Toluène, Xylènes et Ethylbenzène, détectées sur certains sites par Analytika, avec celles mesurées en 2013 par à proximité de SCORI (9 sites étudiés dont 4 situés à moins d'1 km de SCORI, situation similaire à celle de l'étude Analytika). Concentrations en µg/m 3 Toluène Ethylbenzène Xylènes Estimées par Analytika en 2015 de 100 à 400 de 100 à 350 de 100 à 750 Mesurées par en de 0,3 à 3,7 de 0,1 à 0,9 de 0 à 5,2 Même si les périodes de mesures diffèrent, vu la différence d'ordre de grandeur (facteur 100 à 300), il est probable que, pour une raison inconnue d', les résultats présentés par Analytika surestiment largement les concentrations réelles. On notera de plus que, dans le rapport d'analytika, certains composés sont, pour un même site, comptabilisés plusieurs fois, avec des concentrations différentes (détails disponibles en annexe au 3). 6. Les résultats d'analytika montrent-ils un impact de SCORI sur les alentours? Si l'on fait abstraction des réserves formulées sur la détection des composés d'une part (voir 3) et leur quantification d'autre part (voir 5), on observe (voir en annexe au 5) entre les points de mesure : - de fortes variations des concentrations (exemple : concentrations totales divisées par 3 en moins de 100 mètres), - une forte disparité dans les composés détectés (exemple : aucun composé n'est retrouvé sur plus de 5 sites). Ces variations ne sont pas liées à la distance à SCORI : les sites les plus proches de l'usine ne sont pas forcément ceux qui présentent les concentrations les plus élevées. De même, des concentrations relativement élevées ont été estimées sur des sites qui n'étaient pas sous les vents dominants. Les résultats d'analytika ne semblent donc pas indiquer que SCORI soit la source des composés détectés. 4 Moyennes hebdomadaires pendant 8 semaines sur 6 sites dans l'environnement autour de SCORI. P2/7
3 CONCLUSIONS La méthodologie utilisée pour effectuer les mesures peut donner des indications sur la présence éventuelle de composés, mais ne permet toutefois pas de quantifier les teneurs de ces composés. En plus des réserves sur la fiabilité de la détection et de l'identification des polluants, les concentrations indiquées semblent être fortement surestimées. D'autre part, il manque, dans le rapport d Analytika, des éléments d interprétation des concentrations mesurées, comme par exemple : l étude des variations spatiales en fonction des paramètres météorologiques (notamment le vent), la recherche d explication des fortes variations constatées dans les concentrations obtenues, la présentation des composés mis en évidence et leurs sources potentielles (industrie, transport routier ) Afin de compléter cette recherche qualitative de polluants, il pourrait être réalisé : une étude bibliographique sur les origines potentielles des composés indiqués par Analytika, des mesures quantitatives (fournissant des concentrations précises avec leur incertitude) sur un certain nombre de composés détectés lors de cette étude, afin de comparer les concentrations dans l environnement de SCORI aux valeurs de référence et à celles habituellement rencontrées. P3/7
4 1. Méthodologie utilisée par Analytika ANNEXE TECHNIQUE Des capteurs (échantillonneurs passifs Radiello ) ont été disposés sur 9 sites à proximité de SCORI, pendant 2 semaines 5 de l'été Ces capteurs permettent de piéger un certain nombre de composés gazeux, et sont ensuite analysés en laboratoire 6. Pour chaque capteur, l'analyse effectuée par Analytika consiste à : 1. séparer les différents composés piégés ; 2. produire un signal caractéristique pour chacun de ces composés ; 3. identifier les composés en comparant les signaux obtenus avec une base de données. 2. Implantation des sites de mesures Les mesures ont été réalisées sur 9 sites, disposés dans l'environnement de SCORI (voir carte ci-dessous) : - 5 sites à moins de 200m autour du site de SCORI, au Nord-Ouest (R2 et R3), au Sud-Ouest (R4 et R5) et au Sud-Est (R1), - 3 sites disposés le long d'un axe s'éloignant de SCORI vers "La Peyrade" à l'est (R7, R8 et R9), - 1 site au Sud à proximité de la route D2 (R6). Durant ces deux semaines, comme ce qui est habituellement observé sur la zone, la tramontane était le vent majoritaire (voir rose des vents ci-contre). Rose des vents pendant les mesures Sète (Quai des Moulins) Ouest (source : ) Nord Sud Est SCORI Le nombre et l'implantation des sites paraissent relativement adaptés à l'objectif de l'étude. Il manque toutefois un véritable site de "référence", situé à distance des sources d'émissions principales. Il aurait également été intéressant d'avoir un site au Sud-Est de Scori (sous le vent dominant) éloigné de la route D2, à savoir à l'est de R6. 5 Le rapport indique, d'une part, une exposition du 29 juillet au 12 août 2015, et, d'autre part, une durée d'exposition de minutes (soit environ 8 jours). 6 Analyse GC-MS : Chromatographie en phase gazeuse suivie d'une spectrométrie de masse. P4/7
5 3. Nombre de composés détectés Le tableau bilan présenté en page 2 du rapport Analytika présente le nombre de composés détectés par site. Ce tableau comporte plusieurs imprécisions : les totaux ne correspondent pas toujours, Exemple site R1 : il y a 30 composés détectés (cf. page 3 du rapport), mais le tableau bilan en indique 32. certains composés sont comptabilisés plusieurs fois, avec des concentrations différentes. Exemple site R1 : le "Butyl glycol acetate", le "1,2-Benzenedicarboxylic acid, dibutyl ester" et le "dodécane" ont été comptabilisés deux fois. 4. Coefficient REL A chaque composé détecté est associé un coefficient "Rel" (voir tableau extrait de la page 21 ci-contre) décrivant la similitude entre le signal obtenu et celui présent dans la base de données. Ce coefficient traduit la confiance accordée à l'identification d un composé. L histogramme ci-dessous présente le nombre de composés détectés en fonction du coefficient "Rel". Nombre de molécules "détectées" par valeurs du "rel" associé NR < 10% de 11% à 30% de 31% à 75% > 75% Possible probable Très probable Identifié Pour 25 composés, le coefficient "Rel" est inférieur à 30%. Leur identification, moins probable que les autres, mériterait confirmation. Pour la molécule «cyclopentasiloxane, decamethyl-», détectée sur 5 sites, aucun coefficient "Rel" n est présenté. Cette notion de confiance dans l'identification des molécules n'est pas mise en avant dans le rapport d'analytika. C'est pourtant une étape nécessaire avant de chercher l'origine des composés détectés. P5/7
6 5. Variations spatiales Composés Organiques Volatils Concentrations totales de COV (µg/m 3 ) Nombre de COV détectés On observe une forte variation des concentrations totales de COV sur la zone, même sur de faibles distances (exemple : concentrations totales divisées par 3 entre les sites R4 et R5 à environ 100 mètres de distance). Le résultat est similaire pour le nombre de COV détectés. Les sites les plus proches de l'usine ne sont pas forcément ceux qui présentent les concentrations les plus élevées. Les études précédemment réalisées dans l'environnement de SCORI ont pourtant montré que, pour des composés émis sur le site de SCORI, les concentrations diminuent quand on s'en éloigne. Ces deux paramètres masquent toutefois une forte disparité des composés détectés : - aucun composé n'a été détecté sur plus de 5 sites, - les composés détectés diffèrent fortement malgré la faible distance pour les sites R4 et R5 (1 seule molécule commune passant de 0 à µg/m 3 en moins de 100 mètres), ce qui apparait surprenant, sauf s'il existait une (des) source(s) d'émissions près de l'un de ces sites, et dont le rayon d'impact serait très faible. Il n'y a pas de corrélation entre le nombre de composé détectés, leur nature et la concentration totale estimée. Ainsi, sur les sites R5, R6 et R7, la concentration totale de COV et le nombre de composés détectés sont similaires (environ µg/m 3 et une dizaine de composés détectés), alors que : - seuls 4 composés sont communs aux 3 sites, - pour 1 même composé présent sur ces 3 sites, les concentrations peuvent varier fortement (exemple : pour le "cyclopentasiloxane, decamethyl-", les concentrations estimées sur les sites R5, R6, R7 sont respectivement 3000 µg/m 3, 2000 µg/m 3 et 1000 µg/m 3 ). L'ensemble de ces résultats ne semble pas indiquer une source unique des composés détectés. P6/7
7 Carbonyles Les 2 seuls sites où des composés carbonylés ont été détectés sont situés à proximité de SCORI, au Sud-Ouest et Sud-Est (site R1 et R4). On note que sur le site R5, à moins de 100m du site R4, aucun composé de la famille des carbonyles n'a été détecté. 6. Rappel des principales conclusions des études menées par à proximité de SCORI Dans l enceinte de SCORI, les concentrations de H 2 S 7 et de Composés Organiques Volatils (COV) dont les BTEX 8 sont légèrement supérieures aux valeurs mesurées en milieu rural, indiquant la présence de sources d'émission de ces composés. Autour de SCORI, les concentrations en benzène et COV diminuent rapidement dès que l'on s'éloigne de cette entreprise, avec des valeurs dans les zones habitées les plus proches (Mas de Klé au Nord, lieu-dit Cézary au Sud et Frontignan à l Est) équivalentes à celle mesurées en milieu rural. L activité de SCORI n a donc pas d influence sur les niveaux de ces polluants mesurés dans son environnement. Entre 2005/2006 et 2013, les concentrations de BTEX sont restées stables ou ont diminué. 7 Sulfure d'hydrogène, gaz à l'odeur nauséabonde d'œuf pourri. 8 Benzène, Toluène, Ethylbenzène et Xylènes. P7/7
III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailEtude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailEvaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur
Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailObservation des modalités et performances d'accès à Internet
Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents
Plus en détailCHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX
FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa
Plus en détailDétermination des enjeux exposés
RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre
Plus en détailLa crise n'a pas entamé la générosité des belges
INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Chaussée de Chastre, 113 B-5140 Sombreffe Tél : 0484.109.764 E-mail : idd@iddweb.be La crise n'a pas entamé la générosité des
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détail3 Les premiers résultats des plans d'actions
3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailFiche conseil n 16 Audit
AUDIT 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.5 : Audit interne EMAS Article 3 : Participation à l'emas, 2.b Annexe I.-A.5.4 : Audit du système de management environnemental SST OHSAS
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailNous avons soumis la question au (( Bureau sur les changements climatiques du ministère de l'environnement D qui nous a fait la réponse suivante :
Première question de la Commission 180 DB26 Dragage d'entretien du chenal entre Hudson et Oka Lac des Deux-Montagnes 6211.02-104 c Est-ce que vous savez si les gouvernements, provincial et fédéral, ont
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailSystèmes de transport public guidés urbains de personnes
service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailCycle de production et cycle des déchets
Cycle de production et cycle des déchets la solution informatique et gestionnaire de SISTEMA AMBIENTE DIGITALIS S.r.l. www.sistemaambiente.net digitalis@iride.to.it 1 La solution informatique donne la
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailLe test s'est déroulé en trois étapes successives
TEST SUR LES BASES BIBLIOGRAPHIQUES Rapport* du bureau Marcel van Dijk L'étude qui suit présente les résultats du test quantitatif et qualitatif de 5 bases bibliographiques disponibles en France : BNOPALE
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
RAPPORTS CETE Normandie Centre LRB Laboratoire Régional de Blois Affaire 131550 Cartes de bruit stratégiques Réseau routier national de l'eure Résumé non technique Article 3 du décret du 24 mars 2006 Novembre
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailBaromètre de la Confiance - Vague 7
Rapport de résultats 1 er octobre 2014 1 Présentation de l étude Fiche technique Echantillon Mode de recueil Dates de terrain Echantillon national de 1020 personnes, représentatif de la population française
Plus en détailAVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE VILLE DE FAGNIERES
AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE VILLE DE FAGNIERES 1) OBJET DUREE ET DISPOSITIONS GENERALES a. OBJET DU MARCHE Marché pour la souscription d'un contrat d'assistance à la maîtrise d'ouvrage concernant
Plus en détailDegré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1
Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente
Plus en détailLe Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces
Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces 1 Origine du Responsible Care Démarche volontaire de l'industrie
Plus en détailCartes stratégiques de bruit Résumé non technique
Cartes stratégiques de bruit Résumé non technique CA. Les Lacs de l'essonne - CSB - Résumé non technique 03 11 2014-1/19 Sommaire I. Contexte réglementaire autour de l élaboration des cartes de bruit stratégiques...3
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailDirective 2002/49/CE Cartes de bruit de la. Vienne. Réseau ferroviaire RAPPORT. CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON.
RAPPORT CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Environnement Territoires Climat Affaire 51ES1125 Février 213 Directive 22/49/CE Cartes de bruit de la Vienne Réseau ferroviaire Février
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule
DOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule Commune de Préambule La société H. REYNAUD & FILS est spécialisée dans la production et la commercialisation d'huiles essentielles, d'arômes et de bases
Plus en détailGestion de projet - principales caractéristiques d'un projet
Gestion de projet - principales caractéristiques d'un projet GÉRARD CASANOVA - DENIS ABÉCASSIS Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Pas de Modification : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/
Plus en détailÉtude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014
Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 11 Diffusé à 8 h 3, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 14 Le taux d'épargne s'entend du rapport entre l'épargne brute et le
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS SUITE A DONNER SOURCE. Note du collectif d associations de consommateurs sur le format d affichage
Plate-forme d'échanges Date : 2011-06-10 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org Affichage environnemental des produits grande consommation Numéro du document:
Plus en détailActiv Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air!
Activ Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air! Qualité de l air intérieur : les enjeux Aldéhydes, benzène, allergènes toutes les dernières études (1) le confirment : la concentration
Plus en détailAPS 4 : CREATION D'ENTREPRISE
APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE ETABLISSEMENT LIMAYRAC DESCRIPTION Création d'une entreprise de service LOGICIELS NECESSAES Bureautique Internet NIVEAU Début 1 ère année pour des classes mixtes Bac généraux
Plus en détailSérie TD 3. Exercice 4.1. Exercice 4.2 Cet algorithme est destiné à prédire l'avenir, et il doit être infaillible! Exercice 4.3. Exercice 4.
Série TD 3 Exercice 4.1 Formulez un algorithme équivalent à l algorithme suivant : Si Tutu > Toto + 4 OU Tata = OK Alors Tutu Tutu + 1 Tutu Tutu 1 ; Exercice 4.2 Cet algorithme est destiné à prédire l'avenir,
Plus en détailRapport financier semestriel
Rapport financier semestriel premier semestre 2011 CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD RHONE ALPES SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE À CAPITAL ET PERSONNEL VARIABLES au capital actuel de 70 658 206,25 euros
Plus en détailSynthèse d'études de migration vers LibreOffice vs MS Office STARXPERT MAI 2013 AUTEUR
Synthèse d'études de migration vers LibreOffice vs MS Office AUTEUR STARXPERT MAI 2013 STARXPERT - Siège social : 100, rue des Fougères 69009 Lyon SAS au capital de 40 000 - Siret : 449 436 732 00035 -
Plus en détailBILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement
Services Technologies Industries Pour l Environnement BILAN CARBONE 2011 avril 13 STIPE SARL SIEGE SOCIAL : 842 RUE JEAN GIONO 83600 FREJUS TEL FAX 04 94 53 55 74 AGENCE IDF : 22 RUE SADI CARNOT 92000
Plus en détailLE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS
OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE 20 LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS Les des conseils en immobilier d'entreprise et opérations en comptes propres au sein de l'agglomération de
Plus en détailDate 16/09/2013 Révision 00 Rem. Début
Page 1 sur 8 Date 16/09/2013 Révision 00 Rem. Début Flux d'émissions Projets de dragage BeNeLux (sans avantage) Projets de dragage hors BeNeLux (outside boundery) Bureaux Bergen-op-Zoom (outside boundery)
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailDossier d'étude technique
Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Guide méthodologique Dossier d'étude technique Référence : CNRS/DSI/conduite-projet/developpement/technique/guide-etude-technique
Plus en détailRÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES
RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES Sommaire 1 Méthodes de résolution... 3 1.1. Méthode de Substitution... 3 1.2. Méthode des combinaisons linéaires... 6 La rubrique d'aide qui suit s'attardera aux
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailPlan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011
Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral
Plus en détailSommaire... 2. Introduction... 4. Présentation de Sousse... 5. Analyse descriptive... 6. 1. Infrastructure... 6. 1.1. Part des routes classées...
Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 4 Présentation de Sousse... 5 Analyse descriptive... 6 1. Infrastructure... 6 1.1. Part des routes classées... 6 1.2. Taux de raccordement au réseau d assainissement...
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1
ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 La publication du CECEI-Banque de France 2 à partir du FIB, recense pour les deux régions 7 265 guichets permanents contre 6 657 agences pour la base du laboratoire C.R.E.T.E.I.L
Plus en détailLE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3
LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3 Dernière révision du document : février 2013 Entré en vigueur le 1 er octobre 2002, le "Permis d Environnement" (créé par le décret du 11 mars 1999) peut être considéré
Plus en détailTPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut?
DRC- 10-107725 - 03911 A mars 2010 TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce
Plus en détailAuchan Consumer Zoom 600 000 clients pour mesurer et optimiser vos actions marketing. Une offre unique au service des industriels.
marchés-test, efficacité publicitaire et promotionnelle, modélisation Auchan Consumer Zoom 600 000 clients pour mesurer et optimiser vos actions marketing. Une offre unique au service des industriels.
Plus en détailSOMMAIRE INTRODUCTION... 3
SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I - PRESENTATION DE L ENQUETE... 5 A - OBJECTIFS DE L ENQUETE...5 B - CHAMP DE L ENQUETE...5 C - DETERMINATION DES «GROUPES» DE SOCIETES...6 II - VUE D ENSEMBLE DES CESSIONS...
Plus en détailLes responsabilités des professionnels de santé
Chapitre 5 : UE6 - Le Droit pharmaceutique Les responsabilités des professionnels de santé Martine DELETRAZ-DELPORTE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa méthode des cas et le plan marketing : énoncé seul
La méthode des cas et le plan marketing : énoncé seul 12_07_2011 Table des matières Table des matières 3 I - 1. Point méthodologique 7 A. 1.1. Définitions...7 B. 1.2. Plan d'analyse type...8 C. 1.3. Synthèse...13
Plus en détailSurveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité
Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité NOVEMBRE 2010 Tatiana Macé (LNE) François Mathé (EMD) Eva Léoz-Garziandia (INERIS) PREAMBULE Le Laboratoire Central
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailCe dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.
FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même
Plus en détailIntroduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5
EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode
Plus en détailMARKT/2508/02 FR Orig. EN REGIME DE SURVEILLANCE DES ENTREPRISES DE REASSURANCE A INSTAURER PAR PROCEDURE ACCELEREE
MARKT/2508/02 FR Orig. EN REGIME DE SURVEILLANCE DES ENTREPRISES DE REASSURANCE A INSTAURER PAR PROCEDURE ACCELEREE Le projet sur la surveillance de la réassurance en est maintenant à un stade où certains
Plus en détailChapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites
I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement
Plus en détailConsommation et investissement : une étude économétrique
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Consommation et investissement : une étude économétrique Décembre 1996 Document de travail n 14 Consommation et Investissement : Une
Plus en détailTable des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP
Procére : Code de bonnes pratiques pour indivielle dans le cadre de travaux Table des matières 1 Objectif... 1 2 Champ d application... 1 3 Références... 1 4 Définitions... 1 5 Procére... 1 5.1 Introction...
Plus en détailAnalyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France
Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France 1 er trimestre 2013 2 Synthèse des données d activité Les éléments suivants ont été constitués sur la base des données transmises par les opérateurs
Plus en détailCFD Parapente RÈGLEMENT 2014 2015
CFD Parapente RÈGLEMENT 2014 2015 La CFD (Coupe Fédérale de Distance) est un challenge interne à la FFVL pour le vol de distance («cross»). À partir de la saison 2014-2015, les vols CFD ne comptent plus
Plus en détailPour la quatrième année consécutive, la SICAV Uni-Hoche reçoit une récompense au Morningstar Award.
Pour la quatrième année consécutive, la SICAV Uni-Hoche reçoit une récompense au Morningstar Award. Paris, le 21 mars 2013 La SICAV Uni-Hoche de Palatine Asset Management, filiale de gestion d actifs de
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailFiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson
Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses
Plus en détailjáëé=éå=çéìîêé=çé=ä~=çáêéåíáîé OMMOLQVL`b
jáëé=éå=çéìîêé=çé=ä~=çáêéåíáîé OMMOLQVL`b `~êíéë=çé=äêìáí=ëíê~í ÖáèìÉë= dê~åçë=~ñéë=êçìíáéêë=çì=ç é~êíéãéåí= ÇÉ=ä~=`çêê òé o ëé~ì=êçìíáéê=å~íáçå~ä =o~ééçêí=çé=ëóåíü ëé ~ÑÑ~áêÉ=kø=SP=MT=NVQQV=a=PQU pééíéãäêé=ommu
Plus en détailNC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles
NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailJE SUIS OU JE SOUHAITE DEVENIR TRANSPORTEUR PUBLIC ROUTIER DE MARCHANDISES OU DE VOYAGEURS OU COMMISSIONNAIRE DE TRANSPORT:
JE SUIS OU JE SOUHAITE DEVENIR TRANSPORTEUR PUBLIC ROUTIER DE MARCHANDISES OU DE VOYAGEURS OU COMMISSIONNAIRE DE TRANSPORT: Quelles sont les procédures à suivre et les obligations qui m incombent? LES
Plus en détailLa contrefaçon par équivalence en France
BREVETS La contrefaçon par équivalence en France I. Introduction Si l'on considère une revendication de brevet qui remplit les conditions de validité au regard de l'art antérieur, le cas de contrefaçon
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailActions Propres et Consolidation
Actions Propres et Consolidation igmaconso Allen White Les actions propres d une société sont des actions émises et ultérieurement détenues par celle ci, en vue soit de les annuler soit de les revendre.
Plus en détailRéaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!
Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)
Plus en détailLes Français et la liberté de la presse. Ifop pour Metronews et Reporters sans frontières
Les Français et la liberté de la presse FD/GM N 113153 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Guillaume Marchal Département Opinion et Stratégies d'entreprise TEL : 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com JUIN 2015
Plus en détailLettre d actualité de l urbanisme
n 3 Février 2010 Lettre d actualité de l urbanisme de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Calvados 1- ACTUALITÉ DES DÉCISIONS DU CONSEIL D'ÉTAT Décision du conseil d'etat (CE) n
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailThéories de la Business Intelligence
25 Chapitre 2 Théories de la Business Intelligence 1. Architectures des systèmes décisionnels Théories de la Business Intelligence Depuis les premières requêtes sur les sources de données OLTP consolidées
Plus en détailCommission de suivi de site STORENGY
Commission de suivi de site STORENGY Réunion du 8 octobre 2014 Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du Logement Rhône-Alpes www.developpement-durable.gouv.fr Plan 1- Rappel des objectifs
Plus en détailSPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES
92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice
Plus en détailLe regard des Français sur le secret des échanges entre un avocat et son client. IFOP pour Ordre des avocats de Paris
Le regard des Français sur le secret des échanges entre un avocat et son client IFOP pour Ordre des avocats de Paris FD/MCP N 112477 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailDOMAINE : économie et gestion comptable
CONCOURS DE L'AGREGATION INTERNE «ECONOMIE ET GESTION» SESSION 2002 EPREUVE PORTANT SUR LES TECHNIQUES DE GESTION ET COMPORTANT DES ASPECTS PEDAGOGIQUES DOMAINE : économie et gestion comptable Durée de
Plus en détailEvaluation de la variabilité d'un système de mesure
Evaluation de la variabilité d'un système de mesure Exemple 1: Diamètres des injecteurs de carburant Problème Un fabricant d'injecteurs de carburant installe un nouveau système de mesure numérique. Les
Plus en détailDirection Générale Personnel et Administration
Direction Générale Personnel et Administration " Analyse coût-bénéfice d une éventuelle externalisation d un certain nombre d activités effectuées à l heure actuelle par des services de la DG Admin. Rapport
Plus en détailLE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS
200 OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS en compte propre au sein de l'agglomération de Tours Sommaire & Chiffres clés Editorial 200 : Une année de
Plus en détailLes défibrillateurs cardiaques implantables
Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance
Plus en détail