DEVELOPPEMENT HUMAIN ET SOCIAL, ET BONNE GOUVERNANCE A TOUS LES NIVEAUX
|
|
- Odette Morneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Revue à Mi-Parcours du Programme d Action d Istanbul MAI 2016, ANTALYA, TURQUIE Photo Credit: FMSC Distribution/Flickr DEVELOPPEMENT HUMAIN ET SOCIAL, ET BONNE GOUVERNANCE A TOUS LES NIVEAUX TABLE RONDE DE HAUT NIVEAU 3 Domaines d actions prioritaires E et H 28 Mai 2016, , Salle Atlantic Les plus importants atouts des Pays les Moins Avancés sont leurs femmes, hommes et enfants, dont le potentiel à la fois comme agents et bénéficiaires du développement, doit être pleinement réalisé. Programme d Action d Istanbul complète sur le reste de la décennie, tout en prenant en compte les synergies et cohérences du Programme d Action d Istanbul avec les processus globaux, tels que le Programme de Développement Durable à l Horizon 2030, le Programme d Action d Addis Abeba, lecadre de Sendai pour la Réduction des Risques de Catastrophes, et l Accord de Paris dans la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. CONTEXTE FONDEMENT Comme le point à mi-chemin de la décennie du Programme d Action d Istanbul (PAI) pour les PMA approche, un examen de haut-niveau à mi-parcours de sa mise en œuvre se tiendra en Mai 2016 à Antalya, Turquie. La participation sera ouverte à tous les acteurs du PAI et comprendra quatre tables rondes axées sur l identification de suggestions concrètes à mêmes de renforcer davantage le partenariat global de développement pour les PMA dans tous les Domaines d Actions Prioritaires du PAI, afin d assurer sa mise en œuvre opportune, efficace et La Table Ronde de Haut-Niveau sur Le Développement Humain et Social, et la Bonne Gouvernance A Tous les Niveaux est une opportunité unique de s engager à accélérer les actions dans le sens de la mise en œuvre de: Domaine Prioritaire E du PAI: Développement Humain et Social Domaine Prioritaire H du PAI: Bonne Gouvernance à Tous les Niveaux Page 1 de 5 EN SAVOIR PLUS: TROUVE NOUS: UN-OHRLLS
2 DOMAINE PRIORITAIRE E : DÉVELOPPEMENT HUMAIN ET SOCIAL Les atouts les plus importants des PMA sont leurs femmes, hommes et enfants, dont le potentiel à la fois comme agents et bénéficiaires du développement doit être pleinement réalisé. Les pays les moins avancés font face à de sérieux défis pour leur développement économique, humain et social. Les PMA continueront de porter le lourd fardeau de la pauvreté durant les prochaines années, sauf si des actions concrètes sont prises pour s attaquer aux causes fondamentales d une manière durable, y compris en bâtissant les capacités productives et humaines. La pauvreté et la faim sont des problèmes multidimensionnels qui posent de sérieuses entraves aux efforts des PMA à progresser dans le domaine du développement social et humain à cause de l impossibilité pour certains d accéder à des services de base comme l éducation, la santé, l eau potable et l assainissement, et d accéder à des ressources productives afin de participer à la vie sociale, économique et politique et de bénéficier de la croissance économique. La trajectoire démographique de beaucoup de PMA augmente la pression sur leurs systèmes éducatifs. Le groupe d enfants entre 5 et 14 ans a considérablement augmenté dans nombreux de ces pays, ce qui complique la fourniture de services éducatifs adéquats, dans un contexte de ressources limitées, particulièrement dans les zones rurales, où le coût de la fourniture des services d éducation est plus élevé. Les ratios élève-enseignant au secondaire élevés, les mauvaises infrastructures, les formations inadéquates des enseignants et les équipements limités contribuent à ces contre-performances. La mortalité maternelle continue d être significativement plus élevée dans les PMA que dans les autres pays en développement, malgré certains progrès enregistrés au cours les cinq dernières années. Le nombre de décès maternels pour naissances vivantes est estimé à 382 pour ces pays en 2015, soit une baisse de 17 pour cent depuis Les ressources pour le planning familial dans les PMA sont aussi limitées. Les insuffisances dans l emploi des jeunes sont aussi persistantes dans les PMA. Les jeunes et les femmes ont été les groupes les plus affectés par l augmentation du chômage à la suite de la crise mondiale économique et financière. Par ailleurs, les difficultés pour générer assez d opportunités d emplois se sont aggravées à cause de la trajectoire démographique des PMA, puisqu un très grand nombre de jeunes intégre le marché du travail chaque année. Haiti. Photo: FMSC Distribution Partner/Flickr Le PAI établit plusieurs objectifs et cibles pour le développement humain et social dans les domaines de l éducation et l enseignement, la population et la santé primaire, la promotion de la jeunesse, le logement, l accès à l eau potable, l assainissement, l égalité des sexes et l autonomisation des femmes, et la protection sociale. Les PMA ont progressé de manière différente dans tous ces domaines. Atteindre une éducation primaire universelle demeure un but lointain, avec plus de 21 millions d enfants en âge primaire qui ne fréquentaient pas l école en Le taux d inscription en éducation secondaire dans les PMA demeure bas (42%), en comparaison avec les autres pays en développement (71%). En 2014, 69 pour cent de la population des PMA vivait dans des zones rurales, à peine moins que les 70 pour cent en La migration interne des zones rurales vers les zones urbaines a eu pour résultat une croissance exponentielle des populations urbaines. L absence de services publics et d infrastructures urbaines adéquates, et la capacité limitée du secteur public pour répondre à une population urbaine grandissante, ont donné lieu à une grande proportion d habitants dans des taudis et des logements inadéquats, souvent peu sûrs et surpeuplés. Le manque de services de base convenables, d accès à l eau et à un système sanitaire augmente la vulnérabilité de ces populations déjà vulnérables aux catastrophes. Depuis 2011, 16 millions de personnes dans les PMA ont bénéficié d un accès à une meilleure source d eau potable, soit une augmentation de 2.9 pour cent. Néanmoins, 32.8 pourcents de la population n y avait pas accès en Dans les zones rurales, 40 pour cent de la population n avait pas accès à une meilleure source d eau potable, contre 16 pour cent dans les zones urbaines. L accès à des installations sanitaires saines est toujours très limité dans les PMA. En 2014, 63.7 pour cent de la population n avait pas accès à de bonnes installations sanitaires. Page 2 de 5
3 Le ratio filles/garçons des inscriptions au primaire était de 0.94 en 2013, démontrant une quasi parité des sexes dans l éducation primaire, pour les PMA en général. Les inégalités sont plus importantes dans l éducation secondaire, bien que certains pays montrent des progrès significatifs. L écart de genre dans l éducation supérieure reste aussi très large. La représentation des femmes dans les parlements a considérablement augmenté au cours des 10 dernières années, avec pour cent de sièges parlementaires tenus par des femmes dans les PMA en 2015 : soit une augmentation de 1.43 pourcent depuis En guise de perspective, plus de prévoyance, d accent sur les capacités de développement, de soutien pour les activités génératrices de revenus, spécialement pour la population rurale, un accès plus facile à la finance et un environnement favorable à l entreprenariat, aideront les PMA à récolter les fruits du dividende démographique.. Un engagement renouvelé est nécessaire afin de renforcer le soutien aux politiques d inclusion sociale et une croissance inclusive dans les PMA. La protection sociale dans les PMA est essentielle pour éradiquer la pauvreté, réduire les inégalités et renforcer la résilience des groupes vulnérables. Bien que la plupart de ces pays aient développé des formes de programmes de protection sociale, leur couverture tend à être très limitée. En conséquence, la majorité des personnes très pauvres ne bénéficie pas d une protection sociale complète. Le sous-emploi et l emploi précaire représentent des défis importants pour les PMA, avec plus d un tiers du total de leur population active vivant dans une pauvreté extrême. En 2013, le ratio emploi-population était de 65 pour cent, bien que dans 10 pays, le rapport ait été plus bas que 50 pour cent. Kiribati. Photo: Lorrie Graham, Australia DFAT/Flickr DOMAINE PRIORITAIRE H : BONNE GOUVERNANCE À TOUS LES NIVEAUX La bonne gouvernance et l Etat de droit aux niveaux local, national et international, sont essentiels pour une croissance économique soutenue, inclusive et équitable, un développement durable et l éradication de la pauvreté et de la faim. Ils sont aussi essentiels à la réalisation des engagements formulés dans le PAI, qui comprend les objectifs et cibles suivants. Renforcer la bonne gouvernance, l Etat de droit, les droits de l Homme, l égalité des sexes et l autonomisation des femmes, la participation démocratique, notamment en augmentant le rôle des parlements; Renforcer et mettre en œuvre efficacement des mesures pour prévenir la corruption et améliorer la transparence des budgets et dépenses; Accroître la capacité institutionnelle des pays les moins avancés à assurer une bonne gouvernance; S assurer que les ressources soient mises à disposition des pays les moins développés et utilisées de manière prévisible, transparente et opportuner; Pourvoir un soutien continu à la voix et la participation renforcées et efficaces des pays les moins avancés dans les forums internationaux significatifs; Construire une paix stable et assurer la stabilité, la sécurité et le développement durable et inclusif dans les pays les moins avancés. Page 3 de 5
4 L engagement dans le combat contre la corruption s est significativement renforcé, avec 42 PMA étant Parties de la Convention des Nations Unies contre la Corruption, puisqu elle a été ratifiée par cinq nouveaux PMA et cinq autres y ont adhéré entre 2011 et Depuis 2010, 12 nouveaux PMA ont été considérés conformes avec l Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives, augmentant le total des pays ayant souscrits à cette initiative à 14. De plus, 6 PMA y sont devenus candidats entre 2011 et Les pays se conformant aux dispositions de cette initiative rendent publiques des informations sur les revenus provenant des industries extractives. Néanmoins, la corruption demeure un défi dans un certain nombre de PMA. Une plus grande appropriation et leadership des PMA sont indispensables, y compris dans le contexte de l intégration du Programme d Action dans les stratégies, plans et programmes nationaux de développement, et l identification des autorités pour superviser sa mise en œuvre, ainsi que l engagement de divers acteurs, parlementaires, organisations de la société civile, secteur privé et les branches exécutives. Le gouvernement en ligne peut aider à faire face à de nombreux défis auxquels les PMA sont confrontés, en offrant un plus grand accès aux services publics, en améliorant la réduction des risques de catastrophes, en permettant une plus grande efficacité et transparence gouvernementales afin d assurer un usage plus efficace des ressources limitées. Cependant, les PMA obtiennent les résultats les plus bas dans l indice de développement du gouvernement en ligne, avec une moyenne de 0.21 en 2014 comparé à 0.41 pour les pays à revenus intermédiaires. Ce bas résultat provient en partie du manque d infrastructures d informations et de communications technologiques. Cependant, alors que tous les PMA ont une sorte de gouvernance en ligne de base, ils ne font que peu ou pas de progrès pour atteindre des étapes plus avancées de développement dans la gouvernance en ligne, y compris dans l offre de services en ligne, dans la participation en ligne et dans les données gouvernementales publiques. Le manque général d informations dans tous les domaines couverts par le Programme d Action d Istanbul et les Objectifs de Développement Durable, spécialement dans des domaines comme la pauvreté, l emploi, le réseau de routes, les transports aériens et les intrants agricoles, rend compliquée la planification des politiques. Alors que les voix et la représentation des pays émergents et à revenus moyens, ont augmenté dans les forums internationaux, les PMA sont toujours largement sous-représentés. Par exemple, aucun des 48 PMA n est représenté au Comité de Bâle sur le contrôle bancaire ou au Conseil de Stabilité Financière du G20. Par ailleurs, les PMA ont seulement 3.5 pour cent des parts de vote au Fonds Monétaire International (FMI). En conséquence, leurs préoccupations et priorités demeurent largement non-représentées dans de nombreux forums internationaux, et les standards globaux ne sont pas toujours adaptés aux PMA ou à leurs capacités de mise en œuvre dans le court terme. Les partenaires au développement devraient renforcer leur soutien aux PMA affectés par les conflits afin de prendre en considération les besoins et situations spécifiques aux pays, y compris par un développement socio-économique général, inclusif et rapide avec un accent spécial sur la reconstruction des institutions et capacités nationales, la reconstruction des infrastructures essentielles et la création d emplois productifs et décents pour tous. République Démocratique Populaire Lao. Photo: Bart Verweij, World Bank/Flickr Page 4 de 5 Libéria. Photo: Dominic Chavez, World Bank/Flickr Yemen. Photo: Yemeni in Calgary/Flickr
5 OBJECTIF L objectif de cette Table Ronde de Haut-Niveau est de réunir des leaders mondiaux afin de faire face à ces défis, de trouver des suggestions concrètes et d assurer des engagements fermes pour réaliser le PAI et ses Domaines E et H. En particulier, la table ronde cherchera des suggestions concrètes et des engagements de la part des leaders sur des questions telles que: Comment les PMA peuvent-ils pleinement exploiter leur immense potentiel de ressources humaines, étant donné qu une large majorité des personnes est toujours non qualifiée, au chômage ou sous-employée, et qu une grande proportion des femmes se trouve soit en dehors de la force de travail, soit réalise un travail qui n est pas pris en compte? En répondant à ces questions, il sera attendu des leaders prenant part aux tables rondes, qu ils partagent les meilleures pratiques et leçons apprises et qu ils offrent des idées et des promesses d engagements susceptibles de contribuer à la mise en œuvre du PAI et assurer des investissements, amenant des résultats dans l éducation et la santé, de plus grandes opportunités pour les jeunes et les femmes, un meilleur accès à l eau et à un système sanitaire, des logements de meilleure qualité et une protection sociale dans les PMA. La Table Ronde de Haut-Niveau de l Examen à Mi-Parcours est aussi une opportunité pour bénéficier d une impulsion politique et de l engagement des leaders en faveur de la promotion internationale de l autonomisation humaine et sociale. Cet événement offrira une plateforme pour donner plus de visibilité aux succès, présenter les meilleures pratiques et identifier les principes-clés et les variables pour l accélération fructueuse du développement social et humain. Que peut-on faire pour offrir une éducation de qualité y compris dans l enseignement professionnel et des opportunités de formation pour tous, de même que pour offrir aux femmes et jeunes gens des capacités de développement entrepreneurial et un accès pour le financement de start-ups? Quelles stratégies peuvent être utilisées pour améliorer la productivité du travail, la technologie et l innovation, le développement des infrastructures, l accès durable à l énergie, et le développement du secteur privé, en mettant l accent sur les petites et moyennes entreprises? Comment les PMA peuvent-ils renforcer la transparence, la responsabilité et l Etat de droit au niveau national, et que peut-il être fait pour rendre la gouvernance des institutions internationales financières, économiques et commerciales et d autres organismes d établissement de règles, plus inclusives avec les PMA et plus attentives à leurs préoccupations et aspirations? Comment faire pour assurer une cohérence et synergie entre le PAI et d autres cadres de références globaux récemment adoptés, tels que le Programme de Développement Durable à l Horizon 2030? Tanzanie. Photo: Rob Beechey, World Bank/Flickr Vanuatu. Photo: Paul McGinty, AusAID/Flickr Page 5 de 5
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailQUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011
QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailMinistère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)
Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailPlan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda
Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailLettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017
UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détaildemain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS
ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailTHEME : LUTTE CONTRE LA PAUVRETE DES JEUNES.
PROJET DE COMMUNICATION DE MONSIEUR Kodjo AKUTSE DIRECTEUR EXECUTIF DE L ONG JEUNES DU MONDE VIVONS ENSEMBLE "JMVE" (TOGO) AU SOMMET MONDIAL SUR LA SOCIETE DE L INFORMATION QUI SE DEROULERA A GENEVE EN
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailQu est-ce que l adaptation au changement climatique?
Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en
Plus en détailActivité n 8.2.5 du PAA 2014
République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la
Plus en détailLa gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!
La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de
Plus en détailLES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES
LES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES UN CONTEXTE PLEIN DE CONTRASTES Dans la plupart des pays analysés, un écart peut être observé entre les normes définies par les droits
Plus en détailL AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détail1 ] Droit à la santé, accès à la santé et aux soins de santé
1 ] Droit à la santé, accès à la santé et aux soins de santé Le temps est venu de mesurer la santé de notre monde au sort réservé aux plus faibles. (Jean Merckaert, CCFD) CADRE GÉNÉRAL Qu entend-on par
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailLA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS
LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailCela a notamment conduit à l accroissement de la rentabilité du capital au détriment du travail dans toutes les économies occidentales.
1 Contribution de Jean Pierre BRARD, député apparenté communiste de Seine Saint Denis, et de Bernard VERA, sénateur communiste de l Essonne, membres du groupe de travail Assemblée nationale Sénat sur la
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailCONTRIBUTION DU RÉGIME D ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ DE L OFATMA AU FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN HAÏTI
CONTRIBUTION DU RÉGIME D ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ DE L OFATMA AU FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN HAÏTI Dr. Max Rudolph SAINT-ALBIN Directeur Général Office d Assurance Accidents du Travail, Maladie et Maternité
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailProgramme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailVolet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix»
Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Résumé des résultats clés et réalisations Problématique Prévention des crises et consolidation de la paix : les défis Quelque 1,5 milliard
Plus en détaillj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987
lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailCOMMENT MET-ON EN PLACE UNE MUTUELLE SOCIALE
MINISTÈRE DE LA FAMILLE, DE LA FEMME ET DES AFFAIRES SOCIALES RÉPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION -DISCIPLINE -TRAVAIL DIRECTION DE LA SECURITE SOCIALE ET DE LA MUTUALITE COMMENT MET-ON EN PLACE UNE MUTUELLE
Plus en détailwww.busanhlf4.org 1er décembre 2011
PARTENARIAT DE BUSAN POUR UNE COOPÉRATION EFFICACE AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT QUATRIÈME FORUM À HAUT NIVEAU SUR L EFFICACITÉ DE L AIDE, BUSAN, RÉPUBLIQUE DE CORÉE, 29 NOVEMBRE 1 DÉCEMBRE 2011 1. Nous,
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailAnnée internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies
Année internationale de la jeunesse 12 août 2010-11 août 2011 Dialogue et compréhension mutuelle asdf Nations Unies «Nous devons nous engager sans réserve pour que les jeunes aient accès à l éducation,
Plus en détailLes inégalités de conditions de vie dans le monde
Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailUnited Nations (8) Nations Unies
United Nations (8) Nations Unies HEADQUARTERS SIEGE NEW YORK, NY 10017 TEL.: 1 (212) 963.1234' FAX: 1 (212) 963.4879 Distr. SECOND INTERNA1l0NAL DECADE FOR THE ERADICATION OF COLONIALISM RESTRICTED PRS/2010/CRP.9
Plus en détailPAYS LES MOINS AVANCES
PAYS LES MOINS AVANCES CE QU IL FAUT SAVOIR ET CE QU IL FAUT FAIRE Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en
Plus en détailNote de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.
Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3
Plus en détailMesure du surendettement en Europe
Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailCOMMUNICATION DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN, AU CONSEIL, AU COMITÉ ÉCONOMIQUE ET SOCIAL EUROPÉEN ET AU COMITÉ DES RÉGIONS
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 27.2.2013 COM(2013) 92 final COMMUNICATION DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN, AU CONSEIL, AU COMITÉ ÉCONOMIQUE ET SOCIAL EUROPÉEN ET AU COMITÉ DES RÉGIONS UNE VIE
Plus en détailDéclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015
Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015 Les parlementaires africains Reconnaissant que les parlements
Plus en détailRoyaume du Maroc المرجع :
المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailRésumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO
Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Novembre 2013 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO 1 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Le présent document est un résumé
Plus en détailDÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER
CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera
Plus en détailSommet de Los Cabos Déclaration des chefs d État et de gouvernement
(Traduit de l anglais) Traduction du texte anglais publié par la Présidence mexicaine Sommet de Los Cabos Déclaration des chefs d État et de gouvernement 1. Nous, chefs d État et de gouvernement du G20,
Plus en détailLes Français ais et l assurance l
Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon
Plus en détailSynthèse des réponses reçues du sondage du 8 février 2013
Synthèse des réponses reçues du sondage du 8 février 2013 Ont répondu (8à 9 membres/14) : Carrefour de participation, ressourcement et formation (CPRF), Centre de formation régionale de Lanaudière (CFRL)
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailRésultats Semestriels 2007. Réunion d information du 3 octobre 2007
Résultats Semestriels 2007 Réunion d information du 3 octobre 2007 1 S o m m a i r e efront, expert en solutions logicielles pour la finance Stratégie de développement Activité du 1 er semestre 2007 Perspectives
Plus en détailÀ PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR
À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR Photo by: Ryan Carter, Philip Cheung / Crown Prince Court - Abu Dhabi Le Prix Zayed de l énergie du futur, lancé en 2008 et géré par Masdar, représente la vision
Plus en détail3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES
3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe
Plus en détailL AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT AU CAMEROUN. Le secteur privé
L AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT AU CAMEROUN Le secteur privé LE SECTEUR PRIVE : UN VECTEUR ESSENTIEL DU DÉVELOPPEMENT Promouvoir une croissance durable et partagée... La croissance économique est un
Plus en détailLes progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre
Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Document d orientation 14 / Fiche d information 28 Juin 214 Publié conjointement par le Rapport mondial de
Plus en détailPlus de 43 000 recrutements et deux concours externes
Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes 2013 marque le début de la refondation de la formation initiale des enseignants > Pour remplacer les départs des enseignants en 2013, 22 100 postes
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailSe former à l IIPE en planification & gestion de l éducation
Institut international de planification de l éducation (IIPE) Un centre d excellence international en planification de l éducation Se former à l IIPE en planification & gestion de l éducation Votre formation
Plus en détailLA RéPOnSe COLLeCTive. Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat
LA RéPOnSe COLLeCTive des entreprises de SAnTé Aux POPuLATiOnS en SiTuATiOn de détresse Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat Qui sommes nous?
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailModélisation de la réforme des pensions
Modèle PROST de la Banque Mondiale Modélisation de la réforme des pensions Mécanisme de simulation des options de réforme des retraites, de la Banque Mondiale L es politiques de pension d aujourd hui peuvent
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailCréateur d opportunités
Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale
Plus en détailwww.iavs-energie.org
Notes de recherche de l IAVS www.iavs-energie.org ---------------- administration@iavs-energie.org iavsmail@gmail.com ---------------- Cadre de référence indicatif pour la promotion de l efficacité énergétique
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailSommaire... 2. Introduction... 4. Présentation de Sousse... 5. Analyse descriptive... 6. 1. Infrastructure... 6. 1.1. Part des routes classées...
Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 4 Présentation de Sousse... 5 Analyse descriptive... 6 1. Infrastructure... 6 1.1. Part des routes classées... 6 1.2. Taux de raccordement au réseau d assainissement...
Plus en détailUnion Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% &
Union Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% & '( L enquête 1-2-3 dans les Etats membres de l UEMOA Le Programme régional d'appui statistique à la surveillance multilatérale des pays de l'uemoa
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailRépublique de Guinée. Ministère de l Economie et des Finances. Unité de Coordination et d Exécution des Projets
République de Guinée Ministère de l Economie et des Finances Unité de Coordination et d Exécution des Projets PROJET D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITES DE GESTION ECONOMIQUE ET FINANCIERE (PARCGEF)
Plus en détailSite Internet : www.africa-union.org
AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA P.O. Box 3243, Addis-Abeba, ba, ÉTHIOPIE Téléphone : +251-115-517 517 700 ADDIS-ABEBA Site Internet : www.africa-union.org POSITION COMMUNE AFRICAINE SUR LE
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire.
Chargé de Logistique RDC Closing date: 04 Sep 2015 I. ACTED ACTED ACTED est une association de solidarité internationale française qui a pour vocation de soutenir les populations vulnérables de par le
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailWorkshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta
PROJET FORMATION DE LEADERS POUR LA DEMOCRATISATION ET LE DEVELOPPEMENT LOCAL DANS LA MUNICIPALITE DE SAN JOSE DE CUCUTA COLOMBIE. 1. CADRE D'INSERTION DU PROJET Les conditions de vie de la population,
Plus en détailDeuxième Examen global de l Aide pour le commerce
Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
Plus en détailLES INDUSTRIES EXTRACTIVES
LES INDUSTRIES EXTRACTIVES 1. Les mesures pratiques qui ont été prises et les progrès réalisés dans leur mise en œuvre Depuis son accession à l indépendance, le Mali, à travers ses différents plans de
Plus en détailNote sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda
Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Alexandra Panis, BIT / STEP. Kigali, Janvier 2008 1) Contexte historique des mutuelles de santé au Rwanda En 1999, le gouvernement rwandais
Plus en détail