SYNTHÈSE DES COMMENTAIRES DE L AQESSS DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION DU MSSS SUR LE DOCUMENT
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- Gaston Bessette
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1 SYNTHÈSE DES COMMENTAIRES DE L AQESSS DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION DU MSSS SUR LE DOCUMENT Orientations relatives aux standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Services généraux psychosociaux offre de service Préparé par la direction de l organisation des services et de la qualité 14 mars 2011
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3 Introduction C est avec grand intérêt que l AQESSS a pris connaissance du document soumis à son attention portant sur l offre de service du programme services généraux psychosociaux. Ce document d orientation, faisant suite à une consultation en 2007 sur une première version, était très attendu des établissements. L AQESSS a consulté ses membres dès la réception du document. Une quarantaine d établissements, en provenance de régions diverses, nous ont fait parvenir leurs commentaires, tous pertinents et constructifs. Le présent document est une synthèse du document complet (29 p.) qui sera déposé par l AQESSS au MSSS à la mi-mars Principaux commentaires D entrée de jeu, l AQESSS souligne que tout en étant mieux ficelé que le document mis à son attention en 2007, le cadre de référence du MSSS est à quelques égards un peu lourd inutilement et qu il manque de clarté sur certains points. Ces points sont identifiés précisément dans le document de réaction complet. Seules les orientations et propositions de fond seront reprises dans la synthèse qui suit. De la collaboration entre les services généraux psychosociaux et les services généraux médicaux Pour maintenir et améliorer la santé et le bien-être de la population, il faut développer les services généraux psychosociaux en fonction du réseau local de services sur chacun des territoires. Les médecins généralistes demandent le soutien psychosocial de la part des professionnels des relations humaines pour travailler de concert avec eux au suivi de leur clientèle présentant, en plus des problèmes d ordres physique et médical, des problèmes psychosociaux. Cette réalité doit nous amener à nous questionner sur les besoins des médecins omnipraticiens et sur les modes d organisation du travail et mécanismes de collaboration à mettre en place entre les médecins et les intervenants psychosociaux. Aussi, les CSSS se font de plus en plus nombreux à déployer des ressources offrant des services généraux psychosociaux dans les cabinets de médecins, les GMF, les cliniques réseaux. Cette nouvelle façon de déployer les services généraux est majeure et on ne peut plus envisager une offre de services généraux psychosociaux qui soit «collée» aux anciens modèles d organisation. Cette dimension de la complémentarité des services généraux psychosociaux avec les services généraux médicaux, incluant les nouveaux modes d organisation des services n est pas prise en compte dans le document du MSSS et devrait certainement l être. Clientèle visée Le document campe bien que les services généraux (qu ils soient médicaux ou psychosociaux) doivent être accessibles à l ensemble de la population sans que l accès aux services soit assujetti à la résidence sur le territoire de référence. Tout en étant d accord avec cet enlignement conforme à l esprit de la LSSSS, nous considérons qu il y a matière à confusion compte tenu de la responsabilité populationnelle sur laquelle le document insiste dans la partie sur le contexte. 3
4 Ainsi, dans un contexte de ressources limitées, nous proposons qu en général, une fois l accueil et l analyse de la demande effectuée pour toute personne, qu elle soit du territoire ou non, celle-ci soit accompagnée vers le CSSS de son territoire à partir du moment où elle nécessite des services psychosociaux à plus long terme. Ceci allant dans le même sens que pour les services psychosociaux à domicile qui, tel qu écrit dans le document, doivent être offerts uniquement aux personnes résidant sur le territoire du CSSS. Par ailleurs, en lien avec l importance de tenir compte des nouveaux modèles d organisation décentralisés des services psychosociaux vers les GMF et les cliniques réseaux, tel qu exprimé précédemment, une souplesse doit absolument être maintenue en ce qui a trait à la clientèle bénéficiant de services médicaux en GMF ou clinique hors territoire, ayant aussi besoin de services généraux psychosociaux. Dans une optique de continuité, elle devrait pouvoir continuer à recevoir ses services généraux tant médicaux que psychosociaux via le GMF ou la clinique en question. De façon générale, nous sommes en désaccord avec l orientation du MSSS dans la description des catégories de clientèles présentées. D une part, toutes les clientèles enfance, jeunesse (incluant l adolescence), famille, doivent faire partie de la même catégorie de clientèles. Les jeunes adultes font partie des adultes (18-75 ans). Les hommes et les femmes, faisant partie des adultes et des personnes âgées, ne devraient pas constituer une rubrique en soi. 1. Les adultes Les adultes hommes et femmes sont la principale clientèle des services généraux psychosociaux et cela devrait ressortir du document. Tous les adultes qui présentent des problèmes psychosociaux sans avoir comme tel de diagnostic (maladie mentale, dépendance, etc.) font partie de la clientèle potentielle des services généraux des CSSS. Et parmi ceux-ci, une attention spéciale doit être apportée aux jeunes adultes (18-25 ans). La catégorie des adultes devrait aller jusqu à 75 ans plutôt que de s arrêter à 65 ans, le portrait de la population des ans ayant changé significativement au cours des dernières années. Rappelons que l âge de 65 ans comme âge normal de la retraite a été retenu dans les années 50. L espérance de vie était à ce moment de 66 ans pour les hommes et de 71 ans pour les femmes. Or, comme nous le savons, la donne a significativement changé. Statistique Canada estime actuellement à 81 ans l espérance de vie à la naissance de la population québécoise (moyenne hommes-femmes). Ces constats et d autres motifs liés au profil des consommateurs de services de santé et de services sociaux des personnes de 75 ans et plus, ont amené l AQESSS, dans ses récents travaux de définition de l offre de service aux personnes âgées 1, à cibler la catégorie des personnes âgées à partir de l âge de 75 ans. 2. Les familles, enfants et jeunes Une question de fond se pose concernant la clientèle des enfants, des jeunes et de leurs parents. Un grand nombre de CSSS ont choisi, pour des raisons tant d accessibilité, de continuité, d efficacité que de qualité, d orienter d emblée les clientèles enfance-jeunesse incluant les parents, vers les équipes du programme-services jeunes en difficulté qui offrira alors les services appropriés, que ceux-ci soient considérés comme «généraux» ou «spécifiques». 1 AQESSS, 6 cibles pour faire face au vieillissement de la population. Mars
5 Ce choix organisationnel s appuie notamment sur le fait que la spécificité de l'intervention auprès des enfants et des jeunes, que ce soit au moment de l'évaluation, du suivi à court, moyen ou long terme, ou au moment d'une intervention de crise dans le milieu, requiert des compétences particulières. Les enfants ne sont pas des adultes miniatures et l intervention auprès de ceux-ci et de leurs familles requiert des connaissances sur le développement de l enfant et de l adolescent, sur les habilités parentales, etc. Cette façon de faire doit absolument demeurer possible pour les CSSS. Vouloir différencier cette clientèle de façon rigide peut devenir contreproductif et nuire non seulement à la qualité des services mais aussi à la continuité des interventions en impliquant des changements d intervenants en fonction du programme. 3. Les personnes âgées La catégorie des personnes âgées devrait débuter à 75 ans, âge où la consommation de services devient plus importante en fonction des pertes d autonomie et de la présence de maladies chroniques. Dans l optique de la continuité, une personne recevant des services à domicile, dans le cadre du programme PALV, devrait pouvoir recevoir des services psychosociaux dits généraux par la même équipe. L organisation en programmes-services ne doit pas venir morceler l intervention, la personne en perte d autonomie qui vit, par exemple, le deuil difficile de son conjoint ne devrait pas vivre de discontinuité dans ses services. Le même travailleur social qualifié pour l intervention auprès des personnes âgées ou la même psychologue devrait pouvoir intervenir auprès de cette personne même s il s agit d une intervention plus ponctuelle et «générale». La personne ne doit pas voir la différence. Si une personne âgée non connue des services de soutien à domicile du CSSS fait une demande de services psychosociaux, la possibilité que l intervention puisse se faire par les services généraux en collaboration avec les services PALV devrait être encouragée car les équipes PALV ont les connaissances spécifiques en gérontologie pour intervenir adéquatement tant au plan physique que psychosocial auprès d une personne âgée. 4. Les victimes de sinistres et les opérations en sécurité civile Nous sommes satisfaits que cette clientèle des services généraux figure dans le document d orientation. Il serait toutefois important de spécifier que les services aux victimes de sinistres doivent s articuler avec les mesures d urgence en partenariat étroit avec les instances de la santé publique. Définition du programme-services Nous tenons à préciser que les services généraux psychosociaux répondent à des besoins individuels mais qu ils peuvent aussi répondre à des besoins de couples ou à des besoins familiaux. Concernant le rôle principal des services généraux psychosociaux, le terme traiter la personne ne nous semble pas adéquat pour toutes les situations. Nous écririons plutôt que le rôle principal de ces services est de trouver des solutions aux problèmes psychosociaux rencontrés par l individu ou sa famille. Cette recherche de solutions peut passer par le «traitement» ou le suivi psychologique ou social mais peut aussi nécessiter d autres types d intervention comme d informer la personne, d analyser avec elle sa situation, de stabiliser son 5
6 état de détresse ou de crise le cas échéant, ou dans certains cas, de l orienter vers un programme spécifique à ses besoins. Les services 1. Services d accueil, d évaluation, d orientation et de référence Afin d éviter toute confusion, nous recommandons de nommer le service Accueil, analyse, orientation et référence (AAOR). Cela serait plus conforme à la réalité et au cadre normatif I- CLSC qui définit très bien les deux activités différentes que sont l analyse et l évaluation. Certains CSSS ont d ailleurs déjà adopté ce libellé. Nous considérons que si une évaluation plus approfondie de la demande, impliquant la communication d un jugement clinique, est nécessaire suite à l analyse, celle-ci doit alors être faite par un professionnel en conformité avec le P loi Standards d accessibilité : Le standard de «70 heures par semaine» est jugé irréaliste si appliqué de façon stricte aux heures d ouverture des installations. Certains arrivent à assurer un AAOR de 60 heures par semaine avec difficulté. Pour d autres CSSS, cette voie ne s avère tout simplement pas efficiente compte tenu de la faible densité de population et parfois de la grandeur du territoire. Par contre, une accessibilité minimale aux services psychosociaux doit être convenue. La notion du «70 heures» devrait être interprétée de façon large en tenant compte de la complémentarité des services et de l organisation du réseau local de services L Info-Social, avec une équipe de garde psychosociale en complémentarité avec les services d AAOR doit certainement pouvoir assurer une couverture d au moins 70 heures. Nous proposons de laisser aux CSSS le choix des modalités à mettre en place pour assurer un accès aux services psychosociaux de la meilleure façon qui soit. 2. Consultation psychosociale 24/7 Nous recommandons de revenir à la terminologie Info-Social 24/7 maintenant connue de tous afin d éviter toute confusion. Les liens possibles au plan local et régional entre Info-Social, le service AAOR et l intervention de crise 24/7 devraient être nommés. Chaque CSSS évalue le modèle le plus pertinent pour rendre l accessibilité aux services généraux psychosociaux à la population la plus grande et efficace que possible incluant le service Info-Social. 3. Intervention de crise dans le milieu 24/7 Dans la description de ce service, il serait bon de bien décrire la crise psychosociale versus une situation d urgence. Également, il faudrait ajouter le suivi de la crise, dans les 24 heures, une fois celle-ci désamorcée. Ce service doit s inscrire en complémentarité avec l AAOR et les services Info-Social. Encore une fois, le CSSS doit pouvoir adopter le modèle convenant le mieux aux caractéristiques de son territoire. L aspect de l arrimage requis entre les différents services de crise psychosociale existants doit être mentionné (centres de crise psychosociale, le programme Crise ado-famille-enfance, UPS-justice, etc.). Des alternatives incluant des ententes de services ou de collaboration avec des partenaires doivent pouvoir être considérées. 2 PL21 : Loi sur la modernisation des professions de la santé mentale et des relations humaines. 6
7 4. Consultation psychosociale Le document devrait être clair quant au fait que ce service de consultation inclut la consultation en psychologie dont les services de psychothérapie. L accès à ces services est essentiel. Dans la définition de ce service, il faudrait aussi ajouter que le service se donne généralement en face à face, sur rendez-vous. Il faudrait aussi ajouter le couple dans l énumération des modalités. Interfaces avec les autres programmes D emblée, cette partie devrait souligner l importance de la continuité des services du CSSS notamment entre les services d accueil des services généraux psychosociaux, de santé physique et les différents guichets d accès de première ligne aux services spécifiques (Santé mentale, DI- TED, etc.). La porte d entrée des services généraux n est pas unique. Aussi, il est essentiel de conserver les corridors d accès aux services spécifiques de 1 ère ligne entre un autre établissement ou partenaire du réseau local et le CSSS. Cet aspect, présent dans le document, devrait être plus explicite. Adaptation des services aux communautés autochtones et aux communautés culturelles Communautés autochtones La partie qui décrit l offre de service aux communautés autochtones conventionnées, non conventionnées et hors communautés gagnerait à être clarifiée pour, d une part, mieux saisir la participation du MSSS, du Ministère des affaires Indiennes (MAINC) et de Santé Canada dans l offre de service à ces groupes, et d autre part, pour bien comprendre la distinction entre les trois groupes d autochtones. Communautés ethnoculturelles Dans cette partie, on aborde les raisons de la migration mais pas le parcours migratoire comme tel qui influence pourtant non seulement le rapport à la société d accueil mais aussi l état de santé physique et mental de la personne, particulièrement de la personne «demandeuse d asile» et de la personne réfugiée. Celles-ci arrivent souvent avec une expérience migratoire traumatisante devant être prise en compte. Le document n aborde pas non plus la situation des personnes sans papiers : ces personnes qui ne font pas régulariser leur situation et qui se retrouvent sans statut et sans carte d assurance maladie. Il est très important que les services généraux psychosociaux soient accessibles à ces personnes. Évidemment, certains grands centres et régions sont particulièrement interpellés par ces questions. Il est important que les ressources nécessaires soient disponibles car ces clientèles présentent souvent plusieurs problèmes et sont difficiles à rejoindre. Si l intervention de départ est mal adaptée, ces clientèles ne reviennent pas au CSSS, les situations s aggravent rapidement et le recours aux soins et services spécialisés survient tôt ou tard. 7
8 Conclusion Le document sur l offre de services généraux psychosociaux est très attendu des membres de l AQESSS. Il est essentiel, pour que ce programme puisse s actualiser partout, que le cadre de référence du MSSS soit réaliste et adapté au contexte actuel. Concernant la clientèle des services généraux psychosociaux, l emphase doit être mise sur la clientèle adulte (18-75 ans). De plus, selon une majorité de CSSS, la clientèle des jeunes et de leur famille devrait être desservie par les équipes du programme spécifique jeunes en difficulté. Pour s assurer d une couverture optimale de services psychosociaux à la population, il faut laisser place d une part à la complémentarité et à la fluidité entre les programmes généraux (médicaux et psychosociaux) et spécifiques (DI-TED, Santé mentale, JED, PALV, DEP) des CSSS et d autre part, à la souplesse dans l organisation locale et régionale des services tels qu Info-Social et les services d intervention de crise 24/7. Dans un contexte de ressources humaines qualifiées limitées, une place importante doit être accordée à la collaboration entre les organisations tant au plan local que régional. En terminant, l AQESSS tient à réitérer au MSSS sa volonté de collaborer au déploiement d une offre de services généraux psychosociaux la plus accessible et efficace que possible dans tous les CSSS du Québec. 8
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