TROISIÈME SECTION. Requête n o 8810/11 Stan GHEORGHE contre la Roumanie introduite le 31 janvier 2011 EXPOSÉ DES FAITS
|
|
- Thierry Albert
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TROISIÈME SECTION Requête n o 8810/11 Stan GHEORGHE contre la Roumanie introduite le 31 janvier 2011 EXPOSÉ DES FAITS EN FAIT 1. Le requérant, M. Stan Gheorghe, est un ressortissant roumain, né en 1954 et détenu à la prison de Giurgiu. A. Les circonstances de l espèce 2. Les faits de la cause, tels qu ils ont été exposés par le requérant, peuvent se résumer comme suit. 3. Le 25 novembre 2003, le requérant, fumeur, subit un infarctus. A la suite d un examen médical réalisé à l hôpital universitaire d urgence de Bucarest, le diagnostic «d angine instable à haut risque» fut établi. Une revascularisation chirurgicale lui fut recommandée. D après le dossier, le requérant n entreprit pas de démarches pour subir une telle intervention chirurgicale. 4. En 2004, le requérant fut placé en détention provisoire, mesure suivie d une peine de quatorze ans de prison pour meurtre qualifié. 1. Le suivi de l état de santé du requérant et le traitement médical 5. A une date non précisée en 2005, le requérant subit un nouvel infarctus. 6. En mai 2005, il fut examiné par un médecin neurologue qui établit que le requérant souffrait d une hernie discale lombaire avec une indication opératoire. Après avoir noté que le requérant souffrait également de pathologies cardiaques, il indiqua que l intervention chirurgicale pour l affection neurologique devait être ajournée afin de résoudre d abord le problème cardiovasculaire. Un traitement antalgique lui fut prescrit. Le requérant fut déclaré «complètement inapte».
2 2 EXPOSÉ DES FAITS ET QUESTIONS GHEORGHE c. ROUMANIE 7. Le 20 mai 2005, l institut de médecine légale «Mina Minovici» de Bucarest («l institut») établit un rapport d expertise selon lequel le requérant souffrait d une cardiopathie ischémique et présentait des lésions des trois coronaires nécessitant une intervention chirurgicale «non urgente». Il était indiqué que le requérant pouvait être traité dans le réseau pénitentiaire et que la réalisation de l intervention chirurgicale recommandée pouvait être assurée par l Administration nationale des prisons en hospitalisant le requérant, sous escorte, dans une unité de chirurgie cardio-vasculaire appartenant au ministère de la Santé. L institut conclut que le requérant ne se trouvait pas dans l impossibilité d exécuter sa peine. 8. Le 21 août 2006, le requérant bénéficia d une coronarographie. 9. Du 20 au 22 novembre 2006, le requérant fut hospitalisé dans l institut cardio-vasculaire «C.C. Iliescu» dans le réseau civil, en raison de très fortes douleurs quotidiennes dans la poitrine et des difficultés respiratoires au moindre effort. D après la fiche médicale établie à cette occasion, le défaut d une partie du traitement et le fait pour le requérant d être fumeur pouvaient avoir une incidence négative sur son état de santé. Le diagnostic de sortie de l hôpital fut «angine aggravé ; infarctus myocardique antérieur thrombolysé (2003) ; sténose 60% ; insuffisance cardiaque niveau II NYHA ; hypertension artérielle grade III, risque additionnel très élevé ; dyslipidémie en cours de traitement». Un traitement médical avec des mesures diététiques lui furent prescrits. Il lui fut recommandé de limiter les efforts physiques et d arrêter de fumer. 10. Le requérant arrêta de fumer et fut régulièrement soumis à des tests d effort. 11. Le 16 janvier 2009, à la suite d un examen médical, le diagnostic de hernie discale lombaire avec indication opératoire fut établi. Une intervention chirurgicale fut programmée pour le 23 février 2009, mais elle ne fut pas réalisée. 12. Le 24 mars 2009, le requérant fut à nouveau examiné et une nouvelle date fut fixée au 5 mai 2009 pour l intervention chirurgicale neurologique. En attendant cette opération, un traitement médicamenteux lui fut prescrit. Le requérant devait se soumettre à un examen cardio-vasculaire, en vue de l anesthésie générale nécessaire pour l opération. Il fut également noté que le requérant avait désormais besoin d une béquille pour se déplacer. 13. Le requérant ne fut pas opéré le 5 mai A la suite d un examen réalisé ce dernier jour, le diagnostic suivant fut établi : «hernie discale lombaire L4-L5 avec indication opératoire. Coronaropathie avec indication de revascularisation chirurgicale. L opération est ajournée jusqu à ce que la pathologie cardiovasculaire soit résolue (...)». Il fut noté que le requérant devait être accompagné par une autre personne pour porter des charges et qu il était complètement inapte. 14. Il ressort d un rapport de consultation du 7 mai 2009 que l évolution de l état de santé du requérant, sous traitement médicamenteux, n était pas favorable. 15. Du 19 juillet au 2 août 2010, le requérant fut hospitalisé dans l hôpital de prison de Bucarest pour une évaluation générale de son état de santé. Il fut soumis à plusieurs examens médicaux et le diagnostic suivant fut établi : «angine d effort ; infarctus myocardique ancien thrombolysé
3 EXPOSÉ DES FAITS ET QUESTIONS GHEORGHE c. ROUMANIE 3 (2003) ; lésion uni coronarienne (...) ; hypertension artérielle sévère ; cardiopathie hypertensive ; dyslipidémie mixte ; bronchite chronique ; hernie discale lombaire L4-5 avec indication chirurgicale (2009)». Un traitement médicamenteux lui fut prescrit. 2. Les conclusions des rapports d expertise médico-légale établis par l institut de médicine légale «Mina Minovici» 16. Le requérant adressa plusieurs demandes au tribunal départemental de Bucarest en vue de l interruption de l exécution de sa peine pour des raisons médicales, en faisant valoir qu il voulait faire le nécessaire pour la réalisation des interventions chirurgicales cardiovasculaire et neurologique recommandées en 2005 et Dans le cadre de ces procédures, l institut fut amené à réaliser des expertises médico-légales afin d étudier la compatibilité de l état de santé du requérant avec la détention. 18. Ainsi, dans une expertise médico-légale du 13 juillet 2006, l institut nota que le requérant souffrait «d angine stable d effort, d infarctus myocardique ancien (2003), d hypertension artérielle essentielle à très haut risque» et conclut qu il pouvait être traité dans le réseau sanitaire de l Administration nationale des prisons, avec le respect strict des indications thérapeutiques et un suivi cardiologique régulier. 19. Le 1 er octobre 2008, après avoir examiné le requérant, l institut réitéra ses conclusions formulées lors de l expertise médico-légale du 13 juillet 2006 (paragraphe 18 ci-dessus). 20. Le 19 janvier 2009, l institut conclut que les maladies dont souffrait le requérant pouvaient être traitées dans le régime pénitentiaire. Il nota que l intéressé était inapte du point de vue physique et qu il devait être soumis régulièrement à des examens cardiovasculaires. Dès lors, selon l institut, étant donné l évolution des maladies du requérant, l interruption de l exécution de la peine n était pas justifiée. Le 22 juin 2009, l institut établit un nouveau rapport d expertise avec les mêmes conclusions que celui dressé le 19 janvier Le 19 novembre 2010, l institut examina à nouveau le requérant. Le rapport d expertise médico-légale établi à cette date conclut comme suit : «[Le diagnostic établi est :] 1. Cardiopathie ischémique chronique avec antécédents d infarctus myocardique antérieur thrombolysé en 2003; 1.2 Contexte artério-sclérotique ; sténoses des trois coronaires (...). 2. Hypertension artérielle essentielle, stade II, avec cardiopathie hypertensive. 3. Artériopathie oblitérante artério-sclérotique stade II de Fontaine. 4. Dyslipidémie. 5. Bronchite chronique. 6. Discopathies vertébrales lombaires avec : 6.1 Hernie discale lombaire L4-L5, lombosciatalgie et paresthésies bilatérales ; 6.2 Protrusion discale au niveau L5-S1.
4 4 EXPOSÉ DES FAITS ET QUESTIONS GHEORGHE c. ROUMANIE L affection vertébro-médullaire lombaire (6-6.1) peut être traitée par une intervention chirurgicale réalisable dans une unité médicale spécialisée appartenant au ministère de la Santé. Si l intéressé : - accepte la sanction opératoire recommandée, compte tenu de la comorbidité cardiovasculaire qui amplifie le risque anesthésique et opératoire : on propose trois mois d interruption d exécution de la peine pour la réalisation de l intervention neurochirurgicale ; - n accepte pas l intervention, l assistance médicale palliative pour l affection vertébro-médullaire peut être assurée dans le réseau sanitaire de l Administration nationale des prisons, ainsi que pour les autres maladies mentionnées ; [dans ce cas] on considère que l interruption de l exécution de la peine n est pas nécessaire du point de vue médical, avec les précisions suivantes : - Gheorghe Stan est inapte à l effort et - des réévaluations neurochirurgicales et cardio-vasculaires régulières sont nécessaires.» 3. Les demandes du requérant d interruption de l exécution de sa peine pour des raisons médicales a) Les demandes du requérant formées de 2006 à Se fondant sur les conclusions du rapport d expertise médico-légale du 20 mai 2005, le requérant adressa plusieurs demandes au tribunal départemental de Bucarest tendant à l interruption de l exécution de sa peine, en faisait valoir qu il devait subir une intervention chirurgicale qui ne pouvait pas être réalisée dans le réseau pénitentiaire. Il ajouta qu il acceptait d être opéré rapidement dans le réseau pénitentiaire. Se fondant sur les conclusions des rapports d expertise médico-légales réalisés au cours de ces procédures (paragraphes ci-dessus), par des jugements des 24 août 2006, 11 décembre 2008 et 23 juillet 2009, le tribunal départemental rejeta les demandes du requérant, au motif que ses maladies pouvaient être traitées dans le réseau pénitentiaire. b) La demande du requérant formée en En 2010, le requérant saisit à nouveau le tribunal départemental de Bucarest d une demande d interruption d exécution de sa peine pour des raisons médicales. Se fondant sur les conclusions du rapport d expertise du 19 novembre 2010 (paragraphe 21 ci-dessus), le requérant informa le tribunal qu il acceptait les risques de l intervention chirurgicale. 24. Par un jugement du 7 décembre 2010, le tribunal départemental de Bucarest rejeta la demande du requérant. Il jugea que, malgré le fait que l intéressé acceptait les risques de l intervention chirurgicale, sa remise en liberté présentait un danger pour l ordre public, dans la mesure où il avait été condamné à une peine de quatorze ans de prison pour un meurtre qualifié. Le tribunal jugea qu il y avait le risque qu une fois remis en liberté, l intéressé ne se soumette plus à la réalisation de l intervention chirurgicale mais commette des nouveaux délits avec violence. Il nota que l intervention chirurgicale pourrait être réalisée par l hospitalisation, sous escorte, du requérant dans un hôpital civil.
5 EXPOSÉ DES FAITS ET QUESTIONS GHEORGHE c. ROUMANIE Le recours du requérant contre ce jugement fut rejeté par la cour d appel de Bucarest par un arrêt définitif du19 janvier c) La demande adressée au juge d exécution des peines 26. Le 14 décembre 2010, le requérant saisit le juge d exécution des peines délégué auprès de la prison de Giurgiu («le juge délégué») d une plainte, fondé sur la loi n o 275/2006 sur l exécution des peines, en faisant valoir qu il ne recevait pas le traitement médical adéquat pour ses maladies. 27. Par une décision du 28 mars 2011, le juge délégué rejeta la plainte du requérant, au motif que d après le dossier médical de l intéressé, il recevait le traitement médical prescrit et qu il avait été examiné et 2006 quand une coronographie fut réalisée (paragraphe 8 ci-dessus). 28. Il ne ressort pas du dossier si le requérant a contesté cette décision auprès du tribunal de première instance compétent, comme cela lui était loisible selon les dispositions de la loi n o 275/2006 précitée. 29. D après le dossier, le requérant n a été soumis à ce jour à aucune intervention chirurgicale. B. Le droit interne pertinent 30. Les articles pertinents du code de procédure pénale se lisent ainsi : Article 453 «1. L exécution de la peine d emprisonnement ou de détention à vie peut être suspendue dans les cas suivants : a) lorsqu il est constaté, sur la base d une expertise médicale, que le condamné souffre d une maladie qui le place dans l impossibilité d exécuter la peine. Dans ce cas, l exécution de la peine est suspendue jusqu à ce que le condamné se trouve en situation de pouvoir exécuter la peine ; (...) 2. La demande de suspension de l exécution de la peine d emprisonnement ou de détention à vie peut être formée par le procureur [ou] le condamné (...)» Article 455 «L exécution de la peine d emprisonnement ou de détention à vie peut être interrompue dans les cas et les conditions prévus par l article 453 (...)» GRIEFS 31. Invoquant les articles 2 et 3 de la Convention, le requérant se plaint de ce que, malgré les avis médicaux datant depuis plusieurs années et indiquant la nécessité de pratiquer des interventions chirurgicales, les autorités pénitentiaires n ont pas fait le nécessaire pour assurer leur réalisation. Il note que, si en 2005, les interventions chirurgicales n étaient pas considérées comme urgentes, cela n aurait pas dû donner aux autorités pénitentiaires le droit de ne pas les réaliser dans un délai raisonnable. Se référant aux résultats des différentes expertises médicales réalisées au cours des années, il relève que le fait de ne pas avoir été soumis à ces
6 6 EXPOSÉ DES FAITS ET QUESTIONS GHEORGHE c. ROUMANIE interventions chirurgicales dans un délai raisonnable a contribué à l aggravation de son état de santé, d autant plus que le traitement médicamenteux ne donnait pas de résultats satisfaisants. Il ajoute qu à ce jour il est «complètement inapte» de point de vue physique et qu il se déplace difficilement à l aide d une béquille. Il dénonce enfin le refus des juridictions internes d ordonner l interruption de l exécution de sa peine pour des raisons médicales. QUESTION AUX PARTIES Y a-t-il eu violation de l article 3 de la Convention, en raison de l absence alléguée d un traitement médical adéquat et constant administré au requérant pendant sa détention, et plus particulièrement en raison de l absence de mesures prises par les autorités pénitentiaires pour assurer la réalisation des interventions chirurgicales recommandées par les médecins (cardiologique et neurologique)? Compte tenu du délai qui s est écoulé depuis les premières recommandations médicales de réalisation des interventions chirurgicales (2005 et, respectivement 2009), le traitement médical accordé a l intéressé satisfait-il aux exigences de l article 3 de la Convention? Les parties sont invitées à fournir toutes précisions utiles sur le suivi médical dont bénéficie le requérant pendant sa détention. Le Gouvernement est également invité à produire une copie intégrale du dossier médical du requérant établi pendant sa détention.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailLes violences conjugales
MINISTÈRE le point sur Femmes/égalité Lutte contre les violences envers les femmes Les violences conjugales Les victimes de violences craignent le plus souvent de s exprimer. Paralysées par la peur, une
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailConditions supplémentaires d assurance (CSA) Assurance complémentaire d hospitalisation HOSPITAL CLASSICA
Le Groupe Helsana comprend Helsana Assurances SA, Helsana Assurances complémentaires SA, Helsana Accidents SA, Avanex Assurances SA, Progrès Assurances SA, Sansan Assurances SA et Maxi.ch Assurances SA.
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailTableau des garanties Contrats collectifs
Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS Décret n o 2010-148 du 16 février 2010 portant application de la loi organique n o 2009-1523 du 10 décembre 2009 relative
Plus en détailLa chambre du conseil de la Cour d'appel du Grand-Duché de Luxembourg a rendu le douze février deux mille quatorze l'arrêt qui suit:
Arrêt n 102/14 Ch.c.C. du 12 février 2014. (Not. : 22032/99/CD) La chambre du conseil de la Cour d'appel du Grand-Duché de Luxembourg a rendu le douze février deux mille quatorze l'arrêt qui suit: Vu les
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détaill L immense majorité des condamnations concernent des délits
Prévention de la récidive et individualisation des peines Chiffres-clés Juin 2014 Les condamnations En 2012, environ 900 000 infractions ont donné lieu à environ 600 000 condamnations pénales prononcées
Plus en détailEn devenant majeur-e, vous devenez responsable de vos actes, c est-à-dire que vous en mesurez toutes les conséquences.
3La responsabilité La responsabilité civile La responsabilité pénale La procédure judiciaire applicable La protection judiciaire pour les jeunes majeurs En devenant majeur-e, vous devenez responsable de
Plus en détailPROTECTION «VIE ENTIÈRE» M.A.A.
Société d assurance mutuelle à cotisations fixes Entreprise régie par le code des assurances. Créée en 1931 PROTECTION «VIE ENTIÈRE» M.A.A. CONDITIONS GÉNÉRALES SOMMAIRE Article 1 OBJET DU CONTRAT... 2
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailCour européenne des droits de l homme. Questions & Réponses
Cour européenne des droits de l homme Questions & Réponses Questions & Réponses Qu est-ce que la Cour européenne des droits de l homme? Ces questions et réponses ont été préparées par le Greffe de la Cour.
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailN 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI
N 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 19 août 2015. PROJET DE LOI ratifiant l ordonnance n 2015-380 du
Plus en détailLe Parlement wallon a adopté et Nous, Gouvernement wallon, sanctionnons ce qui suit :
DÉCRET modifiant certaines dispositions du Code wallon de l action sociale et de la santé relatives au transport médico-sanitaire Le Parlement wallon a adopté et Nous, Gouvernement wallon, sanctionnons
Plus en détailFeuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté
Feuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté Conseils pratiques : > Nous voulons que votre client puisse remplir le questionnaire médical sans
Plus en détailDISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détail1. Informations générales 124
L Accès au droit, LE recours et LES requêtes 122 11_4 4 Contrôles extérieurs des conditions de détention Le Comité de prévention de la torture et des traitements inhumains et dégradants (CPT) Le CPT est
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ
ASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ Déclaration d'assurabilité (Assurance collective) Partie 1 - Identification N o de police : N o de sous-groupe : N o du certifi cat : Nom de l'employeur
Plus en détailRÈGLEMENT DE LA COUR
RÈGLEMENT DE LA COUR Adopté par les juges de la Cour le 26 mai 2004 Cinquième session plénière La Haye, 17 28 mai 2004 Documents officiels de la Cour pénale internationale ICC BD/01 01 04 Règlement de
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailBulletin canadien. Guide de magasinage pour la saison des lève-tôt Cinq critères à considérer pour choisir le bon courtier et le bon produit
Bureau d'assurance voyage inc. présente : l été 2012 Bulletin canadien...renseignements concernant l assurance voyage médicale pour snowbirds Guide de magasinage pour la saison des lève-tôt Cinq critères
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE :
GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE : Vous trouverez dans ce guide pratique les points essentiels de la réforme de l assurance-maladie : forfait de 1 euro, médecin traitant, aide à l acquisition d une
Plus en détailR E C R U T E M E N T S D E M A G I S T R A T S C O N C O U R S C O M P L E M E N T A I R E S 2 0 1 4
LES TEXTES Ordonnance n 58-1270 du 22 décembre 1958 modifiée portant loi organique relative au statut de la magistrature. Décret n 2001-1099 du 22 novembre 2001 relatif aux modalités du recrutement de
Plus en détailREPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007
REPUBLIQUE FRANCAISE 1 COUR NATIONALE DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 Président : M. DURAND-VIEL Rapporteur : Mme WOLF Commissaire du gouvernement : Mme PICARD
Plus en détailCONSEIL D'ETAT statuant au contentieux N 374699 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE SANTÉ A DOMICILE et autre
CONSEIL D'ETAT statuant au contentieux N 374699 UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE SANTÉ A DOMICILE et autre RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS Ordonnance du 14 février 2014 LE JUGE DES RÉFÉRÉS
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires
Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailÉtudes. Coût de la chirurgie d une hernie discale
Études Coût de la chirurgie d une hernie discale 1 Table des matières 03 Objectif 04 Introduction 05 Données et méthodologie 06 Caractéristiques des hospitalisations 09 Profil de la population hospitalisée
Plus en détailGuide du médecin traitant. L invalidité. dans le Régime de rentes du Québec. Édition 2015
Guide du médecin traitant L invalidité dans le Régime de rentes du Québec Édition 2015 Remerciements Ce guide a été réalisé par la Direction des communications de la Régie des rentes du Québec avec la
Plus en détailACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLoi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux
PRINCIPAUTÉ DE MONACO Loi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux RAINIER III PAR LA GRACE DE DIEU PRINCE SOUVERAIN
Plus en détailProcédures. L extrait de casier judiciaire
Vos droits Institutions Acteurs Procédures L extrait de casier judiciaire F i c h e P r a t i q u e Qu est-ce que le casier judiciaire? Le casier judiciaire conserve les condamnations prononcées par les
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLes victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale
Les victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale (Le contenu de cette présentation n engage pas le Ministère public) 1 Objectifs et plan I. Tour d horizon des différentes
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailProtection solde de la carte de crédit BMO Assurance vie, maladie et perte d emploi des titulaires de carte (assurance collective)
Protection solde de la carte de crédit BMO Assurance vie, maladie et perte d emploi des titulaires de carte (assurance collective) Guide de distribution Contrat d assurance collective n o MM994 Coordonnées
Plus en détaildans la poursuite pénale dirigée contre en présence du Ministère Public l arrêt qui suit :
N 8 / 2012 pénal. du 2.2.2012. Not. 4066/08/CD Numéro 3029 du registre. La Cour de cassation du Grand-Duché de Luxembourg, formée conformément à la loi du 7 mars 1980 sur l'organisation judiciaire, a rendu
Plus en détailLoi sur la sécurité privée
DEUXIÈME SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 88 (2006, chapitre 23) Loi sur la sécurité privée Présenté le 16 décembre 2004 Principe adopté le 31 mai 2006 Adopté le 14 juin 2006 Sanctionné
Plus en détailCOUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L HOMME EUROPEAN COURT OF HUMAN RIGHTS
CONSEIL DE L EUROPE COUNCIL OF EUROPE COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L HOMME EUROPEAN COURT OF HUMAN RIGHTS CINQUIÈME SECTION AFFAIRE RANGELOV c. BULGARIE (Requête n o 14387/03) ARRÊT STRASBOURG 23 avril
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT. Et si la prison n était pas toujours la solution?
ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France.
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailNotions de responsabilité. Commission Technique Régionale Est
Notions de responsabilité 1 Notions de responsabilité Responsabilité: l auteur d une faute a l obligation d assumer les conséquences de ses actes Quand une personne cause un dommage à autrui : obligation
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailCe document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67).
Cher Client, Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Rattaché au pôle d anesthésie réanimations chirurgicales
Plus en détailL obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières
L obligation de déposer un rapport Guide à l intention des employeurs, exploitants et infirmières Table des matières Introduction.... 3 Pourquoi faut-il déposer un rapport?... 3 Que fait l Ordre lorsqu
Plus en détailconforme à l original
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE Union - Discipline - Travail Copie certifiée -------------- conforme à l original DECISION N 020/2012/ANRMP/CRS DU 30 AOÛT 2012 SUR LE RECOURS DE LA SOCIETE MEDICAL PROGRESS
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-187
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-187 RESUME ANONYMISE DE LA DECISION Décision de recommandations - article 25 de la loi organique Domaine(s) de compétence de l Institution : Défense des droits
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailTribunal de Ière Instance de Bruxelles
Tribunal de Ière Instance de Bruxelles Jugement du 17 novembre 2004 - Rôle n 2001/15288/A Exercice d'imposition 1992 Arrêt Avocats: Maître Benoît Philippart de Foy - pour la requérante I. Objet et recevabilité
Plus en détailLES MALADIES CARDIOVASCULAIRES
. LES MALADIES CHRONIQUES DANS LANAUDIÈRE LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES Source : Istockphoto Marie Eve Simoneau collaboration Christine Garand et Josée Payette Service de surveillance, recherche et évaluation
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailPRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE
21/06/2007 PRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE I PRINCIPES GENERAUX L article L 4113-6 du CSP pose le principe d une interdiction pour
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailREPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS
Cour Administrative d Appel de Versailles N 07VE03227 Inédit au recueil Lebon 4ème Chambre M. BROTONS, président Mme Corinne SIGNERIN-ICRE, rapporteur Mme JARREAU, rapporteur public POULY, avocat(s) lecture
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailCEDH FRANGY c. FRANCE DU 1 ER FEVRIER 2005
CEDH FRANGY c. FRANCE DU 1 ER FEVRIER 2005 L article 11 du Code de procédure civile énonce que la procédure au cours de l'enquête et de l'instruction est secrète. La divulgation des informations contenues
Plus en détailAssurance responsabilité civile pour les médecins et les hôpitaux. Responsabilité médicale: l essentiel/
Assurance responsabilité civile pour les médecins et les hôpitaux Responsabilité médicale: l essentiel/ Sommaire Rapport médecin-patient 4 Devoir de diligence 6 Devoir d information 12 Dossier médical
Plus en détailREPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS. LA COUR DE CASSATION, DEUXIÈME CHAMBRE CIVILE, a rendu l arrêt suivant :
Cour de cassation chambre civile 2 Audience publique du 9 février 2012 N de pourvoi: 11-10091 Non publié au bulletin Rejet M. Loriferne (président), président Me Ricard, SCP Gadiou et Chevallier, avocat(s)
Plus en détailACCÈS CÈS À L ACTIVITÉ D ENTREPRENEUR DE TRAVAIL INTÉRIMAIRE
ACCÈS CÈS À L ACTIVITÉ D ENTREPRENEUR DE TRAVAIL INTÉRIMAIRE RE Généralités L exploitation d une entreprise de travail intérimaire consiste à embaucher et à rémunérer des travailleurs salariés en vue de
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailLes dispositions à prendre en cours de fonction
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction de Curateur dans le cadre d une curatelle dite renforcée (article 472 du code civil) Ces dispositions ne concernent
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailLe Centre de Réadaptation Cardiaque du Centre Hospitalier de CORBIE
Le Centre de Réadaptation Cardiaque du Centre Hospitalier de CORBIE Centre de Réadaptation Cardiaque 33, Rue Gambetta CS 60809-80800 CORBIE Téléphone : 03.22.96.41.21 Télécopie : 03.22.96.41.26 Site internet
Plus en détail