La croissance endogène : Introduction
|
|
- Gabin Dumas
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La croissance endogène : Introduction AES L3 AGE, AGT, CAI
2 Objectifs de ce document 1. Donner une définition de la croissance endogène. 2. Comprendre le rôle central de la P mk. 3. Présenter le modèle de base de croissance endogène : le modèle AK. 4. Comprendre que la politique économique influence la croissance en influençant la P mk : Exemple avec l introduction de l efficacité du système financier. 5. justifier la formulation AK par l introduction d une externalité : Frankel (1962). 6. Comprendre que si le modèle AK explique la croissance par tête, il ne permet plus d avoir de convergence.
3 1- Qu est ce que la croissance endogène? La croissance endogène regroupe les modèles de croissance pour lesquels le taux de croissance de long terme est déterminée par les variables du modèle, et non pas de manière exogène (comme le PT chez Solow). Hulten (2000) dit de la théorie de la croissance endogène que "ce qui est nouveau [dans la théorie] est l hypothèse que la productivité marginale du capital constante, au lieu de diminuer comme dans les théories classiques."
4 2- Tout est dans la Pmk... Chez Solow, la P mk t est décroissante. C est la raison pour laquelle la croissance par tête finissait par atteindre 0. Chez Solow la P mk tend vers l infini lorsque le capital tend vers 0. C est la raison pour laquelle les économies convergeaient vers un état stationnaire (en réalité il suffit que : lim k t 0 P mk t > n + δ
5 Tout est dans la Pmk... suite Il suffit donc de trouver un moyen pour empêcher la P mk de décroître en dessous de n + δ pour obtenir de la croissance sans l aide du progrès technique exogène.
6 3- Le modèle "AK" de Romer 1987 et Rebelo 1991 Romer et Rebelo remettent au goût du jour le modèle de Domar. Ils posent la fonction de production : Y t = AK t La similitude avec le modèle de Domar est évidente puisque A = 1/v. On garde les hypothèses suivantes : sy t = I t DK t = I t δk t n = DL t L t Avec cette fonction de production la P mk reste constante : P mk t = A
7 Que représente A? Habituellement A représente le niveau de technologie dans le modèle de Solow. Ici A est conçue comme la rentabilité brute du capital. Donc cette variable peut être influencée par la politique économique, la politique fiscale, l environnement économique... c est un peu fourre tout!
8 Représentation graphique L équation dynamique du capital par tête est : Dk t = sy t (n + δ)k t = sak t (n + δ)k t Soit un taux de croissance du capital : Dk t k t = sa (n + δ)
9 Conséquence d une P mk constante Si la constance de la P mk permet d avoir de la croissance perpétuelle expliquée autrement que part l introduction du progrès technique, en revanche on perd la possibilité de de convergence des pays entre eux!
10 La croissance dépend complètement des variables du modèle Si l on observe l expression du taux de croissance, on observe que le taux de croissance d état régulier d un pays i dépend seulement les paramètres du modèle (c est ce qui justifie le terme de croissance endogène). γ ki = γ yi = s i A i (n i + δ) Alors que chez Solow, quelque soient les paramètres du modèle, la croissance d état stationnaire était nulle.
11 Représentation graphique du modèle "AK" On constate que dès lors que sa > n + δ il n existe plus d état stationnaire.
12 Comparaison du modèle "AK" avec le modèle de Solow avec progrès technique. Pour comprendre d apport du modèle "AK" par rapport au modèle de Solow, il est utile de comparer les deux modèles. Nous allons voir qu une hausse du taux d épargne n a pas le même effet dans les deux modèles. Dans le modèle "AK" une hausse du taux d épargne entraîne une hausse de la croissance à long terme. dans le modèle de Solow, une hausse du taux d épargne entraîne une croissance temporaire. Il y a juste un effet de niveau sur y.
13 Effet sur la production d un hausse du taux d épargne
14 Effet sur la croissance d une hausse du taux d épargne
15 4- Système financier et croissance : une conséquence du modèle AK Puisque l augmentation du taux d épargne a un effet sur la croissance, nous pouvons établir un résultat surprenant à savoir qu une baisse de la P mk a moins de conséquence en perte de croissance dans un pays qui a un système financier moins développé que dans un pays ayant un système financier développé.
16 Qu est ce qu un système financier efficace? un Système financier peut facilité ou non la rencontre de l épargne et de l investissement. I t = φs t avec 0 < φ < 1 Plus φ est faible, moins l épargne se transforme en investissement. Le système financier est inefficace. Un système financier très efficace, permet également à l agent de gérer sa chronique de consommation de façon intertemporelle. C est le modèle avec épargne endogène.
17 Modèle avec efficacité du système financier On a : Y = AK t I t = φs t S t = sy t DK t = I t δk t L équation dynamique du capital par tête est : Dk t = φsak t (n + δ)k t Soit un taux de croissance : γ = φsa (n + δ)
18 Conséquence de la baisse de la rentabilité du capital L impact d une baisse de la P mk est donné par : γ A = φs On voit clairement qu une mauvaise politique économique qui entraîne une baisse de la rentabilité du capital a d autant moins d effet sur la croissance que le le système financier est peu développé.
19 Le modèle AK avec épargne endogène On suppose toujours la même fonction de production mais le problème est maintenant : max Sous la contrainte : + e ρt c t t=0 c 1 σ t 1 1 σ L tdt Dk t = Ak t c t (n + δ)k t On avait vu que la décision de consommation des agents était : Dc t c t = 1 σ (r t ρ)
20 Le taux de croissance On sait que r t = P mk t δ = A δ donc le taux de croissance de l économie est : γ = 1 (A δ ρ) σ L effet sur la croissance d une baisse de la P mk est mesuré par : γ A = 1 σ Empiriquement σ est de l ordre de 1-2.
21 Comparaison des modèles (épargne exogène vs épargne endogène) La baisse de la P mk entraîne une perte de croissance de : φs dans le modèle avec épargne exogène 1/σ dans le modèle avec épargne endogène Si on fixe σ = 2, φ = 0, 8 et s = 0, 2 une baisse de 1% de la P mk entraine : Une baisse de 0, 8 0, 2 = 0, 16 points de croissance dans le modèle avec épargne exogène une baisse de 1/2 = 0, 5 points de croissance dans le modèle avec épargne endogène.
22 Comment expliquer ce résultat? Dans le modèle avec épargne endogène, le taux d épargne dépend de la rentabilité du capital (s = s(a)). Un baisse de la P mk (baisse de A) va entrainer un effet direct de baisse du taux de croissance mais également un effet indirect de baisse du taux d épargne et donc du taux de croissance. Démonstration : Le taux de croissance est une fonction de A et de s(a) donc : γ[a, s[a]] A = γ[a, s[a]] } A {{} Effet direct s(a) A γ[a, s[a]] s(a) } {{ } Effet indirect
23 Conséquences de ce résultat L implication d une mauvaise politique économique (baisse de la rentabilité du capital) a un impact plus fort sur la croissance dans un pays qui a un système financier développé que dans un pays ou le système financier est moins développé. Ainsi les agents avec un moins bon système financier peuvent perpétuer les mauvaises décisions de politique économique puisque celle ci on moins d impact sur la croissance. L État joue donc un rôle primordial dans les modèles de croissance endogène.
24 5- Comment expliquer le rendement constant du capital? En posant la fonction de production Y t = AK t afin d obtenir une P mk constante, on rejette donc le fait qu une entreprise ait des rendements décroissants dans l augmentation de son propre capital. L idée de Frankel (1962) consiste à introduire une externalité dans la fonction de production. Cette externalité dépend du stock total de capital dans l économie. Il est plus facile pour une entreprise de produire lorsque les autres entreprises produisent également!
25 Intuition du modèle de Frankel On suppose l existence de N entreprises identiques dont la fonction de production par tête est du type : y i = AK η ki α avec N K = k i i=1 K η est une externalité positive dont bénéficie chaque entreprise. On constate qui si l entreprise i augmente son capital k i cela se fera à rendements décroissants 0 < α < 1 mais elle contribue (un peu) à l augmentation du stock total de capital.
26 Comme on a fait l hypothèse de N entreprises identiques on en déduit que : k i = K/N. La production totale dans l économie est : N Y = Soit : y i i=1 Y = Ny i = NAK η ( K N ) α En arrangeant : Y = K η AK α N 1 α Le terme K η représente l externalité Le terme AK α N 1 α est la fonction de production néoclassique
27 La productivité marginale du capital "privé" A cause de la présence d une externalité, il existe Une P mk privée (celle que voit l entreprise si elle augmente son capital) qui est calculé à partir de la fonction de production de l entreprise : y i = AK η k α i P mk Privé = y i = αak η ki α 1 k i Clairement on voit que cette P mk est décroissante.
28 La productivité marginale sociale du capital La P mk sociale est calculée à partir de la fonction de production macroéconomique. Mais avant de la calculer nous allons poser : Ā = AN 1 α Ainsi la fonction de production macroéconomique Y = AK α+η N 1 α va s écrire : La P mk sociale est donc : Y t = ĀKα+η P mk Sociale = (α + η)ākα+η 1 t Clairement la P mk est constante dès lors qu elle ne dépend plus du capital soit lorsque α + η = 1.
29 Remarques Si α + η < 1 la P mk Sociale est décroissante, cela ne permet pas d obtenir de la croissance endogène. Si α + η > 1 la P mk Sociale est croissante, cela veut dire que la P mk Sociale augmente et donc que l on n obtiendrait pas de croissance à taux constant mais à taux croissant (ce qui est contraire aux faits). La ressemblance du modèle de Frankel avec le modèle "AK" n est possible que si α + η = 1. L avantage du modèle de Frankel est donc d unifier le modèle de Solow et le modèle "AK" en introduisant une externalité qui permet de préserver les rendements décroissants du capital pour chaque entreprise.
30 Pourquoi la P mk Sociale diffère de la P mk Privée? Lorsqu un entrepreneur étudie la conséquence d une augmentation de son capital sur sa production, il ne prend pas en considération que l augmentation de son capital augmente l externalité. Comme il s agit d une externalité positive chaque entreprise privé devrait accumuler plus de capital physique. Un dictateur bienveillant investirait plus générant plus d externalité positive. C est la raison pour laquelle : P mk Sociale > P mk Privée
31 6- Le débat entre partisans du modèle "AK" et du modèle néoclassique Sur l explication de la croissance Un premier argument en faveur de l approche "AK" est qu elle peut expliquer les taux de croissance du PIB par habitant, toujours positifs, que nous observons dans la plupart des pays du monde. Ce taux de croissance dépend de la P mk qui peut différer d un pays à l autre à cause des politiques économiques, des infrastructures etc... Le modèle néoclassique ne peut pas expliquer la croissance par tête sans progrès technique. Or s il y a du progrès technique (qui tombe du ciel), il n y a pas de raisons pour ce taux x diffère d un pays à l autre.
32 Sur la convergence Les partisans du modèle néoclassique pensent qu il est important de pouvoir expliquer la convergence des pays, états ou régions soit vers leur état régulier voit entre eux (elles). Les partisans du modèle "AK" répondent que les études empiriques sur la convergence sont très mitigées et que par ailleurs le but est plus d expliquer les écarts de croissance entre les pays plutôt que de savoir s ils vont ou ne vont pas converger vers le même niveau de vie.
33 Les partisans du modèle "AK" vont utiliser trois arguments importants : Les données empiriques montrent que A K η et donc qu il existe bien des externalités qui justifient un tel modèle. Si les partisans du modèle néoclassiques mettent avant la convergence, ils le font en utilisant un modèle qui donne une vitesse de convergence trop élevée β = (1 α)(n + x + δ). Pour réduire cette vitesse de convergence, il faut augmenter α. Pourquoi ne pas admettre que α = 1? Si c est la formulation "AK" qui dérange, il existe d autres moyens d obtenir un modèle équivalent i) en introduisant l accumulation du capital humain, ii) un secteur de la R&D et le iii) le capital public.
34 Les modèles que l on va développer dans le cours Nous allons aborder 3 types de modèles : Le modèle de Lucas (1988) avec un secteur d accumulation du capital humain. Le capital humain permet de mieux utiliser le capital physique. Une version simplifié du modèle de Romer 1990(le modèle de Jones) avec un secteur d accumulation des idées (R&D). Un nouvelle idée rend plus productif le capital. Le modèle de Barro 1990, qui introduit les dépenses publiques productives. Ainsi la P mk ne baisse pas parce que l état fait des dépenses d infrastructures qui augmente la rentabilité du capital.
2 LE MODELE NÉOCLASSIQUE
2 Le modèle de Solow 22 Rôle de l épargne 23 Tests du modèle néoclassique 2 LE MODELE NÉOCLASSIQUE Ce chapitre présente un rappel synthétique du modèle de Solow (956 Ce modèle, avec celui de Ramsey, constitue
Plus en détailL Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0
L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux
Plus en détailPropriétés des options sur actions
Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailConseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël
Nations Unies Conseil économique et social ECE/CES/GE.2/214/3 Distr. générale 12 février 214 Français Original: russe Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Groupe d
Plus en détailComment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel???
Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? GENERALI : Un acteur engagé et responsable FFSA 26/01/2010 " Le secteur de l assurance est concerné par tous les sujets
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailPremier modèle - Version simple
Chapitre 1 Premier modèle - Version simple Les individus vivent chacun six générations successives d adultes, chacune d une durée de dix ans, sans distinction faite entre les individus d une même génération.
Plus en détailLes avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge
Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Par : Geert Langenus (Département Études, Banque nationale de Belgique, geert.langenus@nbb.be) 4 e réunion annuelle des responsables
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailOPTIMISATION À UNE VARIABLE
OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailInterpréter correctement l évolution de la part salariale.
Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Gilles Saint-Paul Université de Toulouse I et Ministère de l Ecologie En, la part des salaires dans la valeur ajoutée (ou dans le PIB) est un
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailTRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION
TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailChapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :
Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailChapitre 1: Introduction à la théorie de l équilibre à prix fixes
Chapitre 1: Introduction à la théorie de l équilibre à prix fixes L3 Eco-Gestion/ Faculté de Droit, Sciences Economiques et de Gestion Plan 1 Rappels sur l utilité espérée La représentation des événements
Plus en détailRésumé du cours en graphiques En vue des prochains cours En vue de l examen final. Macroéconomie 1. Conclusion générale. Olivier Loisel.
Macroéconomie 1 Conclusion générale Olivier Loisel ensae Automne 2014 Olivier Loisel, Ensae Macroéconomie 1 : conclusion générale Automne 2014 1 / 14 Plan de la conclusion générale 1 Résumé du cours en
Plus en détailFiche d animation n 1 : Pêle-mêle
Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également
Plus en détailLes Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24
Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailLa problématique des tests. Cours V. 7 mars 2008. Comment quantifier la performance d un test? Hypothèses simples et composites
La problématique des tests Cours V 7 mars 8 Test d hypothèses [Section 6.1] Soit un modèle statistique P θ ; θ Θ} et des hypothèses H : θ Θ H 1 : θ Θ 1 = Θ \ Θ Un test (pur) est une statistique à valeur
Plus en détailRéponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes. Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.
Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.ca Le Directeur parlementaire du budget a pour mandat de présenter
Plus en détailModèles de croissance économique Alexandre Nshue M. Mokime
Modèles de croissance économique Alexandre Nshue M. Mokime (Version préliminaire) Kinshasa, Juillet 2012 Contenu du cours Chapitre 1. Croissance et développement 1. Qu est-ce que la croissance et pourquoi
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailEcole Polytechnique Macroéconomie avancée-eco 553 Chapitre 2 : Epargne, accumulation du capital et croissance
Ecole Polytechnique Macroéconomie avancée-eco 553 Chapitre 2 : Epargne, accumulation du capital et croissance Pierre Cahuc Septembre 28 Table des matières 1 Le modèle de croissance néoclassique 2 1.1 Le
Plus en détailLe rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels
Le rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels Dans la théorie de l intermédiation financière, un système bancaire fonctionne correctement s il favorise
Plus en détailImmobilisations incorporelles et croissance de la productivité au Canada
N o 15-206-X au catalogue N o 029 ISSN 1710-5277 ISBN 978-1-100-99090-3 Document de recherche La Revue canadienne de productivité Immobilisations incorporelles et croissance de la productivité au Canada
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détail(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine)
Analyse de la charge transmise aux roulements de la roue dentée, notamment en rajoutant les efforts axiaux dus aux ressorts de l embrayage (via la cloche) (Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto,
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailDossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application
DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application MARS 2015 DROITS RECHARGEABLES Mars 2015 SOMMAIRE Une application problématique dans
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives.
L G L G Prof. Éric J.M.DELHEZ ANALYSE MATHÉMATIQUE ÉALUATION FORMATIE Novembre 211 Ce test vous est proposé pour vous permettre de faire le point sur votre compréhension du cours d Analyse Mathématique.
Plus en détailLes imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences
Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Entretiens Enseignants Entreprises Jean-Paul POLLIN 30 août 2012 Laboratoire d Economie d Orléans (LEO) 1 Plan
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailCours de méthodes de scoring
UNIVERSITE DE CARTHAGE ECOLE SUPERIEURE DE STATISTIQUE ET D ANALYSE DE L INFORMATION Cours de méthodes de scoring Préparé par Hassen MATHLOUTHI Année universitaire 2013-2014 Cours de méthodes de scoring-
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailA Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement
A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement (Extraits) Sur le licenciement : Attendu que la lettre de licenciement, qui fixe les limites du litige, doit être suffisamment
Plus en détailBiostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke
www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailCOMMUNAUTE DU PAYS D E V E N D O M E. Orientations budgétaires 2010
COMMUNAUTE DU PAYS D E V E N D O M E Orientations budgétaires 2010 Conseil Communautaire du 1 ER Mars 2010 3 - FINANCES Débat d orientations budgétaires 2010 Notre communauté, créée il y a maintenant plus
Plus en détailPERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES
PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment
Plus en détailStructure de l épargne et croissance Olivier Davanne
Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne Introduction du débat organisé par l IEFP 5 décembre 2007 1 Plan de la présentation 1. Volume de l épargne et croissance en union monétaire. 2. Structure
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailLe modèle de croissance à taux d épargne endogène (Cass-Koopmans-Ramsey)
Macroéconomie 1 (2/6) Le modèle de croissance à taux d épargne endogène (Cass-Koopmans-Ramsey) Olivier Loisel ensae Automne 2014 Olivier Loisel, Ensae Macroéconomie 1 (2/6) : le modèle de Cass-Koopmans-Ramsey
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailmais on suppose maintenant que ses préférences sont représentées par la fonction
Ecole Nationale de la Statistique et de l Administration Economique 2ème année, 1er semestre, 2007/2008 Examen de Macroéconomie Stéphane Gauthier 2 heures, sans document ni calculatrice 1. Questions de
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailFibonacci et les paquerettes
Fibonacci et les paquerettes JOLY Romain & RIVOAL Tanguy Introduction Quand on entend dire que l on peut trouver le nombre d or et la suite de Fibonacci dans les fleurs et les pommes de pin, on est au
Plus en détailCompte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?
92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire
Plus en détailSuites numériques 4. 1 Autres recettes pour calculer les limites
Suites numériques 4 1 Autres recettes pour calculer les limites La propriété suivante permet de calculer certaines limites comme on verra dans les exemples qui suivent. Propriété 1. Si u n l et fx) est
Plus en détailModèles bi-dimensionnels de coques linéairement élastiques: Estimations de l écart entre leurs solutions.
Problèmes mathématiques de la mécanique/mathematical problems in Mechanics Modèles bi-dimensionnels de coques linéairement élastiques: Estimations de l écart entre leurs solutions. Cristinel Mardare Laboratoire
Plus en détailPartie 5 : La consommation et l investissement
Partie 5 : La consommation et l investissement Enseignant A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès France Cours de macroéconomie suite La troisième partie a exposé les théories
Plus en détailANALYSE DES DETERMINANTS DE L EPARGNE DU RWANDA
ANALYSE DES DETERMINANTS DE L EPARGNE DU RWANDA Deuxième Congrès des Economistes Africains Abidjan, Côte d Ivoire Novembre 24-26, 2011 Présentateur: Charles RURANGA Institution: Université Nationale du
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailVOTRE DOSSIER PERSONNEL EN LIGNE MANUEL D UTILISATION. 1. Allez sur le site internet www.fbz-fse-elec.be et choisissez votre langue
VOTRE DOSSIER PERSONNEL EN LIGNE MANUEL D UTILISATION Vous souhaitez consulter ou effectuer des modifications dans vos données (numéro de compte, adresse, ) ou avoir accès à nos formulaires pré-imprimés?
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailDirecteur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP
repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef
Plus en détailCours Marché du travail et politiques d emploi
Cours Marché du travail et politiques d emploi L offre de travail Pierre Cahuc/Sébastien Roux ENSAE-Cours MTPE Pierre Cahuc/Sébastien Roux (ENSAE) L offre de travail 1 / 48 Introduction Introduction Examen
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailASSURANCES DE DOMMAGES SESSION 2007 DOSSIER LAROSE ELEMENTS DE CORRECTION
ASSURANCES DE DOMMAGES SESSION 2007 DOSSIER LAROSE PREMIER TRAVAIL : 25 points Question 1-1 : 5 points ELEMENTS DE CORRECTION Les faits Choc d un VTM contre le hangar en location à M LAROSE Jean le 15/07/2005
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailPremière partie : Mobilisation des connaissances
Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez
Plus en détailVous ne voulez faire confiance à personne, la doctrine d investissement de Marie Quantier vous assure performance et tranquillité
MARIE QUANTIER Inspiration depuis 1907 Vous ne voulez faire confiance à personne, la doctrine d investissement de Marie Quantier vous assure performance et tranquillité Une approche hybride entre «smart
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailFocus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011
Focus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011 La pluralité des lois de finances rectificatives en 2011 nécessite de s attarder sur certains points «sensibles»
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailTransfert du patrimoine de l entreprise avec retrait en espèces :
Solutions d assurance-vie Produits Actifs Occasions Garanties Croissance Capital Protection Revenu Avantage Solutions Options Stabilité PLANIFIER AUJOURD HUI. ASSURER L AVENIR. Transfert du patrimoine
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détail5.3. Bande numérique cartes numération et cartes à points pour apprendre les nombres de 0 à 99
5.3. Bande numérique cartes numération et cartes à points pour apprendre les nombres de 0 à 99 Niveau CP pistes pour le CE1 Modèle proposé : modèles de séance Hypothèse de la difficulté : pour les élèves
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailFiscalité de l épargne et financement des entreprises. Eléments de constat et propositions
Le 11 février 2013 Fiscalité de l épargne et financement des entreprises Eléments de constat et propositions Les lois de finances adoptées au cours de ces deux dernières années ont appréhendé les revenus
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailÉtude sur la compétitivité des administrations cantonales
Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude
Plus en détail