Potentialité des modèles de calcul en matière de désenfumage

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Potentialité des modèles de calcul en matière de désenfumage"

Transcription

1 Journée SSPS Désenfumage & Installations aérauliques Potentialité des modèles de calcul en matière de désenfumage Didier Guignard, ECA Vaud

2 Des fumées et des hommes Désenfumage: gérer des fumées, dimensionner des systèmes Qu est-ce qu un modèle? Contraintes et paramètres de départ Pertinence et limitations des modèles de calcul Valeur ajoutée de l ingénierie feu Reconnaître des méthodes ou des ingénieurs spécialisés? Conclusions et perspectives Sources: feuerwehr.ch, lavoixdunord.fr, lemainelibre.fr2

3 Pourquoi gérer des fumées? Parce que 90% des décès en cas d incendie sont dus aux fumées Parce qu on peut prévoir comme la fumée va se comporter Parce que tout local incendié devra tôt ou tard être désenfumé Pour la sécurité des personnes présentes Pour limiter l augmentation des températures Pour améliorer la visibilité Parce que c est imposé par le cadre légal Source: Fiches SPI, lefigaro.fr 3

4 Dimensionner les installations de désenfumage? Eléments-clé: Naturel / Mécanique Surfaces, débits Emplacements, répartition Mise en fonction, asservissement Méthodes de dimensionnement Valeurs prescriptives Approches performantielles (ingénierie) Guide de création Source: des présentations socialisteachasseneuil.blogspot.com ECA ECA

5 Dimensionner le désenfumage? Une synthèse CH, F, D Cas simple AEAI Etats de la Technique, documents de référence Concept spécial (avec calcul d ingénieur) Naturel % de surface au sol. Principes généraux (?) à respecter. % de surface au sol, selon affectation, hauteur local et hauteur libre de fumées. Principes détaillés à respecter. Exemples: DIN (D) Notices du GVZ APSAD R17 (F) VdS CEA 4020 (D) IT246 (F) Selon calcul, basé sur scénarios feu, solution technique et objectifs de protection. Exemples: Recommandation ECA Document SICC (?) VDI 6019 (D) Mécanique Débits: non précisés. Principes généraux (?) à respecter. Débit d extraction, selon affectation, surface + hauteur local et hauteur libre de fumées. Principes détaillés à respecter. Exemples: DIN (D) Notices du GVZ IT246 (F) Selon calcul, basé sur scénarios feu, solution technique et objectifs de protection. Exemples: Recommandation ECA Document SICC (?) VDI 6019 (D) Installations de ventilation par surpression: EN

6 Désenfumage et concepts de protection incendie 80% Bâtiments "simples": Solutions standards 5% 15% Bâtiments avec concept de sécurité - Solution standard pour le désenfumage Bâtiments avec concept de sécurité - Désenfumage avec simulation feu Projet Concept Preuve Evaluation Décision Architecte Autorité Calculs d ingénierie Conseiller incendie Installateur technique Maître d ouvrage Spécialiste CVSE Sources: Honeywell, Wikipedia, SICC 6

7 Pourquoi utiliser des modèles de simulations? Représenter une réalité, sans être la réalité, selon l adage: «La carte n est pas le territoire» Mieux comprendre et pouvoir prédire. Le comportement du modèle correspond - dans une certaine mesure et une certaine plage de validité - au comportement de la réalité. Aérodynamisme Prévisions météorologiques Optimisation énergétique 7

8 Applications-types des méthodes d ingénierie incendie Reconstitution de sinistres Dimensionnement de systèmes (désenfumage, éléments porteurs) Concept «alternatif» avec sécurité équivalente Architectures «hors-normes» Outil R&D Calcul des temps d évacuation 8

9 Modèles de simulation feu Modèles à zones (dérivés d équations empiriques) Modèles à champs (CFD) Modèles pour le calcul de structures Modèles pour l évacuation Source: International Fire Consultants Ltd. 9

10 Modèles de simulation feu Modèles à zones (dérivés d équations empiriques) Modèles à champs (CFD) Modèles pour le calcul de structures Modèles pour l évacuation Source: International Fire Consultants Ltd. 10

11 Processus de combustion PANACHE DE FUMÉES Augmentation des débits massiques/volumiques par dilution continue avec l air Mélange air-fumées Particules incombustibles et partiellement imbrûlées Dilution des particules Ascension des gaz (effet thermique) Aspiration d air par dépression Rayonnement Evaporation / pyrolyse Source: Sicherheitsinstitut 11

12 Exemple de corrélations empiriques Débit massique d un panache de fumées: (selon DIN ) Thomas & Hinkley m = d 3/2. U Zukoski m = Q 1/3. (d-z o ) 5/3 m: débit de fumées (kg/s) d: hauteur libre de fumées (m) U: périmètre du foyer (m) Q: puissance convectée (kw) z o : origine virtuelle (m) Lien entre concentration de suies (fumées) et visibilité: E S = K ~ 7.6. c = c S: visibilité (m) E: valeur caractéristique pour des panneaux lumineux (-) K: coefficient d absorption (d extinction) des fumées (m -1 ) c: concentration de fumées (mg/m³) 12

13 Dimensionnement: exemple de calcul selon norme DIN / Champ d application 2. Paramètres de départ Hauteur du local Hauteur libre de fumées (objectif de protection) Groupe de dimensionnement (scénario feu) 3. Résultats Surfaces/débits nécessaires (air frais / extraction fumées) Exigences pour répartition et positionnnement Exigences de fonctionnement 13

14 Modèles à zones Source: MRFC CFast, MRFC, Ozone, ASET, Branzfire, Figaro 14

15 Que se passe-t-il dans le modèle??! IN BOÎTE OUT Géométries Ouvrants, portes, exutoires, ventilateurs Asservissements Conditions initiales Scénarios de feu Couches de fumées: équations thermodynamiques Processus de combustion Formation de fumées (plume) Ouvertures, flux forcés (mécaniques) Transfert de chaleur (radiation, convection, conduction) Méthodes de résolution Hauteur libre de fumées Températures couche / couche libre de fumées Pression Hauteur de flamme Concentrations des gaz (O 2, CO, CO 2, H 2 O, ) 15

16 Modèles à champ (Computational Fluid Dynamics) CFX, FDS, Flovent, Fluent, Jasmine, Smartfire Source: FDS, NIST 16

17 Modèles à champ (CFD) Divise le compartiment considéré en de multiples cellules ( ) Résolution d équations différentielles dans chaque cellule (exemples): Conservation de la masse Conservation de l énergie Conservation de la quantité de mouvement etc... 17

18 Réalité ou fiction? Exemple de la reconstitution du sinistre de Rhode Island (USA) Discothèque - Vue du dessus (2.5 m par rapport au sol) 18

19 Reconstitution du sinistre de Rhode Island (1) 10 secondes 19 secondes 19

20 Reconstitution du sinistre de Rhode Island (2) 23 secondes 53/60 secondes 20

21 Reconstitution du sinistre de Rhode Island (3) 100 secondes 110 secondes 160 secondes 21

22 Reconstitution du sinistre de Rhode Island (4) 176 secondes 289 secondes 22

23 Reconstitution du sinistre de Rhode Island (5) 337/300 secondes Toutefois, aujourd hui en Suisse, l utilisation principale des modèles de feu est le dimensionnement d installations de désenfumage. 23

24 Cadre d application de l ingénierie feu Périmètre du projet Objectifs de protection et critères de performance associés Exigences AEAI Identification des dangers Projet de conception (mesures de sécurité) Discusssion paramètres de départ Directives AEAI 22-03, 5.1 Scénarios d incendie et comportementaux NON Sélection des méthodes d ingénierie Evaluation de la conception vis-à-vis du scénario Critères de performance satisfaits? OUI Mise en œuvre du projet Source: (ISO 23932:2009) Discussion des résultats / Approbation Directives AEAI 22-03, 5.3 Contrôle de réception Directive AEAI 22-03,

25 Cadre d application de l ingénierie feu Périmètre du projet Objectifs de protection et critères de performance associés Exigences AEAI Identification des dangers Projet de conception (mesures de sécurité) Discusssion paramètres de départ Directives AEAI 22-03, 5.1 Scénarios d incendie et comportementaux NON Sélection des méthodes d ingénierie Evaluation de la conception vis-à-vis du scénario Critères de performance satisfaits? OUI Mise en œuvre du projet Source: (ISO 23932:2009) Discussion des résultats / Approbation Directives AEAI 22-03, 5.3 Contrôle de réception Directive AEAI 22-03,

26 Interface Editeurs de prescriptions / Autorités / Planificateurs Edition de prescriptions Mise en œuvre de prescriptions AEAI Autorité compétente (ECA) (directive 22-03) + Document ECA Recommandation de mise en œuvre Annexe 1 Addenda Etats de la technique SICC (BT ) Architectes / ingénieurs

27 Interface Editeurs de prescriptions / Autorités / Planificateurs Edition de prescriptions Mise en œuvre de prescriptions AEAI Autorité compétente (ECA) (directive 22-03) + Document ECA Recommandation de mise en œuvre Annexe 1 Addenda Etats de la technique SICC (BT ) Architectes / ingénieurs

28 "Recommandation ECA Vaud d'application des méthodes d'ingénierie lors de l'utilisation de modèles de simulation" Contenu: Cadre général de la simulation feu Ce que l'autorité doit savoir Ce que le bureau spécialisé doit fournir Objectifs: Intégrer pour l'autorité le domaine concerné, organisation, moyens Préciser ses exigences en la matière Fixer les conditions de rendus permettant d évaluer les résultats et solutions techniques Valider objectifs, scénarios et résultats soumis 28

29 Contenu d un concept de désenfumage Objectifs de protection et scénarios feu (validation!) Mesures appropriées, optimisées Intégration des contraintes (flexibilité!) Preuve par le calcul Dimensionnement et fonctionnement de l installation Document clair (concept désenfumage) établi, remis, validé 29

30 Objectifs du désenfumage Objectifs de protection généraux Mettre en sécurité les occupants, pouvoir porter secours / combattre efficacement un incendie, limiter les atteintes aux bâtiments et biens. Niveau de sécurité: un choix de société Principe de proportionnalité 30

31 Objectifs du désenfumage Puissance de feu Limite de réanimation Evacuation autonome Sauvetage Lutte contre le feu Pré-évacuation Evacuation Temps d évac < 10 minutes Délai de sauvetage minutes Délai d intervention 30 minutes PREVENTION INCENDIE DEFENSE INCENDIE Guide de création Source: des présentations adapté de vfdb ECA TB ECA (2009)

32 Objectifs «standards» de désenfumage Indicateurs de «performance» Visibilité Hauteur sans fumée > 20 / 35 mètres pour les personnes > 10 mètres pour les pompiers > 2.5 mètres Température < 50 C Durée des objectifs minutes pour les personnes (évacuation autonome) minutes pour les pompiers (sauvetage, intervention) 32

33 Illustration d une visibilité à 35 mètres 33

34 Illustration d une visibilité à 20 mètres 34

35 Illustration d une visibilité à 10 mètres 35

36 Scénario de feu: Exemple d un feu de bureau Source: NIST 36

37 Développement d un feu de bureau (1) Source: NIST 37

38 Développement d un feu de bureau (2) Source: NIST 38

39 Scénario d un feu de bureau Source: NIST 39

40 Scénario d un feu de bureau Scénario de feu «bureau» ECA Source: NIST 40

41 Scénarios de feu 10'000 puissance [kw] puissance [kw] 8'000 6'000 4'000 musée petit mall, cuisine restaurant, cafétéria grand mall, bureau, logement musée petit mall, cuisine centre commercial restaurant, cafétéria parking grand mall, bureau, logement centre commercial parking locaux de locaux de stockage 2' '200 1'500 1'800 temps temps [secondes] 41

42 Installations techniques et désenfumage Mise en fonction, asservissements Influence sur scénario de feu Contrôle nécessaire (test intégral) Fiabilité Rapidité Simplicité 42

43 Conception d une installation de désenfumage (exemple) 43

44 Preuves de désenfumage (exemples) 44

45 Qu est-ce qu un concept de désenfumage? Mise en fonction, asservissements Garantie de fonctionnement Preuve par le calcul Concept de désenfumage Objectifs de protection Conception, dimensionnement Cadre légal, contraintes 45

46 Peut-on croire les modèles? Oui! La plupart des modèles sont fiables, dans leurs limites d application. L essentiel réside dans la paramétrisation des modèles, l interprétation des résultats obtenus et la coordination avec tous les acteurs et disciplines concernés. Le modèle L incendie correspondant 46

47 Modèles: Validation et Vérification 1. Validation: «Contrôle qualité» des modèles physiques / chimiques utilisés Comparer avec des feux (tests) réels. Préciser les différences entre modèles et expériences ( limites, conditions d application). 2. Vérification: «Contrôle qualité» des mathématiques Les résultats calculés par le modèle sont-ils mathématiquement exacts? 47

48 Plausibilité des résultats??! Paramètres de départ Résultats Connaissance du modèle Paramétrisation, interprétation Formation des personnes Contrôle de plausibilité P.ex. calcul «à la main» : Bilan massique, formules simplifiées (débit de fumées, modèle 1 zone ) CFD Colourful Fluid Dynamics Coordination Lien modèle PI Approche interdisciplinaire Source: forum-auto.com 48

49 Valeur ajoutée de l ingénierie feu Plus grande liberté architecturale Solutions alternatives Optimisation des solutions techniques Outil neutre d aide à la décision Synergies (optimisation énergétique / aéraulique) Economies de coût possibles 49

50 En conclusion Rôles / responsabilités en matière d ingénierie feu Utilisation des modèles feu s est simplifiée. Objectifs de protection et scénarios feu: valeurs standards liées à l affectation. Les modèles sont fiables et constituent des outils prédictifs incontournables. Source: clio-photo 50

51 Comparaison tests / modèles de calcul Source: CFast, FDS, MRFC, Ozone 51

LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI

LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI JOURNEE DU 21.10.2008 Partie 1 : Actions thermiques 1/ 51 REPARTITION DES SRI EN BELGIQUE. SERVICES X SERVICES Y SERVICES Z SERVICES C Bruxelles. Wavre. Braine-Le-

Plus en détail

OCF / KAF. Nouvelles prescriptions de protection incendie AEAI. Information aux responsables communaux, Grône le 25 novembre 2014.

OCF / KAF. Nouvelles prescriptions de protection incendie AEAI. Information aux responsables communaux, Grône le 25 novembre 2014. OCF / KAF Nouvelles prescriptions de protection incendie AEAI Information aux responsables communaux, Grône le 25 novembre 2014 Orientation 2015 Objectifs OCF / KAF Information quant à l évolution des

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

Prescriptions de prévention incendie INSTRUCTION TECHNIQUE Conception du désenfumage

Prescriptions de prévention incendie INSTRUCTION TECHNIQUE Conception du désenfumage GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Strassen, novembre 2014 Le présent texte a été établi par l Inspection du travail et des mines et le Service Incendie et Ambulance de la Ville de Luxembourg. Prescriptions de

Plus en détail

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Partie 5 : Outils de calcul informatiques Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Objectif du calcul au feu R Résistance de la structure soumise au feu R req Résistance requise pour la tenue au

Plus en détail

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE Maîtrise d ambiance et Qualité de l air SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE PERTURBATION À L ÉTAT STATIQUE OU DYNAMIQUE Alina SANTA CRUZ École d Ingénieurs de Cherbourg LUSAC «Équipe

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Conseils en Ingénierie mécanique

Conseils en Ingénierie mécanique Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création

Plus en détail

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage :

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage : Secteur prévention Etablissement cantonal d'assurance et de prévention Place de la Gare 4, Case postale, 2002 Neuchâtel Tél. 032 889 62 22 www.ecap-ne.ch Fax 032 889 62 33 ecap.prevention@ne.ch QUESTIONNAIRE

Plus en détail

L ' E N V I R O N N E M E N T À T R A V E R S L A S I M U L A T I O N N U M É R I Q U E : D E L ' I N G É N I E R I E D U B Â T I M E N T

L ' E N V I R O N N E M E N T À T R A V E R S L A S I M U L A T I O N N U M É R I Q U E : D E L ' I N G É N I E R I E D U B Â T I M E N T L ' E N V I R O N N E M E N T À T R A V E R S L A S I M U L A T I O N N U M É R I Q U E : U N E N O U V E L L E P R A T I Q U E D E L ' I N G É N I E R I E D U B Â T I M E N T Pour les bâtiments et à l'échelle

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

SOMMAIRE. La simulation numérique chez PSA. Organisation PSA Les applications CFD CFD Process UGM ENSIGHT - LA CFD CHEZ PSA 27/09/2010 2

SOMMAIRE. La simulation numérique chez PSA. Organisation PSA Les applications CFD CFD Process UGM ENSIGHT - LA CFD CHEZ PSA 27/09/2010 2 LA CFD CHEZ PSA Jean-Marc STAIMESSE PSA Peugeot Citroën La simulation numérique chez PSA Organisation PSA Les applications CFD CFD Process SOMMAIRE UGM ENSIGHT - LA CFD CHEZ PSA 27/09/2010 2 LA SIMULATION

Plus en détail

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont

Plus en détail

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente

Plus en détail

protection incendie Ouvrant de façade : Orcades

protection incendie Ouvrant de façade : Orcades protection incendie Ouvrant de façade : Orcades FTE 502 130 D Mai 2011 Orcades ouvrant de façade d amenée d air Avantages Esthétique soignée (grille Cyclades en façade intérieure en option). Bonne isolation

Plus en détail

Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance?

Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance? Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance? En matière d'incendie, les moyens de prévention réelle et de protection

Plus en détail

NOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990

NOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 NOTICE DE SECURITE POUR LES ERP DE 5 E CATEGORIE SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 Documents obligatoires à joindre à cette notice de sécurité pour le

Plus en détail

MODÉLISATION ET ÉTUDES NUMÉRIQUES DES INCENDIES

MODÉLISATION ET ÉTUDES NUMÉRIQUES DES INCENDIES MODÉLISATION ET ÉTUDES NUMÉRIQUES DES INCENDIES en milieu confiné et ventilé : le logiciel ISIS Fabrice BABIK, Céline LAPUERTA, Jean-Claude LATCHÉ, Sylvain SUARD, Didier VOLA Laboratoire d'étude de l'incendie

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement

Plus en détail

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Photo tirée du site www.swissfire.ch

Photo tirée du site www.swissfire.ch Danger incendie Photo tirée du site www.swissfire.ch Introduction Tout bâtiment ou construction est vulnérable au feu, il importe donc que des mesures et des dispositions préventives soient mises en œuvre

Plus en détail

Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles

Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Don t let the market leave without you Our know-how makes your success Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Mardi 27 Mai 2014 - Namur

Plus en détail

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue Bienvenue Directive G1 Directives SIN Le gaz à Nyon Rénovation But de la présentation : La «nouvelle»g1 Les changements principaux, (non exhaustifs) Donner des pistes pour appliquer ces nouvelles prescriptions

Plus en détail

IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité (Ministère de l Intérieur) SOMMAIRE

IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité (Ministère de l Intérieur) SOMMAIRE NOTEC N 544 L E S N O T E S T E C H N I Q U E S DE LA F F I E 1 5 J A N V I E R 2 0 1 3 IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE

Plus en détail

Modifications principales des prescriptions de protection incendie 2015. Débat urbanités. Nous protégeons l essentiel

Modifications principales des prescriptions de protection incendie 2015. Débat urbanités. Nous protégeons l essentiel Modifications principales des prescriptions de protection incendie 2015 Débat urbanités Didier Guignard, 6 octobre 2014 Sommaire Modifications principales des prescriptions AEAI 1. Allègements, simplifications,

Plus en détail

Le monitoring. Chaufferie et réseau de chaleur de St-Vith. André Servais, Stadtwerke St-Vith

Le monitoring. Chaufferie et réseau de chaleur de St-Vith. André Servais, Stadtwerke St-Vith Le monitoring Chaufferie et réseau de chaleur de St-Vith André Servais, Stadtwerke St-Vith SITUATION DE DEPART 5 biens fonciers: o Puissance totale installée: o Consommation annuelle: 4.950 kw / 12 chaudières

Plus en détail

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base

Plus en détail

possibilités et limites des logiciels existants

possibilités et limites des logiciels existants possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.

Plus en détail

Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort

Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort Fiche technique 2011 / 01 Nouvelles dispositions prévues par le règlement de sécurité pour l évacuation des personnes en situation

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant

Plus en détail

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception

Plus en détail

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers

Plus en détail

ITIL Gestion de la capacité

ITIL Gestion de la capacité ITIL Sommaire 1 GENERALITES 3 2 PERIMETRE DE LA GESTION DES CAPACITES 3 3 ACTIVITES ET LIVRABLES DE LA GESTION DES CAPACITES 4 3.1 ACTIVITES ITERATIVES OU GESTION DE PERFORMANCES : 4 3.2 GESTION DE LA

Plus en détail

Voies d évacuation et de sauvetage

Voies d évacuation et de sauvetage Institut de Sécurité Voies d évacuation et de sauvetage Jean-Paul Bassin Institut de Sécurité Institut de Sécurité INSTITUT SUISSE DE PROMOTION DE LA SÉCURITÉ Evacuation_Lignum_2010 1 Histoire 1995 1945

Plus en détail

Note technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe

Note technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale

Plus en détail

Commission pour la technique de construction

Commission pour la technique de construction Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie Commission pour la technique de Récapitulation des concordances admissibles entre la classification

Plus en détail

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant

Plus en détail

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont la

Plus en détail

LORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES

LORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES LORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES 1. Base Les prescriptions de protection

Plus en détail

Ces formations peuvent être réalisées en formation traditionnelle ou en UMLF (Unité Mobile Légère de Formation).

Ces formations peuvent être réalisées en formation traditionnelle ou en UMLF (Unité Mobile Légère de Formation). Romuald BONON au 06 35 44 83 70 Mail : r.bonon@seimafor.fr Incendie (de l extincteur à Equipier de 2 nde intervention) Sauveteur Secouriste du Travail Evacuation Utilisation du Défibrillateur Automatique

Plus en détail

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire

Plus en détail

L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP

L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP Groupement prévention du SDIS 85 PREAMBULE La loi n 2005-102 du 11 février 2005 pour l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté

Plus en détail

DAHER-SOCATA dévoile le TBM 900, son nouveau TBM

DAHER-SOCATA dévoile le TBM 900, son nouveau TBM Aéronautique & Défense DAHER-SOCATA dévoile le TBM 900, son nouveau TBM Après plus de 3 ans de développement, le TBM 900 vole plus vite et plus loin Certifié, l avion est déjà en production, commandé et

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

Apports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian Pontlieue

Apports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian Pontlieue Projet de recherche EPA-F4 éhabilitations des Etablissements pour Personnes Agées et Facteur 4 Apports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian

Plus en détail

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer

Plus en détail

Instruction permanente prévention Doctrine GN8

Instruction permanente prévention Doctrine GN8 PRÉFET DE L'AIN Application des principes fondamentaux de conception et d'exploitation d'un ERP pour tenir compte des difficultés rencontrées lors de l'évacuation Table des matières 1 - Principes...2 2

Plus en détail

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux

Plus en détail

Automobile & Mécanique agricole. Sources CNIDEP, IBGE

Automobile & Mécanique agricole. Sources CNIDEP, IBGE Automobile & Mécanique agricole Sources CNIDEP, IBGE I. Etapes de la fabrication (ou du service) et procédés utilisés L essentiel de l activité d une carrosserie consiste à réparer puis à remettre en peinture

Plus en détail

Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé

Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2

Plus en détail

Les NORMES S ÉCURITÉ. dans les Etablissements. Recevant du Public de Type 5

Les NORMES S ÉCURITÉ. dans les Etablissements. Recevant du Public de Type 5 Les NORMES de S ÉCURITÉ dans les Etablissements Recevant du Public de Type 5 SOMMAIRE 1 Rappel et définitions...page 1 2 Vérifications techniques...page 1 3 Structures...Page 2 4 Isolement...Page 2 5 Accès

Plus en détail

CEP-CICAT 5 Février 2015. Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention

CEP-CICAT 5 Février 2015. Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention CEP-CICAT 5 Février 2015 Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention EVACUER EN TOUTE SECURITE ESPACES D ATTENTE SECURISES SOLUTIONS EQUIVALENTES CAS D EXONERATION ERP CODE DU TRAVAIL IGH Introduction

Plus en détail

NUMECA et son bureau d études NUMFLO, spécialisé dans la simulation numérique des effets du vent 06-11-2013

NUMECA et son bureau d études NUMFLO, spécialisé dans la simulation numérique des effets du vent 06-11-2013 Propositio n NUMECA et son bureau d études NUMFLO, spécialisé dans la simulation numérique des effets du vent Guillaume Terlinden Sales Engineer, NUMECA Virginie Barbieux Head of Consulting Group, NUMFLO

Plus en détail

DATA CENTER. Règles d'ingénierie du Data Center DATA CENTER

DATA CENTER. Règles d'ingénierie du Data Center DATA CENTER Règles d'ingénierie du Data Center SOMMAIRE La problématique La climatisation Les planchers techniques L énergie L urbanisation L industrialisation Conclusion LA PROBLEMATIQUE Rappel sur les Tiers Chaque

Plus en détail

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

Prescriptions de prévention incendie DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES. Etablissements de vente Centres Commerciaux

Prescriptions de prévention incendie DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES. Etablissements de vente Centres Commerciaux GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Strassen, septembre 2012 Le présent texte a été établi par l Inspection du travail et des mines et le Service Incendie et Ambulance de la Ville de Luxembourg. Prescriptions de

Plus en détail

MEMENTO SECURITE INCENDIE

MEMENTO SECURITE INCENDIE ETABLISSEMENT MEMENTO SECURITE INCENDIE La commission de sécurité vous a prescrit la réalisation d un mémento sécurité Ce document est un modèle pour tout type d établissements en dehors des U et J Il

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

SYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE

SYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE *Des solutions polymères à l infini www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Les bâtiments tertiaires possèdent des équipements

Plus en détail

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE 25 septembre 2013 Patrick Biot - agréé CNPP 1 AGREPI? ASSOCIATION DES INGÉNIEURS & CADRES SPÉCIALISTES DE LA MAÎTRISE DES RISQUES INCENDIE

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage

Plus en détail

GDR «FEUX» Corte 6-8 juin 2007

GDR «FEUX» Corte 6-8 juin 2007 GDR «FEUX» Corte 6-8 juin 2007 Compte rendu des journées de rencontre et de la réunion de clôture du 08/06/07 Après Nancy (juin 2005), Poitiers (décembre 2005), Valabre (juin 2006) et Fontenay aux roses

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

Prévention des incendies sur les lieux de travail TJ 20 AIDE-MÉMOIRE JURIDIQUE

Prévention des incendies sur les lieux de travail TJ 20 AIDE-MÉMOIRE JURIDIQUE Prévention des incendies sur les lieux de travail TJ 20 AIDE-MÉMOIRE JURIDIQUE L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS

Plus en détail

Manuel d'utilisation du détecteur de fumée

Manuel d'utilisation du détecteur de fumée Manuel d'utilisation du détecteur de fumée Détecteur de fumée photoélectrique alimenté par pile alcaline 9V. Introduction Merci d'avoir choisi notre produit pour vos besoin en détection de fumée. Vous

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES

DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Strassen, février 2009 Le présent texte a été établi par l Inspection du Travail et des Mines et le Service Incendie et Ambulance de la Ville de Luxembourg. ITM-SST 1506.1 Prescriptions

Plus en détail

CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE

CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE Séminaire mi parcours Stock-e 2010 CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE Iyad Balloul Renault Trucks - iyad.balloul@volvo.com Eric Bideaux INSA Lyon - eric.bideaux@insa-lyon.fr Marc Michard LMFA - Marc.Michard@ec-lyon.fr

Plus en détail

Énergie décentralisée : La micro-cogénération

Énergie décentralisée : La micro-cogénération Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité

Plus en détail

CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION

CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION Concept H 2 : L idée est de produire, de stocker et d assurer 100% des besoins énergétiques d un immeuble résidentiel sans aucun rejet de CO 2 et sans frais énergétiques.

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

NORME DE PROTECTION INCENDIE

NORME DE PROTECTION INCENDIE Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie Associazione degli istituti cantonali di assicurazione antincendio NORME DE PROTECTION INCENDIE

Plus en détail

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 1 Séminaire Bâtiment Durable: Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 21 octobre 2014 Bruxelles Environnement LA REGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB Alain BEULLENS, DPT CHAUFFAGE ET CLIM

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

QUESTIONNAIRE «BLEU»

QUESTIONNAIRE «BLEU» QUESTIONNAIRE «BLEU» 1 CLASSEMENT Les restaurants et débits de boissons sont des établissements de type Les salles d'expositions sont des établissements de type. Les chapiteaux itinérants, installations

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

DES MINES BUREAUX EXISTANTS

DES MINES BUREAUX EXISTANTS GRAND-DUCHÉ DE Luxembourg ADMINISTRATION DE L'ENVIRONNEMENT --------------- Service des établissements classés GRAND-DUCHE DE Luxembourg INSPECTION DU TRAVAIL ET DES MINES Luxembourg, le 20 décembre 1999

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

Travaux en cours. Diaporama réalisé par Thierry MARBEHAN Avec la collaboration de la société SIEMENS CERBERUS

Travaux en cours. Diaporama réalisé par Thierry MARBEHAN Avec la collaboration de la société SIEMENS CERBERUS Travaux en cours Diaporama réalisé par Thierry MARBEHAN Avec la collaboration de la société SIEMENS CERBERUS Triangle du feu Que ce soit un feu controlé ou un incendie, la combustion est une réaction chimique

Plus en détail

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

Catalogue 1.1.1. Diffuseur à jet hélicoïdal DAL 359

Catalogue 1.1.1. Diffuseur à jet hélicoïdal DAL 359 Catalogue 1.1.1 DAL 359 Modèle DAL 359 Description, domaines d'application et bénéfices................ DAL 359 1 Configuration et Fonctionnement................................ DAL 359 2 Données aérodynamiques

Plus en détail

Projet DIFISEK. Partie 4 : Outils de calcul informatiques

Projet DIFISEK. Partie 4 : Outils de calcul informatiques Projet DIFISEK Partie 4 : Outils de calcul informatiques J.J. Martínez de Aragón; F. Rey & J.A. Chica LABEIN Technological Centre, Bilbao, Spain Résumé : L un des principaux objectifs du projet DIFISEK

Plus en détail