Ecart sur coût = Coût réel (constaté) Coût préétabli

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Ecart sur coût = Coût réel (constaté) Coût préétabli"

Transcription

1 Chap. 1 : Le calcul et l analyse des écarts entre coûts prévisionnels et coûts réels 2 e partie : Les écarts sur coûts (le contrôle budgétaire des coûts) Le contrôle budgétaire est un des outils du contrôle de gestion. Il permet de suivre les résultats (réalisations) et de les comparer aux objectifs (prévisions) par le calcul et l analyse d écarts. Principe général de calcul des écarts sur coûts : Ecart sur coût Coût réel (constaté) Coût préétabli Ecart > 0 Ecart... Ecart < 0 Ecart... 1 re étape préalable au calcul des écarts : le calcul des coûts préétablis (coûts standards) Exemple : Une société fabrique et commercialise un produit unique P. Pour obtenir ce produit, une matière est traitée dans un atelier 1, puis le produit est achevé dans un atelier 2. Les standards techniques de production par unité de P sont : Matière première : 5 kg (coût d achat standard unitaire : 4 ) Main d œuvre directe Atelier 1 : 1 h (taux horaire standard : 16 ) Main d œuvre directe Atelier 2 : 0,5 h (taux horaire standard : 18 ) Heures machine Atelier 1 : 0,1 h Heures machine Atelier 2 : 1,25 h La production mensuelle standard normale est de unités de P. Les budgets standards des deux ateliers pour une production normale s élèvent à pour l atelier 1 et pour l atelier 2 Pour le calcul des coûts, les ateliers sont assimilés à des centres d analyse dont l unité d œuvre est l heure machine. 1) Calcul des coûts standards des unités d œuvre (charges indirectes) Les budgets standards sont établis sur la base d une production normale (1 600 unités par mois) : l activité normale est le nombre d unités d œuvres (h. machines) nécessaire pour produire la production normale. Activité normale nb. standard d u.o. par produit Production normale Atelier 1 : A N... Atelier 2 : A N... 1 / 8

2 Charges indirectes Budgets standards des centres d'analyse Nature de l'unité d'œuvre Nombre standard d'unités d'œuvre Coût standard de l'unité d'œuvre Centres d'analyse Atelier 1 Atelier 2 2) Calcul du coût de production préétabli standard unitaire Coût unitaire mais calculé sur la base d une production normale (le coût unitaire dépend du niveau de production du fait des charges fixes indirectes). Eléménts Charges directes Matière première MOD Atelier 1 MOD Atelier 2 Charges indirectes Centre Atelier 1 Centre Atelier 2 Produit P Qté (n p ) C.U. (c p ) Montant Coût de production unitaire préétabli : C p c P n P 2 e étape (toujours avant le calcul des écarts) : le calcul du coût de production réel (constaté) Exemple (suite) : Au cours du mois d octobre N, la société a réalisé les opérations suivantes : Production réelle : unités (Production prévue : unités) Matière première consommée : kg (coût d achat : ) Main d œuvre directe Atelier 1 : h (taux horaire : 16,40 ) Main d œuvre directe Atelier 2 : h (taux horaire : 17,80 ) Heures machine Atelier 1 : 170 h Heures machine Atelier 2 : h Coût du centre Atelier 1 : Coût du centre Atelier 2 : Cf. Tableau p. 5 : Coût réel (de la production réelle) (Cf. partie gauche du tableau) Coût de production unitaire réel : C R... Coût de production réel (de la production réelle) : C R P R... 2 / 8

3 I- L écart total (ou «global») sur coût de production A) Décomposition de l écart total Ecart total sur coût de production Coût réel (de la production réelle) Coût préétabli (de la production préétablie) C R P R C P P P Avec : C R : Coût de production unitaire réel / constaté C R... C P : Coût de production unitaire préétabli i.e. coût standard C P... P R : Production réelle P R... P P : Production préétablie / prévue P P... Ecart total C R P R C P P P Mais cet écart total n est pas très significatif dans la mesure où une partie de l écart s explique évidement par la variation de la production, d où la décomposition de l écart total : Ecart total C R P R C P P P (C R P R C P P R ) + (C P P R C P P P ) L écart total peut donc être décomposé en deux écarts : Ecart global sur coût relatif à la production réelle C R P R C P P R (C R C P ) P R Ecart sur volume de production C p P R C P P P (P R P P ) C P Vérification : Ecart total... 3 / 8

4 L écart sur volume n est pas significatif, il est dû à une simple différence de volume de production. Seul l écart global sur coût relatif à la production réelle est significatif et fait l objet d une analyse détaillée (différence entre le coût réel et le coût que l entreprise aurait dû subir compte tenu de la production réelle). B) Décomposition de l écart global sur coût relatif à la production réelle Ecart global sur coût de production (relatif à la production réelle) Coût réel (de la production réelle) Coût préétabli de la production réelle C R P R C P P R On calcule pour chaque élément du coût de production (matières, MOD et charges indirectes des centres d analyse) un écart global (toujours relatif à la production réelle) tel que la somme de ces écarts par élément soit égale à l écart global sur coût de production. (On parle encore d écart global sur matière, sur MOD car ces écarts seront également décomposés en sous écarts) Pour chaque élément du coût de production : Ecart global sur coût (des matières, de la MOD, d un centre) (relatif à la production réelle) Coût réel (de la quantité réelle) - Coût préétabli de la quantité préétablie ajustée à la production réelle c R Q R - c P Q PAPR Avec : c R : Coût unitaire réel Coût d achat unitaire de la matière : c R... Taux horaire de la MOD atelier 1 : c R... Coût de l unité d œuvre du centre atelier 1 : c R... c P : Coût unitaire préétabli Coût d achat unitaire de la matière : c P... Taux horaire de la MOD atelier 1 : c P... Coût de l unité d œuvre du centre atelier 1 : c P... Q R : Quantité réelle Kg de matière consommée : Q R... Nb d heures de MOD atelier 1 : Q R... Nb d u.o. (activité) du centre atelier 1 : Q R ( A R )... Q PAPR : Quantité préétablie ajustée à la production réelle (Cf. page suivante) 4 / 8

5 Q PAPR : Quantité préétablie ajustée à la production réelle Q PAPR n P P R Avec : n P : Quantité préétablie / standard par unité de produit (P) i.e. norme standard de consommation (Cf. Fiche de coût standard unitaire) P R : Production réelle C est la quantité que l entreprise aurait dû consommer pour obtenir la production réelle. NB : c P Q PAPR c P (n P P R ) ( c P n P ) P R C P P R coût préétabli de la production réelle n P P R Q PAPR Matière : MOD Atelier 1 : MOD Atelier 2 : Centre Atelier 1 (CI) : Centre Atelier 2 (CI) : Ecart global sur coût de production relatif à la production réelle (1 750 unités de P) Eléments Charges directes Matière première MOD Atelier 1 MOD Atelier 2 Charges indirectes Centre Atelier 1 Centre Atelier 2 Coût de production Coût réel (constaté) de la production réelle Coût préétabli de la production réelle Ecart global (R-P) Qté (Q R ) C.U. (c R ) Montant Qté (Q PAPR ) C.U. (c P ) Montant Montant P R C R P R C P L écart global pour chaque élément du coût est décomposé en deux sous-écarts (pour les charges directes et variables) ou en trois sous-écarts (charges indirectes et directes fixes). NB : La décomposition des charges indirectes en sous-écarts et l étude du budget flexible sont exclues du programme du BTS CG. 5 / 8

6 II- Analyse des écarts sur charges directes (matière et MOD) A) Les écarts sur coût des matières 1) L écart global sur coût des matières Ecart global c R Q R c P Q PAPR avec Q PAPR n P P R 2) Analyse (décomposition) de l écart global sur coût des matières (en deux sous-écarts) Deux causes peuvent expliquer cet écart global : - Une différence entre le coût d achat unitaire réel (c R ) et le coût préétabli (c p ) - Une différence entre la quantité réelle consommée (Q R ) et la quantité préétablie (Q PAPR ) La connaissance de c et Q suffit pour mettre en jeu les responsabilités dans l existence des écarts ; mais, en pratique, l écart global est décomposé en deux sous écarts exprimés en valeur (en euros) et tels que leur somme soit égale à l écart global. Principe de décomposition («analyse par les bornes») : Ecart global c R Q R c P Q PAPR (c R Q R c P Q R ) + (c P Q R c P Q PAPR ) L écart global peut donc être décomposé en deux sous écarts : Ecart sur coût (ou prix) de la matière Coût réel (de la quantité réelle) Coût préétabli de la quantité réelle c R Q R c P Q R (c R c P ) Q R ( c) Q R L écart sur coût unitaire ( c c R c P ) est exprimé (quantifié) au niveau des quantités réelles (ce qui est logique!) Ecart sur quantité de matière Coût préétabli de la quantité réelle Coût préétabli de la quantité préétablie ajustée à la production réelle c P Q R c P Q PAPR (Q R Q PAPR ) c P ( Q) c P L écart sur quantité est valorisé au coût préétabli unitaire. 6 / 8

7 Ecart sur coût de la matière c R Q R c P Q R (c R c P ) Q R ( c) Q R Ecart sur quantité de matière c P Q R c P Q PAPR (avec Q PAPR n P P R ) (Q R Q PAPR ) c P ( Q) c P Vérification : Ecart global... Remarque : Origine des écarts - L écart sur coût est (plutôt) d origine externe (rapports avec les fournisseurs : augmentation du prix, diminution des remises par exemple). - L écart sur quantité est (plutôt) d origine interne (diminution du rendement, augmentation des déchets ou des rebuts par exemple). B) Les écarts sur coût de la main d œuvre directe Les principes d analyse des écarts sur coût de la MOD sont les mêmes que pour les écarts sur coût des matières : 1) L écart global sur coût de la MOD MOD Atelier 1 : Ecart global c R Q R c P Q PAPR avec Q PAPR n P P R MOD Atelier 2 : Ecart global c R Q R c P Q PAPR avec Q PAPR n P P R 7 / 8

8 2) Analyse (décomposition) de l écart global sur coût de la MOD (en deux sous écarts) MOD Atelier 1 : Ecart sur coût (ou taux) de la MOD c R Q R c P Q R (c R c P ) Q R ( c) Q R L écart sur coût ou taux horaire est exprimé au niveau des heures réelles. Ecart sur quantité (ou heures) de MOD c P Q R c P Q PAPR (Q R Q PAPR ) c P ( Q) c P L écart sur quantité / temps est valorisé au taux horaire préétabli. Vérification : Ecart global... MOD Atelier 2 : Autre présentation : Bornes des écarts Formules Calculs Montants Ecarts Coût réel (de la quantité réelle) Coût préétabli de la quantité réelle Coût préétabli de la quantité préétablie (APR) c R Q R c P Q R c P Q PAPR Ecart sur coût :.. Ecart sur quantités :.... Ecart global :.... Avec Q PAPR n P P R... Cf. Cas Roline Cas Liner 3 8 / 8

- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise.

- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise. C H A P I T R E 7 Le contrôle budgétaire Objectifs Le contrôle budgétaire permet de comparer les réalisations avec les prévisions. Déceler les écarts significatifs, les analyser et prendre des mesures

Plus en détail

LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX

LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 7 LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 1. LES PRINCIPES 196 2. L ÉLABORATION DES COÛTS PRÉÉTABLIS 198 3. MODÈLE GÉNÉRAL D ANALYSE DES ÉCARTS 202 4. LES ÉCARTS TOTAUX 203 5. PREMIÈRE ANALYSE DES ÉCARTS

Plus en détail

www.btsag.com 31 Coûts complets

www.btsag.com 31 Coûts complets www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre

Plus en détail

LE BUDGET DES VENTES

LE BUDGET DES VENTES LE BUDGET DES VENTES Objectif(s) : o Pré requis : o Modalités : o o o Elaboration du budget des ventes. Connaissances du processus "ventes". Principes, Synthèse, Application. TABLE DES MATIERES Chapitre

Plus en détail

LES COUTS PARTIELS...

LES COUTS PARTIELS... Sommaire LES COUTS PARTIELS... 2 EXERCICE 1... 2 EXERCICE 2... 2 EXERCICE 3... 2 EXERCICE 4... 3 EXERCICE 5... 3 LES COUTS COMPLETS... 5 EXERCICE 1... 5 EXERCICE 2... 6 EXERCICE 3... 7 EXERCICE 4... 10

Plus en détail

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de

Plus en détail

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée

Plus en détail

Les corrigés des examens DPECF - DECF

Les corrigés des examens DPECF - DECF 48h après l examen sur www.comptalia.com 1 ère Ecole en ligne des professions comptables Spécialiste des préparations à l'expertise Comptable et des formations en compta-gestion via Internet Les corrigés

Plus en détail

CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE

CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous

Plus en détail

Chap. 9 : L affectation du résultat

Chap. 9 : L affectation du résultat 1 / 9 Chap. 9 : L affectation du résultat L affectation du résultat de l exercice N est une opération de l exercice suivant N+1. Les bénéfices peuvent être maintenus dans l entreprise (mis en réserves)

Plus en détail

Dynamic Intranet. Description de service. Dynamic Intranet. Droits d auteurs

Dynamic Intranet. Description de service. Dynamic Intranet. Droits d auteurs Droits d auteurs Le présent document, son contenu et les idées ainsi que les concepts qui y sont utilisés sont confidentiels. Il s agit de la propriété intellectuelle de. Une utilisation sortant de l usage

Plus en détail

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs

Plus en détail

Interface COMPTABILITEEXPERT

Interface COMPTABILITEEXPERT Interface COMPTABILITEEXPERT Structures des types d'enregistrement de l'exportation d'immobilisations au format ASCII La COMPTABILITEEXPERT peut importer des fichiers textes dont vous trouverez les caractéristiques

Plus en détail

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée

1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée 1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée http://support.e-lycee-paca.fr Adresse du service en ligne à partir de tout point d accès internet, 24h/24. 1 Les identifiants sont

Plus en détail

INVERSIO. N Azur 0 810 104 104. www.castorama.fr Service consommateur Castorama BP101-59175 Templemars. réf. R1-99879

INVERSIO. N Azur 0 810 104 104. www.castorama.fr Service consommateur Castorama BP101-59175 Templemars. réf. R1-99879 INVERSIO Réf. ALTERNA 0 7 FR www.castorama.fr Service consommateur Castorama BP0-97 Templemars N Azur 0 80 0 0 PRI D UN APPEL LOCAL DEPUIS UN POSTE FIE réf. R-99879 R 99880-0909 Notice_INVERSIO_LIVRET_A_EE.indd

Plus en détail

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative

Plus en détail

qff TD4 - Calcul du résultat par la méthode du coût variable I) Distinction entre charges variables et charges lïxes 2ème année LicenceAES TD4

qff TD4 - Calcul du résultat par la méthode du coût variable I) Distinction entre charges variables et charges lïxes 2ème année LicenceAES TD4 2ème année LicenceAES - Calcul du résultat par la méthode du coût variable La rentabilité est un indicateur de I'effrcacité économique et financière. Elle représente l'aptitude d'une organisation productive

Plus en détail

Elaboration et Suivi des Budgets

Elaboration et Suivi des Budgets Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

Contrat de maintenance des serveurs et du parc informatique

Contrat de maintenance des serveurs et du parc informatique Contrat de maintenance des serveurs et du parc informatique Entre Qui sera communément appelé dans le reste du document «Le Client» Et LogicAL Systems S.P.R.L. Boulevard de la Sauvenière, 103 4000 Liège

Plus en détail

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement

Plus en détail

Maintenabilité d un parc applicatif

Maintenabilité d un parc applicatif 1 Maintenabilité d un parc applicatif Une méthode pour évaluer les charges de maintenance 13/06/01 Jean-François Bailliot 2 Maintenabilité d un parc applicatif Maintenance / Développement importance relative

Plus en détail

Pack Prélèvements Confort et Confort Plus

Pack Prélèvements Confort et Confort Plus Pack Prélèvements Confort et Confort Plus Guide clients Page 1-00/00/00 Systèmes de Paiement & Flux Ce guide clients vous est offert par votre Conseiller Crédit Agricole pour vous permettre de vous approprier

Plus en détail

ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES

ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Objectif(s) : ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Connaître les conventions et principes comptables. Modalité(s) : Comptes, Bilans, Activité, Trésorerie. TABLE DES MATIERES Chapitre 1. INTRODUCTION....

Plus en détail

Epargne-Logement avec Wüstenrot.

Epargne-Logement avec Wüstenrot. Epargne-Logement avec Wüstenrot. Financement avec la sécurité du taux Taux du prêt à partir de 1,35 % fixe Construire Acheter Rénover Reprendre un prêt Epargne à taux fixe Taux créditeurs intéressants

Plus en détail

COMPTABILITÉ DE GESTION

COMPTABILITÉ DE GESTION COMPTABILITÉ DE GESTION Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : septembre 1997 Réédité par la Direction

Plus en détail

L entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH.

L entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH. Concours d accès en troisième année Programme Grande Ecole Session de Septembre 2011 Epreuve de Comptabilité Générale & Analytique Durée : 3 heures -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

Format de RSA groupé en CCAM (219)

Format de RSA groupé en CCAM (219) GENRSA : Manuel d utilisation Janvier 2012 Format de RSA groupé en CCAM (219) Libellé Taille Début Fin Remarques Numéro FINESS 9 1 9 Numéro de version du format du RSA 3 10 12 219 N d'index du RSA 10 13

Plus en détail

CONTROLE DE GESTION. DUT GEA, 2 èm e année option PMO 2005-2006

CONTROLE DE GESTION. DUT GEA, 2 èm e année option PMO 2005-2006 CONTROLE DE GESTION Une définition classique du contrôle de gestion le décrit comme «le processus par lequel les dirigeants s assurent que les ressources sont obtenues et utilisées avec efficacité et efficience

Plus en détail

Direction générale de l offre de soins. Guide d élaboration TAC et COMPT EX

Direction générale de l offre de soins. Guide d élaboration TAC et COMPT EX Direction générale de l offre de soins Guide d élaboration TAC et COMPT EX Sommaire 1. PREAMBULE... 4 1.1. DEPLOYER LES OUTILS DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE HOSPITALIERE DANS LES ETABLISSEMENTS... 4 1.2.

Plus en détail

Epargne et investissement

Epargne et investissement Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus

Plus en détail

CHAPITRE 1. Suites arithmetiques et géometriques. Rappel 1. On appelle suite réelle une application de

CHAPITRE 1. Suites arithmetiques et géometriques. Rappel 1. On appelle suite réelle une application de HAPITRE 1 Suites arithmetiques et géometriques Rappel 1 On appelle suite réelle une application de dans, soit est-à-dire pour une valeur de la variable appartenant à la suite prend la valeur, ie : On notera

Plus en détail

Logistique, Transports

Logistique, Transports Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,

Plus en détail

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système

Plus en détail

Transferts. Nombre de titres 33.599 Echéance maximale moyenne Cours moyen de la 86,38 transaction Prix d exercice moyen Montants 2.902.

Transferts. Nombre de titres 33.599 Echéance maximale moyenne Cours moyen de la 86,38 transaction Prix d exercice moyen Montants 2.902. VICAT Société Anonyme au capital de 62.361.600 euros Siège social : Tour MANHATTAN 6 place de l Iris 92095 PARIS LA DEFENSE CEDEX 057 505 539 RCS Nanterre NOTE D INFORMATION RELATIVE A L AUTORISATION DEMANDEE

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties

Plus en détail

LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE

LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE Une fois les objectifs fixés pour son équipe, le manageur doit définir une stratégie et mettre en place un plan d actions. Outil de prévision et de planification, ce

Plus en détail

ARTEMIS VIEWS EARNED VALUE MANAGEMENT. avec CostView

ARTEMIS VIEWS EARNED VALUE MANAGEMENT. avec CostView ARTEMIS VIEWS EARNED VALUE MANAGEMENT avec CostView EARNED VALUE MANAGEMENT Earned Value Management est une application puissante pour la planification des coûts de projet et de programme, le contrôle

Plus en détail

WEB@EDI - Solutions Complètes pour vous Simplifier l'edi Simplicité et Efficacité par @GP, Votre Prestataire WEB@EDI

WEB@EDI - Solutions Complètes pour vous Simplifier l'edi Simplicité et Efficacité par @GP, Votre Prestataire WEB@EDI Fac@EDI Factures EDI Guide de l'utilisateur WEB@EDI - Solutions Complètes pour vous Simplifier l'edi Simplicité et Efficacité par @GP, Votre Prestataire WEB@EDI 1/17 Sommaire PRESENTATION DU LOGICIEL...3

Plus en détail

Manuel d utilisation DeveryLoc

Manuel d utilisation DeveryLoc Manuel d utilisation DeveryLoc Page 1/37 Version Numéro de la version Date de modification Modification apporté Version v.1 Le 1 juillet 2004 Version v.2 Le 1 Juin 2006 Page 2/37 SOMMAIRE 1. SE CONNECTER

Plus en détail

- Motorisation électrique (vérins) permettant d ajuster la hauteur du plan de travail.

- Motorisation électrique (vérins) permettant d ajuster la hauteur du plan de travail. Publié sur Ergotechnik (http://www.ergotechnik.com) SLIMLIFT 6230 DESCRIPTION - Disponible en version droite uniquement. - Motorisation électrique (vérins) permettant d ajuster la hauteur du plan de travail.

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait

Plus en détail

Condition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½

Condition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½ Condition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½ Patrick Ciarlet et Vivette Girault ciarlet@ensta.fr & girault@ann.jussieu.fr ENSTA & Laboratoire Jacques-Louis Lions, Paris 6 Condition

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

Ligne PME. Avril 2011. EBP Comptabilité Ligne PME Open Line. Module Immobilisations. Logiciel MAJ seule Contrat de maintenance évolutive Silver

Ligne PME. Avril 2011. EBP Comptabilité Ligne PME Open Line. Module Immobilisations. Logiciel MAJ seule Contrat de maintenance évolutive Silver EBP Comptabilité Ligne PME Open Line Ligne PME Comptabilité Ligne PME Open Line TM - monoposte 800 400 320 280 520 680 Tarifs publics conseillés (HT) Ligne PME EBP Version 6/10 postes 1665 Avril 2011 EBP

Plus en détail

CONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE EN LIGNE DE TITRES DE TRANSPORT SUR REMONTEES MECANIQUES

CONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE EN LIGNE DE TITRES DE TRANSPORT SUR REMONTEES MECANIQUES CONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE EN LIGNE DE TITRES DE TRANSPORT SUR REMONTEES MECANIQUES Société Domaine Skiable de Flaine (DSF) SA au capital de 6 697 620 RCS Annecy n 602 056 012 Siège social : Téléphérique

Plus en détail

DESS INGENIERIE FINANCIERE

DESS INGENIERIE FINANCIERE DESS INGENIERIE FINANCIERE Mercredi 27 mars 2005 Philippe TESTIER - CFCM Brest 1 SOMMAIRE Le Change au comptant (spot) ; Le Change à Terme (termes secs, swaps de change) ; Les Options de Change ; Les Options

Plus en détail

Excel Avancé. Plan. Outils de résolution. Interactivité dans les feuilles. Outils de simulation. La valeur cible Le solveur

Excel Avancé. Plan. Outils de résolution. Interactivité dans les feuilles. Outils de simulation. La valeur cible Le solveur Excel Avancé Plan Outils de résolution La valeur cible Le solveur Interactivité dans les feuilles Fonctions de recherche (ex: RechercheV) Utilisation de la barre d outils «Formulaires» Outils de simulation

Plus en détail

NOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER

NOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER NOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER Avertissement: les éléments ci-dessous ne préjugent pas de l'appréciation finale lors de l'examen des rapports financiers

Plus en détail

Plan d Action Commun. Shutterstock - olly

Plan d Action Commun. Shutterstock - olly Plan d Action Commun Shutterstock - olly Introduction Nouvel instrument axé sur les résultats Comment atteindre les résultats? Forte logique d intervention Utilisation d'indicateurs pour rembourser les

Plus en détail

FIL CONDUCTEUR (Session principale 2006)

FIL CONDUCTEUR (Session principale 2006) FIL CONDUCTEUR (Session principale 2006) PREMIERE PARTIE Etude de rentabilité des produits P1 et P2 «Méthode des coûts partiels» Constatation de la non rentabilité du produit P2 Décision d investissement

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

QUESTIONNAIRE PROPOSITION D'ASSURANCE RC PROFESSIONNELLE ARCHITECTE D INTERIEUR

QUESTIONNAIRE PROPOSITION D'ASSURANCE RC PROFESSIONNELLE ARCHITECTE D INTERIEUR QUESTIONNAIRE PROPOSITION D'ASSURANCE RC PROFESSIONNELLE ARCHITECTE D INTERIEUR I IDENTITE DU PROPOSANT Nom : Adresse: Code Postal: Ville: Tél : Fax : Email : N d'inscription (éventuel) : au Registre du

Plus en détail

Société MAINTINFO MAINTENANCE D'EQUIPEMENTS INFORMATIQUES ETUDE DE CAS (UML) Document d'expression des Besoins. Page 1

Société MAINTINFO MAINTENANCE D'EQUIPEMENTS INFORMATIQUES ETUDE DE CAS (UML) Document d'expression des Besoins. Page 1 Société MAINTINFO MAINTENANCE D'EQUIPEMENTS INFORMATIQUES ETUDE DE CAS (UML) Document d'expression des Besoins Page 1 ISTA.ma Un portail au service de la formation professionnelle Le Portail http://www.ista.ma

Plus en détail

REPERTOIRE DES INTERPRETATIONS DE LA CCT DU SECTEUR SANITAIRE PARAPUBLIC VAUDOIS ETAT au 07.12.11

REPERTOIRE DES INTERPRETATIONS DE LA CCT DU SECTEUR SANITAIRE PARAPUBLIC VAUDOIS ETAT au 07.12.11 REPERTOIRE DES INTERPRETATIONS DE LA CCT DU SECTEUR SANITAIRE PARAPUBLIC VAUDOIS ETAT au 07.12.11 TABLE DES MATIERES DU REPERTOIRE Numéros Enoncé du problème examiné, de la question soulevée 1 Annuités

Plus en détail

Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme. Définition et principes généraux

Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme. Définition et principes généraux Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme Définition et principes généraux Définition du CDMT Le CDMT est un instrument de programmation triennal glissant permettant de placer la gestion budgétaire dans une perspective

Plus en détail

TUTORIEL WINTRANS Table des matières

TUTORIEL WINTRANS Table des matières TUTORIEL WINTRANS Table des matières Les bases... 2 Création de profil de tables... 2 Les menus associés... 5 Structure... 7 Création de Société, Agence, Client, Affrété... 7 Société... 7 Agence... 7 Client...

Plus en détail

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur

Plus en détail

Approches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14

Approches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14 TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour

Plus en détail

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES - 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables

Plus en détail

Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié

Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié GRET agridoc Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié Date(s) de l expérience 2000-2004 Mise en œuvre Gret Zone géographique Global - Afrique Mots clés

Plus en détail

APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE

APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE ETABLISSEMENT LIMAYRAC DESCRIPTION Création d'une entreprise de service LOGICIELS NECESSAES Bureautique Internet NIVEAU Début 1 ère année pour des classes mixtes Bac généraux

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC

Plus en détail

UTILISATION DE LA BORNE PAR LE CLIENT

UTILISATION DE LA BORNE PAR LE CLIENT Page1 UTILISATION DE LA BORNE PAR LE CLIENT Achat de carte de lavage en carte bancaire Page 3 et 4 Achat de carte de lavage en billet Page 5 et 6 Rechargement de la carte de lavage en carte bancaire Page

Plus en détail

Rapport S 1.6 Informations sur les effets de valorisation sur le bilan des organismes de placement collectif non monétaires

Rapport S 1.6 Informations sur les effets de valorisation sur le bilan des organismes de placement collectif non monétaires Rapport S 1.6 Informations sur les effets de valorisation sur le bilan des organismes de placement collectif non monétaires Banque centrale du Luxembourg 1 Introduction 1.1 Population déclarante Le rapport

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)

PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) 1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.

Plus en détail

1 Première section: La construction générale

1 Première section: La construction générale AMALGAMATIONS DE CLASSES DE SOUS-GROUPES D UN GROUPE ABÉLIEN. SOUS-GROUPES ESSENTIEL-PURS. Călugăreanu Grigore comunicare prezentată la Conferinţa de grupuri abeliene şi module de la Padova, iunie 1994

Plus en détail

La lettre de l IMSEPP

La lettre de l IMSEPP La lettre de l IMSEPP N 22 05 décembre 2013 La trésorerie des entreprises en novembre : Les difficultés d accès au financement s atténuent. Novembre 2013 : ce document présente l analyse détaillée des

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

DOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES

DOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES DOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES Dans le cadre de la coopération Ivoiro Suisse, le Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique de Côte d Ivoire

Plus en détail

PLATEFORME SAAS D'ENVOI DE SMS. Guide du débutant UTILISER LA PLATEFORME SMSMODE TUTORIEL

PLATEFORME SAAS D'ENVOI DE SMS. Guide du débutant UTILISER LA PLATEFORME SMSMODE TUTORIEL PLATEFORME SAAS D'ENVOI DE SMS Guide du débutant UTILISER LA PLATEFORME SMSMODE TUTORIEL Sommaire PARTIE PARTIE PARTIE 3 PARTIE 4 PARTIE 5 PARTIE 6 PARTIE 7 CREER UN COMPTE CLIENT SMSMODE CREER SA PREMIERE

Plus en détail

Tarif 2013. 65 cours vitton 69006 Lyon Tél : 04 78 89 33 13. Page 1

Tarif 2013. 65 cours vitton 69006 Lyon Tél : 04 78 89 33 13. Page 1 Tarif 2013 65 cours vitton 69006 Lyon Tél : 04 78 89 33 13 Page 1 Travaux argentiques 135 Couleur COUL N&B Dev + Tirage Dev + PC 120 15,50 15,50 Qté simple Duo Dev seul 135 6,00 7,00 7 9,95 11,35 Dev seul

Plus en détail

GUIDE DU MICROPORTEUR SUIVI BUDGETAIRE ET D ACTIVITE Mesure «appui aux microprojets» FSE 4-2.3

GUIDE DU MICROPORTEUR SUIVI BUDGETAIRE ET D ACTIVITE Mesure «appui aux microprojets» FSE 4-2.3 GUIDE DU MICROPORTEUR SUIVI BUDGETAIRE ET D ACTIVITE Mesure «appui aux microprojets» FSE 4-2.3 I. Contexte : Pourquoi, quand et comment réaliser le suivi budgétaire? II. Les modalités générales de prise

Plus en détail

Formule de soumission

Formule de soumission No d appel d offres : TRAVAUX D ARBORICULTURE à taux horaire (Élagage, haubanage et abattage) Devis type élaboré par la Société Internationale d Arboriculture-Québec inc. Disponibles en ligne au www.siaq.org

Plus en détail

BOUYGUES TELECOM ENTREPRISES - CLOUD

BOUYGUES TELECOM ENTREPRISES - CLOUD BOUYGUES TELECOM ENTREPRISES - CLOUD PARTIE CLIENT Version 1.4. 21/06/2013 Partie client Page 1 Sommaire 1 FONCTIONS CLES DU PORTAIL 3 1.1 Pré-requis d utilisation des services Cloud 3 1.2 Principes de

Plus en détail

15/02/2009. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts Les intérêts simples. Le calcul des intérêts Les intérêts simples

15/02/2009. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts. Le calcul des intérêts Les intérêts simples. Le calcul des intérêts Les intérêts simples Le taux d intérêt Comparer ce qui est comparable 2 Chapitre 1 La valeur du temps Aide-mémoire - 2009 1 Deux sommes de même montant ne sont équivalentes que si elles sont considérées à une même date. Un

Plus en détail

TUTORIAL D UTILISATION ET DE COMPREHENSION PLATEFORME DE TRADING TRADMAKER

TUTORIAL D UTILISATION ET DE COMPREHENSION PLATEFORME DE TRADING TRADMAKER P a g e 1 TUTORIAL D UTILISATION ET DE COMPREHENSION PLATEFORME DE TRADING TRADMAKER P a g e 2 TABLE DES MATIERES 1. TERMINOLOGIE DE BASE 1.1 Symboles 1.2 Taux Bid 1.3 Taux Ask 1.4 Spread 1.5 High Bid

Plus en détail

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé JAMPI Dossier 1 L entreprise et son marché B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1

Plus en détail

COGNOS 8 Présentation des rapports RH

COGNOS 8 Présentation des rapports RH COGNOS 8 Présentation des rapports RH Cré.16.05.2006 Màj. 26.03.2009 yl/jr Page 1 sur 39 COGNOS8_Presentation_rapports_RH_2.0.doc TABLE DES MATIERES I. INTRODUCTION... 3 II. OBJET... 3 III. CONTACT...

Plus en détail

Chap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1

Chap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1 Chap 4: Analyse syntaxique 1 III- L'analyse syntaxique: 1- Le rôle d'un analyseur syntaxique 2- Grammaires non contextuelles 3- Ecriture d'une grammaire 4- Les méthodes d'analyse 5- L'analyse LL(1) 6-

Plus en détail

Guide de rapports ADT Sélecte

Guide de rapports ADT Sélecte Guide de rapports ADT Sélecte ADT Sélecte est un service qui permet à nos clients de requêter, ou planifier, leurs propres rapports. De la page de réception ADT Sélecte, cliquez sur Ouvrir une session

Plus en détail

Chapitre 3 : Le budget des ventes. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 3

Chapitre 3 : Le budget des ventes. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 3 Chapitre 3 : Le budget des ventes Introduction 2 Rappel des différents budgets opérationnels - budget des ventes (chapitre 3) - budget de production (chapitre 4) - budget des approvisionnements et des

Plus en détail

CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE

CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE ENTRE : le Lycée, représenté par M. André, proviseur le Lycée Professionnel, représenté par Mme, proviseure le Collège, représenté par

Plus en détail

Typ REA 120 Lit REA 200 Lit REA 300 Lit Capacité 120 l 200 l 300 l Dimensions Cuve (HxBxT)

Typ REA 120 Lit REA 200 Lit REA 300 Lit Capacité 120 l 200 l 300 l Dimensions Cuve (HxBxT) Chaudière industrielle REA Standard - Entièrement en acier chrome nickel avec bain à l huile thermique - Robinet de purge - Aditec-display digital programmateur électronique de temps et de température

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

CONDITIONS PARTICULIÈRES

CONDITIONS PARTICULIÈRES 1 CONDITIONS PARTICULIÈRES DE PARTICIPATION AU PROGRAMME BONUS SURPRIZE just for you 2 3 1. Termes est un programme bonus développé par Viseca Card Services SA qui offre de nombreux avantages. Il est ainsi

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi

Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.)

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.) Montélimar Sésame Règlement de la consultation Collecte des cartons des activités sur la commune de Montélimar MARCHE PUBLIC DE SERVICES OOO REGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.) OOO Pouvoir adjudicateur:

Plus en détail

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques

Plus en détail

Budget Finances Comptabilité. Budget Finances Comptabilité. Manuel d utilisation. Manuel d utilisation

Budget Finances Comptabilité. Budget Finances Comptabilité. Manuel d utilisation. Manuel d utilisation Budget Finances Comptabilité Budget Finances Comptabilité Manuel d utilisation Manuel d utilisation Recettes - Tome 2 Factures - Encaissement Version 4.30 Décembre 2014 Mises à jour du document Ce qui

Plus en détail

Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques

Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques Bureau fédéral du Plan Avenue des Arts 47-49, 1000 Bruxelles http://www.plan.be WORKING PAPER 11-09 Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques

Plus en détail

SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE

SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE 1 Factures de doit p. 9 Processus 1 2 Réductions sur factures de doit p. 11 Processus 1 3 Frais accessoires sur factures p. 13 Processus 1 4 Comptabilisation

Plus en détail