PRIORITÉ RÉGIONALE 2015

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1 PRIORITÉ RÉGIONALE 2015 Staphylococcus Aureus Résistant à la Méticilline SURVEILLANCE DES BACTÉRIÉMIES PRÉVALENCE DES INFECTIONS ÉTUDE DES FACTEURS DE RISQUE DU PORTAGE PROTOCOLE des ENQUÊTES VERSION 5 (JANVIER 2015) arlin.com NB la version 5 comporte les liens pour la saisie des fiches patients/résidents 1

2 SOMMAIRE pages SCHEMA RECAPITULATIF 3 ARGUMENTAIRE 4 FOCUS SUR LA PREVENTION DE LA DIFFUSION DES SARM 5 SURVEILLANCE DES BACTERIEMIES 6 I. Contexte 6 II. Modalités de surveillance 6 III. Définitions 6 IV. Organisation de la surveillance dans chaque établissement 8 V. Conditions de participation des établissements 9 VI. Envoi des souches microbiennes 9 VII. Calendrier de la surveillance 10 Fiche établissement dénominateurs (1) Fiche activité laboratoire- dénominateurs (2) Annexe 1 : fiche de recueil bactériémie Annexe 2 : guide pour remplir la fiche de recueil Annexe 3 : code des disciplines et des spécialités Annexe 4 : codage des micro- organismes Annexe 5 : liste des variables PREVALENCE DES INFECTIONS 25 ETUDE DES FACTEURS DE RISQUE DU PORTAGE DE SARM I. Objectif de l enquête 25 II. Les établissements concernés 25 III. Modalités d inscription des établissements à l enquête 25 IV. Déroulement de l enquête 25 V. Données recueillies pour l enquête 25 VI. Recueil et saisie des données 26 VII. Analyse des données 26 Fiche établissement à envoyer avec les écouvillons 27 Fiche d information aux patients / résidents 28 Annexe 6 : Fiche de recueil patient / résident 29 Annexe 7 : guide pour remplir la fiche de recueil

3 SCHÉMA RÉCAPITULATIF des 3 volets INSCRIPTION - - AVEC ACCORD DIRECTION- - (dossier à retourner au RHC) Surveillance des Bactériémies pendant 3 mois tout l établissement est concerné PRÉPARATION DE L ENQUÊTE avec le biologiste Vous devez avoir les tubes souches RHC pour tout flacon d hémoculture positif remplir 1 fiche par patient/résident Transmettre la(les) souches au RHC (S. aureus, EBLSE, EPC, ERV, Strepto. A et B) * A la fin de la période d enquête Saisir les fiches sur le WEB Remplir la fiche «établissement» et la fiche «flacons d hémoculture» (p ) Enquête de prévalence des infections et étude du portage de SARM le champ de l enquête est délimité (1 unité de patients/résidents) PRÉPARATION DE L ENQUÊTE avec le cadre et/ou le médecin concerné(s) Vous devez avoir les écouvillons RHC La réalisation des prélèvements doit être bien planifiée Le médecin du service devra assister l hygiéniste pour remplir les fiches «patient/résident» LE JOUR DE L ENQUÊTE Remplir 1 fiche par patient/résident présent ce jour (y compris les entrants) Prélever tous les patients/résidents inclus Transmettre sans délai les écouvillons au RHC avec la fiche «établissement» (p. 27) * LES JOURS SUIVANTS Finaliser le remplissage des fiches et saisir les fiches sur le WEB Transmettre sans délai au RHC la fiche «établissement» et la fiche «flacons d hémoculture» (p.11-12) * Dr N van der Mee- Marquet, Laboratoire Bactériologie, Hop. Trousseau, Tours cedex 9 3

4 ARGUMENTAIRE Le prochain programme national de prévention des infections associées aux soins (PROPIAS ; diffusion prochaine) souligne la nécessité d un suivi attentif des infections à SARM en établissements de santé (ES) mais aussi dans les établissements du secteur médico- social (EMS), et tout particulièrement des bactériémies à SARM Axe 1 Développer la prévention des IAS tout au long du parcours de soins Thème 5 : Renforcer le système de surveillance des IAS tout au long du parcours de soins Objectif 5 : Obtenir un état des lieux des IAS dans les 3 secteurs Axe 2 - Renforcer la Prévention et la Maitrise de l Antibiorésistance dans l ensemble des secteurs de l offre de soins Thème 3 : Améliorer la maitrise des BMR endémiques et BHR émergentes Objectif 3 : maintenir les actions vis- à- vis des SARM Action 1 : Evaluer régulièrement le respect des PS et PCC pour les patients ou résidents colonisés ou infectés par des BMR endémiques (SARM ou EBLSE) Maintenir une surveillance des SARM en ES et en particulier des bactériémies à SARM ; Réduire, parmi les bactériémies nosocomiales à S. aureus, la proportion de SARM dans l espèce et leur densité d incidence ; Réaliser un audit des pratiques et une analyse des causes profondes en cas de survenue d une infection grave à SARM (ex bactériémie, ISO profonde). Action 4 : Consolider la maitrise de la diffusion et la diminution des SARM en ES et évaluer le risque «SARM» en EMS au travers d enquêtes de prévalence Axe 3 - Réduire les risques infectieux associés aux actes invasifs tout au long du parcours de soins. Objectif 2 : Disposer d outils de surveillance des infections associées aux actes invasifs dans les 3 secteurs de l offre de soins Action 3 : Poursuivre et/ou mettre en place, dans les ES, une surveillance des bactériémies associées aux accès veineux centraux (CVC) en réanimation et hors réanimation. Action 4 : Généraliser la surveillance des bactériémies associées aux dispositifs invasifs, dont les bactériémies à S.aureus sur DIV (cathéter périphériques, CVC, CCI, Piccline ) en ES En ville, l objectif est de repérer les bactériémies à S.aureus sur DIV à partir du LABM Nous devons faire le point cette année sur cette problématique. Ici, l objectif est de faire un état des lieux complet de la situation du SARM dans nos établissements tout au long du parcours de soins 4

5 FOCUS SUR LA PRÉVENTION DE LA DIFFUSION DES SARM L objectif régional 2015 est de mobiliser le plus grand nombre d acteurs au sein des ES et des établissements du secteur médico- social EMS de la région sur la nature des infections à SARM aujourd hui dans nos établissements, la place des bactériémies à SARM, la part évitable des bactériémies à SARM, les facteurs de risque associés au portage de SARM. L objectif in fine est d accroître significativement nos connaissances sur les infections à SARM diagnostiquées aujourd hui dans notre région, ainsi que sur le portage de SARM, pour définir les priorités d action à venir en matière de prévention. Notre travail régional comporte 3 volets complémentaires : 1. une enquête de surveillance des bactériémies à SARM exceptionnellement proposée à l ensemble des établissements de santé et aux EHPAD, dont l objectif est de déterminer précisément - l incidence des bactériémies à SARM, - le lieu de diagnostic de ces infections aujourd hui, - la part des infections à SARM acquises et celle des infections importées ; 2. une enquête de prévalence des infections proposée à tous les établissements de santé et aux EHPAD dont l objectif est de déterminer précisément - la part des infections à SARM au sein des IAS, - les services les plus concernés par les infections à SARM, - la part des infections à SARM acquises et celle des infections importées ; 3. une étude de la colonisation nasale des patients/résidents par le SARM, dont l objectif est de déterminer - la prévalence actuelle du portage et de l acquisition du SARM dans les établissements de santé et EHPAD de la région, - les facteurs de risque de portage du SARM. Les souches de SARM collectées au cours des différentes enquêtes feront l objet d une caractérisation précise (antibiogramme, typage moléculaire). De plus, la grande journée de formation régionale prévue le 13 octobre 2015 sera centrée sur ce thème. Les résultats des enquêtes, et leur analyse seront présentés au cours de cette journée. 5

6 VOLET SURVEILLANCE DES BACTÉRIÉMIES A Staphylococcus Aureus Résistant à la Méticilline I. CONTEXTE En 2015, la surveillance régionale (habituellement organisée pour les établissements de santé >50 lits MCO) est exceptionnellement proposée à l ensemble des établissements de santé et du secteur médico- social ; les données relatives aux bactériémies à SARM feront l objet d une analyse précise afin d obtenir un état des lieux prenant en compte la totalité du parcours de soins. II. MODALITES DE SURVEILLANCE La surveillance est prospective, multicentrique et proposée à tous les établissements de santé et du secteur médico- social de la région. Elle est placée sous l'égide du CLIN ou de la sous- commission GDR de la CME, ou de la direction de l établissement. La surveillance est réalisée à partir des données des laboratoires de microbiologie. Chaque hémoculture positive donne lieu à l ouverture d une fiche complétée avec des données cliniques. La durée minimale de participation prévue est de 3 mois consécutifs pour chaque établissement. La période de surveillance est de 3 mois, entre le 1 er janvier au 30 avril Comme chaque année, le RHC réalise une expertise microbiologique des souches responsables de bactériémies, pour mieux comprendre leur diffusion en région et détecter les épidémies : - Staphyloccoccus aureus, toutes les souches - bacilles à Gram négatifs producteurs (ou suspects) de BLSE - bacilles à Gram négatifs producteurs (ou suspects) de carbapénémase (I/R ERTA) - Enterococcus faecium I/R aux glycopeptides. - Enterococcus faecalis I/R aux glycopeptides - Streptococcus agalactiae (B) - Streptococcus pyogenes (A) III. DEFINITIONS La reconnaissance d une bactériémie repose sur la confrontation de données cliniques et microbiologiques. 1. Hémoculture positive Une hémoculture (ou une série d hémocultures) est dite positive si un ou plusieurs flacons (aérobie, anérobie ou levures) prélevés au même moment sont positifs. Cette définition est valable si les hémocultures sont prélevées simultanément ou en moins d un quart d heure en des sites différents (exemple : réalisation d'hémocultures semi- quantitatives sur un cathéter central et une veine périphérique). Le nombre d'hémocultures positives est le nombre de prélèvements positifs à des moments différents. Un patient ayant 2 flacons positifs, prélevés au même moment et au même site, a une hémoculture positive ; si 2 flacons sont positifs sur des prélèvements effectués à des moments séparés ou en des sites différents, il a 2 hémocultures positives. 6

7 2. Hémoculture contaminée Une hémoculture est dite "souillée" ou "non significative" ou "contaminée", si une seule hémoculture ou un seul flacon est positif à un micro- organisme (contaminant probable) réputé non pathogène et pour laquelle aucun traitement antibiotique adapté n'a été mis en œuvre par le clinicien. Les principaux contaminants d hémoculture sont des commensaux du revêtement cutané (staphylocoque à coagulase négative, Corynebacterium spp., Propionibacterium spp.) ainsi que Micrococcus spp., Bacillus spp., ou tout autre micro- organisme à potentiel pathogène comparable. 3. Bactériémie Une bactériémie correspond à la présence d une hémoculture positive lorsque celle- ci a été prélevée devant des signes cliniques (le plus souvent hyperthermie > 38 et ou frissons et ou choc, mais aussi hypothermie). Ce terme englobe les épisodes bactériens et fongiques (fongémies). - Cas général On retient une bactériémie si on a au moins une hémoculture positive à un micro- organisme autre qu un contaminant (voir liste ci- dessus), prélevée devant des signes cliniques évocateurs (fièvre > 38, frissons, choc, parfois hypothermie et voire chez l enfant de moins de 12 mois apnée ou bradycardie). - Hémoculture positive à un micro- organisme dit contaminant Si le micro- organisme isolé est un micro- organisme dit contaminant, on retient une bactériémie seulement : - si le même micro- organisme est isolé sur 2 hémocultures prélevées à des moments différents ou sur des sites différents. OU - si le micro- organisme est isolé sur une seule hémoculture alors que le patient est porteur d'un cathéter intravasculaire et qu une antibiothérapie appropriée a été mise en route par le médecin ; si le patient est déjà sous antibiotique et que l'antibiothérapie n'est pas modifiée par le résultat de l'hémoculture, on retiendra une contamination sauf si l antibiothérapie était déjà adaptée. - Les sepsis cliniques à hémoculture négative. Ces cas ne sont pas comptabilisés dans les bactériémies. 4. Définition de l'épisode bactériémique Un même patient peut présenter plusieurs épisodes bactériémiques au cours de la période de surveillance. - s'il s'agit d'une nouvelle hémoculture positive avec un micro- organisme et ou une porte d'entrée différente, on considèrera deux épisodes de bactériémie. - si la nouvelle hémoculture est positive au même micro- organisme alors que tout traitement antibiotique a été interrompu et que le patient a bénéficié d'une période asymptomatique sur le plan clinique d une durée minimale de 3 jours à compter de l arrêt du traitement, on considèrera 2 épisodes de bactériémie. Dans tous les autres cas, un seul épisode de bactériémie sera retenu. 5. Caractère communautaire ou associé aux soins d une bactériémie Chaque épisode de bactériémie sera classé dans une des catégories suivantes : - bactériémie communautaire chez un sujet sans antécédent de soins dans les 6 mois précédents - bactériémie associée aux soins ou nosocomiale Une bactériémie est associée aux soins si elle est liée à des soins dispensés au cours d une hospitalisation (complète ou incomplète). acquise dans l établissement en hosp. complète : hospi. dans un lit d hospi. complète ou conventionnelle avec une durée de séjour > 24 heures acquise dans l établissement en hospi. incomplète : hôpital de jour, hémodialyse, séances de chimiothérapie. Pour les patients hospitalisés, une infection est nosocomiale si elle n'était pas présente ou en incubation lors de l'admission du patient dans l'établissement de santé ; en l absence d élément d orientation, 7

8 un délai minimum de 48 heures entre l entrée dans l établissement et la bactériémie constitue une indication de son caractère nosocomial. La diffusion bactériémique d une infection présente à l entrée n est pas une bactériémie nosocomiale sauf s il y a changement de micro- organisme et sauf si des soins ont pu être à l origine de la diffusion sanguine du microorganisme. acquise dans un autre établissement Les bactériémies nosocomiales survenant après la sortie de l établissement et détectées lors d une réadmission seront classées en fonction de la nature du séjour initial (hospitalisation complète ou incomplète). iatrogène ambulatoire consécutive à des soins dispensés à domicile (hospitalisation à domicile ou soins à domicile) par des professionnels de santé libéraux ou en cabinet de soins. RAPPEL : Pour améliorer la détection des bactériémies iatrogènes ambulatoires, la recherche d un antécédent de soins à domicile ou ambulatoire devra être renseigné pour toute bactériémie non nosocomiale. IV. ORGANISATION DE LA SURVEILLANCE DANS CHAQUE ETABLISSEMENT Chaque établissement désigne une personne responsable de cette surveillance et une personne responsable du recueil des données ; l implication du laboratoire de microbiologie est indispensable. 1. Recueil des données Le laboratoire de microbiologie transmet au responsable du recueil des données la liste des hémocultures positives rendues aux services de façon quotidienne et en temps réel. Chaque hémoculture positive donne lieu à une enquête clinique auprès des médecins concernés au moyen de la fiche de recueil (annexe 1), comprenant : une partie administrative : données d identité du patient et de son séjour une partie microbiologie : date de prélèvement de la 1 ière hémoculture positive, nature du germe, profil de résistance pour certains germes (selon le codage des germes du RAISIN). une partie clinique : classement de l épisode, porte d entrée, évolution à 7 jours une partie spécifique SARM à remplir en cas de bactériémie à SARM L enquête doit être réalisée en temps réel pour assurer la fiabilité des données recueillies en interrogeant le clinicien alors que le séjour du patient est en cours. Le classement du cas doit être effectué en concertation avec le médecin responsable du patient. Toutes les fiches doivent être validées par une personne compétente (si possible médecin ou pharmacien), informée du protocole d enquête pour permettre le classement des cas. La fiche de recueil doit être remplie suivant les recommandations du guide de l enquêteur (annexe 2). Tout au long de la période de surveillance, il convient de vérifier que le recueil est exhaustif et que toutes les hémocultures rendues par le laboratoire ont bien été intégrées dans un épisode bactériémique et que chaque épisode a bien donné lieu au remplissage d une fiche de recueil. 2. Saisie des données Après remplissage complet (notamment la survenue du décès doit être recherchée), les fiches doivent être saisies sur fichier de saisie EPI INFO, ou logiciel Excel en respectant le format du fichier (annexe 5), avec envoi du fichier au RHC- arlin ou directement sur le WEB à l adresse suivante 3. Contrôle des données Outre les contrôles effectués à la saisie, une vérification de la cohérence des données est nécessaire ; elle sera faite au RHC- Arlin au moyen d un programme spécifique permettant de mettre en évidence les données manquantes, la présence de doublons. Pour toute donnée paraissant «hors norme», un rappel sera systématiquement effectué auprès des établissements. 4. Traitement des données Le RHC- Arlin effectue le traitement des données pour les établissements participants selon le plan d analyse suivant : - caractéristiques des patients présentant des bactériémies nosocomiales - description des portes d entrée - description des micro- organismes - calcul des taux de bactériémies nosocomiales : 8

9 le numérateur est constitué du nombre de cas de bactériémies nosocomiales en rapport avec une hospitalisation complète (les cas importés d autres établissements ou acquis en hospitalisation incomplète ne sont pas intégrés dans le calcul du taux) ; chaque établissement pourra suivre son taux de bactériémies nosocomiales chaque année, les comparaisons inter- établissements seront, dans l état actuel des connaissances, réalisées avec prudence. les dénominateurs sont constitués du nombre de journées d hospitalisation complètes et du nombre d entrées directes hors hospitalisation incomplète ; les établissements auront à transmettre les informations figurant en annexe 1 pour la période de surveillance. Chaque dénominateur sera établi par catégorie de services de l établissement (médecine, chirurgie, réanimation, pédiatrie, soins de suite, soins de longue durée ) afin de pouvoir établir des taux spécifiques à chaque secteur. Pour les services d hémodialyse, le dénominateur sera constitué du nombre de séances réalisées pendant la période de surveillance. V. CONDITIONS DE PARTICIPATION DES ETABLISSEMENTS 1. Accords Tout établissement participant doit soumettre le projet au Directeur Général de l établissement qui doit donner son accord, et au CLIN ou le cas échéant à la cellule de GDR au biologiste en charge des analyses de bactériologie Tous les accords sont confirmés dans le livret d inscription 2015 du RHC- Arlin. Les résultats de l enquête seront communiqués à l établissement par l'intermédiaire de personnes désignées lors de l inscription ; les résultats seront utilisés de façon anonyme au niveau de l'étude régionale. 2. Participation des établissements Les établissements volontaires s'engagent à fournir des données pendant une durée minimale de 3 mois. Les établissements participants doivent posséder un système informatique PC compatible permettant l accès au logiciel Epi- info ou excel. Les données seront adressées au RHC sous forme de disquette ou par mail. 3. Déclaration à la CNIL a été faite pour le C.CLIN- Ouest (n ) en date du 30 janvier Suivi des établissements Chaque établissement participant recevra une aide lui permettant : le recueil informatisé (logiciel EPI- INFO et appli. spécifique) l interprétation et la compréhension de ses résultats concernant les bactériémies nosocomiales de son établissement le classement des cas litigieux ou difficiles grâce à une aide par N. van der Mee- Marquet du RHC- Arlin (n.vandermee@chu- tours.fr) VI. ENVOI DES SOUCHES MICROBIENNES. Les souches microbiennes appartenant à la liste présentée ci- dessous, lorsqu elles sont isolées pendant l enquête, doivent être souchées par les biologistes en milieu de conservation (fourni par le RHC- Arlin), et transmises au RHC pour étude. Les souches à envoyer sont : - toutes les souches de Staphylococcus aureus (méti- S et métir) - les bacilles à GRAM - producteurs de BLSE (ou suspectes) - les bacilles à GRAM - producteurs de CARBAPENEMASE (ou suspectes) - E. faecium I/R aux glycopeptides - E. faecalis I/R aux glycopeptides - Streptococcus agalactiae (B) - Streptococcus pyogenes (A) Les souches doivent être envoyées dès la fin de la période d enquête au Dr N van der Mee- Marquet, Laboratoire Bactériologie, Hop. Trousseau, Tours cedex. Les tubes doivent comporter l inscription d informations permettant de les relier facilement aux fiches d enquête 3 premières lettres du NOM DDN n Fiche 9

10 Idéalement, une copie des fiches d enquête est jointe au lot de souches concernées. Adresse pour l envoi : Dr Nathalie van der Mee- Marquet, Laboratoire de Bactériologie et Hygiène, Hôpital TROUSSEAU, TOURS cedex VII. Calendrier de la surveillance Participation minimale de 3 mois : 1 er janvier - 30 avril 2015 Date limite d'envoi des fichiers au RHC- arlin : 31 mai 2015 Résultats régionaux : 15 Septembre

11 BACTERIEMIE 2015 en région Centre FICHE ÉTABLISSEMENT DÉNOMINATEURS (1) Code de l'établissement de santé Code de l établissement médico- social Activité de l établissement pendant la période de surveillance INDIQUER UNIQUEMENT les nombres d entrées directes (1) complètes (2) et journées d hospitalisation complètes (2)* Ensemble des services de : Nombre de lits Nombre d entrées Nombre de journées pendant la période d hospitalisation pendant la de surveillance période de surveillance Chirurgie adultes DONT soins intensifs et surveillance continue Médecine adultes DONT soins intensifs et surveillance continue Réanimation adultes HORS soins intensifs et surveillance continue Chirurgie infantile DONT soins intensifs et surveillance continue Médecine infantile DONT soins intensifs et surveillance continue Réanimation infantile HORS soins intensifs et surveillance continue Réanimation néonatale HORS soins intensifs et surveillance continue Maternité / gynécologie obstétrique Psychiatrie (adultes et enfants) Soins de suite / rééducation Soins de longue durée Autres (3) Total tous types de séjours Urgences / Services Portes Hospitalisation de jour Places d hémodialyse EHPAD (1) En provenance du domicile, d une maison de retraite, d un autre établissement, excluant les entrées par transfert d un service à l autre au sein d un même établissement (2) Complètes = pour une durée supérieure à 24 heures (3) Autres services de votre établissement non mentionnés ci- dessus * : Pour chaque patient = date de sortie - date d'entrée + 1 ou chaque patient présent à 00h 11

12 BACTERIEMIE 2015 en région Centre FICHE ACTIVITE LABORATOIRE DÉNOMINATEURS (2) Code de l'établissement de santé Code de l établissement médico- social Nombre de flacons d hémocultures utilisés sur toute l'année 2014 dans l établissement : Nombre de flacons d hémocultures utilisés pendant la période d'enquête 2015 (3 mois) : Ensemble des services de : Nombre de flacons d hémocultures utilisés pendant la période d'enquête 2015 (3 mois) Chirurgie adultes DONT soins intensifs et surveillance continue Médecine adultes DONT soins intensifs et surveillance continue Réanimation adultes HORS soins intensifs et surveillance continue Chirurgie infantile DONT soins intensifs et surveillance continue Médecine infantile DONT soins intensifs et surveillance continue Réanimation infantile HORS soins intensifs et surveillance continue Réanimation néonatale HORS soins intensifs et surveillance continue Maternité / gynécologie obstétrique Psychiatrie (adultes et enfants) Soins de suite / rééducation Soins de longue durée Autres (3) Total tous types de séjours Urgences / Services Portes Hospitalisation de jour Places d hémodialyse EHPAD 12

13 Annexe 1 : Fiche de recueil bactériémies RHC- arlin Surveillance 2015 des bactériémies Numero de fiche Etiquette " Numero de fiche Etablissement (code CCLIN- Ouest) Données administratives du patient/résident Service UF Discipline / spécialité Date naissance (jj/mm/aaaa) Sexe 1. Homme 2. femme Date entrée dans l établissement (jj/mm/aaaa) Données microbiologiques de l épisode Date de la 1 ière hémoculture positive (jj/mm/aaaa) Micro- organisme n 1 (annexe 4) Micro- organisme n 2 (annexe 4) Micro- organisme n 3 (annexe 4) NB : S. aureus (toutes les souches) Streptococcus agalactiae (B) Streptococcus pyogenes (A) E. faecium I/R Glycopeptides E. faealis I/R Glycopeptides bacilles à GRAM neg suspect EBLSE et/ou EPC Noter N de la fiche et DDN sur le tube pour RHC Données relatives à la bactériémie Classement de la Bactériémie 5. Contamination 0. Communautaire (aucun antécédent de soins dans les 6 mois précédent) 1. Nosocomiale acquise en hospi. complète 2. Nosocomiale acquise en hospi. incomplète 3. Nosocomiale acquise dans un autre établissement 4. Iatrogène ambu. (soins en cabinet/ à domicile) Porte d entrée de la Bactériémie (1 seule parmi les codes suivants) 1. Cutanée non opératoire 5. Cathéter central 2. Site opératoire 6. Cathéter périphérique 3. Pleuro- pulmonaire 7. Chambre implantée 4. urinaire 12. autres cathéters et assimilés 8. Digestif ou abdominal 11. Materno- Foetale 20. AUTRES 1. méningite 2. endocardite 3. inf. ostéo- articulaire 4. AUTRE à préciser clairement 10. inconnue (fièvre inexpliquée, patient non neutropénique (PNN > 500/mL) 9. Translocation digestive probable fièvre inexpliquée, patient neutropénique (PNN < 500/mL) Si porte d entrée 3 ou 4 - si porte d entrée pleuro- pulm. (=3) 1=intubation, 2=patient trachéotomisé, 3=pas de dispositif 9=NSP - si porte d entrée urinaire (=4), sondage urinaire dans les 7 j avant l épisode infectieux 1=OUI, 2=NON, 9=NSP (si 1 er sondage le jour du diagnostic, NON) - dispositif invasif présumé en cause dans la bactériémie 1=OUI, 2=NON, 9=NSP Porte d entrée microbiologiquement documentée 1=OUI, 2=NON, 9=NSP Immunosuppression 1=OUI, 2=NON, 9=NSP Devenir du patient à 7 jours après le diagnostic de la bactériémie 1=décédé dans les 7 jours 2= vivant 9=NSP Date du décès (jj/mm/aaaa) si connu Si bactériémie à S. aureus résistant à la méticilline (SARM) Antécédent d hospitalisation dans les 6 mois précédent (hors séjour actuel) 1=OUI, 2=NON, 9=NSP SI OUI antécédent de chirurgie 1=OUI, 2=NON, 9=NSP hospitalisation en SLD 1=OUI, 2=NON, 9=NSP Antécédent de dispositif intra- vasculaire d abord transcutané (depuis 6 mois, hors séjour actuel) 1=OUI, 2=NON, 9=NSP Antécédent connu de portage et/ou d infection à SARM 1=OUI, 2=NON, 9=NSP Vie en EHPAD dans les 6 mois précédent 1=OUI, 2=NON, 9=NSP Traitement antibiotique récent (depuis 6 mois, hors séjour actuel) 1=OUI, 2=NON, 9=NSP SI OUI, préciser : 1= amoxicilline, 2=amox+ inh, 3=céphalosporine de 2 ième /3 ième génération 4= fluoroquinolones, 5=pyostacine, 6=rifampicine, 7=vancomycine/teicoplanine 8= trim+sulfamet. (bactrim) 9=autres 10=NSP 13

14 Annexe 2 : Guide pour remplir la fiche de recueil bactériémies Numéro fiche Attribution par l enquêteur ; noter ce numéro sur la fiche papier pour la retrouver si des corrections s avèrent nécessaires à l issu du contrôle qualité des données. Code C- CLIN Variable se remplissant de façon automatique lors de la saisie du questionnaire à partir de la première fiche remplie dans l établissement. Pour CCLIN Ouest : 2 Code établissement Code attribué par chaque C.CLIN, variable se remplissant de façon automatique lors de la saisie du questionnaire à partir de la première fiche remplie dans l établissement Données administratives du patient Code service Code interne à chaque établissement pour faire un rendu des résultats par service Discipline et spécialité Noter la catégorie du service où est prélevée la première hémoculture de l épisode de bactériémie selon le tableau ci- dessous ; Cas particulier des patients hémodialysés hospitalisés dans un autre service : - Vérifier si la bactériémie est imputable au service soignant ou au service d Hémodialyse Cas particulier des résidents des EHPAD : - renseigner EHP EHP Code unité Code à usage interne si nécessaire Date naissance Noter la date de naissance complète (année à 4 chiffres). L'âge est calculé automatiquement. Sexe : coder 1 si sexe masculin, 2 si sexe féminin Date entrée dans l établissement Noter la date d entrée dans l établissement où est recensée l hémoculture positive (année à 4 chiffres) Données microbiologique de l épisode Date de l hémoculture positive Noter la date de la première hémoculture positive dans l établissement (année à 4 chiffres) Micro- organismes n 1, 2 et 3 cf. liste des codes (annexe 4) Données cliniques de l épisode Classement de la bactériémie Chaque épisode de bactériémie doit être classé dans une des catégories suivantes : 0 = bactériémie communautaire SANS ANTECEDENT DE SOINS DANS LES 6 MOIS PRECEDENT, 1 = bactériémie nosocomiale acquise en hospitalisation complète, 2 = bactériémie nosocomiale acquise en hospitalisation incomplète (hôpital de jour, séances d hémodialyse ou de chimiothérapie..), 3 = bactériémie nosocomiale acquise dans un autre établissement 4 = bactérémie iatrogène ambulatoire lorsque la bactériémie est consécutive à des soins dispensés à domicile avec lien possible avec la porte d entrée de la bactériémie (hospitalisation à domicile ou soins à domicile) par des professionnels de santé libéraux ou en cabinet de soins 5 = contaminations Note : Dès que cet item est renseigné 5, le curseur passe à la fiche suivante car seul le remplissage de la première partie de la fiche importe. 14

15 Porte d entrée (PE) de la bactériémie cliniquement suspectée Coder la porte d entrée suspectée en choisissant une seule parmi les suivantes : 1 = cutanée, 2 = site opératoire (infection profonde ou organe ou espace), 3 = pulmonaire, 4 = urinaire, 5* = cathéter veineux central, 6* = cathéter périphérique, 7* = chambre implantée, 8 = digestif / abdominal, 9 = translocation digestive probable : fièvre inexpliquée chez un patient neutropénique (> PNN 500/mm3), germe d origine digestive probable, 10 = inconnue : fièvre inexpliquée chez un patient non neutropénique (< PNN 500/mm3) 11 = maternofoetale, 12* = autres cathéters et assimilés (cathéter artériel, cathéter de dialyse péritonéale, stimulateurs, pompes et accès divers implantés à demeure), 20 = autre porte parmi : - méningite - endocardite - inf. ostéo- articulaire - ou AUTRE (à préciser clairement ) REMARQUES : - Si le germe identifié dans l hémoculture est un contaminant possible (germe de la flore cutanée comme S. epidermidis par exemple), une porte d entrée DIV (5, 6, 7 ou 12) pourra être retenue si et seulement si elle est microbiologiquement documentée. En pratique, - si le dispositif est retiré, le germe identifié à partir du dispositif doit être identique (même espèce, même antibiogramme) à celui isolé de l hémoculture - si le dispositif n est pas retiré, une hémoculture doit être réalisée sur le DIV suspecté ; le germe identifié à partir de cette hémocultures sur DIV doit être identique (même espèce, même antibiogramme) à celui isolé de la première hémoculture. Si la porte d entrée n est pas microbiologiquement prouvée, cocher porte d entrée «inconnue». - En cas de porte d entrée multiple : si un seul germe, choisir la porte d entrée la plus parlante et/ou la porte d entrée la plus cohérente avec le germe isolé si plusieurs germes, choisir la porte d entrée pour laquelle le traitement antibiotique semble le plus adapté In fine, le clinicien fait le choix définitif - Si autre porte d'entrée (= 20), indiquer la porte d'entrée parmi les 3 proposées (méningite, endocardite, infection ostéo- articulaire) sinon préciser clairement. - Pour les Bactériémies classées Communautaires, noter la présence de DIV ou de sonde SI ET SEULEMENT SI le dispositif a été posé au moins 24 h avant la survenue de l épisode infectieux. Dispositif invasif transitoire ou à demeure est- il «présumé en cause» de la bactériémie : à renseigner si porte d entrée 3 ou 4 si un dispositif est ou était présumé en cause dans la bactériémie, coder 1 (= oui). Dans le cas contraire, coder 2 (= non). Le dispositif présumé en cause peut être : Un dispositif invasif transitoire qui peut ne plus être présent au moment de la bactériémie comme endoscope, cathéter de radiologie interventionnelle, sonde urinaire Un dispositif à demeure, toujours présent au moment de la bactériémie comme cathéter central, sonde urinaire, sonde d intubation 15

16 patient intubé ou trachéotomisé (si porte d entrée pleuro- pulmonaire =3) : coder 1 = patient intubé coder 2 = patient trachéotomisé coder 3 = pas de dispositif coder 9 = inconnu patient sondé dans les 7 jours précédants l épisode infectieux (si porte d entrée urinaire =4) S il y a eu sondage le jour du dignostic de l hémoculture, rensigner 2=non coder 1 (= oui) coder 2 (= non) Porte d entrée microbiologiquement documentée Coder 1 (= oui) si le même micro- organisme est retrouvé dans la ou les hémocultures et au niveau de la porte d entrée, Coder 2 (= non) si le micro- organisme isolé dans l hémoculture n est pas retrouvé au niveau de la porte d entrée présumée, Coder 9 (= inconnu) si aucun prélèvement n a été fait au niveau de la porte d entrée présumée ou si le résultat du prélèvement est inconnu ou si la porte d entrée est inconnue. Immunosuppression - si un traitement qui diminue la résistance à l infection est en cours (immunosuppresseur, chimiothérapie, radiothérapie, corticothérapie pendant plus de 30 jours, corticothérapie récente à dose supérieure à 5 mg/kg de prednisolone pendant plus de 5 jours) - si le patient est VIH positif avec des CD4 < 500/mm3 - si le patient est atteint de leucémie ou de lymphome Coder 1 = oui avec PNN < 500/mm3 Coder 2 = oui avec PNN > 500/mm3 Coder 3 = Non Coder 9 = Inconnue Evolution du patient dans les 7 jours après la bactériémie Rechercher la survenue d un décès après l hémoculture positive (soit J0 la date de l hémoculture) et coder de la façon suivante : 1 = patient décédé dans les 7 jours, 2 = patient toujours vivant dans les 7 jours, 9 = évolution inconnue Si le patient est décédé, indiquer la date du décès. Nouveau : Si la bactériémie est à SARM, renseigner les facteurs de risque de colonisation à SARM Hospitalisation récente (dans des 6 mois précédents l épisode) Coder 1 = Oui, Coder 2 = Non Coder 9 = NSP Hospitalisation en service de chirugie (dans des 6 mois précédents l épisode) Coder 1 = Oui, Coder 2 = Non Coder 9 = NSP Hospitalisation en SLD (dans des 6 mois précédents l épisode) Coder 1 = Oui, Coder 2 = Non Coder 9 = NSP Abord transcutané (dans des 6 mois précédents l épisode) Coder 1 = Oui, Coder 2 = Non Coder 9 = NSP 16

17 Antécédent de portage et/ou infection à SARM connu Coder 1 = Oui, Coder 2 = Non Coder 9 = NSP Vie en EHPAD (dans des 6 mois précédents l épisode) Coder 1 = Oui, Coder 2 = Non Coder 9 = NSP Traitement antibiotique récent (dans les 6 mois) Coder le traitement antibiotique en choisissant parmi les réponses suivantes : Coder 1 = Oui, Coder 2 = Non Coder 9 = NSP 17

18 Annexe 3 : Code des disciplines et des spécialités Pédiatrie Les soins intensifs en pédiatrie sont classés surveillance continue pédiatrique Néonatologie Hospitalisation de jour, pédiatrie Surveillance continue pédiatrique, soins intensifs pédiatriques Pédiatrie et spécialités pédiatriques Pédiatrie, autre Réanimation Hors soins intensifs Réanimation néonatale Réanimation pédiatrique Réanimation médicale adultes Réanimation polyvalente Réanimation chirurgicale pour adulte Réanimation spécialisée Réanimation autre Chirurgie Les soins intensifs chirurgicaux sont codés en en surveillance continue chirurgicale Chir. Thoracique et thoracique- cardio- vasculaire Chir. Cardiaque Chir. Vasculaire Chir. Cardio- vasculaire Neurochirurgie Chir. Digestive Chir. Générale Chir. Infantile Orthopédie traumatologie Chir. Plastique et reconstructive ORL Ophtalmologie Stomatologie, chir. Maxillo- faciale Urologie Chir. Carcinologique Surveillance continue chirurgicale, soins intensifs chirurgicaux Chirurgie ambulatoire Chir. transplantation Autres chirurgie Codage discipline PED Codage discipline REA Codage discipline CHI Codage spécialité NEO JOU SUR PED AUT Codage spécialité NEO PED MED POL CHI SPE AUT Codage spécialité THO CAR VAS CVA NEU DIG GEN PED ORT PLA ORL OPH STO URO CAN SUR AMB TRA AUT Gynéco- Obs Codage discipline Codage spécialité Gynécologie- obstétrique, Obstétrique Gynécologie chirurgicale Gynécologie, suivi de grossesse Autres, Gynécologie et obstétrique OBS OBS CHI GYN AUT 18

19 Médecine Les soins intensifs spécialisés médicaux sont classés avec les spécialités, sauf en cardiologie Les soins intensifs polyvalents sont en surveillance continue médicale Médecine générale, polyvalente Médecine interne Surveillance continue médicale, soins intensifs médicaux polyvalents Pneumologie Cardio- vasculaire, cardiologie, Unité de soins intensifs cardiologiques Néphrologie Hépato- gastro- entérologie Dermatologie, vénérologie Endocrinologie, diabétologie, nutrition, métabolisme Rhumatologie Neurologie Médecine carcinologique, Oncologie Radiothérapie,curiethérapie, médecine nucléaire Hématologie Médecine gériatrique Maladies infectieuses, Médecine tropicale Hospitalisation de jour, médecine adulte Autres médecine Codage discipline MED Codage spécialité GEN INT SUR PNE CAR USI NEP HGE DER NUT RHU NEU CAN RAD HEM GER INF JOU AUT SSR Codage discipline Codage spécialité Rééducation et réadaptation fonctionnelle SSR SSR Soins de suite et de réadaptation,autres AUT SLD SLD SLD PSY PSY PSY Autres Codage discipline Codage spécialité Dialyse (hors néphrologie, réa), y compris ambulatoire DIA Hospitalisation à domicile AUT HAD Urgence URG EHPAD EHP EHP 19

20 Annexe 4 : Codage pour les micro- organismes en jaune les germes à soucher et transmettre Cocci Gram + Phénotype Staphylococcus aureus STA AUR 0 = sensible à la méticilline 1 = résistant à la méticilline et sensible à la gentamicine 2 = résistant à la méticilline et résistant à la gentamicine Staphylococcus epidermidis STA EPI 0 = sensible à la méticilline 1 = résistant à la méticilline et sensible à la gentamicine 2 = résistant à la méticilline et résistant à la gentamicine Staphylococcus haemolyticus STA HAE 0 = sensible à la méticilline 1 = résistant à la méticilline et sensible à la gentamicine 2 = résistant à la méticilline et résistant à la gentamicine Autre espèce identifiée de staph. coag STA AUT nég Staph. coag. nég. non spécifié STA NSP Pneumocoque STR PNE 0 = sensible à la pénicilline 1 = intermédiaire à la pénicilline 2 = résistant à la pénicilline Streptococcus agalactiae (B) STR AGA Streptococcus pyogenes (A) STR PYO Autres Streptocoques hémolytiques STR HCG (C, G) Streptocoques non groupables STR NGR Streptocoques autres STR AUT Enterococcus faecalis ENC FAE 0 = sensible à l ampicilline 1 = résistant à l ampicilline 2 =résistant à la vancomycine Enterococcus faecium ENC FAC 0 = sensible à l ampicilline 1 = résistant à l ampicilline 2 =résistant à la vancomycine Entérococcus autres ENC AUT Enterococcus non spécifié ENC NSP Autres cocci Gram + CGP AUT Cocci Gram - Moraxella MOR SPP Neisseria meningitidis NEI MEN Neisseria autres NEI AUT Autres cocci Gram - CGN AUT 20

21 Bacilles Gram + Corynébactéries COR SPP Bacillus BAC SPP Lactobacillus LAC SPP Listeria monocytogenes LIS MON Autres bacilles Gram + BGP AUT Entérobactéries Phénotype - les souches productrices de BLSE et/ou de CARBAPENEMASE sont envoyées - de même pour les souches suspectes de production de BLSE et/ou de CARBAPENEMASE Citrobacter freundii CIT FRE 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 = résistant à Céfotaxime sans BLSE Citrobacter koseri (ex diversus) CIT KOS 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Citrobacter autres CIT AUT 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Enterobacter cloacae ENT CLO 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Enterobacter aerogenes ENT AER 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 = résistant à Céfotaxime sans BLSE Enterobacter autres ENT AUT 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 = résistant à Céfotaxime sans BLSE E. coli ESC COL 0 = sensible à l ampicilline 1 = résistant à l ampicilline et sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 = résistant à Céfotaxime sans BLSE Hafnia HAF SPP 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 = résistant à Céfotaxime sans BLSE Klebsiella pneumoniae KLE PNE 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Klebsiella oxytoca KLE OXY 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Klebsiella autres KLE AUT 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Morganella MOG SPP 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Proteus mirabilis PRT MIR 0 = sensible à l Ampicilline 1 = résistant à l Ampicilline et sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 21

22 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Proteus autres PRT AUT 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Providencia PRV SPP 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Salmonella Typhi ou Paratyphi SAL TYP 0 = sensible à l Ampicilline 1 = résistant à l Ampicilline et sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Salmonella autre SAL AUT 0 = sensible à l Ampicilline 1 = résistant à l Ampicilline et sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Serratia SER SPP 1 = sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Shigella SHI SPP 0 = sensible à l Ampicilline 1 = résistant à l Ampicilline et sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Autres entérobactéries ETB AUT 0 = sensible à l Ampicilline 1 = résistant à l Ampicilline et sensible à Céfotaxime 2 = résistant à Céfotaxime avec BLSE 3 =résistant à Céfotaxime sans BLSE Bacilles Gram - non entérobactéries Phénotype - les souches productrices de BLSE et/ou de CARBAPENEMASE sont envoyées - de même pour les souches suspectes de production de BLSE et/ou de CARBAPENEMASE Acinetobacter baumannii ACI BAU 1 = sensible à ceftazidime 2 = résistant à ceftazidime Pseudomonas aeruginosa, PSE AER 0 = sensible à ticarcilline 1 = résistant à ticarcilline et sensible à ceftazidime 2 = résistant à ceftazidime Stenotrophomonas maltophilia STE MAL Legionella LEG SPP Achromobacter ACH SPP Acinetobacter autre ACI AUT Aeromonas AEM SPP Agrobacterium AGR SPP Alcaligenes ALC SPP Campylobacter CAM SPP Flavobacterium FLA SPP Gardnerella GAR SPP Haemophilus HAE SPP Helicobacter pylori HEL PYL Pasteurella PAS SPP Burkholderia cepacia BUR CEP Autre Pseudomonas et app. PSE AUT Autre Bacille Gram- non entérobactérie BGN AUT 22

23 Anaérobies stricts Bacteroïdes fragilis BAT FRA Bacteroïdes autres BAT AUT Clostridium difficile CLO DIF Clostridium autres CLO AUT Prevotella PRE SPP Propionibacterium PRO SPP Autres Anaérobies ANA AUT Autres Bactéries Mycobactérie atypique MYC ATY Mycobactérie complexe tubercilosis MYC TUB Chlamydia CHL SPP Mycoplasma MYP SPP Actynomyces ACT SPP Nocardia NOC SPP Autres bactéries BCT AUT Parasites Candida albicans CAN ALB Candida autre CAN AUT Aspergillus fumigatus ASP FUM Aspergillus autres ASP AUT Levures autres LEV AUT Filaments autres FIL AUT Autres parasites PAR AUT 23

24 Annexe 5 : Liste des variables Nom de la donnée Type Taille Contenu NUMERO Numérique 5 Numéro de la fiche patient CODECCLIN Numérique 1 Code du C.CLIN- Ouest (=2) CODEETABL Numérique 3 Code de votre établissement (code C.CLIN- Ouest) SERVICE Alpha numérique 5 Code du service DISCSPE Alpha numérique 6 Code couple discipline/spécialité UNITE Alpha numérique 4 DATEENTREE Date 10 Date d entrée jj/mm/aaaa DNAISS Date 10 Date de naissance jj/mm/aaaa SEXE Alpha numérique 1 AGE Numérique 3 Calculé automatiquement DATEHEMOC Date 10 Date de la 1 ére hémoculture positive jj/mm/aaaa DELAI Numérique 4 Délai calculé automatiquement (entrée/hémoculture) MICRORG1 Alpha numérique 6 Code du 1 er germe SENS1 Numérique 1 Sensibilité1 er germe MICRORG2 Alpha numérique 6 Code du 2 ème germe SENS2 Numérique 1 Sensibilité 2 ème germe MICRORG3 Alpha numérique 6 Code du 3 ème germe SENS3 Numérique 1 Sensibilité 3 ème germe PORTNAS Numérique 1 CLASSEMENT Alpha numérique 1 Classement de la bactériémie PORTENTREE Alpha numérique 2 Porte d entrée LIBPE Alpha numérique 10 Texte indiquant PE (si PE=20) DISPINVAS Alpha numérique 1 Dispositif invasif INTUB Alpha numérique 1 Patient intubé (PE=3) SONDE Alpha numérique 1 Patient sondé (PE=4) MICRODOC Alpha numérique 1 Porte d entrée microbiologiquement documentée IMMUNOSU Alpha numérique 1 Immuno- suppression J7 Alpha numérique 1 Evolution DATEDECES Date 10 Date du décès jj/mm/aaaa 24

25 Staphylococcus Aureus Résistant à la Méticilline VOLET 2 PRÉVALENCE DES INFECTIONS VOLET 3 ETUDE DES FACTEURS DE RISQUE DU PORTAGE NASAL I. Objectifs de l enquête L enquête a 3 objectifs : définir la prévalence des infections et la part des infections à SARM définir la prévalence du portage SARM et les facteurs de risque associés à ce portage documenter les caractéristiques des SARM diffusant en région. II. Les établissements concernés L enquête de prévalence des infections est proposée à l ensemble des établissements de santé (MCO, SSR, SLD, HAD et HJ) et EHPAD de la région. Compte- tenu de la nécessité de réaliser une recherche de portage pour chaque patient/résident inclus, l enquête est limitée à une partie de l établissement ou de l EHPAD. Le secteur délimité pour l enquête est une unité géographique. Dans ce secteur, tous les patients/résidents présents le jour de l enquête sont inclus. Le nombre de patients/résidents inclus est compris entre 20 et 30. Il est de 30 au maximum. Si le nombre de patients/résidents de l unité est >30, les 30 patients inclus sont définis par tirage au sort. L enquête de prévalence doit être présentée et décidée en CLIN/ Cellule de GDR, ou pour les EHPAD par le médecin coordonnateur et le directeur de l établissement. Comme pour l enquête de prévalence nationale, il est nécessaire d informer le patient de l étude (une lettre vous est proposée en fin de ce guide pour l information du patient). III. Modalités d inscription des établissements à l enquête Une fiche de participation est remplie pour chaque établissement participant (établissement de santé, EHPAD) retournée au RHC- arlin pour formaliser l inscription à l enquête régionale, identifier une personne responsable de l enquête, et définir les limites du champ de l enquête (nature du service enquêté). Le dossier d inscription doit être retourné rapidement au RHC qui en accusera réception et vous fera parvenir les écouvillons pour l enquête. L équipe du RHC s engage à fournir une assistance technique et méthodologique aux établissements participants. IV. Déroulement de l enquête L enquête se déroule un jour donné inclus dans la période du 5 Janvier au 28 février. Il est préférable d effectuer l enquête en milieu de semaine. Le protocole d enquête est basé sur celui de l enquête nationale de prévalence. La différence majeure est que notre enquête s intéresse à l ensemble des infections et non uniquement à celles associées aux soins. Un module SARM est ajouté comme pour la fiche patient de l enquête bactériémie. V. Données recueillies pour l enquête 25

26 Les données sont recueillies à l aide de 2 fiches : - 1 fiche «établissement» (page 27) - 1 fiche «patient/résident», à remplir pour tout patient/résident présent le jour de l enquête : les sortants ET les entrants (page 29). L enquêteur se rend dans le service pour rencontrer le correspondant préalablement identifié et averti. Le jour de l enquête, l enquêteur remplit les fiches patient/résidents, recherche la présence de signes cliniques en faveur d une infection. Pour cela, il utilise le dossier médical, le dossier infirmier, la feuille de température. En EHPAD, la présence du médecin coordinateur est nécessaire pour le remplissage des fiches. Pour chaque patient/résident, un prélèvement pour le dépistage du portage est réalisé. Les écouvillons avec milieu de transport sont distribués par le RHC et doivent être utilisés pour le prélèvement nasal. Les deux narines sont prélevées avec le même écouvillon AVANT LES SOINS (voir ci- dessous). Les 3 premières lettres du nom et les 3 premières lettres du prénom [x][x][x] [x][x][x] doivent être notées de manière identique sur le tube de transport de l écouvillon et sur la fiche d enquête du patient/résident. Les écouvillons RHC sont transmis à la CRENO sans délai pour y être étudiés (date limite d envoi 1 mars 2015). L envoi doit être adressé au Dr N. van der Mee- Marquet, Laboratoire de Bactériologie et Hygiène du CHU Trousseau, Tours Cedex 9. Pour toute question, contacter par mail Nathalie van der Mee- Marquet n.vandermee@chu- tours.fr Le RHC prend en charge la recherche des SARM (antibiogramme complet, typage moléculaire). VI. Recueil et saisie des données La fiche «établissement» est envoyée avec les écouvillons. Les fiches «patient/résident» sont saisies localement par les établissements de santé sur le WEB à l adresse suivante k2bg73nknzzbxr- F64k664- xc7sriaa5jzw4/viewform Pour toute question, contacter Marie Decalonne m.decalonne@chu- tours.fr VII. Analyse des données Les données seront analysées par le RHC. La restitution des résultats sera en octobre Les résultats feront l objet d une publication scientifique dans une revue avec comité de lecture. Tous les participants seront cités nommément. 26

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