Brillance. Texture. Contraste. Mouvement. Taille. Couleur. PAYET Olivier

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1 Texture Brillance Mouvement Contraste Couleur Taille PAYET Olivier

2 Intégration du message visuel Bottom-up Top-down

3 - Apparaissent vers l'âge de 5-6 ans et diminue progressivement avec l'âge - Surviennent à l'ouverture des yeux (au réveil, après une baisse de vigilance...) - Activité oculaire imprécise - Aperçu sommaire de l'environnement (angles, axe de symétrie, irrégularité de formes) Dominance de la voie ascendante Déformation des proportions Muller-Lyer

4 Dominance de la voie ascendante (Habitudes socio-culturelles, émotions, mémoires, conditionnement)

5 La perception est un processus inférentiel la preuve par la luminosité.

6 Cellules P(parvocytes) : 80-90% des ganglionnaires - Localisées dans la rétine fovéale - réponse tonique ou phasique - sensibles aux stimulations colorées - Rôle dans la vision à haute résolution spatiale(forme et détails) Cellules M(magnocytes) : 5-10% des ganglionnaires - Localisées dans la rétine périphérique - réponse phasique - sensibles aux mouvements et aux formes peu précises Cellules non M-non P(ou Koniocytes) : 1-5% des ganglionnaires -Rôlemal connu - sensibles aux mouvements et à certaines longueurs d'onde -rôledansla coordination des mouvementdes yeuxet de la tête

7 10% des fibres : Colliculus supérieur(tectum du mésencéphale) fibres ganglionnaires - Voie principale chez les mammifères inférieurs -Mouvement/reflexedes yeuxet de la tête

8 10% des fibres : Pulvinar (noyau postérieur du thalamus) - Reçoitdes afférencesrétinienne, du CS et du CGL - Attention visuelle et perception des mouvements

9 5% des fibres : Prétectum: ouverture de la pupille Noyau suprachiasmatique de l'hypothalamus - Horloge biologique interne

10 85 % des fibres ganglionnaires se projettent dans le corps genouillé latéral

11

12 Le corps genouillé latéral n est pas un simple relai Modulation du message visuel par un système descendant 5HT Exemple d un agoniste partiel : le LSD Sensibilité accrue : -aux couleurs -aux formes -à la brillance synesthésie possible

13

14 Les cellules simples : les détecteurs de l orientation -Représente le 1 er niveau d intégration -Présents dans la couche IV du cortex V1 - Champ récepteur allongé selon un axe précis

15 Une organisation modulaire du cortex visuel - Les cellules d'orientation sont organisées en colonnes (~50 µm) - Succession de colonnes d environs 10 -Un point du champ visuel produit une réponse dans une région de 2 x 2 mm dans le cortex Hypercolonne V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

16 Les cellules complexes - Second niveau d'intégration -Présentsdansl'aireV2 (aire18) - Détection des mouvements d'une barre présentant une orientation déterminée grâce à : -la convergence de plusieurscellules simples de même orientation. - La sommation temporelle des cellules simples V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

17 V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

18 V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements V4 V4 α

19 Les cellules hypercomplexes - Troisième niveau d'intégration -AirevisuelleV5 (oumt). -Répondentà : - un stimulus défini de type rapport surface sombre/surface éclairé - un angle lumineux précis - Certaines formes en mouvement - Longueur définie Akinétopsie: -AVC bilatéraledansv5 (MT) -«Arrêtssurimages» de plusieurssecondes V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

20 L effet Phi : une façon de stimuler l aire V5, même en l absence de mouvement!

21 L intégration neurovisuelle implique 2 principes : a) Le traitement séquentiel des informations b) La construction mentale et l interprétation de l image

22 a) Le traitement séquentiel des informations Rétine CGL V1 V2 V3 V4 V5 V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

23 a) Le traitement séquentiel des informations Rétine CGL V1 V2 V3 V4 V5 V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

24 a) Le traitement séquentiel des informations Rétine CGL V1 V2 V3 V4 V5 V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

25 a) Le traitement séquentiel des informations Rétine CGL V1 V2 V3 V4 V5 V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

26 a) Le traitement séquentiel des informations Rétine CGL V1 V2 V3 V4 V5 V1 : détection de l orientation V2 : détection des directions des axes V3 : reconnaissance des formes V4 : reconnaissance des couleurs (et formes) V5 : reconnaissance des mouvements

27 b) La construction mentale et l interprétation de l image Cortex pariétal MST MT VIP 7a Cortex occipital V1 V3 LIP V2 V4 TEO TE Cortex inférotemporale

28 b) La construction mentale et l interprétation de l image Voie dorsale : du «Où»? - Reconnaissance «extrinsèque» des objets - Localisation dans l espace - Orientation, taille - Assurer le contrôle visuo-moteur sur les objets - Perception inconsciente - Voie M (Livingstone et Hubel, 1988) - Vision pragmatique (Jeannerod, 1994) Voie ventrale : du «quoi»? - Reconnaissance «intrinsèque» des objets - Formes, couleurs, textures - Perception consciente - Voie P (Livingstone et Hubel, 1988) - Vision sémantique (Jeannerod, 1994) Modèle d Ungerleider et Mishkin(1982)

29 L ataxie optique, une atteinte de la voie dorsale - Troubles dans la saisie/manipulation d'objets - Lésion du lobe pariétal - Bonne reconnaissance et identification des objets

30 Agnosie visuelle, une atteinte de la voie ventrale: - Incapacité à reconnaître les objets - Lesion occipito-temporale bilatérale - Pas de discrimination des formes - Discrimination des couleurs et des textures possible -Conservation de l'aptitude à manipuler des objets - Peut reconnaître les objets via d autres modalités sensorielles: toucher, audition, olfaction, etc Prosopagnosie : Incapacité à reconnaître les visages

31 Un exemple de collaboration des aires cérébrales : le cortex inférotemporal et l hippocampe

32 Le «neurone grand-mère»: à l interface entre la vision et la mémoire Quian Quiroga et al, nature 2005

33 Un exemple de plasticité après traitement contre NO inflammatoire

34

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