Biophysique L UE 2. Pr I. Peretti service de Biophysique et médecine nucléaire hôpital Lariboisière université Paris-Diderot
|
|
- Stéphane Lefrançois
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L UE 2 Biophysique résumé de cours Pr I. Peretti service de Biophysique et médecine nucléaire hôpital Lariboisière université Paris-Diderot
2 L UE 2 Biopathologie tissulaire et méthodes d étude Biophysique Anatomie pathologique histologie I. Peretti C. Danel J. Hugon Pr I. Peretti service de Biophysique et médecine nucléaire hôpital Lariboisière université Paris-Diderot
3 Biophysique 1) Optique et vision 2) Imagerie médicale 3) Effets biologiques, radiobiologie, radioprotection Cours magistraux Examen : QR + QCM
4 DATE COURS ENSEIGNANT Mercredi 28 septembre 10 h 30 1 Optique Peretti I. Vendredi 30 septembre 10 h 30 2 Optique et vision Peretti I. Mercredi 05 octobre 10 h 30 3 Imagerie analogique imagerie numérique Peretti I. Vendredi 07 octobre 10 h 30 4 Médecine Nucléaire Rouzet F. Mercredi 12 octobre 10 h 30 5 Imagerie par résonance magnétique Peretti I. Vendredi 14 octobre 10 h 30 6 Explorations ultrasonores Rouzet F. Mercredi 19 octobre 10 h 30 7 Imagerie par rayons X Sarda L. Vendredi 21 octobre 10 h 30 8 Imagerie Hybride Paycha F. Mercredi 26 octobre 10 h 30 9 Choix des examens, applications pratiques Dion E. 10 Imagerie Multimodalités Peretti I. Vendredi 28 octobre 10 h Radiobiologie Radioprotection Lebtahi R.
5 BIBLIOGRAPHIE UE3, P. PERETTI, I. IDY-PERETTI, P. CHAUMET-RIFFAUD Bases physiques des méthodes d exploration. Editeur : De Boeck (2010) Physique pour les sciences de la vie. A.BOUYSSY, M.DAVIER et B.GATTY Editeur : Dunod Université. Biophysique A. AURENGO, T. PETITCLERC, F. GREMY, Editeur :Flammarion, Médecine-Sciences
6 1 ère partie OPTIQUE ET VISION résumé de cours
7 Généralités Optique - vision stimulus physique de la vision : ondes lumineuses récepteur : œil rétine cônes (vision diurne) bâtonnets (vision nocturne) influx nerveux réaction photochimique pigments photosensibles nerf optique couleurs dioptrique oculaire formation des images sur la rétine défauts : amétropies corrections : lentilles ou chirurgie
8 I - La lumière visible
9 a la lumière visible Ondes électromagnétiques et lumière ondes électromagnétiques : r r E et B vitesse dans le vide c = m/s fréquence de l onde ν (également notée N) longueur d onde λ λ = ν c dans le vide
10 Lumière visible longueurs d onde 3, m < λ < 7, m 380 nm < λ < 780 nm couleurs violet bleu vert jaune orange rouge 380 à 455 nm 455 à 492 nm 492 à 577 nm 577 à 597 nm 597 à 622 nm 622 à 780 nm limites variables
11 Propagation de la lumière - si le milieu de propagation M est homogène : La lumière issue de S se propage suivant des portions de droites orientées appelées rayons lumineux. S source ponctuelle S émission isotrope dans toutes les directions de l espace orientation des rayons = sens de propagation de la lumière
12 - vitesse de la lumière dans le vide v = c = m/s dans un milieu (gaz, liquide, solide) v = c n n = indice absolu de réfraction n > 1 milieu matériel v < c exemples : air n = 1,00029 (n ~ 1) eau n ~ 4/3 = 1,33 verre n ~ 3/2 = 1,5
13 II Les images optiques
14 Les dioptres et les systèmes optiques Principe du retour inverse de la lumière Pour aller d un point B à un point A dans un milieu d indice n variable, la lumière suit le trajet inverse de celui qu elle décrirait pour aller de A en B
15 dioptre : interface de séparation entre 2 milieux exemple :dioptre sphérique : R Axe optique n 1 n 2 R = rayon de courbure axe de symétrie : axe optique dioptre plan : R infini système optique : ensemble de dioptres système optique centré : même axe optique
16 Images optiques et stigmatisme S = objet ponctuel (lumineux ou éclairé) (Σ) = système optique centré juxtaposition de dioptres, lentilles et/ou miroirs avec axe de symétrie commun (= axe optique) S = image observée grâce à un récepteur (œil, plaque photographique, camera numérique, etc.)
17 Stigmatisme rigoureux Définition (Σ) est rigoureusement stigmatique pour le couple (S,S') si tout rayon issu de S ponctuel et traversant (Σ) passe par S ( S ponctuelle) S et S = points conjugués S S' (Σ) en général, condition non réalisée S = tache lumineuse non ponctuelle
18 Stigmatisme approché Récepteur : composé de cellules sensibles ayant une extension spatiale - œil : cônes et bâtonnets - plaque photographique : grains - une caméra numérique : pixels Définition (Σ) réalise le stigmatisme approché pour le couple (S,S') si tout rayon issu de S ponctuel et traversant (Σ) arrive sur une seule cellule sensible du récepteur ( S est perçue ponctuelle)
19 Réalisation du stigmatisme approché : approximation de Gauss Conditions de l'approximation de Gauss - objet situé dans un plan l'axe optique - points objets sur l'axe optique ou voisins de l'axe optique - rayons lumineux issus de l'objet faiblement inclinés sur l'axe optique
20 Objets et images, réels et virtuels pour les systèmes optiques réfringents (dioptres, lentilles) sens de propagation de la lumière objet réel objet virtuel image virtuelle image réelle
21 S objet réel S image réelle (+) S S' (Σ) rayons lumineux émergents convergent en S' énergie lumineuse en S' S' image réelle
22 S objet réel S image virtuelle (+) S S' (Σ) rayons lumineux émergents divergent semblent provenir de S Pas d énergie lumineuse en S' S' image virtuelle
23 III - Le dioptre sphérique
24 Dioptre de forme sphérique lumière axe optique n 1 S R n 2 (Σ) C C : centre de courbure du dioptre S : sommet du dioptre R = rayon de courbure du dioptre sphérique axe optique = axe des abscisses origine de l axe des abscisses : point S convention de signe : sens positif de l axe des abscisses = sens de propagation de la lumière conditions de Gauss supposées réalisées
25 R = SC C (Σ) S n 1 n 2 axe optique (+) (Σ) S C n 1 n 2 axe optique orientation de l axe des abscisses : sens de propagation de la lumière R < 0 R > 0 dioptre concave dioptre convexe
26 la relation fondamentale de conjugaison des dioptres A : objet ponctuel A : image lumière n 1 n 2 > n 1 i 1 A S C A i2 p=sa p' =SA' R=SC orientation de l axe des abscisses : sens de propagation de la lumière conditions d application : n n n n = p' p R relation de conjugaison des dioptres S = origine des abscisses = sommet du dioptre attention : notations algébriques
27 puissance (ou convergence) C d un d dioptre Puissance (ou convergence ou vergence) C définition générale définitions annexes C= n2 - n1 R dioptre convergent : C > 0 dioptre divergent : C < 0 unité SI : m -1 = dioptrie (notée souvent δ ou dt)
28 Proximité d un point définition : inverse de l abscisse du point P = 1 p nouvelle écriture relation de conjugaison des dioptres n 2 P n 1 P = C
29 Foyers et distances focales du dioptre sphérique
30 1 - Foyer principal image F rayons lumineux incidents : parallèles axe optique émergents passent en un point de l axe optique noté F (foyer principal image) F : image d un point A à l infini situé sur l axe optique relation entre distance focale image f et puissance C du dioptre f' = n 2 C
31 2 - Foyer principal objet F du dioptre sphérique rayons incidents passant par un point F sur axe principal rayons lumineux émergents : // axe optique lumière n 1 n 2 F S C si objet A au point F image A à l infini position de F : f = distance focale objet SF = f
32 SF=f distance focale objet F et F ' toujours de part et d'autre du dioptre
33 Application A partir de la relation de conjugaison, déterminer la relation entre la distance focale objet f et la puissance C d un dioptre sphérique objet en F, image à l infini p = f et p infini relation de conjugaison : n p' n - = p 2 1 C 0 n 1 = f C f = SF = n 1 C
34 remarques : on a vu que : 1 f C = n n C n 2 1 = avec R = SC R dioptre convergent C > 0 f < 0 point focal objet F réel et en avant du dioptre dioptre divergent C < 0 f > 0 point focal objet F virtuel et en arrière du dioptre
35 Image d un d objet AB dans les conditions de Gauss objet petit, perpendiculaire à l axe, rayons peu inclinés exemple B n 1 n 2 lumière F A A F S O B rayon passant par le centre de courbure du dioptre O : non dévié rayon incident parallèle axe optique : émergent passe par F rayon incident passant par F : émergent parallèle axe optique image A B perpendiculaire axe optique
36 Grandissement linéaire transversal γ définition A ' B' γ = AB nombre algébrique image droite (γ >0) ou renversée (γ <0) expression de γ pour les dioptres B n 1 n 2 lumière F A A F S O B n 1 γ = (pour les dioptres) n p 2 p'
37 IV - L œil
38 Caractérisation risation optique de l oeill Cristallin Corps vitré Humeur aqueuse Sclérotique Choroïde Fovea centralis (tache jaune) Cornée Nerf optique tache aveugle Iris Rétine Muscles ciliaires
39 sclérotique : membrane blanche indéformable épaisseur 0,5 à 1mm cornée : transparente partie avant de la sclérotique iris : membrane circulaire colorée couleur yeux ouverture au centre : pupille rétine : cellules sensorielles cônes, bâtonnets cristallin forme modifiable sous l action des muscles ciliaires humeur aqueuse liquide transparent corps vitré gel aqueux
40 Extrémité synaptique L organisation de la rétine BATONNET CONE Les cellules sensorielles ou réceptrices Segment interne Cil connecteur Segment externe cônes et bâtonnets substance photosensible dans le segment externe de ces cellules Les différentes zones de la rétine La rétine centrale : fovéa partie la plus centrale ou fovéa centralis (fovéola) constituée uniquement de cônes sens de la lumière région parafovéale et périfovéale : prédominance des cônes, apparition progressive des bâtonnets
41 Modèle : œil réduit de Listing Système optique de l œil équivalent à un dioptre sphérique unique, convergent, séparant l air (n = 1) d un milieu homogène d indice n = 1,336 caractéristiques moyennes (sujet emmétrope, œil au repos) Rayon de courbure R = SO 6 mm Puissance C n' n = 60 R δ Distance focale objet Distance focale image f = SF 17 mm f' = SF' + 23 mm Vision nette si F est sur la rétine (objet à l infini (- ), sujet emmétrope, œil au repos)
42 Formation des images Accommodation point objet à l infini (œil au repos) : l image se forme en F, sur la rétine (si le sujet est emmétrope) point objet à distance finie : image sur la rétine si modification de la géométrie de l œil action muscles ciliaires modification du rayon de courbure R variation de C : puissance C rayon de courbure R accommodation prolongée : fatigue visuelle
43 punctum proximum PP point objet au punctum proximum A PP : accommodation maximale d m : distance minimale de vision distincte d m = distance entre le sommet S de l œil et le PP d m varie avec l âge du sujet (variation élasticité cristallin) d m (naissance) = 0 d m (20 ans) 15 cm d m augmente avec l âge punctum remotum PR point objet A PR le plus éloigné que l œil peut voir nettement (œil au repos) d M : distance maximale de vision distincte d M = distance entre le sommet S de l oeil et le PR sujet emmétrope : PR à l infini
44 amplitude d accommodation A définition : variation de la puissance de l œil entre : la puissance maximale C max (objet en A PP ) la puissance minimale de l œil C 0 (objet en A PR ) A = C max C 0 unité SI : A en dioptries δ (ou dt ou m -1 ) Parcours d accommodation (ou parcours accommodatif), zone de vision distincte portion de l espace comprise entre le PR et le PP
45 Remarques oeil emmétrope : abscisse de A PR : p PR = -, et proximité de A PR : P PR = 0 signes : P PP < 0 toujours négatif P PR > 0 ou < 0 suivant les amétropies (nul pour les emmétropes)
46 Expression de l amplitude d accommodation A en fonction des proximités du PR et du PP calcul A = P PR -P PP
47 La presbytie Variation de l amplitude d accommodation avec l âge : éloignement progressif du PP chiffres moyens : A ( 8 ans) 14 dioptries A (20 ans) 11 dioptries A (30 ans) 8 dioptries A (45 ans) 4 dioptries presbytie : A < 4 dioptries position du PP? sujet emmétrope, A = 4 δ emmétrope P PR = 0 4 = 0 - P PP P PP = - 4 δ abscisse du PP = -1 / 4 = - 0,25 m = - 25 cm distance moyenne de lecture : à 25 cm de l oeil pour A < 4 dioptries, PP est à une distance supérieure à 25 cm de l oeil
48 Acuité visuelle objet AB image A B sur la rétine B A α S O A B diamètre apparent α : angle sous lequel est vu l objet dimension image : fonction de α minimum séparable α m : valeur minimale de α A et B vus séparés A et B sur cellules sensorielles (cônes, bâtonnets) distinctes
49 définition acuité visuelle AV caractérise le pouvoir séparateur de l œil 1 AV = α m α m en minutes d angle a s exprime en «dixièmes» exemples : 1 α m = 1 minute AV = = 1 = 1 α m = 2 minutes AV = = 0, 5 = = 10 dixièmes 5 10 = 5 dixièmes
50 Notion de convergence de la rétine et des voies optiques rétine : cônes, bâtonnets nerf optique (NO) : 10 6 fibres convergence : n cellules sensorielles 1 fibre du NO ces n cellules sensorielles forment un territoire indépendant rétinien rétine périphérique : - bâtonnets fonctionnement coopératif des bâtonnets bonne sensibilité aux basses luminances : vision nocturne mauvais pouvoir séparateur : acuité visuelle 2 à 3/10 ièmes rétine centrale : - cônes fonctionnement individuel des cônes sensibilité uniquement aux fortes luminances : vision diurne bon pouvoir séparateur : acuité visuelle 10/10 ième
51 Les amétropies sphériques œil normal : œil emmétrope œil anormal : œil amétrope amétropie sphérique : défaut de l œil avec conservation de la sphéricité de l œil 2 types d amétropie sphérique : myopie, hypermétropie définition du degré d amétropie degré d amétropie = - P PR avec P PR = proximité du punctum remotum remarque : oeil emmétrope : degré d amétropie = 0 dioptrie
52 la myopie œil au repos (objet à l infini) : plan focal image en avant de la rétine F rétine vision floue : tache circulaire accommodation : pas d amélioration PR et PP plus proches / œil normal
53 l hypermétropie (ou hyperopie) œil au repos (objet à l infini) : plan focal image en arrière de la rétine F rétine vision floue : tache non ponctuelle PP plus éloigné / œil normal faible hypermétropie accommodation lectures prolongées céphalées
54 Positions respectives du punctum proximum et du punctum remotum rétine Oeil emmétrope A PR à l infini A PP rétine Oeil myope A PR A PP Oeil hypermétrope A PP rétine A PR zone sombre : vision distincte
55 L astigmatisme défaut de sphéricité dioptres oculaires rayon de courbure variable suivant le plan de coupe puissance variable dans chaque plan de coupe 2 types : astigmatisme irrégulier astigmatisme régulier
56 Astigmatisme irrégulier variation irrégulière des rayons dans les différents plans de coupe astigmatisme régulier variation continue du rayon de courbure 2 plans méridiens principaux 1 er méridien : puissance maximum, minimum de R 2 ème méridien : puissance minimum, maximum de R R V R H foyer non pontuel : 2 droites focales R H : méridien horizontal R V : méridien vertical focale verticale focale horizontale
57 deux types possibles d astigmatisme régulier : 1) astigmatisme «conforme à la règle» focale horizontale avant focale verticale 2) astigmatisme «non conforme à la règle» focale horizontale en arrière de la focale verticale degré de l astigmatisme (régulier) : différence entre les puissances des 2 méridiens principaux
58 position des droites focales par rapport à la rétine cornée rétine astigmatisme myopique composé astigmatisme myopique simple astigmatisme mixte astigmatisme hypermétropique simple astigmatisme hepermétropique composé (schéma dans le cas de l astigmatisme «conforme à la règle»)
59 Correction des amétropies lunettes (ou verres de contact) = lentilles chirurgie ophtalmologique : correction chirurgicale des défauts du globe oculaire utilisation de lasers (lasers pulsés, UV)
60 Les lentilles minces lentille : ensemble de 2 dioptres sphériques (R 1, R 2 ) même axe optique substance (verre en général) homogène, transparente lentille mince : épaisseur e faible e << R1 e << R2 remarque : un des dioptres peut être plan centre optique O de la lentille: = pratiquement confondu avec les sommets S 1 et S 2 des deux dioptres tout rayon passant par O non dévié
61 Les lentilles à bords minces = lentilles convergentes O symbole Les lentilles à bords épais = lentilles divergentes O symbole
62 Foyers et distances focales d une lentille mince rappel : tout rayon passant par le centre optique O n est pas dévié rayon incident // axe optique émergent foyer image F rayon incident foyer objet F émergent // axe optique relation entre f et f pour une lentille mince : f = - f lentille mince : les foyers F et F sont symétriques par rapport à O
63 exemple : lentilles convergentes F et F réels F F O distance focale image f : position de F f' = OF' > 0 distance focale objet f : position de F f = OF < 0 rappel : relation entre f et f pour une lentille: f = - f
64 Relation fondamentale de conjugaison (lentilles) lentilles minces placées dans l air approximation de Gauss relation algébrique de conjugaison : = p' p f' p = OA p' = OA' f' = OF' axe orienté : sens de propagation de la lumière
65 Puissance (ou vergence) d une lentille définition vergence : V = 1 f' remarque lentille convergente : V positif lentille divergente : V négatif
66 association de 2 lentilles minces accolées Système optique équivalent à une lentille unique de puissance V V = V 1 + V 2
67 Grandissement transversal rappel : définition γ= A 'B' AB γ > 0 image droite γ < 0 image renversée propriété γ = p' p (lentilles)
68 Correction des amétropies à l aide de lentilles but de la correction : punctum remotum à l infini image sur la rétine cas de la myopie méthode : lentille correctrice divergente (vergence négative) objet à l infini rétine
69 cas de l hypermétropie méthode : lentille correctrice convergente (vergence positive) objet à l infini rétine
70 cas de l astigmatisme régulier équivalence : double amétropie sphérique exemple : astigmatisme myopique composé = myopie de x dioptries méridien vertical myopie de y dioptries méridien horizontal lentilles correctrices : combinaison de verres avec des rayons de courbure différents dans les 2 méridiens
71 calcul de la correction d une amétropie sphérique, par une lentille Principe Objet à l infini image finale sur la rétine sans accommodation Méthode image finale sur la rétine nécessité objet en A PR (œil) objet à l infini image intermédiaire de cet objet par la lentille doit être située sur A PR F lentille A PR
72 Calcul de la puissance du verre correcteur Schéma (cas de l hypermétropie) F lentille O S A PR rétine Calcul de la correction (myopie et hypermétropie) f ' = OF lentille 'lentille OF ' lentille = OS + SF' lentille = OS + SA PR V = f ' 1 lentille = h + 1 p PR h petit
73 cas de l hypermétropie p PR > 0 V > 0 lentille convergente cas de la myopie p PR < 0 V < 0 lentille divergente
74 Eléments de perception visuelle
75 Sensibilité de l œil à la lumière en vision diurne (photopique) : fortes valeurs de luminance λ = 555 nm sensibilité maximale lumière verte en vision nocturne (scotopique) : faibles valeurs de luminance λ = 510 nm sensibilité maximale lumière bleue-verte (non perçue) effet Purkinje : courbes d efficacité lumineuse V λ 1 scotopique photopique 0, λ(nm)
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.
Plus en détailLes bases de l optique
Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter
Plus en détailChapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement
Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Puissance Pouvoir de résolution ou pouvoir séparateur Champ 2 l œil comme
Plus en détailOPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS
OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailSéquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire
Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailFaculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011
Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailBien voir pour bien conduire
Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception
Plus en détailEnseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales
Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailSéquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision
Séquence 8 De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Sommaire Pour s interroger 1. La vision : de la lumière au message nerveux 2. La vision : la perception visuelle, une construction cérébrale
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailLE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS
LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailAiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure
AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailAiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure
AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailLa Fibre Optique J BLANC
La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailErgonomie dans les services publics Expérience du service Empreva. Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva
Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva SICPPT fédéral AFFILIES Comité de gestion SIPPT 1 SIPPT SIPPT n 2 EMPREVA Management Office
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLunettes et Maquillage TECHNIQUE MAQUILLAGE
TECHNIQUE MAQUILLAGE 20 Lunettes et Maquillage Comment se maquiller quand on porte des lunettes ou des lentilles? Quelle monture privilégier en fonction de sa forme de visage? Quelles couleurs choisir?
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa perspective conique
La perspective conique Définitions et principes. Deux cas de la perspective conique : la perspective conique oblique et la perspective conique centrale. Principe de la perspective conique : . La perspective
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailComment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE
Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS SESSION 2014 ÉPREUVE : PHYSIQUE-CHIMIE Durée : 2 heures Coefficient : 2 La calculatrice (conforme à la circulaire N 99-186 du 16-11-99) est autorisée. La clarté
Plus en détailImmersion - Vision 3D dans la RV.
Cours RVS Master II IVA Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours de Réalité Virtuelle et Simulation Master II - IVA A. Mebarki - Maître de Conférences Département d'informatique Faculté des Mathématiques
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailLeica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.
Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailP R O PA G AT I O N & C O U L E U R S
P R O PA G AT I O N & C O U L E U R S Modèle de l oeil, lentilles, miroirs, couleurs, synthèse additive et soustractive L ensemble permet une approche globale et simple des phénomènes optiques : propagation
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailEnsemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact
Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR
Plus en détailLa Photographie - Page 1 / 13
La Photographie - Page 1 / 13 Table des matières 1. Généralités sur la lumière... 3 2. La photographie... 5 2.a. Le support... 5 2.a.i. L argentique... 5 2.a.ii. Le numérique... 6 3. L outil appelé appareil
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailSur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile
Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailCollection de photos échantillons
Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailLes lasers Risques et prévention
Les lasers Risques et prévention I Interaction laser tissu Effet Effet Effet Effet photoablatif mécanique photodynamique thermique II Risques Œil Peau Autres risques III Évaluation du risque laser Classes
Plus en détailCOMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?
Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailQ6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?
EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailActivités de bureau. Travail avec l outil informatique. C.Chrétien - 09/12/2014 1
Activités de bureau Travail avec l outil informatique 1 Pourquoi cette information? Enquête DARES, 2007 : Environ 1 salarié sur 5 travaille plus de 4 heures par jour sur écran Evolution dans toutes les
Plus en détailSVP ISO - Sécurité & Protection
SVP ISO - Sécurité & Protection ETUDE PRESTATION-FOURNITURE / INDUSTRIE & SECURITE Site web: www.svp-securite.fr - E-mail: svptouati@caramail.com 04, rue LARBI TEBESSI. 31200. Arzew - Oran - Tel / Fax:
Plus en détailConneCtez-vous au soleil. au soleil
ConneCtez-vous au soleil ConneCtez-vous au soleil «L éclairage intérieur est un trait de caractère majeur de l ambiance d un bâtiment. Une lumière naturelle engendre une sensation de bien-être et de confort
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLes interférences lumineuses
Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),
Plus en détailLE PROJOPHONE de Fresnel
LE PROJOPHONE de Fresnel Le principe général est assez simple : l'image de l écran est agrandie et projetée à l'aide de la lentille optique. Nous allons commencer par créer un élément dans lequel le téléphone
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailAccessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*
Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de
Plus en détailD ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs
D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailLA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE
LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau
Plus en détailConsigne : je remplis le tableau en tenant compte des informations de la ligne supérieure et de la colonne de gauche (droite pour les gauchers)
Découverte du monde : traiter deux informations Compétence : Savoir utiliser un tableau à double entrée. Matériel : - un plateau de jeu quadrillé : cinq lignes et cinq colonnes, - quatre pièces "couleur",
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailChapitre 13 Numérisation de l information
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailConsidérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil
Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS
Plus en détail