En comptabilité nationale, l optique des dépenses fournissait l équation suivante : Y = C + G + I + (X - M)
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- Pierre Monette
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1 Chapitre XIV Economie réelle et économie monétaire En économie réelle, on traite de I, de S, du taux d intérêt, de consommation, de revenu national. Peut-on représenter toutes ces relations en un seul graphe? Quand y a-t-il équilibre sur le marché des biens et services réels? D autre part, M T et M L interviennent sur le marché monétaire. M T est lié au revenu national. M L est fonction du taux d intérêt. Peut-on imaginer un équilibre sur le marché monétaire? 1. L ECONOMIE REELLE : IS En comptabilité nationale, l optique des dépenses fournissait l équation suivante : Y = C + G + I + (X - M) Simplifions. Supposons d abord que l action de l Etat est assimilable à celle des ménages : G = 0 et les dépenses de l Etat se retrouvent dans C. Supposons, en outre, qu on fasse abstraction du commerce international. Il s ensuit : Y = C + I D autre part, on a défini l épargne (S) comme la partie non consommée du revenu. Par conséquent, le revenu se scinde en deux parties : la consommation et l épargne. Il s ensuit évidemment que : Y = C + S I = S Cette égalité est représentée par la bissectrice (graphe 75). Jusqu ici nous avions étudié la fonction de consommation : C = A + cy. Simplifions-la : C = cy. Nous savons que : Y = C + S. Remplaçons C par sa valeur : Y = cy + S. D où : S = (1 - c) Y.
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3 Graphe 75 Relation entre I et S On peut immédiatement retrouver C puisque C = Y - S. Il suffit de tracer la bissectrice. O est un point de la bissectrice : OC = AC = Y 0 AC = BC + AB = Y = S + C Graphe 76 Relation entre S et Y Nous connaissons déjà la relation entre l investissement et le taux d intérêt nominal (i). Nous allons remplacer le taux d intérêt nominal par le taux réel symbolisé par R. Nous allons tenter de tracer toutes ces relations sur un même graphe (graphe 77). Commençons par le quadrant I (au-dessous à gauche). La bissectrice établit la relation entre I et S. A deux niveaux de S, à savoir S 1 et S 2, correspondent deux niveaux de I, à savoir I 1 et I 2.
4 Graphe 77 Relations entre R, I, S et Y Dans le quadrant II (en haut à gauche), on maintient horizontalement les investissements comme axe. On sait que ces investissements sont fonction du taux d intérêt réel (R). A un taux d intérêt (R 1 ) correspond un niveau d investissement bas : I 1 ; à un taux d intérêt bas (R 2 ) correspond I 2. Le quadrant III (au-dessous, à droite), garde comme axe vertical l épargne et établit la relation entre S et Y. A partir de ces trois quadrants, on va construire le quatrième. Partons d un taux d investissement donné : I 1. A ce taux d investissement correspond R 1. R 1 constitue aussi un point de l ordonnée du quatrième quadrant. Comment trouver l abscisse? En partant de I 1, je descends du deuxième au premier quadrant et je trouve sur la bissectrice un S1 correspondant. En passant du premier au troisième quadrant, je trouve le niveau du revenu national qui «fournit» S 1, à savoir Y 1. J ai dès lors les coordonnées du point A : R 1, Y 1. Quelle est la signification économique de A? A une combinaison donnée du taux d intérêt (R 1 ) et du revenu (Y 1 ) correspond un équilibre sur le marché de biens et services, sur le marché réel. En partant de I 2, on trouve par un raisonnement identique, le point B. En joignant les deux points, on définit la courbe IS qui représente tous les points d équilibre pour chaque combinaison (R, Y). Examinons ceci de plus près. La courbe IS descend de gauche à droite. Cela signifie aussi que la production (VA = revenus = production) est une fonction décroissante du taux d intérêt. R 2 < R 1 et Y 2 > Y 1.
5 Que signifie au juste «équilibre»? En fait, le jeu se joue avec un certain nombre d agrégats : Y, S et donc C, I et R. A un certain niveau de I correspond et un R déterminé et un S déterminé. La taille de Y est fonction de la propension à consommer. Dans le graphe 77, Y est fonction de la pente de la droite d épargne (troisième quadrant). 2. L ECONOMIE MONETAIRE : LM On a vu que M M T M L 1. Le graphe 78 illustre la relation entre M T et M L. Graphe 78 Relations entre M L et M T En B : M L =O et M=OB=M T. En A : M T =O et M=OA=M L. Sur n importe quel point de AB, par exemple le point C, la somme de (M L +M T ) est égale à M. Nous connaissons maintenant tous les résultats pour construire le «diagramme monétaire» (graphe 79). 1 En terminologie anglo-saxonne, on utilise DM S pour M L. DM S symbolise «speculative demand for money», à savoir la demande de monnaie «pour le motif de liquidité». Parallèlement DMT symbolise la «transaction demand for money».
6 Graphe 79 Relations entre R, M L, M T et Y. Dans le deuxième quadrant (en haut à gauche), on trace la relation bien connue entre le taux d intérêt (R), et la demande de monnaie M L. Dans le premier quadrant (en bas à gauche), on reprend la relation qu on vient d étudier. Dans le troisième quadrant, on symbolise la relation entre Y et M T : M T = k Y. A partir des trois premiers quadrants, on peut construire le quatrième. A un niveau de R, par exemple R 1, correspond un M L1 qui définit un niveau M T1 et qui, à son tour, implique un certain niveau de Y, à savoir Y 1. On trouve ainsi un premier point. Un second point est défini de la même manière. En joignant les deux, on peut tracer ce qu il est convenu d appeler la courbe LM. Le marché monétaire est ainsi en équilibre : pour toute combinaison de R et de Y, on trouve un point d équilibre entre la demande de monnaie pour motif de transaction et la demande de monnaie pour motif de liquidité. 3. ECONOMIE REELLE ET ECONOMIE MONETAIRE : IS ET LM Graphe 80 IS et LM
7 Tous les points sur IS signifient un équilibre sur le marché rée ; de même tous les points sur LM signifient un équilibre sur le marché monétaire. A l intersection de IS et LM, il y a un équilibre général (E) entre marché réel et marché monétaire. Partons de ce point d équilibre. Supposons qu à un moment donné la masse monétaire augmente parce que la Banque centrale achète des certificats de trésorerie, réescompte davantage, achète plus de devises, etc. Que se passe-t-il? La courbe AB glisse vers la droite dans le graphe 81. A tout point de A B correspond une masse monétaire totale plus grande qu en AB. Refaisons le même raisonnement pour le premier quadrant du graphe monétaire. Si la masse monétaire s accroît, AB s éloigne à l origine. A un même taux d intérêt R 1 correspondra évidemment un même M L, mais une plus grande quantité de M T. Je reporte cet accroissement de M T dans le quadrant III Graphe 68 Accroissement de M où je me trouve plus en bas et plus à droite. Ce qui signifie que dans le quadrant IV, il y a un point correspondant à R 1 qui est situé à droite de LM. Faisant exactement le même raisonnement pour R 2, je déterminerai un autre point aussi situé à droite de LM. Par conséquent, un accroissement de la masse monétaire totale fait glisser LM vers la droite. Le graphe 69 montre ce qui intervient quand LM se déplace de LM 1 à LM 2.
8 Graphe 82 Déplacement de LM Interprétons ce graphe. SI IS reste constant, c est-à-dire s il n y a pas de modification de l équilibre du marché réel, un accroissement de la masse monétaire entraîne un glissement de M L vers la droite de LM 1 à LM 2. Ce qui signifie une baisse du taux d intérêt et un accroissement du revenu national de Y 1 à Y 2. Supposons maintenant qu il ne se passe rien sur le plan monétaire : LM est stable. En revanche, l économie réelle «bouge». Il faut reprendre le graphe «économie réelle» et plus spécialement le troisième quadrant. Il représente une relation entre S et Y. Voyons ce qu il advient si la propension à consommer passe de 0,80 à 0,85. La propension à épargner va évoluer de 0,20 à 0,15. Graphiquement on peut démontrer qu à un même taux d intérêt et donc à un même investissement, correspondra un niveau de Y plus élevé. Graphe 83 Modification de la propension à épargner A ce même taux d intérêt correspondra un point d équilibre à droite de IS. Le même raisonnement vaut pour un autre taux d intérêt. Donc la droite IS glisse vers la droite et vers le haut. Le graphe 84 représente cette évolution.
9 L ancien point d équilibre E 1, se déplace vers E 2 où les taux d intérêt sont supérieurs ainsi que le revenu national qui passe de Y 1 à Y 2. On peut évidemment se demander pourquoi, à un moment donné, les ménages décident de consommer plus et d épargner moins. Les raisons peuvent être «structurelles» : quand la sécurité sociale croît, l épargne qui peut servir à rencontrer des besoins de santé, d éducation ou de retraite décroît. Des raisons plus conjoncturelles peuvent aussi jouer. Les ménages voient «la vie en rose» et estiment qu il ne sert à rien d accumuler des épargnes de précaution. Du coup, ils consomment plus et «c» augmente. Graphe 84 Déplacement de IS 4. VARIATIONS DES TRACES DES COURBES Tout peut se dérouler autrement si le tracé des courbes se modifie. Pour illustrer cette affirmation, voyons ce qui se passerait si LM était une droite verticale. IS glisse de IS 1 à IS 2 comme dans le graphe 84. Au bout du compte, seul le taux d intérêt augmente. Le revenu national, lui, ne progresse pas. Graphe 85 LM est verticale
10 Cela signifie concrètement que dans ces conditions une politique gouvernementale qui vise à stimuler la consommation par un relâchement des crédits à la consommation, une diminution de la TVA sur les articles de consommation courante, etc. n aurait qu un seul résultat : augmenter les taux d intérêt (graphe 85) Un glissement identique de IS 1 à IS 2 n influence aucunement le revenu national. De même, si IS était verticale, un accroissement de la masse monétaire ferait glisser LM 1 vers LM 2 mais n aurait aucune répercussion sur le revenu national. Le taux d intérêt seul en serait affecté (graphe 86). Il passe de R 1 à R 2 et Y reste constant. Graphe 86 LM est verticale 5. CONCLUSIONS 5.1. La signification de IS et de LM Les courbes IS-LM constituent une belle construction qui se fonde sur d innombrables hypothèses simplificatrices qui posent des questions théoriques. Voyons-en quelques-unes Problèmes relatifs à I I I h I e I g Ih et Ie sont partiellement en relation avec R. D autres éléments jouent : le progrès technique, la concurrence, les modifications dans le revenu national, le climat des affaires. Ainsi en Belgique, de 1986 à 1998, les taux d intérêt n ont cessé de baisser, sans que les
11 investissements augmentent fortement. Faut-il en conclure que IS est verticale depuis dix ans? L évolution de Ig est indépendante du taux d intérêt Problèmes relatifs à C C est fonction de Y :C=cY et S=(1-c)Y. Nous avons vu que d autres déterminants définissent C et S (Duensenberry, Modigliani, Galbraith). C=cY constitue par conséquent une simplification Problèmes relatifs à M T et M L Le tracé de LM fait problème. Il y a d abord le «liquidity gap» qui pose que, quelle que soient les variations du taux d intérêt, il y aura toujours un certain niveau de M L. Pour tout niveau d intérêt au-dessous de, par exemple, R=2%. LM reste constant : une droite horizontale. A ce moment-là, IS et Y n affectent plus R. M=M T +M L mais on fait abstraction de la vitesse de la circulation de la monnaie. SI V varie, une injection de M peut maintenir M T constant L utilité de IS-LM Nonobstant toutes ces remarques, IS-LM permet néanmoins de mettre en lumière l interdépendance de la sphère réelle et de la sphère monétaire : rien ne se passe dans l une qui n affecte l autre. Jusqu ici nous avons considéré IS-LM en économique fermée. Les relations économiques internationales n affectaient ni IS, ni LM. Nous pourrions introduire la dimension internationale et «ouvrir» IS-LM au reste du monde. Dans le chapitre consacré à la politique économique, nous examinerons la politique budgétaire, la politique monétaire, la politique du taux de change. Pour rendre compte des effets théoriques de ces différentes politiques, nous pourrions recourir à IS-LM.
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