Exposé sur : Les barrières à l entrée. La chaîne de valeur. Les alliances stratégiques.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Exposé sur : Les barrières à l entrée. La chaîne de valeur. Les alliances stratégiques."

Transcription

1 Exposé sur : Les barrières à l entrée. La chaîne de valeur. Les alliances stratégiques.

2 Introduction I. Les barrières à l entrée. II. La chaine de Valeur. 1. Définition. 2. Effet de synergie. 3. Présentation de la chaîne de la valeur. 4. Les sources de création de la valeur. 5. Les limites de la chaîne de valeur. III. Les alliances stratégiques. Étude de cas : RMA WATANIYA. Conclusion.

3 .

4

5 1er groupe : Joe Bain (1956) et James Fergusson (1974) Bain : «Une barrière `a l entrée est un avantage que possèdent les offreurs installés dans un secteur sur les entrants potentiels, se reflétant dans la possibilité qu ont les firmes établies d élever leurs prix à long terme audessus du coût moyen minimum, sans induire l entrée de nouvelles firmes». Fergusson : «Une barrière à l entrée est un facteur qui rend l entrée non profitable tout en permettant aux firmes en place de fixer les prix au-dessus du coût marginal, et de gagner durablement des profits monopolistiques (quasirentes)».

6 2ème groupe : George Stigler (1968) et C.C. von Weizsäcker (1980) Stigler : «Une barrière à l entrée est un coût de production (à un certain niveau de production ou à tout niveau) qui doit être assumé par les entrants potentiels mais pas par les firmes déjà installées dans l industrie». von Weizsäcker : «Une barrière `a l entrée est un coût qui doit être assumé par une firme cherchant à entrer dans une industrie mais pas par les firmes déjà installées, impliquant une distorsion dans l affectation des ressources d un point de vue social».

7 Comparaison le premier groupe définit les barrières à partir de leurs résultats. Les définitions du deuxième groupe sont fondées sur les racines des barrières.

8

9 Une barrière à l entrée est un avantage que possèdent les offreurs installés dans un secteur sur les entrants potentiels. Cet avantage peut jouer sur le coût de production qui devient plus élevé, et donc sur le prix de vente qui serait de nature non compétitif. Et ces barrières peuvent être soit : Naturelles Ou Stratégiques

10

11 Barrières technologiques: technologie de pointe trop chère. Barrières légales: brevets d invention. Barrières de structure du marché: marché atomisé. Barrières gouvernementales: tarifs douanières et taxes trop élevés. Barrières politiques: climat politique perturbé.

12 L'innovation permet souvent de faire tomber partiellement ces barrières par: rendre obsolètes les investissements réalisés par les concurrents permettre de basculer d'une courbe d'expérience à l'autre remettre en cause les compétences clés sur un marché Les licences croisées.

13

14 Définition de la chaîne de valeur. permet de: -faire la distinction entre les activités de base et les fonctions de support. - identifier les lieux essentiels de création de la valeur manière à créer un effet de synergie entre les fonctions, pour la construction d un avantage compétitif.

15 Effet de Synergie et chaîne de Valeur La synergie : est un effet positif de complémentarité dans une organisation.

16 Présentation de La chaîne de Valeur

17 Les sources potentiels de création de la valeur.

18 L avantage par les coûts: - Détecter les coûts de fonctionnements des différentes activités créatrices de la valeur. - Déterminer les facteurs d évolution des coûts. - Évaluer les coûts des concurrents. - Élaborer une stratégie permettant d acquérir un avantage par les coûts.

19 L avantage par différenciation - Définir les critères d achats des clients et leur hiérarchie. - Déterminer les caractéristiques uniques de la chaîne de valeur. - Calculer ou évaluer le coût de la différenciation. - Prendre des mesures permettant de réussir durablement la différenciation.

20 L avantage par une meilleure coordination - Au niveau des liaisons entre les fonctions. - Au niveau des chaînes de valeurs de Fournisseur et du client.

21 Les limites de la chaîne de valeur.

22 . La mesure comptable de la valeur des activités reste pour l instant utopique. Pas de prise en considération de l environnement concurrentiel.

23 Avantages des alliances stratégiques Les entreprises alliées bénéficient en unissant leurs forces sur une activité donnée : Des effets de taille, d échelle et d éxpérience De la protection d une certaine marge de manoeuvre stratégique De la préservation de l identité et de la culture interne des entreprises alliées De la révérsibilite des décisions stratégiques

24 Typologie d alliances Alliances complémentaires Ce type unit des entreprises ayant des compétences et des contributions différentes mais complémentaires Alliances de co-intégration Entreprises concurrentes Réalisation des économies d échelle Alliances de pseudo-concentration les firmes alliées développent, produisent et commercialisent un produit commun Les compétences et contributions sont similaires

25 Distinction entre les trois types d alliances Alliances de cointégration Alliances de pseudoconcentration Alliances complémentaire s Objectifs Effet de taille sur un stade isolé du processus de production Effet de taille sur le produit complet, commun aux alliés Valorisation de la complémentarité des contributions Effets sur la concurrence La concurrence peut rester frontale La concurrence est neutralisée et se transforme en rivalités internes La concurrence directe est évitée par la différenciation

26 Structures des alliances Alliances de cointégration La mise en place et la gestion commune d une unité de production en joint-venture Alliances de complémentarite Des contrats de cessions entre les allies est suffisante donc il n y a pas besoin de créer une filiale commune Alliances de pseudoconcentration La mise en commun de certaines tâches ou la répartition entre partenaires de certaines autres

27

28 . Dates clés 2005 Création de la dénomination RMA Watanya Forme juridique Société anonymes Activité(s) Assurances et services financiers "Protection financière" Produit(s) Assurance vie, assurance dommages et gestionnaire

29 Conclusion

30 Merci Pour votre Attention

Concurrence imparfaite

Concurrence imparfaite Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,

Plus en détail

Régime d indemnités pour perte de salaire de RBC Assurances. Protégez vos employés tout en réalisant des économies

Régime d indemnités pour perte de salaire de RBC Assurances. Protégez vos employés tout en réalisant des économies Régime d indemnités pour perte de salaire de RBC Assurances Protégez vos employés tout en réalisant des économies Table des matières Protégez vos employés tout en réalisant des économies 1 Qu est-ce qu

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND

IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003 François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND *CREDEN-LASER, Université Montpellier 1 GREEN, Université Laval, Québec Introduction Partout

Plus en détail

De la mesure à l analyse des risques

De la mesure à l analyse des risques De la mesure à l analyse des risques Séminaire ISFA - B&W Deloitte Jean-Paul LAURENT Professeur à l'isfa, Université Claude Bernard Lyon 1 laurent.jeanpaul@free.fr http://laurent.jeanpaul.free.fr/ 0 De

Plus en détail

Franchiseurs, guidez vos franchisés vers le tremplin de la réussite

Franchiseurs, guidez vos franchisés vers le tremplin de la réussite sur BRED Banque Populaire - Société anonyme coopérative de banque populaire régie par les articles 512-2 et suivants du code monétaire et financier et l ensemble des textes relatifs aux banques populaires

Plus en détail

Bien utiliser le site energychallenge.be

Bien utiliser le site energychallenge.be Cher participant à l Energy Challenge, Ce manuel a pour but de vous expliquer pas à pas l inscription et l utilisation du site www.energychallenge.be. Ce site vous permet de suivre de près votre consommation

Plus en détail

Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter?

Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter? Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises Vers quelles formes de partenariats s orienter? Sommaire Définitions - rappels Les stratégies de croissance de l entreprise Les différentes

Plus en détail

Fiscalité internationale et prix de transfert

Fiscalité internationale et prix de transfert Fiscalité internationale et prix de transfert Etude de cas Master 2 économie et droit - 2014/2015 Julien Pellefigue Plan de la séance Répondre aux questions sur les notions clefs Etudes de cas Questions

Plus en détail

(613) 889-9491 (819) 243-6497 x 3421 Lucie.malette@groupeinvestors.com

(613) 889-9491 (819) 243-6497 x 3421 Lucie.malette@groupeinvestors.com Vos options pour votre indemnité Research council employees association Association des employés du conseil de recherche (613) 889-9491 (819) 243-6497 x 3421 Lucie.malette@groupeinvestors.com Lucie Malette,

Plus en détail

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure.

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Participants : Dr Evelyne Barraud, Martine Chevillard, Marie-José Dureau Mer, Isabelle Gouget,

Plus en détail

Introduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux

Introduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux Nom : Prénom : Num Etudiant : Groupe de TD : Introduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux PRECISEZ ICI SI VOUS AVEZ

Plus en détail

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,

Plus en détail

1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12

1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12 TABLE DES MATIÈRES Remerciements... 5 Préface... 7 Introduction... 11 1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12 A De l idéologie à la volonté politique... 12 B L enjeu

Plus en détail

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français

Plus en détail

(en millions d euros) 2013-2014 2012-2013

(en millions d euros) 2013-2014 2012-2013 supplémentaires.. POLITIQUE D INVESTISSEMENTS (en millions d euros) 01-01 01-01 Investissements corporels et incorporels et investissements chez les clients 9 1 Acquisitions de titres de participations

Plus en détail

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC

Plus en détail

gestion des processus La gestion des processus

gestion des processus La gestion des processus 1 La Pseudo parallélisme 2 Plusieurs programmes en mémoire Le processeur exécute les instructions tantôt pour l'un tantôt pour l'autre P1 P2 programme de supervision Vu de l'utilisateur => programmes en

Plus en détail

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 2 bis du 2 avril 2009 C2008-77 / Lettre du ministre de l économie, de l industrie et de l emploi du 28 octobre

Plus en détail

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN " PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL

Plus en détail

Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique

Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches

Plus en détail

Dossier de presse. Naissance du premier groupe de protection professionnel du monde de la santé et du social

Dossier de presse. Naissance du premier groupe de protection professionnel du monde de la santé et du social Dossier de presse Naissance du premier groupe de protection professionnel du monde de la santé et du social c o n f é r e n c e d e p r e s s e d u m a r d i 7 j u i l l e t 2015 pershing hall 49 rue pierre

Plus en détail

APPROCHE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL À L INTERNATIONAL

APPROCHE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL À L INTERNATIONAL international business experts APPROCHE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL À L INTERNATIONAL OUTILS ET CLÉS DE SUCCÈS Par Jalal Benbrahim, MD - Wink Consulting OBJECTIF DU SÉMINAIRE Partager les éléments à prendre

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Sage 50 Comptabilité. Solutions logicielles en nuage, sur place et hybrides : Qu'est-ce qui convient le mieux à votre petite entreprise?

Sage 50 Comptabilité. Solutions logicielles en nuage, sur place et hybrides : Qu'est-ce qui convient le mieux à votre petite entreprise? Sage 50 Comptabilité Solutions logicielles en nuage, sur place et hybrides : Qu'est-ce qui convient le mieux à votre petite entreprise? À titre de propriétaire de petite entreprise, vous devez bien sûr

Plus en détail

COMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002

COMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002 Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés

Plus en détail

Contact Center / Call Center. Qu est ce qu un Centre de Contacts?

Contact Center / Call Center. Qu est ce qu un Centre de Contacts? Qu est ce qu un Centre de Aujourd hui, les entreprises et les administrations proposent à leurs clients, prospects, usagers et partenaires de multiples façons d entrer en contact avec elles (le Guichet,

Plus en détail

Mise à jour gratuite vers HiPath OpenOffice EE V1. La solution d'entrée de gamme. Unified Communications

Mise à jour gratuite vers HiPath OpenOffice EE V1. La solution d'entrée de gamme. Unified Communications HiPath OpenOffice Offi Entry Edition Mise à jour gratuite vers HiPath OpenOffice EE V1 La solution d'entrée de gamme Unified Communications Licence gratuite pour mise à jour vers HOO EE V1 Jusqu'à fin

Plus en détail

ETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010

ETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010 ETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010 Analyse du marché départementale : nombre de ventes et locations et chiffre d affaires, prix de la concurrence, attente des prescripteurs et

Plus en détail

P R E - D O S S I E R V A E

P R E - D O S S I E R V A E Arrivé le.. Paiement.. D E M A N D E D E X P E R T I S E P R E - D O S S I E R V A E (V.A.E 2002) A retourner, accompagné du règlement pour participation aux frais d examen de recevabilité (100 euros)

Plus en détail

Bundesagentur für Arbeit. Trouver facilement et rapidement un poste en Allemagne. La JOBBÖRSE sur www.arbeitsagentur.de

Bundesagentur für Arbeit. Trouver facilement et rapidement un poste en Allemagne. La JOBBÖRSE sur www.arbeitsagentur.de La JOBBÖRSE sur www.arbeitsagentur.de INFORMATIONS POUR LES CANDIDATS ET CANDIDATES Trouver facilement et rapidement un poste en Allemagne Bundesagentur für Arbeit DE NOUVELLES VOIES POUR VOTRE RECHERCHE

Plus en détail

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2 Nouveau Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée Plus simple, plus riche, plus métier! Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée est la solution de référence pour vous accompagner dans votre gestion

Plus en détail

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le

Plus en détail

PILOTER LA PERFORMANCE COMMERCIALE LE TABLEAU DE BORD COMMERCIAL

PILOTER LA PERFORMANCE COMMERCIALE LE TABLEAU DE BORD COMMERCIAL PILOTER LA PERFORMANCE COMMERCIALE avec LE TABLEAU DE BORD COMMERCIAL Présenté par Olivier Condamines Conseil & formation Développement commercial Expert auprès du Business Innovative Center Montpellier

Plus en détail

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR Enquête sur la responsabilité sociale du scientifique Résultats détaillés Février 2007 Annexes La publication des données qui fondent

Plus en détail

PLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17

PLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17 PLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17 APERÇU DU PLAN Préparé pour le ministère de l Énergie et des Mines du Nouveau-Brunswick avec l'aide de Dunsky expertise en énergie Juillet 2014 Cette page est

Plus en détail

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE MIDI-PYRENEES --- N/Réf. : GO10 329 01 RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES Exercices 2003 à 2009 22 5.3 Les renégociations

Plus en détail

Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013

Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.

Plus en détail

LOI N 2006-01 portant Code des Postes

LOI N 2006-01 portant Code des Postes REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,

Plus en détail

Cher(e) ami(e) stagiaire,

Cher(e) ami(e) stagiaire, Aérodrome de Lognes-Emerainville 77185 LOGNES Tél : 0160057120 Fx : 0160055854 Courriel: ff.giraviation@gmail.com Cher(e) ami(e) stagiaire, Merci de l intérêt que vous portez à la giraviation. L hélicoptère

Plus en détail

Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.

Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu

Plus en détail

UE Marketing Stratégique

UE Marketing Stratégique UE Marketing Stratégique Modèles et Méthodes du Marketing Stratégique Les différents modèles et méthodes en Marketing Stratégique Introduction Analyse des besoins (du marché de référence) Analyse d attractivité

Plus en détail

Proposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval

Proposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval Suivi du Conseil syndical de novembre 2010 Proposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval Proposé par le confrère Yvon Brault Appuyé par le confrère Réal Quesnel Que le SFPQ produise rapidement

Plus en détail

Module 2 Glossaire Investissement Direct Etranger et Développement de l entreprise

Module 2 Glossaire Investissement Direct Etranger et Développement de l entreprise Module 2 Glossaire Investissement Direct Etranger et Développement de l entreprise Note: Il est possible que certains termes de la liste ne soient pas présentés de façon explicite pendant le cours. Accord

Plus en détail

Les métiers de l organisation du transport et de la logistique

Les métiers de l organisation du transport et de la logistique Les métiers de l organisation du transport et de la logistique Bac Pro Logistique Bac Pro Transport Avec le soutien de >>> Les métiers de l organisation du transport et de la logistique Définition des

Plus en détail

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève SOIXANTE-HUITIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A68/49 Point 24.1 de l ordre du jour provisoire 8 mai 2015 Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève Rapport du Directeur

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

Séminaire des chefs de centre

Séminaire des chefs de centre Hammamet Juin 2014 www.cnam.nat.tn Séminaire des chefs de centre Tableau de bord de gestion à mettre à la disposition d un chef de centre Achref GHORBEL Direction de Coordination Régionale Email: achref.ghorbel@cnam.nat.tn

Plus en détail

La consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises?

La consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises? La consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises? L industrie du transport aérien est connue pour la volatilité du prix des billets. Ce phénomène peut rendre

Plus en détail

Les investissements internationaux

Les investissements internationaux Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches

Plus en détail

- L arrivée, des deux épreuves se fera place du Chardonnet à Saumur.

- L arrivée, des deux épreuves se fera place du Chardonnet à Saumur. Règlement : 1- Généralités : Le Saumurban Trail est une épreuve pédestre organisée par le Club d Athlétisme du Pays Saumurois (CAPS), répondant à la réglementation des courses hors stade. 2- Lieux et horaires

Plus en détail

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge Rabat, le 16/11/2011 ans le cadre des missions d études prévues dans le jumelage entre l Office des Changes et les institutions françaises partenaires, une visite d étude a été effectuée en Belgique du

Plus en détail

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle

Plus en détail

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle

Plus en détail

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les

Plus en détail

TP 3 : LA SELECTION DES MARCHES ETRANGERS ET LES MODES DE DISTRIBUTION A L ETRANGER

TP 3 : LA SELECTION DES MARCHES ETRANGERS ET LES MODES DE DISTRIBUTION A L ETRANGER GACO S TP : LA SELECTION DES MARCHES ETRANGERS ET LES MODES DE DISTRIBUTION A L ETRANGER Cas n : SELECTION DES MARCHES CIBLES : AQUALUX / Pour appréhender ces marchés, les critères généraux et spécifiques

Plus en détail

Nouvelles de la société et du secteur 30 décembre 2014 au 2 janvier 2015

Nouvelles de la société et du secteur 30 décembre 2014 au 2 janvier 2015 Nouvelles de la société et du secteur 30 décembre 2014 au 2 janvier 2015 Dans ce numéro de Sans détour : France Taxe sur les transactions financières - La version 1.0.6 du guide d utilisation du client

Plus en détail

Qui sommes nous Aujourd hui Mamo TCV est l un des cabinets d avocats les plus actifs à Malte. Résultant de la fusion en 2000 de deux importants cabinets d avocats John Mamo & Associates et Tonna Camilleri

Plus en détail

Contribution des industries chimiques

Contribution des industries chimiques Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,

Plus en détail

Virtualisation et mutualisation Le cloud computing, un enjeu structurant et stratégique pour le secteur public. Paris, 4 mai 2011

Virtualisation et mutualisation Le cloud computing, un enjeu structurant et stratégique pour le secteur public. Paris, 4 mai 2011 Virtualisation et mutualisation Le cloud computing, un enjeu structurant et stratégique pour le secteur public. Paris, 4 mai 2011 1 20 Qu est- ce que le Cloud Computing? définitions applications pratiques

Plus en détail

Hôtellerie & Tourisme

Hôtellerie & Tourisme SALARY SURVEY 2014 & & Sélection et approche directe de cadres confirmés www.michaelpage.fr INTRODUCTION Michael Page & est une division de Michael Page, leader du conseil en recrutement, spécialiste de

Plus en détail

Mise en place d un outil ITSM. Patrick EYMARD COFELY INEO

Mise en place d un outil ITSM. Patrick EYMARD COFELY INEO Mise en place d un outil ITSM. Patrick EYMARD COFELY INEO CRiP Thématique Gouvernance & ITIL, Serveurs & Outillage de la Production 21/01/2014 Avant-Projet. GDFSUEZ > Branche BES > COFELY FSIM (France

Plus en détail

Cinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks)

Cinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks) Cinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks) Par Jean Estin Président, Estin & Co Il y a cinq véritables sources de création de valeur. La (profitable) Accélérer fortement la d un groupe.

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

Définition, typologie et méthodologie d évaluation des avantages immatériels dans le cadre du service universel postal

Définition, typologie et méthodologie d évaluation des avantages immatériels dans le cadre du service universel postal Mai 2010 Définition, typologie et méthodologie d évaluation des avantages immatériels dans le cadre du service universel postal Synthèse des principaux résultats de l étude confiée au cabinet WIK-Consult

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

RECHERCHER ACCÉDER PROTÉGER. Solutions professionnelles pour la protection et l exploitation sécurisée des données informatiques

RECHERCHER ACCÉDER PROTÉGER. Solutions professionnelles pour la protection et l exploitation sécurisée des données informatiques RECHERCHER ACCÉDER PROTÉGER Solutions professionnelles pour la protection et l exploitation sécurisée des données informatiques LAURÉAT du Concours Innovation TIC MADE IN FRANCE CONSOMMATION À LA CARTE

Plus en détail

(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS

(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS 23.4.2010 Journal officiel de l Union européenne L 102/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 330/2010 DE LA COMMISSION du 20 avril 2010 concernant l'application de l'article 101, paragraphe

Plus en détail

Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3

Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3 Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité

Plus en détail

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1 C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l

Plus en détail

INSCRIPTION EN LIGNE COMMENT ÇA MARCHE?

INSCRIPTION EN LIGNE COMMENT ÇA MARCHE? INSCRIPTION EN LIGNE COMMENT ÇA MARCHE? Une version haute définition de ce document sera prochainement publiée pour une meilleure qualité d affichage. L APSAP-VP modernise son processus d inscription et

Plus en détail

Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques

Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques F SCT/31/8 REV.4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 23 MARS 2015 Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques Trente et unième session Genève, 17 21

Plus en détail

Sondage de référence 2005 sur la satisfaction des clients du CRSH

Sondage de référence 2005 sur la satisfaction des clients du CRSH Rapport Final Conseil de recherches en sciences humaines du Canada 1 Réseau C i r c u m I n c. Conseil en gestion et en recherche 74, rue du Val-Perché Gatineau (Québec) J8Z 2A6 (819)770-2423, (819)770-5196

Plus en détail

Quel(s) modèle(s) économique(s) pour les logiciels libres?

Quel(s) modèle(s) économique(s) pour les logiciels libres? Quel(s) modèle(s) économique(s) pour les logiciels libres? Témoignage à l'issue de 9 mois d'activité... INRIA 30 Juin 2005 Pascal Flamand pflamand@janua.fr 0870 260 370 Avant propos... Les propos de cette

Plus en détail

Archivage : SaaS ou hébergé sur site? Avantages de TCO et gestion des risques

Archivage : SaaS ou hébergé sur site? Avantages de TCO et gestion des risques Archivage : SaaS ou hébergé sur site? Avantages de TCO et gestion des risques Livre blanc sur Proofpoint Enterprise Archive protection contre les menaces conformité archivage et gouvernance communications

Plus en détail

LA MODE SUR MESURE. DOSSIER DE RECAPITALISATION en 8 questions/réponses. l échoppe du couturier. la mode sur mesure

LA MODE SUR MESURE. DOSSIER DE RECAPITALISATION en 8 questions/réponses. l échoppe du couturier. la mode sur mesure LA MODE SUR MESURE l échoppe du couturier la mode sur mesure DOSSIER DE RECAPITALISATION en 8 questions/réponses 1. Nos activités? 1. Développement commercial d une offre globale d articles vestimentaires

Plus en détail

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica. Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application

Plus en détail

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796.

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Mars 2009. Rationaliser, Automatiser et Accélérer vos Projets Industriels

Livre Blanc Oracle Mars 2009. Rationaliser, Automatiser et Accélérer vos Projets Industriels Livre Blanc Oracle Mars 2009 Rationaliser, Automatiser et Accélérer vos Projets Industriels Introduction Pour relancer l économie, le gouvernement des États-Unis, l Union Européenne et la Chine ont développé

Plus en détail

GUIDE Gestion en ligne de votre compte pour la phytolicence (18/05/2015; v.4)

GUIDE Gestion en ligne de votre compte pour la phytolicence (18/05/2015; v.4) GUIDE Gestion en ligne de votre compte pour la phytolicence (18/05/2015; v.4) Attention! Les navigateurs recommandés pour obtenir un rendu optimal de l'application sont Internet Explorer 8 et 9. Il est

Plus en détail

L ACCOMPAGNEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES CANADIENNES DANS LEUR EXPANSION EN EUROPE

L ACCOMPAGNEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES CANADIENNES DANS LEUR EXPANSION EN EUROPE L ACCOMPAGNEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES CANADIENNES DANS LEUR EXPANSION EN EUROPE CARREFOUR EUROPE 6 NOVEMBRE 2013 Présenté par: Équipe internationale, Banque Nationale du Canada 1 Contexte Situation

Plus en détail

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 Entre : La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources

Plus en détail

Masters Professionnels

Masters Professionnels École Pégase Masters Professionnels Management de projets RH Formation en alternance / Contrat de Professionnalisation 2 jours à l école et 3 jours en entreprise Objectif : Ces Masters ont pour but de

Plus en détail

Kamtel. Briefing initial. Etude de cas Kamtel_1

Kamtel. Briefing initial. Etude de cas Kamtel_1 Etude de cas Kamtel_1 Kamtel Briefing initial Votre nom est Henri DUPONT, vous êtes situé à Amsterdam, vous travaillez pour TVD, un éditeur de logiciels. Les produits de TVD sont des applications CRM.

Plus en détail

Le Modèlecibledu gaz 11/09/2013

Le Modèlecibledu gaz 11/09/2013 Congrès AFG Le Modèlecibledu gaz 11/09/2013 ENERGY MANAGEMENT TRADING1 Agenda Des succès (émergence de places de marché), mais des difficultés de mise en œuvre réelles Le Bundling de capacité Différents

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se

Plus en détail

Prévention ASSistance Responsabilité Civile des Mandataires Sociaux RENSEIGNEMENTS D ORDRE GÉNÉRAL SUR LE PROPOSANT

Prévention ASSistance Responsabilité Civile des Mandataires Sociaux RENSEIGNEMENTS D ORDRE GÉNÉRAL SUR LE PROPOSANT Cachet et Code de l intermédiaire AXA ENTREPRISES Service destinataire RENSEIGNEMENTS D ORDRE GÉNÉRAL SUR LE PROPOSANT Dénomination sociale et forme juridique :........ Adresse du siège social :.............

Plus en détail

DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE

DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE BUSINESS PLAN Partie 1 : Présentation de votre projet 1 Vous êtes prêt à créer votre entreprise? Ce dossier va vous permettre de préciser et de mettre en forme votre projet

Plus en détail

ACTUALISATION DU DOCUMENT DE BASE

ACTUALISATION DU DOCUMENT DE BASE Société anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital de 8 689 729,60 euros Siège social : 41, parc Club du Golf, 13856 Aix-en-Provence Cedex 3 399 275 395 RCS Aix-en-Provence ACTUALISATION

Plus en détail

glossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.

glossaire Appellation commerciale Voir nom de marque. glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé

Plus en détail

Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres

Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres Justitia et Pace Institut de Droit international Session de Lisbonne - 1995 Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres (Quinzième Commission, Rapporteur : M. Andreas Lowenfeld)

Plus en détail

Résultats de l exercice 2014 Paris, 20 mars 2015

Résultats de l exercice 2014 Paris, 20 mars 2015 Résultats de l exercice 2014 Paris, 20 mars 2015 NOTRE PROFIL Solutions logicielles pour l optimisation des flux vidéo multi-écrans INNOVATION Création en 2003 Des logiciels aux avantages compétitifs décisifs

Plus en détail

Experts de Bologne /////////// Guide pratique. pour la mise en place du Supplément au diplôme. 2e 2f.fr

Experts de Bologne /////////// Guide pratique. pour la mise en place du Supplément au diplôme. 2e 2f.fr Experts de Bologne /////////// Guide pratique pour la mise en place du Supplément au diplôme 2e 2f.fr POURQUOI CE GUIDE? > De nombreux établissements d enseignement supérieur désirent mettre en place

Plus en détail

Cours 3 : L'ordinateur

Cours 3 : L'ordinateur Cours 3 : L'ordinateur Abdelkrim Zehioua 2éme année Licence Gestion Faculté des sciences Économiques et sciences de Gestion Université A, Mehri - Constantine 2 Plan du cours 1.Définitions de l'ordinateur

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

FPP 5 rue de Vienne 75008 PARIS www.propiscines.fr COLLEGE : «VENTE AUX CONSOMMATEURS»

FPP 5 rue de Vienne 75008 PARIS www.propiscines.fr COLLEGE : «VENTE AUX CONSOMMATEURS» FPP 5 rue de Vienne 75008 PARIS www.propiscines.fr COLLEGE : «VENTE AUX CONSOMMATEURS» Document à remplir soigneusement et à retourner à la FPP accompagné des pièces suivantes : Un extrait K bis de votre

Plus en détail