PARTIE I. La spécificité de la coordination euro-méditerranéenne illustrée par l exemple euro-tunisien 21

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PARTIE I. La spécificité de la coordination euro-méditerranéenne illustrée par l exemple euro-tunisien 21"

Transcription

1 Table des matières Remerciements Préface Avant-propos I. Le modèle euro-tunisien de coordination de sécurité sociale XII II. Une coordination euro-méditerranéenne perfectible Principales abréviations utilisées Sommaire V IX XI XIV XVII XIX Introduction 1 A. La Tunisie, premier pays du Maghreb bénéficiaire d une coordination euro-méditerranéenne 8 B. Le développement de la dimension extérieure de la question sociale 11 C. Vingt ans après : la coordination euro-méditerranéenne existe-t-elle? 18 PARTIE I. La spécificité de la coordination euro-méditerranéenne illustrée par l exemple euro-tunisien 21 Chapitre 1. Des bénéficiaires sélectionnés (ratione personae) 25 Section 1. Les travailleurs migrants, une inclusion sélective 28 A. Critère 1 : l extranéité 28 B. Critère 2 : la légalité de l activité exercée L exercice légal de l activité au sens de l accord euro-méditerranéen Séjour et exercice régulier de l activité du migrant en droit de l Union 34 a. Le droit de séjour du migrant 34 b. Le séjour à vocation professionnelle du migrant Exemple de législation d un État membre d accueil, la France 37 a. Les dispositions communes 38 b. Les accords de mobilité à vocation professionnelle 40 C. Critère 3 : Être travailleur salarié ou membre de la famille d un travailleur Le travailleur migrant, un premier bénéficiaire privilégié 42 a. L interprétation prétorienne de la notion de travailleur 42 i. La technique par analogie 42 ii. Le travailleur selon les accords euro-méditerranéens 44 b. La notion de travailleur salarié au sens du futur régime d association 47

2 304 Union européenne et Maghreb : protection sociale des travailleurs migrants 2. Les membres de la famille, des bénéficiaires pas vraiment secondaires 49 a. La notion de «membre de famille» du travailleur 50 i. L interprétation prétorienne des membres de la famille 50 ii. Les membres de la famille, vers une définition commune? 52 b. La résidence avec le travailleur migrant 56 i. La détermination du lieu de résidence 56 ii. Résider avec le travailleur dans un logement unique? 60 iii. Les limites du projet d extension du champ d application personnel 62 c. Les membres de la famille, bénéficiaires d un droit propre 63 d. L articulation avec la directive 2003/86/CE 65 Section 2. Les exclus de la coordination euro-méditerranéenne 69 A. L insuffisance de la nationalité du ressortissant 69 B. L absence de texte européen étendant le cercle des bénéficiaires 71 C. Mobilité et labeur, conditions d accès aux bienfaits de la coordination 74 Chapitre 2. Une acception de la sécurité sociale en pointillé (ratione materiae) 79 Section unique. La notion euro-méditerranéenne de la sécurité sociale 79 A. La sécurité sociale, une interprétation commune La notion de sécurité sociale selon les accords de coopération La sécurité sociale selon les accords euro-méditerranéens L avenir de la notion de sécurité sociale dans les futurs régimes d association 83 B. La notion de législation sociale 84 C. L intérêt d une définition commune du champ d application matériel 86 Conclusion de la partie I 89 PARTIE II. Les fragilités de la coordination euro-méditerranéenne révélées par la coopération euro-tunisienne 91 Chapitre 1. L unicité de la législation applicable : un principe absent 95 Section 1. La détermination de la législation applicable dans les accords euro-méditerranéens 95 A. L omission de l unicité de la législation applicable 95 B. La lex loci laboris dans les accords euro-méditerranéens La discrète loi du lieu d activité Les déplacements complexes, lacunes des accords 98 C. La lex loci domicilii, une application spécifique 99 Section 2. Le rôle complémentaire des conventions bilatérales dans la détermination de la législation applicable 100 A. L unicité de la législation applicable, un principe non communément admis 100 B. Les dérogations face aux situations complexes 101 C. La résidence, correcteur de la lex loci laboris 102 Chapitre 2. L égalité de traitement, un principe fortement contentieux 105 Section 1. Le principe de non-discrimination, un principe majeur 106

3 Table des matières 305 A. L absence de discrimination en raison de la nationalité, une finalité constante de la coopération euro-méditerranéenne La non-discrimination dans le domaine de la sécurité sociale, un objectif commun (Im)précisions terminologiques pour une finalité bien déterminée 108 B. La lutte contre toutes les discriminations en raison de la nationalité La discrimination, une notion à caractériser 110 a. Dans les accords euro-méditerranéens 110 b. Dans le droit de l Union 111 c. Dans le droit européen 114 i. Le principe de non-discrimination dans les textes 115 ii. La discrimination en raison de la nationalité selon la Cour eur. D.H. 117 iii. L influence du droit européen L affirmation de la prohibition de l ensemble des discriminations 123 a. Les discriminations directes 123 b. Les discriminations indirectes 124 c. L assimilation des faits en question 127 C. L effectivité du principe, l œuvre de la Cour La consécration de l effet direct du principe de non-discrimination Adhésion et évolution de l effet direct devant le juge français de cassation 135 Section 2. Le principe de non-discrimination, un principe en demi-teinte 139 A. Les insuffisances du caractère discriminant de la nationalité L exception des allocations familiales 140 a. La mobilité des enfants du travailleur, condition d octroi des prestations familiales 140 b. L assimilation de situation refusée aux prestations familiales 141 c. Les solutions apportées par les conventions bilatérales Les limites de la prohibition des discriminations 144 a. Non-discrimination et antériorité de la résidence 145 i. La condamnation des conditions d antériorité de résidence 145 ii. L antériorité de la résidence par le titre de séjour, une atteinte à un droit fondamental? 148 b. La non-discrimination dans l accès aux prestations non contributives, une faveur récompensant l intégration? 151 i. Le degré réel d intégration face au «tourisme social» 151 ii. La régularité du séjour du citoyen, condition d accès à l égalité de traitement 155 c. La sévère appréciation de la résidence habituelle des «Chibanis» 162 B. Les insuffisances des accords euro-méditerranéens La nationalité, limite de l articulation avec les conventions bilatérales Le principe de non-discrimination au sens des accords face à l avenir 168

4 306 Union européenne et Maghreb : protection sociale des travailleurs migrants a. Le volet social des multiples instruments de migration économique 168 b. L égalité de traitement, une future norme minimale commune en droit de l Union 176 Chapitre 3. L exportation des prestations, un principe aux exigences minimales 179 Section 1. Les fragilités du principe de transfert des prestations dans la coordination euro-méditerranéenne 180 A. Le transfert des prestations dans les accords euro-méditerranéens Le restreint champ d application matériel de la portabilité 180 a. Les prestations exportables selon les accords de coopération et d association 181 b. Les projets de décision du Conseil d association, la continuité 182 c. Les prestations exportables selon les règlements européens 183 d. Le risque dépendance, des travailleurs migrants non concernés? Le restreint champ d application personnel 187 a. La résidence des ayants droit du travailleur migrant en question 188 b. La condition de résidence, un préalable envisagé? 190 c. La résidence des ayants droit dans les textes européens Le restreint champ d application territorial L exclusion des prestations spéciales en espèces à caractère non contributif 196 B. L inaltération des prestations exportables 199 C. La portabilité, un principe encore en attente Les dispositions d application du Conseil d association, une exigence inflexible? Le refus prétorien de l effet direct 203 Section 2. Territorialité et transférabilité, un difficile équilibre 203 A. Exemple de transfert de prestation à long terme : la pension de vieillesse Le critère de la résidence dans les droits nationaux La portabilité dans les instruments de coordination 206 a. Dans les instruments européens de migration légale 207 b. Dans les accords bilatéraux 208 B. Exemple de transfert de prestation à court terme : allocation chômage Le critère de la résidence dans les droits nationaux L exclusion de la portabilité dans les instruments de coordination 213 a. Dans les instruments européens de migration légale 213 b. Dans les conventions bilatérales 213 C. La territorialité des prestations spéciales en espèces à caractère non contributif La mobilité des vieux travailleurs migrants bénéficiaires de l ASPA 214 a. L ASPA, une assignation à résidence sur le territoire français 214 b. L autre voie : la création d une prestation non contributive exportable GRAPA, ASPA et autres : la coordination euro-turque, une portabilité inattendue? 219

5 Table des matières 307 D. Transférabilité et accès aux prestations du nouvel État de résidence La mobilité des «retraités aux petites pensions» La mobilité des futurs patients 226 Chapitre 4. La totalisation des périodes d assurance, un principe aux limites territoriales 231 Section 1. La totalisation dans les accords euro-méditerranéens au soutien de la mobilité intra-européenne 232 A. Les limites de la totalisation dans la coordination euro-méditerranéenne Les limites spatiales Les limites matérielles L assimilation restreinte des périodes d assurance étrangères 235 B. Une totalisation avant-gardiste 236 C. Totalisation et mobilité intra-européenne du ressortissant tunisien L allocation chômage La pension de vieillesse 240 Section 2. La totalisation dans la zone euro-méditerranéenne 244 A. La totalisation dans les instruments de migration légale 244 B. La totalisation dans les conventions bilatérales L assurance maladie-maternité L allocation chômage La pension de vieillesse 247 C. Les migrants sans protection 249 Chapitre 5. La coopération administrative, un principe en attente 251 Section unique. La coopération administrative euro-méditerranéenne, un projet en suspens 251 A. Le rôle déterminant des institutions Le concours indispensable des institutions nationales Les institutions administratives spécifiques de la coordination européenne 252 B. La coopération dans les régimes d association, un projet inspiré de la coopération intra-européenne L ébauche d une coopération administrative euro-méditerranéenne L exportation des prestations à l extérieur de l Union sous surveillance 257 Conclusion de la partie II 259 Conclusion générale 263 Bibliographie 267 Table des décisions citées 285 Principaux accords étudiés 293 Index 297

ITIL. optimal. pour un service informatique. 2 e édition C H R I S T I A N D U M O N T. Préface de Patrick Abad

ITIL. optimal. pour un service informatique. 2 e édition C H R I S T I A N D U M O N T. Préface de Patrick Abad C H R I S T I A N D U M O N T Préface de Patrick Abad ITIL pour un service informatique optimal 2 e édition Groupe Eyrolles, 2006, 2007, ISBN : 978-2-212-12102-5 Introduction..................................................

Plus en détail

Pôle emploi international Service juridique Expaconseil. La protection sociale du salarié en poste à l étranger

Pôle emploi international Service juridique Expaconseil. La protection sociale du salarié en poste à l étranger La protection sociale du salarié en poste à l étranger La sécurité sociale française distingue deux statuts : le détachement et l expatriation. Pour résumer il est possible de dire que le détacher reste

Plus en détail

L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE. Controle et assurance. Jacques Charbonnier. larcier

L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE. Controle et assurance. Jacques Charbonnier. larcier L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE Controle et assurance Jacques Charbonnier larcier TABLE DES MATTERES Du meme auteur Table des matieres Abreviations Sigles Remerciements Avant-propos VII ix XVII XIX xxi

Plus en détail

CONTRAT DE TRAVAIL DU SALARIÉ FRANÇAIS DANS LE CADRE D'UN DÉTACHEMENT OU D'UNE EXPATRIATION. Généralités

CONTRAT DE TRAVAIL DU SALARIÉ FRANÇAIS DANS LE CADRE D'UN DÉTACHEMENT OU D'UNE EXPATRIATION. Généralités I MAJ.05-2015 SOMMAIRE A - CONTRAT DE TRAVAIL INTERNATIONAL CONTRAT DE TRAVAIL DU SALARIÉ FRANÇAIS DANS LE CADRE D'UN DÉTACHEMENT OU D'UNE EXPATRIATION A10 A10 CRITÈRES DE DISTINCTION ENTRE LA SITUATION

Plus en détail

Erol GIRAUDY et Martine ROBERT LE GUIDE JURIDIQUE DU PORTAIL INTERNET/INTRANET

Erol GIRAUDY et Martine ROBERT LE GUIDE JURIDIQUE DU PORTAIL INTERNET/INTRANET Erol GIRAUDY et Martine ROBERT LE GUIDE JURIDIQUE DU PORTAIL INTERNET/INTRANET SOMMAIRE REMERCIEMENTS ET PRÄSENTATION DES RELECTEURS III PRÄSENTATION DES CO-AUTEURS V AVERTISSEMENT VII PREAMBULE XVII PREMIERE

Plus en détail

AVIS N 118 DU 13 FEVRIER 2009 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES, RELATIF A LA PROPOSITION DE DIRECTIVE PORTANT

AVIS N 118 DU 13 FEVRIER 2009 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES, RELATIF A LA PROPOSITION DE DIRECTIVE PORTANT AVIS N 118 DU 13 FEVRIER 2009 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES, RELATIF A LA PROPOSITION DE DIRECTIVE PORTANT MODIFICATION DE LA DIRECTIVE 86/613/CEE SUR L APPLICATION

Plus en détail

DISPOSITIF D ABAISSEMENT DE L ÂGE DE LA RETRAITE POUR LES FONCTIONNAIRES AYANT COMMENCÉ TÔT LEUR ACTIVITE PROFESSIONNELLE

DISPOSITIF D ABAISSEMENT DE L ÂGE DE LA RETRAITE POUR LES FONCTIONNAIRES AYANT COMMENCÉ TÔT LEUR ACTIVITE PROFESSIONNELLE DISPOSITIF D ABAISSEMENT DE L ÂGE DE LA RETRAITE POUR LES FONCTIONNAIRES AYANT COMMENCÉ TÔT LEUR ACTIVITE PROFESSIONNELLE TEXTES Loi n 2004-1484 du 30 décembre 2004 de finances pour 2005 Article 119 :

Plus en détail

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Introduction.................................................. 1 Mesurer l efficacité des services informatiques................. 1 La réduction des coûts......................................

Plus en détail

Les allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment?

Les allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment? Les allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment? chapitre 1 Dix-huit ans! âge de la majorité, de l autonomisation, des premiers pas dans la vie adulte. Mais aussi de toute une série de droits

Plus en détail

Le Fair use et le Fair dealing : Étude de droit comparé

Le Fair use et le Fair dealing : Étude de droit comparé Le Fair use et le Fair dealing : Étude de droit comparé Monsieur Pierre EL Khoury On peut se procurer le présent ouvrage à: Les Éditions Thémis Faculté de droit, Université de Montréal C.P. 6128, Succ.

Plus en détail

Guide pratique et juridique de l expatrié

Guide pratique et juridique de l expatrié Yannick AUBRY Guide pratique et juridique de l expatrié Quatrième édition Éditions d'organisation, 1999, 2001, 2003, 2004 ISBN : 2-7081-3157-5 III SOMMAIRE INTRODUCTION... 1 Partie 1 - LA CHECK-LIST DE

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES 581. Chapitre I. La cause des femmes 9. Chapitre II. De la Cause au Sujet des femmes : le volcan et le fond 19

TABLE DES MATIÈRES 581. Chapitre I. La cause des femmes 9. Chapitre II. De la Cause au Sujet des femmes : le volcan et le fond 19 TABLE DES MATIÈRES 581 Table des matières Sommaire 5 Avant-propos 7 Chapitre I. La cause des femmes 9 Chapitre II. De la Cause au Sujet des femmes : le volcan et le fond 19 Section I. Eyjafjallajökull!!

Plus en détail

Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...

Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux... Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les

Plus en détail

PARTIE I INTERPRETATION DE LA LOI ET CORRECTION DE SES EFFETS EN DROIT PRIVE 7

PARTIE I INTERPRETATION DE LA LOI ET CORRECTION DE SES EFFETS EN DROIT PRIVE 7 Table des illustrations XXII Bibliographie XXIII Autres documents utilisés XLVII Liste des abréviations XLIX INTRODUCTION 1 1 Choix du sujet 3 1.1 Interprétation économique et évasion fiscale : les instruments

Plus en détail

ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE

ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE Madrid, le 14 janvier 1985 ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Préface... Introduction... 1

TABLE DES MATIÈRES. Préface... Introduction... 1 TABLE DES MATIÈRES Préface................................................ VII Introduction........................................... 1 CHAPITRE 1. Création de valeur en matière de trésorerie........

Plus en détail

DROITS ET MES OBLIGATIONS?

DROITS ET MES OBLIGATIONS? JE PARS À LA RETRAITE QUELS SONT MES DROITS ET MES OBLIGATIONS? PRÉSENTATION DE L AVS 1er pilier du système de sécurité sociale suisse sse Obligatoire Couvre les besoins vitaux Principe de la solidarité

Plus en détail

La nouvelle législation relative aux volontaires

La nouvelle législation relative aux volontaires O Les dossiers d'asbl Actualités Co3 2007 - Dossier n 1 La nouvelle législation relative aux volontaires Sous la coordination de Michel DAVAGLE Michel DAVAGLE Daniel DUMONT Christian FISCHER Julie HENKINBRANT

Plus en détail

Table des matières I. GÉNÉRALITÉS

Table des matières I. GÉNÉRALITÉS TABLE DES MATIÈRES Table des matières VII I. GÉNÉRALITÉS LOI SUR LE CONTRAT D'ASSURANCE TERRESTRE ET ARRÊTÉS D'EXÉCUTION 25 JUIN 1992. LOI sur le contrat d'assurance terrestre. (Mon. 20 août 1992) 3 24

Plus en détail

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002

Plus en détail

Première partie IMMUNITÉ ET JUSTICE : LES CONTRADICTIONS... 31. Titre 1 Contradiction des fondements et divergence des sources...

Première partie IMMUNITÉ ET JUSTICE : LES CONTRADICTIONS... 31. Titre 1 Contradiction des fondements et divergence des sources... TABLE DES MATIÈRES Remerciements......................................................................... 7 Préface.................................................................................... 9

Plus en détail

Vos droits en matière de sécurité sociale. en France

Vos droits en matière de sécurité sociale. en France Vos droits en matière de sécurité sociale en France Ce guide présente des informations préparées et mises à jour en étroite collaboration avec les correspondants nationaux du MISSOC, le système d'information

Plus en détail

Les planificateurs financiers

Les planificateurs financiers Les planificateurs financiers La nouvelle règlementation belge Par Christophe Steyaert Avocat Luxembourg, le 9 octobre 2014 1. Les objectifs de la nouvelle loi Ingénierie patrimoniale des «family offices»

Plus en détail

AMMA vous épaule en toutes circonstances.

AMMA vous épaule en toutes circonstances. L allocation gratuite de l INAMI pour médecins, dentistes, pharmaciens et kinésithérapeutes Maladie, accident, pension, AMMA vous épaule en toutes circonstances. A L L O C A T I O N I N A M I Qu est-ce

Plus en détail

Service Public Fédéral FINANCES ---------------------------------------- Expertise et support stratégique. Bruxelles, le 11 décembre 2012

Service Public Fédéral FINANCES ---------------------------------------- Expertise et support stratégique. Bruxelles, le 11 décembre 2012 Service Public Fédéral FINANCES ---------------------------------------- Expertise et support stratégique Bruxelles, le 11 décembre 2012 Administration des Affaires Fiscales ----------------------------------------

Plus en détail

La protection sociale en France

La protection sociale en France 18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir

Plus en détail

PARTIE 1. Phénoménologie

PARTIE 1. Phénoménologie TABLE DES MATIÈRES Du même auteur........................................ Table des matières....................................... Abréviations........................................... Sigles.................................................

Plus en détail

Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE

Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE Table des matières 1. Introduction Présentation des 7 accords : Qu est-ce que les Accords bilatéraux et que vont-ils changer? Ce qui ne change pas 2. Libre

Plus en détail

COMPLEMENTAIRES SANTE ET DEDUCTIONS SOCIALES ET FISCALES : LES MUTUELLES UMC ET FIDAL VOUS EXPLIQUENT LES CONTRATS «RESPONSABLES»

COMPLEMENTAIRES SANTE ET DEDUCTIONS SOCIALES ET FISCALES : LES MUTUELLES UMC ET FIDAL VOUS EXPLIQUENT LES CONTRATS «RESPONSABLES» COMPLEMENTAIRES SANTE ET DEDUCTIONS SOCIALES ET FISCALES : LES MUTUELLES UMC ET FIDAL VOUS EXPLIQUENT LES CONTRATS «RESPONSABLES» Le système interprofessionnel de Sécurité Sociale est obligatoire : le

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA)

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Mixité des sources de financement, diversité des régimes de couverture maladie : l impératif de cohérence 2 ème Conférence nationale

Plus en détail

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit

Plus en détail

Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013

Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013 Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013 LE SYSTEME DES SOINS DE SANTE EN BELGIQUE 1. LA PROTECTION SOCIALE BELGE 2. LE FONCTIONNEMENT QUOTIDIEN

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION DIPLOMATIQUE...

TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION DIPLOMATIQUE... TABLE DES MATIÈRES REMERCIEMENTS... VII PRÉFACE....IX LISTE DES ABRÉVIATIONS... XXVII INTRODUCTION... 1 PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION

Plus en détail

fiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile

fiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile fiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile (Hors assistant maternel agréé) Vous recrutez un(e) salarié(e) pour vous aider à entretenir votre domicile et repasser votre linge. Vous souhaitez

Plus en détail

Plan d action du PDC concernant le franc fort

Plan d action du PDC concernant le franc fort Plan d action du PDC concernant le franc fort Vendredi 20 février 2015, à 16 h 45 Renseignements : Filippo Lombardi, président du groupe et conseiller aux Etats (TI), mobile : 079 620 64 65 Pirmin Bischof,

Plus en détail

7.11.2013 Journal officiel de l Union européenne L 297/51

7.11.2013 Journal officiel de l Union européenne L 297/51 7.11.2013 Journal officiel de l Union européenne L 297/51 RÈGLEMENT (UE) N o 1072/2013 DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 24 septembre 2013 concernant les statistiques sur les taux d intérêt appliqués

Plus en détail

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM DMED_PV(2010)1202_1 PROCÈS-VERBAL de la réunion du 2 décembre 2010

Plus en détail

EIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique

EIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique EIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique Nom du produit Description Engagement de Pension - EIP Un engagement individuel de pension d une société

Plus en détail

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur. INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES

Plus en détail

AssurMiFID. Feprabel

AssurMiFID. Feprabel AssurMiFID Feprabel 1 avril 2014 Extension des règles MiFID au secteur des assurances 1. Textes réglementaires 2. Champ d'application 3. Thèmes MiFID applicables 4. Thèmes MiFID avec application différenciée

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES PRÉFACE CHAPITRE PREMIER L ORGANISATION DE LA PROFESSION, LE STATUT ET LE CONTRÔLE DES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT

TABLE DES MATIÈRES PRÉFACE CHAPITRE PREMIER L ORGANISATION DE LA PROFESSION, LE STATUT ET LE CONTRÔLE DES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT droit bancaire général 1 TABLE DES MATIÈRES Inhoud.............................................................. 27 Table alphabétique.................................................... 53 Zaakregister..........................................................

Plus en détail

GUICHET UNIQUE DE CREATION D ENTREPRISE. Tél. (243) 8222.84.008/125.101.299 - E-mail : guce@guichetunique.cd - Web : www.guichetunique.

GUICHET UNIQUE DE CREATION D ENTREPRISE. Tél. (243) 8222.84.008/125.101.299 - E-mail : guce@guichetunique.cd - Web : www.guichetunique. GUICHET UNIQUE DE CREATION D ENTREPRISE Tél. (243) 8222.84.008/125.101.299 - E-mail : guce@guichetunique.cd - Web : www.guichetunique.cd CADRE RESERVE AU GUICHET UNIQUE Dossier N.. Reçu le.. Transmis le...

Plus en détail

Guy RAYMOND Maitre de Conferences ä la Faculte de Droit et des Sciences sociales de Poitiers Professeur ä l'ecole superieure de Commerce de Poitiers

Guy RAYMOND Maitre de Conferences ä la Faculte de Droit et des Sciences sociales de Poitiers Professeur ä l'ecole superieure de Commerce de Poitiers Guy RAYMOND Maitre de Conferences ä la Faculte de Droit et des Sciences sociales de Poitiers Professeur ä l'ecole superieure de Commerce de Poitiers DROIT DU MARKETING Les lois de la mercatique Preface

Plus en détail

Atelier-Formation SDS 2014 Retraite Internationale

Atelier-Formation SDS 2014 Retraite Internationale Atelier-Formation SDS 2014 Retraite Internationale Mission Spécialiste de la Protection Sociale Internationale o Expertise et Expérience en solutions Santé et Prévoyance internationales o Courtier Concepteur

Plus en détail

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION PORTAIL, INTRANET ET OUTILS DE COMMUNICATION : SHAREPOINT

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION PORTAIL, INTRANET ET OUTILS DE COMMUNICATION : SHAREPOINT REPUBLIQUE TUNISIENNE --*-- MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION PORTAIL, INTRANET

Plus en détail

Association «les Breumailles de la Bonne Eure» EHPAD de Bracieux 31, rue de Candy

Association «les Breumailles de la Bonne Eure» EHPAD de Bracieux 31, rue de Candy Association «les Breumailles de la Bonne Eure» EHPAD de Bracieux 31, rue de Candy 41250 BRACIEUX lesbreumailles1@gmail.com Site internet : http://www.cc-paysdechambord.fr/commune.asp?idpage=16394 Réunion

Plus en détail

Prévoyance et complémentaire santé : les modifications de la loi relative à la sécurisation de l emploi

Prévoyance et complémentaire santé : les modifications de la loi relative à la sécurisation de l emploi Prévoyance et complémentaire santé : les modifications de la loi relative à la sécurisation de l emploi SYNTHESE D EXPERTS Juillet 2013 SOMMAIRE 1 Généralisation de la couverture complémentaire santé...

Plus en détail

BANQUE POPULAIRE POUR L EPARGNE ET LE CREDIT Conditions générales de banque Applicables à compter du 01 janvier 2011

BANQUE POPULAIRE POUR L EPARGNE ET LE CREDIT Conditions générales de banque Applicables à compter du 01 janvier 2011 BANQUE POPULAIRE POUR L EPARGNE ET LE CREDIT Conditions générales de banque Applicables à compter du 01 janvier 2011 Libellés BPEC I- CONDITIONS D OUVERTURE DE COMPTES Dépôt initial 1.1 Comptes chèques

Plus en détail

LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015

LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015 LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015 Chapitre Ier : Créer de nouveaux droits pour les salariés Section 1 : De nouveaux droits individuels

Plus en détail

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS

STATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS STATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS Chapitre 1 : DISPOSITIONS GENERALES Article I. CONSTITUTION Sous la dénomination Les Moussaillons, il est constitué, conformément

Plus en détail

juin 2013 septembre 2012 Le crédit-temps www.cgslb.be

juin 2013 septembre 2012 Le crédit-temps www.cgslb.be juin 2013 septembre 2012 Le crédit-temps (CCT 103) www.cgslb.be Table des matières Introduction...5 Principes de base...5 Ce qui change par rapport à la CCT 77bis...6 Ce qui ne change pas par rapport à

Plus en détail

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET GESTION DE BASES DE DONNEES

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET GESTION DE BASES DE DONNEES REPUBLIQUE TUNISIENNE --*-- MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET

Plus en détail

FONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE

FONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE FONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE POLITIQUE : PLACEMENT La Fondation communautaire d Ottawa (FCO) est une fondation publique établie dans le but de subventionner un vaste éventail d activités

Plus en détail

ENREGISTREMENT COMPTABLE DE LA TVA

ENREGISTREMENT COMPTABLE DE LA TVA ENREGISTREMENT COMPTABLE DE LA TVA I- La comptabilisation de la tva collectée C est une facture normale. Pour indiquer la TVA collectée, le fournisseur utilise le compte 44571 TVA collectée. II- TVA déductible

Plus en détail

AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE. Investissements de création ou de modernisation pour les fermes auberges

AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE. Investissements de création ou de modernisation pour les fermes auberges Ce dossier est à adresser à : Monsieur Nicolas ROULY Président du Département de Seine-Maritime Hôtel du Département DEE/SAP Quai Jean Moulin CS 56101 76101 ROUEN CEDEX 1 AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE

Plus en détail

Université de Genève, Uni Mail. Colloque " L idée d Europe - L identité solidaire européenne en question " 7 mai 2015

Université de Genève, Uni Mail. Colloque  L idée d Europe - L identité solidaire européenne en question  7 mai 2015 1 Université de Genève, Uni Mail Colloque " L idée d Europe - L identité solidaire européenne en question " 7 mai 2015 Discours de Monsieur l Ambassadeur Henri Gétaz Directeur de la Direction des affaires

Plus en détail

Rapports du Corps commun d inspection

Rapports du Corps commun d inspection COMITÉ DU PROGRAMME, DU BUDGET ET DE L ADMINISTRATION DU CONSEIL EXÉCUTIF Vingt et unième réunion Point 3.5 de l ordre du jour provisoire EBPBAC21/6 31 octobre 2014 Rapports du Corps commun d inspection

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

THEME : LES ENJEUX DE LA COMMUNICATION A LA GARDE DE SECURITE PENITENTIAIRE

THEME : LES ENJEUX DE LA COMMUNICATION A LA GARDE DE SECURITE PENITENTIAIRE MINISTERE DE L ADMINISTRATION TERRITORIALE, BURKINA FASO DE LA DECENTRALISATION ET DE LA SECURITE ********* ************ Unité-Progrès-Justice SECRETARIAT GENERAL ************ DIRECTION DE L ECOLE NATIONALE

Plus en détail

Tarifs des principales opérations de placement en vigueur au 23-03-2015

Tarifs des principales opérations de placement en vigueur au 23-03-2015 I. SICAV Tarifs des principales opérations de placement en vigueur au 23-03-2015 Une vaste sélection de sicav est également négociable via Belfius Direct Net ou Belfius Direct Net Business. Si vous négociez

Plus en détail

Réformes socio-économiques

Réformes socio-économiques Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme

Plus en détail

Les dispositions européennes en matière de sécurité sociale

Les dispositions européennes en matière de sécurité sociale Mise à jour 2010 Les dispositions européennes en matière de sécurité sociale Vos droits lorsque vous circulez dans l Union européenne La sécurité sociale dans l Union européenne: ANS de coordination Commission

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Table des matières I. GÉNÉRALITÉS

TABLE DES MATIÈRES. Table des matières I. GÉNÉRALITÉS TABLE DES MATIÈRES VII Table des matières I. GÉNÉRALITÉS LOI RELATIVE AUX ASSURANCES, LOI SUR LE CONTRAT D'ASSURANCE TERRESTRE ET ARRÊTÉS D'EXÉCUTION DE LA LOI SUR LE CONTRAT D ASSURANCE TERRESTRE 25 JUIN

Plus en détail

Ressources humaines. Joëlle Imbert. Les tableaux de bord RH. Construire, mettre en œuvre et évaluer le système de pilotage

Ressources humaines. Joëlle Imbert. Les tableaux de bord RH. Construire, mettre en œuvre et évaluer le système de pilotage Ressources humaines Joëlle Imbert Les tableaux de bord RH Construire, mettre en œuvre et évaluer le système de pilotage Sommaire Introduction... 1 I Les défis humains de l entreprise : génération de profit,

Plus en détail

Les sept piliers de la sécurité sociale

Les sept piliers de la sécurité sociale Les sept piliers de la sécurité sociale 1) L Office National des Pensions (ONP) Très brièvement, il y a en Belgique un régime de pension légale, mais aussi des pensions complémentaires. On parle souvent

Plus en détail

Crédit à la consommation Régi par la loi du 12 juin 1991

Crédit à la consommation Régi par la loi du 12 juin 1991 Crédit à la consommation Régi par la loi du 12 juin 1991 Prospectus n 8 Valable à partir du 01 février 2008 Les taux mentionnés dans ce prospectus sont repris à titre d exemple. Pour connaître les conditions

Plus en détail

Communiqué de Presse. Le Groupe Crédit du Nord enrichit ses offres assurance vie et PERP

Communiqué de Presse. Le Groupe Crédit du Nord enrichit ses offres assurance vie et PERP Communiqué de Presse Le Groupe Crédit du Nord enrichit ses offres assurance vie et PERP Paris, le 24 novembre 2004 Le Groupe Crédit du Nord (banques Courtois, Kolb, Nuger, Laydernier, Rhône-Alpes, Tarneaud

Plus en détail

Micro-crédit et lien social en Hinisie. La solidarité instituée

Micro-crédit et lien social en Hinisie. La solidarité instituée Micro-crédit et lien social en Hinisie La solidarité instituée Table des matières Introduction - 11 L Le système d'acteurs et le cadre socio-territorial 23 { CHAPITRE I Le cadrctconceptuel en matière de

Plus en détail

La retraite et l inaptitude au travail

La retraite et l inaptitude au travail La retraite et l inaptitude au travail 1 Le calcul de la retraite Salaire annuel moyen X Taux X Trimestres du RG Calculé sur les 25 meilleures années Varie entre 160 25% minimum et 50% maximum 2 Le taux

Plus en détail

Information du jour La prévoyance sociale en Suisse

Information du jour La prévoyance sociale en Suisse Information du jour La prévoyance sociale en Suisse Prestations Assurés/Ayants droit Base de calcul pour le montant des prestations pour guérison, soins, réadaptation AVS/AI Sont obligatoirement assurées

Plus en détail

La réforme des pensions expliquée

La réforme des pensions expliquée La réforme des pensions expliquée TABLE DES MATIÈRES 1. LA PENSION ANTICIPÉE... 2 1.1. SITUATION AVANT LA RÉFORME... 2 1.2. SITUATION À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2013... 2 1.3. LES MESURES DE TRANSITION...

Plus en détail

SOMMAIRE ETUDE SERDALAB : «DEMATERIALISATION DES PROCESSUS DOCUMENTAIRES : MARCHE ET TENDANCES EN 2013-2015»

SOMMAIRE ETUDE SERDALAB : «DEMATERIALISATION DES PROCESSUS DOCUMENTAIRES : MARCHE ET TENDANCES EN 2013-2015» SOMMAIRE ETUDE SERDALAB : «DEMATERIALISATION DES PROCESSUS DOCUMENTAIRES : MARCHE ET TENDANCES EN 2013-2015» PARUTION MARS 2013 SOMMAIRE 3 PRESENTATION ALAIN BENSOUSSAN AVOCATS 6 REMERCIEMENTS 11 EXECUTIVE

Plus en détail

A. LES ENTREPRISES VISEES PAR LES NOUVELLES REGLES. Quelles sont les entreprises visées par les nouvelles règles?

A. LES ENTREPRISES VISEES PAR LES NOUVELLES REGLES. Quelles sont les entreprises visées par les nouvelles règles? LA LEGISLATION SUR LES AGENCES DE TRAVAIL TEMPORAIRE ET LES TRAVAILLEURS INTERIMAIRES EN GRANDE-BRETAGNE INTRODUCTION : Good afternoon, ladies and gentlemen. Comme vous l aurez probablement deviné, je

Plus en détail

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un

Plus en détail

La Convention de sécurité sociale franco-coréenne. Ses implications pour les ressortissants français

La Convention de sécurité sociale franco-coréenne. Ses implications pour les ressortissants français La Convention de sécurité sociale franco-coréenne Ses implications pour les ressortissants français i Les informations délivrées dans cette présentation le sont à titre indicatif et n engagent pas la responsabilité

Plus en détail

MSI. Marché de la Télésurveillance et de l Autosurveillance en France 2014. Nouvelles tendances et prévisions. Juillet 2014

MSI. Marché de la Télésurveillance et de l Autosurveillance en France 2014. Nouvelles tendances et prévisions. Juillet 2014 Marché de la Télésurveillance et de l Autosurveillance en France Nouvelles tendances et prévisions Juillet Le marché de la télésurveillance et de l autosurveillance est un marché dynamique et en pleine

Plus en détail

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun)

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) Afin de faciliter l application du tarif extérieur commun (application des mêmes droits de douane quelque soit le point d entrée de la marchandise sur

Plus en détail

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1 FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en

Plus en détail

VENIR SE SOIGNER EN FRANCE

VENIR SE SOIGNER EN FRANCE Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement

Plus en détail

Ordre du jour provisoire pour la COP12

Ordre du jour provisoire pour la COP12 CONVENTION SUR LES ZONES HUMIDES (Ramsar, Iran, 1971) 48 e Réunion du Comité permanent Gland, Suisse, 26 30 janvier 2015 SC48 13 Ordre du jour provisoire pour la COP12 Contexte L Ordre du jour provisoire

Plus en détail

Banque Européenne. pour la Reconstruction et le Développement. Tunisie

Banque Européenne. pour la Reconstruction et le Développement. Tunisie Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement Tunisie Marie-Alexandra Veilleux Chef du Bureau de la BERD en Tunisie Sommaire 1. à la BERD 2. Les opérations de la BERD 3. 25 avril 2014 Banque

Plus en détail

Peut-on envisager un effet direct?

Peut-on envisager un effet direct? Les implications de la convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées sur la législation de l UE concernant le handicap Peut-on envisager un effet direct? Peut-on envisager

Plus en détail

Responsabilité de l'expert-comptable

Responsabilité de l'expert-comptable Litec Libraire de la Cnnr He rassation - 27. olace Dauohine - 75001 Paris Anne-Claire Maddoli-Restoux avocat á la Cour d'appel de París Responsabilité de l'expert-comptable Risques judiciaires et préventions

Plus en détail

Vivre sa retraite en France ou au pays : questions/ réponses p.6

Vivre sa retraite en France ou au pays : questions/ réponses p.6 Le guide du retraité étranger Sommaire Présentation du guide p.4 Vivre sa retraite en France ou au pays : questions/ réponses p.6 PARTIE1 PARTIR A LA RETRAITE Une retraite réussie, ça se prépare! A quel

Plus en détail

BSM 9.0 ESSENTIALS. Nouveaux utilisateurs de Business Service Management (BSM) 9.0, parmi lesquels :

BSM 9.0 ESSENTIALS. Nouveaux utilisateurs de Business Service Management (BSM) 9.0, parmi lesquels : BSM 9.0 ESSENTIALS PUBLIC CIBLE Nouveaux utilisateurs de Business Service Management (BSM) 9.0, parmi lesquels : Administrateurs de base de données Administrateurs système Administrateurs réseau Directeurs

Plus en détail

Payer, épargner, prévenir

Payer, épargner, prévenir Payer, épargner, prévenir 1 sommaire Compte courant et internet-banking page 2 Compte d'épargne page 3 TerZo (pilier 3a) page 7 Compte de libre passage page 10 Part ordinaire page 12 1 Compte courant et

Plus en détail

travailler en france frontalière Guide pratique du travailleur frontalier

travailler en france frontalière Guide pratique du travailleur frontalier travailler en france frontalière Guide pratique du travailleur frontalier 1 Vous exercez votre activité professionnelle, salariée ou indépendante, sur le territoire français mais résidez sur le territoire

Plus en détail

(Lettre du Gouvernement japonais)

(Lettre du Gouvernement japonais) (Lettre du Gouvernement japonais) Traduction Paris, le 11 janvier 2007 Votre Excellence, Me référant à la Convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement du Japon en vue

Plus en détail

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1 Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2 e édition... XXI 1 Définir le tableau de bord...1 1 Quelle définition peut-on donner au vocable tableau de bord?...3 2 Quelle est

Plus en détail

MOBILITE INTERNATIONALE. Un contrat de travail pertinent

MOBILITE INTERNATIONALE. Un contrat de travail pertinent présente MOBILITE INTERNATIONALE Un contrat de travail pertinent Maître Marc BOURGUIGNON -VAE SOLI- 8 rue Brémontier 75017 PARIS mb@vae-soli.com 01 47 66 34 68 1 École des Mines 20 Mars 2007 Plan Distinction

Plus en détail

Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds d investissement alternatifs

Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds d investissement alternatifs Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds Texte de référence : article L. 214-24, I du code monétaire et financier. L AMF applique l ensemble

Plus en détail

Ordonnance sur les fonds de placement

Ordonnance sur les fonds de placement Ordonnance sur les fonds de placement (OFP) Modification du 25 octobre 2000 Le Conseil fédéral suisse arrête: I L ordonnance du 19 octobre 1994 sur les fonds de placement 1 est modifiée comme suit: Art.

Plus en détail

CE 12. Ministère de l emploi et de la solidarité

CE 12. Ministère de l emploi et de la solidarité Page 1/5 1 er VOLET : destiné à la DDTEFP Page 2/5 2 e VOLET : destiné à l URSSAF Page 3/5 3 e VOLET : destiné aux caisses vieillesse des non-salariés Page 4/5 4 e VOLET : destiné à la caisse d assurance

Plus en détail

NOTICES D INFORMATIONS 2007

NOTICES D INFORMATIONS 2007 NOTICES D INFORMATIONS 2007 1. NOUVEAUTES FISCALES Nouveau certificat de salaire Après avoir été retardée de 2 ans, l application du nouveau certificat de salaire (NCS) entrera en vigueur au 1 er janvier

Plus en détail

LA NÉGOCIATION COMMERCIALE EN PRATIQUE

LA NÉGOCIATION COMMERCIALE EN PRATIQUE Patrick DAVID LA NÉGOCIATION COMMERCIALE EN PRATIQUE Préface de Jean-Noël Machon Troisième édition, 2001, 2005, 2006 ISBN : 2-7081-3652-6 SOMMAIRE REMERCIEMENTS... XIII PRÉFACE... XV INTRODUCTION... XVII

Plus en détail

Assurances assistances

Assurances assistances Assurances assistances Pour rappel, le volontaire partant en dehors de l'espace économique européen DOIT souscrire à une assurance assistance. Soit vous prenez une assurance de votre choix par vous même,

Plus en détail

Note commune N 3 / 2014

Note commune N 3 / 2014 REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54

Plus en détail

Chambre 222, Bâtiment A, village universitaire 3 33600 PESSAC - FRANCE rim.boussaada@u-bordeaux4.fr

Chambre 222, Bâtiment A, village universitaire 3 33600 PESSAC - FRANCE rim.boussaada@u-bordeaux4.fr Curriculum Vitae PRENOM : RIM Date et lieu de naissance : Nationalité : Adresse : Adresse électronique : NOM : BOUSSAADA Téléphone : 0033 (0) 6 98 25 15 72 14/12/1980 à Tunis, Tunisie Tunisienne Chambre

Plus en détail