Musées en réseaux. Les réseaux des musées et la mise en place d un modèle économique muséal. Juin 2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Musées en réseaux. Les réseaux des musées et la mise en place d un modèle économique muséal. Juin 2015"

Transcription

1 Musées en réseaux Les réseaux des musées et la mise en place d un modèle économique muséal Juin 2015 Cabinet Infhotep 6, rue d Antin Paris France Tel : +33 (0) Fax : +33 (0) contact@infhotep.com Copyright Cabinet Infhotep Édition 2015 Page 1

2 RÉSEAUX DE MUSÉES : LES RÉSEAUX SONT-ILS UN OUTIL COHÉRENT DE RECONQUÊTE DES PUBLICS? À propos du cabinet Infhotep Créé en 2005 par un noyau dur d associés, le cabinet Infhotep est un cabinet de conseil en stratégie et en organisation. La singularité du cabinet Infhotep est d accompagner la transformation des entreprises sur l ensemble de leur chaîne de valeur en s appuyant sur trois grands domaines de compétences : le business consulting, le conseil en système d information et le conseil en management de projet. Le cabinet Infhotep apporte à ses clients une vision et une assistance globales qui se déclinent sur l élaboration, la définition, le pilotage et la déclinaison opérationnelle de leur stratégie. Les consultants du cabinet Infhotep aident leurs clients à définir et conduire au quotidien la transformation de l entreprise en s attaquant aux problématiques métier, d organisation, d optimisation de processus et de système d information, de gestion de projets et de conduite du changement. Ainsi, le cabinet Infhotep se concentre et capitalise autour des fonctions et activités qui conditionnent la performance de l organisation de ses clients : marketing, commercial, supply-chain, achats, production, informatique, ressources humaines, etc. Doté de consultants expérimentés issus du monde de l entreprise et du conseil, le cabinet Infhotep a pour objectif de permettre à ses clients d atteindre leurs résultats dans une approche efficace, rationnelle et pragmatique. Le positionnement et la force de frappe du cabinet Infhotep reposent sur un modèle de gestion des ressources humaines et sur des valeurs fortes telles que l excellence, l indépendance, la pédagogie, l humanisme et le pragmatisme. Avec cette volonté affichée de proposer une équipe unie par une forte culture d entreprise et des valeurs partagées, le cabinet Infhotep garantit à ses clients un travail réalisé avec éthique, déontologie, confiance, confidentialité et engagement. Le cabinet Infhotep est organisé en partnership. Au-delà des compétences et de l expérience de ses consultants, le savoir-faire et la force du cabinet reposent sur les missions effectuées pour des clients, tels que : Références secteur privé : Bolloré, Nexity, Weldom, Icade, ICDC, le Gartner Group, Bourse Direct, le PMU, Malakoff Médéric, Eiffage, Logica Training, Reuters, BPB Placoplâtres, Samas Groupe, Inter Mutuelles Assistance, Wurth, Figaroclassifieds, Sofinco, AstraZeneca, LVMH.. Références secteur public et enseignement : Ministère de l Ecologie, le Cnous, le Cre RATP, Conseils Régionaux de Picardie et Midi-Pyrénées, Conseils Généraux du Val d Oise et de la Haute-Garonne, FSI, Ville d Antibes, Ville de Saint Denis, Ville de La Rochelle, Universités de Tours, Orléans, Paris XI, UPJV... Rendre opérationnelles les ambitions des cadres dirigeants Les associés du cabinet Infhotep Copyright Cabinet Infhotep Édition 2015 Page 2

3 Les réseaux des musées et la mise en place d un modèle d affaires muséal À l origine, les réseaux des musées ont été lancés pour mieux faire connaître le patrimoine local et orienter les visiteurs vers de nouveaux parcours de visite. Les contraintes budgétaires, l entrée dans le numérique, ont engendré de nouveaux modes de gestion. Les réseaux de musées sont aujourd hui des structures de mutualisation, à l image de celles en place dans les collectivités territoriales. Plutôt que de se concentrer sur les publics, ou encore sur la délicate construction d une identité commune, la gestion des musées gagnerait sans doute à être abordée selon un angle plus économique en élaborant des modèles d affaires spécifiques. La construction d un modèle d affaires pour les réseaux des musées nécessite un accompagnement afin de concilier les spécificités muséales avec une connaissance approfondie des problématiques de mutualisation. Les Musées de France à la recherche de leurs publics musées bénéficiaient en 2012 du label «Musée de France». Parmi eux, sept musées enregistrent plus d un million d entrée par an (chiffres 2011) : le Louvre, Le château de Versailles, le Musée d Art moderne de la ville de Paris, le musée d Orsay, le musée du Quai Branly, le musée de l Armée et le musée Carnavalet. 63 musées réalisent entre et 1 millions d entrées. La grande majorité (923 musées) enregistrent moins de entrées annuelles. 157 musées sont fermés ou sans activités. De telles disparités ne s expliquent pas uniquement par le déséquilibre entre Paris et la province. Hormis les musées les plus importants, la plupart cherchent sans relâche à capter les publics de jeunes actifs (25-35 ans). Là où la promotion est très efficace, voire naturelle, vers les groupes scolaires, les familles ou les seniors (qui viennent avec leurs petits-enfants), les musées peinent à attirer un public exigeant et souvent à la recherche d innovations dans les pratiques muséales. De plus, la question de la fidélisation des publics est centrale : qu inventer pour faire revenir les gens au musée? La création des réseaux de musées, dès la fin des années 1990 a été une réponse à la question de la dynamisation du secteur. Les musées ont par ailleurs besoin de se regrouper afin de répondre à une concurrence de plus en plus forte entre les établissements. Le modèle économique muséal Les ambitions de la mutualisation des musées Les réseaux de musées ont été lancés pour mieux exister dans un paysage culturel foisonnant et pour mettre en commun les ressources des établissements. La création de réseaux de musées répond à plusieurs ambitions : Rendre les musées plus attractifs Construire un réseau de professionnel s Mutualiser les ressources Mettre en œuvre une stratégie commune. La mise en place de cette stratégie est la condition nécessaire pour formaliser un modèle d affaires. Rendre les musées plus attractifs La première, et la plus visible, concerne les visiteurs. Il s agit d attirer et surtout d fidéliser le plus grand nombre. Ainsi les rénovations engagées par plusieurs musées emblématiques, les innovations technologiques, illustrent les actions déployées par les musées pour délivrer une nouvelle forme de savoir, «se mettre à la portée des publics», «démocratiser la visite au musée» afin de développer une vision moins académique de l acquisition des savoirs 1. La communauté dite des «museo-geeks», en révélant une autre image des musées sur les réseaux sociaux, 1 Le Museum Lab, créé en 2006, grâce à une collaboration entre Dai Nippon Printing (DNP) et le musée du Louvre, participe à ce mouvement. Il «explore, grâce à diverses méthodes et technologies, ces différentes façons de regarder une œuvre d'art et de l'apprécier». Copyright Cabinet Infhotep Édition 2015 Page 3

4 participe à ce vaste mouvement de dépoussiérage 2. Le réseau Musénor, initié dans le Nord-Pas-de-Calais en 1997, visait par exemple à valoriser à l échelle de la région les collections des musées et leur complémentarité. Un des vecteurs est la création d une identité globale «Le Nord-Pas-de-Calais : pays des musées», qui amène les publics à circuler dans les établissements, sur l ensemble du territoire. Cependant, les réseaux de musées n ont pas pour seule ambition de rendre les établissements plus attractifs aux yeux des publics. Des enjeux organisationnels sont souvent invoqués également : la professionnalisation des métiers liés aux musées et la mutualisation des ressources. Être un réseau professionnel Les réseaux des musées sont à la fois des associations professionnelles et des établissements destinés à professionnaliser les métiers des musées. Les associations professionnelles de conservateurs, à travers les réseaux, visent à favoriser les échanges, notamment pour conduire à la réalisation d actions communes entre les musées : expositions, prêts d œuvres, conférences La professionnalisation des métiers est largement induite par l entrée du numérique dans les musées. Que ce soit au niveau de la valorisation des collections (GED, expositions en ligne) ou de la gestion du portail internet, le contour des métiers du musée a changé, laissant une large part aux nouvelles technologies. Ce changement nécessite donc une plus grande technicité des agents dans les établissements. La question des ressources humaines et de la gestion de leurs compétences est liée à celle de la mutualisation. En effet, la mutualisation des ressources permet aussi le transfert de compétences, voire de personnels, entre les différentes entités et ce afin de mieux partager les nouveaux savoirs liés aux professions muséales. Mutualiser les ressources La troisième ambition des réseaux de musées se rapporte directement aux bénéfices de la mutualisation. La mutualisation des ressources comme principe fondateur des réseaux de musées a été entérinée par le législateur en Elle répond en grande partie à des objectifs de rationalisation budgétaire que doivent désormais prendre en compte les musées. En quelque sorte, cette ambition est la synthèse de toutes les autres, puisqu elle regroupe des enjeux 2 Voir aussi le fil Twitter du Centre des Monuments Historiques ou du Château de Versailles dont la ligne éditoriale consiste, entre autre, à dévoiler les «coulisses» des monuments historiques (métiers, rénovations ) 3 L article 9 de la loi du 4 janvier 2002 relative aux Musées de France entérine la notion de réseaux : «l État encourage et favorise la constitution de réseaux géographiques, scientifiques ou culturels entre les musées de France, auxquels peuvent participer des établissements de recherche et d enseignement». organisationnels, techniques et économiques. Le premier cas de mutualisation dans les musées est celui de la Réunion des Musées Nationaux (RMN, 1895). Son principe fondateur est celui d une caisse commune pour les acquisitions d œuvres d art, à la suite de la vente des diamants de la couronne française. Depuis, les champs mutualisés se sont progressivement étendus au-delà du seul domaine économique. Aujourd hui, l établissement public de la RMN se positionne comme un opérateur public, qui propose ses savoir-faire aux musées qui souhaitent bénéficier de son réseau et de ses capacités logistiques, dans le cadre de coorganisations d expositions ou de prestations de service. Sur le plan technique, le réseau des musées de Basse-Normandie, par exemple, propose de mutualiser les inventaires, ainsi que l informatisation et la numérisation des collections muséographiques. Le réseau des musées est donc progressivement devenu l interlocuteur privilégié capable de fédérer les musées autour de projets. Cette posture nouvelle nécessite donc d avoir des ressources humaines formées et qualifiées pour répondre aux nouveaux enjeux. La problématique organisationnelle et de mutualisation s apparente aux logiques en œuvre dans les collectivités territoriales, où une collectivité en pointe sur certains sujets (assainissement, collecte des ordures, informatique ) peut se positionner comme opérateur principal. Néanmoins, il est difficile d évaluer précisément les bénéfices de la mutualisation. Dans le cas des musées, un indicateur serait de répondre à des questions telles que : la mise en réseau a-t-elle permis d augmenter le nombre de visiteurs? Les parcours de visites sont-ils fluidifiés? Les dépenses de fonctionnement ont-elles diminuées Formaliser une stratégie pour construire un «modèle d affaires» Plutôt que de se concentrer sur les publics, ou encore la délicate construction d une identité commune, la gestion des musées gagnerait sans doute à être abordée selon un angle plus économique. La construction d un modèle d affaires pour les réseaux des musées viendrait alors servir une stratégie cohérente. À l heure actuelle, la partie visible des réseaux de musées se concentre sur les portails web. Par leur entremise, les musées affichent leur organisation mutualisée (cf. sites Internet de Paris Musées, réseau des musées Basse Normandie).Ces portails web témoignent également du virage pris par les musées, qui se positionnent désormais comme apportant de nouveaux services à leurs visiteurs. Le socle des services proposés est souvent identique d un réseau à l autre : expositions virtuelles, billets d entrée communs (vendus en ligne), mise en ligne des inventaires, actualités, agenda, présentation des collections, politique éditoriale commune, évènements, actions pédagogiques communes Copyright Cabinet Infhotep Édition 2015 Page 4

5 En parallèle, les statistiques relatives à l évolution du nombre d entrées dans les musées ne permettent pas de déterminer si l augmentation des visiteurs provient directement du regroupement des établissements. Le réseau Paris Musées met en avant la croissance du nombre de visiteurs depuis sa création. Les statistiques délivrées par le réseau (créé en 2002) semblent plaider en faveur du succès de ces démarches. Pour les collections permanentes, les musées du réseau sont passés de visiteurs en 2001 à visiteurs en 2011 (source : Paris Musées). Pour autant, il n est pas possible de déterminer si ce triplement du nombre de visiteurs provient de la mise en réseau des musées ou de l introduction de la gratuité pour les collections permanentes instaurée en La mise en place d indicateurs ou d outils de pilotage, si elle commence à faire son chemin dans les collectivités territoriales, ne semble pas encore répandue dans les établissements culturels publics. Ces données permettraient de fournir une lecture plus précise des bénéfices réels des réseaux de musées. Au-delà, les nouvelles logiques à l œuvre dans les réseaux de musées, obligent à utiliser une pensée plus systémique. La construction d un modèle d affaires doit être envisagée comme une base de réflexion ou bien encore une nouvelle façon de penser la stratégie d un établissement. Appliqué à un établissement public, ce n est pas un carcan, mais plutôt une aide à la décision. En connaissant précisément ses charges et ses ressources, y compris à moyen terme, le conservateur est mieux à même d argumenter ses choix budgétaires. La nécessaire formalisation d une stratégie de réseau Aujourd hui, selon le retour d expérience collecté par le cabinet Infhotep, seuls quelques réseaux de musées ont fait le travail de formalisation de leur stratégie et de mise en lien de celle-ci avec les outils mis à disposition des publics (ressources en ligne, aides à la visite, etc.). L absence de vision stratégique peut conduire à des politiques d équipement souvent effectuées à la va-vite et sans réelles interrogations sur les retombées pour les publics, d où un renouvellement des matériels souvent plus fréquent que de raison. Cette absence de formalisation génère également des disparités entre les établissements d un même réseau. Bien souvent, et peut être en partie à cause d une plus grande professionnalisation des équipes et d un public plus vaste, les musées d art moderne ont le sentiment de «porter» à eux-seuls l ensemble des réseaux. De leur côté, les réseaux se sentent démunis face à la relative impertinence des musées d art moderne. De façon générale, lorsqu un réseau de musées regroupe des établissements dont la renommée et la visibilité sont disparates, de nombreux hiatus peuvent se présenter. Comme pour toute initiative de mutualisation, la «bonne pratique» réside dans une formalisation précise, rigoureuse, méthodique, de ce que les établissements souhaitent mettre en commun, comment ils souhaitent le faire et pourquoi en particulier en traitant la question du modèle économique (ou modèle d affaires). Les paramètres du modèle d affaires Pour asseoir les objectifs des réseaux des musées, il est nécessaire construire le modèle d affaires en fonction des éléments à évaluer dans la durée. En effet, si le regroupement doit améliorer le rayonnement, il devrait aussi permettre de réaliser des économies d échelles, voire de définir des axes stratégiques communs entre les établissements. À partir des hypothèses posées, le modèle d affaires permet une projection des ressources de l établissement à court, long ou moyen terme. Des questions préalables sous-tendent la construction du modèle En tout premier lieu, le réseau devrait se mettre d accord sur les objectifs. S agit-il de : renforcer la notoriété? Créer des parcours de visites à l intérieur d une ville, d une région? Faire venir de jeunes actifs? Fidéliser les publics? Professionnaliser le personnel des musées (dans le cas où il s agit d agents d une collectivité)? Dégager des bénéfices?, etc. En fonction des objectifs définis, la structure juridique qui porte le réseau est différente. Il peut s agir d une association ou d un établissement public. Le réseau des musées doit s accorder également sur les activités à mettre en commun. Il est raisonnable d envisager que l ensemble des fonctions qui ne relèvent pas directement de la muséographie puissent être mutualisées. Ce constat simple, soulève néanmoins la question délicate des transferts de ressources humaines entre les entités. Le système d information porte au moins en son sein l avantage de proposer des solutions rationnelles de mutualisation : bases de données ; billetterie ; stratégie digitale (présence sur les réseaux sociaux, portail ). Les éléments constitutifs du modèle, outre les hypothèses posées au départ reprennent l ensemble des coûts (investissement, fonctionnement), les recettes, pour l ensemble des fonctions (métiers) à couvrir (voir schéma central). Le modèle d affaires comprend, et c est sa raison d être, une projection financière listant année par année les coûts et les charges. Compte tenu des incertitudes, le modèle d affaires s avère être un outil de travail intéressant à un horizon de sept à dix ans. Dépoussiérer l image des musées, la mission est relativement accomplie. Au-delà, l accompagnement des musées, au niveau stratégique doit être un élément essentiel pour les réseaux et ce afin de construire un modèle d affaires pérenne de mutualisation. La construction d un modèle d affaires pour les réseaux des musées nécessite un accompagnement afin de concilier les spécificités muséales avec une connaissance approfondies des problématiques de mutualisation. Copyright Cabinet Infhotep Édition 2015 Page 5

6 Sources AGCCPF, Quels réseaux pour les musées?, n 267, janvier 2013 CRÉDOC. La visite des musées, des expositions et des monuments, R. Bigot, E. Daudey, S. Hoibian, J. Müller, N R281, juin 2012 La Tribune. Quand le musée se réinvente dans le numérique, numéro spécial, été 2014 Copyright Cabinet Infhotep Édition 2015 Page 6

7

Séminaires de formation Edition 2012-2013. www.infhotep.com formation@infhotep.com

Séminaires de formation Edition 2012-2013. www.infhotep.com formation@infhotep.com Séminaires de formation Edition 2012-2013 Cabinet Infhotep 6, rue d Antin 75002 Paris France Tel : +33 (0) 155 353 636 Fax : +33 (0) 155 353 640 www.infhotep.com formation@infhotep.com Edito L âge de

Plus en détail

Master classe 29 janvier 2013 (14h-17h)

Master classe 29 janvier 2013 (14h-17h) Master classe 29 janvier 2013 (14h-17h) L innovation est-elle possible dans les musées? En 2009, un excellent expert américain, posa à l auguste Smithsonian une question provocante : «Les musées sont-ils

Plus en détail

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts

Plus en détail

DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER

DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER Pour les banques, le papier devrait servir à imprimer des billets ; pas à en garder la trace dans

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE Un portail énergie / climat parisien

DOSSIER DE PRESSE Un portail énergie / climat parisien DOSSIER DE PRESSE Un portail énergie / climat parisien «En vue de la grande Conférence de l ONU Paris Climat 2015, le dispositif Solutions COP 21 lancé par le Comité 21 avec le Club France Développement

Plus en détail

De la fiche manuscrite à Internet : l informatisation des collections et de la documentation au musée du quai Branly

De la fiche manuscrite à Internet : l informatisation des collections et de la documentation au musée du quai Branly Séminaire «Muséologie, Muséographie et nouvelles formes d adresse au public» Paris, 28 mars 2007 De la fiche manuscrite à Internet : l informatisation des collections et de la documentation au musée du

Plus en détail

Éditorial. des ministres

Éditorial. des ministres PROJET STRATÉGIQUE Éditorial des ministres Nous avons souhaité fin 2012 que la douane établisse un projet stratégique à horizon 2018 afin qu elle poursuive son processus d évolution... Les principaux secteurs

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

PME : quels sont les leviers d'optimisation des coûts permettant de gagner 15% sur votre résultat net?

PME : quels sont les leviers d'optimisation des coûts permettant de gagner 15% sur votre résultat net? PME : quels sont les leviers d'optimisation des coûts permettant de gagner 15% sur votre résultat net? Petit Déjeuner Syntec_Costalis, le 17 novembre 2009 L optimisation des coûts dans vos PME : Quelles

Plus en détail

Présentation clients

Présentation clients Junior Consulting Au service de vos ambitions 1 30 ans d expérience au service de nos clients Créé il y a 30 ans, Junior Consulting est le cabinet de conseil des élèves de Sciences Po Paris :» Association

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Administration et gestion des entreprises de l Université de Versailles Saint- Quentin-en-Yvelines - UVSQ Vague E 2015-2019 Campagne

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Séminaires et formations Edition 2014. www.infhotep.com formation.infhotep.com formation@infhotep.com

Séminaires et formations Edition 2014. www.infhotep.com formation.infhotep.com formation@infhotep.com Séminaires et formations Edition 2014 Cabinet Infhotep 6, rue d Antin 75002 Paris France Tel : +33 (0) 155 353 636 Fax : +33 (0) 155 353 640 www.infhotep.com formation.infhotep.com formation@infhotep.com

Plus en détail

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de

Plus en détail

DORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence

DORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence DORDOGNE-PERIGORD Le label d excellence Les Gîtes de France, c est la force d un réseau bien établi et bien structure, qui oeuvre depuis 55 ans au service des propriétaires et des clients : Premier réseau

Plus en détail

WEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical

WEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical WEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical Votre activité est spécifique et vous cherchez des réponses concrètes Stratégie

Plus en détail

La réponse aux enjeux des RH du 21 ème siècle

La réponse aux enjeux des RH du 21 ème siècle La réponse aux enjeux des RH du 21 ème siècle Comment répondre aux nouveaux enjeux des DRH du 21 ème siècle? Besoin n 1 : innover et développer de nouveaux usages métier en décloisonnant les différents

Plus en détail

EDITORIAL. Développez Vos Compétences, Anticipez L Avenir! Fatima Zahra ABBADI Executive Manager

EDITORIAL. Développez Vos Compétences, Anticipez L Avenir! Fatima Zahra ABBADI Executive Manager EDITORIAL Dans un contexte économique et géopolitique en transition, le Maroc se voit aujourd hui de plus en plus interpellé à relever des challenges tant nationaux qu internationaux avec des exigences

Plus en détail

Orchestrer la gestion de services IT (ITSM) avec Serena

Orchestrer la gestion de services IT (ITSM) avec Serena LIVRE BLANC Orchestrer la gestion de services IT (ITSM) avec Serena 3 raisons d évaluer les produits de Serena lors du remplacement ou de l extension de solutions de Service Desk existantes Par Ben Cody

Plus en détail

«LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER»

«LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER» 28/04/15 1 «LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER» Le 6 novembre 2014, le Président de la République a officiellement annoncé la candidature de la France à l organisation

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Contacts presse Stéphanie BERTRAND s.bertrand@learning-crm.com 01 53 56 75 75

DOSSIER DE PRESSE. Contacts presse Stéphanie BERTRAND s.bertrand@learning-crm.com 01 53 56 75 75 Contacts presse Stéphanie BERTRAND s.bertrand@learning-crm.com 01 53 56 75 75 Philippe RIVERON p.riveron@learning-crm.com 01 53 56 75 31 / 06 19 52 03 46 DOSSIER DE PRESSE Sommaire LEARNING CRM 3 1.1 Présentation

Plus en détail

Le partenaire. sport & loisirs. des collectivités

Le partenaire. sport & loisirs. des collectivités SPAS PALAIS DES SPORTS patinoires CentreS aquatiques stades SITES culturels golfs PISCINES PARCS DE LOISIRS Le partenaire sport & loisirs des collectivités EDITO Aux côtés des collectivités, pour servir

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Expertise, audit et conseil

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Expertise, audit et conseil www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Expertise, audit et conseil Un peu d histoire Depuis 1988 à l université Bordeaux 3, la spécialité Communication des organisations

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication Un peu d histoire Depuis 1988 à l université Bordeaux 3, la spécialité Communication des

Plus en détail

Application Portfolio Management (APM) : Redonner de la valeur à l entreprise

Application Portfolio Management (APM) : Redonner de la valeur à l entreprise IBM Global Services Application Portfolio Management (APM) : Redonner de la valeur à l entreprise L analyse du parc applicatif d une entreprise peut aider à maintenir une cohérence entre son organisation

Plus en détail

WF MEDIA.INFO ET N OUBLIONS PAS QU UNE COMMUNICATION RÉUSSIE, C EST AVANT TOUT UN IMPACT MESURABLE ET

WF MEDIA.INFO ET N OUBLIONS PAS QU UNE COMMUNICATION RÉUSSIE, C EST AVANT TOUT UN IMPACT MESURABLE ET WF MEDIA.INFO WF MEDIA.INFO, AGENCE DE COMMUNICATION SUR CMS OPEN SOURCE AU SOLUTION PROPRIETAIRE, C EST UNE VISION OPÉRATIONNELLE ET RÉALISTE DE LA COMMUNICATION DES ENTREPRISES D AUJOURD HUI. QUE VOUS

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Alignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets

Alignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets Alignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets Le CIGREF, dans son livre blanc de 2002, précise que «l alignement stratégique de l organisation sur le métier est le fait de mettre en

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

Agence du patrimoine immatériel de l État

Agence du patrimoine immatériel de l État Agence du patrimoine immatériel de l État Les richesses de l immatériel sont les clés de la croissance future Rapport de la commission de l économie de l immatériel 2006 Le mot du directeur général L APIE

Plus en détail

De la production collaborative à la capitalisation des connaissances Le rôle des documentalistes

De la production collaborative à la capitalisation des connaissances Le rôle des documentalistes De la production collaborative à la capitalisation des connaissances Le rôle des documentalistes Le 13 mars 2008 Introduction 2 Le développement de la pratique collaborative dans les entreprises et les

Plus en détail

ALDEA ET SYSTEMES D INFORMATION

ALDEA ET SYSTEMES D INFORMATION ALDEA CONSEIL EN ORGANISATION ET SYSTEMES D INFORMATION Professionnalisation de la gestion de projet 30 avenue du Général Leclerc 92100 Boulogne-Billancourt Tel : +33 1 55 38 99 38 Fax : +33 1 55 38 99

Plus en détail

Pôles de recherche et d enseignement supérieur (PRES) et reconfiguration des sites universitaires, IGAENR 1, mars 2010.

Pôles de recherche et d enseignement supérieur (PRES) et reconfiguration des sites universitaires, IGAENR 1, mars 2010. Pôles de recherche et d enseignement supérieur (PRES) et reconfiguration des sites universitaires, IGAENR 1, mars 2010. Les premiers PRES ont été créés en 2007, leur principale ambition était de développer

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Dossier de Presse CREATION DU NOUVEAU SYNDICAT IMMOBILIER : UNIS. Union des Syndicats de l Immobilier. Conférence de Presse du 4 février 2009

Dossier de Presse CREATION DU NOUVEAU SYNDICAT IMMOBILIER : UNIS. Union des Syndicats de l Immobilier. Conférence de Presse du 4 février 2009 Dossier de Presse CREATION DU NOUVEAU SYNDICAT IMMOBILIER : UNIS Union des Syndicats de l Immobilier Conférence de Presse du 4 février 2009 Service de Presse d UNIS Agence côtéjardat Tel : 01 41 05 94

Plus en détail

ÉVÉNEMENT «DYNAMISEZ VOTRE INTRANET» INTRANET, PANORAMA 2012 ET NOUVELLES TENDANCES WWW.CROSS-SYSTEMS.CH JÉRÔME BAILLY WWW.CROSS-SYSTEMS.

ÉVÉNEMENT «DYNAMISEZ VOTRE INTRANET» INTRANET, PANORAMA 2012 ET NOUVELLES TENDANCES WWW.CROSS-SYSTEMS.CH JÉRÔME BAILLY WWW.CROSS-SYSTEMS. ÉVÉNEMENT «DYNAMISEZ VOTRE INTRANET» INTRANET, PANORAMA 2012 ET NOUVELLES TENDANCES JÉRÔME BAILLY 10.10.2012 CONTACT JÉRÔME BAILLY CROSS AGENCY JBAILLY@CROSS-SYSTEMS.CH +41 78 878 78 26 SKYPE: JEROME.BAILLY

Plus en détail

RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014

RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014 RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création

Plus en détail

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL

ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN

Plus en détail

Défi n 3 : Développer l attractivité de la destination

Défi n 3 : Développer l attractivité de la destination Agence de Développement et de Réservation Touristiques de la Nièvre Dossier Presse Défi n 3 : Développer l attractivité de la destination En collaboration avec les Offices de Tourisme du bassin du Val

Plus en détail

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

Ingénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1?

Ingénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1? DEVOPS et le déploiement d application Les Livres Blancs de MARTE Ingénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1? L alignement

Plus en détail

Plan d actions 2011/2014

Plan d actions 2011/2014 Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent

Plus en détail

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT MODELLIS & DATAVALUE CONSULTING

COMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT MODELLIS & DATAVALUE CONSULTING COMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT MODELLIS & DATAVALUE CONSULTING 12/01/15 La Direction Financière du Groupe Chèque Déjeuner innove en optant pour une solution Cloud d élaboration budgétaire, gage d agilité

Plus en détail

Programme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique»

Programme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Intitulé de la formation Programme de formation «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Organisateur Organisme de formation : ARMETI : Email : armetiformations@gmail.com

Plus en détail

Performance 2010. Eléments clés de l étude

Performance 2010. Eléments clés de l étude Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Gestion opérationnelle et juridique des ressources humaines de l Université de Haute-Alsace Vague C 2013-2017 Campagne

Plus en détail

Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit

Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Colloque du CNAM 6 octobre 2011 Intervenants OPTIMIND Gildas Robert actuaire ERM, senior manager AGENDA Introduction Partie 1 Mesures de

Plus en détail

les ateliers dirigeants programme 2014 Entrez dans l excellence!

les ateliers dirigeants programme 2014 Entrez dans l excellence! les ateliers dirigeants programme 2014 Entrez dans l excellence! L équipe d experts métier de la CCI Territoriale de la Moselle est à votre service tout au long de l année. Pour toute information sur les

Plus en détail

Le FAQ de Syntec Conseil en Relations Publics 2014

Le FAQ de Syntec Conseil en Relations Publics 2014 Le FAQ de Syntec Conseil en Relations Publics 2014 Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les relations avec les publics Ce FAQ a été réalisé à la suite de rencontres entre des professionnels

Plus en détail

La gestion globale des contenus d entreprise

La gestion globale des contenus d entreprise Gonzague Chastenet de Géry La gestion globale des contenus d entreprise Le projet ECM, une nouvelle approche de la gestion de l information é d i t i o n s Les Editions de l ADBS publient des ouvrages

Plus en détail

Accompagnement RH des projets de transformation des organisations

Accompagnement RH des projets de transformation des organisations Accompagnement RH des projets de transformation des organisations La conduite d un projet de réorganisation : Un exercice complexe ET délicat! Confrontée à une dégradation continue de sa compétitivité,

Plus en détail

Créateur d opportunités

Créateur d opportunités Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale

Plus en détail

Retour sur l expérience Marketing live Lexik/Yatooprint 1 ère partie

Retour sur l expérience Marketing live Lexik/Yatooprint 1 ère partie Retour sur l expérience Marketing live Lexik/Yatooprint 1 ère partie Dans le cadre du salon Connec sud Lexik et sa filiale Yatooprint se sont associés pour réaliser une expérience marketing en direct afin

Plus en détail

L AACC Customer Marketing prône une approche consensuelle et durable de l utilisation des données personnelles

L AACC Customer Marketing prône une approche consensuelle et durable de l utilisation des données personnelles COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 1 er octobre 2013 L AACC Customer Marketing prône une approche consensuelle et durable de l utilisation des données personnelles Focus sur les conclusions du nouveau livre

Plus en détail

QUOMBINE 2011-2015 QUOMBINE 01 58 66 82 73

QUOMBINE 2011-2015 QUOMBINE 01 58 66 82 73 QUOMBINE Agence digitale Notre agence Faire preuve de créativité, casser les codes, se montrer stratégique Créée en 2011, Quombine est une agence de communication & marketing complètement orientée digital.

Plus en détail

OFFICE DE TOURISME DE MARSEILLAN PLAN D ACTIONS 2015-2017

OFFICE DE TOURISME DE MARSEILLAN PLAN D ACTIONS 2015-2017 OFFICE DE TOURISME DE MARSEILLAN PLAN D ACTIONS -2017 Objectif 1 : Amélioration continue la mission d accueil du public Dans son souci permanent la clientèle et son organisation interne, l office tourisme

Plus en détail

Guide du Tuteur Banque et Assurance

Guide du Tuteur Banque et Assurance Guide du Tuteur Banque et Assurance QU EST-CE QUE LE BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES? Il s agit d une formation en 2 ans proposée aux titulaires d un baccalauréat technologique ou général. Elle

Plus en détail

«sortez surfer» Participez aux réunions d information. la capa lance le wifi gratuit du pays ajaccien. Dossier de presse. territoire numérique.

«sortez surfer» Participez aux réunions d information. la capa lance le wifi gratuit du pays ajaccien. Dossier de presse. territoire numérique. SEPTEMBRE 2012 Dossier de presse Liberte Egalite Tous connectes Paesi N 8 AOÛT / d Aiacciu Le magazine de la Communauté d Agglomération du Pays Ajaccien Nouvelle station d épuration des Sanguinaires Participez

Plus en détail

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Paris-Est Créteil Val de Marne - UPEC Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur

Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur 2015 Répartition géographique des villes participantes sur le territoire français Martinique Editorial Une enquête

Plus en détail

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015 La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte

Plus en détail

Référencement dans des bases de données

Référencement dans des bases de données Marketing Site web du guide des ressources pour l édition de revues numériques Coordination : Ghislaine Chartron et Jean-Michel Salaun Doctorant en science de l'information La création numérique, ou la

Plus en détail

Communication sur le progrès 2012 (CoP) SterWen Consulting

Communication sur le progrès 2012 (CoP) SterWen Consulting Communication sur le progrès 2012 (CoP) SterWen Consulting Introduction Notre engagement RSE SterWen Consulting adhère au Pacte Mondial des Nations Unies depuis 2009. A ce titre, SterWen Consulting soutient

Plus en détail

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte

Plus en détail

la sécurité change avec Orange développez vos activités en toute sérénité, nous protégeons vos systèmes d information

la sécurité change avec Orange développez vos activités en toute sérénité, nous protégeons vos systèmes d information la sécurité change avec Orange développez vos activités en toute sérénité, nous protégeons vos systèmes d information 2 à nouveau contexte, nouvelle vision de la sécurité Nouveaux usages et nouvelles technologies,

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

DOSSIER DE PRESENTATION

DOSSIER DE PRESENTATION DOSSIER DE PRESENTATION Ce dossier est destiné à vous présenter à la fois l activité du cabinet de courtage A2C GROUPE, les services mis à la disposition de ses partenaires. Ce dossier se présente sous

Plus en détail

Vos ambitions sont les nôtres

Vos ambitions sont les nôtres 1 Vos ambitions sont les nôtres «Pour ce qui est de l avenir, il ne s agit pas de le prévoir mais de le rendre possible» Antoine de Saint-Exupéry 2 dynamiser vos ventes et votre image grâce à des actions

Plus en détail

Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015?

Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015? Les grandes tendances Data & Analytics 2015 L épreuve de la réalité janvier 2015 Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015? 2014 a confirmé l intérêt croissant pour la donnée au sein

Plus en détail

LaLigne. La culture et GECE Comme vous, de nombreuses structures en France tentent d apporter à leurs publics une autre vision de la culture.

LaLigne. La culture et GECE Comme vous, de nombreuses structures en France tentent d apporter à leurs publics une autre vision de la culture. domaines d activité : votre interlocuteur : nom, prénom, fonction (stand n ) L4 L5 n Connaître, Comprendre et accompagner votre public La culture et GECE Comme vous, de nombreuses structures en France

Plus en détail

100 % I T Editeu e r u s Intég é rat a eu e r u s SSII Web Agency

100 % I T Editeu e r u s Intég é rat a eu e r u s SSII Web Agency 100 % IT Editeurs Intégrateurs SSII Web Agency Introduction : AlterMARKET en bref 1. Valeur ajoutée d AlterMARKET et bénéfices de l externalisation 2. Domaines d intervention 3. Solutions organisationnelles

Plus en détail

Innovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie

Innovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie Innovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie Paris, le 25 février 2014 Innovation Capital, société de capital investissement fondée

Plus en détail

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal Orlando G. Cerocchi LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal :: INTRODUCTION :: OBJECTIF DU PROGRAMME :: FESTIVALS ET ÉVÉNEMENTS TOURISTIQUES ADMISSIBLES :: CHAMPS

Plus en détail

Pour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ

Pour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ Pour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ Katy Tari, Orange Kiwi Chargée de projet 1. Mise en contexte La Société des musées québécois (SMQ) s intéresse

Plus en détail

Vendre son champagne sur internet

Vendre son champagne sur internet dossier P.13-17 Vendre son champagne sur internet De nombreuses études le montrent : le commerce en ligne se porte bien et devrait continuer à croître sur les deux prochaines années. Ainsi, la Fédération

Plus en détail

Nicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin. Août 2013

Nicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin. Août 2013 1 Nicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin Août 2013 Sommaire Contexte... 2 Les équipements TIC des mairies... 3 Les compétences présentes en mairie... 4 Les usages TIC des mairies... 5 La communication

Plus en détail

Ingénieur en prévention des risques

Ingénieur en prévention des risques Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour

Plus en détail

http://myriam-webmarketing.blogspot.com myriam@fcwebmarketing.fr 06.63.93.14.86

http://myriam-webmarketing.blogspot.com myriam@fcwebmarketing.fr 06.63.93.14.86 1 Formations & Conseils Web Marketing Myriam GHARBI Formations & Conseils Web Marketing Vous êtes Auto-entrepreneur, Créateur d'entreprise, Salarié au sein d'une TPE, PME ou dans une Collectivité? Vous

Plus en détail

ARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» -Cas de la MODEP- Présenté par : M. Mohammed Faidi

ARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» -Cas de la MODEP- Présenté par : M. Mohammed Faidi ARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» Présenté par : -Cas de la MODEP- M. Mohammed Faidi Transformation du paysage de la couverture médicale au Maroc grâce à: Une meilleure

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droits de l'homme de l Université de Strasbourg Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

Digital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014

Digital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014 Digital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014 Initiative «Digital Lëtzebuerg» Pour la définition, l élaboration et la mise en œuvre d une stratégie numérique globale pour le Luxembourg 1.

Plus en détail

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL «PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» Juin 2013 Introduction : Les parents sont parmi les principaux bénéficiaires de Paris classe numérique. Grâce à ce nouvel outil, la communication

Plus en détail

Communauté d Universités et Établissements. Stratégie Territoriale et Initiative d Excellence. Université Côte d Azur (UCA) - page 1

Communauté d Universités et Établissements. Stratégie Territoriale et Initiative d Excellence. Université Côte d Azur (UCA) - page 1 Communauté d Universités et Établissements Stratégie Territoriale et Initiative d Excellence Université Côte d Azur (UCA) - page 1 En 2015 le paysage français de l Enseignement supérieur et de la Recherche

Plus en détail

ESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia

ESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia ESTIM Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia GOUVERNANCE DE LA CSTI FORMATION NUMÉRIQUE /ARTS SCIENCES TECHNOLOGIES Face à une crise économique mondiale et aux

Plus en détail

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4

Plus en détail

THEORIE ET CAS PRATIQUES

THEORIE ET CAS PRATIQUES THEORIE ET CAS PRATIQUES A DEFINIR 8/28/2012 Option AUDIT 1 INTRODUCTION L informatique : omniprésente et indispensable Développement des S.I. accroissement des risques Le SI = Système Nerveux de l entreprise

Plus en détail

L Apprentissage à Sciences Po

L Apprentissage à Sciences Po L Apprentissage à Sciences Po L Apprentissage à Sciences Po g Une filière en développement Depuis 2006, Sciences Po développe activement ses formations en apprentissage. Sept masters proposent aujourd

Plus en détail

IAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes.

IAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes. sommaire principes p objectifs méthode prestation, livrable, tarif aperçu visuel à propos d MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS conseil en architecture de l information www.iafactory.fr contact@iafactory.fr

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours

Plus en détail

Ministère de la Culture et de la Communication

Ministère de la Culture et de la Communication Paris, le 11 juin 2014 Secrétariat général Service de la coordination des politiques culturelles et de l innovation Département de la Recherche, de l Enseignement supérieur et de la Technologie Appel à

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 ACCÈS AU SPORT ACCÈS AUX LOISIRS ET/OU À LA CULTURE 1 PRÉAMBULE Définies dans le

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Philosophie, psychanalyse de l Université Paul-Valéry Montpellier 3 Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations

Plus en détail