Les poursuites judiciaires intentées par un patient contre son médecin ont

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les poursuites judiciaires intentées par un patient contre son médecin ont"

Transcription

1 Le droit médical Chapitre 5 89 Principes de base du consentement éclairé 92 La divulgation d événements indésirables aux patients Les poursuites judiciaires intentées par un patient contre son médecin ont toujours été une réalité de l exercice de la profession médicale. Quoiqu une baisse ait été observée au cours des dix dernières années, la fréquence des actions en justice semble avoir atteint un certain plateau. On peut se demander si cette situation est attribuable à une moins grande tolérance des patients aux erreurs ou accidents médicaux, à une information faussée par les renseignements dans Internet, à un rejet de l image du médecin «sauveur et parfait» ou à la tentation de suivre l exemple de nos voisins américains. Peu importe, il reste que tous les médecins sans exception sont assujettis à la responsabilité civile et que le droit en la matière est très complexe et rempli d ambiguïtés. Explorons ensemble la question pour mieux vous protéger. Au Québec, la plupart des résidents bénéficient d une couverture en matière de responsabilité professionnelle grâce au Programme d assurance de dommages du réseau de la santé et des services sociaux. Mais une fois en exercice, vous devez vous-même souscrire une assurance responsabilité professionnelle. Au Québec, 95 % des médecins sont membres de l Association canadienne de protection médicale (ACPM) et souscrivent une assurance responsabilité professionnelle par son entremise. Fondée en 1901, l ACPM est une mutuelle, sans but lucratif, vouée à la défense des médecins. Avec plus de médecins membres au Canada, dont plus de au Québec, l ACPM est le principal fournisseur d assurance responsabilité professionnelle pour les médecins au pays. L Association offre une assistance juridique, de l information et des services de formation pour aider les médecins membres et les organisations médicales professionnelles à améliorer la sécurité des patients et à réduire les risques 87

2 LES COMMUNICATIONS AVEC LES PATIENTS Les bonnes communications avec les patients sont essentielles à la prévention des poursuites contre les médecins. À ce chapitre, les nouveaux médecins doivent garder trois concepts médicolégaux au premier plan de leurs préoccupations quotidiennes : le consentement éclairé, le congé éclairé et la divulgation d un événement indésirable. Ces éléments exigent un effort délibéré pour tenir une bonne discussion avec le patient, en dépit d un horaire probablement très chargé. Dans l intérêt de la sécurité des patients et des bonnes pratiques médicales, le fait de prendre le temps d obtenir le consentement éclairé du patient avant de procéder au traitement s avère une très «bonne pratique médicale». Le médecin devrait fournir au patient des explications suffisantes sur la nature de l examen ou du traitement envisagé et sur les résultats escomptés, de même que sur les risques importants qui s y rattachent et sur les solutions de rechange raisonnables au traitement proposé. Un concept apparenté est celui du «congé éclairé». Il s agit de l exigence de fournir au patient, lors de son congé, l information nécessaire pour qu il puisse reconnaitre les signes et symptômes d une complication à la suite d un traitement ou d une investigation et de savoir quand et comment obtenir l aide médicale appropriée. Dans l éventualité où le traitement ne se déroule pas comme prévu et que le patient subit un événement indésirable, le médecin traitant se doit d en discuter avec le patient ou, avec la permission de ce dernier, avec son représentant légal. Avis au lecteur : la publication la plus récente est disponible au site de l ACPM en utilisant ce lien. /documents/10179/24891/com_medico_legal_handbook-f.pdf 88 Guide des résidents 2015

3 Le droit médical Principes de base du consentement éclairé D re Lorraine LeGrand Westfall et D r Gord Wallace Le processus de consentement éclairé joue un rôle important dans la relation entre le médecin et son patient. Pour que le consentement puisse servir à la défense en cas d allégations de négligence ou de voies de fait, il doit satisfaire à certaines conditions : le consentement doit être libre, le patient doit posséder l aptitude à consentir et doit avoir été bien informé. THINKSTOCK Voici quelques points que le médecin souhaitera peut-être considérer au moment d obtenir le consentement éclairé de son patient : Tenir compte de tout facteur linguistique, culturel et cognitif pouvant nuire à la communication. Le médecin doit déterminer si le patient semble comprendre l information fournie; Discuter du diagnostic avec le patient. S il y a des incertitudes raisonnables quant au diagnostic, le médecin doit les porter à la connaissance du patient, lui en expliquer les raisons et lui dire quelles sont les possibilités envisagées; Discuter avec le patient de la nature des examens ou du traitement proposés et des risques qu ils comportent dans un langage clair et compréhensible; Informer le patient des solutions de rechange raisonnables au traitement qui lui est proposé et des risques qui s y rattachent. Rien n oblige le médecin à parler au patient de traitements qui pourraient clairement être considérés comme non conventionnels, mais le patient doit savoir qu il y a d autres options reconnues et connaître les raisons pour lesquelles celle qu on lui recommande a été retenue; Être attentif aux inquiétudes du patient à propos du traitement projeté et en parler ouvertement. Le médecin doit se rappeler que les circonstances particulières dans lesquelles se trouve le patient peuvent nécessiter la divulgation de certains risques possibles (bien qu in ha bituels) du traitement qui ne sont peut-être pas 89

4 Le droit médical pour les fournisseurs de soins de santé. Dans de telles circonstances, il peut s avérer prudent de privilégier un processus de consentement explicite dans le cadre duquel le médecin pourrait aborder les limites de ce mode d éva luation; les solutions de rechange possibles pour l évaluation; les rôles et la responsabilisation des participants; les responsabilités vis-à-vis des soins continus; et les capacités et les limites de la technologie, y compris les procédures suivies dans l éven tualité d une défaillance technique; Indiquer au patient qui sont les personnes qui peuvent participer aux soins qui lui seront prodigués. Le médecin doit par exemple l informer si le traitement doit être confié, en tout ou en partie, à un résident. Le patient devrait aussi être rassuré quant à la qualité des soins qu il recevra et à la supervision qui sera exercée; S informer des inquiétudes éventuelles du patient. Le médecin doit donner au patient la possibilité de poser des questions. Il doit alors y répondre et déterminer si le patient semble avoir compris; Informer le patient qui refuse de subir un examen ou un traitement des conséquences réelles ou potentielles de sa décision; Se rappeler que les documents imprimés, les vidéos et autre documentation remis au patient peuvent soutenir les discussions visant à obtenir son consentement, mais qu ils ne peuvent s y substituer; Prendre des notes. Une note du médecin versée au dossier au moment de la discussion en vue d obtenir un consen tement pourra plus tard servir à confirmer que le patient a été informé convenablement, en particulier si la note fait mention de points bien définis qui ont pu être évoqués durant la conversation. La teneur de la discussion doit être consignée au dossier médical dans les meilleurs délais. La note pourrait faire mention notamment : des risques majeurs qui ont été abordés; des risques mineurs mais tout de même importants qui ont été mentionnés; des questions posées par le patient et des réponses fournies; tuellement considérés comme importants. Le devoir de divulgation s étend à ce que le médecin con naît ou devrait connaître des éléments que le patient considère comme pertinents dans sa décision de subir ou non le traitement; S abstenir de garantir les résultats du traitement. Les encouragements prodigués à un patient compte tenu des perspectives de bons résultats d un traitement ne doivent pas laisser croire au patient que les résultats sont garantis; Informer le patient des conséquences du refus d un traitement médical. Le médecin doit éviter de recourir à la coercition en faisant peur au patient qui refuse le traitement, mais il a l obligation de l informer sur les conséquences possibles de son refus; Éviter de tomber dans le piège du silence. Lorsqu un patient renonce à toute explication, n a aucune question à poser et se dit prêt à subir le traitement quels qu en soient les risques et sans en avoir discuté au préalable, le médecin doit alors continuer de s acquitter de son obligation de fournir des informations suffisantes pour que le consentement soit éclairé; Faire preuve de prudence et mentionner les limites d un examen ou d une intervention (p. ex. taux d échec d un test visant à dépister une maladie grave comme le cancer); Faire particulièrement attention lorsqu il s agit d obtenir le consentement pour des interventions chirurgicales de nature esthétique. Pour ces types d interventions comme pour tout autre traitement mé di cal ou chirurgical qui n est pas nécessairement absolument essentiel à la santé physique du patient, le médecin doit être particulièrement prudent et expliquer en détail les risques et les résultats escomptés. Comme pour la recherche expérimentale, les tribunaux peuvent dans ces cas imposer aux médecins une norme plus exigeante en matière de divulgation; Faire preuve de prudence en ce qui concerne les consultations à distance (télémédecine). La télémédecine peut présenter un ensemble unique de circonstances inédites, tant pour le patient que THINKSTOCK 90 Guide des résidents 2015

5 de l impression du médecin quant à la compréhension apparente du patient, surtout s il s agit d une personne jeune ou dont les capacités intellectuelles pourraient être mises en doute; de toute documentation remise au patient. Au Québec, le mineur de 14 ans doit consentir au traitement proposé. Le consentement d un parent ou d un tuteur, ou encore du tribunal, est nécessaire lorsqu un traitement est proposé à un enfant âgé de moins de 14 ans ou à toute personne considérée comme inapte à consentir. Ailleurs au pays, pour déterminer si un mineur est apte à consentir, il faut savoir dans quelle mesure son développement physique, mental et émotif lui permettra de saisir pleinement la nature et les conséquences du traitement proposé, et notamment les risques auxquels il s expose s il refuse un tel traitement. De façon générale, lorsque le patient mineur n a pas l aptitude nécessaire, les parents ou tuteurs sont autorisés à consentir au traitement au nom du mineur et doivent être guidés par l intérêt du mineur. TRAITEMENT D URGENCE Il existe une exception importante à la règle générale qui veut qu on obtienne le consentement du patient avant tout traitement. En effet, en cas d urgence médicale, lorsque le patient (ou la personne chargée d accorder un consentement subrogatoire) est inapte à consentir, le médecin a le devoir de faire sans consentement ce qui est immédiatement nécessaire dans l intérêt du patient. Mais, pour que le médecin puisse déclarer qu une situation donnée constituait une urgence où le consentement n était pas nécessaire, il doit démontrer que le patient éprouvait des souffrances intenses ou qu une menace imminente pesait sur sa vie ou sa santé. Le professionnel des soins de santé ne doit pas avoir agi pour sa commodité personnelle ou par préférence personnelle : la nécessité de procéder au moment où l acte a été fait ne doit laisser aucun doute. De plus, en situation d urgence médicale, les traitements ne devraient comporter que ce qui est nécessaire pour prévenir des souffrances indues ou pour contrer les menaces immédiates à la vie ou à l intégrité du patient. Même lorsque le patient est incapable de communiquer dans des situations d urgence médicale, ses volontés connues doivent être respectées. Par conséquent, avant d intervenir, le médecin voudra s assurer que le patient n a jamais laissé entendre, par voie de directive préalable ou d une autre manière, qu il refuse de subir le traitement envisagé. De plus, aussitôt que le patient est capable de prendre des décisions et qu il a retrouvé l aptitude à consentir, il faut obtenir de lui un consentement approprié et éclairé pour tout traitement supplémentaire. Dans certaines provinces, la législation permet la désignation de substituts, qui pourront accorder ou refuser leur consentement au nom du patient inapte. Si le substitut est disponible immédiatement, le traitement d urgence ne devrait avoir lieu qu avec le consentement de cette personne. Dans les cas d urgence, il sera peut-être nécessaire ou approprié d entreprendre le traitement d urgence pendant que des mesures sont prises pour obtenir le consentement éclairé du patient ou du sub s titut, ou pour déterminer s il existe des directives préalables. Cependant, les directives du patient ou du substitut, quant à la question de savoir si le traitement doit ou non avoir lieu, doivent être obtenues aussi rapidement qu il est raisonnablement possible de le faire. Lorsqu une urgence force le médecin à agir sans le consentement valide du patient ou de la personne chargée d accorder un consentement subrogatoire, le médecin doit consigner sans délai au dossier les circonstances qui l ont placé dans cette obligation. Si la situation est telle que l urgence pourrait être contestée ultérieurement, il serait sage d obtenir l avis d un confrère lorsque c est possible....le consentement doit être libre, le patient doit posséder l aptitude à consentir et doit avoir été bien informé. EN BREF Lorsque le patient ou le substitut n est pas en mesure de consentir et qu il est possible de démontrer que le patient éprouve des souffrances intenses ou qu une menace imminente pèse sur sa vie ou sa santé, le médecin a le devoir de faire sans consentement ce qui est immédiatement nécessaire. Les traitements d urgence ne devraient comporter que ce qui est nécessaire pour prévenir des souffrances indues ou pour contrer les menaces immédiates à la vie ou à l intégrité du patient. Même lorsque le patient est incapable de communiquer, il est nécessaire de respecter ses volontés quand celles-ci sont connues. L ASSOCIATION CANADIENNE DE PROTECTION MÉDICALE L Association canadienne de protection médicale est un organisme sans but lucratif qui appartient aux médecins et qui fournit une protection en matière de responsabilité médicale. Elle offre aux médecins du Canada des services de formation, des conseils et de l assistance juridique, en plus de les aider à identifier et à gérer les risques afin de promouvoir des soins médicaux plus sécuritaires. Tout médecin titulaire d un permis d exercice au Canada (y compris les résidents) peut adhérer à l ACPM. Le droit médical L Association canadienne de protection médicale (ACPM) publie sur son site Web un certain nombre de documents sur la gestion des risques. Elle compte actuellement parmi ses ressources en ligne dans le domaine médico-légal des articles sur la documentation et le consentement. Pour obtenir davantage d information, n hésitez pas à consulter le site de l ACPM à l adresse Les médecins membres peuvent aussi communiquer avec l ACPM par téléphone, en composant le Ils seront alors dirigés vers un médecin-conseil qui sera en mesure de leur donner des conseils médico-légaux à titre 91

6 La divulgation d événements indésirables aux patients D re Lorraine LeGrand Westfall et D r Gord Wallace ÉVÉNEMENTS INDÉSIRABLES ET POURSUITES Les patients et leurs proches intentent des actions en justice pour diverses raisons. Le besoin financier en est certainement une. Toutefois, la déception et la colère face à des résultats cliniques insatisfaisants ou à des attentes non comblées jouent aussi un rôle important. La surprise engendrée par des résultats imprévus ou la découverte fortuite de détails importants qui n avaient pas été divulgués à l égard d un événement indésirable est également un important facteur qui incite à engager des poursuites. Les patients et leurs proches indiquent parfois que l action en justice est une façon de tenter de savoir ce qui s est passé quand les autres mécanismes de communication et d enquête ne leur ont pas permis d obtenir des réponses satisfaisantes. Les poursuites peuvent aussi être une tentative d améliorer le système pour éviter que des événements similaires se reproduisent. Devant des complications imprévues et des résultats cliniques défavorables, les médecins réagissent de différentes façons. La plupart veulent comprendre pourquoi le traitement a mal tourné. Qui plus est, la majorité d entre eux se sentent personnellement responsables et s autocritiquent lorsqu un événement indésirable se produit. Certains ont parfois tendance à imputer la responsabilité du préjudice aux autres avant même que l ensemble des faits et des circonstances entourant l événement ne soit connu. Tous les médecins sont motivés à prévenir, dans la mesure du possible, la répétition de l événement indésirable. QU EST-CE QU UN ÉVÉNEMENT INDÉSIRABLE? Les patients ont le droit de savoir ce qui est à l origine de résultats cliniques imprévus. L expression «événement indésirable» («accident» au Québec) fait référence au préjudice non intentionnel résultant de la prestation de soins, plutôt qu à l état pathologique sous-jacent du patient. L Organisation mondiale de la santé (OMS) utilise une terminologie différente centrée sur les «incidents liés à la sécurité du patient» et celle-ci est de plus en plus en usage au Canada. Peu importe la terminologie utilisée, nombre d intervenants chargés d améliorer la sécurité des patients n aiment pas l expression «erreur médicale» en raison de la notion de faute ou de blâme qu elle véhicule, et il peut être inapproprié de l utiliser, surtout avant que THINKSTOCK Le droit médical 92 Guide des résidents 2015

7 l ensemble des faits et des circonstances entourant l événement ne soit connu. Bien qu un résultat indésirable puisse être lié à la progression de la maladie, il arrive parfois que les soins soient en cause. Un préjudice lié à la prestation des soins de santé peut malheureusement survenir même lorsque les meilleurs soins possibles ont été prodigués. Ce préjudice résulte le plus souvent d une complication reconnue, un risque inhérent à un examen ou à un traitement. À titre d exem ple, un patient qui n a pas d allergie connue à la pénicilline peut subir un choc anaphylactique en recevant ce médicament. Un pré ju dice peut aussi résulter de défaillances du système et du pro cessus de soins, y compris de problèmes liés à la conduite du pro fes sionnel de la santé. C est le cas, par exemple, si un patient qui a une allergie connue à la pénicilline fait une ré a ction après avoir reçu par erreur le médicament. Les résultats cliniques indésirables ne sont habituellement pas causés par la négligence ou la faute professionnelle. Pour déterminer s il y a eu négligence ou faute professionnelle, les tribunaux appliquent non pas une norme de pratique visant la perfection, mais plutôt la norme de pratique qu aurait raisonnablement utilisée un collègue dans des circonstances similaires. Pour établir la norme de pratique applicable, les tribunaux s appuient fortement sur le témoignage d autres médecins ayant une formation et une expérience comparables à celle du médecin défendeur. DIVULGATION D ÉVÉNEMENTS INDÉSIRABLES AUX PATIENTS Les professionnels de la santé ont une obligation déontologique, professionnelle et juridique de divulguer aux patients la survenue d un événement indésirable et la nature de cet événement dès qu il est raisonnable de le faire. Idéalement, la divulgation d un événement indésirable devrait se faire avec délicatesse, sans précipitation, et dans un endroit privé. Avant d approcher le patient et la famille, il est important d établir un plan d action et la façon dont les renseignements seront communiqués. Toutefois, avant de communiquer directement avec un patient qui a entamé une poursuite contre lui, le membre devrait consulter l ACPM ou un avocat. QUOI FAIRE EN CAS D ÉVÉNEMENTS INDÉSIRABLES? 1. Prodiguez au patient tout soin d urgence dont il pourrait avoir besoin et répondez aux préoccupations immédiates concernant son état de santé. 2. Les résidents impliqués dans un événement indésirable devraient le signaler à leur superviseur; on les encourage à assister, à titre d observateur, à l entretien de divulgation pour tirer profit de cette expérience d appren tissage. Si le temps le permet, téléphonez à l ACPM si vous en êtes membre pour obtenir des conseils avant de communiquer avec le patient, la famille ou l hôpital. 3. Informez le patient de ce qui s est produit et de son état de santé actuel en lui donnant des renseignements cliniques factuels. Évitez de spéculer sur ce qui aurait pu arriver si une autre ligne de conduite avait initialement été adoptée. Évitez d attribuer la faute aux autres, particulièrement en ce qui a trait aux soins prodigués par d autres personnes. 4. Recommandez au patient la conduite à adopter compte tenu de son état actuel et faites-lui part des autres traitements et examens possibles ainsi que des risques et des avantages qui leur sont associés. Il s agit ici d engager une discussion en vue d obtenir un consentement éclairé sur le traitement subséquent. Répondez à toute question que le patient pourrait avoir à l égard des traitements proposés. 5. Tenez le patient et sa famille (avec le consentement du patient) informés de l évolution de son état clinique et des traitements projetés. 6. Facilitez tout traitement et toute consultation. 7. Demandez à un autre médecin de prendre le patient en charge, si telle est la volonté du patient ou si l état du patient nécessite des soins que vous ne pouvez lui prodiguer. 8. Faites preuve de compassion envers le patient, dites-lui que vous êtes sincèrement désolé de ce qui est arrivé et que vous préféreriez qu il en soit autrement. Il est parfaitement acceptable, voire souhaitable, d exprimer de tels sentiments. Si les résultats découlent indiscutablement de soins inappropriés que vous avez vous-même prodigués, vous pouvez parfois reconnaître votre responsabilité. 9. Avisez le patient de toute enquête pouvant être menée au sujet de l événement indésirable tout en étant conscient des restrictions qui peuvent s appliquer à la communication des résultats. 10. Inscrivez au dossier, de façon factuelle, les soins que vous avez prodigués et les discussions que vous avez eues après l événement indésirable. Vous ne devriez jamais modifier de quelque façon que ce soit ce qui a déjà été consigné au dossier. 11. Appelez l ACPM si vous vous inquiétez de problèmes médicolégaux pouvant résulter de ce qui s est passé. Avis au lecteur : la publication la plus récente est disponible au site de l ACPM en utilisant ce lien. Le droit 93

8 LA VIE EST REMPLIE DE SURPRISES ET D IMPRÉVUS. LAISSEZ-NOUS VOUS AIDER À BIEN COMPRENDRE LE RÉGIME D ASSURANCE INVALIDITÉ D AMQ ASSURANCE. Lorsque vous aurez terminé votre résidence, votre niveau de vie, vos priorités et votre réalité économique vont certes changer. Le régime d assurance offert par AMQ Assurance vous permettra d élargir votre couverture au moment opportun, et ce, à une fraction du prix des protections offertes sur le marché. De plus, les couvertures d assurance souscrites auprès d AMQ Assurance seront bonifiées lorsque vous deviendrez médecin. Vous serez ainsi assuré d obtenir les protections recherchées, sans égard à votre état de santé. POURQUOI CHOISIREZ-VOUS L AMQ POUR VOS ASSURANCES? COMMUNIQUEZ AVEC NOUS DÈS AJOURD HUI POUR DISCUTER DE VOS BESOINS EN MATIÈRE D ASSURANCE amqassurance@cma.ca Gestion financière MD offre des produits et services financiers, la famille de fonds MD et des services-conseils en placement par l entremise du groupe de sociétés MD. Pour obtenir une liste détaillée de ces sociétés, veuillez consulter notre site à l adresse md.amc.ca. Les conseillers en assurance mentionnés aux présentes détiennent un permis auprès de l Agence d assurance MD limitée. ACQ

Assurance invalidité de courte durée. Guide du salarié

Assurance invalidité de courte durée. Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Le présent guide contient les formulaires à remplir pour demander des prestations d invalidité et certains renseignements

Plus en détail

DIRECTIVES ET NORMES EN MATIÈRE DE PRINCIPE

DIRECTIVES ET NORMES EN MATIÈRE DE PRINCIPE Les versions courantes des documents sont mises à jour en ligne. Les copies imprimées ne sont pas contrôlées. Page 1 de 5 DIRECTIVES ET NORMES EN MATIÈRE DE PRINCIPE POUR LES PERSONNES SOUMISES À DES RESTRICTIONS

Plus en détail

DAS Canada Legal Protection Insurance Company Limited. («DAS Canada») CONVENTION DE COURTAGE

DAS Canada Legal Protection Insurance Company Limited. («DAS Canada») CONVENTION DE COURTAGE DAS Canada Legal Protection Insurance Company Limited («DAS Canada») CONVENTION DE COURTAGE En soumettant les informations relatives à vos activités de courtage sur le formulaire d enregistrement en ligne

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

Programme d assurance-invalidité de courte durée

Programme d assurance-invalidité de courte durée Programme d assurance-invalidité de courte durée Votre trousse de six pages Aperçu Le Programme d assurance-invalidité de courte durée (PAICD) assure un traitement uniforme pour tous les employés lorsqu

Plus en détail

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec

Plus en détail

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts Sommaire Préface...p.3 Définition et types de conflit d intérêts...p.4 Comment identifier un conflit d intérêts...p.6 Exemples

Plus en détail

Le Plan libéral pour les soins familiaux

Le Plan libéral pour les soins familiaux Le Plan libéral pour les soins familiaux 1 Le Plan libéral pour les soins familiaux AUX CÔTÉS DES FAMILLES CANADIENNES Les membres d une famille s appuient entre eux. Les familles canadiennes veulent s

Plus en détail

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise MODÉRATEUR : Eric Simard Fasken Martineau PANÉLISTES : Martin Sheehan Fasken Martineau Anne Granger Fasken Martineau 3e Symposium

Plus en détail

Responsabilité professionnelle des Infirmiers

Responsabilité professionnelle des Infirmiers Responsabilité professionnelle des Infirmiers Diplômés s d Etatd Direction des Affaires Juridiques et des Droits du Patient Bureau de la Responsabilité Médicale et du Contentieux des Personnels Emily THIBAULT

Plus en détail

GUIDE DE L UTILISATEUR CONDITIONS LÉGALES

GUIDE DE L UTILISATEUR CONDITIONS LÉGALES GUIDE DE L UTILISATEUR CONDITIONS LÉGALES La suite du présent document pourrait vous inquiéter. Le langage peut sembler inhabituel. C est parce que les conditions suivantes sont des conditions légales

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

Objet : Groupe de travail antifraude de l assurance-automobile Rapport d étape

Objet : Groupe de travail antifraude de l assurance-automobile Rapport d étape Le 23 août 2012 Monsieur Fred Gorbet Président, Comité directeur Groupe de travail antifraude de l assurance-automobile de l Ontario Raymond G. Kearns, FPAA Directeur, Risque et conformité, Canada Tél.

Plus en détail

Les médicaments génériques

Les médicaments génériques ASSURANCE COLLECTIVE Les médicaments génériques Leurs effets bénéfiques sur votre portefeuille Qu est-ce qu un médicament générique? Un médicament générique est l équivalent d une marque maison dans le

Plus en détail

Quand vous ne. Pourrez. plus gérer vos affaires, qui le fera?

Quand vous ne. Pourrez. plus gérer vos affaires, qui le fera? Pourrez Quand vous ne plus gérer vos affaires, qui le fera? Le Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick (SPEIJ-NB) est un organisme à but non lucratif. Il a pour but

Plus en détail

ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE

ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE Au fur et à mesure que le Canada passe à une économie tertiaire, les travailleurs du savoir prospèrent. Aidés par la technologie et exploitant leur

Plus en détail

Un de vos proches devient inapte

Un de vos proches devient inapte Un de vos proches devient inapte Comment le protéger? Le Curateur public du Québec À la rencontre de la personne Table des matières Qu est-ce que l inaptitude?... 4 Qu est-ce que le besoin de protection?....

Plus en détail

GUIDE. Gérer les incidents et accidents dans la prestation des soins et services pharmaceutiques

GUIDE. Gérer les incidents et accidents dans la prestation des soins et services pharmaceutiques GUIDE Gérer les incidents et accidents dans la prestation des soins et services pharmaceutiques L Ordre tient à remercier toutes les personnes qui ont contribué au développement du contenu et à la réalisation

Plus en détail

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.

Plus en détail

POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS

POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS Champ d application de la politique Il y a placement privé lorsqu un émetteur distribue des titres en contrepartie d espèces aux termes des dispenses de prospectus ou des

Plus en détail

Plan Protection Plus Certificat d assurance - Assurance vie et invalidité

Plan Protection Plus Certificat d assurance - Assurance vie et invalidité Page 1 de 5 Le présent certificat d assurance (le «certificat») renferme des détails importants sur votre couverture d assurance ; veuillez le garder en lieu sûr. La correspondance ultérieure pourrait

Plus en détail

1. À PROPOS DE COURTIKA

1. À PROPOS DE COURTIKA Conditions d utilisation du site web des sociétés Assurances Morin et Associés Inc., Services Financiers Morin Inc. et Lambert Jutras Assurances Inc. (ci-après «Courtika») Bienvenue sur le site Web de

Plus en détail

Veuillez lire les présentes modalités et conditions du service (les «CONDITIONS») avant d utiliser le présent site.

Veuillez lire les présentes modalités et conditions du service (les «CONDITIONS») avant d utiliser le présent site. Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Avis juridique Veuillez lire les présentes modalités

Plus en détail

La responsabilité juridique des soignants

La responsabilité juridique des soignants La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques

Plus en détail

Demande de règlement d invalidité de longue durée

Demande de règlement d invalidité de longue durée Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n

Plus en détail

MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE

MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE TABLE DES MATIÈRES Votre procuration est un document important Mise en garde 4 Pour bien comprendre la procuration Note explicative 6 1. Qu est-ce qu une procuration?...

Plus en détail

VISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE INTRODUCTION

VISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE INTRODUCTION VISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT CE QUI SUIT : Le présent certificat d assurance est

Plus en détail

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3 OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux

Plus en détail

PARTENAIRES POUR UNE PLUS GRANDE QUALITÉ DES SOINS DE SANTÉ LA LOI RELATIVE AUX DROITS DU PATIENT

PARTENAIRES POUR UNE PLUS GRANDE QUALITÉ DES SOINS DE SANTÉ LA LOI RELATIVE AUX DROITS DU PATIENT LA LOI RELATIVE AUX DROITS DU PATIENT PARTENAIRES POUR UNE PLUS GRANDE QUALITÉ DES SOINS DE SANTÉ Service Public Fédéral de la Santé Publique, de la Sécurité de la Chaîne Alimentaire et de l Environnement

Plus en détail

La protection de vos données médicales chez l assureur

La protection de vos données médicales chez l assureur La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail

OUVERTURE DE COMPTE À REMPLIR ET FAIRE PARVENIR AU SIÈGE SOCIAL DE PRO ENERGY COURRIEL : INFO@PRO-ENERGY.CA FAX : 819-893-2288

OUVERTURE DE COMPTE À REMPLIR ET FAIRE PARVENIR AU SIÈGE SOCIAL DE PRO ENERGY COURRIEL : INFO@PRO-ENERGY.CA FAX : 819-893-2288 OUVERTURE DE COMPTE À REMPLIR ET FAIRE PARVENIR AU SIÈGE SOCIAL DE PRO ENERGY COURRIEL : INFO@PRO-ENERGY.CA FAX : 819-893-2288 MODÈLES D AFFAIRES EN BREF OPTION 1 - CLINIQUE MINCEUR LICENCIÉE PROGRAMME

Plus en détail

Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires

Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)

Plus en détail

THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL

THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL DÉFINITION DE L ACCIDENT DU TRAVAIL Il faut rappeler que tout ce qui arrive sur le lieu du travail n est pas constitutif d un accident du travail au sens légal du terme. La

Plus en détail

Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie

Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie Assurance-vie essentielle pour enfants Premiers Pas Dans la présente police, «nous» et «nos» renvoient à Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie. Nous nous engageons

Plus en détail

Partir en toute. assurance PARTOUT DANS LE MONDE

Partir en toute. assurance PARTOUT DANS LE MONDE Partir en toute assurance PARTOUT DANS LE MONDE L information contenue dans ce document l est à titre indicatif et n engage en rien la responsabilité de la Société de l assurance automobile du Québec.

Plus en détail

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi [TRADUCTION] Citation : A. D. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 5 ENTRE : A. D. N o d appel : GE-13-1152 Appelant et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

Feuille d information

Feuille d information Feuille d information Numéro 110 Avez-vous bien planifié votre stratégie de sortie? Aide-mémoire à l'intention des dentistes qui se préparent à prendre leur retraite Après avoir travaillé sans relâche

Plus en détail

desjardinssecuritefinanciere.com

desjardinssecuritefinanciere.com Assurance collective efficaces simples sécurisés desjardinssecuritefinanciere.com Votre régime entre vos mains Les services en ligne offerts par Desjardins Sécurité financière vous permettent de prendre

Plus en détail

Exploitation financière : protégez-vous

Exploitation financière : protégez-vous Exploitation financière : protégez-vous Les banques sont conscientes de l augmentation des cas d exploitation financière dont sont victimes les aînés et les personnes vulnérables. Les banques jouent un

Plus en détail

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information CA 06-02-2015 Annexe 10.1 Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information Janvier 2015 2 1. PRÉAMBULE La Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) est une fédération

Plus en détail

RENSEIGNEMENTS IMPORTANTS AU SUJET DE VOTRE FORMULAIRE DE DEMANDE D INDEMNITÉ

RENSEIGNEMENTS IMPORTANTS AU SUJET DE VOTRE FORMULAIRE DE DEMANDE D INDEMNITÉ RENSEIGNEMENTS IMPORTANTS AU SUJET DE VOTRE FORMULAIRE DE DEMANDE D INDEMNITÉ Le formulaire de demande d indemnité ci-joint doit être rempli entièrement, signé et retourné à notre bureau aussitôt que possible.

Plus en détail

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent

Plus en détail

On a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir.

On a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir. Le droit d être informé prend sa source dans les droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés québécoise. L article 44 confirme que tout Québécois a droit à l information, sous réserve de la

Plus en détail

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins

Plus en détail

X X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS.

X X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS. Commission d accès à l information du Québec Dossier : 05 10 23 Date : 31 juillet 2006 Commissaire : M e Hélène Grenier X X Demandeurs c. MELOCHE MONNEX INC. (SÉCURITÉ NATIONALE CIE D ASSURANCE) Entreprise

Plus en détail

UV DIRECT MODALITÉS DU COMPTE

UV DIRECT MODALITÉS DU COMPTE UV DIRECT MODALITÉS DU COMPTE Les pages suivantes contiennent des renseignements importants au sujet de votre compte UV DIRECT dont vous devez prendre connaissance. Si vous avez des questions, nous serons

Plus en détail

Carte Visa Affaires RBC Banque Royale. Un outil plus performant pour faire des affaires

Carte Visa Affaires RBC Banque Royale. Un outil plus performant pour faire des affaires Carte Visa Affaires RBC Banque Royale Un outil plus performant pour faire des affaires Une gestion des dépenses simplifiée Nous sommes heureux de vous présenter la carte Visa Affaires RBC Banque Royale

Plus en détail

Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada

Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada POLITIQUE DE L AMC Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada Les pénuries de plus en plus graves de médicaments d ordonnance des dernières années et les ruptures de stocks

Plus en détail

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.

Plus en détail

Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite

Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite Mars 2015 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 À QUI S ADRESSE CE GUIDE?... 3 AVANT DE DÉBUTER... 4 SERVICE DE

Plus en détail

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière

Plus en détail

L assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider

L assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider Assurance L assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider Nous savons que vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle

Plus en détail

Devenir un gestionnaire de personnes

Devenir un gestionnaire de personnes Devenir un gestionnaire de personnes SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Déterminer vos besoins Trouver les bonnes personnes Conserver les bons employés SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Le passage de personne d

Plus en détail

Violence au travail Un organisme national

Violence au travail Un organisme national Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence

Plus en détail

Opérations entre apparentés

Opérations entre apparentés exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012

Plus en détail

Vous voulez en savoir plus sur les garanties proposées et les différents champs d intervention, lisez attentivement ce dossier.

Vous voulez en savoir plus sur les garanties proposées et les différents champs d intervention, lisez attentivement ce dossier. Petit guide de la Responsabilité Civile Professionnelle appelée RC PRO Pour les Instituts, Les SPA, les Centres de Bronzage en Cabines et les Centres d Embellissement des Cils et des Ongles Pour exercer

Plus en détail

CONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX

CONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX CONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX Entre : Adresse : COMMUNE DE CLOUANGE 1, rue Mal Joffre 57185 CLOUANGE ci-après qualifiés le Client, d

Plus en détail

L obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières

L obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières L obligation de déposer un rapport Guide à l intention des employeurs, exploitants et infirmières Table des matières Introduction.... 3 Pourquoi faut-il déposer un rapport?... 3 Que fait l Ordre lorsqu

Plus en détail

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient

Plus en détail

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des praticiens

Lignes directrices à l intention des praticiens Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes

Plus en détail

Contrat de courtier. Entre : (ci-après nommée «Empire Vie») (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité :

Contrat de courtier. Entre : (ci-après nommée «Empire Vie») (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité : Contrat de courtier Entre : L EMPIRE, COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE (ci-après nommée «Empire Vie») et (ci-après nommé «courtier») Adresse civique : Ville ou municipalité : Province : Code postal : Date d effet

Plus en détail

Conseils sur l assurance-automobile La médiation peut vous aider à régler vos différends en matière d indemnités d accident

Conseils sur l assurance-automobile La médiation peut vous aider à régler vos différends en matière d indemnités d accident Conseils sur l assurance-automobile La médiation peut vous aider à régler vos différends en matière d indemnités d accident (EN) Si vous êtes blessé dans un accident d automobile, vous avez peut-être droit

Plus en détail

GESTION DE RISQUES Août 2007

GESTION DE RISQUES Août 2007 GESTION DE RISQUES Août 2007 Qu est-ce qu un risque? Toute incertitude au sujet d un événement qui menace des éléments d actif Quels sont nos éléments d actif? Les gens : conseils d administration, employés,

Plus en détail

CONTRAT DE COMPTE DE CARTE MASTERCARD MD * BMO MD POUR ENTREPRISE

CONTRAT DE COMPTE DE CARTE MASTERCARD MD * BMO MD POUR ENTREPRISE CONTRAT DE COMPTE DE CARTE MASTERCARD MD * BMO MD POUR ENTREPRISE Dans le présent Contrat, le terme «Client» s entend de l entreprise mentionnée dans le formulaire de demande de carte MasterCard BMO pour

Plus en détail

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS Le 12 septembre 2013 Introduction ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS PRINCIPE DIRECTEUR N O 2 DE L ACFM NORMES MINIMALES DE SURVEILLANCE DES COMPTES Le présent Principe directeur fixe

Plus en détail

les télésoins à domicile

les télésoins à domicile Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans

Plus en détail

PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE

PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE 2001 Texte adopté par la Commission à sa cinquante-troisième session, en 2001, et soumis à l Assemblée générale dans

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

«Prenez vos finances. «Comment vais-je arriver. en main.» à payer mes comptes?» Prendre soin de soi. À quoi s attendre. Que faire

«Prenez vos finances. «Comment vais-je arriver. en main.» à payer mes comptes?» Prendre soin de soi. À quoi s attendre. Que faire Prendre soin de soi À quoi s attendre Que vous travailliez à l extérieur de la maison ou que vous soyez parent au foyer, le cancer du sein pourrait nuire à votre capacité de travailler, ce qui aura inévitablement

Plus en détail

DÉCLARATION DU DEMANDEUR INDEMNITÉS POUR INVALIDITÉ

DÉCLARATION DU DEMANDEUR INDEMNITÉS POUR INVALIDITÉ DÉCLARATION DU DEMANDEUR INDEMNITÉS POUR INVALIDITÉ Vous trouverez les directives pour remplir ce formulaire et de l espace supplémentaire au verso de la page 4. Nom : Adresse : Prénom rue Nom de famille

Plus en détail

PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE

PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE 2001 Texte adopté par la Commission à sa cinquante-troisième session, en 2001, et soumis à l Assemblée générale dans

Plus en détail

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Documents imprimés Une étape à la fois 1 2 Pour les personnes qui ne veulent pas cesser

Plus en détail

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Comprendre qu il s agit d un choix difficile pour les Canadiens Aider les courtiers d assurance et les sociétés d assurance à mieux comprendre les

Plus en détail

Si je décédais prématurément, qui s occuperait de mes versements hypothécaires?

Si je décédais prématurément, qui s occuperait de mes versements hypothécaires? Si je décédais prématurément, qui s occuperait de mes versements hypothécaires? Laissez-nous vous aider à concevoir un régime d assurance hypothécaire pour vous protéger, vous et votre bien le plus précieux.

Plus en détail

Politique de sécurité de l information

Politique de sécurité de l information 5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Téléc. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca Politique de sécurité de l information Émise par la Direction, Gestion des

Plus en détail

Conditions Générale de «Prestations de services»

Conditions Générale de «Prestations de services» Conditions Générale de «Prestations de services» Article 1 - Définitions Nom commercial, ORDI-HS, désigne l Auto-entrepreneur, M. HAMID Farid, 5 Avenue de Jouandin, 64100, Bayonne. (A.E, entreprise non

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

Comité de la réglementation des assurance de l AAI Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel des sociétés d assurances

Comité de la réglementation des assurance de l AAI Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel des sociétés d assurances Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel Introduction Cette note a pour but d établir la position de l AAI sur le rôle que les actuaires devraient jouer dans le contrôle prudentiel des sociétés

Plus en détail

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un

Plus en détail

Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable

Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux La présente feuille de renseignements vise à fournir de l information sur le processus

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

Vivre seul SUJETS DÉLICATS CONTEXTE

Vivre seul SUJETS DÉLICATS CONTEXTE Vivre seul CONTEXTE Un nombre croissant de personnes âgées vivent seules. Si elles sont atteintes de la maladie d Alzheimer ou de maladies apparentées, elles sont plus susceptibles d être diagnostiquées

Plus en détail

Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire

Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire Les États-Unis sont le marché touristique international le plus important pour le Canada et l Ontario. Par conséquent, on déploie des efforts importants

Plus en détail

L assurance est là pour protéger votre famille

L assurance est là pour protéger votre famille Assurance L assurance est là pour protéger votre famille Vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle vie. L assurance met vos proches et vos biens à l abri des pertes

Plus en détail

RETOUR AU TRAVAIL Stratégies de soutien du superviseur lorsque la santé mentale joue un rôle dans le retour de l employé au travail

RETOUR AU TRAVAIL Stratégies de soutien du superviseur lorsque la santé mentale joue un rôle dans le retour de l employé au travail RÉSUMÉ : Facteurs et stratégies visant à aider les infirmières et infirmiers en santé au travail à appuyer le superviseur dans les cas de retour au travail d'employés qui ont eu des problèmes de santé

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES 1. GÉNÉRALITÉS ET DEFINITIONS

CONDITIONS GENERALES 1. GÉNÉRALITÉS ET DEFINITIONS 07/2015 CONDITIONS GENERALES 1. GÉNÉRALITÉS ET DEFINITIONS 1.1. Définitions 1.1.1. Le Centre de Formation à Distance, appartenant au groupe CFDF, société à responsabilité limitée de droit français dont

Plus en détail

Introduction au droit La responsabilité professionnelle

Introduction au droit La responsabilité professionnelle Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige

Plus en détail

LES DONS ET LES TRANSPLANTATIONS D ORGANES ET DE TISSUS (MISE À JOUR 2014)

LES DONS ET LES TRANSPLANTATIONS D ORGANES ET DE TISSUS (MISE À JOUR 2014) POLITIQUE DE L AMC LES DONS ET LES TRANSPLANTATIONS D ORGANES ET DE TISSUS (MISE À JOUR 2014) 1. Introduction Grâce aux progrès des techniques chirurgicales, des agents immunosuppresseurs et des soins

Plus en détail

- 45 - RESPONSABILITÉ DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE PREMIÈRE PARTIE LE FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE DE L ÉTAT CHAPITRE PREMIER

- 45 - RESPONSABILITÉ DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE PREMIÈRE PARTIE LE FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE DE L ÉTAT CHAPITRE PREMIER - 45 - RESPONSABILITÉ DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE PREMIÈRE PARTIE LE FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE DE L ÉTAT CHAPITRE PREMIER Principes généraux Article premier Responsabilité de

Plus en détail

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques Outil d autoévaluation LPRPDE Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques table des matières Utilité de cet outil... 3 Utilisation de cet outil... 4 PARTIE 1 : Guide

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE. Les présentes conditions visent à répondre aux impératifs de l article L441-6 du Code de Commerce.

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE. Les présentes conditions visent à répondre aux impératifs de l article L441-6 du Code de Commerce. CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE Les présentes conditions visent à répondre aux impératifs de l article L441-6 du Code de Commerce. Elles se conforment aux obligations faites par la Loi du 4 août 2008 sur

Plus en détail

ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR

ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) ENTRE : SYNDICAT DES INFIRMIERS ET INFIRMIÈRES DU CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR ET : ET : CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR JULIENNE

Plus en détail

Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins

Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins Sommaire de gestion À la demande du Groupe de travail national sur

Plus en détail

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE

CONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE CONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE Article 1 : Objet et champ d application Sauf accord particulier dûment négocié entre les parties sous quelque forme que ce soit, ces présentes conditions générales

Plus en détail