Participation de l aide soignante à la surveillance et soins des troubles du métabolisme
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- Stéphanie Meunier
- il y a 8 ans
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1 Participation de l aide soignante à la surveillance et soins des troubles du métabolisme Métabolisme : Ensemble de réactions chimiques de transformation de la matière et d énergie qui s accomplissent dans tous les tissus vivant. Les éléments participant à ces réactions sont : - Les enzymes. - L eau. - Les glucides. - Les lipides, protides. L intérêt pour l aide soignante d étudier la participation de ces éléments est d identifier des signes anormaux pour soigner, surveiller et prévenir en collaboration avec l infirmière et dans la limite des compétences reconnues, car il faut savoir que ces troubles entraînent des dépendances sur les besoins de boire, manger, éviter les dangers, éliminer, température et tous les besoins relationnels. Ces troubles ne sont pas pris en charge, peuvent entraîner des perturbations des autres fonctions de l organisme, à cause de la lésion des organes. I L eau : (Les liquides) 1 Le rôle de l eau : L eau est indispensable à l organisme, 70% du poids du corps humain. L eau à un rôle majeur dans le métabolisme biologique et dans le maintien de l équilibre du milieu intérieur. L eau transporte les éléments nutritifs, telle que l oxygène, glucide, acides aminés L eau assure l évacuation des déchets (urée, gaz carbonique, etc. ). 2 Les besoins en eau de l organisme : Chez un adulte 1,5L à 2,5L / 24H. Parfois le besoin en eau est plus important : - Lors de l augmentation de la sudation. - Polypnée. - Augmentation de la température. - Les opérés. - Les diarrhées. - Les vomissements. - La ménopause. - Température ambiante élevée. - Personnes âgées. - Enfants diabétiques. - Certains médicaments. Les pertes normales en eau est de 1,5L à 2L d urines / jours, 0,5L par les selles, 0,4L par la transpiration. 1 / 7
2 3 Déshydratation : Diminution du liquide (volume) de l organisme, qui entraîne un déséquilibre des substances en solutions dans les liquides organiques (sang, lymphe, zone interstitielle). Les causes : (voir 2). En ce qui concerne les médicaments, diurétiques, neuroleptiques, tranquillisants. Les signes : Il existe une déshydratation intracellulaire et extracellulaire. Extracellulaire : - Sécheresse de la peau et des muqueuses (ride, plis cutanés). - Fragilité de la peau. - Lèvres sèches. - Langue rôtie. - Hypotonie (manque de force). - Globe oculaire enfoncé. - Diminution de la quantité d urine très concentrée. - Augmentation du pouls. - Diminution de la tension artérielle. Intracellulaire : - Se manifeste par une soif impérieuse (attention pour les malades confus, comas, bébés). - Fièvres. - Troubles neurologiques (convulsions notamment chez l enfant, comas, confusion, obnubilation). Le rôle de l aide soignante en collaboration avec l infirmière : - Hydrater par voie orale. - Hydrater les téguments. - Prévenir les complications. - Contrôler la température ambiante. Prendre en charge vêtements, chaussures. - Surveiller les signes. - Transmission. - Respecter les plans d action sur 24H pour chaque patient. - Choisir le type de boissons adapté au cas du patient (religion, goût, traitement). - Identifier le patient (attention, restriction hydrique, diabétique) noter heure, quantité, date absorbé. - Hydratation : o En général donner à boire pendant les repas toute les 3 bouchées ou entre chaque plats. o Proposer à boire systématiquement entre les repas. o Proposer à boire chaque fois que l on entre et que l on sort de la chambre. o Vérifier verre et carafe (Hygiène). o Demander à la famille de faire boire. - Connaître la technique : o Patient assis ou demi assis (sinon pipette ou canard). o Soulever la tête. o Prévoir protection. o Essuyer la bouche. o Attention au fausse route. o Petites gorgées avec cuillère en faisant couler le liquide sur la langue et non au fond de la gorge. o Utiliser, avec l accord de l infirmière, de l eau gélifiée aromatisée ou non (vérifier date et conservation). o Changer l eau. - Si le patient est en restriction hydrique (prescription médicale) : o L aider à supprimer la sensation de soif, de sécheresse de la bouche. o Sucer glaçon (voir l infirmière). o Humecter les lèvres par des compresses. 2 / 7
3 o Brumisateur pour le visage. o Rincer la bouche fréquemment. o Adapter l hydratation au patient. 4 Les œdèmes : a) Définition : C est une rétention de liquide d origine plasmatique infiltrant les tissus cellulaires sous-cutanés. b) Les causes : Déséquilibre de pression au niveau des échanges entre les capillaires vasculaires et les cellules et empêchant donc le retour du plasma dans les capillaires veineux. C est donc une hyperhydratation extracellulaire. c) Les signes : Ce déséquilibre peut avoir pour origine - Une insuffisance cardiaque : o Œdème au niveau des membres inférieurs. o La peau est tendue, violacée, lisse. - Une insuffisance rénale : o Œdème au niveau de la face. o Œdème au niveau des mains. o Œdème au niveau de la région lombaire. o Œdème au niveau de la face postérieure des cuisses. o La peau est tendue, blanche, non douloureuse. o Présence du signe du godet. - Un processus inflammatoire. o Phlébite. d) Le rôle de l aide soignante : Dépistage des signes de l œdème, dans la surveillance et dans les soins. - Dépistage : o Au cours de la toilette et de l habillage. o Localisation de l œdème. o Circonstance de la manifestation (couché, debout ) o Aspect (volume, couleur, lisse ou luisante). o Effacement des saillis et des creux. - Signes : o Du godet. o Des douleurs. - Surveillance : o Diurèse (voir fiche technique). o Régime alimentaire (voir fiche technique sur l alimentation). Régime sans sel, restriction hydrique. o Evaluation + transmission à l infirmière. o Mesure du poids (voir fiche technique). - Soins : o Installation du patient en tenant compte du confort (douleur, risque de pression). o Changer les draps souvent. o Relever les membres inférieurs. o Mettre un arceau. o Hygiène corporelle rigoureuse, séchage par tamponnement doux, soulever le membre œdèmacier main à plat sans serrer, pas de savon agressif. o Choix de vêtements amples. o Chaussures et chaussettes pas serrées. o Lingette à disposition pour d éventuels suintements. 3 / 7
4 5 Les urines : a) Définition : C est un liquide produit par les reins dans le but d éliminer les déchets des métabolismes de l organisme. L urine est sécrétée de façon continue et stockée dans la vessie. La miction est un acte volontaire qui permet l évacuation de l urine contenue dans la vessie. La quantité d urine émise par 24H appelée diurèse varie d un sujet à l autre et d un jour à l autre chez une même personne. Cela dépend de la quantité ingérée. b) Rôle de l aide soignante : L aide soignante doit être capable : - De réaliser une diurèse. - D identifier les troubles liés à l évacuation des urines. - D utiliser les méthodes de mesures et d analyses des urines. - De participer à l entretien et la surveillance des patients sondés. - De poser un péniflow, bassin et pistolet. - Avoir des connaissances sur les anomalies de la diurèse et les troubles mictionnels. Les anomies de la diurèse : - Anurie (absence totale de la sécrétion des reins entraînant un niveau d urine nul ou presque) : o L anurie peut être d installation insidieuse. o Surveillance chez les patients à risque (Problèmes rénaux, ). - Oligurie (réduction extrême du débit urinaire). - Polyurie (diurèse excessive parfois au delà de 5L / jour) : o Surveillance des prises de boissons. Les troubles mictionnels : Chez un adulte sain la miction est facile indolore et permet de vider complètement la vessie de son contenu. En général l envie d uriner intervient lorsque la vessie contient entre 300ml et 500ml d urine. Le nombre normal de miction par jour est de 4 à 5 fois pour éliminer 2 litres d urines. Mais il peut y avoir des troubles de la miction sous forme de : - Pollakiurie (augmentation du nombre de miction sans forcement qu il y est augmentation de la diurèse) : o Ex : dans le cas de tumeur de la prostate. - Dysurie (difficulté à la miction) : Le patient à envie mais doit faire des effort pour évacuer, soit il urine en plusieurs temps, soit le jet d urine est faible. - Miction impérieuse (le besoin d uriner est urgent). - Douleur mictionnelle (type de brûlure lors des mictions) : cystite = inflammation de la vessie. - La rétention d urine (persistance d une certaine quantité d urine dans la vessie après une miction) : Il existe des rétention complète qui distendent la vessie, c est une urgence médicale et le traitement est un sondage en urgence évacuateur. - L incontinence urinaire (perte involontaire d urine, le patient ne contrôle plus sa miction). - L énurésie (Miction nocturne involontaire). Coloration des urines : - Normale : Limpide, transparente et jaune. - Rouge : Du aux aliments, médicaments ou sang (hématurie). - Brune foncée : Oligurie, ictère (jaunisse). - Trouble : Pus, surcharge de phosphate. Odeur des urines : - Normale : Odeur azoté. - Très forte : Fièvre, médicament ou alimentation. 4 / 7
5 Rôle de l aide soignante : - Lecture des bandelettes. - Change de poche. - Change de protection. - Toilette d un patient sondé. - Pose d un péniflow. - Pose d un bassin ou d un pistolet. - Hydratation du patient. - Veiller à son alimentation. - Transmission à l infirmière. Les principaux éléments recherchés dans les urines sont soit une présence anormale, soit un taux anormal de : - Glucose glycosurie. - Protéines protéinurie ou albuminurie. - Corps cétonique acétonurie. - Sang hématurie. - Leucocyte infection urinaire. - Nitrite infection urinaire. - ph acidité urinaire. II Métabolisme du sucre : 1 Rappel anatomophysiologique : L acteur principal de ce métabolisme est le pancréas (glande annexe du tube digestif) dont le rôle est de maintenir l équilibre de la distribution du sucre dans le sang et les cellules. Le pancréas est une glande endocrine et exocrine qui sécrète des hormones et du suc pancréatique. Le suc pancréatique est directement déversé dans le tube digestif par des canaux pancréatiques. L hormone appelée insuline est stockée dans des cellules pancréatiques et sert à réguler l utilisation du glucose par les cellules de l organisme. 2 Les troubles : Les troubles du à l absence ou à l insuffisance d insuline ou à une mauvaise qualité de l insuline ont les conséquences suivantes : - Le diabète sucré. - L obésité. 3 Le diabète sucré : C est une maladie chronique marquée par une élévation de la glycémie par insuffisance de sécrétion d insuline par le pancréas. Il existe 2 formes de diabètes sucrés : - Le diabète insulinodépendant. - Le diabète non insulinodépendant. 5 / 7
6 a) Le diabète insulinodépendant : - Carence en insuline. - Chez les sujets jeunes. - On retrouve une glycosurie. - Polyurie (fort volume d urine). - Polydipsie (Augmentation de la sensation de soif). - Déshydratation cellulaire. - Carence métabolique : o Acidose (ph). o Acétonurie. o Amaigrissement voir cachexie. b) Le diabète non insulinodépendant : - Chez l adulte. - Insuline de mauvaise qualité ou pancréas de mauvaise qualité. - Même symptôme que le diabète insulinodépendant. c) Les complications aigue du diabète : Si ça arrive c est une urgence vitale. Les signes : - L hypoglycémie : o Transpiration. o Pâleur. o Extrême fatigue. o Fourmillement autour de la bouche. o Perte de concentration. o Vision troublée. o Irritabilité. - Acidocétose entraînant une aggravation des signes du diabète : o Sensation de soif. o Polyurie. o Vomissement. o Déshydratation. o Epuisement extrême voir coma diabétique. d) Les complications à long terme : Touche essentiellement le système vasculaire qui va vieillir prématurément. La plupart des organes sont ainsi donc touchés : - Les yeux hémorragie, décollement de la rétine. - Les artères artérite, obstruction des artères, gangrène. - L appareil digestif diarrhées. - Appareil génito-urinaire stase urinaire, impuissance chez l homme. - Le système cardiovasculaire tachycardie, hypertension artérielle. - Le rein l insuffisance rénale. - Atteinte neurologique névrite, troubles de la sensibilité, troubles moteurs, troubles trophiques. 4 Le rôle de l aide soignante : Participation : - A l observation des signes. - Au relevé des paramètres. - A la prévention. - Aux soins. 6 / 7
7 a) Relevé des paramètres : - L infirmière s occupe de la glycémie (Hémoglucotest). - L aide soignante s occupe de la glycosurie. - Pesage du patient. - Température (pour d éventuelles infections). b) Observation des signes : - Soit pour transmettre une évolution de la pathologie. - Soit pour transmettre des éléments concernant l efficacité ou pas du traitement du patient (c'est à dire : hypoglycémie ou hyperglycémie). - Efficacité de la démarche éducative par rapport au traitement et par rapport au patient. c) La prévention : - Alimentation (régime ou non). - Education du patient vis-à-vis de l alimentation, traitement, hygiène. - Hygiène corporelle et surtout des pieds. - Hygiène vestimentaire et chaussure. - Education adaptée à l histoire sanitaire du patient et à son environnement psycho socioculturel. d) Soins : En ce qui concerne l alimentation et les régimes voir le cour sur les régimes alimentaires + le rôle de l aide soignante dans l alimentation du patient : - Installation du patient. - Elaboration de la fiche de goût. - Les boissons. - Vérifier glycémie avant et après le repas. Au niveau de l hygiène corporelle : - Peau fragile. - Pas frotter. - Pas de pédiluve. - Savon doux. - Gant de toilette. - Pas de brosse. - Pas de lime. - Crème hydratante. - Transmission. - Signaler toute callosité et ongles longs. Concernant l hygiène vestimentaire et chaussures : - Choisir des tissus par irritants, pas serrer et pas trop chauds. - Choisir des chaussures larges en cuir de préférence. - Chaussettes en coton, tous les jours. - Vérifier l état intérieur des chaussures. - Vérifier l état des talons des chaussures. - Pas chauffer les pieds près d un radiateur ou d une cheminée car dessèchement rapide de la peau du diabétique. - Pas de talons hauts pour les femmes. - Ne jamais marcher pieds nus. Toutes ces actions et observations sont faites pour le patient, doit être transmis à l infirmière et doivent conseiller aussi la famille ou son proche entourage. Le diabétique insulinodépendant ou pas est pris en général à 100% par la sécurité sociale. Cette exonération du ticket modérateur n est pas définitive, le renouvellement doit s effectuer tous les 3 ans. 7 / 7
L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
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