ROLE DE L EXPLOITANT D UNE PLATE-FORME DE COMPOSTAGE
|
|
- Jean-Sébastien Lecompte
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ROLE DE L EXPLOITANT L D UNE PLATE-FORME DE COMPOSTAGE 18 octobre 2011 Site : CHIMIREC-MALO MALO Intervenant : Karine COTTIN
2 Exigence de exploitant Produire du compost conforme à la norme NFU Exigences de résultats : sur la composition finale du produit en terme de qualité et d innocuité Exigences de surveillance : traçabilité exigées par lot, depuis les matières premières jusqu au produit fini. L unité est le lot de commercialisation. Exigences de marquage : composition, conseils d utilisation Respecter les exigences réglementaires Limitation des tonnages de boues traitées (saturation générale des plate-formes de compostage du PACA) Limitation aux départements limitrophes Respect de l arrêté préfectoral et de l arrêté du 22 avril 2008 Maîtrise des nuisances olfactives Nécessaire sélection qualitative des boues entrantes
3 Exigence de résultatsr Résultats en terme de qualité Le structurant végétal est obligatoire Le mélange doit subir une étape de fermentation aérobie avec montée en température permettant l hygiénisation Les produits finis doivent respecter les teneurs suivantes : [N]brut < 3%, [P]brut < 3%, [K]brut < 3%, Siccité > 50% [MO]brut > 20% et [MO]sec > 30%, MO/Norg < 40
4 Exigence de résultatsr Résultats en terme d innocuité Vérification de l innocuité de l ensemble des matières premières : Conformité des boues à l arrêté du 08/01/1998 Inertes et impuretés Conformité des déchets verts Vérification de l innocuité du compost : Eléments traces métalliques (ETM) Composés traces organiques (CTO) Microbiologie
5 Concentrations maximales en ETM Certains concentrations sont à diviser par trois voire par 8
6 Concentrations maximales en ETM Les teneurs à respecter pour le compost normé sont 3 à 8 fois plus sévères que pour les boues entrant dans la fabrication du compost Pour certains paramètres (cuivre et zinc), la concentration moyenne des boues est proche voire supérieure au seuil à respecter pour le compost Or le compostage n induit pas forcément de dilution des teneurs de ETM Nécessité de sélectionner les boues entrants dans la fabrication du compost normé pour produire du compost normé par la procédure d acceptation préalable
7 Acceptation préalable
8 Acceptation préalable Analyse des boues Réalisée par le client Sous-traitée à un laboratoire extérieur COFRAC Acceptation des boues Selon les critères de la norme et de l arrêté préfectoral Selon la qualité des boues (ETM, ) Critère olfactif (bonne stabilisation)
9 Acceptation préalable Analyses Cadmium Chrome Cuivre Mercure Nickel Plomb Zinc ETM (Cd) (Cr) (Cu) (Hg) (Ni) (Pb) (Zn) mg/kg MS mg/kg MS mg/kg MS mg/kg MS mg/kg MS mg/kg MS mg/kg MS Limite de la norme boues Seuil indicateur (4/3 norme compost) Limite de la norme compost STEP A STEP B 0,542 11,39 377,5 0,88 9,84 18,87 274,6 STEP C 0,93 14,33 413,8 0,54 10,67 28,39 433,2 INDUSTRIE A 0,575 14,47 149,4 0,61 12,03 20,99 211,6 INDUSTRIE B 0,295 9,44 39,8 0,033 7,26 7,44 169,2 INDUSTRIE C 2,15 22, ,16 10,6 91,1 615 Acceptation privilégiée pour les boues dont les concentrations en ETM sont inférieurs aux seuils indicateurs (fixé à 4/3 des seuils à respecter pour le compost normé) Acceptation des boues Selon les critères de la norme et de l arrêté préfectoral Selon la qualité des boues (ETM, ) Critère olfactif (bonne stabilisation)
10 Contrôle analytique des boues
11 Contrôle analytique des boues STEP NOUVELLE BOUE FREQUENCE MENSUELLE TOTAL STEP 1 N STEP 2 N STEP 3 N STEP 4 N STEP 5 N ANALYSES ANALYSES REALISEES A FAIRE ETM ETO ETM DATE ETO DATE 03/12/10 03/12/10 23/12/ /01/11 25/01/11 10/03/11 19/03/11 18/04/11 06/07/11 05/08/11 25/01/11 10/06/11 13/07/11 28/02/11 04/04/11 18/04/11 13/05/11 09/02/11 07/04/ /03/11 19/03/11 25/01/11 10/06/11 STEP 6 N /01/ /01/11 STEP 7 N /02/11 31/08/11 ANALYSES A FAIRE AU 30/09/11 RIEN RIEN RIEN 2 18/04/11 RIEN 1 07/04/11 1 ETO 1 ETM 1 ETO 1 14/02/11 RIEN STEP 8 N /02/ /02/11 1 ETM
12 Contrôle analytique des boues Bilan mensuel des contrôles analytiques à réaliser dans le mois Envoi d un mail au client : obtention d un bon pour accord en cas d analyse faite par nos soins ou obtention des résultats d analyse Communication des résultats d analyse au client
13 Gestion des non-conformit conformités Gestion des boues non conformes En cas d analyses non-conformes lors de la procédure d acceptation préalable Communication de la non-conformité au client Refus du déchet sur la plate-forme En cas d analyses non-conformes lors des analyses de routine Communication de la non-conformité au client Suivi analytique du lot concerné
14 PILOTAGE DE LA VENTILATION 2 1 FERMENTATION EN CASIER VENTILÉ 6 à 8 SEMAINES DONT 3 SEMAINES MINIMUM SOUS BACHE GORETEX CONSTITUTION D UN LOT PAR REACTEUR CONTRÔLE ET ENREGISTREMENT DU TAUX D OXYGENE ET DE LA TEMPÉRATURE AIRE DE MÉLANGE ET DE PRÉPARATION RÉCEPTION, PESÉE ET ÉCHANTILLONNAGE ETM < SEUIL ETM > SEUIL DÉPOTAGE BOUES DE STATION D ÉPURATION REFUS DE CRIBLAGE COPRODUIT
15 LE PILOTAGE PAR ORDINATEUR
16 IDENTIFICATION DU RÉACTEUR PARAMÈTRES DE MESURE : TEMPÉRATURE ET TAUX D OXYGENE PROFIL DE TEMPERATURES DE L ANDAIN
17 NOMBRE DE DÉMARRAGE DE L AÉRATEUR (SUR UNE JOURNÉE) DURÉE DE FONCTIONNEMENT DE L AÉRATEUR (SUR UNE JOURNÉE)
18 MATURATION EN CASIER DURANT 4 A 6 SEMAINES MATURATION EN CASIER DURANT 4 SEMAINES MISE EN MATURATION EN FIN DE FERMENTATION 1 CRIBLAGE 2 PRODUITS FINIS REFUS 3 ÉCHANTILLONNAGE ET ANALYSES EN LABORATOIRE INDÉPENDANT REUTILISE EN TETE DE PROCESS 4 DESTINATION DES PRODUITS FINIS FONCTION DES RÉSULTATS D ANALYSES
19 Exigence de surveillance Gestion par lots La gestion par lot permet d assurer le suivi du produit, du producteur à l utilisateur Echantillonnage conservatoire 1 échantillon prélevé par réception de boues de STEP 1 échantillon de déchets verts prélevé sur le lieu de stockage (1 par lot de fermentation) Tenue des registres La tenue de registres justifie la traçabilité mise en place : Registre de stockage Registre des entrées Registre de production Registre des produits finis Registre des lots de produits commercialisables
20 Exigence de surveillance Registre de stockage + Registre des entrées (prélèvement par unité d apport) Boues + Structurant végétal (+) Engrais Lot de production Mélange-Formulation - Compostage + Registre de production Lot de production Lot de produits finis Registre des produits finis (analyses) Lot de produits finis Lot de produits commercialisables Registre des lots de produits commercialisables (destinataire, transporteur, quantité)
21
22 COMPO-TRAC TTC-MALO Orange DONNEES PROCESS Réf. du lot : F0401 MENU Insérer ici le graphique issu du logiciel Viewer Point de mesure 8 h Procédure : 17 Depuis le logiciel Viewer, afficher le graphe correspondant au lot : F Pour cela, ouvrir le fichier correspondant à la date de sortie de fermentation 14 et agrandir le graphe jusqu'au début de la fermentation Basculer sur l'unité de fermentation correspondante : F Enregistrer le graphe sous le format *.wmf Depuis le logiciel Compo-Trac, insérer une image à partir du fichier *.wmf 8 7 Redimensionner l'image pour qu'elle corresponde à ce cadre Jour température T1 température T2 température T3 température T4 température T5 température T6 O2-saturation [%] capteur temp. O2 marque 55 C [cm] Durée de marche Impulsion [x 2] Durée de ventilation : 27 H Période d'hygiénisation : 8 JOURS
23
24 Registre de produits commercialisables LOT N 11 REFERENCES DES ANDAINS F0624 F0625 F0626 F0627 F0628 TONNAGE TOTAL DU LOT TONNAGE DE BOUES TONNAGE DE DECHETS VERTS TONNAGE DE REFUS TONNAGE TOTAL DE L'ANDAIN TONNAGE DE COMPOST PRODUIT DETAIL DES EXPEDITIONS DATE POIDS MAILLE TRANSPORTEUR REFERENCE TRANSPORTEUR DESTINATAIRE ADRESSE décembre mm décembre-06 87,86 25 mm janvier-07 66,48 25 mm janvier-07 10,76 25 mm février-07 16,88 10 mm février-07 15,16 10 mm mars-07 11,3 10 mm mars mm mars mm TOTAL 708,44
25 Exigence de marquage Etiquetage ou emballage ou documents d accompagnement Amendement organique : compost contenant des matières d intérêt agronomique issues du traitement des eaux Signaler l ajout d engrais le cas échéant Type de MIATE, de co-composants, de transformation Siccité, teneur en MO, Nt, No, ph, P2O5, K2O, éléments inertes, indice de stabilité et de minéralisation Dose d emploi préconisée et indications spécifiques d emploi Composition granulométrique Utilisable ou non en maraîchage Nom / raison sociale avec adresse du responsable de la mise sur le marché Identification du lot de produit commercialisable
26 Flux annuels maximaux en ETM Quantité max en g/ha/an sur 10 ans : Ne pas dépasser plus de 3 fois ces valeurs par apport Ne pas dépasser plus de 3 fois ces valeurs sur une année d apport
27 Flux annuels maximaux en CTO Quantité max en g/ha/an sur 10 ans : Comment faire respecter ces flux? Via les préconisations d utilisation du compost (en tonnes par hectare par an par type de culture)
28 Flux annuels maximaux Matrice de calcul de flux réalisée par la Chambre d agriculture Calcul de la dose de compost Chimirec Malo selon les besoins en matière organique Calcul à partir Tr et ISB : apport nécessaire en matière organique 1,5 t/ha/2 ans taux de matière organique du compost Chimirec Malo 27,7 % coefficient Humus stable du compost Chimirec Malo 59,45 % quantité de matière organique stable apportée par le compost Chimirec Malo 0,165 t MO/tonne de compost dose de compost Chimirec Malo à apporter tous les 2 ans 9 t compost/ha/2 ans Calcul à partir ISB et CBM : apport nécessaire en matière organique 1,5 t/ha/2 ans taux de matière organique du compost Chimirec Malo 27,7 % quantité de matière organique stable apportée par le compost Chimirec Malo selon ISB et CBM 0,120 t MO/tonne de compost dose de compost Chimirec Malo à apporter tous les 2 ans 13 t compost/ha/2 ans Prendre la moyenne des deux doses et la reporter sur la fiche produit : 11 t compost/ha/2 ans
29 Flux annuels maximaux Bilan des apports en éléments fertilisants réalisés par le compost (lot 31), pour l'année de l'apport pour une dose d'épandage de 11 tonnes de compost/ha Lot : 31 Besoin pour entretien du taux de matière organique : 9 tonnes de compost/ha Culture : Maïs grain Culture Maïs grain Rendement (q/ha) 100 Contexte Elément fertilisant Besoins à satisfaire(kg/ha) Apports par le compost (kg/ha) Comparaison Apports par le compost et Besoins (kg/ha) Conseil et commentaires Azote N Phosphore P2O5 Potassium K2O total disponible Réaliser un apport complémentaire, en kg/ha de 209 sol riche en phosphore et potassium, et apports non annuels ou sol pauvre en phosphore et potassium, et apports annuels L'apport par le compost suffit enrichissement du sol Attention excès! L'apport par le compost suffit enrichissement du sol
30
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailSTOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie
PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailFor the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention
Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailLa gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet
La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailDosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS
Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailWWW.PROSENSOR.COM NOUVEAU SITE INTERNET S O N D E À C O M P O S T
Le ministère de l écologie a par arrêté du 22 avril 2008, fixé les règles techniques auxquelles doivent satisfaire les installations de compostage ( NOR : DEVP0810090A). Cet arrêté stipule que la température
Plus en détailP R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
P R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Affaire suivie par : Mme Gisèle ATOUBA 02 32 76 53 91 mél : 02 32 76 54 60 gisele.atouba@seine-maritime.pref.gouv.fr
Plus en détailFénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?
LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailDémarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée
Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailLe traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011
Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détail1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101
310 164 01 Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 1. Utilisation conforme à l usage prévu Le capteur sert à la détection de dioxyde de carbone (CO 2 ) et de la température dans l espace d habitation. La teneur
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailNOUVEAU COMPATIBLE COFRAC. Validez la conformité de vos échantillons en un seul geste. Le tube témoin enregistreur de température
Le tube témoin enregistreur de température Validez la conformité de vos échantillons en un seul geste NOUVEAU COMPATIBLE COFRAC Étalonnez vous-même votre Nanotrack! Assurez la traçabilité de la température
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailViandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailVALORISATION DES BOUES SECHEES EN AGRICULTURE
RAPPORT PROJET INGENIERIE VALORISATION DES BOUES SECHEES EN AGRICULTURE «ETUDE DE MARCHE DE LA VALORISATION DES BOUES SECHEES EN AGRICULTURE SUR LES DEPARTEMENTS DU 06 ET DU 83» Présenté par Antonine MOHEN
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailVILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES
VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES
Plus en détailMesures in situ et sur site
Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailStockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours
Stockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours Objectif Être capable : - d'appliquer la réglementation relative au transport des marchandises dangereuses et au stockage. - de rechercher
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailNotice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux
Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 Décret n 2005-635 du 30 mai 2005 Arrêté du 29 juillet 2005 Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailIndividualisation de votre contrat de fourniture d eau
GUIDE PRATIQUE Individualisation de votre contrat de fourniture d eau Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser une demande d individualisation SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)
Plus en détailACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES
ACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES ÉVOLUTIONS DU BRC VERSION 7 cedric.travaille@adria.tm.fr Mars 2015 1 ADRIA NOS MÉTIERS Recherche et Innovation : Qualité et sécurité des aliments, Innovation
Plus en détailL eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires
L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailSociété BIS RECYCLAGE Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE
Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE 1 INFORMATIONS GENERALES SUR LE SITE...1 2 ELEMENTS TECHNIQUES...2 2.1 PRINCIPALES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES... 2 2.2 ELEMENTS
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailMaximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal
MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailLE MAIRE ET LES BOUES D ÉPURATION ANNEXES
LE MAIRE ET LES BOUES D ÉPURATION ANNEXES 1986L0278 FR 01.01.1995 002.001 1 Ce document constitue un outil de documentation et n'engage pas la responsabilité des institutions BDIRECTIVE DU CONSEIL du 12
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailDETECTEUR DE FUITES PORTATIF Méthode H2
DETECTEUR DE FUITES PORTATIF Méthode H2 D F P - S 0 6 Plus de 30 ans à votre service Version 07/2007 Le DFP-S06 a été spécialement développé pour la détection et la localisation de fuites en utilisant
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailGrilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement
Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Travaux réalisés dans le cadre de la mission d accompagnement de la CLI CLI des Monts d Arrée, réunion
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailProtégez-vous des risques liés aux fumées de soudage. Information prévention. Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie?
Réseaux de veille et de prévention des risques professionnels en PACA Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie? Protégez-vous des risques
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailL hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD
L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,
Plus en détailGamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction. produits certifiés
Gamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction produits certifiés Une nouvelle marque de produits éco-conçus et responsables Fabrication 100% française Une vraie fabrication française
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailProgramme de certification
Programme de certification Granulés de bois pour usage dans des petits équipements de chauffage Conformément à la norme DIN EN 14961-2 (A1) FprEN ISO 17225-2 (A1) (Edition: Juin 2014) DIN CERTCO Alboinstraße
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détailUtilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
département Aménagement et Développement Durables Réseau Scientifique et Technique Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailL épandage des boues d épuration sur prairies en élevage laitier. Guide pratique
L épandage des boues d épuration sur prairies en élevage laitier Guide pratique cette brochure a été rédigée par l (Jean-Baptiste dollé, Fatah Bendali, Valérie david, Philippe dumonthier, André Le Gall,
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détailImpacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?
Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détailLe champ d application de notre système de management
NOS ACTIVITES NOTRE ENGAGEMENT NOTRE FONCTIONNEMENT Le périmètre de notre système de management Le périmètre du Système de Management correspond au site de Bordeaux (usine, Unité de Développement des Systèmes
Plus en détail