Le développement chez les Angiospermes
|
|
- Christelle Nadeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le développement chez les Angiospermes
2 INTRODUCTION Quelques rappels et concepts de base
3 Organisation générale d une plante
4 Introduction - I Un axe basal-apical! Apical Tige aérienne, feuille, fleur Polarité basaleapicale Basal Racine
5 Introduction - I Un axe radial et 3 tissus I aires! Épiderme Cortex Cambium Polarité radiale
6 Introduction - I Méristème Apical de la Tige Épiderme Cortex Procambium (tissus vasculaires) Centre Quiescent Zone Périphérique Méristème Apical de la Racine
7 Quelques notions utiles pour comprendre le développement
8 Principe de base du dév ent Des indifférenciées (totipotentes) acquièrent leur destin cellulaire par tion Différenciation Gènes du dév ent : gouvernent, organisent et dirigent la tion
9 Des infos déclenchent l évolution et la tion des Ces infos activent/inhibent la transcription de gènes 2 types d infos: Info intrinsèque à la Info extrinsèque à la
10 Information intrinsèque Elle est déjà contenue dans la!! Répartition d un morphogène selon un gradient Des ARNm Des protéines Des vésicules Organisation du cytosquelette etc.
11 Information intrinsèque Peuvent être positionnées sur la membrane ou la paroi de la!! Signal Différenciation
12 Info extrinsèque Elle est transmise par des voisines!! = Info de position
13 Induction Un tissu dirige l évolution d un tissu voisin Destin aire d une = f (de sa position)
14 Les informations de position sont prépondérantes dans le développement des plantes!!
15 Méristème Apical Feuille Noeud Bourgeon axillaire Croissance modulaire Noeud Phytomère Noeud Noeud Entrenoeud (Tige) Un noeud Une feuille Un bourgeon axillaire Un entrenoeud
16 Bourgeon apical Feuille M 5 M 6 M i Modules M4 Bourgeon axil. M 2 M 3 Noeud Internoeud Noeud Sytème Aérien Tige M 1 M 1 M 3 M 4 M2 Racine secondaire Racine primaire Sytème Racinaire
17 Méristèmes Groupes de emb aires persistantes ( souches ) Dév ent réitératif Ajouts de N elles structures pendant toute la vie de la plante (croissance modulaire) Virtuellement, tous les tissus post embryonnaires sont générés par les MAR et les MAT
18 Sequoia sempervirens Réservoir de souches actif depuis plus de 2000 ans!
19 Différenciation Prolifération % asymétrique TA souche
20 Zone de différenciation Transition en amplification (TA) Zone de la niche souche Cycle lent
21 Organisation des méristèmes chez les plantes Des souches, un organisateur central (OC), une zone de prolifération périphérique (TA) souches Régulées par des infos de positions souches Précurseurs clonogéniques
22 souches maintenues dans une niche "Un endroit spécifique dans un tissu où les souches peuvent résider pendant une période indéfinie et produire des filles en se renouvelant" (Ohlstein et al., 2004) La niche est un µenv ent externe (signal de maintenance) en interaction avec infos intrinsèques
23 Transition en amplification ( TA) TA Capacités prolifératives Amplifier le nb re de
24 Générer des produits asymétriques Une souches se %, les filles sont déplacées au-delà de la zone de signal de maintien souche (dans la niche) 1 fille qui reste dans la niche (retient le destin souche) 1 fille qui sort de la niche (entre en zone TA et se multiplie) Info intrinsèque ou extrinsèque
25 Les méristèmes sont des zones de régulations cadastrées Zone de différenciation : rôle des protéines rétinoblastome (RBR) Zone TA : rôle des phytohormones (auxines, cytokinines)? souche : dans une niche Centre Organisateur (CO: MAT) ou Centre Quiescent (CQ : MAR) Signal : nature encore inconnue
26 Le rôle des protéines RBR (RetinoBlastoma Related gene) dans la différenciation RBR réduit la prolifération et enclenche la différenciation MAT et MAR Mécanismes similaires chez les animaux (convergence)
27 Gènes sélecteurs Activation de certains gènes Cascades d activation/répression Destins aires Activation d un réseau (network) Organe ou différenciation
28 G 1 G 2 G 1 G 2 Activation de G 2 Répression de G 1 G 4 G 3 G 4 G 3 Activation de G 4 G 5 Activation de G 3 G 5 Activation de G 5
29 Des programmes intégrés existent: Les gènes sélecteurs les allument
30 Quelques originalité du développement chez les plantes
31 Introduction - IV Les végétales sont insérées dans une paroi rigide!! Paroi II aire Paroi I aire % aire (meresis) et l élongation (auxesis) Avant mise en place définitive de la paroi!! Protoplaste Mb ne plasmique (plasmalemme) Le déplacement des impossible!! La communication inter doit faire intervenir des structures spécialisées!!
32 Introduction - IV Comment résoudre le problème de la croissance et du développement? Les cellules des plantes se divisent et se différencient sur place!!
33 Introduction - IV Les communiquent par la voie apoplastique et symplastique Apoplastes Pores dans la paroi Symplastes Pores dans la paroi et plasmalemmes (plasmodesmmes) Plasmodesmes 2 à 3 X Apoplaste
34 Voie apoplastique Voie symplastique
35 Processus ligand-récepteur Apoplastes Petits peptides ou hormones Transport actif (exflux et influx) Auxine Transport symplastique directe : plasmodesmmes Protéines, mrna ou autres ARN
36 Plasmodesmes Desmotubes Rét. Endo. + Mb ane plasmique Orientation des plasmodesmes Spécifique des tissus
37 Plasmodesmes Mb ne plasmique Desmotubules Ret. end. Les plasmodesmes peuvent se fermer SEL (Size Exclusion Limit) Régulation de la taille des molécules qui transitent Plasmalemme
38 Introduction - IV Communication symplastique Rôle majeur dans le développement chez les plantes
39 Notion de domaine symplastique d un tissu Transport inter aire de micro ou macro molécules Forment un domaine symplastique Cytoplasme commun
40 LE DEVELOPPEMENT CHEZ LES PLANTES
41 Le développement des plantes Deux grandes étapes: Embryogenèse Organogenèse
42 I - Embryogenèse
43 Embryogenèse Zygote Embryon mature (dans une graine) 1 - Construction de l axe apical/basal 2 - Construction de la polarité radiale 3 - Mise en place des méristèmes I aires
44 Organogenèse Embryon Germination et croissance Organogenèse Fonctionnement itératif des méristèmes
45 I I
46 L Embryogenèse: Mise en place et fonctionnement des méristèmes
47 Rappel sur les grandes étapes de l embryogenèse
48 Embryogenèse Acquisition spatialement coordonnées de nombreuses identités aires 3 phases distinguables: (1) Proembryogenèse Segmentation (2) Organogenèse embryonnaire (3) Maturation embryonnaire
49 Zygote Segmentation Proembryogenèse Organogenèse 3 j. 4 j. Globulaire Cordiforme Torpille
50 Les différents stades de développement embryonnaire chez Capsella bursa pastoris
51 Embryon mature de Capsella bursa-pastoris (Brassicaceae) Axe hypocotyle radicule Procambium Enveloppe de la graine MAR Cotylédons Territoir présomptif du MAT
52 Proembryogenèse Phase de segmentation Zygote Embryon globulaire Embryon globulaire Zygote Suspenseur
53 Oosphère et zygote polarisées!! Plastes amylifères 40 à 70 µm Plastes Noyau Cytoplasme Zygote de grande taille
54 1 ère % asymétrique 1 apicale et 1 basale Cytoplasme dense Site très actif de synthèse protéique apicale Division Zygote Vacuole basale Cellules très vacuolisées
55 apicale basale 1 ère division Zygote
56 Les destins cellulaires de la apicale et de la basale sont différents apicale Majeure partie de l embryon basale Suspenseur + hypophyse
57 Suspenseur Hypophyse MAR (Arabidopsis: c et d; Petunia: d) Plan de % horizontal Partie basale: élargie en contact avec les tissus maternels
58 Ancrer l embryon dans sac Nutriment du sporophyte maternel embryon Structure filamenteuse très vacuolisées
59 apicale (Arabidopsis) 2 % verticales une % horizontale = Octant (8 ) % péricline Embryon 16 Protoderme mis en place
60 Embryon 1 Embryon 4
61 Embryon 8 Embryon 16
62 % péricline Couche externe 8 protoderme Couche interne 8 8 cellules 16 cellules
63 Division anticline Division pericline
64 L orientation de la % aires est contrôlée par l orientation d un réseau de µtubules corticales
65 Embryon globulaire Pas de polarité visible!! Partie supérieure Partie basale Embryon axialisé MAIS Pas de polarisation asymétrique dans la dimension basale - apicale
66 Embryon globulaire Étage apical (supérieur) bisérié Étage central (médian) Initium cotylédonaires Étage basal (inférieur): Primordium radiculaire 5 types de cellules (a, b,c, d et pr)
67 Zone supérieure ic: initium cotylédonaire ic a b c d ic p r Primordium radiculaire a: Futur procamium b: Futur cortex c: Futur centre quiescent d: Future columelle Pr: Futur épiderme
68 Proembryogenèse Stade globulaire Primordium radiculaire Petunia Primordium radiculaire Arabidopsis
69 Organogenèse 200 Symétrie axiale Symétrie bilatérale (ordre 2) Formation des organes embryonnaires fondamentaux Cotylédons et apex caulinaire, axe hypocotyleradicule, Radicule I aire, MAT et MAR
70 Stade cordiforme Primordium des organes majeurs de la plantule mis en place 3 tissus de base visibles Protoderme Cortex Procambium
71 Stade torpille Embryon mature Croissance de l axe hypocotyle - radicule Croissance et maturation des cotylédons
72 Zone apicale Zone basale Poussée cotylédonaire
73 Lignage cellulaire (a et b) chez Petunia Arabidopsis: Pas de dédoublement en a 1, a 2 et b 1, b a 1 a 2 b 1 b 2 a b i i i i i i
74 Lignage cellulaire (d) chez Petunia et Arabidopsis i d Cellule d Initiale de la columelle Pas de lignage cellulaire
75 Lignage cellulaire (Pr) chez Petunia et Arabidopsis i pr i pr i pr i pr Alternance de % anticlines et périclines Rhizoderme et coiffe
76 Radicule d un embryon mature Rhizoderme Procambium Centre quiescent Coiffe Columelle
77 Embryon stade globulaire Un seul domaine symplastique Symétrie bilatérale Émergence de sous domaines Régulation des plasmodesmes SEL (Size Exclusion Limit)
78 Embryon stade torpille 4 sous domaines symplastiques 1 - Apex radiculaire (avec MAT) 2 - Cotylédons 3 - Hypocotyle 4 - Radicule (avec MAR)
79 II - Développement de l axe radiculaire Mise en place et fonctionnement du MAR Le rôle fondamental de l auxine
80 Auxine Dév t axe apical-basal Dév t axial racine Identité et maintien du MAR Initiation des feuilles (phyllotaxie) Initiation des racines II aires Transport d Auxine polaire : Facteur majeur de formation des organes
81 Polarisation du flux d auxine Le flux d auxine induit la polarisation axiale de l embryon Le flux d auxine induit l identité et la régulation du MAR
82 Stades embryonnaires Localisation de l auxine dans différents tissus Zone d accumulation Racine II aire Zone de transport et dir on du flux Auxine Primordium foliaire
83 Auxine Peut transiter à travers la Voie apoplastique Transporteurs d influx et d exflux Fixation sur mb plasmique Récepteur ABP mb aire (Auxine Binding Protein) Cascade de signalisation Acidification et extension de la paroi
84 Auxine Auxine cytosolique Fixation sur ARF Transcription de gènes de réponse à l auxine (gènes à Auxine Response Elements)
85 Auxine extracellulaire ADN Transcription Signal (cascade) ADN ADN Gène induit par auxine Transcription ADN Transporteur d influx: AUX1 Transporteur d exflux: Site promoteur AtPIN1 AtPIN2 AtPIN3 ABP membranaire: Auxine Binding Protein ARF: Auxine Response Factor Région codante du gène CELLULE DE TRANSIT
86 L auxine est synthétisée dans les jeunes feuilles du méristème apical de la tige M.A.R
87 Transporteur d influx Transporteur d exflux Auxine Véhiculée par transporteurs d exflux (AtPIN1, AtPIN2, AtPIN3, AtPIN4, AtPIN7) Véhiculée par transporteurs d influx (AUX1) Voie apoplastique
88 Transporteur d influx Transporteur d exflux La localisation sur les membranes cellulaires des transporteurs d influx et d exflux contrôlent et polarisent le flux
89 Évolution de l accumulation d auxine % zygote Auxine s accumule dans apicale Embryon préglobulaire Auxine en position apicale Embryon 32 Accumulation dans hypophyse Quand CQ établit Accumulation dans i d
90 Auxine dans embryon préglobulaire Suspenseur et tissus maternels Embryon globulaire Synthétise auxine dans zone apicale
91 Le flux d auxine s inverse au cours de l embryogenèse
92 Changement de localisation des max. d auxine Corrélé avec distribution et redistribution des membres de la famille PIN PIN1 PIN7 Auxine Cambium
93 Embryon cordiforme Transport basipétale et redistribution latérale Initiales columelle Critique pour maintien de la zone méristème Boucle de reflux d auxine Régule la taille du MAR
94 Formation du site vasculaire par canalisation du flux d auxine Les se spécialisent vers le transport
95 Localisation des transporteurs d exflux AtPIN1 dans le procambium
96 AtPIN1 Nature 2007
97 Localisation par immunofluorescence du transporteur d auxine AtPIN1 dans le protophloème racinaire Protophloème Zone basale des Méristème Apical de la Racine Localisation des protéine AtPIN1 dans la partie basale des cellules
98 Mutants avec schéma axial défectueux GNOM
99 Le mutant gnom Mutant EMBRYO DEFECTIVE 30/GNOM Structure en sphère différenciées mais désorientées Perte de polarité basale-apicale Le zygote gnom ne se divise pas normalement
100
101 Protéine GNOM Facteur d échange à Guanine (ARF - GEF) ARF-GEF : régulent le trafic des vésicules EMB 30/ GNOM Régule la déposition polaire de AtPIN1 (Exflux auxine)
102 Filaments d actine et microfibrilles Noyau Golgi Protéine convoyeur
103 La localisation de AtPIN1 se concentre progressivement dans les zones cotylédonnaires et les zones du cambium chez le phénotype sauvage (A et C)
104 Localisation de AtPIN1 et polarité cellulaire A, B: Type sauvage C, D: Mutant emb30/gnom A et C: Stade dermatogène B et D: Stade globulaire précoce Le transporteur d exflux d auxine AtPIN1 Normalement partie basale de la mb emb30/gn Pas de localisation basale de AtPIN1 Perte de polarité
105 La polarisation du flux d auxine induit la polarisation axiale de l embryon Spécification du MAR
106 Rôle du centre quiescent dans le MAR
107 du CQ Aussi des souches Capacité de prolifération illimitées Auto-maintenance et autorenouvellement MAR Initiales structurelles (C.O.) et initiales fonct elles
108 Initiales fonct elles qui se % activement autour du CQ (souches) Initiales struct elles % peu actives du CQ % souvent pour remplacer initiale fonct elle Comment la balance initiales struct elles / initiale fonct elle est t elle maintenue?
109 Maïs, Arabidopsis Ablation du CQ et coiffe Un nouveau MAR se reforme après le dèv ent d un nouveau CQ Inhibition du transport polaire d auxine Pas de néoformation du CQ et pas de MAR Transport polaire d auxine Rôle central dans spécification de la niche De nb eux facteurs de transcriptions sont nécessaires spécifiques du CQ
110 Gènes PLETHORA (PLT) PLT : Facteurs de transcription inductibles à l auxine PLT1 : Dès stade 8 PLT2 : Stade embryon globulaire PLT 1 et 2 : Action redondante PLT : Spécification du CQ et activité initiales
111 Doubles mutants plt1plt2 : pas de CQ et pas de MAR Expression des gènes PLT : CQ et souches
112 Système à boucle de reflux Accumulation d auxine (seuil?) Id Id Transcription de PLT Protéines PLT Accumulation dans CQ CQ Maintient identité des initiales
113 Une combinaison de gènes PLT inductibles à l auxine (et d'autres gènes) codent pour la spécification du CQ et des souches
114
115 III - Développement de la graine
116 Passage de l ovule à la graine Téguments de l ovule Téguments de la graine Zygote Embryon Zygote accessoire Albumen (endosperme) Gynécée Fruit Ovaire Péricarpe
117 Développement de la graine Albumen (endosperme) Peut être un tissue de réserve Albumen Peut régresser Nucelle et téguments Testa Testa Enveloppe de la graine Testa mortes (cutine et lignines)
118 Différenciation des téguments Téguments % péricline et différenciation Épaississement et sclérification des Accumulation de cutines et lignines, subérines Barrière imperméable à l eau et O 2
119 Lignines et cutines Lignines : paroi II aire, haute résistance traction/pression Mélange de polymère amorphe de 3 composés phénoliques : alcool p-coumarylique, coniférylique et sinapylique Cutines : polyesters complexes d acides gras (acides cutiniques) Subérines : molécules complexes à base d acides gras
120 Graine mature de Lepidium sativum
121 Graines albuminées Albumen (endosperme) se développe au détriment du nucelle Tissu de réserve Tomate (Lycopersicon esculentum), tabac (Nicotiana tabacum), Poaceae (blé, maïs). Endosperme + testa Dormance
122 Graines exalbuminées Embryon se développe au détriment de l albumen Tissu de réserve Cotylédons Fabaceae, Brassicaceae, Asteraceae
123 Graines à périsperme Pas (Orchidaceae) ou peu de dévt de l albumen Tissu de réserve Nucelle persistant qui devient tissu de réserve (périsperme) Orchidaceae, Piperaceae, Caryophyllaceae
124 Réserves : Glucides Grains d amidons dans amyloplastes (graines amylacées: Blé, seigle, orge 70% amidon) Deux formes d amidons : amylose et amylopectine (70 à 90 %) Mananes (polymère de manose), xyloglucanes Grains Paroi hypertrophiée (albumen) Allium Cotylédons Lupin
125 Phytelephas macrocarpa : palmier à noix d ivoire Endosperme pierreux : polycondensats d homoglucanes
126 Grains d amidons dans amyloplaste
127 Réserves : Protéines Le + souvent forme insoluble: Corps protéique (organite) ou grain d aleurone Graines protéagineuses (lupin 40 %) Corps protéique Cotylédons (Fabaceae) Corps protéique Albumen (céréales) = couche à aleurones Grains d aleurones Vacuole ou vésicule terminales du RE
Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailLa notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.
La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailInformation génétique
chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailSciences de la vie et de la Terre
Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de
Plus en détailLA PHYLLOTAXIE SPIRALE
ALBERTIN Thierry - CAVALLARO Jean-Sébastien - MARCHESE Emilie 1 ère S 3 LA PHYLLOTAXIE SPIRALE Lycée Thierry MAULNIER Année Scolaire : 2004-2005 Professeurs : M. Gouy (S.V.T.) M. Martinez (Mathématiques)
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailCommentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS
Plus en détailIntroduction au Monde VégétalV. Les Champignons. Les Algues. Introduction au Monde Animal. Les Invertébr. (Les Lichens)
Enseignement de Biologie des Organismes 11 ère ère année de de Licence DEUG STS STPIBGS Introduction au Monde VégétalV Les Champignons Les Algues Introduction au Monde Animal Les Invertébr brés (Les Lichens)
Plus en détailGènes du développement et structuration de l organisme
03-Gènes du développement_00/maquette imports 19/01/10 10:45 Page99 Revue des Questions scientifiques, 2010, 181 (1) : 99-110 Gènes du développement et structuration de l organisme René Rezsohazy Unité
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailT.P.E. LA PHYLLOTAXIE: ASSOCIATION DES SPIRALES DANS LA CROISSANCE DES PLANTES. Juan Carlos Marroquin, T le S.
T.P.E. LA PHYLLOTAXIE: ASSOCIATION DES SPIRALES DANS LA CROISSANCE DES PLANTES. Juan Carlos Marroquin, T le S. SOMMAIRE Introduction I Quelques spirales et leurs propriétés A. La spirale logarithmique
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailLES CYTOKININES. 1962: la molécule active du lait de coco a les caractéristiques d une base nucléique, l adénosine (base purique)
LES CYTOKININES Les cytokinines (kutos, cellule; kinein, mouvoir, au sens de séparer) sont nécessaires à la division de cellules 1941: Blakeslee, essaie de créer des hybrides entre différentes espèces
Plus en détailORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83
ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis
Plus en détailGénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010
GénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010 Analyse de la diversité moléculaire des régions génomiques de 30 gènes du développement méristématique dans une core collection
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailDétection de Chlorophylle Réalisation d'un fluorimètre
MANGOTECHNO Détection de Chlorophylle Réalisation d'un fluorimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Document de travail - Janvier 2012 Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2. La chlorophylle...3
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailMorphogènes et endocytose
MEDECINE/SCIENCES 2003 ; 19 : 351-7 > Les protéines signalisatrices des familles Wingless/Wnt, Hedgehog et Decapentaplegic (Dpp)/Bone morphogenic protein (BMP) agissent comme des morphogènes au cours du
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailTraitement bas-niveau
Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détail1.5 COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5. Les matières premières. Section 1.5
Section COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5 Les matières premières Pour vous donner un produit de qualité, nous choisissons celles qui offrent les meilleures garanties. Série DATATEL
Plus en détail>Si j ai réussi, je suis capable de
Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailTUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013
TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 réalisée par les tuteurs, non contrôlée par les professeurs de l'ue NON OFFICIELLE QCM n 1 : A, B, D, E L homéocode odontogénique regroupe 4 principaux
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailGarde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.
bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailAnalyse & Medical. Electrovannes miniatures
Analyse & Medical Electrovannes miniatures Introduction Technologies d analyse Les vannes et les procédés utilisés pour les analyses dans les laboratoires ou les industries ne sont pas en contact direct
Plus en détailQui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?
Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,
Plus en détailLes Réseaux sans fils : IEEE 802.11. F. Nolot
Les Réseaux sans fils : IEEE 802.11 F. Nolot 1 Les Réseaux sans fils : IEEE 802.11 Historique F. Nolot 2 Historique 1er norme publiée en 1997 Débit jusque 2 Mb/s En 1998, norme 802.11b, commercialement
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailUniversity of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology
COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailMaïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015
Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015 LA GAMME MAIS ET LE GUIDE DES SOLS PIONEER 2015 Choisissez la variété adaptée à vos besoins PRECOCITE VARIETE MAIS ENSILAGE TYPE DE SOL Rendement énergétique Densité
Plus en détailDepuis des milliers de générations, le ver à soie est l objet d une sélection
Production de soie et caractéristiques des glandes séricigènes de 13 races de ver à soie (Bombyx mori) J. M. FAYARD Laboratoire de biométvie, Dépavtement de biologie générale et appliquée Université Claude
Plus en détail